BE336083A - - Google Patents

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BE336083A
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    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F23COMBUSTION APPARATUS; COMBUSTION PROCESSES
    • F23MCASINGS, LININGS, WALLS OR DOORS SPECIALLY ADAPTED FOR COMBUSTION CHAMBERS, e.g. FIREBRIDGES; DEVICES FOR DEFLECTING AIR, FLAMES OR COMBUSTION PRODUCTS IN COMBUSTION CHAMBERS; SAFETY ARRANGEMENTS SPECIALLY ADAPTED FOR COMBUSTION APPARATUS; DETAILS OF COMBUSTION CHAMBERS, NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
    • F23M5/00Casings; Linings; Walls
    • F23M5/08Cooling thereof; Tube walls

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Combustion & Propulsion (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • General Engineering & Computer Science (AREA)
  • Furnace Housings, Linings, Walls, And Ceilings (AREA)

Description


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  Perfectionnements aux foyers. 



   La présente invention s'appliqua aux foyers et conecerne   particulièrement   la construction des parois des foyers et plus spécialement le type de quelques-uns des éléments rentrant dans   la   construction de   oes   parois. 



     L'invention   est représentée dans son application à un foyer de chaudière.      



   Le but de l'invention est d'assurer une construc- tion de parois de foyers durable et apte au service qui puisse résister   à   la température très élevée que l'on re contre dans la pratique moderne courante et aux actions destructives des scories provenant des cendres du   combus-     tible   et du passage de la flamme à grande vitesse. 



   Dans les grands foyers qui ont été construits dans les dernières   années   pour de grandes installations à va      peur et particulièrement dans ceux dans lesquels on utili- se   cornac   combustible du charbon   pulvérisée   la température de la flamme peut atteindre Jusque 150 Cet on a constaté que malgré la construction la meilleure et l'emploi des produits réfractaires les plus avantageux pour les parois 

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 de foyers, ces parois n'avaient qu'une durée très courte parce que ces produits sont chauffés tellement fort qu'ils se détériorent rapidement. 



   La détérioration rapide des parois de foyers et le coût de leur renouvellement ont constitué une dépense très sérieuse. 



   On a essayé de vainer cette difficulté en en ployant des parois de foyers composées totalement ou par- tiellement de tubes   d'eau*   Mais ces parois, quoique plue durables que celles faites uniquement en   savonnerie   ré- frtire n'ount eu que peu ou pas de succès pratique, parce que si elles sont efficaces pour   empêcher   la dété- rioration rapide de; la matière réfractaire, ou si elles sont employées sans matière réfractaire, les tubes   d'eau   enlèvent tellement de chaleur au foyer qu'ils compromet- tent le rendement de la combustion. 



   Il est important que les parois da foyer soient étanchez à/ai cependant des parois composées totale- ment ou partiellement de maçonnerie, tout en étant rapi- dement usées ou détériorées par les scories   lorsqu'elles   sont exposées à une température supérieure au point de fusion des scories, se fendent aussi et présentent des fuites, ce qui est très défectueux, car il devient ainsi difficile de contrôler   1* alimentât ion   de 1'air en quan- tité convenable pour la combustion la plus efficace, et car on refroidit ainsi inégalement les parois en entra- vant la combustion et en augmentant les efforts de dila-   tation   et de contraction qui amènent la désagrégation et la destruction de la paroi. 



   L'invention réside partiellement dans des   caracté-   ristiques mécaniques ou constructives au moyen desquelles on obtient la simplicité, la solidité et 1'étachéià   l'aie   pour la paroi, et partiellement dans des caracté- ristiques thermiques. Par ses caractéristiques   thermique%   

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 la face exposée de la paroi du foyer est maintenue à une température coimprise entre certaines   limitée!,bien   définies, notamment à une température assez élevée pour ne pas com- promettre la combustion affi cace dans le   fojrer,   et   cepen-   dant à une température assez basse pour résister effecti- vement aux causes de destruction de la paroi du foyer;

   telles que la   scarification   des cendres et la grande vi-   tesse   de circulation de la flamme. 



   Les essais qui ont amené à la présente invention ont permis de constater que lors de   1* emploi   de gaz de pétrole, ou d'huile comme combustible, dans lesquels la cendre est en faible quantité, la température de la sur- face des parois peut 'être maintenue jusque 1450 et même   15000   G. sans détérioration matérielle, et que lorsqu'on emploie du charbon, dans lequel la cendre se trouve en quantités relativement grandes, la température de la sur- face de la paroi ne serait pas, dans la plupart des cas, supérieure à la température de fusion des particules de cendres qui frappent contre la paroi, quoique pour cer- taines espèces de produits réfractaires, cette température puisse être un peu plus élevée.

