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"Dispositif pour l'agencement de fonctions techniques d'un volume d'un local
L'invention concerne un dispositif pour l'agencement de fonctions techniques qui servent dans un volume d'un local, comme de la ventilation, du chauffage, du rafraîchissement, de l'éclairage commun et localisé ainsi que de l'éclairage indirect, de l'alimentation en courant, des raccordements de télécommunications, etc...., ledit dispositif ayant au moins une partie importante des appareils qui alimentent le volume du local avec les fonctions citées ci-dessus situé dans un ensemble d'appareils qui est agencé à l'endroit de la partie supérieure du volume du local, au voisinage du plafond.
Habituellement, les fonctions techniques de locaux, dans des bâtiments, sont agencés au moyen d'appareils distincts, et l'énergie de fonctionnement qui leur est nécessaire ou la matière de fonctionnement est amenée dans le local par des réseaux de transmission séparés. Ainsi par exemple des lampes sont usuellement des appareils distincts, chacun d'eux recevant le courant par son propre câble à partir du réseau de courant du bâtiment. Le courant nécessaire est le plus souvent amené par câble dans les prises installées sur des parois du bâtiment. L'apport calorifique est porté par de l'eau à travers le réseau de tubes dans les radiateurs installés par exemple sous des fenêtres.
Pour le rafraîchissement, il est prévu des appareils distincts dont la force motrice nécessaire est amenée par des câbles séparés et l'action de rafraîchissement est soit développée électriquement par des machines frigorifiques qui sont dans le dispositif soit apportée par de l'eau à l'appareil de rafraîchissement par leur réseau de tubes. Pour l'alimentation d'air de ventilation et son retrait hors du volume du local, il y a des installations de distribution d'air et des installations d'élimination d'air et le réseau de canaux à air nécessaire pour celles-ci.
En particulier des bâtiments de bureaux et usines modernes sont également équipés de différents appareils distincts nécessaires pour le travail, comme des machines-outils et des photocopieuses, des ordinateurs, des appareils de transmission de données comme des téléphones et des télécopieurs, des appareils automatiques d'extinction et d'alarme, des éclairages localisés et communs, etc.... En particulier dans des bâtiments de ce genre, l'agencement usuel de toutes les fonctions techniques provoque des problèmes d'espace et de coordination tant dans la phase de construction qu'également lors d'un changement de l'emploi prévu des volumes.
Lors du montage, il est, de plus, important que l'ordre planifié soit
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conservé lors du montage, de sorte qu'un système qui doit être monté ultérieurement ait toujours encore un accès.
Si l'on agit d'une manière conventionnelle, il apparaît déjà lors de la planification des difficultés et coûts considérables lors de l'agencement d'appareils distincts, en particulier de l'électricité, l'air et l'eau ainsi que d'autres réseaux de transmission, de façon à ce qu'ils s'adaptent, dans le bâtiment, sans pour autant utiliser cet espace qui peut être utilisé à d'autres fins.
Afin d'éliminer les difficultés citées ci-dessus, il a été développé des solutions particulières ; la plus usuelle d'entre elles est ce que l'on appelle un plafond suspendu, c'est-à-dire un plafond supplémentaire de construction légère, qui est construit en dessous du plancher intermédiaire et auquel peuvent être installés de nombreux appareils distincts et dans l'espace supérieur duquel peuvent être amenés, dans le local, des raccordements de différents réseaux de transmission. Le plafond suspendu est un ensemble constitutif séparé ayant son propre système porteur. Comme solution supplémentaire, il est utilisé, dans des zones proches de fenêtres, une goulotte électrique sous la fenêtre ou un appui de fenêtre au cas où il y a une fonction de chauffage et/ou de refroidissement.
Comme les moyens techniques se trouvent à cette hauteur, cela restreint l'utilisation de l'espace et provoque des coûts parce que les ouvertures de passage sur les parois doivent être munies d'une isolation contre le bruit.
Bien que les problèmes liés, par exemple, à l'utilisation de l'espace soient réglés par le plafond suspendu, on n'écarte pas pour autant le problème que, suivant l'espace à construire, il faut planifier séparément comment placer chaque appareil distinct et quel réseau de transmission et quel support l'appareil nécessite.
