Dispositif mécanique de serrure de haute sécurité à pênes étages sur la hauteur de la porte, a verrouillage automatique.
La présente invention concerne un dispositif de serrure de haute-sécurité, à verrouillage automatique debrayable différé n'intervenant qu'après que la porte soit parvenue au terme de sa course de fermeture, les pênes étages sur sa hauteur, se trou- vant alors juste en face de leurs gâches respectives et dont les différents modes d'ouverture, tous entièrement mécaniques, sont interchangeables au gré de l'utilisateur.
Il existe des dispositifs de serrures comportant certaines caractéristiques du préambule de la Revendication 1 :
EP-A-0 099 292 EP-A-0 668 425 PCT WO 93/19270
DE-A-43 37 969 EP-A-0 885 340
Il en est qui font appel à des composants électriques ou électroniques, souvent onéreux s'ils sont de qualité, d ' autres comportent des mécanismes complexes,dont 1 'encombrememt néces- site des portes fabriquées spécialememt, ortant l'ensemble a des prix rédhibitoires.
L'invention a pour but de remédier à ces inconvénients. Telle qu'elle est caractérisée dans la partie caractérisante de la Revendication 1, ainsi que dans les revendications dépendantes, elle résout le problème d'un dispositif entièrement mécanique, comportant un nombre de pièces en simple tôle d'acier de 2 à 3 mm. d'épaisseur, faciles à fabriquer,donc simple et bon marché,mettant la haute sécurité à la portée d'un large public.L'invention tient compte également des plus récentes nor- mes internationales de résistance aux effractions à l'aide des outillages perfectionnés des cambrioleurs modernes.
Par ailleurs, l'invention résout le problème d'un seul et même boîtier de la serrure centrale de commande, pouvant être équipé au gré de l'utilisateur des différents systèmes de com- mande d'ouverture de la serrure de sécurité, situés sur chaque face de la porte.
L'invention est décrite en détail ci-après, à l'aide de des¬ sins représentant schématiquement à titre d' exemple, 1 'un des modes de réalisation possibles,et dont :
* La figure 1 représente le mécanisme du dispositif de la serrure de commande centrale en position de verrouillage.
* La figure 2 représente dito -en position déverrouillée.
* La figure 3 représente l'un des pênes sur son support. * La figure 4 représente le déclencheur du verrouillage automatique vu par le dessus.
* La figure 5 représente dito,vu de face.
* La figure 6 représente la tringle de commande de la serrure centrale. * La- figure 7 représente le mécanisme de l'une des serrures auxiliaires en position de verrouillage.
* La figure 8 représente dito, en position déverrouillée.
* La figure 9 représente le dispositif d'ouverture uniquement par rotation de la clé, en position de verrouillage. * La figure 10 représente dito,en position déverrouillée.
* La figure 11 représente le mécanisme de blocage de la poignée extérieure, en position de verrouillage.
* La figure 12 représente dito,en position déverrouillée. Tout comme les serrures à pênes multiples à verrouillage manuel bien connus du public, les dispositifs de serrure à verrouillage automatique comportent en général une serrure de commande centrale située près du bord de la porte et à mi-hauteur, ainsi que plusieurs serrures auxiliaires étagées sur la hauteur de la porte et dont les pênes sont commandés par une ou plu- sieurs tringles i course verticale reliées à la tringle de commande issue de la serrure de commande centrale.
A cette fin, celle-ci comporte le mécanisme de verrouillage automatique ainsi que les divers organes d'ouverture tels que le cylindre de sûreté avec sa clé, les poignées intérieure. & ex- térieure.
L'ensemble, serrure de commande centrale, ringles de liaison et serrures auxiliaires comporte les différents éléments appropriés pour leur montage sur les différentes sortes de por¬ tes : portes métalliques, portes pour serrures à mortaiser,por- tes pour serrures en applique,etc...
La présente description ainsi que les dessins qui 1 ' accom¬ pagnent, se réfèrent au modèle pour portes à mortaiser.Le dis¬ positif de l'invention étant identique pour les autres modèles
de portes, l'Homme de métier pourra facilement adapter les fixations adéquates pour les autres types de portes.