   Avec du charbon ayant une cendre à température de fusion relativement faible, il pourrait être nécessaire de maintenir la surface de la paroi à une température aussi faible que 100  0, mais en tout cas, elle devrait être maintenue très peu au-dessus de la limite de sécurité pour maintenir un haut rendement de combustion. 



   Pour atteindre ce but, la conductibilité à la cha- leur de la paroi du foyer est un facteur important et l'invention consiste partiellement en une construction de la parai telle que   .La   chaleur est enlevée par conduction de la surface intérieure exposée  e à   une allure convenable pour maintenir la température de ladite surface expos ée entre les limites voulues. 

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   Dans la forme   d'exécution   de 1* invention représen- tée au dessin annexé, à titre d'exemple, pour mieux faire comprendre l'invention, les parois du foyer   comprenant   les pa-rois avant, arrière et de côté, ainsi que le plan- cher ou le fond du foyer sont formées de tubes qui donnent aux parois du foyer leur principale solidité constructive et qui contiennent   un'agent   de circulation refroidisseur constituant une capacité d'absorption de chaleur et d'une fermeture des espaces entre les tubes au moyen d'élémets de recouvrement ou de revêtement qui -seront désignée ci- après sous le nom de 'carreaux ou blocs et qui sont fixés de préférence de façon amovible   auxdits   tubes en fermant les espaces entre ces tubes pour réaliser une paroi ou en- ceinte sensiblement étanche à 

    l'air   pour la chambre de com bustion du foyer. 



   Une autre caractéristique importante de 1'iventio consiste   à.   réaliser entre les carreaux ou blocs de revête- ment et les tubes de support un joint ou un raccord conduc- teur de la chaleur assurant l'étanchéité contre les gaz. 



   Une autre caractéristique de la présente invention réside en un procédé pour le fonctionnement d'un foyer construit suivant 1'iunvention   D'autres   caractéristiques contribuant à Inefficacité de la construction pour atteindre les résultats voulue apparaîtront de la description de 1'exmep concret d'une forme d'exécution de 1'inventio représentée aux dessina annexés. la fig. 1 est une élévation de face d'un foyer de chaudière réalisant une construction faisant   Itobjet   de 1'invention, une partie de la paroi avant étant enlevée pour montrer en élévation la face de la. paroi opposée ou arrière du foyer et en ooupe verticale 1'une des parois latérales, une partie du plancher et une partie du   sommet   ou voûtela ooupe étant faite suivant la ligne x1 x1 

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 de la fig 2.

   



   La fig. 2 est une élévation latérale, une partie de la paroi latérale adjacente étant arrachée, et montrant en coupe verticale les parois avant et arrière et une par- tie de la construction intérieure. 



     La.   fig. 3 est une élévation à plus-grande échelle d'uen partie de la face extérieure ou arrière de la paroi arrière avec une partie contigue de la paroi latérale vue en coupe verticale. 



   La :fige 4 est une coupe horizontale de détail sui- vant la ligne x4 x4 de   la fig     3. ,   
La fig. 5 est un détail montrant en élévation une partie de la face ou avant du mur arrière, dont la face arrière est représentée à la fig. 3, 
Les figs. 6 et 7 montrent en coupe des détails montrant   l'une   des façons de fabriquer quelques-uns des carreaux, comme il sera expliqué ci-après. 



   Dans la description qui suit, la surface de la pa- roi ou des carreaux ou blocs dont cette paroi est formée partiellement et qui est exposée vers l'intérieur du foyer sera appelée la fsice ou l'avant de la paroi ou du   carreau   tandis que la direction vers 1'extérieur du foyer sera dénommée l'arrière, et les surfaces extérieures seront ap pelées le dos de la paroi. 



   En se reportant aux fige. 1 et 2, le foyer formant l'objet de l'invention est représenté dans son application à une chaudière de construction bien connue comprenant au sommât des cylindres collecteurs de vap ruis par des tubes bouilleurs 3 avec un cylindre à boues 4 près du haut de la chambre de combustion, dont les gaz chauds cir- culent à travers les intervalles entre les tubes 3 et peuvent suivre une trajectoire sinueuse au moyen de   chica-   nes comme d'habitude 
Le combustible est introduit par les ajutages 18 

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 de   brûleurs   dans la paroi avant représentés dans ce cas comme des   brûleurs   pour du charbon pulvérise. 



   La charpente de support et les murs entourant la chaudière même au-dessus de la chambre de combustion du foyer sont représentes en 6 et sont de nature convenable pour soutenir les parties de la chaudière décrites   jusqu'1-     ci*   de sorte que les parois de la chambre de combustion ou du foyer même dame la présente forme   d'exécution   de l'invention ne doivent soutenir aucune charge particulière importante . 



