AUTO REGULATION DES AMPLITUDES SONORES ET LUMINEUSES
Dans la reproduction du son comme dans la reproduction des images, il est utilisé des sources d'énergie électrique. Ces sources électriques activent pour le son des transducteurs électro-acoustiques et pour l'image des tubes cathodiques, des télévisions ou des projecteurs à une ou plusieurs lampes. Ces conditions d'émissions sonores ou de créations d'images sont pilotées par des signaux électriques avec des écarts d'amplitudes trop importants qui saturent les systèmes nerveux masquant une partie des informations, le temps que l'influx nerveux se stabilise des impulsions trop fortes visuelles ou sonores qui écrasent la perception. Ces amplitudes numériques ou analogiques ne correspondent en aucun cas à I' étalonnage régulier de l'absorbtion énergétique de la préhension neuro-sensorielle. Nous savons en physiologie nerveuse que les neuro-transmetteurs sont différenciés pour des perceptions directes et indirectes suivant des récepteurs spécifiques qui ont une grande sensibilité unitaire. Ces diverses informations permettent au système nerveux de faire la synthèse des différentes informations sensibles recueillies par alternance, et de faire une synthèse visuelle ou sonore ou les deux simultanément. Ces connaissances nous obligent à établir des ajustements très sensibles du pilotage des informations visuelles d'une part et sonores d'autre part, pour la perception sensorielle globale. Le présent procédé, par des régulations d'amplitudes obtenues par les inductances donnent une régularisation générale de la courbe du pilotage électrique et conditionnent par ammortisse ent les excès d'amplitudes qui saturent les systèmes nerveux par un excès d'énergie spontannée, voir les pathologies associées. Ces ammortis- sements électriques créés par les forces contre-électromotrices des inductances en opposition de phase régulent instantanément les excès des informations électriques du message sonore ou visuel, informations régulées en correspondance des intensités maxis neuro-sensorielles acceptables sans perte momentannée de perception. Cette synchronisation permet d'obtenir des résolutions de sensations acoustiques fines que le cerveau peut interpréter parfaitement par les différentes terminaisons nerveuses qui reçoivent de cette façon toutes les informations. Les filtres en acoustique permettent d'adapter chaque transducteur à sa bande de fréquence. Jej, il s'agit d'adapter une hauteur d'intensité auto régulée, et contenue en ampllfu e par les inductances .
Au moins deux selfs sont montées en série sur l'alimentation d'un ou plusieurs transducteurs. Ces selfs montées uniquement en série permettent de respecter également parfaitement les phases dynamiques d'intermodulations. Les selfs proches inter agissent entre elles par auto-induction pour une auto régulation des amplitudes. Les inductances montées en série entraînent une rapidité d'interaction supérieure à tous les autres montages et ne provoquent pas d'altération , par suppression de dérives qui en dynamique d'intermodulation, créent des parasites. Trois, voir quatre bobines, dont les flux d'auto-inductions sont inversés par le positionnement de ces bobines, permettent de créer des0 micro-régulations d'amplitudes par amortissement des grandes amplitudes suivant le loi de Laplace sur le signal d'alimentation électrique d'origine. Ces micros régulations sur le circuit principal d'alimentation électrique sont mises en oeuvre de façon à obtenir des niveaux d'énergie acoustique ou visuelle, correspondant aux sensibilités d'énergie unitaire faible des récepteurs Ssensoriels. Le présent procédé est un appareil de boucles en série, constituées par des bobinages, tous montés en série, ce qui permet par leur positionnement relatif des flux d'inductions électromagnétiques en opposition de phase, d'établir de multiples amortissements d'amplitudes . L'appareil, Ffg. , représente vu de dessus, un fil d'alimentation d'un transducteur (6) ou d'une0 enceinte acoustique qui forme par le fil rigide (1) différentes boucles , la première (2) une self de 15 spires , la deuxième de 5 spires (3), la troisième de 2 spires (4), la quatrième (5) d'un diamètre différent, plus petit de 2 cm ayant 10 spires. Les trois premières selfs ayant un diamètre de 5 cm. Cet appareil, exemple non limitatif du procédé, installé par un homme de Fart dans le5 domaine du son, permet de constater un fonctionnement du transducteur ou de l'enceinte acoustique avec une parfaite intelligibilité en reproduction sonore tant sur les graves, les médiums et les aigus. La perception auditive est propre et claire sur toute l'étendue du spectre sonore sans distorsion harmonique ou saturation. En effet, le procédé et l'appareil permettent simultanément à ['équivalence neuro-sensorielle, une tenue efficace de la membrane du haut- parleur par un pilotage de limitation d'amplitude. Les emballements électriques sont limités automatiquement et les défauts d'inertie dus à la masse de la membrane sont évités. Une variante plus complexe peut être montée, Fig. 2, sur l'alimentation électrique d'une phase, appareil avec trois bobines de petit
