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Pot à yaourt.
L'invention se rapporte à un pot bu yaourt, obtenu par moulage d'une matière thermoplastique en feuille, constitue par un corps creux ouvert vers le haut, muni dans sa partie supérieure d'un gradin qui est relié à un bord plan par au moins un segment de paroi qui diverge vers le haut, et par un couvercle de fermeture qui peut entre scellé sur ledit bord plan par le soudage d'un disque de pellicule métallique.
Les pots de ce type sont remplis de yaourt chaud par des machines qui procèdent, dans un temps bref, a la pose des couvercles, au scellement du conditionnement par soudage d'un disque de pellicule métallique, de sorte qu'il se crée une dépression à l'interieur du pot lorsque le yaourt se refroidit. Cet inconvenient donne facilement lieu a des écrasements de la paroi latérale du pot dans le sens radial, en entrainant des dommages pour le conditionnement, par exemple lorsqu'il ast entassé en vrac avec d'autres produits.
En outre, il se produit fréquement que, lors de l'ouverture du conditionnement, par enlèvement de la pellicule métallique, une partie du contenu se trouve sur la partie exterieure du couvercle.
Un autre inconvénient se manifeste pendant 11usage réitéré du pot après llenlèvement de la pellicule métallique puisque, dans une position horizontale ou fortement inclinée, elle laisse le contenu s'échapper.
Le but de l'invention est d'éliminer cet inconvénient et elle a été résolue, par le fait que, entre les segments de paroi qui relient ledit gradin au bord plan, au moins un segment de paroi est sensiblement cylindrique,
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avec un diamètre intérieur inferieur au diamètre maximum extérieur du ceuverc1e, ledit couvercle possédant une paroi périphérique élastiquement déformable et compressible dans la direction radiale, grace a. au moins une gorge comprise entre ladite paroi périphérique et la poignée du couvercle.
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Les avantages apportés par l'invention sont constitués par la grande résistance de la paroi laterale du pot à l'écrasement dans la direction radiale et par la très bonne étanchéité obtenue entre le couvercle et le recipient.
D'autres avantages résident dans des formes par- ticulières de la poignée du couvercle, qui facilitent l'enlevement de ce dernier.
Divers modes de réalisation de l'invention seront & présent décrits uniquement à titre d'exemple, en regard des dessins annexes sur lesquels,
La figure 1 est une vue de face d'un pot et de son couvercle, en partie en coupe ;
La figure 2 est une coupe mediane verticale prise selon le plan 2-2 de la figure 1, d'une partie du pot muni de son couvercle, emboîté dans un pot sous-jacent ;
Les figures 3, 4 représentent un deuxième pot, dans
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des positions qui correspondent à celles des figures 1 et 2 ;
Les figures 5 et 6 représentent un troisième pot, dans les positions qui correspondent à celles des figures 1 et 2 ;
Les figures 7 et 8 représentent respectivement une coupe médiane verticale et une vue de dessus d'une
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variante de réalisation du couvercle ;
Les figures 9 et 10, analogues aux deux précédentes, illustrent une deuxième variante de la poignée du couvercle ;
Les figures 11 et 12 représentent des coupes médianes verticales de deux couvercles munis de poignées qui constituent deux variantes de la poigné représentée sur les figures 7 et 8.
En conservant présent a l'esprit que les figures sont dessinées a une échelle variable et que les mêmes références numériques désignent des parties identiques ou équivalentes, on remarque sur la figure 1 que le corps creux tronconique 7 du pot est fermé en bas par
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un fond circulaire 8 tandis qu'a. sa partie supérieure, il présente un gradin annulaire 9 formant une butée pour le couvercle 16. Ce gradin 9 est prolongé vers le haut, jusqu'au bord 11, plan et circulaire, par un segment de paroi sensiblement cylindrique 10 et par un segment de paroi tronconique 12.
Au niveau de l'intersection 26 entre les segments de paroi 10 et 12, on a formé à l'intérieur du pot (figure 2) des niches 13, possédant un fond 14 et une paroi 15 qui se rétrécit vers le haut, ces niches étant espacées les unes des autres.