Ceci augmente les coûts, allonge le temps de construction, augmente le risque d'erreurs de planification, etc...
Il se produit à nouveau plus de problèmes lors du montage.
Généralement, le montage d'appareils et réseaux séparés provoque des coûts de montage considérables. Mais, des problèmes encore plus grands découlent du fait qu'en particulier, les réseaux de transmission doivent être montés dans un ordre déterminé de façon à ce qu'ils soient adaptés au bâtiment. Ceci conduit à des problèmes considérables d'organisation et de programmation. Afin d'adapter l'une à l'autre les différentes tâches, des réunions régulières sont organisées sur le chantier de construction ce qui accroît naturellement les coûts. Le plus souvent, il faut déterminer, ce qui est pratiquement impossible, les différents dispositifs à monter de la manière programmée et cela à comme conséquence des coûts supplémentaires.
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Des problèmes supplémentaires sont devenus plus graves ces derniers temps en raison de l'exigence de l'utilisation flexible de bâtiments. De nos jours, des entreprises ont renoncé dans une mesure croissante à construire pour leur propre usage. C'est pourquoi des bâtiments d'affaires et de fabrication passent actuellement de plus en plus souvent aux mains de sociétés immobilières qui louent des locaux à des entreprises. Il n'est plus possible de construire,, pour une utilisation durable pendant des dizaines d'années pour une entreprise déterminée ou même pour un emploi déterminé du bâtiment. En effet, ce dernier peut se modifier plusieurs fois pendant ce temps.
Bien que le bâtiment a été utilisé un temps assez long par la même entreprise, les fonctions des entreprises se modifient rapidement à présent, de sorte que l'utilisation des locaux construits peut être complètement autre après quelques années. Les appareils distincts montés fixement deviennent alors très problématiques. Il est assez usuel que le dispositif technique d'un bâtiment doive être complètement ou partiellement rénové à des intervalles de quelques années parce que l'utilisateur du bâtiment ou les activités de l'entreprise ont changé.
Il est également connu, suivant le brevet GB-546005, un système combiné d'air conditionné et de lumière dans lequel la lumière est produite par des lampes à décharges électriques, lesquelles emploient une bobine à inductance ou une résistance pour contrôler le flux de courant. Cette solution présente le désavantage de ne pas être aisément modulable et ne peut donc s'adapter à l'espace des locaux lorsque ceux-ci sont modifiés après quelques années d'usage.
Ces problèmes sont apparus le plus nettement en premier dans le domaine du traitement de données. Dans ce domaine, il a été développé en tant que solution ce que l'on appelle un plancher EDV qui est un plancher intermédiaire construit sur des supports séparés au-dessus du plancher effectif, et en dessous duquel il y a un espace où des conducteurs d'ordinateurs et d'autres appareils électriques peuvent être amenés. L'espace cité ci-dessus fonctionne également en tant que canal de ventilation et en tant qu'espace sur lequel peuvent être fixées des installations de climatisation et d'autres appareils nécessaire pour le travail, etc... Les planchers sont composés d'éléments et pour cette raison les volumes peuvent également être relativement aisément modifiés.
D'un autre côté, les coûts sont très élevés, l'utilisation de l'espace situé sous le plancher en tant que canal de ventilation provoque de graves problèmes d'hygiène et beaucoup de questions particulières, comme l'éclairage, ne sont pas résolues. Le plancher EDV a été construit également dans une certaine mesure, dans des bureaux conventionnels mais la solution n'est
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visiblement que peu utilisée jusqu'à présent, en raison des coûts élevés et des problèmes d'hygiène.
Ce qui est caractéristique des planchers EDV, du plafond suspendu, du banc et d'autres solutions de ce genre est également que les dispositifs et réseaux de transmission doivent être montés assez tôt, pendant que les travaux de construction sont encore en cours. Outre les problèmes décrits ci-dessus concernant les plans de temps et de travail, il y a également un grand risque que les appareils techniques soient encrassés et endommagés. En conséquence, il est usuel de réserver dans le programme de construction un temps déterminé pour les travaux de nettoyage et de réparation ultérieure. Naturellement, cela augmente les coûts et allonge le temps de construction.