diamètre. Et un autre appareil, comme Fig. 1, est monté sur l'autre phase également en série. Les flèches (1,2,3) Fig.2 indiquent les sens des inductions qui sont disposées sur deux ou trois axes, 2 ou 3 dimensions spatiales possibles, ce qui apporte une grande intelligibité par une dynamique contenue, retenue. Les champs auto-induits régulent la dynamique sur un spectre d'amplitude maxi, moyenne de 30 DB sur les graves et 15 DB sur les médiums et 4 DB sur les aigus. Les bobines doivent être évidemment proches les unes des autres car les champs auto-induits sont très faibles. Les appareils, sous un mode simple ou complexe peuvent se monter également sur l'alimentation d'un amplificateur audio qui recevra le 220 volts 50 HZ ou 60 HZ aux USA. Sur cette alimentation générale du secteur les appareils imposent et modifient le signal d'origine du secteur, qui correspond dans ces conditions à la sensibilité neuro- sensorielle humaine par la consommation d'énergie régulée pour les effets sonores ou visuels. Ces appareils de selfs mises en série seront montés avecdes bobines de valeurs différentes pour répondre aux régulations correspondant aux amplitudes neuro-sensoriel de la perception visuelle des images. Ces circuits simples ou doubles sont montés en série avec L'alimentation électrique d'au moins une phase ou du neutre de l'alimentation du producteur d'image ou de création d'image. Cette technique de selfs montées en série est le système le plus simple et le plus efficace, sans aucun asservissement, le plus économique. L'impédance est très basse, donc le rendement est optimum. L'appareil supprime les filtres audio et pilote tous les transducteurs en mode large bande. Le positionnement des bobines est extrêmement important, par le sens du bobinage qui induit les interactions des bobinages entre eux voir les flèches Fig.2. Les bobinages en fil de section variable ou similaire à celle du câble d'alimentation n'excèdent pas 30 spires. Des fils de natures différentes montés en série pour créer ces bobinages peuvent aussi être réalisés par l'homme de l'art pour obtenir des différenciefs d'inductances pour des différenciels de grandeurs des inductances recherchées. Monté également sur de l'éclairage, l'appareil apporte un confort visuel très appréciable, car il répartit en équivalence, émission réception, la quantité d'énergie lumineuse sur les objets qui sont perçus, sans écrasement ponctuel. Procédé et appareil sont utiles pour la reproduction audio, visuel, pour un grand confort d'utilisation de la_perception neuro-sensorielle traitée par un
cerveau unique qui collecte par unité de temps des quantités d'énergie calibrées de faibles écarts . Cette auto régulation sans dérivation comme il est fait usage dans les filtres à multicomposants ou en mono composant à pour inconvénient de créer des perturbations indépendantes par les chemins
5 parrallèles, ce qui donne des courbes en escalier non homogènes mais de grandes dynamiques qui sont retransmises au transducteur. L'inconvénient est l'écrasement des informations sur les systèmes neuro logiques de réceptions. Ce principe unifiilaire sans composant annexe réduit toutes les perturbations de déphasage et donne l'information non dérivée donc instantannée. Les l Oinductances montées en opposition de phase par les positionnements propres des bobines, compressent le signal d'alimentation audio ou lumineux . Une comparaison est simple dans le système nerveux sur les dendrides où les inversions de polarité des synapses véhiculent les informations instantannées, sans déformations . Ce principe compresse les informations et traduit en
15vitesse les charges et décharges des informations, ce qui optimise les informations d'intermodulation dynamique dans un autre ordre de gestion électrique. Ce procédé ne diffère pas le message électrique, mais collecte et compresse par les réactances dans l'instantanéité tous les messages sonores. Le présent procédé et appareil ne tiennent presque plus compte des écarts
20d'amplitudes mais de la vitesse de charge et décharge électrique régulée en amplitude. Cette autre école de gestion de l'alimentation électrique est optimisée par une mécanique de transcription sonore adaptée décrite dans le brevet "optimisation de l'arrière des membranes de transducteurs". Ce formatage nouveau rend l'encodage électrique régulier et graduel sur toute
25la bande de fréquence audible. A la mesure, il n'y a plus d'escalier par les circuits résonnants en montages parrallèles. L'homogénéité des montages unifillaires rend limpide les lectures audio, comme l'homogénéité de l'air qui porte -tous les sons par une structure unique.
30