Ainsi qu'on peut 10 voir en particulier sur la figure 2, lorsqu'on empile las récipients vides en les emboïtant l'un dans l'autre, les niches 73 de chaque pot s'appuient sur le bord 11 du pot sous-jacent, en empêchant que les pots ne s'encastrent l'un dans l'autre.
Ceci favorise 1'amenée mécanique individuelle des pots aux machines qui les remplissent de yaourt et procèdent à la mise en place des couvercles et au. scellement des conditionnements.
Pour la même raison, on a prévu des protuberances toriques 17 sur la partie centrale et périphérique de chaque couvercle 16.
La partie centrale du couvercle 16 est une poigne creuse sensiblement tronconique, possédant une paroi latérale 18 et une paroi terminale supérieure 19 qui fait saillie au-dessus du plan passant par le bord circulaire 11 du pot lorsque le couvercle est mis en place.
La partie périphérique du couvercle 16 est formée
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de deux parois 20 21 qui convergent vers la paroi ,. supérieure 22, laquelle, lorsque le couvercle est en place, se trouve au-dessus du plan qui passe par les bords 11 du pot. La paroi extérieure 20 est munie d'une nervure de renforcement 23 qui raidit cette paroi en coopération avec la protubérance torique 17. Le bord inferieur 24 de la paroi 20 possède un diametre exterieur
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plus grand que le diamètre Interieur de l'intersection , 26 entre les parois 10 et 12.
Entre la paroi exterieure 20 et la poignee 18,19 du couvercle sont compris deux gorges circulaires 40 et 50 qui ont en commun la paroi 21 et qui s'ouvrent, 1a première vers le bas et la deuxième vers le haut, celleei presentant un fond tronconique 25 qui converge vers le haut en direction de l'axe du couvercle.
Lorsqu'on a rempli le corps 7 de yaourt chaud, on emboite le couvercle 16 dans l'évasement du pot, constitué par le segment de paroi 12 (voir la position du couvercle qui est indiquee en tireté sur la figure 2) jusqu'a ce que le bord inférieur 24 de la paroi 20 entre en contact avec le segment de paroi 12 et qu'il soit comprimé radialement vers 1'intérieur par ce segment, au fur et raz masure qu'on fait descendre le couvercle et qu'on le contraint à s'emboîter dans le segment de paroi 10.
Pendant cette opération, l'air situé à l'intérieur du pot sort, sous l'effet de la compression exercée par cet air sur le couvercle 16, it travers les niehes 13, qui se comportent comme des events, jusqu'au moment où le bord 24 entre en contact avec l'arête arrondie des fonds 14 des niches 13. A partir de ce moment, et jusqu'au moment ou le bord 24 bute contre le gradin annulaire 9, il se creera une surpression à l'intérieur du pot.
La mise en place du couvercle 16 étant ainsi terminée, la machine scelle le conditionnement en soudant un disque de pellicule métallique, non représenté, sur la partie 19 de lapoignéedu couverele et sur le bord plan 11 du pot. Pendant cette opération, 1a pression exercée sur la partie f9 de la poignée du couverele fait prendre au fond 25 de la gorge 50 une position presque horizontale, qui exerce une compression radiale vers 1'extérieur sur la paroi 20. Par conséquent, ceci améliore'l'étanchéité entre le couvercle et le pot mais augmente en même
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temps la surpression interieur du pot.
I1 est évident que la surpression intérieure du pot peut être de nature k compenser la depression qui se créera lors du refroidissement du yaourt, puisque la paroi laterale du pot est particulièrement résistante aux écrasements radiaux.
Selon le besoin, il est possible de mouler des pots de façon à obtenir différenties surpressions intérieures) en augmentant ou en diminuant la distance entre le gradin 9 et le fond t4 des niches 13, ceci, par exemple, pour obtenir qu'il subsiste uns lagere surpression à
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l'intérieur du pot après la compensation de la dépression résultant du refroidissement du contenu.