   La solidité de la construction des parois du foyer est réalisée principalement par les tubes de circulation dont ces parois sont partiellement formées et qui co prennent une série 10 de tubes verticaux représentés sur- tout en traits pointillés à la fig. 1 formant la paroi avant du foyer et communiquant à leurs extrémités supé- rieures avec un cylindre ou tubulure transversale 12 réu- nie par une-série de tubes de circulation 13, 14 avec un cylindre à boues 4 de la chaudière, ces tubes 10 de la paroi avant étant aussi réunis à leurs extrémités infé- rieures avec un collecteur horizontal 15   s'étendant   en travers de   lavant   du foyer aproxiantiven au niveau du fond ou plancher de ce foyer. Les tubes 13 font partie d'une vuét cintrée, qui joue le rôle habituel des voûtes semblables. 



   La paroi arrière est composée partiellement d'une série semblable de tubes verticaux 20 réunis à leurs ex- trémités   supérieures   avec un c-lindre   transversal   21 et   à.   leurs extrémités inférieures avec une tubulure horizon- tale   @2   le cylindre 21 étant réuni par une autre série semblable de tubes 23 avec 1'u des collecteurs de vapeur 2 au somment de la chaudière. les séries de tubes   20,   23 de la paroi arrière du foyer sont verticales ou approximativement verticales, 

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 mais elles sont courbées dans-certaines parties de leurs longueurs. 



   Le plancher de la chambre de combustion est composé partiellement   de)   tubes 26 qui   entendent   en s'inclinant vers le haut du collecteur transversal 15   à   l'extrémité inférieure de la paroi avant   jusqu'au     collecteur     trans-   versal 22 à l'extrémité inférieure de la paroi arrière. 



   Les parois latérales sont semblables. Chacune d'el   tes est   composée d'une rangée verticale de tubes 30 incli- nés vers le haut de l'avant vers l'arrière. Les tubes de chaque rangée sont' réunis à leurs extrémités avant à un collecteur vertical 31 descendant du cylindre transversal ou tubulure 12 et   à leurs   extrémités arrière à un collec-      teur vertical similaire 32 descendant du cylindre trans- versal arrière   21.   



   L'eau circule du cylindre 12 au cylindre21 et   à   la chatière 2, 2 de la manière suivante :une partie de l'eau du cylindre 12 descend par les tubes 10 de la paroi avant jusqu'au collecteur 15, de là passe pr les tubes 26 du plancher Jusqu'au collecteur 22 et de là monte par les tubes 20 de la paroi arrière dans 'le cylindre 21 ; et une autre partie de   l'eau   du cylindre 12 descend par les' collecteurs latéraux avant 31, passe de là dans les tubes 30 des parois latérales   jusqu*aux   collecteurs 32 de la paroi arrière et monte ensuite dans le cylindre 21. L'eau du tambour 21 s'élève par les tuyaux 23 dans la chaudière 2, 2. Une autre partie de   l'eau   $ du cylindre 12 passe par les tubes 13 dans le cylindre4. 



     Les   intervalles entre les tubes formant partielle- ment les parois et le fond du foyer sont remplis pour constituer avec les tubes une paroi continue sensiblement étanche à l'air, en employant avec les tubes un carrelage 40 (figs et 2) dont les éléments ou les carreaux ou blocs individuels (voir figures 3   à     7)   sont de nature à.. former un revêtement durable pour le foyer et à.

   constituer 

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 en outra un transport convenable de chaleur par conduction de leurs faces exposées à l'intérieur vers les tubes et la matière   refroidissante   qu'ils contiennent à une allure convenable pour maintenir leurs faces exposées à 1'ité rieur   à.   une température assez basse pour résister à 1'ac tion destructrice du combustible en ignition, mais pas assez basse cependant pour compromettre matériellement le rendement de la combustion. 



   Pour obtenir ces résultats, et particulièrement pour assurer une bonne conduction de la chaleur, la cons- truction des carreaux peut varier, et comme il est repré- senté ici, cette construction varie suivant la position dans les parois et par conséquent suivant   1* exposition   au balayage de la flamme et à la chaleur de la combustion. 



   Les carreaux, sauf dans quelques positions qui seront in- diquées ci-après, sont composés partiellement d'une matière solide et conduisanteffectivement la chaleur, comme la fonte de fer, et d'une autre matière combinée avec la pre- mière mais plus réfractaire, telle que l'une quelconque des matières réfractaires variées employées pour la maçon- nerie réfractaire; les rapports entre la partie formant parement réfractaire et   la partie   formant le corps métal- lique peuvent varier suivant les exigences de la   conduc-   tion calorifique qui dépendent des conditions d'exposition des carreaux,, ces conditions variant dans les différentes parties d'un même foyer. 