Le nettoyage de l'endroit de travail avant son utilisation nécessite du temps et est peut-être même impossible dans le cas d'appareils techniques. Selon une alternative, les différents appareils sont protégés après le montage. Mais, comme les différents systèmes sont montés généralement à des moments différents, cette protection est chère.
Presque chaque appareil distinct est relié à ses propres problèmes. Par exemple, l'électricité consommée par des lampes est transmise sous forme de chaleur dans les volumes de locaux. En hiver, il y a alors l'inconvénient extraordinaire que les lampes produisent des écoulements d'air non contrôlables, l'avantage étant que les charges de chauffage diminuent. En été, le besoin de refroidissement augmente toutefois, le plus souvent encore dans des zones non souhaitées.
Afin de diminuer le besoin en rafraîchissement, il a été développé ce que l'on appelle des lampes à évacuation d'air pour lesquelles l'air d'évacuation est agencé pour s'écouler de l'une ou l'autre manière à travers la lampe, en absorbant la chaleur produite par la lampe ; l'air d'évacuation pouvant être retiré de cette manière des volumes à climatiser ; la force de rafraîchissement pouvant être diminuée et les appareils de rafraîchissement pouvant être réduits. Il est alors désavantageux que la chaleur produite par l'éclairage soit perdue pour la plus grande part pendant la période de chauffage bien que la ventilation ait été équipée d'un accumulateur de chaleur.
D'autres problèmes reliés à l'éclairage, comme l'agencement d'un éclairage indirect ou d'un éclairage localisé, n'ont pas été résolus dans ces appareils. Un problème général consiste en ce que l'appareil d'amenée d'air et celui d'évacuation d'air doivent être réglés l'un par rapport à l'autre de façon à ce qu'aucun courant d'air ne survienne dans la zone de séjour du volume à climatiser et qu'il n'y ait également aucun écoulement
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dit de court-circuit, ce qui signifie que ni en été ni en hiver l'air amené ne s'écoule directement dans la lampe à évacuation d'air, la ventilation ne fonctionnant pas.
La position peut être choisie dans la plupart des types de locaux de façon à ce qu'elle soit appropriée pour la ventilation mais alors l'éclairage est souvent réglé d'une manière non appropriée, et cela est défavorable pour l'utilisation flexible des volumes. La lampe à évacuation d'air est un exemple typique de comment la solution d'un problème particulier, sans la prise en considération d'autres appareils techniques, résout le problème concerné mais produit simultanément un nouveau problème ou des nouveaux problèmes.
Plusieurs autres tentatives ont également été mises en oeuvre afin de relier des fonctions techniques des locaux. Par exemple, le brevet finnois numéro 96 444 divulgue un dispositif avec lequel surtout des locaux de bureau peuvent être chauffés et rafraîchis. Dans cette publication, il est également allégué que des lampes pourraient être fixées au dispositif. Cette publication, cependant, n'explique pas comment cela est effectué dans la pratique, ni n'énumère les différentes formes d'éclairage, c'est-à-dire éclairage commun, localisé ou indirect. Il apparaît être possible de fixer des lampes communes déterminées au dispositif montré à la figure 1 de la publication mais l'agencement d'un éclairage localisé ou indirect apparaît être très difficile ou impossible.
En aucune manière ceci n'est traité dans la publication et même la liaison d'autres fonctions techniques au dispositif n'est pas proposée. L'idée de base est simplement d'utiliser les appareils suspendus communs aux lampes, aux appareils de chauffage et de rafraîchissement, et/ou d'équiper les appareils de chauffage/ rafraîchissement avec des points de fixation pour la suspension des lampes. Dans le cas du dispositif suivant la publication, la puissance d'éclairage parvient de manière non contrôlable dans le volume du local. Afin de contrôler l'écoulement d'air amené, celui-ci doit être augmenté et/ou sa température doit être abaissée, et cela augmente le risque de courant d'air dans les volumes à climatiser et/ou la consommation d'énergie.
