WO2012072890A1 - Optimisation des resonnances acoustiques des pianos - Google Patents

Abstract

Piano comportant des capsules en poudre de métal pour la correction acoustique des composantes sonores électromagnétiques. Le piano comporte aussi deux cadres indépendants pour éviter les interférences des tensions variables que présentent deux nappes de cordes reliées à un seul cadre.

Description

- OPTIMISATION DES RESONNANCES ACOUSTIQUES DES PIANOS - Les pianos ont une histoire dans le domaine de l'acoustique. Le piano est le maître de musique, l'instrument complet, l'élite, la référence. Avec les années, il subit des perfectionnements propres, mais le monde extérieur change et différents aspects des composantes sont touchés.

Les sonorités dans les années 90, sont altérées dans les concerts et la force du piano s'évanouit. Dans les derniers concerts, nous constatons des distorsions harmoniques et des pertes acoustiques notables. Cela se fait doucement, à travers les années et la noblesse acoustique se perd. Pierre Piccaluga avait été invité à corriger ces nouvelles faiblesses pour le philarmonique de Vienne, et autres orchestrations ou performances musicales en Europe, mais aussi pour assurer la dynamique sonore qui semble tomber, s'effeuiller au détriment de la technologié ambiante qui perturbe les conditions originales de l'acoustique. Nous avons d'ailleurs décrié et envié les acoustiques de l'époque de Stradivarius, période que les sciences ne pouvaient pas appréhender. Il s'agit d'une mémoire du patrimoine et de référence de la condition humaine que nous ne pouvons laisser détruire. Une mémoire du passé et de la prouesse musicale est notre propre sécurité, car la musique témoigne des conditions justes de nos perceptions et donne le ton et la dynamique de l'être. N'oublions pas Ansermet qui déclare que la musique structure notre intelligence, et les différents essais de Steinheimer sur l'organisation améliorée des structures biologiques. Les Russes déterminent une logique d'amplification de la pensée des ondes électromagnétiques à la modulation énergétique de la parole et du chant, et ce depuis longtemps. La musique est donc liée aux rayonnements électromagnétiques de la pensée, convertie par le système nerveux et musculaire en modulations de pressions acoustiques. Cela se confirme, ces dernières années, par les études des sciences cognitives et la science quantique, car la mémoire n'est pas dans notre corps. Les sciences usuelles ne connaissant pas ces conditions d'environnement et de dynamique vitale, des erreurs s'infiltrent et mettent les conditions de la vie partiellement en danger. Les altérations sonores nous avertissent de ces inconvénients que nous soulevons et corrigeons pour partie par la présente dépose de PCT. Le piano respecte la totalité du cycle depuis la pensée, jusqu'à fa puissance physique, c'est ce qui le rend unique et la référence. Les conditions se modifient dans notre culture sociale et notre environnement, interrompant partiellement le cycle et la liaison de vie qui est unie par cet instrument. Les conditions, elles sont de deux natures et ont, une incidence sur le comportement des résonnances musicales de l'instrument, que nous corrigeons par les principes que nous revendiquons.

Le plus important est l'altération de la propagation sonore dans l'air, et la deuxième altération touche la propagation sonore interne de l'instrument, de par son concept, pour ja frappe des notes à deux niveaux et de leurs libertés de résonnance mécanique. L'effet des frappes sur les cordes est actionné par une série d'articulation de bois et de feutres qui finissent par tenir et libérer les résonnances des cordes mises en vibration. Pour cela, une certaine tension, dans les articulations des pièces de bois est nécessaire. Cette dynamique tonique s'impose pour le jeu du virtuose et est obtenue par des masses de plomb imbriquées dans les pièces de bois, en certains points du jeu de la cinématique des pièces de la frappe des cordes. Ces masses participent aux chocs de la signature sonore et de la dynamique sonore. Intervient la magnétostriction qui participe à l'émission sonore. Le plomb est remplacé et la dynamique conjointement peut être optimisée dans son aspect tonique, par le remplacement des masses de plomb en lieu et place, par une masse de poudre de cuivre ou de fer ou d'un mélange de poudres extrêmement fines d'autres métaux ou de composants lourds comme la poudre de marbre. En effet, la dynamique des poudres et leurs résonnances sonores intrinsèques dans les chocs porteront et détermineront des tonalités plus dynamiques et précises, tout en permettant le jeu dynamique d'être conservé. Mieux des capsules fermées comportant ces métaux en poudre pourront apporter des dynamiques intéressantes supérieures à l'usage du plomb. Les composants dans la capsule peuvent être immergés dans de l'eau ou de l'huile apportant une douceur sonore, du fait de l'homogénéité ainsi apportée, avec une neutralité exemplaire. Ces capsules si elles sont en métal feront l'affaire mais en verre ou en cristal permettront de donner une brillance sonore qui se répercutera dans l'acoustique générale du piano. En effet, la présence d'un quartz naturel et de métal incrusté ou prisonnier dans la capsule apporte « une information de transcription électromagnétique active » dont le piano a besoin pour être plus proche de la condition humaine de la transposition sonore, de la transposition artistique. La perception électromagnétique dynamique, que procure un tel concept actif incorporé dans le piano au niveau du doigté est un grand plus pour la transmission sonore, alors que le plomb était une forme passive, voir contre nature de la dynamique voulue, mais sa masse était le premier objectif. Avec la connaissance de la condition humaine et en respectant les conditions dynamiques des massés, le concept quartz et métal répond aux modalités de résonnances mécaniques et physiologiques de l'information perçue. Nous pouvons même dire plus, la condition humaine percevant et venant d'un monde électromagnétique, la technologie eCRT, convertisseur en temps réel des électrons, rend compatibles, plus proches, les divers acteurs mécaniques au service de la condition humaine. Il est donc normal que les applications connues de la technologie eCRT prennent une position pratique dans les applications de la propagation sonore et de leur mise en action, que sont les instruments de musique.

