BE1022395B1 - Dispositif de repulsion de mollusques rampants - Google Patents

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BE1022395B1
BE1022395B1 BE2014/0360A BE201400360A BE1022395B1 BE 1022395 B1 BE1022395 B1 BE 1022395B1 BE 2014/0360 A BE2014/0360 A BE 2014/0360A BE 201400360 A BE201400360 A BE 201400360A BE 1022395 B1 BE1022395 B1 BE 1022395B1
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Gérard Hubaux
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Lumecon Sprl
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Abstract

L'invention concerne une barrière électrifiée (1) comprenant une paroi (11) sur laquelle sont disposés des éléments conducteurs (12a, 12b) de façon à empêcher des mollusques rampants de pénétrer à l'intérieur d'un espace de culture (2) au moins protégé par la paroi (11).

Description

Dispositif de répulsion de mollusques rampants Domaine de l’invention [0001] L’invention se rapporte à une barrière électrifiée destinée à empêcher des mollusques rampants, notamment des limaces et des escargots, de s’introduire à l’intérieur d’un espace susceptible de comprendre des plantes cultivées.
[0002] L’invention se rapporte aussi à une méthode pour empêcher des mollusques rampants de pénétrer à l’intérieur d’un espace protégé par une barrière électrifiée selon l’invention. État de la technique [0003] Dans le domaine de la protection des plants de culture, par exemple des plants potagers ou des plants ornementaux, une cause de ravage de ces plants est la présence de mollusques rampants, ou gastéropodes, tels que des limaces et des escargots, qui se nourrissent des plants. Ces animaux peuvent, par leur activité, réduire à néant les efforts des cultivateurs.
[0004] Divers moyens existent déjà pour lutter contre ces animaux et prévenir les dommages qu’ils provoquent. Il est par exemple courant d’utiliser des composés chimiques ou des poisons dispersés dans l’environnement immédiat des plants. Ces moyens ne sont pas satisfaisants. D’une part parce que les plants peuvent parfois être destinés à l’alimentation humaine et l’utilisation de tels composés est, sinon prohibée, strictement encadrée. D’autre part, parce que ces composés peuvent facilement être dispersés ou dilués dans l’environnement, par exemple à la suite d’épisodes pluvieux. Qui plus est, même si certains composés chimiques sont réputés être inoffensifs pour les prédateurs des gastéropodes (oiseaux, hérissons, crapauds par exemple), ceux-ci restent nocifs pour certains micro-organismes constituant l’humus ce qui, à terme, provoque l’appauvrissement du sol et rend une culture biologique difficile voire impossible.
[0005] Des dispositifs ont été développés pour tenter de résoudre les problèmes liés à la destruction des plants par des gastéropodes en entourant les espaces de culture d’éléments électriques. Par exemple, dans le document W02004014125, des éléments conducteurs sont présents sur une bande flexible en tissu, et les éléments conducteurs sont reliés à une batterie. Le dispositif est placé via une bande autocollante autour de pots de culture. Cependant, ce dispositif ne peut pas être facilement et convenablement placé dans un environnement naturel. Il serait en effet très difficile et très laborieux, voire chronophage, de placer le dispositif ainsi décrit autour de plants en culture dans un potager en milieu naturel de façon à éviter que des gastéropodes puissent passer sous le dispositif et ainsi pénétrer dans l’espace de culture. De plus, il ne semble pas aisé de placer le dispositif, ce dernier n’ayant aucun moyen de fixation ou de soutien. Dans la nature, le dispositif pourrait facilement être déplacé ou détérioré par des animaux sauvages, réduisant à néant les efforts déployés pour les mettre en place. Enfin, le dispositif ne semble pas avoir une durée de vie conséquente alliée à une utilisation fréquente. Une surface autocollante a naturellement tendance à se détériorer jusqu’à perdre ses qualités à mesure de l’utilisation du dispositif. Il en résulte que le dispositif perd graduellement en qualité et en efficacité à mesure qu’il est employé.