Mais il existe également sur le marché différents modèles de serrure à verrouillage automatique : celles qui s'ouvrent de l'extérieur uniquement par rotation d'un ou deux tours de clé, celles qui s'ouvrent de l'extérieur sous la pression d'une poignée., pπcédêe d'une manoeuvre de déblocage à l'aide d'une clé ou d'un code secret,d'autres modèles de serrure comportent un système d'ouverture à l'intérieur semblable ou différent du système d'ouverture, extérieur.
Le dispositif de l'invention permet dans un seul et même boîtier de la serrure de commande centrale, d' installer celui qu'aura choisi le Client, parmi tous ceux qui dans les dispositifs existants,nécessitent des stocks de chacun des systèmes d- ouverture disponibles.En outre, 1 ' invention permet ultérieurement et ce en quelques minutes,de changer le système d'ouverture d'origine, au gré de l'utilisateur.
Selon l'invention, le système d'ouverture de l'intérieur est conforme au "nec plus ultra" dans ce domaine : l'incontour- nable système anti-panique sauveur de vies humaines : une simple pression sur la poignée intérieure et la porte est ouverte sans clé ou tout autre organe à manoeuvrer.
Les figures 1 et 2 seront avantageusement lues ensemble car elles représentent les mêmes éléments mais l'une en posi- tion de verrouillage et l'autre en position déverrouillée.
On y distingue notamment les élé .ments du dispositif de l'invention concernant l'ouverture de l'intérieur du système anti-panique ainsi que le système de verrouillage automatique contenus dans le boîtier 1 de la serrure de commande centrale. Ce boîtier 1 est fixé sur une longue têtière 2 couvrant presque toute la. hauteur de la porte sur le chant de laquelle elle est montée. Elle peut être constituée par une bande de tôle d'acier de environ 3 mm.d' épaisseur et sa largeur peut varier de 18 à 24 mm. ou plus en cas de besoin. On distingue un fouillot 3 muni de son trou carré pour son entraînement par la pression sur la poignée d'ouverture de 1 intérieur.Le fouillot 3 est rendu solidaire d'une ailette 4 à l'extrémité de laquelle est rivé un galet 5, lui-même inséré en permanence dans une découpe 6 pratiquée dans la tringle de com-
mande centrale 7.Ainsi toute pression sur la poignée pour obte¬ nir le déverrouillage va provoquer le pivotement vers le haut de l'ailette 4 ainsi que de son galet 5, lequel inséré dans la découpe 6 de la tringle de commande centrale 7, va impulser cette dernière en position déverrouillée, au sommet de sa course verticale et avec elle, les tringles de liaison 8 auxquelles elle reliée, lesquelles a leur tour vont actionner les différentes serrures auxiliaires (Fig.7 & 8) étagées sur la hauteur de la porte. Ces- tringles de liaison 8 coulissent à fleur de la face interne de la têtière 2 et sont également découpées dans de la bande de tôle d'acier d'environ 3 mm.d' épaisseur,mais d'une largeur un peu inférieure à celle de la têtière 2.
A noter dans les Fig.1-2-4-5 la présence d'un palpeur 9, dont la tête 10 (Fig.4) comportant un bord oblique 11 est en pression permanente vers l'extérieur de la serrure, sous l'action du ressort 12,à travers une découpe adhoc de la têtière 2.
Le palpeur 9 est muni d'un goujon 13 venant s'insérer dans un cran 1 pratiqué dans la tringle de commande centrale des pênes 7, quand celle ci se trouve en position haute-déverrouil- lée et après que la porte ait été ouverte de sorte que le palpeurs ne soit plus bloqué par contact avec le montant de l'huisserie et puisse jaillir en-dehors de la serrure.
Ainsi, la tringle de commande des pênes 7 reste dans cette position verrouillée et avec elle, tous les pênes éta- gés sur la hauteur de la porte sont maintenus effacés.
