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Appareil pour le nettoyage du tabac coupé premières demandes déposées en Allemagne : le 11 décem- ore 1926 M. 97 384 III/79a et M 97 385 III/79a, le 7 mai 1927 M. 99 573 III/79a et le 11 avril 1927, brevet d'uti- lité n 989 827.
Il est déjà connu de diriger le tabac coupé, en particulier le tabac destiné à la fabrication de cigaret- tes, par voie pneumatique dans un récipient dans lequel est disposée, au dessus de l'embouchure d'amenée pour le tauac coupé, une chambre séparée par un tamis et en com- munication avec une conduite d'aspiration, Dans l'appareil connu on a constaté l'inconvénient qu'a l'aide de la con- auite a'aspiration, le tamis ne laissait*pas passer seu- lement les particules de poussières à éliminer, mais que des particules de tabac étaient également entraînées;
ces dernières ne pouvaient pas passer, il est vrai, par l'ou- verture du tamis, mais elles adhéraient au tamis, et ré- duisaient par suite le rendement de l'appareil, ceci pou- vant aller jusqu'à boucher complètement les mailles du
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tamis, de telle sorte que le tabac n'était plus nettoyé de la poussière de tabac, et que l'installation ne fonc- tionnait plus.
La présente invention a pour oojet ae remédier à cet inconvénient en ce que la conduite amenant le tuac coupe, avec embouchure dirigée verticalement vert, le sas, traverse centralement le tamis horizontal.
De préférence, l'embouchure de la conduite d'aspiration, disposée centralement dans le couvercle du récipient, est précédée par une paroi repartitrice hori0 zontale, de telle sorte que le courant d'air aspiré est obligé a passer d'abord du milieu du récipient aux parois latérales, avant de pouvoir arriver dans la coduite d'as- piration.
De cette manière on arrive, d'une façon prati- quement parfaite, à tenir toutes les particules ae taoac écartées du tamis, de telle sorte que le courant d'air aspire peut exercer d'une manière continue, sans oostacle, son action de nettoyage. En particulier, la tendance du courant d'air aspiré à passer du milieu du récipient vers les parois latérales, contribue à faire que les particu- les de tabac qui pourraient encore avoir été entraînées, trouvent le temps de se déposer avant d'arriver dans le rayon d'action du tamis à poussières.
L'invention est expliquée plus en détail ci- après à l'aide des dessins annexés dans lesquels : Fig. 1 est une coupe verticale transversale de l'appareil à éliminer les poussières du tabac;
Fig. 2 est une coupe verticale transversale d'une autre forme d'exécution du même appareil ; Fig. 3 représente une autre forme d'exécution de la conduite d'amenée..
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Fig. 4 est une coupe verticale transversale d'un appareil servant à faire sortir le tabac de la cham- bre de nettoyage.
Fige. 5 à 8 représentent quatre autres formes d'exécution différentes, toutes en coupe verticale trans- versale.
Le tabac coupé, venant, le cas échéant, direc- tement de la Machine à couper le tabac, est amené, par la conduite 1, par voie pneumatique, au récipient .. La conduite 1 pénètre dans le récipient, près de son extré- mité supérieure, et elle est guidée de telle sorte dans le récipient, que l'embouchure 3 de la conduite est diri- gée vers le bas, au milieu du récipient. L'embouchure, dirigée verticalement vers le uas, de la conduite 1 tra- verse centralement le tamis 4 de nettoyage des poussières.
Ce tamis sépare, a la partie supérieure du récipient, la chambre 5. La conduite d'aspiration 6 débouche, dans le rayon de la chambre 5, au centre du couvercle 8 du reci- pient. Une plaque séparatrice 8 est montée, à une certai- ne distance, devant l'embouchure de la conduite 6. Les dimensions de cette plaque sont calculées de telle sorte qu'elle -l'atteint pas tout-à-fait les parois latérales du récipient5. Cette plaque montée devant 1'embouchure de la conduite d'aspiration oblige le courant d'air aspi- ré à passer du milieu du récipient vers les parois laté- rales.
Le tabac ooupé tombant de l'embouchure 3 subit alors l'influence du courant d'air aspiré vers les parois latérales du récipient. Les particules de poussière légè- res sont en même temps entraînées au travers du tamis 4, tandis que les particules de tabac tombent et que celles de cesparticules de tabac, qui pourraient être entra*-!