[0006] Il existe donc un besoin pour un dispositif permettant d’éviter que des gastéropodes ne puissent pénétrer à l’intérieur d’un espace destiné à la culture de plantes, ledit dispositif pouvant être placé rapidement et simplement dans un environnement naturel comme un potager ou dans un environnement artificiel tel qu’un pot de culture. Ce dispositif devrait permettre d’éviter que des mollusques rampants ne puissent pénétrer dans l’espace de culture en contournant le dispositif par-dessous. Ce dispositif devrait de surcroît pouvoir être réutilisable de nombreuses fois, sans perdre en facilité d’usage ou en efficacité. Résumé de l’invention [0007] Un des buts de la présente invention est donc de fournir un dispositif de répulsion des gastéropodes répondant, au moins partiellement, aux différents problèmes de l’art antérieur cités précédemment.
[0008] L’invention est définie par les revendications indépendantes. Les revendications dépendantes définissent des modes de réalisation préférés de l’invention.
[0009] A cette fin il est fourni une barrière électrifiée rigide pour empêcher des mollusques rampants de pénétrer à l’intérieur d’un espace au moins délimité par un premier périmètre, cette barrière électrifiée comprenant : - un premier élément comprenant : - une première surface définissant le premier périmètre, ladite surface ceinturant l’espace, - au moins deux ceintures conductrices disposées à distance l’une de l’autre sur une face extérieure de la première surface et ceinturant ladite surface, - lesdites ceintures conductrices étant séparées par une surface isolante, - une source d’énergie électrique, - des moyens pour connecter la source d’énergie aux ceintures pour y appliquer une différence de potentiel entre deux ceintures conductrices (12a, 12b) adjacentes.
[0010] Lorsqu’un mollusque entre en contact avec les deux ceintures électrifiées en même temps, le corps de l’animal crée un pont électrique entre les deux ceintures électriquement conductrices (12a, 12b) et l’animal reçoit alors une décharge électrique, et aura naturellement tendance à quitter la première surface (11) en retournant vers l’environnement avoisinant la barrière. Hormis les moments où un gastéropode est en contact avec deux ceintures conductrices en même temps, la barrière électrique (1) ne consomme quasi pas d’énergie électrique, permettant une substantielle économie d’énergie au regard du nombre de barrières électrifiées branchées sur une source d’énergie électrique.
[0011] De préférence, la barrière électrifiée comprend en outre une embase. Cette embase comprend un moyen de connexion apte à coopérer avec une partie inférieure du premier élément de façon à maintenir le premier élément au-dessus d’une surface de l’espace.
[0012] Ceci présente plusieurs avantages. Grâce à une telle embase, il est possible de placer la barrière dans tous types d’environnement lorsque le sol du milieu de culture est dur ou peu stable, tout en empêchant encore plus les gastéropodes de pénétrer dans l’espace de culture en passant sous la première surface. Lorsque le sol est meuble, l’embase peut être au moins partiellement enfoncée dans le sol, assurant de surcroît une excellente stabilité au premier élément comprenant la première surface sur laquelle sont disposées les ceintures électrifiées. Lorsque le sol ne permet pas d’y enfoncer l’embase, elle peut simplement être posée à même le sol. L’espace à l’intérieur de l’embase pouvant alors avantageusement servir de réceptacle pour le milieu de culture de la plante. Il s’entend que la forme et le volume de l’embase peuvent varier en fonction du type de plant cultivé. Les gastéropodes ne pourront pas pénétrer dans l’espace de culture par le dessous, ce dernier étant rempli le plus souvent de terre, ni par le dessus, du fait de la présence des ceintures conductrices. De plus, il est possible de retirer le premier élément sans aucune intervention sur le milieu de culture interne à l’espace protégé ou au milieu de culture externe. Il est ainsi fortement improbable de perturber la plante, par exemple en abîmant ses racines ou en entraînant un mélange entre le milieu de culture interne et le milieu de culture externe qui peuvent présenter des particularités physico-chimiques différentes.
[0013] De préférence ou alternativement, la barrière comprend en outre un moyen de liaison apte à coopérer avec un troisième élément, ledit troisième élément recouvrant au moins partiellement, de préférence intégralement, l’espace.
[0014] Ceci permet la culture de plants dans un environnement contrôlé ou protégé, par exemple lorsque le plant cultivé est particulièrement fragile ou inadapté à l’environnement, tout en empêchant les gastéropodes de se nourrir du plant ainsi protégé.