Lorsque la porte sera refermée, le bord oblique 11 de son palpeur 9 va venir en contact avec le bord de 1 'huisserie, ce qui va les repousser a l'intérieur de la serrure provoquant la sortie du goujon 13 de sa position de blocage dans le cran 14. de la tringle de commande des pênes 7, laquelle, sous l'effet de la simple gravité agissant sur l'ensemble des tringles de liai¬ son 8 et/ou d'un ou plusieurs ressorts en cas de besoin, ais non illustrés dans les dessins,va redescendre au bas de sa course verticale, vers sa position de verrouillage. Cette partie de la description, connue depuis le Brevet européen EP-A-0 099 292, était nécessaire pour comprendre ce que l'invention maintenant décrite ci-après, apporte à la préven- tiontion de l'insécurité dans le domaine privé et la criminalité,
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aussi impossible de soulever la tringle 7, également en position verrouillée, au bas de sa course verticale : c'est le blocage du pêne 22 qui assure celui de la tringle 7,1'équerre 15 ayant solidarisé leurs mouvements respectifs. Ainsi, le dispositif de l'invention ne permet la course de la tringle de commande centrale des pênes 7, que par le pivotement de l'ailette 4,que ce soit par pression sur la poignée intérieure agissant sur le fouillot 3,ou qu ce soit par tous les autres organes de commande,clé,autres poignées, agis- sant par impulsion sur le goujon 31 de l'ailette 4 pour la faire pivoter, comme exposé ci-après.
On aura noté que la hauteur de la découpe 6 pratiquée dans la tringle 7 est supérieur de quelques millimètres au diamètre du galet 5 de l'ailette 4 qui est inséré dedans, à fleur de son bord inférieur,en position de verrouillage. (Fig.1 ) Ainsi, lors de manoeuvre d'ouverture,au début du pivotement de l'ailette 4, sa protubérance 27 va légèrement soulever le bord 29 de la barre 24, au-dessus de la butée de blocage 30. Simultanément, le galet 5 s'est déplacé à l'intérieur de la découpe 6, affleurant maintenant son bord supérieur .Dès lors, peut commencer la course verticale de déverrouillage de la tringle de commande des pênes 7, laquelle va faire pivoter 1 ' équer- re 15 , provoquant simultanément la course de déverrouillage du pêne 22,maintenant libéré et débloqué. (Fig.2 ) Les figures 3-4-5-6 représentent isolément, pour aider à leur bonne lisibilité et compréhension dans les figures 1 & 2 précédentes,quatre des éléments du mécanisme du dispositif.
Les figures 7 et 8 doivent être lues ensemble.Elles représentent dans les positions verrouillée et déverrouillée, les serrures auxiliaires êtagées sur la hauteur de la porte, avec leur mécanisme contenu dans leur boîtier 32.
On reconnaît la têtière 2 ainsi que la tringle de liaison 8 qui reçoit et transmet le mouvement de déverrouillage généré par le mécanisme de la serrure de commande centrale. Le pêne 22 avec son support 21,1'équerre 15,1a barre 24, ainsi que la butée 30,ont les mêmes fonctions et peuvent être semblables à ceux de la serrure de commande centrale décrite ci-dessus aux figures 1 et 2.
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Comme exposé ce-dessus, la description détaillée, ainsi que que les dessins, Figures 1 et 2,ont surtout fait mention du sys¬ tème de commande d'ouverture situé sur la face intérieure de la porte, et plus précisément, dans sa version "anti-panique". L'invention propose pour la manoeuvre de commande de l'extérieur,un système modulaire, permettant au gré de l'utilisateur le montage à l'intérieur du boîtier de la serrure de commande centrale différents modes de commande d'ouverture du dispositif situés sur la face extérieure de la porte, comportant les sys- tè es .anti-intrusion bien connus:cylindre de sûreté à clé, code confidentiel mécanique, etc...
L'exemple de réalisation choisi dans la présente description est le plus répandu,mais tout Homme de métier saura y adapter tout autre système de sécurité différent, en cas de besoin.
