OA19528A - Procédé de gestion proactive des alertes orange/jaune et des alarmes rouges du moteur thermique du véhicule de transport. - Google Patents

Procédé de gestion proactive des alertes orange/jaune et des alarmes rouges du moteur thermique du véhicule de transport. Download PDF

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OA19528A OA1202000180 OA19528A OA 19528 A OA19528 A OA 19528A OA 1202000180 OA1202000180 OA 1202000180 OA 19528 A OA19528 A OA 19528A
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Bertrand Gallyam Bere
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Bertrand Gallyam Bere
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Abstract

La présente invention concerne un procédé de gestion proactive des alertes orange et des alarmes rouge, du moteur thermique à combustion interne du véhicule de transport et sur bâti fixe. C'est un système intelligent qui veille automatiquement, jour et nuit 24h/24 7j7 et en temps réel, sur la santé du moteur d'un véhicule en déplacement pour lui permettre de résoudre ses problèmes réversibles (signalés par les alertes orange ou jaune) et pour le mettre en quarantaine afin de le protéger de ses problèmes irréversibles (signalés par les alarmes rouge). Le moteur à combustion interne est un type de moteur dans lequel l'énergie thermique dégagée par la combustion d'un fluide est convertie en énergie mécanique à l'intérieur du moteur. C'est le groupe d'organes qui fournit l'énergie mécanique nécessaire pour le fonctionnement du véhicule. Comme les fluides corporels (eau et sang) sont vitaux chez l'homme, des fluides (huile moteur, liquide de refroidissement et de frein) le sont aussi pour le moteur. Ces moteurs sont principalement utilisés pour la transmission et la propulsion des véhicules de transport (motos, automobiles, camions, bateaux et avions) et pour les bâtis fixes (générateurs électrogènes). Le procédé comprend trois (03) principales composantes : trois (03) réservoirs individuels ou un (01) réservoir multicompartimenté de fluide de réserve munis de sondes de niveau, un (01) tableau de contrôle muni des répliques des voyants lumineux et sonores d'alerte et d'alarme du tableau de bord du véhicule; de nouveaux bi-voyants d'alerte et d'alarme pour les sondes de niveau de fluides de réserve, un (01) bouton test pour la simulation, un (01) bouton poussoir à commutateur quatre (04) positions permettant une interaction entre l'homme et le procédé par une action mécanique et deux (02) circuits proactifs à fonctionnement indépendant jouant chacun un rôle précis. Chaque circuit est relié directement à des capteurs sondant en permanence certains organes spécifiques du moteur et indiquant instantanément leurs statuts pour leurs visualisations au travers, d'une part, des voyants lumineux sur le tableau de bord et aux travers, d'autre part, de leurs répliques sur le tableau de contrôle. La nouveauté consiste à capter depuis les sondes pour rediriger l'impulsion électrique caractéristique, positive (+) ou négative (-) vers lesdites répliques sur le tableau de contrôle, que génère un changement de statut pour activer et/ou désactiver automatiquement les circuits proactifs. Le tableau de contrôle à un écran digital et une centrale sonore et sert à traiter, diffuser les codes d'erreurs, visualiser les statuts et les processus de fonctionnement et les informations transmises par les circuits et évite de toucher à l'intégrité du tableau de bord. Pour ce qui est des circuits proactifs, le premier a pour rôle d'une part, de faire injecter automatiquement de l'huile moteur de réserve dans le circuit de lubrification du moteur, du liquide de refroidissement de réserve dans le circuit de refroidissement du moteur et du liquide de frein de réserve dans le circuit de freinage du véhicule, lors d'une alerte orange et d'autre part, grâce au bouton poussoir d'en faire injecter manuellement, lors d'un contrôle révélant le niveau bas d'un des fluides ; le second, d'une part, de faire couper automatique le moteur en cas d'alarme rouge et d'empêcher son redémarrage pour autant que le problème reste non résolu, et d'autre part, de le couper manuellement grâce au bouton poussoir pour servir de coupe-circuit et d'antivol. Chaque réserve porte obligatoirement l'inscription huile moteur, liquide de refroidissement et liquide de frein et contient un fluide de réserve précis en vue d'éviter la confusion et/ou le mélange de fluide lors de son injection dans le circuit incriminé. L'ensemble du procédé est utilisé pour une gestion proactive des systèmes de lubrification et/ou de refroidissement des moteurs à combustion interne et/ou du système de freinage du véhicule.

Description

La présente invention concerne un procédé de gestion proactive des alertes et des alarmes, du moteur thermique à combustion interne du véhicule de transport et sur bâti fixe. C’est un système intelligent qui veille automatiquement, jour et nuit 24h/24 7j7 et en temps réel, sur la santé du moteur d’un véhicule en déplacement pour lui permettre de résoudre ses 10 problèmes réversibles (signalés par les alertes orange ou jaune) et pour le mettre en quarantaine afin de le protéger de ses problèmes irréversibles (signalés par les alarmes rouge). Le moteur à combustion interne est un type de moteur dans lequel l'énergie thermique dégagée par la combustion d'un fluide est convertie en énergie mécanique à l'intérieur du moteur. C’est le groupe d’organes qui fournit l’énergie mécanique nécessaire pour le fonctionnement du véhicule. 15 Comme les fluides corporels (eau et sang) sont vitaux chez l’homme, des fluides (huile moteur, liquide de refroidissement et de frein) le sont aussi pour le moteur. Ces moteurs sont principalement utilisés pour la transmission et la propulsion des véhicules de transport (motos, automobiles, camions, bateaux et avions) et pour les bâtis fixes (générateurs électrogènes).
Le procédé comprend trois (03) principales composantes : trois (03) réservoirs 20 individuels ou un (01) réservoir multi-compartimenté de fluide de réserve munis de sondes de niveau, un (01) tableau de contrôle muni des répliques des voyants lumineux et sonores d’alerte et d’alarme du tableau de bord du véhicule; de nouveaux bi-voyants d’alerte et d’alarme pour les sondes de niveau de fluides de réserve, un (01) bouton test pour la simulation, un (01) bouton poussoir à commutateur quatre (04) positions permettant une interaction entre l'homme et le 25 procédé par une action mécanique et deux (02) circuits proactifs à fonctionnement indépendant jouant chacun un rôle précis. Chaque circuit est relié directement à des capteurs sondant en permanence certains organes spécifiques du moteur et indiquant instantanément leurs statuts pour leurs visualisations au travers, d’une part, des voyants lumineux sur le tableau de bord et aux travers, d’autre part, de leurs répliques sur le tableau de contrôle.
