INTRODUCTION
TITRE ; système de sécurité dans l'économie des transports
La fiche technique ici intégrée a pour objet de présenter un projet ayant pour nom « SYSTEME DE SECURITE DANS LΕCONOMffi DES TRANSPORTS au vu de deux modes d'exploitation qui sont: l'aéronautique et le naval. Ce système sera au cours du développement ou analyse du projet représenté par trois lettres « SET » ; S pour système et sécurité E pour économie et T signifiant transports.
QUELQUES DONNEES GLOBALES.
Cas de l'industrie aéronautique Ce secteur de l'économie des transports subit des moments très difficiles à cause de plusieurs variables et notamment de :
1. la crise de l'économie en général
2. manque de confiance des clients dans l'aéronautique civil commercial
3. insécurité amplifiée par les pirateries aériennes et détournements barbares et violents des avions de lignes commerciaux de leurs routes de navigations commerciales
4. par la transformation des avions de lignes en bombes volantes mettant en péril ou pire sacrifiant des milliers des vies humaines ( passagers et d'autres personnes ) non bées au vol de quelque manière que ce soit ; cfr. : l'effondrement de deux tours jumelles du centre de commerce mondial à New York le 1 l/septembre/01 de triste mémoire. Le projet ici présenté se donne la mission de tenter d'améliorer les paramètres ou variables 2 à 4 ci-dessus relevés. L'exploitation industrielle de cette « technique nouvelle » aura des effets positifs tant en amont qu'en aval de l'industrie aéronautique civile.
1 DESCRIPTIF DU PROJET
Cette technique puise ses fondements dans la biométrie appliquée. De quoi s 'agit- il ? II s'agit de relever les empreintes digitales de tous les pilotes, copilotes et techniciens autorisés ( service de taxiage ou de maintenance ) d'une compagnie aérienne appelée X. Le rouage ou service en relation récurrente avec les opérations de vol encode dans le PC de contrôle de tous les aéronefs de la dite compagnie, en l'espèce cela peut être un chef de base ou tout autre agent de la dite compagnie. Ces empreintes digitales sont en relation individualisée avec les numéros matricules et les codes secrets ou codes individualisés des agents de cockpit de l'entreprise aéronautique civile concernée. Les ( E D ) ; les ( N M ) ; les ( C I ) des membres de cockpit sont enregistrés dans le PC de bord ; plus spécialement, ce sont les ( E D ) de ( P I ) qui seront enregistrées dans le P C ( voir dessin en annexe. )
Phase 1: avant le vol
Aux formalités techniques et administratives classiques liées à tout vol commercial s'ajoutent les procédures de contrôle de sécurité du svstème « SET »
Le commandant de bord et son copilote se soumettent au système de contrôle de sécurité de la manière suivante :
1. Introduction de leur ( C I ) dans un lecteur des codes lequel donne des renseignements - présécurisant de l'aéronef - qui sont lus sur un écran tactile ; ce sont les ( E D ) des ( P I ) et les ( N M ) ; s'il y a correspondance entre les ( E D ) des ( P I ) et les ( N M ) et ceux enregistrés, le commandant et son copilote sont acceptés et autorisés à accéder dans l'aéronef programmé pour voler.
2. Le commandant de bord et son copilote soumettent à une nouvelle reconnaissance de leurs ( E D ) des ( P I ) et des ( N M ) en prenant en mains le manche ou levier de commande ( M L ). Ces ( M L ) sont munis de capteurs et renseignent les correspondances de ( E D) de ( P I ) et les (N M ) comme décrit plus haut et si la reconnaissance de ces ( E D ) de ( P I ) et ( N M ) est positive et signalée sur un écran tactile, alors le pilote et le copilote peuvent amorcer les procédures habituelles de décollage ; donc la correspondance des ( E D) des ( P I ) enregistrées au poste de contrôle en 1 et 2 et les ( E D ) reconnues par le manche ou levier et ou boutons munis des capteurs alors le vol peut s'opérer selon les procédures classiques
Phase 2 : Pendant le vol
Aussi longtemps que les ( E D ) des ( P I ) du commandant de bord et de son copilote sont reconnues dès lors qu'ils posent leurs ( P I ) sur les ( M L ) munis des capteurs l'aéronef en vol est en sécurité et toutes procédures de mise en pilotage automatique exige des manœuvres de verrouiller le pilotage manuel par l'apposition des ( P I ) sur l'écran tactile et inversement le retour au pilotage automatique se réalise en verrouillant le pilotage manuel toujours selon le même procédé et sur les moments immédiats s'effectue la reprise des ( M ou L )
Phase 3 : Pendant le vol et détresse à bord de l'aéronef S'il arrive que des agents étrangers non acceptés pénètrent dans le cockpit et tentent de s'emparer des commandes de l'aéronef et s'en emparent malgré la résistance de pilote et copilote et comme aucun des capteurs sur les ( M ou L ) ne reconnaît leurs empreintes digitales comme expliqué plus haut ; le signal d'alarme ou autre moyen de signalement de détresse se déclenche et avise la tour de contrôle ayant pris le vol en charge et dans le même laps de temps s'opère le blocage des commandes de l'aéronef selon un programme prévu pour ce cas. L'aéronef se met en régime d'auto- pilotage pour aller se poser sur un aérogare équipé d'un système d'atterrissage automatique. Ces aérogares sont répertoriés dans le PC de bord de l'aéronef
Les caractéristiques nouvelles et singulières de l'invention.
