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Fut à pression comportant intérieurement un récipient métallique.
La fabrication des fûtsdits à pression, construits jusqu'à ce jour, tout en bois ds merrains ou avec envelop- pe en bois garnie intérieurement d'un récipient en métal neutre, nécessite pour les douves une forme intérieure et une forme extérieure bombée. Il en résulte une certaine difficulté d'exécution et de montage.
De plus .ces- futé sont d'un prix de revient très élevé. pour remédier à ces inconvénients , le Demandeur a
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imaginé le frit, objet de l'invention dont la particularité consiste en ce que le récipient intérieurs! cylindrique at est garni extérieurement par une enveloppe protectrice en bois dont la. paroi intérieure est cylindrique, de manière à Sponsor la forme du récipient et dont la paroi extérieure seule est bombée.
Le récipient métallique peut être en alliage ou en mé- tal quelconque, par exemple en aluminium, métal "Monel", nickel aluminium, acier verni ou émaillé, eto .... de manière à rester neutre, c'est-à-dire à ne pas être attaqué par des boissons telles que la bière, que contient le récipient métallique.
Pour réaliser le garnissage, on utilise des douves ra- botées intérieurement suivant une direction rectiligne dans le sens de la longueur avec couteau convexe et extérieurement amincies depuis le milieu vers les extrémités par rabotage avec un couteau concave suivant un guide déterminé.
Une des particularités de l'invention consiste dans la dispositif de montage de la bonde et dans un mode particulier de fixation des fonds du fût.
La description qui va suivre, en regard du dessin annexé, donné à titre d'exemple, fera bien comprendre la manière dont l'invention peut Être réalisée.
La fig.l est une vie extérieure partie en coupe longitu- dinale du fût.
La fig. 2 est une vue en bout de la fig.l.
La fig.3 une vue de détailsehématique de l'assemblage par soudure du fond du récipient métallique.
La fig.4 est une coupe à plus grande échelle montrant l'assemblage du fond du fût.
La fi g. 5 est une coupa à plus grande échelle, montrant le montage de la bonde.
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La fi g. 6 est une variante de la fi g. 5.
Le fût, objet de l'invention est constitué essentiel- lement par la récipient métallique a étanche et dont le fond a1 est fixé par soudure la long d'un cercle a2,comme montré fig.3. Ce récipient peut être en un métal ou alliage queloon- que, soit en aluminium pur, soit en métal "Monal", soit en niokel aluminium, soit en acier verni. ou émaillé ou tout autre métal approprié. Il aura une épaisseur très faible pour ré- duire tant son prix de revient que son poids mort, et aura sa construction simplifiée du fait de sa forme cylindrique et non bombée.
Autour du récipient métallique a est prévte une enve- loppe protectrice en bois b, formée, comme il est montré sur la fig.2 par une série de douves, dont la paroi intérieure b est cylindrique tandis que la paroi extérieure b2est bombée.
Comme cette enveloppe n'a pas besoin d'être étanche, en raison de la présence du récipient métallique intérieur, la courbure ou bombage de la face extérieure des douves peut être moins prononcée que dans las fats actuels et doit être simplement suffisante pour faciliter le serrage des cercles et rouler la fût latéralement. Pour éviter un desserrage des cercles, ceux-ci seraient fixes à demeure par des crampons d'arrêt p.
Cette forme particulière des douves présente les avan- tages suivants qui n'existant pas dans les frits à presion ae- tuels: a) simplification du jointaga qui n'a plus à âtre effectué que sur le "Clan", c'est-à-dire l'inclinaison néces- saire pour former le joint des douves et non pas également la "Rama", c'est-à-dire les variations de largeur de la douve;
b) suppression de l'étuvage et de la flexion des dou- ves, ce qui évite la casse qui en résulte et entraîna en mime temps une économie de bois et une suppression de main d'oeuvre
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a) utilisation de bois de 'valeur marchande inferiaure à celle des merrains. (Plat ainsi qu'on pourra notamment
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utiliser do. chine sur dosse et des essences de bois de valeur marchande inférieure â celle da ohina et d'un poids spéaifi- qu inférieur peur réduire encore le poids mert; d) :(.8i11t. de montage et de démontage dit fit et da réparation de l'enveloppe protectrice en cas décident ;
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s ) tteon changements dans les habitudes et la manière de travailler, ni dans ltentillage da Brasseur, du Cafetier, du Vitioalteur, Marohand de vins ou astres ;
si ce n'est une suppression de quelques opérations coâtensas et délicates, (goiLdxenn&84 etc..) f) enfin, oett* enveloppe protège le récipient inti- risnr centre les défaraatiens résultant des chocs inévitables et est 8a18:d.f\1.ge ; er4st an bon isolant centre la réchauffe- ment de la bière.
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La fixation da fend da fiit plat être réalisée comme dans les têts. pression ordinaire. Il est possible également de fixer ets fends .8:#m1 il est représenté sur la fig.4.
Le fond d est monté à embrèvement dans l'extrémité des douves b que l'on écarte au moment du montage, et la fi- xation est assurée non seulement par le cercle de tête e, mais également par des étriers profilas f, qui sont vissés en sur les douves, et répartis sur le pourtour du fût en nombre quelconque, par exemple an nombre de trois .
Entre l'angle arrondi a3 du fond du récipient métalli- que et l'enveloppe, il est avantageux de prévoir un bourrage h en liège on autre matière.
Le montage du fond, réalisé comme il vient d'être in- diqué, évite l'éclatement des peignes des douves, la poussée du fond étant supportée par le cercle de tête et par les pro- filés. Ces derniers empêchent d'autre part le fond d de se
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déplacer en cas de rétrécissement.
Enfin , cette disposition facilite l'ajustage du deuxième fond, lors d'une variation dans la longueur du récipient intérieur, pouvant résulter accidentellement lors de la construction. Il va de soi que l'on peut uti- liser un profilé circulaire qui constituera en même temps, un excellent protecteur des têtes en bois. Le liquide n'ayant aucun contact avec le bois, la conservation et la dureté de l'enveloppe protectrice en bois pourrait être augmentée sens inconvénient par imprégnation du bois d'aprè les procédés connus (par exemple Nodon et Bre tonneau) et l'usure au milieu par une ferrage à pointes de forme ap- propriée.
La fixation de la bonde peut être effectuée par exemple, comme il est représenté en coupe sur la fig.5. La bonde m présente le long de sa tranche inférieure une rainure ou gorge circulaire dont la paroi extérieure m1 est taraudée et la paroi inférieure m2 est conique. Cette gorge vient se visser sur l'embout ou bague a4 que comporte le récipient métallique a et qui est par exemple soudé sur ce dernier; embout qui doit être le moins possible en saillie pour permettre d'engager facilement le récipient dans l'enveloppe en bois. On comprend qu'en vissant la bonde!!! sur l'embout a4, on obtient une étanchéité par- faite, grâce à la partie conique m2.
Un écrou n , se via- sant à l'extrémité de la bonde m et immobilisé par un prisonnier ou via ± vissé dans la douve, maintient le tout en place.
Sur la fig.6 on a montré une variante de fixation de la bonde; L'étanchéité est obtenue par le rodage des deux faces lors du serrage de la bonde.
On conçoit que des modifications peuvent être ap- portées au dispositif qui vient d'être décrit, sans pour
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cela sortir du cadre de la présente invention.
Il est évident que l'on pourrait réaliser , diaprés le principe de l'invention, des fûts servant simplement au transport de liquides cornue le vin et n'exigeant pas un matériel devant résister à 2 1/2 et même 3 atmosphères de pression comme les fûts pour bières.