La nouveauté consiste à capter, transformer pour rediriger l’impulsion électrique caractéristique, positive (12/24v) ou négative (-) vers les répliques du tableau de contrôle, que génère un changement de statut pour activer et/ou désactiver automatiquement les circuits proactifs. Le tableau de contrôle à un écran digital et une centrale sonore et sert à traiter, diffuser les codes d’erreurs, visualiser les statuts et les processus de fonctionnement et les informations transmises 35 par les circuits et évite de toucher à l’intégrité du tableau de bord. Pour ce qui est des circuits proactifs, le premier a pour rôle d’une part, de faire injecter automatiquement de l’huile moteur de réserve dans le circuit de lubrification du moteur, du liquide de refroidissement de réserve dans le circuit de refroidissement du moteur et du liquide de frein de réserve dans le circuit de freinage du véhicule, lors d’une alerte orange et d’autre part, grâce au bouton poussoir d’en faire 40 injecter manuellement, lors d’un contrôle révélant le niveau bas d’un des fluides ; le second, d’une part, de faire couper automatique le moteur en cas d’alarme rouge et d’empêcher son redémarrage pour autant que le problème reste non résolu, et d’autre part, de le couper manuellement grâce au bouton poussoir pour servir de coupe-circuit principal.
Chaque compartiment est marqué obligatoirement et contient un fluide de réserve précis (huile moteur, liquide de refroidissement ou liquide de frein) en vue d’éviter la confusion et/ou le mélange de fluide lors de son injection dans le circuit incriminé.
L’ensemble du procédé est utilisé pour une gestion proactive des systèmes de lubrification et/ou de refroidissement des moteurs à combustion interne et/ou du système de freinage du véhicule.
A la place du conducteur, le procédé innovant garantit entre autre le bon niveau des fluides 10 assurant ainsi une bonne lubrification et une bonne température pour le bon fonctionnement des organes dudit moteur. Il protège ainsi le moteur de la détérioration (surchauffe du moteur) ou de la destruction prématurée (serrage du moteur). Il empêche le conducteur d’utiliser un véhicule si le niveau d’huile de frein requis est trop bas, prévenant ainsi les accidents de la circulation.
Pour ce faire, en cas d’une alerte, avertissant le conducteur d'un problème de manque de niveau d’un fluide moteur, il n’est plus nécessaire d’attendre le prochain arrêt du véhicule pour faire les compléments. En cas d’une alarme, le prévenant d’un danger couru par le moteur, il n’est plus nécessaire que le conducteur s’affole pour couper urgemment le moteur, celui-ci se fera automatiquement et de manière progressive et tonitruante pour éviter des accidents.
Dans l’état de la technique, un moteur de véhicule de transport est déjà équipé de plusieurs manocontacts, sondant ses organes clefs passivement pour les diagnostiquer et transmettre automatiquement sur son tableau de bord leurs statuts directement ou via un calculateur, ce qui permet au conducteur de visualiser en temps réel, les voyants lumineux, indicateurs de signalisations (vert), d’alertes (orange/jauné) et d’alarmes (rouge). En effet, en plus du carburant, un moteur de véhicule de transport a besoin de différents fluides qui lui permettent de fonctionner de manière optimale. Une légère consommation des fluides est nécessaire et se manifeste par sa disparition à l'intérieur du moteur lorsqu'il fonctionne. Le bon niveau est primordial pour réduire le frottement, diminuer l'usure des pièces mécaniques et maintenir la bonne température. A l’inverse, une consommation excessive ou d’une fuite peut entraîner subitement une baisse de niveau et surtout un manque de fluide pouvant très vite, endommager ou détruire complètement le moteur. Lorsqu’il en manque, les conséquences peuvent être variées... et très souvent néfastes pour la mécanique. On évite donc de sacrés ennuis, en visualisant en permanence les statuts de leurs voyants lumineux sur le tableau de bord et en jaugeant manuellement et régulièrement leurs niveaux. Les sondes veillent passivement sur la santé du moteur pour afficher son état de marche à chaque instant. L’activation passive des voyants d’alerte de niveau trop bas d’huile moteur, de niveau trop bas de liquide de refroidissement et du voyant d’alarme de niveau trop bas de liquide de frein sont des avertisseurs d’appoints. Un diagnostic est préconisé lors du prochain arrêt du véhicule en vue de compléter le niveau du fluide alerté. L’activation passive des voyants d’alarme de pression insuffisante d'huile moteur, de température trop élevée d'huile moteur et de température trop élevée de liquide de refroidissement, sont synonymes d'arrêt urgent et immédiat du véhicule. Leur classification et signification en fonction de leurs couleurs et leurs niveaux de priorité se présente comme suit:
Voyants de voiture, vert/bleu de signalisation.
Ils indiquent l'état d'un accessoire activé ou désactivé par le conducteur (feux). Seul, le voyant de préchauffage des bougies ne répond pas à cette coloration. Il est représenté par un petit ressort orangé dont il faut attendre l'extinction avant de mettre en marche un moteur diesel. Les autres 5 voyants de signalisation répondent à l'activation d'éclairages, au désembuage de la lunette arrière ou de frein à main enclenché.
Voyants de voiture, orange/jaune d’alerte.
Ils s'affichent en orange ou jaune et avertissent le conducteur d'un problème mécanique ou 10 électronique (panne ou dysfonctionnement) sans pour autant l'inviter à s'arrêter. Il convient d'y regarder ultérieurement. On y retrouve l'alerte de niveau d'huile moteur, de niveau de liquide de refroidissement, un dysfonctionnement de l'airbag ou du système de freinage, un problème d'antipatinage, de dépollution, de direction assistée ou d'éclairage et la présence d'eau dans le filtre à gazole. Le plus connu est le niveau de carburant qui s'active généralement à 10 % de 15 contenance du réservoir.
Aspect du voyant d’alerte orange ou jaune de niveau d'huile.
Le voyant de pression d'huile du moteur est facilement identifiable grâce à son pictogramme de couleur orange représentant une burette d'huile avec une goutte tombante, c’est-à-dire un flacon à goulot assimilable à un petit arrosoir sur une vague représentée ci-dessous.
L’huile moteur : Comme on sait, il y a un paquet de pièces métalliques en friction constante dans le moteur. L’huile moteur va donc lubrifier les zones sensibles pour éviter tout grippage en réduisant le frottement et l'usure des pièces mécaniques. En effet, sans huile il suffit de quelques secondes pour détruire un moteur. Les pièces métalliques se frottant les unes contre les autres provoquent une forte chaleur (friction) qui va finir par les déformer (le métal fond). Ceci nécessite d’avoir constamment un niveau d’huile convenable et de gérer son utilisation. Le présent procédé proactif d’injection automatique de fluide permet d’assurer constamment ce rôle, selon le scénario en présence, d’où son utilité.
Scénario d’une alerte orange de niveau bas d’huile moteur.