Les procédés décrits dans la fiche technique présentent des avantages comparatifs non négligeables dès que l'on oppose aux procédures et techniques de protection de vol existantes , en l'espèce les balises les transpondeurs, portiques de détecteur des métaux scannage des bagages de soute ou de mains, contrôle d'immigration qui se sont avérées dépassées et inefficaces, actuellement on place des forces de polices, de gendarmerie ou de l'armée - en tenue civile - à bord de vols commerciaux pour les sécuriser. Cela risque à la longue de stresser les passagers.
La technique nouvelle et singulière de l'invention ( E D ) ( P I) ( N M ) dont nous souhaitons bénéficier de la protection présentent des avantages tant commerciaux, humains et sécuritaires importants.
1°) Nous avons relevé plus haut que toutes discordances entre les ( E D ) des ( P I ) des pilotes et copilotes telles qu'enregistrées dans le CD- ROM de bord et celles des personnes étrangères à bord déclenche les procédures de mise en sécurité de l'aéronef ( prise en charge de l'aéronef par la tour de contrôle ayant l'espace aérien sous son balayage.) En conséquence de ce qui précède L'aéronef est sauf et ce sont des sommes importantes d'argent qui ne se sont pas évanouies. La vie des passagers et de l'équipage est sauve et c'est un capital humain dont le prix est hors de proportion. Les compagnies d'assurance et de réassurance ne sont pas sollicitées pour engloutir des sommes énormes en indemnisation. La confiance dans l'industrie aéronautique civile peut renaître et indirectement apporter une clientèle nouvelle ; les constructeurs aéronautiques peuvent voir leurs carnets de commande se remplir. Cette liste des avantages tirés de la nouvelle invention mieux expliquée dans les pages précédentes prouve à souhait l'efficacité de cette invention que nous souhaitons encore une fois voir protégée et que les générations présentes et futures pourront en bénéficier. L'application industrielle de cette invention va permettre de brasser plusieurs secteurs de l'économie des transports. Ici nous avons relevé le cas de l'aéronautique civile, il est certain que cette invention peut avoir d'autres applications dans au mode de transport maritime. L'application industrielle de cette invention permettra la création d'un volume d'emploi en amont et en aval de la principale industrie aéronautique ( les constructeurs d'avions ) : les secteurs de sous-traitance y trouveront leur quote-part des marchés.
En outre tout le parc de l'industrie dont les aéronefs civils sont en état de voler doit s'équiper de cette invention. Les nouvelles constructions des aéronefs civils s'équiperont de cette invention du système « SET » pour renforcer leur sécurité en cours de vol. Que donc le marché de l'emploi dans l'industrie aéronautique offre des perspectives nouvelles ; Que donc, pour couronner le tout cette invention améliorera fondamentalement les conditions des échanges entre nations via l'industrie aéronautique.
La confiance des passagers ou clients s'en sortira agrandie. Les observations techniques relevées dans les pages précédentes nous démontrent que le système « SET » qui constitue l'abrégé de notre invention se décompose en niveaux. 1) Les ( E D ) des ( P I ) du pilote et du copilote sont contrôlées et enregistrées concurremment avec les ( C I ) et les ( N M ) au poste de contrôle de l'aérogare de départ. Les mêmes données digitales sont recontrôlées en phase II dans l'aéronef suivant le procédé décrit ci haut et en phase III les mêmes données digitales et connexes sont revérifiées dans le poste de pilotage par le système de contrôle via la pose des ( P I ) des pilotes et copilotes dont le système reprend leurs ( E D ), ( N M ) et ( C I ) respectif sur le ( M.ou L.) muni des capteurs. A cet instant précis les résultats de ce 3° contrôle doit déboucher sur la correspondance ou reconnaissance des ( E D ) et connexes comme en phase let II. Si c'est OK le vol est sécurisé et le départ peut s'effectuer. Ainsi donc toutes autres personnes dont les ( E D ) et connexes n'auront pas été reconnues ne peuvent en aucun cas prendre les commandes de l'aéronef, vu qu'en outre l'aéronef concerné est mis sous système de navigation sécurisée. Nous avons suffisamment parlé d'autres procédures de mise de l'aéronef en vol manuel ou automatique cela procède aussi de moyens pour renforcer la sécurité en vol
ANNEXE ι : Signification des abréviations utilisées
(PI): pouce et index
( E D ) : empreintes digitales
(ET): écran tactile
(PC): ordinateur + logiciel d'application
(CD) : cd-rom
(ML): manche et levier de commande
(CI): code individualisé
(C) : capteur
(MN) : numéros matricule
(SET): système de sécurité des équipements dans l'économie des transports.
LEGENDE ET EXPLICATION DES SCHEMAS
AU SOL. 1 & 2.
1.) A un aéroport un PC Avec informations secrètes = empreintes digitales, code secret et code des 4 derniers chiffres du matricule de tous les pilotes et copilotes de la société.
2.) Un boîtier tactile où pilotes et copilotes posent leurs mains, introduisent leurs code secret et code matricule. Si accepté par le PC = OK. Si refusé par le P.C = ALARME.
A BORD. DE L'AÉRONEF 3 & 4
3.) Procédure idem qu'en 2. Si OK. Le pilote et copilote peuvent engager la procédure de départ; car le manche, volant, pommeau, boutons .... sont munis de capteurs sensoriels qui reconnaissent les empreintes digitales acceptées en 2 et 3 et en 1 par le PC. Si un intrus pose ses empreintes sur un de ces instruments de bord, celui-ci le signale au PC qui déclenche le pilotage automatique. L 'aéronef disposant d'info, satellitaire sur les reliefs géographiques, montagnes, villes, tours, . . . une altitude minimum de survol est définie par le PC de bord et dès que l'aéronef s'incline et atteint cette altitude minimum le PC. de bord déclenche le pilote automatique et redresse l'aéronef qui évite tous obstacles dangereux.