   Dans certains cas, les carreaux peuvent être compo- sés entièrement de mégal (lette construction étant repré- sentée pour 1'ememple présenmt dans le plancher et dans des parties des parois latérales et terminales adjacentes au plancher, où pour des raisons qui seront exposées plus en détail ci-après, il est désirable de maintenir une température un peu plus basse que dans les parties   prinoi-   pales des parois du foyer qui entourent la chambre de 

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 combustion.   Dans   certains   oas,   les carreaux peuvent être   complètement   en composition réfractaire. 



   Les carreaux ont en majeure partie la construction complexe indiquée le mieux aux figures 3 à 5   inclusivement.   



   Chaque carreau comprend une partie de face 50 en matière réfractaire et une partie arrière 51 en métal, de préférence en fonte de fort attachée ou enchevêtrée sur la partie de face 50. La partie arrière est représentée avec des saillies 52 qui pénètrent dans. la partie de face 50 et peuvent traverser oelle-ci de part en part jusque sa face antérieure. Ces saillies servent à la fois à aider à attacher la partie de face 50 sur la partie arrière 51 et   à.   faciliter la conduction de la chaleur de l'avant à   l'arrière   du carreau. 



   On peut obtenir de toute manière convenable la bonne liaison entre la partie de face réfractaire et la partie arrière métallique. L'une des manières consiste à      former dans la partie de face des feuillures et des loge- ments comme il est représenté et à placer ensuite cette partie de face   dans un   moule semblable à ceux utilisés pour fondre les métaux dont une partie est représentée en 60 aux figs. 6 et   7. Ce   moule présente une cavité 61 (fig. 6) adjacente   à.   la partie réfractaire et de forme convenable pour recevoir la partie métallique du carreau. 



  Le métal fondu est ensuite versé dans lemoule, comme il est indiqué en 510 à la fig. 7; ce métal en entrant dans les cavités et les feuillures de la partie réfractaire, s'enchevêtre complètement avec cette partie réfractaire et forme avec celle-ci une liaison intime sur toute la surface de contact. 



   :Le carreau ou bloc est pourvu de sièges concaves 53 aux extrémités de l'une de ses dimensisn   longitudina-   les pour pouvoir   sadapter   sur les deux tubes contra les-, quels le carreau doit être fixé et être avec ces tubes 

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 en contact intime, ces sièges étant sensiblement, dans l'exemple   représenté,   des encoches en forme de quart de cylindre s'étacdant sur toute la longueur de l'arête correspondante du bloc, dont l'autre dimension e etlag rement moindre que la distance entre les centres des tubes 
Le mode d'exécution spécifique pour réaliser l'at- tache des carreaux aux tubes des parois du foyer peut va- rier, mais la construction représentée a prouvé qu'elle était   recommandable   pour le service et, telle qu'elle est indiquée,

   elle comprend des   boirions   55, au nombre de deux pour chaque carreau dans le présent exemple, ces   boulons   étant solidement fixés dans le corps 51 du carreau, au moyen de filets de vis dans le présent exemple, et coopé- rant avec les organes de serrage ou semelles 56, au nom- bre de deux pour chaque carreau   dans   le présent exemple. 



  Ces organes de serrage ou semelles présentent des sièges semblables aux sièges 53 formés dans les corps des car-   reaux     p:ur   venir s'engager contre les tubes, ces tubes étant ainsi serrés pour ainsi dire entre le carreau de   l'un   des cotés de chaque paire de tubes et une paire cor- respondante d'organes de serrage de l'autre coté, chaque carreau étant ainsi fermement serré ou maintenu indivi- duellement contre une paire de tubes. 



   Il est désirable dtavoir entre les carreaux et les tubes une liaison ou un contact aussi intime que pos- sible qui soit conducteur de la chaleur et de sceller hermétiquement le contact entre les carreaux et les tu- bes en formant ainsi un joint étanche aux gaz et   conduc-   teur de la. chaleur.   On   peut atteindre ces résultats de façon mesurable en employant des cales de métal relative- ment doux et de haute conductibilité, comme des feuilles de cuivre ou d'aluminium, que l'on intercale entre les carreaux et les tubes, mais en pratique on a assuré la liaison la plus effective entre les carreaux et les 

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 tubes, tant   au   point de vue de l'étanchéité aux gaz qu'au point de vue de la conduction de la chaleuren employant une matière de remplissage,indiquée en 530 à la fig.

   4 et ayant la nature d'un ciment plastique entre les deux parties, ce ciment formant une liaison plus conductrice et un joint plus étanche entre les tubes et les carreaux que oe qu'on avait pu obtenir au moyen d'une bande ou d'ujne feuille de métal intercalée entre ces tubes et ces car-      reaux. 