L'instrument de musique, le premier outil légitime de l'expression de la vie, assure la transcription amplifiée, la continuité intime de la vie qui repose sur les principes mêmes de notre système nerveux. Cette intégration de procédé n'est que la continuité logique de notre propre nature, qui permettra à la virtuosité d'aller encore plus loin et plus facilement car légitimement intégrée à l'identique de notre fonctionnement. La deuxième partie est justement la correction d'un étouffoir au fonctionnement, qui s'oppose à la diffusion harmonique des composantes sonores. En effet, les composantes des radios télécom viennent interférer sur la qualité harmonique de propagation sonore que nous avons constatée dans les années 1990 et qui se généralisent partout dans nos habitations, notre environnement. Les appareils de transmission sonore comme les pianos agissant au travers de cordes tendues pour leurs harmoniques, se voient privés d'une de ces composantes fondamentales, l'émission des harmoniques par les ondes électromagnétiques de la magnétostriction associées aux déformations des cordes frappées. L'application des appareils eCRT remonte le niveau acoustique apportant une énergie perdue, qui relève le spectre sonore des informations électromagnétiques associées aux ondes sonores de pression. Ce principe répond à l'organisation du cerveau et du système nerveux. La nature du spectre des harmoniques est donc altérée artificiellement, inutilement par la présence des réseaux téléphoniques, ce constat a été fait en plusieurs circonstances, mais est devenu majeur, là ou la sécurité téléphonique pour les stars s'impose. La perte des harmoniques est devenue évidente. La présence aussi des appareils audio dans les salles vient également perturber l'acoustique naturelle. En effet, par résonance et par la présence des champs magnétiques des aimants des haut-parleurs, nous avons dans les salles des conditions altérant l'originalité acoustique. L'introduction des champs rémanents et des membranes mises en action vient perturber la transposition sonore. La correction de la technologie eCRT vient apporter une compensation naturelle d'énergie acoustique afin de réveiller les conditions naturelles initiales des pianos et des instruments de musique en général. En effet, la mise en vibration de la matière instrumentale entraine ipso-facto la mise ën résonnance des molécules des instruments et donc génère les harmoniques électromagnétiques associées. La technologie eCRT naturelle apporte avec vigueur cette compensation. Ces informations de nature électromagnétique sont porteuses de la cohérence sonore de l'instrument. Elles sont faussées du fait de la présence des téléphones portables et des réseaux télécom. La mise en place des appareils eCRT met en évidence diverses anomalies. L'appareil, ou les appareils -mis en place par l'homme de l'art, en un ou plusieurs points du tablier en fonte où sont tendues les cordes, permet d'accentuer les effets d'émissions électromagnétiques associés aux variations de pressions acoustiques de la vibration des cordes et de stabiliser les déformations. Cette correction eCRT a mis en évidence une anomalie de concept du tablier qui est stabilisé par l'eCRT. Cependant dans le concept mécanique et physique d'un tablier en fonte à cordes de nappes croisées, l'erreur de concept doit être corrigée pour un piano parfait suivant les lois de la physique vibratoire, dont les eCRT permettent l'harmonisation de réalisation. Une modification du tablier s'impose, car la mise en place de cordes croisées interférant l'une sur l'autre, déforme par les vibrations le tablier qui ne reste pas isoforme et apporte des dissonances, donc modifie la longueur des tensions des cordes de l'autre happe. Une nappé répond à la partie basse du spectre sonore, Grave, dont les touches sont sur l'extrême gauche du clavier, nappe du registre grave qui recouvre la nappe des notes du registre sonore médium-aigu. Cela entraine une distorsion dimensionnelle et donc des erreurs acoustiques des notes qui se trouvent désaccordées sur l'autre nappe des cordes croisées. En effet, le croisement engendre des distorsions entre les nappes de cordes, tenues sur la même structure de fonte, et par un aspect angulaire des tirants de forces, cela fragilise la stabilité dimensionnelle de la fonte. C'est comme sur les ponts, une fréquence engendre la déformation, qui modifie les tensions, et la justesse des notes dit « fausses notes ». La présente organisation est d'établir deux tabliers indépendants, superposés, distincts ce qui permet de ne pas avoir d'interférences des tensions variables entre les deux nappes. Les tabliers indépendants permettent la tension de chacune des nappes indépendantes. Une stabilité de forme par l'indépendance des nappes permet de donner une stabilité aux tabliers superposés pour chaque nappe de cordes qui reste stable pour vibrer correctement. Chaque tablier renforcé, compense les tensions mécaniques imposées, par chaque nappe, réalisé par l'homme de l'art. Plusieurs solutions de forme pour la rigidité s'imposent, suivant les épaisseurs ou la largeur. Les tabliers sont définis par les plans de chacune des nappes fixées indépendamment les unes des autres sur un tablier spécifique à chaque nappe avec une superposition des tabliers « cadres croisés » inférieur et supérieur, ne permettant aucune interférence mécanique de tension entre les nappes. L'ensemble des deux tabliers «cadres croisés » est comme le cadre simple en fonte, d'habitude fixe aux structures de la table d'harmonie et aux contreforts et pieds en bois par l'homme de l'art. Les cadres peuvent avoir des ergots pour le positionnement précis l'un par rapport à l'autre, afin qu'il y ait une stabilité de positionnement, car ils sont inévitablement encastrés l'un sur l'autre. En effet, ce montage indépendant, évite le transfert des efforts angulaires des croisées de la fonte, d'une nappe sur l'autre. Cette correction permet d'optimiser toutes les composantes sonores du piano insoupçonnées auparavant, dont les informations électromagnétiques mettent en évidence les anomalies. En effet, elles informent sur les déformations mécaniques ou les variations de tensions du cadre, qui par transposition des énergies de la magnétostriction par la mise en vibration des cordes, apportent des informations acoustiques précieuses. La découpe du tablier ne peut se faire qu'entre les deux nappes superposées horizontalement. On ne pourrait désolidariser que la partie arrière en renforçant « les deux têtes » indépendantes, en gardant commun la partie basse identique du côté du clavier. Un renforcement des croisées en fonte des cadres, s'impose par l'homme de l'art pour la tenue structurelle. Mais le mieux est d'avoir deux fontes indépendantes, imbriquées croisées, la réalisation étant plus complexe. Les trois corrections de nature acoustique des modes électromagnétiques et des modes mécaniques apportent à la manufacture des pianos une optimisation acoustique, une contribution actuelle apportant aux pianos les performances au plus haut niveau acoustique. Les deux techniques de corrections sont réalisées par l'homme de l'art, ce qui est alors en accord avec les évolutions techniques de notre civilisation, sans perdre l'exactitude de nos références passées.