Dans l'usage commun, il y a également ce que l'on appelle des convecteurs à induction et des convecteurs à ventilateur qui sont également utilisés surtout pour le chauffage et le rafraîchissement de locaux de bureaux. La plupart du temps ils sont montés sous les fenêtres mais il existe également sur le marché des modèles qui sont montés au plafond. Il a été proposé qu'également des lampes y soient fixées ce qui a été également fait dans la pratique.
Les lampes utilisées dans les solutions connues sont également des
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lampes communes. Ces solutions, ainsi que les poutres soufflantes citées ci-dessus, présentent le désavantage que la chaleur produite par les lampes arrive directement de manière non contrôlable dans le volume à climatiser./1 n'est pas non plus proposé ou expliqué qu'outre l'éclairage, d'autres fonctions techniques peuvent être reliées aux convecteurs.
On a relié également des fonctions techniques à d'autres dispositifs de locaux. Par exemple, dans des salles de concert ou des cinémas et dans d'autres locaux de réunion, les appareils d'apport d'air sont souvent raccordés à des sièges. Cela fixe naturellement les sièges à des places déterminées, ce qui limite l'utilisation à une solution unique pour des locaux déterminés. De la même manière, dans des locaux de bureaux, il y a des raccordements électriques, de transmission de données et d'éclairage sur des tables de travail ou sur des parois réglables utilisées dans des bureaux panoramiques. Le raccordement aux réseaux de transmission s'est avéré cependant comme étant très problématique. Dans la pratique, il lie fixement les endroits de travail à leur places et pour cette raison cette solution est très rarement utilisée de nos jours.
Toutes les solutions connues, pour lesquelles des fonctions techniques sont reliées à l'ameublement, ne peuvent relier qu'une fonction ou que quelques fonctions et ces fonctions qui ne sont pas reliées sont défavorisées de ce fait d'une certaine manière.
L'invention a pour but de réaliser un dispositif avec lequel les inconvénients de l'état connu de la technique peuvent être éliminés. Ceci est obtenu par le dispositif suivant l'invention. Le dispositif suivant l'invention est caractérisé en ce que l'ensemble d'appareils est équipé d'un ou de plusieurs ensembles de jonction afin de raccorder des appareils contenus dans le dispositif à des réseaux de ventilation, de chauffage, de rafraîchissement, de courant, de transmission et autres.
Dans le dispositif suivant l'invention, les appareils contenus dans le dispositif pour l'agencement de fonctions techniques se trouvent donc dans un ensemble de jonctions. Ces jonctions sont particulièrement faciles à moduler puisque, lors de la modification des locaux, les jonctions peuvent être démontées facilement pour être remontées de manière appropriée. La longueur des jonctions peut aussi être constante et le placement peut être obtenu par des éléments ajoutés ayant des longueurs standards. Par rapport à l'état connu de la technique, par exemple les avantages techniques et économiques suivants sont obtenus.
Tous les réseaux de transmission d'énergie souhaités et d'autres réseaux peuvent être raccordés à des pièces de raccordement standardisées dont la
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position et la grandeur sont déterminées exactement. En conséquence, la planification est plus simple et plus rapide, il y a beaucoup moins de transferts de données, et ainsi des problèmes reliés et également les coûts sont considérablement diminués. De plus, le temps de construction est raccourci. Tous les problèmes reliés à des fonctions techniques sont résolus ou peuvent être résolus aisément et rapidement. Dans différentes formes de réalisation de l'invention, les éclairages commun, localisé et indirect sont résolus à l'avance et leur fonctionnement est ou au moins peut être testé à l'avance.
Par rapport à l'état connu de la technique, les coûts et retards dans le temps provoqués par des erreurs de planification sont sensiblement réduits. L'unité centrale peut être montée en un temps assez court après les autres travaux de construction ou après les phases de construction qui provoquent de l'encrassement et des endommagements, le nettoyage ou la réparation ultérieure n'étant pas nécessaire et les coûts se réduisant et le temps de construction étant plus court. Les réseaux de transmission d'énergie sont toujours raccordés dans un ordre prédéterminé à l'unité centrale, et pour cette raison il n'est pas nécessaire d'adapter l'un à l'autre différents
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travaux de montage à chaque endroit de montage, et cela naturellement réduit les coûts et raccourcit le temps de construction.