C'est en effet un cylindre de sûreté à clé,muni d'une roue dentée, qui est illustré dans le bas des Figures 9 et 10 pour la version de commande extérieure par rotation de deux tours de clé, sans poignée mobile. Tout comme pour la v.ejcs'JLon de commande extérieure par rotation d'une fraction de tour de clé précédant la pression sur une poignée mobile,dite "béquille", figurant au bas des Figures 11 et 12.
Dans les modes opératoires cités ici, 1 ' invention s'est attachée au souci du maximum de confort pour l'utilisateur d'une manoeuvre d'ouverture la plus ergonomique ainsi que conviviale, tant pour les enfants que pour les personnes âgées.
En outre, ces modes de commande sont interchangeables en quelques minutes à l'aide d'un simple tournevis,même après montage sur la porte, au gré de l'utilisateur.
Les Figures 9 et 10 doivent être lues ensemble car elles représentent le même mécanisme du mode d'ouverture de 1 exté¬ rieur par rotation de deux tours de clé, sans poignée mobile, dans se positions verrouillée et déverrouillée. Comme exposé ci-dessus, le dispositif de l'invention pour l'ouverture par l'extérieur util/se le même mécanisme que celui pour l'ouverture par l'intérieur.
°n retrouve en effet,au sommet des figures 9 & 10, les éléments du mécanisme des Fig. 1 & 2 : le fouillot 3 et son
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Lπ LΠ o Π o
44 et 47 peuvent être d'une seule pièce ou bien le demi- disque 47 devenir un disque entier dont on n'utliserait que la moitié.
Ce dispositif de l'invention permet une rotation de la clé douce, et sans effort excessif, due notamment a l'absence de tout frottement entre le demi-disque 47 dont la révolution entraîne celle du galet,ou mieux,du roulement à bille 50, leurs deux tranches roulant l'une sur l'autre.
Les figures 11 et 12 doivent être lues ensemble car elles représentent le même mécanisme du mode d'ouverture par l'extérieur par une poignée mobile dont la manoeuvre doit être précédée par son déblocage à l'aide d'un organe de sécurité, comme par exemple un cylindre de sûreté à clé,dans la position verrouillée,puis déverrouillée. On distingue un peu en dessous du fouillot 3 et de son ailette 4, un second fouillot 51 muni de son ailette 52 sur laquelle est fixé un goujon 53.
C'est dans le trou carré de ce fouillot 51 que sera insérée la tige carrée de la poignée mobile sur laquelle il faut presser de 1 'extérieur, pour déverrouiller le dispositif de sécurité.
Le goujon 53 est insé ré dans une découpe 54 pratiquée dans une plaquette 55,montrée à la Fig.11 en position verrouillée, au bas de sa course verticale. Son bord supérieur 56 est est disposé à fleur, sous le goujon 31 de l'ailette 4.
Ainsi toute pression sur la poignée extérieure, après l' avoir débloquée d'une fraction de tour de clé, fera pivoter vers le haut l'ailette 4, son galet 5, comme décrit ci-dessus, impulsant la tringle de commande des pênes 7 ( fig.1 ) vers le haut de sa course de déverrouillage.
Le fouillot 3 étant muni d'un ressort de rappel (non illustré) afin de maintenir le galet 5 au bas de sa course de pivotage,en position verrouillée, le fouillot 51, lui n'en a pas besoin : c'est celui du fouillot 3 qui ramène les deux poignées-béquille, intérieure et extérieure, à la position ho¬ rizontale, quand le dispositif est verrouillé.
La plaquette 55 est en outre munie d'un cran 57 dans le¬ quel est inséré un goujon 58 fixé sur une plaquette 59 à
course horizontale, laquelle comporte également un goujon 60. Un ressort 61 exerce une pression constante sur le gou¬ jon 58 afin de le maintenir dans le cran 57 ce qui bloque la plaquette 55 au bas de course,en position de blocage de la poignée extérieure en s Opposant à toute intrusion.