   On peut employer un ciment ou une matière de rem- plissage   conductrice!dont   ltingrédient principal soit une poudre métallique, mais on a constaté que certaines autres matières sont préférables car elles sont moins sujettes à des modifications chimiques. Une composition très efficace pour effectuer la liaison scellée conductrice entre les tubes et les carreaux est formée de carborundum finement pulvérisé dans du verre soluble comme véhicule et mélangé de glycérine pour rendre la matière plus plastique ou plus fluide et par conséquent plus facile à manipuler lors de son application pour fixer les carreaux sur les tubes. 



   Cette matière plastique conductrice est appliquée entre la surface extérieure des tubes et les surfaces intérieures des carreaux et des organes de serrage qui en- tourent et enferment presque complètement les tubes, comme on le voit à la fig.   4,   et qui étant pressés fortement contre les tubes donnent une conductibilité maximum à la paroi des tubes et à l'agent refroidisseur contenu dans ces tubes. 



   Comme les sièges 53 des/tubes se trouvent aux ex-        trémités   du carreau- et comme chaque carreau a à peu près la longueur de l'intervalle entre les centres des tubes, chaqeu carreau opère la fermeture complète de l'intervalle entre les tubes sur la largeur du carreau, lorsque ce carreau est réuni,ou scellé aux tubes comme il a été décrit 

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Un. petit intervalle peut être réservé entre les extrémi- tés adjacentes des carreaux se succédant sur un tube, cet 
Intervalle permettant la contraction et la dilatation dans faire d'efforits sur les carreaux ou les parois et pouvant rester ouvert lorsque la paroi est constituée. 



   Chaque assise de carreaux transversale aux tubes forme ainsi une portion de paroi étanche à l'air et les assises   successives   doivent être fixées sur les tubes en réservant un petit intervalle entre les assises, cet in- tervalle pouvant être bouché par une ligne continue de matière de garniture convenable, comme par exemple de la corde   d'amiante,   ou bien l'intervalle entre les assises peut être calfaté de tube à tube au moyen d'une matière de garniture réfractaire convenable, comme il est indiqué en 57 à la fig. 3. 



   Chaque carreau est fixé individuellement aux tubea des parois et est comèten dinéenan des autres car- reaux aussi bien au point de vue des moyens d'attache à ces tubes qu'au point de vue du joint de scellement com   ducteur   avec ces tubes, de sorte qu'on peut enlever l'un des carreaux ou un nombre quelconque d'entre eux,   qu'ils   soient ou non adjacents les uns aux autres, et les rem- placer par d'autres carreaux si l'occasion se présente de le faire, sans déranger les carreaux restants et en ne dé- pensant que très peu de temps et de travail. 



   La partie de face réfractaire 50 peut être faite en toute matière réfraotaire convenable et la partie ar- rière métallique est faite de préférence en fer. La cha leur est coidite de la surface de la partie de face 50 à travers cette partie 50 et   à   travers la partie arrière en fer 51, qui agit comme un entonnoir pour conduire la chaleur vers les tubes auxquels cette partie 51 est   renais   par les organes de serrage et le ciment conducteur in-   terposé.   

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   Etc. pratique, 1a température des tubes, qui sont l'élément d'absorption de la chaleur dans la paroi, peut varier depuis 100 C dans le cas de tubes à eau jusqu'à environ 375 C 0 dans le cas de tubes à vapeur surchauffée. 



  La température de la face des carreaux peut être maintenue sans danger de détérioration à une température aussi éle- vée que possible, par exemple 1500  C, dans le cas où. l'on emploie du combustible gaz eux ou du pétrole, tandis que dans le cas de charbon ayant des cendres à basse tempê-   rature   de fusion, la température de la face des carreaux ne peut pas dépasser   1100    Co Ces variations de conditions 
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 possibles font outil est préférable d'expliquer l'invon- tion oeil dt\m'U\U'U 1, IIt': (l'bui 1.u do bon q1'l"Uol\t It)\\ t\ uu foytw de a3au3ixe tu.beS a.' e6.\\, tel (,\\' il est l'1\1'JH.\\rM, lorsque ce foyer fonctionne sous les conditions oalo 1.fi- ques qui sont normales et habituelles dans la pratique actuelle. 



   On admettra que les' tubes d'eau dans un tel foyer      sont normalement à une température .approximative de 200 C et que le combustible est d'une nature telle que la   face   réfractaire des carreaux serait détruite si la température 
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 à .sa surface dépassait 1200e C. Dans des cas semblables, il est nécessaire que la température de la face des car- reaux soit moindre que   1200    C et il est aussi désirable      que cette température soit au moins de 1100  C afin d'ob-      tenir les conditions de meilleur rendement pour la combus- tion. 