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nées par le courant d'air d'aspiration ont, par suite de
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leur cids, le temps suffisant pour se eéposer w la par- tie ini"érieure avant d'atteindre le tamis 4.
La conduite d'aspiration d'air 6 Pranaporte 1G poussière de taoac entraînée, d'une manière connue pcr el1e-.....g,.,,,e, un épurateur d'air dans lequel les particu- les ce poussières se séparent et se déposent.
Le j. ressent perfectionnement se rapporte ces développements ultérieurs ue la Société dela8.r.t.<.eres::oe z yß crtés w un appareil déjà proposé par elle.' Le perfectionnement consiste en plusieurs dis- positifs ..cuveaux, dont l'action combinée 1<6l'1±t an net- ay.:e complet et une 6.sar.&at:',",n du tabac, en tenant ec..ß E, luns cL1que cas, de sa teneur en. nu.:icit.., un nettoyée :=...utoJili3,tiCl.ue du tamis captant les ous..i::res s' effectuant en *zêue temps. On se servira, pour donner des explications plus détaillées, de la figure 2 des dessins, dans laquel-
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le le nouvel appareil est représenté schéiûatiquejaeût en coupe verticale transversale.
La figure 3 est une repré- sentation séparée d'une ferme d'exécution modifiée de la conduite ou tuyau d'amenée.
L'appareil comprend tout d'abord le récipient 2 (fig.2) dans lequel la conduite d'amenée 1 découche, et dans le couvercle 7 duquel aboutit la conduite d'aspira- tien d'air 6. L'embouchure de la conduite 6 se trouve au centre du couvercle 7 du récipient 2, et en cet endroit se trouve la paroi horizontale 8 déjà mentionnée, par laquelle le courant d'air d'aspiration est obligé a se diriger d'aoord du milieu du récipient vers les parois latérales, avant d'arriver dans la conduite 6.
La. conduite d'amenée 1 se termine, à 1 ' intérieur/
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du récipient, par une pièce d'embouchure 3 dirigée ver- ticalement vers le bas, de telle sorte qu'elle traverse centralement le tamis capteur de poussières. Suivant le présent perfectionnement, ce tamis 9 est de forme coni- que, avec ouverture dirigée vers le bas, de telle sorte qu'en haut, la fermeture est constituée par la pièce d'embouchure 3 traversant centralement le tamis. Par ;-.on bord inférieur, le tamis conique se raccorde a la paroi du récipient 2.
La conformation conique du tamis capteur de poussières présente l'avantage que les particules de ta- bac sortant de la pièce d'embouchure 3 sont entraînées a'abord vers le haut, vers la pointe du tamis conique, et descendent ensuite le long de la surface conique du ta- mis, où elles viennent toujours a nouveau en contact avec les particules d'air d'aspiration traversant le tamis, de telle sorte qu'en réalité toute la poussière qui se trouve dans le tabac est éliminée.
Le tamis 9 n'est pas rigidement tenau, mais il est maintenu lâche de manière à pouvoir exécuter les vi- brations, qui se produisent sous l'action du choc du cou- rant d'air, et des particules de tabac venant frapper l'ap- pareil. Par suite de ces vibrations, le tamis est conti- nuellement nettoyé des fines particules de tabac qui pour- raient y adhérer, et par suite ses pores sont toujours maintenus ouverts, de telle sorte que l'effet est assuré.
Comme on le voit à la figure 2, la pièce d'em- bouchure centrale 3, dirigée vers le bas, descend pres- que jusqu'au bord inférieur du tamis. On empêche ainsi que le courant d'air passe principalement au travers du tamis à la pointe du cône, mais soit au contraire réparti sur toute la surface du tamis. On empêche ainsi que les particules de tabac arrivant à la pointe du cône restent
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adhérer d'une manière permanente en cet endroit, à la suite d'un choc trop violent de l'air.
Cossue le degré d'humidité du tabac arrivant dans l'appareil varie, c'est-à-dire que dans certaines usines on coupe le tabac mouillé, tandis que dans d'au- tres on le coupe quand il est tout-à-fait sec, on a, pour le traitement du tabac humide, dans lequel une agglomera- tion des particules de taoac est à craindre, monté dans la. conduite d'amenèe 1, avant qu'elle débouche dans le recipient z , un dispositif qui détruit toute aggloméra- tien des particules ae taoac humides, ae telle sorte que le tabac arrive, déjà désagrégé, dans la chambre de dé- poussierage.
