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"Un procédé de développement d'épreuves photographiques" La présente invention concerne un procédé de développement d'épreuves photographiques permettant en général aux photographes et aux détaillants de traiter les films afin de développer les photographies qui en résultent.
En règle générale, de nombreux travaux ont été réalisés en matière de développement des équipements de laboratoires de tirage d'épreuves photographiques à vitesse rapide. La plupart de ces équipements sont utilisés pour fournir un service ultra rapide et peu coûteux aux détaillants. Dans de nombreux cas, le service est offert par des dépositaires de journaux et des pharmaciens.
Pour des développements d'épreuves photographiques plus spécialisés, différents éléments d'équipement tels que des agrandisseurs photographiques décrits dans les descriptions de brevets PCT n WO 86/02176 et WO 86/02175 ont été développés.
En outre, la description du brevet britannique n GB 2 253 319 décrit une machine d'impression photographique utilisant un petit espace d'affichage pour la comparaison avec la coloration d'une image de référence et la réalisation des ajustages nécessaires.
En conséquence, alors que d'importants développements ont été réalisés au niveau des éléments individuels de l'équipement utilisé lors du traitement d'épreuves photographiques, il est nécessaire de développer un procédé amélioré dans le cadre duquel un équipement adéquat peut être utilisé de manière à fournir des photographies de très bonne qualité tout en maintenant un rendement de haut niveau, particulièrement par l'utilisation de personnel qualifié. Un des objectifs décrits est de prévoir une meilleure utilisation du personnel qualifié en examen visuel de telle sorte que la qualité requise peut être maintenue tout en augmentant le rendement.
Conformément à la présente invention, il est prévu un procédé de développement
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d'épreuves photographiques comprenant les étapes de : - groupement sous une fiche d'un ensemble de films associés ayant un identificateur unique et application sur chaque film d'une étiquette mentionnant l'identificateur ; - formation de séries de films du même type sur des étagères servant de support ; - traitement alternatif de chaque série de films par immersion dans les bains de développement, de blanchiment, de lavage, de fixation et de stabilisation suivis par le séchage ; - après le traitement du film, établissement d'une corrélation entre les négatifs et les fiches associées en fonction des étiquettes appliquées sur des films ; - insertion des bandes de négatifs ;
- étalonnage d'un analyseur vidéo à intervalles réguliers par : - génération d'un affichage de référence d'une photographie et prélevée d'échantillons de couleurs séparées des données de référence enregistrées électroniquement ; et - application d'un négatif de référence correspondant à l'affichage de référence à l'analyseur vidéo et ajustage de l'intensité lumineuse et des poses de la balance de couleurs afin de compenser les variations des composants de l'analyseur vidéo ;
- génération d'un affichage alternatif pour chaque négatif associé à une fiche
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sur l'analyseur vidéo, entrée des numéros des négatifs et des extraits, examen visuel de l'affichage, entrée des données de densité et de balance des couleurs, commande de l'impression desdites données vers une commande de l'imprimante ; - groupement de la fiche, des négatifs associés et de la copie papier ; - entrée des données concernant la quantité à imprimer, les dimensions et le nombre de fiches telles qu'elles sont représentées sur la fiche dans la commande de l'imprimante ; - masquage et exposition de chaque négatif alternativement sur une interface d'imprimante ; - impression des photographies ; et - réalisation d'un examen visuel final.
Selon une forme de réalisation de l'invention, la machine d'impression est contrôlée de manière régulière par : - masquage et exposition d'un négatif de référence présentant des aires de couleurs séparées ; - impression de la photographie ; - application d'un densitomètre sur une aire de couleur sélectionnée ; et - entrée sur l'interface de la machine d'impression des ajustages de densité et de balance des couleurs.
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De préférence, le négatif de référence est le même que celui utilisé pour la vérification de l'analyseur vidéo.