Dans un véhicule en déplacement, le voyant d’alerte orange de niveau d’huile moteur s’allume, il vient de recevoir une alerte orange de niveau bas via sa sonde de niveau d’huile immergée dans le carter, le niveau y est au niveau mini. Instantanément, une impulsion de niveau mini est transmise directement ou via le calculateur par ladite sonde qui active ledit voyant d’alerte orange de niveau bas d’huile, sur le tableau de bord et sur sa réplique du nouveau tableau de contrôle, qui à son tour active automatiquement l’électrovanne-injecteur-venturi du circuit proactif d’huile moteur afin de lui permettre de ponctionner une quantité d’huile, de son réservoir de réserve et de l’injecter dans ledit carter ou ailleurs dans le circuit de lubrification, pour en compléter le niveau. Une fois que le niveau d’huile dans le carter a atteint le niveau maxi, ledit venturi stoppe l’injection pour éviter le trop plein. En ce moment, une seconde impulsion de niveau maxi est transmise directement ou au calculateur par ladite sonde qui désactive le voyant lumineux d’alerte orange de niveau d’huile (extinction) sur le tableau de bord et sur le tableau de contrôle. Le problème de niveau bas dans le carter y est alors résolu
Aspect du voyant d’alerte orange ou jaune de niveau de liquide de refroidissement.
Il peut se présenter sous la forme du symbole d'un thermomètre de couleur orange/jaune, avec 2 vagues représentées en partie inférieure symbolisant le liquide de refroidissement. Il peut aussi se présenter sous la forme d'un pictogramme représentant la partie supérieure d'un radiateur avec son bouchon avec des vagues représentées dessous.
Le liquide de refroidissement : Le circuit de refroidissement a besoin d’un liquide spécifique pour refroidir le moteur et évacuer les calories émises. C’est un fluide, principalement composé d’eau traitée et d’antigel, qui maintient le moteur à sa température idéale de fonctionnement. En 10 circuit fermé, il est continuellement refroidi par le radiateur avant son passage dans le moteur. Sans liquide de refroidissement, le moteur surchaufferait à vitesse grand V. Le liquide de refroidissement permet au moteur de fonctionner à température constante. Son niveau doit donc être fréquemment vérifié. Par exemple, la consommation excessive de liquide de refroidissement pouvant activer le voyant lumineux de l’alerte orange de niveau bas, sur le tableau de bord, peut 15 être due au contenu ou au bouchon hermétique du vase d’expansion, à l’état des durites du circuit de refroidissement, à l’état du radiateur de refroidissement et à la qualité de l’huile moteur.
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Scénario d’une alerte orange de niveau trop bas de liquide de refroidissement moteur.
A bord d’un véhicule en déplacement, le voyant d’alerte orange de niveau de liquide de 20 refroidissement moteur s’allume, il vient de recevoir une alerte orange de niveau bas via sa sonde de niveau de liquide de refroidissement immergée dans le vase d’expansion ; le niveau y est au mini. Simultanément, une première impulsion de niveau mini est transmise directement ou au calculateur par ladite sonde qui active ledit voyant lumineux d’alerte orange de niveau de liquide de refroidissement, sur le tableau de bord et sur sa réplique du nouveau tableau de 25 contrôle, qui à son tour active aussi l’électrovanne-injecteur-venturi du circuit proactif de liquide de refroidissement afin de lui permettre de libérer automatiquement, de son réservoir d’appoint une quantité de liquide de refroidissement directement dans ledit vase ou ailleurs dans le circuit de refroidissement, pour en compléter le niveau. Une fois, que le niveau de liquide de refroidissement dans le vase a atteint le niveau maxi, une seconde impulsion de niveau maxi est 30 transmise directement ou au calculateur par ladite sonde qui désactive ledit voyant d’alerte orange de niveau de liquide de refroidissement sur le tableau de bord et sur le nouveau tableau de contrôle qui à son tour encore désactive l’électrovanne-injecteur-venturi d’appoint de liquide de refroidissement. Le problème de niveau bas dans le vase d’expansion y est alors résolu.
L’injecteur de liquide de refroidissement fixé dans le vase d’expansion, sera positionné exactement comme la durite principale d’arrivée provenant du radiateur qui se trouve en dessous du niveau du liquide, pour qu’il n’y ait pas d’introduction d’air dans le circuit quand le liquide va refroidir et repasser en direction du moteur. Cette position, permettra d’injecter automatiquement le liquide de refroidissement sous haute pression et sans bulle directement dans le vase d’expansion, pour le réalimenter en liquide de refroidissement et solutionner le problème de manque liquide de refroidissement signalé.
Aspect du voyant d’alerte rouge de niveau du liquide de frein.
Il est impératif d’identifier le voyant de liquide de freins. Il s'agit souvent d'un pictogramme de couleur rouge ou jaune représentant un cercle entouré de deux arcs de cercle, associé à un point d'exclamation.
Le liquide de frein : Lorsqu’on appuie sur la pédale de frein, un liquide sous pression est envoyé aux différents organes du circuit. Sous cette pression, les plaquettes de frein sont serrées contre le disque, ce qui assure le freinage des roues. Le liquide de frein étant au cœur du mécanisme, son absence rend donc tout freinage impossible.
Scénario d’une alerte rouge de niveau trop bas de liquide de frein.
A bord d’un véhicule en déplacement, le voyant d’alerte rouge de niveau de liquide de frein s’allume, il vient de recevoir une alerte rouge de niveau bas via sa sonde de niveau de liquide de frein immergée dans le bocal de compensation ; le niveau y est au mini. Aussitôt, une première 15 impulsion de niveau mini est transmise directement ou au calculateur par ladite sonde qui active ledit voyant d’alerte rouge de niveau de liquide de frein, sur le tableau de bord et sur la réplique sur le nouveau tableau de contrôle, qui à son tour active simultanément l’électrovanne-injecteur du circuit proactif de liquide de frein afin de lui permettre de libérer automatiquement, de son réservoir d’appoint, une quantité de liquide de frein directement dans ledit bocal ou ailleurs dans 20 le circuit de freinage, pour en compléter le niveau. Une fois, que le niveau de liquide de frein dans le bocal a atteint le niveau maxi, une seconde impulsion de niveau maxi est transmise directement ou au calculateur par ladite sonde qui désactive ledit voyant d’alerte rouge de niveau de liquide de frein sur le tableau de bord et sur le nouveau tableau de contrôle qui à son tour encore désactive en même temps l’électrovanne-injecteur de liquide de frein de réserve. Le 25 problème de niveau bas dans le bocal de compensation y est résolu.
L’injecteur de liquide de frein fixé sous le bocal de compensation, débouche exactement au niveau de son trou de compensation provenant du maître-cylindre qui se trouve en dessous du niveau du liquide, pour qu’il n’y ait pas d’introduction d’air dans le circuit comme pour 30 compenser les variations de volume liées à la température (de l’air et du circuit).