Suivant la fib. 2, ce dispositif de aésa- grégation consiste en ce que la conduite d'amenee est ondulée sur une certaine longueur, les ondulations succes- sives forçant une série de renflements et de creux consti- tuant des chicanes que le tabac avançant pheumatiquement rencontre, ce qui a pour effet de détruire la cohésion des fibres de tabac qui pourraient s'être agglomérées.
Une autre forme d'exécution de ce dispositif estreprésentée à la figure 3, dans laquelle, dans le tube 1, sur une certaine partie de la longueur ae celui- ci, on a prévu des languettes 10 qui partent ae la paroi du tube ou conduite, et sont disposées obliquement de tellesorte par rapport à la direction d'avancement du tabac (indiquée par une flèche à la figure 2} que le ta- bac doit frapper contre les languettes et est désagregé en cet endroit.
Avant le point de sortie du tabac, hors du re- cipient 2, à l'extrémité inférieure rétrécie en enton- noir de ce dernier, sont prévus plusieurs raccords tubu- laires 11 avec registres obturateurs 12, qui permettent
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l'entrée d'air extérieur dans le récipient 2 suivant que les registres 1& sont plus ou moins ouverts. La force du courant d'air d'aspiration dans la conduite 6 est constan- te. Elle doit être réglée suivant le débit le plus grand possible. Par contre, la nature du tabac amené par la conduite 1 n'est pas constante, même dans une seule et même usine. C'est pour tenir compte de ces diverbences qu'on a prévu les raccords tubulaires 11.
Si l'on s'aper- çoit que le tabac sortant de l'embouchure 3 n'est pas suffisamment dépoussiéré, il faut alors admettre de l'air extérieur, qui oblige le tabac à tourbillonner dans l'es- pace du récipient 3 intercalé en avant du tamis 9, l'in- tensité du courant d'air étant en même temps réduite dans la conduite 1. On peut également arriver de cette manière à ce que du tabac très sec soit exposé à un courant d'air trop fort. qui agisse pour détruire les particules fibreu- ses.
Il est connu, dans des installations de trans- port pneumatiques, de faire sortir la matière en traite- ment des récipients où elle se trouve sous l'action d'une aspiration u'air, ou de l'air comprimé, de manière à ce qu'il ne pénètre pas d'air extérieur Par l'ouverture d'as- piration. Dans ce but, on raccorde à l'ouverture de sor- tie une chambre qui présente elle-même une'ouverture de sortie en son fond. Les deux ouvertures de sortie peuvent se fermer par des clapets ou des portes. Pour faire sortir la matière, on ferme d'abord l'ouverture du fond de la chambre, et par contre on ouvre l'ouverture de sortie du récipient, de telle sorte qu'une partie de la matière peut pénétrer dans la chambre fermée, sans que de l'air exté- rieur arrive dans le récipient.
Ensuite on ferme l'ouver- ture de sortie du récipient, et par contre on ouvre l'ou-
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verture du fond de la chambre, de telle sorte que la ma- tière qui se trouve dans cette chambre peut être évacuée, sans que de l'air extérieur puisse pénétrer dans le réci- -,lent principal, soumis à l'action d'aspiration cu à l'action de l'air comprimé.
Le présent perfectionnement comporte également un dispositif pour la sortie du tabac coupé, hors du ré- cipient de nettoyage connu, dans lequel le tabac est dé- barassé de la poussière et des autres impuretés sous l'action d'une aspiration d'air. Le dispositif dépeint convient pour évacuer le tabac de ce récipient, et il est destiné a être employé pour cet usage. On a toutefois constaté que les clapets ou portes qui ferment les deux ouvertures, et en particulier la porte qui doit fermer l'ouverture de sortie du récipient principal, est empê- chee par les particules de tabac qui se fixent au bord de l'ouverture et dans les articulations des charnières au clapet d'effectuer une fermeture parfaitement étanche.
Cependant, aussitôt que la fermeture n'est plus absolu- ment étanche, de l'air frais est aspire, ce qui empêche qu'une provision de tabac vienne régulièrement s'amasser sur le clapet au fond. Pour remédier à cet inconvénient, on a disposé, suivant l'invention, dans le rayon d'une chambre directement raccordée à l'ouverture de sortie du récipient de nettoyage, des surfaces obliques situées en face les unes des autres, et montées à pivot à leurs ex- tramites supérieures, et cela de telle sorte que dans la position de repos, les surfaces obliques viennent se pla- cer par leurs extrémités inférieures, contre les bords de l'ouverture de sortie proprement dite, se fermantpar un clapet.