[0015] L’invention concerne également une méthode pour empêcher des mollusques rampants de pénétrer dans un espace de culture protégé par une barrière électrifiée selon l’invention. A cette fin, une méthode pour empêcher des mollusques rampants de pénétrer dans un espace est proposée, cette méthode comprenant la mise en place d’une barrière électrique selon l’invention, et comprenant les étapes de : - mise en place d’un premier élément au-dessus d’un espace de culture à protéger de la pénétration de mollusques rampants, - application d’une tension sur les ceintures électriquement conductrices.
[0016] Grâce à cette méthode, il est à la fois très simple et rapide de protéger des plants de culture, tout en ayant la possibilité ultérieure de retirer au moins en partie le dispositif de l’invention sans perturber outre mesure la plante.
Brève description des figures [0017] Ces aspects ainsi que d’autres aspects de l’invention seront clarifiés dans la description détaillée de modes de réalisation particuliers de l’invention, référence étant faite aux figures, dans lesquelles : la Fig. 1a montre schématiquement une vue en coupe longitudinale d’une barrière électrique selon un premier mode de réalisation de l’invention.
La Fig. 1b montre schématiquement une vue en coupe transversale selon le plan AA d’une barrière électrique selon un premier mode de réalisation de l’invention.
La Fig. 1c montre schématiquement une vue en coupe transversale selon le plan BB d’une barrière électrique selon un premier mode de réalisation de l’invention. la Fig. 2 montre schématiquement une vue en coupe longitudinale d’une barrière électrique selon un second mode de réalisation de l’invention dans un premier exemple d’utilisation, la Fig. 3 montre schématiquement une vue en coupe longitudinale d’une barrière électrique selon le second mode de réalisation de l’invention dans un second exemple d’utilisation.
Les dessins des figures ne sont pas à l’échelle. Généralement, des éléments semblables sont dénotés par des références semblables dans les figures. La présence de signes de référence aux dessins ne peut être considérée comme limitative, y compris lorsque ces signes sont indiqués dans les revendications.
Description détaillée de modes de réalisation particuliers [0018] Dans un mode de réalisation général illustré à la fig. 1, la barrière électrique (1) est une barrière solide, c’est-à-dire que la barrière électrifiée (1) est autoportante et que la stabilité de la barrière électrique (1) est assurée par sa seule rigidité. A titre d’exemple, la barrière peut être une pièce au moins partiellement moulée dans un plastique sélectionné parmi les thermoplastiques ou les plastiques thermodurcissables, tels qu’un polyester, un polyéthylène téréphtalate, un polystyrène, un polypropylène, un polyéthylène, un polyamide, un polychlorure de vinyle, un polyuréthane ou un polyester. La fonction de la barrière électrique (1) est d’empêcher des mollusques rampants, essentiellement de la classe des gastéropodes comme les escargots et les limaces, de pénétrer dans un espace (2). Cet espace (2) est par exemple destiné à la culture des plants ornementaux ou potagers. Cet espace (2) est délimité par un premier périmètre (3a).
[0019] Ce premier périmètre (3a) est matérialisé par une première surface (11). Cette première surface (11) ceinture le premier périmètre (3a) de façon à former une barrière autour de l’espace (2). Par surface, il faut comprendre une surface plane refermée sur elle-même mais possédant au moins une ouverture dans sa partie supérieure, et de préférence deux ouvertures situées dans une partie supérieure et dans une partie inférieure de la surface. Dans le cadre de cette invention, des surfaces de révolution sont préférentiellement utilisées, telles qu’un cylindre, un cône ouvert à son sommet et/ou à sa base, un tore, un ellipsoïde, un hyperboloïde, un ovoïde, un sphéroïde, ou un ellipsoïde qui entrent dans la définition d’une surface de révolution. Par ailleurs, des surfaces à contour polygonal, tel qu’un carré ou un rectangle peuvent également être envisagées. La première surface (11) peut également être de forme libre. Il s’entend que la surface (11) peut être plane, convexe ou concave et que la présente invention, dans un mode de réalisation général, englobe toutes ces variantes.