Idéalement, la machine d'impression est vérifiée après chaque série de photographies de dimensions particulières, ladite série comprenant l'impression des photographies pour les négatifs associés à plusieurs fiches.
Selon une autre forme de réalisation de l'invention, une imprimante d'épreuve est sélectionnée sur l'interface de la commande d'imprimante à l'endroit où les épreuves sont initialement requises, ladite imprimante étant présélectionnée pour l'impression de photographies de dimensions relativement petites.
Selon une autre forme de réalisation de l'invention, le procédé comprend également les étapes de : - examen visuel des épreuves imprimées ; - entrée sur la commande de l'imprimante de données de densité et de balance des couleurs pour toutes les épreuves ne satisfaisant pas aux exigences de qualité ; - insertion des épreuves dans une enveloppe mentionnant les indices préimprimés afin de faciliter l'entrée des données relatives à la quantité et à la dimension finales désirées pour les négatifs ;
et - réception de l'enveloppe mentionnant les données, entrée des données sur la commande de l'imprimante et commande de l'impression des photographies finales conformément aux données indiquées relatives aux dimensions et à la quantité ainsi qu'à l'ajustage de la densité et de la balance des couleurs, ces dernières données étant introduites après l'examen visuel des épreuves.
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De préférence, les données introduites après l'examen visuel des épreuves retranscrivent les données d'origine transmises par l'analyseur vidéo.
L'invention sera mieux comprise à partir de la description suivante donnée à titre d'exemple et faisant uniquement référence aux dessins annexés qui représentent respectivement :
Fig. 1 : un organigramme illustrant les étapes initiales d'un procédé de développement d'épreuves photographiques conforme à l'invention ;
Fig. 2 : un schéma illustrant une partie de l'appareil utilisé par ce procédé ;
Figs. 3 et 4 : des organigrammes illustrant d'autres étapes du procédé ; et
Fig. 5 : un organigramme combiné au schéma de l'appareil et illustrant une autre partie du procédé conforme à l'invention.
Si l'on se réfère aux dessins, ceux-ci représentent un procédé de développement d'épreuves photographiques conforme à l'invention désigné généralement par le numéro de référence 1. L'étape initiale du procédé 1 est désignée généralement par le numéro de référence 2 et comprend le traitement du film. Initialement, lorsque un ordre est reçu, les instructions sont inscrites sur une fiche préimprimée comprenant un numéro de fiche unique associé à la tâche. Le film devant être traité est joint à la fiche. A l'étape 3, une étiquette mentionnant le numéro de film unique est appliquée sur l'extrait et sur chacun des éléments du film associés à la fiche. n s'agit ici d'un aspect important du procédé dans la mesure où il permet d'assurer une corrélation correcte des films pour une tâche particulière.
A l'étape 4, le film est monté sur un râtelier utilisé dans un appareil de traitement de films. Les films soumis
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à différentes tâches sont disposés sur un râtelier jusqu'à ce qu'une série d'un type particulier de films soit complète, comme l'indique l'étape de décision 5. A cette étape, la série de films est traitée par immersion dans une séquence de bains dans une chambre noire. La séquence comprend les bains de développement, de blanchiment, de lavage, de fixation et de stabilisation. L'étape de stabilisation est suivie par l'étape de séchage. Cette séquence du procédé est réalisée par une machine automatique qui plonge la série de films dans des bains mis en séquence, ce pendant une durée prédéterminée.
Dans la pratique, cette opération est réalisée par l'utilisation de larges bains dans lesquels les films sont plongés pendant une durée plus longue, la série de films trempant simplement dans le même bain à un endroit plus reculé le long de la ligne de transport. Lorsque les négatifs développés sont secs, ils sont mis en corrélation avec les fiches à l'étape 7 utilisant le même numéro d'étiquette qu'à l'étape 3, et à l'étape 8 les étiquettes sont appliquées sur les négatifs afin d'identifier ceux-ci immédiatement avant leur déplacement hors de la machine de traitement. Les négatifs correspondant à une fonction particulière sont à nouveau regroupés avec la fiche associée et sont conservés dans une enveloppe. Les négatifs sont protégés à l'étape 9 dans une longue gaine qui évite un découpage nécessaire à cette étape.