Par les différentes formes de réalisation de l'invention, l'utilisation de locaux est très flexibles En principe, les endroits de travail ou autres choses sont agencés complètement librement dans les locaux et leur changement ultérieur ne provoque aucun travail ou coûts de modification dignes d'être mentionnés. L'hypothèse est naturellement un dimensionnement suffisant de l'appareil de sorte que la puissance suffise pour l'usage modifié. Dans différentes formes de réalisation de l'invention, l'admission non contrôlable de la puissance d'éclairage dans le volume du local en été est par exemple empêchée. La puissance d'éclairage peut cependant être utilisée dans une mesure complète en hiver pour le chauffage des locaux.
Par rapport aux solutions connues, cela limite les écoulements d'air et/ou diminue le besoin d'abaisser en été la température de l'air amené et cela affaiblit le courant d'air dans les locaux à climatiser et/ou diminue la consommation d'énergie de chauffage en hiver. Le dispositif suivant l'invention est également flexible du point de vue de ce que les fonctions techniques choisies peuvent être exécutées, le cas échéant, également d'une manière usuelle avec des appareils distincts ou même de façon à ce que la fonction soit présente dans l'unité centrale, et à côté de cela il y a une fonction, exécutée d'une manière usuelle avec des appareils distincts, qui peut être également construite ultérieurement le cas échéant.
D'autres détails et particularités de l'invention ressortiront des revendications secondaires et de la description des dessins qui sont annexés au présent mémoire et qui illustrent, à titre d'exemples non limitatifs, des formes de réalisation particulières du dispositif suivant l'invention.
La figure 1 montre un dispositif de chauffage/rafraîchissement suivant la publication finnoise 96 444, qui comporte un appareil suspendu commun comprenant des lampes, ou bien ce dispositif est équipé de points de suspension pour des lampes.
La figure 2 montre schématiquement le raccordement de fonctions techniques au dispositif suivant l'invention.
La figure 3 montre une forme de réalisation, représentée en coupe, du dispositif suivant l'invention.
La figure 4 montre une vue en plan de la forme de réalisation suivant la figure 3. B
Dans les différentes figures, les mêmes notations de référence désignent des éléments identiques ou analogues.
La figure 1 montre que des lampes 11 sont agencées entre des
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appareils de chauffage/rafraîchissement 1,2, 3,4. Les lampes représentées apparaissent être des lampes communes, semblables à des tubes lumineux, usuelles dans des locaux de bureaux. Dans les autres figures de la publication, aucune lampe n'est montrée et il ne serait pas possible de les relier aux formes de réalisation représentées par exemple dans les figures 3 et 4 de la publication. Sur base de la publication, on ne peut que déterminer pour cette raison ce qu'il y a dans la publication : comme une lampe est agencée en liaison avec les appareils de chauffage/ rafraîchissement, on ne tente que d'utiliser les mêmes appareils de suspension.
Dans les figures ou dans le texte de la publication finnoise 96 444, il n'est par exemple représenté aucun agencement avec lequel la chaleur produite par la lampe est empêchée de parvenir dans le volume du local et de toute façon tout le problème n'est pas cité une seule fois dans la publication. Par le dispositif, aucun des avantages cités ci-dessus, qui peut être obtenu par le dispositif suivant l'invention, n'est obtenu.
La figure 2 montre schématiquement un dispositif suivant l'invention et son raccordement à des réseaux d'énergie et autres d'un bâtiment. Dans le châssis 28 du dispositif, il y a un dispositif d'amenée d'air 21 qui est raccordé à des canaux d'amenée d'air 29, des lampes communes 22 et des lampes localisées 23 qui sont raccordées à un réseau électrique 20, des appareils de rafraîchissement et de chauffage 24,25 qui sont raccordés à un réseau de chauffage et/de rafraîchissement 30, des raccordements électriques 26 qui sont raccordés à un réseau électrique 20, et des raccordements de transmission de données 27 qui sont raccordées à des réseaux 31 de téléphonie, de EDV et autres de transmission de données. Le dispositif suivant la figure 2 n'est qu'un exemple à cet effet de comment l'invention peut être utilisée pour différentes applications.