   Il faudra donc choisir une qualité de matière ré- fractaire, une épaisseur de la partie 50 formée de cette matière   réfractaire   atune épaisseur de la partie   métalli-   que 51 telles que la chute de température entre la face du carreau et les tubes d'eau s'élève de 9000   à     1000      C,   
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 ot est-â,-dire que le débit de chaleur à travers le carreau composé sera tel que sa surface exposée à la flamme du 

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 foyer sera à me température comprise entre   1200   et 1100  C et sa face arrière,

   en contact métallique avec les tubes d'eau sera à environ   2000   C 
On a constaté quton obtient de très bons résultats lors- que le débit de chaleur dans la partie de face 50 et dans la partie arrière 51 est distribué de façon que la chute de tem- pérature de l'avant   à.   l'arrière de la partie de face est   d'en-   viron 650 à   7750   0. et que la chute de température entre l'aval et l'arrière du des en métal s'é;8v à environ 150 à 250 C. 



   Au moyen de cette construction, la chaleur est con- duite de la matière réfractaire à Iteau à une vitesse suf- fisante pour préserver la matière réfractaire malgré la température élevée du foyer et la paroi est très durable en comparaison des parois réfractaires habituelles. D'autre part, en comparant cette construction avec une paroi à tu- bes d'eau, elle empêche les tubes de brûler et maintient en même temps une température de surface assez élevée pour maintenir en état de bon reniement la combustion du   combus-   tible et du gaz. 



   La châles enlevée au foyer est conduite à 1'esau dans les tubes et sert à la génération de la vapeur de sorte qu'il n'y a pas de perte sensible de chaleur. 



   Dans le fonctionnement pratique d'un foyer de chau- dière   à   vapeur brûlant du charbon pulvérisé dans lequel la température de la flamme est d'environ 1550  on a cons- taté qu'on obtenait les résultats voulus avec un carreau combiné ayant une face en matière réfractaire, bonne con- ductrice de la chaleur, et résistant à la formation de scories de 25à 38 millimètres d'épaisseur environ et une :partie arrière en fer ayant sensiblement la forme indiquée ici et ayant entre la face réfractaire et le tube d'eau une épaisseur minimum de 12 millimètres et au milieu une épaisseur additionnelle suffisante pour atteindre à. peu près vers l'arrière le plan passant par les axes des tubes sur lesquels le carreau est fixé.

   Si la matière de la face 

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 est de conductibilité plus élevée, elle peut être plus épaisse. 



   La qualité de la face réfractaire, son épaisseur et la forme et l'épaisseur du corps ou dos en   métal   peu- vent varier dans des limites   raiwonnab-les   sans s'écarter du domaine de l'invention. 



   Un carreau ou bloc formé principalement de carbo- rundum et d'un agglutinant convenable présente un grand coefficient de conductibilité ;perl chaleur, tandis qu'un carreau ayant l'alumine comme principal constituant avec un agglutinant convenable a,   à   un degré   élevé,   la propriété de résister aux scories; la matière des car- veaux peut être faite de mélanges de ces matières en pro- portions variées afin d'obtenir les qualités nécessaires pour satisfaire aux différentes conditions rencontrées dans la pratique des foyers. 



   On a constaté en pratique que, dans certains cas, il se produit ce qu'on pourrait considérer comme une correction automatique de la capacité des blocs à trans- mettre la chaleur. Dans le cas   o   la partie de face du bloc est un peu   trop   épaisse pour les conditions existant dans le foyer, la températureplus élevée que cette partis de face acquiert provoque le commencement de son usure; mais cette usure augmentera la conductibilité et   soppo=   sera ainsi à une nouvelle usure   jusqu'à   ce qu'on obtienne finalement une condition d'équilibre; le bloc résistera      alors sans nouvelle usure de matière ou perte d'épaisseur en remplissant sa fonction comme il a été décrit. 



   11 est préférable   d'employer   la construction avec des blocs indépendants ou des carreaux combinés comme il est indiqué, mais l'invention dans son aspect le plus étendu   n'est   pas limitée   à.   cette construction spécifique, car on peut employer d'autres formes de construction de parois- de. foyers ayant une face avant en matière réfrac 

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 taire et une partie arrière métallique en contact intime avec les tubes. 



   Quoique les tubes et le carrelage soient suffisante pour la structure de la paroi, cette paroi est complétée suivant l'exemple des fige. 3 et 4 par une couche 70 de matière   non-conductrice   appliquée sur la faceextérieure des tubes et couverte au moyen de plaques 71 de feuilles métalliques qui sont maintenues entre elles et maintenues aussi sur la paroi du foyer au moyen de quelues-une des boulons 55 pour la fixation des   bloas,   qui se prolongent au-delà de la face extérieure du foyer, comme il est indi- qué en 550 à la fig. 4. 