[0020] La barrière électrique (1) comprend en outre au moins deux ceintures conductrices (12a, 12b). Par conductrice, il faut comprendre électriquement conductrices. Il s’entend que plus de deux ceintures conductrices peuvent être présentes. Dans un tel mode de configuration, les caractéristiques des ceintures conductrices concernent alors chaque paire de ceintures conductrices adjacentes. De surcroît, le terme isolant utilisé dans ce document se réfère à un matériau électriquement isolant. Ces au moins deux ceintures sont disposées à distance l’une de l’autre sur une face extérieure de la première surface (11). Autrement dit, elles ne sont pas en contact l’une de l’autre. Les au moins deux ceintures (12a, 12b) peuvent par exemple être placées parallèlement l’une à l’autre. Les ceintures (12a, 12b) ceinturent la face extérieure de la surface (11). Il s’entend que par ceinturer il n’est pas obligatoire de procéder à un cerclage complet de la surface (11) par chacune des ceintures conductrices (12a, 12b). Il est possible que les ceintures entourent la surface selon une périphérie suffisante pour empêcher des animaux de passer. Ceci est par exemple illustrer aux fig. 1b et 1c dans lesquelles une ceinture conductrice (12a) ne ceinture pas de façon complète la surface (11), et une ceinture conductrice (12b) ceinture complètement la surface (11) respectivement. Il s’entend que chacune des barrières conductrices peut ceinturer complètement ou non la surface (11), et que dans le cas où les deux ceintures conductrices ne ceinturent pas de façon complète la surface, les interruptions des ceintures ne sont pas nécessairement l’une au-dessus de l’autre. Par exemple, une interruption des ceintures conductrices laissant par exemple moins de 3 mm d’une zone non conductrice serait tout aussi fonctionnelle que des ceintures conductrices ininterrompues sur toute la périphérie.
[0021] Une surface isolante (13) est présente entre les au moins deux ceintures conductrices (12a, 12b). Cette surface isolante peut être une portion de la face extérieure de la surface (11) lorsque ladite surface est dans un matériau isolant. Alternativement, il peut s’agir d’un matériau isolant disposé sur la face externe de la surface, les au moins deux ceintures conductrices étant disposées sur ce matériau isolant. Ce mode de réalisation est préféré lorsque la surface (11) n’est pas dans un matériau isolant.
[0022] La barrière électrique (1) comprend également une source d’énergie électrique (40). Cette source d’énergie est apte à appliquer une différence de potentiel entre les ceintures conductrices (12a, 12b). La source d’énergie électrique (40) peut être une pile, par exemple une pile de type 6(L)R61 délivrant une tension continue de 9V, ou une batterie. La source d’énergie électrique (40) est préférablement disposée dans un réceptacle l’isolant au moins partiellement du milieu environnant afin d’éviter qu’elle ne soit détériorée par les conditions climatiques.
[0023] La barrière électrique (1) comprend également des moyens pour connecter la source d’énergie (40) aux ceintures (12a, 12b) afin d’y appliquer une différence de potentiel. Ces moyens peuvent comporter tout type de fils et/ou de connecteurs électriques bien connus de l’état de la technique, tel que par exemple être des fils électriques munis à une extrémité de connecteurs spécifiques pour batteries 6(L)R61 et soudés aux ceintures à une extrémité opposée.
[0024] Selon un mode de réalisation préféré de l’invention, les ceintures conductrices (12a, 12b) sont séparées d’une distance (D) de maximum 5 mm. Par distance, il faut comprendre la plus courte distance entre les ceintures conductrices (12a, 12b). De façon toujours préférentielle, cette distance (D) est de maximum 3 mm, et encore plus préférentiellement cette distance (D) est de maximum 2mm.