Au lieu des/ou outre les appareils et réseaux cités ci-dessus, le dispositif peut présenter par exemple un raccordement à l'air comprimé ou des installations d'aspersion avec des réseaux correspondants. Le dispositif ne doit naturellement pas contenir tous les appareils et raccordements cités ci-dessus lorsque ceux-ci ne sont pas nécessaires dans le volume du local et/ou lorsqu'on veut réaliser une fonction ou quelques fonctions avec un appareil distinct pour n'importe quelle raison. Les dispositifs ont été placés dans un ordre déterminé mais l'ordre peut également être autre suivant l'application.
La figure 3 représente en coupe une forme de réalisation avantageuse de l'invention dans laquelle, pour des raisons de clarté, seuls les agencements pour de la ventilation, du chauffage, du rafraîchissement, de l'éclairage et de l'alimentation en courant sont montrés, bien que toutes les autres ou seulement quelques autres des
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fonctions mentionnées ci-dessus peuvent être naturellement reliées à cette forme de réalisation.
Le dispositif se compose des parties suivantes. Sur une surface de plafond 32 ou en-dessous de la surface de plafond, des plaques de fond 33,34, 35 sont fixées à l'aide d'appareils de suspension 36. Les plaques de fond 33,34, 35 peuvent être fabriquées le cas échéant à partir d'une plaque acoustique amortissant le bruit. Sur les appareils de suspension 36 il est également fixé un châssis 37 du dispositif, dans lequel il y a un canal d'amenée d'air 38 hors duquel l'air amené est soufflé dans le volume du local à travers des ajutages, un interstice, une grille ou un autre appareil d'amenée d'air connu en soi.
En-dessous du canal d'amenée d'air 38, il y a un corps 39 de chauffage et/ou de rafraîchissement ou aussi bien un corps de chauffage et un corps de rafraîchissement à travers lesquels l'air qui s'écoule hors de l'appareil d'amenée d'air tire l'air du local qui soit se refroidit soit se réchauffe suivant le besoin. Le corps 39 peut être complètement ou partiellement un radiateur, qui transmet de la chaleur par rayonnement, et/ou un élément de toit frigorifique. Sur les appareils de suspension 36 ou sur le châssis 37, il est fixé des lampes communes 40 qui peuvent être par exemple des tubes lumineux ou d'autres lampes communes connues en soi.
Sous les lampes 40 se trouve une plaque de plafond dont la construction peut être fabriquée complètement ou partiellement en un matériau perméable à l'air, par exemple elle peut être une plaque de plafond 41 en verre opale par lequel le volume du local est équipé d'un éclairage commun direct. La plaque de plafond 41 peut naturellement être constituée également d'une partie opaque à la lumière et d'une partie translucide qui se trouve sous les lampes 40, par exemple une grille. L'éclairage indirect est agencé avantageusement, dans l'application de la figure 3, de façon à ce que la surface inférieure 42 des plaques de fond 34,35 est réalisée en une surface qui réfléchit la lumière ; une tôle métallique polie, un revêtement réfléchissant la lumière ou autre chose est utilisé par exemple.
L'éclairage indirect peut naturellement également être réalisé avec des plaques de réflexion séparées placées et orientées de manière appropriée ou de façon à ce que les surfaces externes du châssis 37 soient fabriquées complètement ou partiellement en une matière qui réfléchit la lumière et que les orientations des surfaces soient choisies de manière appropriée, et/ou que la plaque de plafond 41 soit équipée de saillies appropriées, etc.... Il est cependant important qu'aucun dispositif ou agencement séparé soit nécessaire pour l'éclairage indirect.
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0 L'éclairage localisé est réalisé, dans l'application de la figure 3, par des lampes locales 43, sur le côté du dispositif, qui peuvent être déplacées jusqu'à une place souhaitée le
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long d'un rail d'éclairage 44 fixé à la plaque de fond 35. Dans l'application représentée à la figure 3, le rail d'éclairage 44 n'est agencé que sur l'autre côté du dispositif.