   La forme spécifique des carreaux peut varier pour satisfaire aux diverses exigences et come il est indiqué aux figs. 4 et 5, les carreaux à proximité des extrémités verticales des parois avant et arrière ont des   dimensions   et une construction un peu différentes de celles des car- reaux employés dans le reste des parois; ils sont munis dtun siège sensiblement semi-circulaire 58 près de l'une des extrémités de façon à entourer pratiquement la moitié du tube extrême de la paroi avant ou arrière, ces carreaux étant appliqués avec leur plus grande longueur dans le sens horizontal plutôt que dans le sens vertical, comme   ctest   le cas pour les'autres carreaux des parois avant et arrière ainsi que le montée la fig. 5.

   On peut employer des demi-organes de serrage correspondant à ces carreaux extrêmes,   comme   il est indiqué en 560 à la fig. 4. 



   Cette construction assure un bon joint avec les parois latérales, dont le carrelage s'étend tout-à-fait en travers des bords verticaux des parois avant et arrière qui viennent buter et peuvent être calfatées contre les faces intérieures des parois latérales, comme il est re-   prés enté .    le plancher est muni de préférence de carreaux ou 

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 de blocs semblables à ceux des parois latérales, sauf que dans oe cas la composition réfractaire peut être supprimée et la conductibilité plus grande qui en résulte maintien- dra la paroi formant plancher à une température quelque peu inférieure à clle des parois latérales et plus faible que celle qui serait désirable pour les parois latérales   où.   elle compromettrait le rendement de la combustion. 



   Il est également désirable, comme il est représenté, qu'une ou deux assises des parois latérales et terminales adjacentes au plancher soient faites de carreaux n'ayant pas la partie de face réfractaire et dont les faces soient quelque peu en arrière da   la   face de la paroi qui se trouve au-dessus de ces assises, cette face de la paroi surplombant par conséquent les assises inférieures à l'in- térieur du foyer. 



   Le rôle de cette construction en surplomb et du main tien de la partie inférieure des parois du foyer à une température légèrement inférieure à   celle   du reste des pa- rois est le suivent la température dans le même foyer variera suivant les conditions d'emploi, la température étant plus élevée que la moyenne ou la   normale lorsqu'on   pousse le feu pour une allure plus rapide de la chaudière ou pour une demande de puissancesupérieure à la normale      ou la moyenne, et la température devenant quelque peu plus faible lorsque q'o diminue la consommation de co bustible pour une allure plus lente de la chaudière.

   Aux allures plus lentes, lorsque les parois de foyer sont re      lativement plus froides que la température normale pour laquelle elles sont construites, les cendres seront quel- quefois en état d'ardhérer aux parois et s'y accumuleront en formant un revêtement d'épaisseur plus ou moins grande de cendres de nature plus ou moins   cohéren te.   Ensuite, lorsque l'allure de la chaudière devient plus rapide et qu'une température de hatueuanomrale est atteinte, le 

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 revêtement de cendres fondra et descendra comme scorie le long de la paroi, mais en arrivant   à   l'arête inférieure de la partie en surplomb au-dessus des assises plus froi- des, cette scorie se solidifiera et formera des espèces de glaçons suspendus à l'arête inférieure de la partie en surplomb de la paroi,

   à l'avant de la partie plus froide de la paroi. Sous cette forme, la scorie peut être facilement cassée et enlevée 'de temps en temps et peut être raclée hors du foyer de la manière   habituelle.   



   Le plancher étant un peu plus froid que les paroi a latérales ne recevra pas la cendre à l'état fondu, et cette cendre ne fondra pas lors de son contact avec le plancher; par conséquent cette cendre en tombant à travers le foyer s'accumule sur le plancher avec peu ou pas   dadhérence   et elle peut donc être facilement enlevée de temps en temps. 



   Le carrelage sur les tubes 13 constituant avec ces tubes la voûte inclinée ou paroi supérieure de la chambre de combustion est de construction semblable, .et il est réuni aux tuyaux de la   même   facon que le carrelage des parois latérales; ce carrelage, dans la plupart des cas doit avoir à peu près la même capacité de transmission de la chaleur que le carrelage des parties adjacentes des parois latérales.

   lorsque les tubes sont courbés pour produire une courbure correspondante des parois, comme   c'est   le cas pour certaines parties de la   Voûte   et des parois avant et arrière représentées, la construction est   sensiblement   la même que dans les parties planes ou unies, mais les sièges concaves aux extrémités des blocs de carreaux doi- vent avoir une courbure longitudinale pour s'adapte sur la courbure des tubes ainsi que la courbure transversale pour s'adapter autour des tubes.

