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" Perfectionnements apportés aux bougies d'allumage pour moteurs à explosion ".
L'invention a pour objet des perfectionnements apportés aux bougies d'allumage, pour moteursà combustion interne et ce en supplément à ceux leur ayant déjà été apportés par le brevet principal, ces derniers consistant, principalement, à constituer de manière telle, les articles du genre en question,que leur étanchéité soit assurée par une matière pulvérulente, agissant sur l'électrode centra- le isolée, par pression radiale.
Elle consiste, elle-même, principalement, a a- voir recours, pour constituer l'isolement de l'électrode centrale, concurremment, à un enrobage en céramique et à un enrobage en forme d'un tube en une matière isolante (cigarette de mica, vernis, bakélite, émail isolant et a
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nalogues, résistant à des températuresélevées, l'étanchéité des joints existant entre ces enrobages é- tant assurée par une matière plastique, voire pulvérulen- te, pressée contre lesdits joints et agissant, en outre, sur l'électrode centrale, par pression radiale.
Elle consiste, mise à part cette disposition principale, en certaines autres dispositions, qui s'uitli sent de préférence en même temps et dont il sera plus ex- plicitement parlé ci-après.
Elle vise plus particulièrement un certain mode d'application, ainsi que certains modes de réalisation desdites dispositions ; et elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nouveaux, les articles du genre en question, conportant application de ces mêmec dispositions, les éléments spéciaux propres à leur établissement, ainsi que les moteurs comportant de semblables articles.
Et elle pourra, de toute façon, être bien com- prise à l'aide du complément de description qui suit, ain- si que du dessin ci-annexé, lesquels complément et dessin sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indication.
La figure unique, dont se compose ce dessin, montre, en coupe axiale, une bougie d'allumage démontable, établie conformément- à l'invention.
Selon l'invention, et plus spécialement selon celui de ses modes d'application, ainsi que ceux des mo des de réalisation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se pro- posant d'établir une bougie d'allumage démontable pour mo- teurs à explosion, on s'y prend corme suit, ou de façon analogue.
On fait comprendre à la bougie à établir: un culot a, fileté extérieurement suivant a1 de fa gon à pouvoir être vissé dans un taduage correspondant
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pratiqué dans la culasse du cylindre devant être muni de
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3 cette bougie, et un épaulement a prévu sur sa face inter- ne; une électrode centrale, constituée elle-même, d'u ne part, par une tige b propre à permettre le passage des étincelles entre son extrémité e. et le culot a-, ladite ti- ge étant filetée à son autre extrémité, et, d'autre part, par un écrou c vissé que cette dernière extrémité et comprenant une pièce d propre à permettre l'adaptation d'un conducteur électrique sur ledit écrou; un tube isolant, en une matière résistant aux températures élevées et pouvant être constituée:
soit par plusieurs feuilles de mica, de papier ba- kelite ou d'une autre matière analogue, enroulées les unes à la suite des autres en forme de cigarette sur la tige b et qui enrobe seulement la partie médiane de ladite tige comprise entre la partie supérieure filetée et la partie inférieure de diamètre plus petit, ladite cigarette pouvant être avantageusement enveloppée par une gaine en une ma- tière souple, par exemple en papier mince, de façon à em- pécher le déroulement des feuilles e 1 '.sa, soit par un enrobage d'une certaine épaisseur de vernis, de bakélite ou d'un émail, propres à adhérer à l'électrode centrale et à résister à des températures de quelques centaines de degrés;
2 un enrobage f en céramique, quartz, pyrex ou autre, enfilé sur la partie inférieure de la tige b, le diamètre de l'alésage axial dudit enrobage correspondant aussi exactement que possible au diamètre de la tige b ledit alésage comprenant une partie de diamètre plus grand dans laquelle pénètre, sur une longueur déterminée et avec faible jeu, l'extrémité inférieure de la cigarette f l'en- robage en céramique prenant appui, après interposition d'u ne rondelle el en amiante,, aluminium, cuivre rouge ou au-
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tre, sur un épaulement h1 prévu sur la face intérieure d'une pièce h.
telle,, qu'elle puisse,être vissée dans le culot a après interposition d'une rondelle o en cuivre rouge, aluminium ou autre, en servant ainsi d'élément de fixation de l'électrode centrale dans le cuot a et qu'el- le laisse un certain intervalle entre elle et la ciarct- te f;
un tout plastique k, constitué par une matière plas tique ou pulvérulente, par exeraple de la steatite, intro- duite sous forme d'une poudre impalpable dans l'espace li- bre limité par la face interne de la pièce h, la face i, plane ou convenablement inclinée constituant l'extrémité de l'enrobage en céramique, la cigarette f entourant l'é- lectrode centrale et une rodele j de section plane, ou mieux trapézoïdale, dont la grande base est en contact a vec la face interne de la pièce h et le.
petite base .vec la face extérieure de la cigarette f, la poudre étant for- tement pressée, par l'intermédiaire d'un outil approprié, entre le fond i et la rondelle j après quoi le bord libre de la pièce h est serti sur la rondelle j le tout de façon que la matière plastique assure, non seulement l'étanchéité des joints existant , d'une part, entre la cigarette f et l'enrobage en céramique fl et, d'autre part, entre ce der- nier et la pièce h, mais également grâce àl'inclinaison de l'élément .si et éventuellement de la face i le refou- lement de ladite matière vers l'électrode, pour agir sur cette dernière par pression radiale;
un manchon isolant p,entourant la. eigarette f sur la partie comprise entre l'écrou ± et le bord serti de la pièce h, ledit manchon étant établi en céramique, en quartz, en pyrex, en bakélite ou en une matière isolante moulée ou bien constituée par un empilage de rondelles de mica.
En suite de quoi, on obtient une bougie d'allu- mage dont le fonctionnement est suffisamment évident,pour
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qu'il soit inutile d'entrer à son sujet dans aucune expli- cation supplémentaire.
Comme il va de soi, et comme il ressort d'ail- leurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite aucunement à celui de ses modes d'application, non plus qu'à ceux des modes de réalisation de ses diverses parties ayant plus spécialement été indiqués ; en embrasse, au contraire, toutes les variantes, notamment: celles où la rondelle qui presse sur la matière pul- vérulente serait retenue, non par sertissage, mais par l'intermédiaire d'un écrou vissé dans la pièce qui sert à la fixation de l'électrode centrale dans le culot; celles où elle serait appliquée aux bougies non démontables;
celles où l'enrobage d'une certaine épaisseur de vernis, de bakélite ou d'un émail, ayant les propriétés spécifiées plus haut, serait appliqué dans l'une ou l'au- tre des formes de réalisation décrites et revendiquées dans le brevet principal, ledit enrobage étant utilisé aux lieu et place de la cigarette de mica, ou concurrem- ment avec celle-ci.
RÉSUMÉ.
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