Naturellement, il peut également y avoir des rails sur les deux côtés ; ils peuvent également être orientés dans la direction transversale du dispositif ou être placés à chaque endroit quelconque dans la zone des plaques de fond 34,35 ou être fixés à la plaque de fond 41, etc.... Au lieu du rail d'éclairage 44, on peut par exemple utiliser un rail de fixation usuel et une prise ou des prises, des points de fixation séparés agencés sur le dispositif ou un quelconque point de fixation et d'alimentation en courant connu en soi pour des lampes locales.
Des conducteurs 45, qui peuvent être des conducteurs électriques ou des rails à courant, des câbles de transmission de données, des tubes d'air comprimé, etc...., sont fixés à des côtés transversaux du châssis 37. Ils sont équipés d'un nombre suffisant de prises placées à des distances appropriées, ou d'autres appareils d'alimentation, de sorte que les appareils puissent être raccordés dans le local à la place souhaitée. Les points d'alimentation peuvent également être réalisés de manière mobile ; ils sont fixés par exemple à des rails de fixation placés à des distances appropriées. Au lieu que les conducteurs 45 soient fixés aux côtés transversaux du châssis 37, ils peuvent également être fixés au fond du châssis 37, sur les plaques de fond 34,35, etc....
Le cas échéant, un canal d'entrée fermé peut être fabriqué sur le châssis 37 pour les conducteurs 45, entre les plaques de fond 33,34 et 35, ou un canal à câbles ou herse à câbles séparé, etc.... peut être raccordé au dispositif.
Par le dispositif décrit, on obtient tous les avantages qui ont été expliqués ci-dessus. En raison de ce qui est signalé, il devrait être clair comment par exemple les éclairages direct, indirect et localisé peuvent être agencés d'une manière aisée et efficace dans la même unité centrale, ce qui ne serait obtenu dans aucun dispositif connu. Les autres avantages devraient être clairs en raison de ce qui est signalé. Si cela est souhaité, le dispositif peut être monté et testé en usine sous la forme d'une construction en série et être amené dans une forme montée ou sous forme d'éléments jusqu'à l'endroit du montage, après que, les autres travaux de construction ont déjà été terminés, mis à sa place, raccordé aux réseaux du bâtiment et mis en service.
Le temps de montage est raccourci à une fraction du temps de montage usuel, les coûts se réduisent sensiblement, les possibilités de pannes disparaissent parce que le dispositif peut être testé et commandé à l'avance, il n'y a pratiquement aucun endommagement et aucune nécessité de nettoyage, etc....
Grâce au dispositif la partie prépondérante de la puissance électrique de
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l'éclairage peut être empêchée d'aboutir dans le local pendant la période de rafraîchissement mais malgré cela, la puissance électrique peut être utilisée pendant la période de chauffage. Cela est réalisé de la façon suivante par la coopération de l'éclairage et de la ventilation.
Les sens d'écoulement de l'air sont indiquées par des flèches à la figure 3. L'air amené s'écoule du canal d'amenée d'air 38 par des ajutages, un interstice 46, etc.... dans le châssis 37 et de là, à travers les interstices 47, dans le volume du local.
L'air qui s'écoule des ajutages 46 avec assez grande vitesse entraîne de l'air du local par induction à travers les corps de rafraîchissement eVou de chauffage 39, l'air se réchauffant ou se refroidissant selon le besoin. Le principe est connu en soi et est utilisé communément dans ce que l'on appelle des poudres soufflantes.
L'air s'écoule le long d'un rétrécissement 48, entre la plaque de plafond 41 et le châssis 37, jusqu'aux corps de rafraîchissement eVou de chauffage. Suivant la figure 3, ce rétrécissement est équipé également de lampes 40 et l'air qui s'écoule le long d'elles les refroidit et se fixe la chaleur produite par les lampes, l'air se réchauffant également à une température qui est supérieure à la température du local. Avant qu'il ne parvienne dans le volume du local, il est cependant refroidi ou réchauffé dans le corps de rafraîchissement/chauffage 39 à une température qui convient. Ainsi, la chaleur produite par les lampes 40 ne peut pas parvenir dans le volume du local pendant le rafraîchissement.