   Il peut être aussi né- cessaire ou désirable de tailler en biseau ou d'aicliner les surfaces latérales longitudinales des blocs pour 

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 s'adapter ou. pour correspondre   à   l'inclinaison de   l'une   des assises sur la suivante le long des séries de tubes courbes . 



   Lorsque le rayon de courbure n'est pas grand, on peut se servir du même carrelage que celui employé pour      les parois unies, le ciment conducteur utilisé étant suffisant pour compenser le léger jeu entre les sièges des   oarreauet   les tubes . 



   REVENDICATIONS   1  )   Un foyer caractérisé en ce, que ses parois sont composées de tubes ('10, 13, 20 23 26 30) combinés avec des carreaux ou blocs (40). chaque carreau ayant aux extrémités de sa partie arrière des sièges concaves (53) tandis que des organes (55, 56) maintiennent les carreaux par pression contre les tubes .

Claims (1)

  1. 2) Un foyer suivant la revendication 1 caractérisé par 1* emploi d'un ciment bon conducteur (530) qui sert ' à former une liaison étachge aux gaz et bonne conduc- . trice de la chaleur entre les tubes et les carreaux .
    3 ) Un foyer suivant la revendication 1 caracté risé en ce que certains carreaux ont une partie de face en matière réfractaire (50) et un corps en métal (51.
    4 ) Un foyer suivant la revendication 3 caracté- risé en ce que des saillies (52) du corps en métal pénè- trent et sont enveloppées dans la partie de faoe (50) .
    5 ) Un foyer suivant la revendication 2 caracté- risé- en ce que le aiment bon conducteur (530) est formé de carborundum pulvérisé et d'un véhicule convenable tel que le verre soluble .
    6 ) Un foyer suivant la revendication 1 caracté- risé en ce que des organes (18) alimentent le foyern combustible pulvérisé et un plancher de foyer sous l'en- <Desc/Clms Page number 20> trée du combustible comprend des tubes d'eau (86) et des carreaux ou blocs (4:0) assemblés avec ces tubes pour former un plancher continu .
    7) Un foyer suivant la revendication 1 caracté- risé en ce que le carreau pour le plancher 26) du foyer ne contient pas de composition réfractaire pour que la chaleur puisse se transmettre du carreau aux tubes df eau situés sous le carreau, la conductibilité du carreau à la chaleur étant suffisante par rapport à la quantité d'eau passant dans les tubes (26) pour mainte- nir la sur&oe du oarreau en-dessous de la température de fusion de la cendre du combustible , se) Un foyer suivant les revendications 1 et 7 caractérisé en ce que les carreaux des parties inférieu- res des parois latérales (30) et des parois terminales (10 20) ne contiennent pas de composition réfractaire,
    ce qui entraîne la solidification des scories sur les carreaux et empêche ces scories de tomber sur le plancher du foyer (26) 9) Un foyer* suivant la revendication 1 oaraoté- risé en ce que les tubes (13, 14, 20 23) sont courbée sur une partie de leur longueur et les sièges concaves (53) sont courbés longitudinalement pour s'adapter sur la courbure des tubes .
    10 ) Un foyer suivant la revendication 3 oaraoté- risé en ce que la partie réfractaire (50) et la partie métallique (51) du careauont une qualité et une épais- seut telles que la chute de température de la surface avant à la surface arrière soit comprise entre 1050 et 850 0, lorsque la face du carreau est exposée à une température de 1650 à 1450 0 et lorsque les tubes sous le earreau ont une température de 200 à 225 C 11)U foyer suivant la revendication 10 oarao- <Desc/Clms Page number 21> térisé en ce que la partie réfraotaire (50) du carreau a une chute de température entre 775 et 650 C et la partie métallique (51) a une chute de température entre 250 et 150 C.
    12) Un procédé de fonctionnement d'un foyer cons- truit suivant 1-lune quelconque des revendications précé- dentes consistant en ce qu'on introduit et on enflamme du combustible pulvérisé dans une chambre de combustion et on enlève de la chaleur de la chambre de combustion par son plancher à une allure assez rapide pour empêcher que les particules de combustible refusées fondent en venant en contact avec le plancher .
    13 ) Un procédé de fonctionnement d'un foyer sui- vant la revendication 12 dans lequel,la chaleur est enlevée par les côtés de la chambre à une allure moins rapide que par le fond de la chambre , 14 ) Un procédéde fonctionnement d'un foyer sui- vant la revendication 12 caractérisé en ce que la cha- leur est enlevée par dessous le plancher du foyer .
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