Voyants de voiture, rouge d'alarme.
On retrouve la batterie, la pression d'huile moteur, la température d'huile moteur, la température du liquide de refroidissement et un problème lié au freinage. Ces témoins d'alarme rouges 35 préviennent le conducteur (danger) qu'il doit immédiatement stopper son véhicule. Certains voyants d’alarme rouge s'allument systématiquement avant le démarrage du moteur et s'éteignent ensuite. Si ce n'est pas le cas, une réparation s'impose car le véhicule n'est plus en état de rouler en sécurité.
Aspect du voyant d’alarme rouge de pression d'huile.
Le voyant de pression d'huile du moteur est facilement identifiable grâce à son pictogramme de couleur rouge représentant une burette d'huile avec une goutte tombante.
Aspect du voyant d’alarme rouge de température d’huile.
Il se présente toujours sous la forme du symbole d'un thermomètre de couleur rouge, posé audessus de la burette d'huile avec une goutte tombante.
Aspect du voyant d’alarme rouge de température de liquide de refroidissement.
Il se présente toujours sous la forme du symbole d'un thermomètre de couleur rouge, avec 2 vagues représentées en partie inférieure symbolisant le liquide de refroidissement.
L’huile moteur et Le liquide de refroidissement : La non-exécution de l’appoint préconisé par 10 l’activation du voyant lumineux d’une alerte orange de niveau bas d’un de ces fluides, sur le tableau de bord, conduira inexorablement à une baisse ou à un manque de l’un des deux. Cedit manque provoquera une pression insuffisante et une température trop élevée dans le circuit jusqu’à l’endommagement ou à la destruction du moteur si le conducteur n’arrête pas le véhicule et coupe le moteur immédiatement. Au-delà de 1 litre d’huile moteur pour 1 000 km il faudra 15 s'interroger et si vous avez à rajouter du liquide de refroidissement tous les 1 000 km, il y a de fortes chances pour que vous trouviez une fuite. Par exemple, la fuite d’huile moteur pouvant activer le voyant d’alarme rouge de pression insuffisante ou de température trop élevée, sur le tableau de bord, est souvent causée par un carter endommagé par un choc, une fatigue ou un dévissage du joint de la vis de purge du carter, du joint spi, du joint de cache culbuteur, du joint 20 de culasse ou à une fuite au niveau du radiateur d'huile/échangeur huile — eau, du filtre à huile, etc. Tandis que la fuite de liquide de refroidissement pouvant activer le voyant lumineux de l’alarme rouge de température trop élevée est très souvent occasionnée par l’état du radiateur, du joint de culasse, de la pompe à eau, du relâchement ou du morcèlement du caoutchouc d’une durite qui apparaît avec le temps, une bague de serrage ou un collier qui n’est pas assez serrée.
Scénario d’une alarme rouge.
Admettons, en conduite, que le carter d’huile se perce ou que le radiateur s’endommage ou qu’une durite du circuit de freinage se sectionne et que vous perdiez un des fluides sans le savoir ou que le réservoir d’huile moteur ou que le réservoir de liquide de refroidissement ou que le 30 réservoir de liquide de frein, de réserve, soient à leurs niveaux mini, cette nouvelle capacité proactive acquise détectera automatiquement la baisse rapide de niveau du fluide et subite dans le carter, le vase d’expansion, le bocal de compensation ou le réservoir de liquide de frein de réserve. Le voyant d’alarme rouge de pression insuffisante, de température élevée de d’huile moteur, de température élevée de liquide de refroidissement ou de niveau mini de liquide de 35 réserve s’allumera, activera le relais temporisé faisant office de fusible afin de déclencher le circuit proactif de coupure automatique du moteur par intermittence c’est-à-dire par à-coups. Tant que ledit voyant rouge restera allumé, la fréquence d’intermittence empêchera le conducteur de forcer le moteur à monter en régime à fonctionner sans huile afin d’éviter sa destruction.
Le nouveau relais temporisé automobile est programmé pour couper automatiquement le moteur 40 en marche par intermittence afin de l’isoler en aval des conséquences désastreuses qui pourraient provenir de l’amont. La commande est l’impulsion caractéristique, négative ou positive, qui allume simultanément aussi l’une des répliques des trois (03) voyants d’alarme rouge de pression insuffisante et de température d’huile moteur trop élevé, de température de liquide de refroidissement trop élevée et/ou des trois (03) voyants de niveau mini des réserves d’huile 45 moteur, de liquide de refroidissement et de liquide de frein.
Il sera primordial d’établir une nouvelle connexion filaire entre le relais temporisé (fusible), le contacteur de démarreur (abusivement appelé Neiman) et le calculateur pour l’impulsion caractéristique afin de capter simultanément les communications entre les sondes connectées aux organes et leurs voyants d’alarme rouge sur le tableau de bord. Les mêmes informations qui 5 activent les voyants rouges concernés, activeront aussi ledit fusible.
Tout ne repose plus sur la responsabilité du conducteur mais dépend aussi de la gestion proactive du moteur, donc de son nouveau système automatique de veille. Avec ce procédé, la gestion active permet au moteur du véhicule de transport, directement ou via son calculateur 10 électronique, selon le type d’impulsion, dans sa phase d’alerte causée par les niveaux bas d’huile moteur, de liquide de refroidissement et de liquide de frein, d’activer instantanément le circuit proactif d’injection automatique du fluide.
L’électrovanne de l’injecteur-venturi du circuit proactif concerné va s’activer et ponctionner directement un volume de fluide, de son réservoir de stockage, afin de faire un appoint pour 15 corriger automatiquement le niveau bas signalé et éviter qu’il en manque.
Dans sa phase d’alarme, causée par le niveau trop bas de liquide de frein, les températures trop élevées et les pressions insuffisantes d’huile moteur et de liquide de refroidissement, d’activer instantanément la coupure automatique du moteur. Le relais temporisé du circuit proactif de la seconde composante va se désactiver et couper automatiquement par intermittence l’alimentation 20 du moteur afin de l’isoler pour empêcher son redémarrage.
La gestion proactive se manifestera instantanément pendant l’avènement des alertes orange (baisse de niveau de fluides) et des alarmes rouge (manque crucial de fluides) du véhicule. Elle est mise en pratique par le nouveau procédé de gestion proactive dimensionné, pouvant intégrer simultanément plusieurs circuits proactifs distincts et indépendants, d’injection et un (01) unique 25 circuit proactif de mise en quarantaine automatique du véhicule de transport. S’agissant de l’impulsion caractéristique plus complexe des sondes, le traitement et l’affichage de l’information par les voyants indicateurs sur le tableau de bord nécessite de transiter par un calculateur électronique dédié. Mais quand elle est positive ou négative plus simple, le traitement et l’affichage de l’information par lesdits voyants, peut être direct.