Après libération de l'ouverture de sortie fermée par le clapet, on peut faire basculer les surfaces obli-
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ques de telle sorte que leurs extrémités inférieures se rencontrent. De cette manière, les surfaces inclinées constituent un dispositif captant le tabac qui tombe, pendant la fermeture suivante de l'ouverture du fona, ae telle sorte que pendant la manoeuvre de fermeture du cla- pet du fond, il ne peut pas parvenir de particules de tabac jusqu'à cette dernière.
Le tabac tombant de l'embouchure 3 (figure 4) est débarrassé de ses poussières par l'aspiration d'air, et le tabac purifié descend vers le fond 13 en entonnoir du récipient, lequel est muni d'une ouverture de passade 14 pour le tabac. A cette ouverture de passage est direc- tement raccordéeune chambre 15, dont l'ouverture du fond peut être fermée par un clapet 16. Dans la chambre 15 sont prévues aeux surfaces obliques 17, qui sont montées à pi- vot a leur extrémité supérieure en 18. Ces surfaces obli- ques viennent se placer, à leurs extrémités inférieures, à l'état de repos (comme représenté au dessin) contre les bords de l'ouverture du fond, tenue fermée par le clapet 16 .
Sous la chambre 15 est prévue une deuxième chambre 19, qui présente des surfaces conductrices obli- ques fixes 20, dont les extrémités inférieures se raccor- dent aux bords de l'ouverture 21 du fond de cette chambre.
Cette ouverture 21 peut être fermée par un clapet 2.
L'opération de vidange s'effectue à la manière suivante .
D'abord, une certaine quantité de tabac s'amas- se dans la chambre 15, entre les deux surfaces obliques 17. On ferme alors le clapet 16 du fond de la chambre 15.
Ensuite, le clapet du fond 22 de la deuxième chambre 19 étant fermé, on ouvre le clapet supérieur 16
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de telle sorte que le tabac venant de la chambre 15 peut descendre dans la chambre 19. Aussitôt ceci fait, on fait basculer les surfaces inclinées de telle sorte qu'elles prennent la position indiquée en traits interrompus, leurs extrémitée venant s'appliquer l'une contre l'autre. Les surfaces inclinées 17 constituent donc une fermeture, qui empêche le tabac de continuer à tomber par l'ouverture au fond ae la chambre 15. Ceci continue jusqu'à ce que le clapet 16 soit revenu dans sa position de fermeture.
On ::vite de cette Manière que, lors ae la fermeture du cla- pet 16, des particules de tabac puissent arriver sur celui-ci, de telle sorte qu'il n'y a pas de particules de trbac qui empêchent la bonne fermeture au clapet.
Lorsque le clapet 16 se ferme ae nouveau, on ou- vre le clapet 2 de la chambre inférieure 19, et le tabac qui se trouve dans cette chambre peut directement être ame- mé a l'appareil étaleur de tabac de la machine a cigaret- tes.
Après la fermeture du clapet 22, et lorsque les surfaces inclinées 17 sont revenues à leur position de repos, le cycle recommence.
Coiffe le tabac entraîné, en outre ae la poussiè- re, d'autres impuretés, telles que des grains de sable, etc... qui sont plus louraes que les particules de tabac elles-mêmes, le problème se pose de déoarrasser également de ces impuretés le tabac dépoussiéré. Ceci se fait, sui- vant la présente invention, en amenant le tabac qui tombe sur un tamis, qui se trouve en dehors du rayon a'action du courant u'air a'aspiration ou d'air comprimé, servant à faire avancer et à dépoussiérer le tabac coupé.
L'inven- tion permet donc de débarrasser le tabac dépoussiéré des crains de sable et équivalents, malgré l'emploi d'un cou-
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rant-d'air comprimé ou d'air d'aspiration, à l'aide d'un tamis ordinaire, qui peut être soumis de préférence, d'une manière connue par elle-même, à l'action d'un dis- positif agitateur et secoueur, dans le but d'en augmenter le rendement.