Claims

REVENDICATIONS

-Procédé de correction acoustique de piano basée sur l'harmonisation des composantes sonores électromagnétiques, due à la magnétostriction qui permet de corriger et de modifier les masses de plomb pour la dynamique des articulations des pièces en bois pour les cordes frappées, par l'usage de quartz et de poudre de cuivre et/ou de métal et de liquide pour l'homogénéité du mélange.

2°-Procédé de correction acoustique selon la revendication 1 basée sur l'harmonisation des composantes sonores électromagnétiques, qui permet de corriger les anomalies du tablier en fonte où sont tendues les cordes, car une anomalie de concept crée des interférences, entre les nappes des notes fausses, anomalie corrigée par au moins une double tête de la fonte, indépendante réalisée pour chaque nappé de cordes.

.3°--Appar.eU selon le procédé de la revendication 1 qui est l'optimisation acoustique de piano, la réalisation par l'homme de l'art d'une capsule de métal ou de eristai ou de verre enfermant de la poudre ultra fine de cuivre ou de métal ou du mélange des deux, ou/et d'un autre composant lourd comme de la poudre de marbre, cet ensemble apporte une dynamique sonore plus claire, plus brillante, ensemble étant mis en place et lieu des masses de plomb.

4°-Appareil selon la revendication 3 où la poudre de métal est incrustée dans le verre ou Je cristal.

5°-Appareil selon la revendication 3 caractérisé en ce que dans la capsule les composants sont immergé dans de l'eau ou de l'huile, augmentant la dynamique sonore devenant douce, les matériaux étant devenus homogènes.

6°-Appareil selon la revendication 2 est caractérisé par une double tête indépendante du tablier, séparée mécaniquement au niveau dés nappes du côté arrière du piano, ayant le même pied commun du côté du clavier.

7°-Appareil qui est selon la revendication 2 est réalisé par l'homme de l'art d'une optimisation acbustique de piano par la mise en place de deux tabliers indépendants «cadres croisés » imbriqués l'un dans l'autre où sont tendues les cordes d'un piano, afin , d'éviter les interférences acoustiques d'un tablier à nappes de cordes croisées, les deux tabliers sont positionnés entre eux par des ergots, et sont fixés à la table d'harmonie et aux contreforts et pieds en bois du piano, comme le tablier d'origine.