Si l'on se réfère maintenant à la fig. 2, celle-ci représente le tracé de l'appareil utilisé au cours du reste du procédé et désigné par le numéro de référence 15. L'appareil comprend un analyseur vidéo 16 muni d'une source de lumière 17 qui éclaire un négatif. H comprend également une unité de disques 18 et un écran cathodique 19.
L'analyseur 16 est commandé par un appareil de commande 20 connecté à d'autres éléments de l'équipement, comme le montre l'illustration. L'étalonnage de l'analyseur vidéo est réalisé tel que décrit ci-dessous à l'aide d'un négatif de référence 21, le même négatif étant également employé pour l'étalonnage d'autres éléments de l'équipement. L'appareil 1 comprend également un groupe d'imprimantes A, B, C, P, D et E. L'imprimante P est une imprimante d'épreuve spécialement adaptée à l'impression de petites photographies dont les dimensions atteignent plus ou moins
87mm X 62mm. Les autres imprimantes sont destinées à l'impression de
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photographies de différentes dimensions, l'imprimante E étant spécialement adaptée aux agrandissements.
Les imprimantes sont commandées par une commande d'imprimante 25 connectée à une base de données de mémorisation 26.
Si l'on se réfère maintenant aux figs. 3 et 4, celles-ci représentent les étapes du procédé utilisant l'appareil montré à la fig. 2. Initialement, l'analyseur vidéo 16 est étalonné lorsque un délai prend lieu après la mise en circuit à l'étape 31. Un disque de référence est inséré dans l'unité de disques 18 et l'appareil de commande dirige l'affichage d'un écran de référence en fonction des données vidéo enregistrées sur le disque. Ces données correspondent directement aux images du négatif de référence 21. Ce négatif est inséré sous la source de lumière 17 à l'étape 33. L'image obtenue est affichée sur l'écran 19 contre l'écran de référence généré par le disque de référence. Idéalement, les deux images devraient apparaître exactement de manière identique sur l'écran 19.
Toutefois, des variations occasionnelles de l'intensité de lumière et de la manière selon laquelle les pixels de l'écran sont contrôlés peuvent entraîner des variations et celles-ci seront perçues par une personne qualifiée lors de la comparaison des deux images par superposition. Un aspect important de cet étalonnage concerne le fait que le négatif de référence 21 et les données vidéo correspondantes inscrites sur le disque comprend à la fois une image et un groupe d'échantillons de couleurs individuels. Cela permet de comparer les images afin de simuler la situation réelle ainsi que les couleurs individuelles.
Aux endroits où l'examen visuel révèle des différences entre les deux écrans, l'intensité de lumière et la balance des couleurs de l'analyseur vidéo 16 sont réglées à l'étape 34. ces ajustages sont mémorisés à l'étape 35 sur un disque de l'unité de disques 18.
Après l'étalonnage, le premier négatif traité est inséré sous la lampe 17 à l'étape 36, et à l'étape 37, le numéro de l'étiquette (fonction) correspondante et le numéro de la séquence de négatif sont encodés dans l'analyseur vidéo 16. Le dispositif de commande 20 ajuste l'image sur l'écran au niveau de la couleur et de la densité pendant l'ajustage par l'opérateur. n s'agit d'une fonction très spécialisée qui requiert
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un degré élevé d'expérience. Très souvent, il ne se produit que de faibles déviations par rapport à la nonne en raison des conditions sous lesquelles la photographie a été prise.