[0025] Les ceintures conductrices (12a, 12b) ont une longueur et une hauteur (H). La longueur correspond à la périphérie de la première surface (11). La hauteur (H) correspond à une section perpendiculaire à la longueur de la ceinture. Les ceintures conductrices (12a, 12b) ont une largeur minimum de 3 mm, plus préférentiellement une largeur d’au moins 5 mm, et encore plus préférentiellement une largeur d’au moins 8 mm. Les ceintures conductrices peuvent être dans tout matériau conducteur. De façon préférentielle, les ceintures conductrices sont dans un métal conducteur, tel que le cuivre, le fer, l’aluminium, l’argent, l’or ou le nickel, voire un alliage comprenant au moins l’un de ces métaux. Les ceintures conductrices (12a, 12b) sont de préférence des éléments plats adhérant à la première surface (11). Par exemple, il peut s’agir de rubans de cuivre collés ou rivetés à distance l’un de l’autre sur la première surface (11). D’autres modes de réalisation sont envisageables, tels que des fils nus en cuivre. Les ceintures électriquement conductrices (12a, 12b) peuvent être dans un métal résistant à la corrosion ou être dans un matériau revêtu au moins partiellement d’un revêtement conducteur doté de cette propriété.
[0026] La source d’énergie électrique (40) peut délivrer une tension continue, alternative, ou pulsée Chaque pôle de la source est relié à une ceinture électrifiée distincte (le premier pôle sur la ceinture 12a et le second pôle sur la ceinture 12b), plusieurs ceintures conductrices pouvant être connectées à la suite l’une de l’autre, en respectant le même principe de connexion électrique. Lorsque plus de deux ceintures sont présentes sur une même barrière électrifiée (1), chaque paire de ceintures électrifiées adjacentes est connectée de façon à ce qu’une différence de potentiel soit présente entre les deux ceintures.
[0027] Il est possible de brancher des ceintures conductrices en parallèle, ou en série, notamment lorsqu’une pluralité de barrières électrique (1) est nécessaire. Ainsi, une seule source d’énergie électrique est nécessaire et suffisante pour alimenter une pluralité de barrières électrifiées (1) selon l’un quelconque des modes de réalisation présenté. Des ceintures conductrices disposées sur deux barrières électrifiées (1) différentes peuvent être branchées en série, tout en s’assurant que chaque paire de ceintures conductrices (12a, 12b) adjacentes sur une même barrière électrifiée (1) est connectée de façon à ce qu’une différence de potentiel puisse être appliquée entre les ceintures conductrices d’une même paire.
[0028] Selon un mode de réalisation particulier de l’invention, la barrière électrique (1) comprend en outre un appentis (15). A titre d’exemple, cet appentis permet d’éviter que de l’eau de pluie ne provoque un court-circuit dans le circuit électrique de l’appareil en servant de conducteur entre les au moins deux ceintures conductrices (12a, 12b). A cette fin, l’appentis (15) s’étend substantiellement horizontalement vers l’extérieur de l’espace (2). Il peut être en porte-à-faux de la face extérieure de la surface (11). A titre d’exemple, cet appentis (15) peut être une collerette extérieure surmontant le premier élément (10) au-dessus de la surface (11).
[0029] De façon préférentielle, cet appentis(15) comprend en outre un moyen (16) destiné à empêcher la propagation d’un liquide, par écoulement gravitationnel ou par capillarité, sur la surface (11), et plus particulièrement sur les ceintures conductrices (12a, 12b). Le moyen (16) peut ainsi être disposé sur un bord (15a) de l’appentis, comme illustré à la fig. 2, ou sur une surface inférieure (15b) de l’appentis (15), comme illustré à la fig. 1. Ce moyen (16) peut par exemple être une protubérance ou une petite tige.
[0030] Selon un mode de réalisation préféré de l’invention, illustré notamment sur la fig. 2, la barrière électrique (1) comprend en outre une embase (20). Cette embase (20) est un élément solide, tout comme le premier élément (10), c’est-à-dire autoportant et pouvant être une pièce moulée dans un plastique sélectionné parmi les thermoplastiques ou les plastiques thermodurcissables, tels qu’un polyester, un polyéthylène téréphtalate, un polystyrène, un polypropylène, un polyéthylène, un polyamide, un polychlorure de vinyle, un polyuréthane ou un polyester.