A l'ouverture de sortie 14 en forme d'entonnoir (figures 5 et 6) de la chambre de nettoyage 2. est raccor- dée une chambre fermée 23, dans laquelle un tamis secou- eur 24 est placé de telle sorte que le tabac qui tombe doit arriver sur ce tamis. Le tamis secoueur 24 est disposé obli- quement, de telle sorte que les grains de sable et équiva- lents traversant son fond, et encore entraînés par le ta- bac dépoussiéré, descendent, le cas échéant, sur la sur- face directrice 25 et arrivent dans un récipient 26 où ils sont captés, tandis que le tabac glissant le long de la surface du tamis, et alors complètement épuré, arrive dans l'entonnoir 17, fermé à sa partie inférieure par un clapet 16. Sous l'entonnoir se trouve une chambre 19, qui peut être fermée par un clapet 22.
De temps en temps, on ferme le clapet 22 et on ouvre le clapet 16, de telle sorte que le tabac tombe dans la chambre 19. On ferme alors de nouveau le clapet 16 et on ouvre le clapet 22, de telle sorte que le tabac venant de la chambre 19 peut arriver dans le récipient de captage 27.
Dans la forme d'exécution représentée à la fi- bure 6, le tabac tombant au travers de l'ouverture 14 ar- rive d'abord dans l'entonnoir 17, sous lequel se trouve le clapet obturateur 16. On retrouve dans cette disposi- tion, la chambre 19 avec le clapet obturateur 22. Le -ta- mis 24 construit comme tamis secoueur, se trouve dans ce cas complètement en dehors de l'installation de dépoussié- rage, dans une chambre 28. Les grains de sable ou équiva-
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lents traversant le tamis arrivent dans le récipient de captage 6, tandis que le tabac glissant le long du tamis secoueur incliné 24 passe sur la surface directrice 29 et dans le récipient de captage 27.
Il est clair que dans les deux formes a'exé- cution représentées aux figures 5 et 6, le tamis secoueur
24 se trouve en dehors du rayon du courant d'air comprimé ou d'air d'aspiration, de telle sorte qu'en cet endroit, le tabac peut être soumis, d'une manière tout-à-fait usuel- le, à un tamisage au cours duquel les parties les lus lourdes au tabac traversent les mailles du tamis.
Dans la forme d'exécution de la figure 7, le tamis 4, loge dans la chambre d'épuration 2, est de forme conique et cela de telle sorte que la pointe du cône se prouve en haut, à l'endroit où débouche la conduite pneu- matique 1. La pièce d'embouchure 5 descend jusqu'au ni- veau du bord inférieur du tamis conique. Les particules de poussières sont entraînées au travers du taris 4, et les particules de tabac entraînées par le courant a'air d'aspiration de la conduite 6 glissent vers le bas le long de la paroi conique du tamis 4.
Un autre tamis 30 est prévu, qui présente la forme d'un cône opposé au cône 4, de telle sorte que sa base se raccorde directement à la base du cône 4. Les particules de tabac, débarassées de leurs poussières, ar- rivent sur ce tamis 30, de telle sorte que ce tamis est a même d'éliminer les grains de sable et équivalents con- tenus dans le tabac dépoussiéré. Dans ce cas également, le tamis additionnel 30 se trouve en dehors du rayon du courant d'air d'aspiration, ou d'air comprimé, de telle sorte que la séparation des grains de sable et équivalents peut se faire par un tamisage ordinaire.
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Dans la forme d'exécution de la figure 8, on retrouve la conduite pneumatique 1 et le tamis conique 4, avec tamis conique opposé 30. Toutefois dans ce cas l'es- pace qui se trouve au dessous du tamis conique 30, et dans lequel arrivent donc les grains de sable, etc.. ayant traversé le tamis, est' relié, par la fente annulaire 31, avec l'espace situé au dessus du tamis conique 4, d'où part la conduite d'aspiration 6 s'amorçant dans le sommet de la chambre 2. S'il s'agit de procéder occasionnelle- ment à un nettoyage, on bouche la conduite d'amenée pneu- matique 1, et alors le courant d'air d'aspiration est uti- lisé aussi pour éliminer les impuretés qui auraient dé- passé le tamis 30.
Il n'est donc pas nécessaire de dispo- ser dans la chambre 2 des organes spéciaux pour pouvoir éliminer les grains de sable et équivalents après leur séparation.
Dans cette forme d'exécution également, lorsque la conduite pneumatique 1 est ouverte, le tamis conique 30 n'est pas soumis au courant d'air d'aspiration ou d'air comprimé.