La fonction de l'étape 38 est d'introduire les données concernant la densité de couleur et la balance des couleurs pour le négatif particulier afin d'entraîner l'impression des négatifs de telle manière que toute déviation par rapport à la norme standard requise soit compensée. Par exemple, si la photographie était sous-exposée, les données concernant la densité reflèteraient le fait que l'imprimante destinée à imprimer la photographie exposerait le négatif pendant un temps relativement plus court que la normale. Une autre étape importante est l'étape 39 où les données de densité et de balance des couleurs sont imprimées sur une copie papier simple comprenant les données imprimées relatives à tous les négatifs pour la tâche particulière.
Ces données sont également affichées sur l'analyseur vidéo et sont transmises au dispositif de commande d'imprimante 25. Celui-ci transcrit automatiquement les données sur un fichier qui a été ouvert préalablement pour la fonction particulière. Le fichier est uniquement adressé par le numéro de l'étiquette du film.
A l'étape 40, la copie papier ou impression est associée à la fiche et aux négatifs se trouvant dans l'enveloppe, et à l'étape 41, la gaine contenant les négatifs est divisée en sections sans devoir enlever les négatifs. Lors d'un tel découpage des négatifs, leur traitement est réduit, assurant ainsi la qualité du produit.
L'analyseur vidéo 16 est utilisé comme indiqué aux étapes 36 à 41 jusqu'à ce que le temps correspondant au temps d'étalonnage soit écoulé et que les étapes d'étalonnage 31 à 35 doivent être répétées. Cette phase est désignée par l'étape de décision 42. Cette étape indique le fonctionnement complet de l'appareil alors que le fonctionnement du procédé principal de l'étape 41 à 45 correspond à la fonction individuelle comprenant la fiche et les négatifs associés venant d'être traités.
Les étapes 46 à 49 concernent l'étalonnage d'une imprimante A, B, C, D, E ou P. A
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l'étape 46, le négatif de référence 21 est masqué et exposé. Un aspect important de cette étape concerne le fait que le même négatif de référence que celui employé pour l'analyseur vidéo, est utilisé, et concerne également le fait que le négatif de référence inclut à la fois une image et des couleurs d'échantillonnage. Le négatif est imprimé à l'étape 47 lors de l'étalonnage de l'imprimante et à l'étape 48 l'épreuve est appliquée sur un densitomètre qui fournit un affichage des données de densité et de balance des couleurs pour un échantillon de couleur particulier, dans ce cas gris, de la photographie de référence imprimée.
Ces données sont comparées avec les ajustages requis et chaque déviation a pour résultat des ajustages réalisés sur l'imprimante à l'étape 49.
A l'étape 50, les négatifs devant être traités sont masqués et exposés puis sont imprimés à l'étape 51 sur l'imprimante correspondante. Ces étapes comprennent la transmission des données d'analyse provenant de l'analyseur vidéo ainsi que la transmission des données relatives aux dimensions et à la quantité, ces données étant introduites directement sur le dispositif de commande de l'imprimante à l'étape 45.
Les étapes d'étalonnage 46 à 49 peuvent être répétées comme l'indique l'étape de décision 52 après une période présélectionnée. H se produit ensuite un examen visuel à l'étape 53 ainsi qu'une vérification finale de la qualité.
On a découvert que lors d'un tel étalonnage de l'analyseur vidéo et des imprimantes de très bons résultats sont obtenus, de même que un second traîtement et les inefficacités qui en résultent sont totalement évités.
Un autre aspect important de la méthode décrité par l'invention concerne la manière selon laquelle les épreuves peuvent initialement être envoyées au client pour lui permettre de prendre une décision au niveau des exigences à suivre pour toutes les photographies. Jusqu'ici, cette étape a conduit à une quantité considérable de traitements supplémentaires pouvant réduire l'efficacité, en particulier en terme de
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temps nécessaire aux opérateurs spécialisés tels que ceux qui éxecutent l'examen visuel sur l'analyseur vidéo. La manière selon laquelle les épreuves sont traitées est illustrée à la fig. 5. Sur cette figure, des éléments semblables à ceux décrits en référence aux dessins précédents sont désignés par les mêmes numéros de référence.