[0031] Dans un premier mode de réalisation, l’embase (20) comprend un moyen de connexion (25) apte à coopérer avec une partie inférieure de la surface (11). Ce moyen de connexion peut être un moulage de forme complémentaire à la partie inférieure du premier élément, le premier élément (10) et l’embase étant assemblés en force par coulissage de surfaces l’une par rapport à l’autre. Lorsque le premier élément (10) et l’embase sont assemblés, le premier élément est maintenu au-dessus de la surface (5) du sol de l’espace (2) dont l’on souhaite la protection. Grâce à l’embase (20), il est possible de retirer le premier élément (10) sans abîmer les racines de la plante, et de plus, cela évite que de petits animaux passent sous la première surface (11), ce pourrait être envisageable en fonction de la forme de la partie inférieure (14) de la surface (11) et de la morphologie de l’environnement. De plus, selon un mode d’utilisation de ce mode de réalisation, l’embase (20) peut être enfoncée dans le sol de façon à ce que le moyen de connexion (25) et la deuxième surface (22) soit disposées au-dessus du sol. Cependant, une barrière selon ce mode de réalisation peut également être placée dans son intégralité au-dessus du sol, par exemple lorsque ce dernier est rocailleux ou impropre à la culture. L’embase peut alors servir de réceptacle pour un milieu de culture de la plante. A cet effet, et de manière complémentaire, une partie inférieure de l’embase peut être obturée, par exemple grâce à un couvercle apte à coopérer avec cette partie inférieure de l’embase et se logeant dans des moyens de réception situés préférentiellement dans une partie inférieure de l’embase (20).
Ces moyens de réception peuvent à titre d’exemple être des encoches ou des glissières ménagées sur une surface interne de l’embase.
[0032] Dans un mode de réalisation particulier, l’embase (20) comprend en outre une collerette (22) s’étendant vers l’extérieur de l’espace (2), en s’éloignant de ce dernier. Cette collerette (22) peut être substantiellement horizontale afin de recouvrir le sol environnant la barrière électrique (1) et assurer une encore meilleure stabilité au dispositif. Alternativement, cette collerette (22) peut être une surface droite, concave ou convexe inclinée de façon à rehausser le premier élément (10) relativement au sol, par exemple afin de permettre à la base du premier élément de ne pas être trop proche du sol.
[0033] Dans un mode de réalisation préféré de l’invention, illustré notamment à la fig. 2 et à la fig .3, l’embase (20) comprend en outre une seconde surface (23). Cette seconde surface (23) ceinture l’espace (2), permettant ainsi d’augmenter le volume de cet espace, défini dans ce mode de réalisation par le premier périmètre (3a) et par un second périmètre (3b) matérialisé par cette seconde surface (23). La seconde surface (23) est une surface dont la définition est identique à la définition de la première surface (11), et peut donc ainsi présenter la même pluralité de formes que la première surface (11). La seconde surface (23) s’étend en s’éloignant du premier élément (10) lorsque le premier élément (10) et l’embase (20) coopèrent. Cette seconde surface (23) peut par exemple permettre à la barrière électrique (1) d’être enfoncée dans le sol et d’éviter toute pénétration de mollusques rampants par le dessous du dispositif (1). Alternativement, cette seconde surface (23) en permettant d’augmenter le volume de l’espace (2) peut permettre une culture hors sol des plants, tout en les protégeant tout aussi efficacement des gastéropodes. La seconde surface (23) peut présenter une forme similaire à la première surface (11), par exemple ces deux surfaces peuvent présenter toutes deux une forme de cylindre d’un diamètre similaire. Par « s’étendant en s’éloignant » du premier élément (10), il faut comprendre que la première surface et la seconde surface étant séparées par le moyen de connexion (25), chacune de ses surfaces s’étend de part et d’autre de ce moyen de connexion (25) en s’en éloignant.
[0034] Dans un mode de réalisation préféré de l’invention, le premier élément (10) comprend en outre un moyen de liaison configuré pour coopérer avec un troisième élément, ledit troisième élément recouvrant au moins partiellement, de préférence totalement, le second espace (2) lorsque le premier élément (10) et le troisième élément sont liés. Ce moyen de liaison peut à titre d’exemple être une glissière dans laquelle vient se glisser une plaque, ou une partie d’une charnière permettant de lier une seconde partie de charnière présente sur le troisième élément, permettant ainsi l’articulation du troisième élément avec la barrière électrique (1). Le troisième élément peut par exemple être un dôme, une fenêtre ou une cloche en matière transparente, c’est-à-dire non opaque aux rayons lumineux, naturels ou artificiels, permettant la culture de plants dans un micro climat. A titre d’illustration, on peut par exemple penser à une cloche pour micro-serre.