Un conducteur inexpérimenté, fatigué, distrait, peu regardant, joueur etc... présente tous les risques de laisser les voyants d’alerte orange et d’alarme rouge affectés directement le moteur jusqu’à un point de non-retour. Aucun moteur n’est à l’abri de potentielles défaillances qualitatives, quantitatives et fonctionnelles desdits fluides vitaux. Pour une personne, empruntant un véhicule sans en contrôler les niveaux de fluides, cette innovation veillera automatiquement 35 sur son moteur, à la place de l’utilisateur habituel. Ces dispositifs évitent la récurrente corvée du matin qui est de contrôler les niveaux de fluides et de faire les compléments, si besoin est, avant de démarrer le moteur. Dans tous les manuels d’entretien automobiles, il est impérativement préconisé pour le circuit de lubrification du moteur, de refroidissement du moteur, de freinage du véhicule, de lave-glace de toujours avoir une réserve dans le coffre pour les appoints en cas de besoin. L’invention évite d’embarquer dans son coffre des bidons volants de fluides pour les compléments manuels et anticipe sur l’avènement de potentiels dégâts sur le moteur.
Une alarme sonore dans l’habitacle signalera le processus d’injection d’huile moteur dans le circuit de lubrification du moteur, le processus d’injection de liquide de refroidissement dans le circuit de refroidissement du moteur et le processus d’injection d’huile de frein dans le circuit de 45 freinage du véhicule.
L’innovation sera mieux comprise à travers les figures suivantes :
• La figure 5 représente, en vue de face, le dessin d’abrégé de l’ensemble du procédé de gestion proactive des alertes orange/jaune et des alarmes rouge, du moteur thermique à combustion interne du véhicule de transport et sur bâti fixe.
· La figure 1 représente, en vue de face et en coupe A-A, le circuit proactif d’injection automatique d’huile dans le circuit de lubrification du moteur pour annuler le voyant d’alerte orange de niveau d’huile moteur (5) et sa réplique (5r).
• La figure 2 représente, en vue de face et en coupe B-B, le circuit proactif d’injection automatique de liquide dans le circuit de refroidissement du moteur pour annuler le 10 voyant d’alerte orange de niveau de liquide de refroidissement (8) et (8r).
• La figure 3 représente, en vue de face et en coupe C-C, le circuit proactif d’injection automatique de liquide dans le circuit de freinage du véhicule pour annuler le voyant d’alarme rouge de niveau de liquide de frein (11) et (1 Ir).
• La figure 4 représente, en vue de face, le circuit proactif de mise en quarantaine 15 automatique du moteur pour annuler l'allumage des voyants d’alarme rouge de pression insuffisante (2) et (2r), de température trop élevée d'huile moteur (3) et (3r), de température trop élevée de liquide de refroidissement (4) et (4r) et des voyants d’alarme rouge (6b), (9b) et (12b) des niveaux mini des compartiments (49), (34) et (74).
• La figure 6 représente, en vue de face et en coupe D-D, le réservoir multi20 compartimenté portant le marquage huile moteur de réserve (44) pour l’appoint du circuit de lubrification du moteur, liquide de refroidissement de réserve (34) pour l’appoint du circuit de refroidissement du moteur et liquide de frein de réserve (74) pour l’appoint du circuit de freinage du véhicule.
Selon le mode de réalisation 1, la figure 1 représente le nouveau circuit proactif d’injection automatique d’huile moteur dans le circuit de lubrification du moteur, en cas d’alerte orange et se compose d’un réservoir individuel ou un compartiment de réserve dimensionné et marqué huile moteur (44) du réservoir multi-compartimenté (huile moteur, liquide de refroidissement et de frein), pour la lubrification du moteur avec un niveau maxi (48), un niveau intermédiaire (48i) et un niveau mini (49), muni d’une sonde de niveau d’huile de réserve (46). Il comprend une pompe électrique (45), une électrovanne-injecteur-venturi (43) relié au buzzer (bl) et filairement par (14), (15) et (16) au calculateur (18) et une conduite (47) reliant ladite pompe (45) audit injecteur (43).
Au niveau du nouveau tableau de contrôle (la) de l’invention protégé par une boîte de fusible (1b), est prévu la réplique (5r) du voyant d’alerte orange (5) existant relié au buzzer (b2) d’une centrale sonore (b), qui est connectée aussi à la sonde (41) pour capter directement les impulsions afin d’éviter de toucher à l’intégrité du tableau de bord, un nouveau bi-voyant (6) d’alerte orange (6a) et d’alarme rouge (6b) de niveau de réserve d’huile moteur dans le 40 compartiment (44), un voyant de signalisation vert (7) relié au buzzer (b3) pour le statut du dispositif (fig.l) et un (01) bouton poussoir (17) à commutateur quatre (04) positions (17a) (17b), (17c) et (17d) pour activer manuellement l’électrovanne-injecteur-venturi (43) pour faire un appoint dans le carter d’huile (40), si on constate un manque d’huile lors d’un contrôle de niveau. Il faudra tirer légèrement, vers soi, le bouton poussoir (17) avant de le tourner pour 45 sélectionner une position, ensuite le lâcher pour qu'il s'y enclenche et appuyer pour injecter.
Sinon, il sera impossible de le faire tourner. C’est un connecteur tactile servant à assurer la liaison électrique momentanée ou l'ouverture temporaire du contact électrique. Chaque sélection de la position (17a), autorise le passage du courant à travers l’électrovanne-injecteur-venturi (43), qui active l’injection d’huile moteur. Quand le contact est relâché, il revient. Le courant ne 5 circule à travers le circuit que pendant l'appui sur le bouton.
Le contrôleur possède aussi un bouton Test (17e) relié au buzzer (bl7) intégré pour tester la fonctionnalité de tout le système et doit être utilisée uniquement avec les injecteurs déconnectés afin d'empêcher le pompage involontaire de fluide. Ce sont les moyens d'interaction entre l'homme et le procédé.
Dans le compartiment d’huile moteur de réserve (44), le voyant d’alerte orange (6a) du bi-voyant contrôle le niveau maxi (48) et intermédiaire (48i) tandis que son voyant d’alarme rouge (6b) contrôle le niveau mini (49). Si la quantité d’huile de réserve est au niveau intermédiaire (48i), c’est le voyant d’alerte orange (6a) qui s’allume sur le tableau de contrôle (la) afin d’informer 15 passivement le conducteur du besoin immédiat de complément. Si la quantité d’huile de réserve baisse jusqu’au niveau mini (49), c’est le voyant d’alarme rouge (6b) qui s’allume sur le tableau (la) et active instantanément le circuit proactif de coupure moteur automatique (fig.4) afin de le contraindre à refaire l’appoint du compartiment de réserve (44).