En réalité, un très grand nombre d'étapes du procédé sont semblables et cela explique comment les épreuves et les photographies finales sont traitées par une très petite répétition des étapes du procédé. Cette partie de la méthode est généralement désignée par le numéro 60. L'étape 39 est réalisée alors que les négatifs sont analysés sur l'analyseur vidéo 16 permettant aux données d'analyse de densité et de balance des couleurs d'être transmises à un dispositif de commande d'imprimante 25 comme auparavant. De même, à l'étape 45, le numéro d'étiquette du film, les données concernant les dimensions et la quantité correspondant à la fonction sont encodées via le clavier directement sur le dispoitif de commande de l'imprimante 25.
Les deux groupes de données sont transcrits sur le même enregistrement de fonction que celui identifié par le numéro d'étiquette du film. Ces données sont enregistrées dans la base de données 26 et sont récupérées par la commande 25 afin de générer une première instruction de commande d'impression aux étapes 50 et 51. Cette instruction est transmise à l'imprimante P. Ces étapes comprennent bien entendu également le masquage et l'exposition des négatifs correspondants sur l'imprimante d'épreuve P.
Les étapes précédentes sont donc identiques aux étapes conventionnelles déjà décrites. Les épreuves 61 sont imprimées par l'imprimante P et l'examen visuel indiqué par l'étape précédente 53 est réalisé. Toutefois, l'examen visuel est relativement détaillé et est réalisé par un opérateur qualifié pour pouvoir détreminer les données révisées de balance et de densité des couleurs. On appréciera la fait que ces données peuvent permettre une impression de photographies de très bonne qualité vu qu'elles sont le résultat d'une analyse initiale utilisant l'analyseur 16 et l'examen visuel subséquent de la véritable photographie. Les données sont introduites sur l'enregistrement correspondant encodé dans la base de données 26 et retranscrivent les données relatives aux couleurs d'origine, comme l'indique l'étape 62.
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A l'étape 63, les épreuves sont expédiées au client avec les négatifs. Les négatifs sont insérés dans une enveloppe qui est préimprimée pour permettre au client d'inscrire les instructions finales comprenant les dimensions de la photographie et les quantités nécessaires. A l'étape 64, ces données sont reçues et à l'étape 65, elles sont simplement encodées, conformément à une procédure standard, dans le dispositif de commande 25, à l'endroit correspondant au fichier concerné de la base de données 26. Le dispositif de commande d'imprimante 25 génère alors automatiquement des signaux de commande d'impression utilisant des données d'analyse introduites à l'étape 62 ainsi que les données relatives à la quantité et aux dimensions introduites à l'étape 65 pour l'impression des photographies finales 66 sur l'imprimante A.
On appréciera donc le fait que une quantité extrêmement élevée est obtenue et que un service très utile est rendu au client sans entraîner aucune perte significative d'efficacité. Il n'est pas nécessaire d'opérer une analyse vidéo des négatifs après qu'ils aient été renvoyés par le client et ces étapes nécessitant beaucoup de temps sont évitées. Les données relatives à la couleur qui sont encodées à l'étape 62 permettent d'obtenir une très bonne qualité de la photographie finale et un grand avantage concerne le fait que cette opération ne nécessite pas d'analyse complémentaire une fois que les instructions sont retournées par le client.
Un autre avantage considérable concerne le fait que les photographies peuvent être imprimées très rapidement par simple encodage des données sur le dispositif de commande et par contrôle de l'imprimante destinée à imprimer les photographies 66.
On appréciera le fait que la présente invention fournit une méthode extrêmement souple vu qu'elle peut traiter de petites unités de manière efficace. En outre, la méthode fournit des photographies fmales de très grande qualité et les pertes d'efficacité encourues lorsque les épreuves sont envoyées initialement au client sont très petites.
La présente invention ne se limite pas aux formes de réalisation décrites ci-dessus qui peuvent varier dans leur construction et leurs détails.