[0035] L’invention concerne également une méthode pour éviter que des mollusques rampants puissent pénétrer à l’intérieur d’un espace destiné à la culture de plants. A cette fin, et selon un premier mode de réalisation de la barrière électrique (1) lorsqu’elle n’est pas pourvue d’une embase (20), la méthode comprend les étapes de : - mise en place d’un premier élément (10) sur une surface destinée à la culture d’un plant, - application d’un courant sur des ceintures électriquement conductrices adjacentes (12a, 12b).
[0036] Alternativement, selon le mode de réalisation de la barrière électrique (1) lorsqu’une embase (20) est présente, la méthode comprend les étapes suivantes : - mise en place d’une embase (20), - mise en place d’un premier élément (10) sur l’embase (20), - application d’un courant électrique sur les ceintures électriquement conductrices (12a, 12b).
[0037] De façon préférentielle, la différence de potentiel appliquée entre les ceintures électriquement conductrices adjacentes est compris entre 6 V et 24 V lorsque la tension est continue, ou, lorsque la tension est alternative, la valeur efficace (ou RMS) est comprise entre 6 V et 24 V. La tension dans les ceintures conductrices peut par ailleurs être délivrée par (décalage de) phases sous la forme d’impulsions ou de successions d’ondes intermittentes.
[0038] La présente invention a été décrite en relation avec des modes de réalisations spécifiques, qui ont une valeur purement illustrative et ne doivent pas être considérés comme limitatifs. D’une manière générale, il apparaîtra évident pour l’homme du métier que la présente invention n’est pas limités aux exemples illustrés et/ou décrits ci-dessus. La présence de numéros de référence aux dessins ne peut être considérée comme limitative, y compris lorsque ces numéros sont indiqués dans les revendications. L’usage des verbes « comprendre », « inclure », « comporter », ou toute autre variante, ainsi que leurs conjugaisons, ne peut en aucune façon exclure la présence d’éléments autres que ceux mentionnés. L’usage de l’article indéfini « un », « une », ou de l’article défini « le », « la » ou « I’ », pour introduire un élément n’exclut pas la présence d’une pluralité de ces éléments.

Claims (24)

Revendications
1. Barrière électrifiée (1) rigide pour empêcher des mollusques rampants de pénétrer à l’intérieur d’un espace (2) au moins délimité par un premier périmètre (3a), ladite barrière électrifiée (1) comprenant : - un premier élément (10), ledit premier élément comprenant: - une première surface (11), préférentiellement une surface de révolution, définissant le premier périmètre (3a) et ceinturant l’espace (2), - au moins deux ceintures conductrices (12a, 12b) disposées à distance l’une de l’autre sur une face extérieure de la première surface (11) et ceinturant ladite surface (11), - lesdites ceintures conductrices étant séparées par une surface isolante (13), - une source d’énergie électrique (40), - des moyens pour connecter la source d’énergie électrique (40) aux ceintures conductrices (12a, 12b) pour y appliquer une différence de potentiel entre deux ceintures conductrices (12a, 12b) adjacentes.
2. Barrière électrique (1) selon la revendication 1, caractérisée en ce que les au moins deux ceintures conductrices (12a, 12b) sont séparées d’une distance (D) de maximum 3 mm.
3. Barrière électrique (1) selon la revendication 1 ou 2, caractérisée en ce que les au moins deux ceintures conductrices (12a, 12b) ont une hauteur (H) de minimum 3 mm.
4. Barrière électrique (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que les au moins deux ceintures électriques (12a, 12b) sont disposées parallèlement l’une à l’autre.
5. Barrière électrifiée (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que ladite barrière (1) comprend en outre une embase (20), ladite embase (20) comprenant un moyen de connexion (25) apte à coopérer avec une partie inférieure (14) de la première surface (11) de façon à maintenir ladite surface (11) au-dessus d’une surface (5) de l’espace (2).
6. Barrière électrifiée (1) selon la revendication précédente, caractérisée en ce que l’embase (20) comprend une collerette extérieure (22) s’étendant en s’éloignant de l’espace (2).