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La pompe (45) est reliée à la batterie du véhicule et a un filtre, un régulateur de pression et un moteur électrique servant à aspirer l’huile stockée dans le contenant (44), pour alimenter le carter via la conduite (47). Quand le régulateur détecte une pression mini dans le circuit proactif d’huile, le moteur électrique (45) se met en marche automatiquement pour rééquilibrer la pression. L’huile moteur étant déjà sous-pression, ledit injecteur (43) sera muni d’une 25 électrovanne (18) permettant à la pompe de pressuriser l’huile dans le circuit d’appoint avant de le pulvériser. L’orifice de l’injecteur (43) est régit par un clapet qui bloque l’huile entre elle et la pompe (45). La pression souhaitée sera celle nécessaire pour introduire le complément d’huile à l’intérieur dudit circuit de lubrification déjà pressurisé. Ainsi dès que l’électrovanne-injecteur (43) reçoit l’impulsion à travers sa connexion filaire (15), son clapet s’ouvre et l’huile est 30 pulvérisée directement dans le carter d’huile moteur (40) ou ailleurs.
La sonde existante de niveau d’huile (41) est immergée dans l’huile contenue dans le carter (40) muni d’un niveau mini (59) et un niveau maxi (58). Elle est reliée filairement (14) à son existant voyant lumineux d’alerte orange de niveau d’huile (5) et (5r) et envoie un signal électrique positif (12/24v)/négatif (-) directement, ou caractéristique via un calculateur (18) de 35 gestion moteur, qui affiche son statut, sur le tableau de bord (1). En plus de la transmission filaire (14) existante des données entre la sonde de niveau d’huile (41) existante pour en mesurer le niveau et l’existant voyant d’alerte orange de niveau d’huile (5) pour en visualiser le statut sur le tableau de bord (1); une nouvelle communication filaire (16) sera établie avec l’électrovalveinjecteur-venturi (43) du circuit (fig.l) et la réplique (5r). Pour tenir le circuit proactif en alerte, 40 la sonde de niveau de réserve d’huile (46) transmettra ses données en permanence à son bivoyant (6) de niveau de réserve d’huile pour indiquer son statut sur le tableau de contrôle (la).
L’injection de l’huile dans le carter (40) ou ailleurs dans le circuit de lubrification dépend du mode du type d’injecteur choisi et de son mode de régulation. Il en est de même pour la durée 45 d’activation du voyant (5) et (5r).
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I I I I I I I I I I I • Si le délai d’ouverture de l’injecteur est programmé (en général un injecteur est programmé pour une durée d’ouverture et de fermeture précise pour injecter une certaine quantité), alors sa commande l’active et le désactive afin de pulvériser de façon intermittente plusieurs jets d’huile jusqu’à la désactivation des voyants orange (5) et (5r).
· Si le délai d’ouverture de l’injecteur n’est pas programmé alors tant que les voyants orange (5) et (5r) sont allumés sur le tableau (1), la commande active un jet d’huile continu jusqu’à leur désactivation.
Le niveau d’huile corrigé et pris en compte par la sonde de niveau d’huile (41) existante, le 10 voyant d’alerte orange de niveau d’huile (5) et (5r) s’éteignent. Le problème de niveau bas d’huile (59) dans le carter d’huile (40) moteur est alors résolu. A son tour, le voyant d’alerte orange de niveau d’huile de réserve (6a) situé dans le réservoir d’appoint (44) pourrait s’allumer sur le tableau (la), si le volume d’huile ponctionné dudit réservoir (44) est tel que l’huile y restante est parvenue au niveau intermédiaire (48i). Le conducteur devra alors compléter le 15 niveau jusqu’au niveau maxi (48) afin d’éviter que celui-ci n’atteigne le niveau mini (49) entraînant l’allumage du voyant d’alarme rouge de niveau d’huile de réserve (6b).
Mais, un dysfonctionnement du système d’alerte ou d’alarme, donc ici de la sonde de niveau d’huile (41) située dans le carter (40) pourrait activer l’allumage intempestif dudit existant voyant d’alerte orange (5) donc simultanément aussi sa réplique (5r) et provoquer des injections 20 d’huile non souhaitées qui pourrait entraîner un trop plein dans le carter (40). Le trop plein d’huile peut causer des dégâts également. C’est-à-dire que le niveau maxi (58) est bon dans le carter d’huile (40) mais la sonde (41) envoie des données erronées audit existant voyant d’alerte orange (5) sur le tableau de bord (1). Pour pallier à cela, l’injecteur sera muni d’un tube venturi. Ce dispositif est utilisé depuis longtemps dans les pompes de service des stations de carburant 25 qui arrête l’injection lorsque le bout du pistolet inséré dans le réservoir baigne dans le fluide.
Pour notre cas-ci, au niveau du carter d’huile (40) ou ailleurs dans le circuit de lubrification du moteur, l’électrovanne-injecteur-venturi (43) sera positionné de sorte que, lorsqu’il y a un manque d’huile, le bout dudit injecteur soit émergé hors du fluide et lorsque le niveau est bon, que le bout y soit immergé. Ceci pour favoriser le bon cycle de fonctionnement du tube venturi, 30 c’est-à-dire injection ou arrêt. Le rôle de la nouvelle boîte de fusible (lb) de notre tableau de contrôle est de protéger son circuit électrique (fusibles et relais).
Selon le mode de réalisation 2, la figure 2 représente le nouveau circuit proactif d’injection automatique de liquide de refroidissement dans le circuit de refroidissement du moteur, en cas 35 d’alerte orange et se compose du réservoir individuel ou du compartiment de réserve dimensionné et marqué liquide de refroidissement (31) pour le refroidissement du moteur avec un niveau maxi (33), un niveau intermédiaire (33i) et un niveau mini (34) muni d’une sonde de niveau de liquide de refroidissement de réserve (32). Il comprend une pompe électrique (35), une électrovanne-injecteur-venturi (25) relié au buzzer (b4) et filairement par (14), (15) et (16) 40 directement ou au calculateur (18) et d’une conduite (29) reliant ladite pompe (35) audit injecteur d’appoint (25). Le niveau mini (34) de liquide de refroidissement de réserve dans le compartiment (31) pourra également activer le processus de coupure automatique du moteur (fig.4) via le voyant d’alarme rouge (9b) du bi-voyant (12) de niveau afin de contraindre le conducteur à y refaire l’appoint.
