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Moyens perfectionnés pour faciliter l'ouverture d'enveloppes.
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*.*.**.*.**.**.'# Demande de brevet australien en sa faveur du 17 Septembre 1926.
La présente invention a pour objet des perfectionnements apportés aux enveloppes dans le but de pouvoir les ouvrir ai- sément et rapidement sans crainte de rencontrer ou d'endomma- ger leur contenu. L'invention est telle que le prix de revient des enveloppes n'est augmenté que dans une mesure extrêmement faible et que les améliorations contrebalancent fortement cette dépense.
Pour la réalisation de l'invention, on utilise un fil ou cordon de coton, de soie ou autre matière analogue, ou de mé- tal, ayant une résistance appropriée, et l'on place ce fil le long d'un ou de plusieurs des plis de la matière formant l'en- veloppe, par exemple le long de la partie supérieure et/ou de la partie inférieure de l'enveloppe et/ ou d'un ou des deux côtés de celle - ci . Ce fil ou cordon est
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fixé à l'intérieur de l'enveloppe au moyen de gomme, de colle, ou autre matière adhésive, ou bien de bandes de papier ou d'une autre matière, en deux ou en plusieurs endroits ou sur toute sa longueur, suivant une variante, le papier peut être "fendu" et le fil peut y être placé au cours de la fabrica- tion.
Des perforations ou des entailles ou bien une empprein- te sont pratiquées transversalement à l'un des coins ou aux deux coins de l'enveloppe auxquels l'extrémité ou les extré- mités du fil sont fixées, pour faciliter le déchirement du coin et l'ouverture de l'enveloppe le long du ou des bords ou. le fil ou cordon est fixé.
Le fil peut être mis en place au cours de la fabrication du papier, comme on l'a mentionné précédemment, ou bien pen- dant la fabrication de l'enveloppe.
Pour que l'invention puisse être mieux comprise, on va maintenant la décrire avec référence aux dessins annexés dans lesquels :
La fig. 1 montre une enveloppe ouverte à laquelle l'in- vention a été appliquée.
La fig. 2 montre l'enveloppe fermée.
La fig. 3 montre une variante.
Les figs. 4 et 5 montrent deux autres variantes, des par- ties d'enveloppe étant seulement représentées.
La fig. 6 montre l'invention appliquée d'une autre maniè- re.
La fige 7 est une vue de détail en coupe à plus grande échelle.
Le long d'un ou de plusieurs des plis A de la matière formant l'enveloppe B, par exemple le long du bord supérieur
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et/ou du bord inférieur de l'enveloppe et/ou des côtés de celle-ci, se trouve un fil ou cordon C en coton, en soie ou autre matière analogue, ou en métal, sur les figs. 1, 2,4, 5, 6 et 7, le fil ou cordon C est placé le long du pli supérieur ou se forme la patte D. Sur la fig. 3, le fil C est placé le long des quatre plis A, E, F, G, c'est-à-dire, à l'intérieur de l'enveloppe, le long des deux côtés et le long des bords supérieurs et inférieurs. Il doit être bien entendu que le fil ou cordon C peut être placé le long du bord supérieur et/ ou du bord inférieur et/ ou le long de l'un ou l'autre ou des deux côtés, et non nécessairement de la manière représentée sur cette figure.
Le fil ou cordon C est fixé à l'intérieur de l'enveloppe au moyen de gomme, de colle ou autre matière adhésive que l'on applique en saturant de cette matière le fil ou cordon C avant de le mettre en place sur l'enveloppe B ou bien, lorsque ce fil ou cordon C est en place, en endui- sant le fil et le pli de l'enveloppe au moyen d'une brosse ou d'une autre manière. D'autre part, le fil ou cordon C peut être fixé en place au moyen de bandes H de papier adhé- sif ou autre matière, appliquées sur toute la longueur du fil, comme sur la fig. 4, ou bien en deux ou plusieurs endroits comme sur la fig. 5. Suivant une variante représentée sur la fig. 6, le papier peut être "fendu" et le fil peut être pla- cé dans celui-ci au cours de la fabrication.
Les fils ou cor- dons C peuvent être coupés en morceaux de longueurs appropriées et mis en place sur l'enveloppe ou bien un fil continu peut être tendu le long du pli et coupé à la longueur désirée lors qu'il a été fixé en place.
Le fil ou cordon C peut être placé au cours de la fabri- cation du papier ou pendant la fabrication de l'enveloppe.
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Le fil ou cordon C a une solidité suffisante pour résis- ter à l'effort auquel on le soumet lorsqu'on ouvre l'enveloppe en la déchirant.
Des perforations ou des entailles J sont pratiquées en travers d'un ou de plusieurs coins K des enveloppes, auxquels l'extrémité ou les extrémités du fil ou cordon sont fixées; on peut aussi marquer ou imprimer en travers du coin une li- gne et si on le désire on peut imprimer à l'endroit de ces coins K les mots "à déchirer ici" ou d'autres mots appropries.
Dans certains cas on peut laisser les coins de l'enveloppe lisses, c'est-à-dire sans perforations ni entailles.
L'enveloppe à laquelle l'invention est appliquée peut appartenir à n'importe quelle catégorie connue, par exemple à celle des enveloppes opaques ou "ouvertes" ou "à fenêtre" et peut avoir n'importe quel format, par exemple celui des en- veloppes de lettres ou celui pour papier pro-patria etc.
Pour ouvrir une enveloppe faite conformément à la pré- sente invention, on déchire le coin préparé K et,en ce fai- sant la déchirure suit les perforations ou les entailles J jusqu'à atteindre le fil ou cordon C; on maintient celui-ci entre le pouce et l'index et on exerce une traction qui déchi- re l'enveloppe le long de son ou de ses bords.
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