Un autre effet consiste en ce que, après avoir ouvert. le conditionnement en enlevant le disque de pellicule métallique, il sera possible d'enlever le couvercle et de le remettre en place avec la certitude quill restera bien maintenu dans son logement, tneme si le pot prend des positions fortement inclinées ou même horizontales. Des essais pratiques ont en effet démontré que le pot peut même être retourné la tete en bas sans que le contenu ne puisse en sortir.
Le contenu du pot, la forme tronconique du corps 7 du pot, divergente vers le haut, et la forme tronconique du couvercle 16, convergente vers le haut ne sont pas limitatives de l'invention. Le fond 8 du pot peut gtre polygonal, par exemple AL angles arrondis et les parois laterales peuvent se terminer par un bord plan polygonal analogue au contour du fond, ou bien par un bord circulaire.
En se reportant aux figures 3 et 4, on remarque que les pots et couvercles illustrés sont'de type tr. onconique cotpme ceux representes sur les figures 1 et 2.
Le corps creux 7 est fermé en bas par un fond 8 tandis que, dans sa partie supérieure, 11 présente un gradin annulaire 9'qui, comme on le voit sur la figure 4,
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forme une entretoise pour maintenir l'espacement entre les conteneurs vides empiles. Le gradin 9 est raccorde au bord 11 par des segments de paroi de configurations variées. Le segment 28 présente une allure en contredépouille et, par pliage vers l'exterieur, il forme un rentrant annulaire 29 d'oü part un segment 32 de forme sensiblement cylindrique qui est : prolonge vers le haut par un segment tronconique 33.
Comme on le voit sur la figure 4, le rentrant 29 forme une butée pour le bord inférieur 30 de la paroi extérieure 31 du couvercle 16', paroi qui présente une génératrice rectiligne.
La mise en place du couvercle 16', lorsqu'on a rempli le pot de yaourt chaud, crée une surpression à lint6- rieur du pot, puisque le diamètre extérieur du bord 30 est plus grand que le diambtre intérieur de la paroi 32.
Egalement dans ce cas, de meme que dans celui qui a été décrit en regard des figures 1 et 2, la surpression servira à compenser la dépression qui se forme dans le pot lors du refroidissement du yaourt.
En se reportant aux figures 5 et 6, on remarque que le couvercle 16" diffbre de celui des figures 3 et 4 par quelques unes de ses parties tandis que le reste du pot est identique à celui des figures 3 et 4.
Dans la partie périphérique du couvercle 16", on remarque qu'une gorge circulaire 60 possédant un fond 34 et des parois coniques, qui divergent vers le haut, et dont l'une, la paroi conique extérieure 35 possède une hauteur presque double de celle de la paroi in-
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térieure 36, et se termine'vers l'exterieur par un petit rebord 37. La partie haute de la paroi 36 est raccordée it la poignée 18, 19 du couvercle 16" par une paroi tronconique 38 qui. converge vers le haut. Le diamètre extérieur de la partie inferieure de la paroi 35 est plus grand que le diamètre intérieur de la paroi 32, tandis que le diamètre maximum intérieur de l'eva- sement 33 est plus petit que le diamètre extérieur du
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rebord 37.
Il en résulte que, la mise en place du couvercle 1611 entrain des compressions radiaies de la paroi 35 laquelle établira une excellente étancheité val l'aide de sa partie inférieure et de son rebord 37, dans deux plans espaces l'un de l'autre.
La compensation de la dépression qui se crée ä l'intérieur du pot lors du refroidissement du produit s'effectue comme dans le cas du pot représenté sur les figures 3 et 4.
Toutefois, on doit conserver présent ä. l'esprit le fait que la forme tronconique, divergent-vers le haut, de la partie périphérique du couvercle 1611 facilite sensiblement la mise en place manuelle du couvercle.
Le couvercle et le pot des figures 5 et 6 découlent en fait du pot tel que celui des figures 1 et 2, dans lequel la paroi périphérique du couvercle présente une allure tronconique divergente vers le haut et dans lequel au moins la gorge annulaire qui est adjacente à cette paroi s'ouvre vers le haut.