Au niveau du nouveau tableau contrôle (la) de l’invention, est prévu la réplique (8r) du voyant d’alerte orange (8) existant et relié au buzzer (b5), qui est connectée aussi à la sonde (22) pour capter directement les impulsions, un nouveau bi-voyant (9) d’alerte orange (9a) et d’alarme rouge (9b) de niveau de réserve de liquide de refroidissement dans le compartiment (31), un 5 voyant de signalisation vert (10) relié au buzzer (b6) pour le statut du dispositif (fig.2). Le commutateur sur la position (17b) du bouton poussoir (17) servira à l’activation manuelle de l’électrovanne-injecteur-venturi (25) pour un appoint.
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DANS LE VASE D’EXPANSION DUE A LA FLUCTUATION DE LA TEMPERATURE.
Le vase d'expansion (20) (réservoir de trop plein) est un élément du circuit de refroidissement, il comporte 1 niveau mini (24) et 1 niveau maxi (23). En général, il est relié au radiateur (30) par la tuyauterie (28) de trop plein. Ces niveaux mini (24) et maxi (23) permettent de contenir en compensant les variations de volume du liquide de refroidissement dues au phénomène de dilatation thermique (augmentation de la température). C'est aussi une réserve de liquide et l'endroit par lequel on remplit le circuit. Un capteur de niveau (22) signale un éventuel manque de liquide sur le tableau de bord (1) via son existant voyant d’alerte (8). La pressurisation du circuit de refroidissement permet de reculer la température d'ébullition du liquide de refroidissement. En effet, lorsque le liquide bout, il forme des poches de gaz qui empêchent la circulation de liquide et le refroidissement, d'où l'intérêt de reculer e point d'ébullition. De façon générale, la contenance est de 5 à 7 litres qui ont vite fait de s'échapper par le moindre défaut d'étanchéité. Pour une pressurisation de 1 bar, la température d'ébullition du liquide est repoussée de 18°C (le point d'ébullition à pression atmosphérique d'un liquide de refroidissement classique est de 107°C). Le bouchon hermétique du vase d’expansion est muni de deux (2) clapets :
• Un clapet de surpression (21): Quand ledit liquide chauffe: Elle augmente de volume, une partie de l'eau du radiateur (30) vient remplir le vase (20), la pression de l'air comprise dans ledit vase (20) au-dessus de l'eau augmente, à partir d'une certaine pression (0,5 à 2 bars), le clapet de pression (21) s'ouvre, permettant à l’air de s’échapper par la sortie (27), pour stabiliser la pression dans le vase (20) à la valeur maxi (23). Ce clapet (21) permet la pressurisation du circuit en cas de surpression. Ce sont les « soupapes de sécurité » du système de refroidissement;
• Un clapet de dépression (2Γ): Quand le liquide de refroidissement refroidit: Son volume diminue, et une partie de l'eau quitte le vase (20) par le trou dans le fond (26) pour retourner au radiateur (30) par la conduite (28), la pression de l'air chute dans le vase (20) et si elle devient trop faible, il se crée une dépression.
Le clapet (21’) s'ouvre laissant pénétrer dans le vase (20) une certaine quantité d'air nécessaire pour obtenir une pression mini. A l'arrêt du véhicule, en refroidissant, il diminue de volume, et une dépression se crée dans le circuit. À ce moment, le clapet (21’) de dépression s'ouvre, permettant la mise à pression atmosphérique, et évitant aux durites (28) de s'écraser.
En conclusion, ce nouveau dispositif (fig.2) d’appoint de liquide de refroidissement est similaire à la compensation des variations de volume du liquide de refroidissement dues au phénomène de 45 dilatation thermique.
L’appoint de liquide de refroidissement lors de son injection dans le vase d’expansion (20) par le fond de celui-ci, aura les mêmes caractéristiques que lors du fonctionnement normal du circuit de refroidissement c’est à dire l’augmentation du volume de liquide dans le vase d’expansion (20), quand la température du moteur augmente.
Pour ce cas-ci également, au niveau du vase d’expansion (20) ou ailleurs dans le circuit de refroidissement du moteur, l’électrovanne-injecteur-venturi (25) sera positionné, comme précédemment pour le cas de l’huile moteur dans le carter, pour favoriser le bon cycle de fonctionnement du tube venturi, c’est-à-dire injection ou arrêt.
Selon le mode de réalisation 3, la figure 3 représente le circuit proactif d’injection automatique de liquide de frein dans le circuit de freinage du véhicule, en cas d’alerte rouge et se compose du . réservoir individuel ou du compartiment de réserve dimensionné et marqué liquide de frein (70) pour le freinage du véhicule avec un niveau maxi (73), un niveau intermédiaire (73i) et un niveau mini (74) muni d’une sonde de niveau de réserve de liquide de frein (72). Il comprend une 15 pompe électrique (75), une électrovanne-injecteur-venturi (77) relié au buzzer (b7) et filairement par (14), (15) et (16) directement ou au calculateur (18). Une conduite (76) relie la pompe de gavage (75) à l’injecteur (77). Pour la sécurité, le niveau mini (74) de liquide de frein de réserve dans le compartiment (70) activera le processus de coupure automatique du moteur (fig.4) via le voyant d’alarme rouge (12b) du bi-voyant (12) de niveau afin d’empêcher le conducteur 20 d’utiliser le véhicule si le niveau d’huile de frein de réserve requis est au mini, prévenant ainsi les accidents de la circulation.
Au niveau du nouveau tableau de contrôle (la) de l’invention, est prévu la réplique (1 lr) du voyant d’alerte orange (11) relié au buzzer (b8), qui est connectée aussi à la sonde (81) pour 25 capter directement les impulsions, un nouveau bi-voyant (12) d’alerte orange (12a) et d’alarme rouge (12b) de niveau de réserve de liquide de frein dans le compartiment (70) et un voyant de signalisation vert (13) relié au buzzer (b9) pour le statut du dispositif (fig.3).
Le commutateur sur la position (17c) du bouton (17) servira à l’activation manuelle de l’électrovanne-injecteur-venturi (77) pour un appoint. Pour ce cas-ci aussi, au niveau du bocal de 30 compensation (80) ou ailleurs dans le circuit de freinage du véhicule, l’électrovanne-injecteurventuri (77) sera positionné, comme précédemment pour le cas de l’huile moteur dans le carter (40) et du liquide de refroidissement dans le vase d’expansion (20), pour favoriser le bon cycle de fonctionnement du tube venturi, c’est-à-dire injection ou arrêt.