Ceci dit, je déclaire considérer comme étant de ;;ion invention et revendiquer :
1 .- Un appareil pour éliminer la poussière du tabac coupé, qui est amené par voie pneumatiaue dans une chambre d'épuration, présentant, au dessus de l'endroit d'arrivée du tabac, un espace fermé par un tamis, en com- munication avec une conduite d'air d'aspiration, caracté- risé en ce que la conduite (1) amenant le tabac coupé, munie d'une pièce d'embouchure (3) dirigée vers le bas, traverse centralement le tamis horizontal (4).
2 .- Un appareil selon 1, caractérisé en ce que l'embouchure de la conduite (6) d'aspiration d'air.
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disposée centraleiuent dans le dessous (7) du récipient, est précédée de telle sorte par une paroi répartitrice horizontale, que le courant d'air d'aspiration est colite circuler depuis le Milieu du récipient jusqu'aux parois latérales, avant de pouvoir arriver dans la conduite d'as- piration d'air.
3.- Un appareil selon 1, caractérisé en ce que le tamis (9) présente la forme d'un entonnoir ouvert en bas.
4 .- Un appareil selon 1, caractérisa en ce que le taiais conique (9) n'est pas tendu rigidement, mais est lâche, de telle sorte qu'il peut effectuer des oscilla- tions sous l'influence du courant d'air.
5 .- Un appareil salon 1, caractérisé en ce que la pièce (3) de la conduite (1) pneumatique d'amenée du tacac, contenant l'embouchure dirigée vers le bas, se prolonge vers le bas jusque presque au niveau au oord in- férieur du tamis conique (9).
6 .- Un appareil selon 1, caractérisé en ce qu'à l'ouverture de sortie (14) du récipient d'épuration et raccordée une chambre (15), dans laquelle sont dispo- sées les surfaces inclinées (17) situées l'une en face de l'autre, et montées a pivot à leurs extrémités supé- rieures (18) de telle sorte que, dans la position de re- pos, les surfaces inclinées viennent se placer par leurs bords inférieurs contre les bords d'une ouverture du fond de la chambre (19), mais basculent de telle sorte, après la libération de l'ouverture du fond, que leurs extrémi- tés inférieures se rencontrent, les surfaces inclinées formant ainsi un organe de captage du tabac descendant, pendant la fermeture suivante de l'ouverture du fond.
7 .- Un appareil selon 1, caractérisé en ce que,
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les particules de tabac qui tombent arrivent sur un tamis (24) qui n'est plus soumis à l'action du courant d'aspi- ration d'air ou d'air comprimé, ce tamis séparait les crains de sable ou équivalents encore contenus dans le tabac dépoussiéré.
8 .- Un appareil selon 1 et4, caractérisé en ce que le tamis (24) est soumis, d'une manière connue par elle-même, à un mouvement d'agitation et de secouèrent.
9 .- Un appareil selon 1, 4 et 5, caractérisé en ce que le tamis d'épuration additionnel (30) forme un cône ouvert en haut, les deux tamis (4 et 30) étant réunis par les bases de leurs cônes.
10 .- Un appareil selon 1 4 à 6, caractérisé en ce que le double cône de tamisage (4, 30) est monté de telle sorte dans la chambre de dépoussiérage (2) qu'il reste entre le cône de tamisage et la paroi une fente an- nulaire (31) de telle sorte que l'espace situé au-dessous du tamis conique (30) se trouve également en communica- tion avec la, chambre d'aspiration d'air.
11 .- Un appareil selon 1 et 4 à 7, caractéri- sé en ce que le tamis supplémentaire est logé au-deseous de la chambre de dépoussiérage (2) dans un espace (23) spécial, relié à cette chambre de dépoussiérage, dans le- quel est prévu d'une part un récipient de captage pour les grains de sable et équivalents séparés, et d'autre part un dispositif d'évacuation du tabac coupé, contrôlé d'une manière connue par elle-même, par plusieurs clapets (16, 22) ou des équivalents, de telle sorte que le tamis (24) placé obliquement et secoué, cède les grains de sa- ble et équivalents à la boite de captage (26) tandis qu'il cède le tabac épuré au dispositif d'évacuation.
12 .- Un appareil selon let 4 à 8, caractérisé,
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en ce que le tamis secoueur (24) est raccordé de telle sorte au dispositif d'évacuation que le tabac venant du dispositif d'évacuation arrive sur le tamis secoueur, qui cède les grains de sable ou équivalents ayant passé au travers du garnis à un récipient de captage (26) et le tabac nettoyé à un récipient (27).