En conséquence, la température de l'air insufflé ne doit pas être abaissée eVou l'écoulement d'air n'a pas besoin d'être renforcé en raison de la chaleur produite par les lampes. Par exemple, à l'opposé de lampes à évacuation d'air, la chaleur peut être utilisée pendant le chauffage. Les lampes ou au moins quelques unes des lampes peuvent naturellement également être adaptées à l'écoulement d'air qui s'écoule de l'appareil de chauffage eVou de rafraîchissement.
Il est également absolument possible d'agencer les lampes dans un boîtier qui est raccordé à un canal d'évacuation d'air lors du rafraîchissement, le besoin en action de refroidissement se réduisant également. Alors que le boîtier peut être réalisé de manière amovible eVou de façon à ce qu'il puisse être ouvert, pendant la période de chauffe on peut amener l'écoulement d'air à travers les lampes et l'écoulement d'air à évacuer le long de celles-ci, la chaleur de l'éclairage pouvant être utilisée pendant la période de chauffe. Cela provoque cependant des coûts considérables et pour cette raison ce principe ne peut pratiquement qu'être utilisé dans des cas particuliers.
La figure 4 montre une vue en plan de la forme de réalisation suivant la
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figure 3. De mêmes éléments des figures 3 et 4 sont pourvus des mêmes numéros de référence. La figure 4 montre également un module automatique 49 qui présente le chauffage et le rafraîchissement ainsi que des appareils de commande pour de l'éclairage, des détecteurs de présence, etc.... De plus, la figure 4 montre un appareil d'évacuation d'air 50 qui peut être placé à chaque endroit quelconque dans le dispositif, mais cependant de façon à ce que, alors que le dispositif est utilisé, il ne se produise pas ce que l'on appelle un écoulement de court-circuit, c'est-à-dire un écoulement d'air amené directement jusqu'à l'appareil d'évacuation d'air.
Le module automatique 49 et l'appareil d'évacuation d'air 50 se trouvent dans un ensemble de jonction 51 dont la longueur peut être modifiée, le dispositif pouvant être placé dans le volume du local en une place qui convient. Dans quelques autres applications, la longueur de l'ensemble de jonction 51 est constante et le placement qui convient, dans le volume du local, est obtenu par des éléments ajoutés qu'il y a dans quelques longueurs standards. La dernière application citée est particulièrement avantageuse lorsque l'emploi prévu du local se modifie probablement, parce que le placement du dispositif peut être modifié de manière flexible par l'adjonction ou la suppression d'éléments ajoutés afin de correspondre à l'utilisation modifiée du local.
La figure 4 montre également des boîtes de raccordement 52 pour des raccordements électriques, de télécommunication et autres. Les boîtes de raccordement 52 peuvent naturellement également être installées à un endroit quelconque du dispositif mais également sur l'ensemble de jonction 51 ou sur ses éléments ajoutés.
Dans les applications décrites, tous les raccordements aux réseaux du bâtiment sont exécutés sur un côté du dispositif. Il est naturellement possible, et souvent avantageux pour l'utilisation du local, d'équiper le dispositif de deux ou plusieurs ensembles de jonction qui peuvent être agencés par exemple sur d'autres côtés, opposés, du dispositif. D'une même manière, dans les applications décrites les boîtes de raccordement électriques et autres sont agencées dans le dispositif au voisinage du plafond du local./1 est souvent avantageux d'équiper le dispositif avec une tige, un boîtier, un tube télescopique, ou autre chose par le ou lesquels les raccordements électriques, de télécommunications et autres peuvent être amenés vers le bas, sur le plan de travail ou à son voisinage.
Au cas où ladite tige, ou autre chose, est fabriquée en une matière flexible ou est équipée d'articulations, les raccordements peuvent également être amenés horizontalement à l'endroit souhaité. Dans les applications décrites, le dispositif est suspendu au plafond du local. Alors que les tiges citées ci-dessus ou d'autres choses sont utilisées, il peut également être supporté par
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le plancher ou même par le mobilier du local.
Les exemples de réalisation ci-dessus ne sont en aucune manière prévus pour limiter l'invention mais l'invention peut être modifiée complètement librement dans le cadre des revendications. En conséquence, il est clair que, par exemple, les composants contenus dans le dispositif, leurs placement et utilisation ainsi que la grandeur et la forme du dispositif peuvent être librement modifiés suivant le besoin.