7. Barrière électrifiée (1) selon l’une quelconque des revendications 5 ou 6, caractérisée en ce que l’embase (20) comprend une seconde surface (23), préférentiellement une surface de révolution, définissant un second périmètre (3b) de l’espace (2), ladite seconde surface (23) s’étendant en s’éloignant du premier élément (10) lorsque le premier élément (10) et l’embase (20) coopèrent, ladite deuxième surface (23) ceinturant l’espace (2).
8. Barrière électrique (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que ledit premier élément (10) comprend un appentis (15) s’étendant substantiellement horizontalement vers l’extérieur du périmètre (3a) de l’espace (2).
9. Barrière électrique (1) selon la revendication 5, caractérisée en ce que ledit appentis (15) comprend un moyen (16) pour empêcher la propagation d’un liquide par écoulement gravitationnel ou par capillarité vers la première surface (11), ledit moyen (16) étant disposé soit sur un bord extérieur (15a) de l’appentis (15) en contact avec une surface inférieure (15b) de l’appentis (15), soit sur une surface inférieure (15b) de l’appentis (15).
10. Barrière électrique (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que la source d’énergie électrique (40) est une source de tension continue.
11. Barrière électrique (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que la source d’énergie électrique (40) est une source de tension alternative.
12. Barrière électrique (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que la source d’énergie électrique (40) est une source de tension pulsée.
13. Barrière électrique (10) selon l’une des quelconques revendications précédentes, caractérisée en ce que les ceintures conductrices (12a, 12b) sont en un matériau choisi parmi l’aluminium, le nickel, I’ or, P argent, le fer ou le cuivre, ou en un alliage comprenant au moins l’un de ces métaux.
14. Barrière électrique selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le premier élément (10) et/ou l’embase (20) sont dans un matériau plastique de type thermoplastique ou thermodurcissable, tels qu’un polyester, un polyéthylène téréphtalate, un polystyrène, un polypropylène, un polyéthylène, un polyamide, un polychlorure de vinyle, un polyuréthane ou un polyester.
15. Barrière électrique (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le premier élément (10) comprend en outre un moyen de liaison apte à coopérer avec un troisième élément, ledit troisième élément recouvrant au moins partiellement, de préférence intégralement, l’espace (2).
16. Barrière électrique (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que les au moins deux ceintures conductrices (12a, 12b) sont branchées en parallèle.
17. Barrière électrique (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que la surface non conductrice (13) est une portion de la première surface (11).
18. Ensemble pour former une pluralité de barrières électriques (1) connectées électriquement, ledit ensemble comprenant : - une pluralité de premiers éléments (10) selon l’une quelconque des revendications précédentes, - une source d’énergie électrique (40) apte à appliquer une différence de potentiel entre les ceintures conductrices (12a, 12b), - des moyens pour connecter la source d’énergie (40) aux ceintures (12a, 12b) pour y appliquer une différence de potentiel, la pluralité de premiers éléments (10) étant branchés en série.
19. Ensemble selon la revendication 18, caractérisée en ce que ledit ensemble comprend en outre une pluralité d’embases (20).
20. Une méthode pour empêcher des mollusques rampants de pénétrer dans un espace (2), ladite méthode comprenant la mise en place d’une barrière électrique (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 4 ou 6 à 20 lorsqu’elles ne dépendent pas de la revendication 5, et comprenant les étapes de : - mise en place d’un premier élément (10), - application d’une différence de potentiel entre les ceintures conductrices (12a, 12b).
21. Méthode selon la revendication 20, caractérisée en ce que la différence de potentiel entre les ceintures conductrices (12a, 12b) est comprise entre 6 V et 24 V.
22. Une méthode pour empêcher des mollusques rampants de pénétrer à l’intérieur d’un espace (2), ladite méthode comprenant la mise en place d’une barrière électrique (1) selon la revendication 5, ou l’une quelconque des revendications 6 à 20 lorsqu’elles dépendent de la revendication 5, et comprenant les étapes de : - mise en place d’une embase (20), - mise en place d’un premier élément (10) sur l’embase (20), - application d’une différence de potentiel entre les ceintures conductrices (12a, 12b).
23. Méthode selon la revendication 22, caractérisée en ce qu’une différence de potentiel entre les ceintures conductrices (12a, 12b) est comprise entre 6 V et
24 V.
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