Bien que ceci ne seit pas représenté sur les dessins, des nervures radiales de raidissement peuvent être for-
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mees sur le fond 25 de la gorge 50 et sur la paroi tronconique 38, respeotivement, des couvercles 16, 16' et 16".
H est evident que la paroi périphérique de chacun des couvercles 16, 16', 16f1, qui est élastiquement déformable, peut se comprimer radialement vers l'Inte- rieur et/ou vers l'extérieur, gräoe à une ou plusieurs gorges annulaires formées entre ladite paroi et la poignée centrale 18,19 du couvercle, ces gorges s'ouvrant vers le haut et/ou vers le bas du couvercle.
Sur les figures 7,8, 11, 12, on remarque que la poignée du couvercle 16 diffère de celle représentée sur la figure 1 en ce sens que la paroi latérale 18' de la poignée qui raccorde la partie terminale 19 au fond 25 de la gorge 50 est tronconique convergente vers le bas.
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Sur les figures 7 et 8, ladite paroi 18' est rac- cordée au fond 25 de la gorge 50 par un gradin annulaire 17', qui constitue le logement de pose du couvercle sur la partie terminale supérieure d'un couvercle qui peut lui être superpose.
Pour ouvrir un pot muni d'un couvercle ainsi forme, l'utilisateur saisit du bout des doigts la paroi latérale 18'de la poignee qui, en raison de sa conicité qui converge vers le bas, donne une prise sdre et permet d'exercer une traction axiale sur le couvercle, qui facilite 1'enlèvement de ce dernier. En saisissant le couvercle, l'utilisateur exerce en même temps une pression concentrique, dirigée vers l'axe du couvercle, dans la partie inferieure de la paroi 18'. De cette façon, la pression radiale de la paroi périphérique du couvercle vers l'exterieur est diminuée de sorte que l'enlèvement de ce couvercle est encore facilité.
Sur la figure 11, la paroi latérale tronconique 18'de la poignée est raccordée par un rentrant annulaire 17"a la partie terminale superieure de la poignee, ce rentrant constituant une portée de pose pour le fond 25 de la gorge 50 d'un couvercle que l'on superpose au premier.
Sur la figure 12, on remarque que la paroi latérale tronconique 18'de la poignée est munie aussi bien du gradin 17' indiqué sur la figure 7 que du rentrant annulaire 17" indiqué à la figure 11.
L'aptitude au fonctionnement des poignées des couvercles représentés sur les figures 11 et 12, en ce qui concerne l'enlèvement du couvercle mis en place sur le pot, est entièrement identique à celle décrite à propos du couvercle des figures 7 et 8.
Sur les figures 9 et 10, on remarque que la poignée (17"', 18", 18', 19') comprend une paroi terminale supérieure 19 délimitée par trois arcs de circonférence convexes vers l'extérieur, espacés par trois rentrants courbes, une paroi latérale constituée par trois secteurs
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18", qui sont tronconiques et divergents vers le bas, raccordés par trois encoches 18"'qui convergent vers l'axe du couvercle, lesdits secteurs et lesdites encoches, étant raccordés au fond 25 du couvercle 50 par un gradin annulaire 17"'.
Ce gradin 17"' forme la portée de pose du couvercle sur la partie terminale supérieure d'un couvercle identique qui peut lui être superposé.
Les encoches 181"favorisent la prise de la poignée par le bout du pouce, de l'index et du médius de la main d'un utilisateur et cette mesure permet à l'uti- lisateur de faire en outre décrire au couvercle monté sur un pot un mouvement de torsion autour de son axe, en facilitant encore l'enlèvement.
Bien que ceci ne soit pas représenté, il ressort de façon evidente que les poignees décrites en regard des figures 7 à 12 peuvent être aussi réalisées sur les couvercles 16'et 16" décrits précédemment sans que pour cela l'invention n'en soit altérée dans ses caractéristiquesfondamentales.