Pour permettre la manoeuvre d'ouverture de l'extérieur, l'utilisateur doit donc débloquer la poignée, à l'aide d'une fraction de tour de la clé du cylindre de sûreté ce qui va provoquer la descente d'une plaquette 62,dont le bord rectili- gne denté".63, va se trouver ainsi engrené par la roue dentée 64 du cylindre de sûreté.
Simultanément, le bord oblique 65,dont est également munie la plaquette 62,va progressivement impulser le goujon 60, à fleur duquel il est situé, provoquqnt le glissement horizontal de la plaquette 59 avec son goujon 58 qui va se trouver ainsi expulsé du cran 57 de la plaquette 55 dans lequel il était inséré en position de blocage de la poignée extérieure.
Dès lors, l'utilisateur peut la manoeuvrer, provoquant le pivotement du fouillot 51 dans lequel elle est insérée, son gou- jon 53 soulevant la plaquette 55 dans laquelle il est inséré et dont le bord supérieur 56 va ainsi provoquer le pivotement de l'ailette 4, par pression sur son goujon 31, à fleur duquel il est situé. e galet 5 se retrouve au sommet de sa course de pivotement, entraînant la tringle de commande des pênes 7 au sommet de sa course verticale : tout le dispositif de l'invention est déverrouillé, la porte peut être ouverte.
Une fois la porte ouverte, 1 'utilisateur peut enlever la clé de la serrure après l'avoir tournée en sens inverse,ce qui va repositionner la plaquette 62 tel que montré à la figure 11. Sous la pression de son ressort 61,1e goujon 58 va se trouver pressé contre le bord 66 de la plaquette et la maintenir dans cette position haute/déverrouillée, comme montre a la figure 12.Quant la porte aura été refermée, le verrouillage automatique aidant comme exposé plus haut, la plaquette 55 va se retrouver elle aussi au bas de sa course verticale ( Fig.11 ) et son cran 57 bien en face du goujon 58 qui va s'y trouver impulsé sous la pression permanente de son ressort 61.
Le bloc constitué par les éléments 44 et 47 ainsi que celui constitué par les éléments 45 et 46 seront munis d'axes en saillie de part en part, en rotation dans les découpes adéquates préparées dans le boîtier et le couvercle de la ser- serrure de commande centrale. Il en est de même en ce qui concerne les éléments à course rectiligne 55-59 & 62 qui seront munis de goujons pour guider leur course dans leurs fentes respectives pratiquées dans le boîtier et/ou le couvercle de la serrure.Ainsi il sera toujours possible,même bien après le montage du dispositif sur la porte, de changer le mode d'ouverture : pair rotation de deux tours de clé, sans poignée mobile, ou avec pression sur une poignée mobile précédée par une fraction de tour de clé de déblocage de la poignée, au gré de l'utilisateur, en quelques minutes et à l'aide d'un simple tournevis. Enfin, le dispositif de l'invention propose un système simple pour neutraliser momentanément le verrouillage automatique de sorte que l'utilisateur puisse sortir de chez lui sans avoir a se munir de sa clé pour ouvrir sa porte lors de son retour.
De nombreux fabricants de cylindres de sûreté les proposent avec d'un côté un bouton au lieu de la fente pour la clé.Comme la porte est toujours verrouillée, il peut ainsi sortir sans utiliser de clé.( Système largement recommandé par les services de sécurité )
C'est à l'aide de ce bouton intérieur que l'on neutralise le verrouillage automatique du dispositif.
* Cas de l'ouverture par rotation de deux tours de clé : Une fois la porte ouverte par pression sur la poignée intérieure, avant de sortir et de la refermer, tourner de deux tours le bouton du cylindre, comme si on voulait déverrouiller par ce bouton. Le verrouillage automatique est neutralisé et ce jusqu'à rotation du bouton du cylindre en sens inverse:
* Cas de l'ouverture par poignée et déblocage préalable par la clé :
Opérer de la même façon,mais à chaque fois, tourner le bou- ton du cylindre d'une fraction de tour, à fond, au lieu des deux tours du cas précédent.