Selon le mode de réalisation 4, la figure 4 représente le circuit proactif de mise en quarantaine automatique du moteur en cas d’alarme rouge et complète le compartiment moteur avec un nouveau relais temporisé automobile (60) à cinq (5) bornes. Une borne (85), (86), (87) (87a) et (30). La bobine est alimentée par les bornes (86) et (85). Ici, la borne (86) reçoit par la liaison filaire (61) ou (62) ou (66) les signaux caractéristiques soit du calculateur, positifs (12/24v) ou 40 négatifs (-) directement, d’activation des voyants d’alarme rouge (2) et (2r) ou (3) et (3r) ou (4) et (4r) ou (6b) ou (9b) ou (12b) lorsque au moins l’un quelconque des six (06) s’allume. Plusieurs signaux, équivalent à autant de problèmes. Considérons ici que le signal est positif (12/24v), les feux de détresse et le klaxon seront connectés également à la borne (86). La borne (85) est reliée à la masse (51) via la liaison filaire (65). La borne (87a) normalement ouverte est reliée à ON (53) de la clef (50) par la liaison filaire (64).
La borne (30) quant à elle est reliée à l’ACC (52) de la clef (50) par le fil électrique (63). La borne (87) est activée lorsque le courant se perd à la borne (87a), c’est la coupure moteur par intermittence, donc activée par une alarme rouge (2r) ou (3r) ou (4r) ou (6b) ou (9b) ou (12b).
Au niveau du nouveau tableau de contrôle (la) de l’invention, est prévu les répliques (2r), (3r) et (4r) des voyants d’alarme rouge (2), (3) et (4), reliés aux buzzer (blO), (bl 1) et (bl2), connectées aussi aux sondes directement. Les bi-voyants d’alarme rouge (6b), (9b) et (12b), reliés aux buzzer (bl3), (bl4) et (b 15), des sondes de niveaux de réserve y sont déjà installés.
Un voyant de signalisation vert (13a) relié au buzzer (bl6) pour le statut du dispositif (fig.4). Le 10 commutateur sur la position (17d) du bouton (17) servira à l’activation manuelle du relais temporisé (60).
La désactivation intermittente du relais temporisé sera donc dictée par la défaillance du/des:
• Circuit de lubrification moteur allumant les leds des répliques des voyants d’alarme 15 rouge de pression insuffisante (2) et (2r) et de température trop élevée d'huile moteur (3) et (3r);
• Circuit de refroidissement moteur allumant le led de la réplique du voyant d’alarme rouge de température trop élevée de liquide de refroidissement (4) et (4r).
• Trois (03) circuits des compartiments (44), (31) et (70) allumant les leds des répliques 20 des voyants d’alarme rouge (6b), (9b) et (12b) des niveaux mini des fluides de réserve (49), (34) et (74).
La nouveauté consiste à relier ensemble filairement les six (06) voyants d’alarme rouge (2r) et (3r) et (4r) et (6b) et (9b) et (12b) à la borne (86) du relais temporisé (60) faisant office de fusible, afin de transmettre l’impulsion de leurs alarmes rouge de façon indépendante. Mais nous 25 sommes toujours face à deux (02) possibilités, en cas de manque crucial de fluides :
• Si le compartiment d’appoint concerné (31), (44) ou (70) est à son niveau maxi (33), (48) ou (73) ou intermédiaire (33i), (48i) ou (73i) alors sa pompe (35), (45) ou (75) s’activera et injectera le fluide, l’appoint est fait et après la réinitialisation du circuit par le calculateur (18), respectivement le voyant orange (5r) relié à la sonde de niveau d’huile 30 moteur (46), (8r) relié à la sonde de niveau de liquide de refroidissement (22) et/ou (1 Ir) relié à la sonde de niveau de liquide de frein (41) s’éteint mettant le moteur hors de danger; le relais temporisé (60) faisant office de fusible n’est pas sollicité.
• Si le compartiment d’appoint concerné (31), (44) ou (70) est à son niveau mini (34), (49) ou (74), alors il déclenchera l’allumage du voyant rouge (6b) ou (9b) ou (12b) qui à son 35 tour activera le relais temporisé (60) qui coupera par intermittence l’alimentation en carburant (électrovalve de carburant) ou/et électrique (53) du moteur (ignition ou arrêt moteur), après le temps programmé afin d’interdire son redémarrage.
Le signal transmis par la liaison filaire qui active le processus de coupure moteur, active 40 simultanément un avertisseur interne lumineux et sonore dans l’habitacle du véhicule pour le conducteur et déclenche automatiquement le système « Feux de détresse » et le Klaxon pour l’avertisseur externe du véhicule pour prévenir les usagers environnants de la route d’un problème afin de leur signaler le début du processus de coupure moteur.
Grâce à ce relais temporisé, on assistera à une baisse progressive du régime moteur car l’intermittence de la coupure empêchera une accélération et favorisera une décélération au fur et à mesure afin de permettre au conducteur de se sortir de la file pour se garer en toute sécurité avant que le délai imparti ne désactive complètement l’alimentation électrique de la borne (86) 5 provenant de la borne ON (53) de la clef (50). Cette désactivation persistera pendant toute la durée de l’allumage du voyant d’alarme rouge. Le moteur ne redémarrera pas tant que l’un des voyants d’alarme rouge (2r) et/ou (3r) et/ou (4r) et/ou (6b) et/ou (9b) et/ou (12b) restera allumé.
Le relais (60) va ouvrir/fermer donc claquer suivant sa programmation dans l’objectif de sécuriser la santé du moteur en l'empêchant de monter en régime pendant ce temps programmé.
La fréquence de l'intermittence doit empêcher l’accélération mais ne doit pas couper le moteur. Passé ce délai, le relais se ferme et coupe totalement le moteur. La fréquence de l'intermittence du relais est réglable et sera propre à chaque véhicule.
Le nouveau relais temporisé automobile est programmé pour couper automatiquement le moteur 15 en marche par intermittence afin de l’isoler en aval des conséquences désastreuses qui pourraient provenir de l’amont.

Claims (9)

1) Procédé de gestion proactive des alertes orange/jaune et des alarmes rouge, du moteur thermique à combustion interne du véhicule de transport et sur bâti fixe caractérisé en ce qu’il comprend trois (03) principales composantes représentées par : trois (03) réservoirs ou un (01) réservoir multi-compartimenté (31), (44) et (70) de fluide de réserve muni de sondes de niveau de réserve (32), (46) et (72), deux (02) circuits proactifs à fonctionnement indépendant munis d’électrovannes-injecteurs-venturi (25), (43) et (77), un (01) tableau de contrôle (la) protégé par une boite de fusible (1b) muni des répliques des voyants lumineux et sonores d’alerte et d’alarme (5r), (8r) et (1 Ir) et de nouveaux bivoyants de fluides de réserve (6), (9) et (12), un (01) bouton poussoir (17) à commutateur quatre (04) positions (17a), (17b), (17c) et (17d) et un bouton test (17e).
2) Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce qu’il permet de résoudre automatiquement les problèmes réversibles du moteur (signalés par les alertes orange ou jaune) et/ou de le mettre en quarantaine afin de le protéger des problèmes irréversibles (signalés par les alarmes rouge) grâce à sa capacité à capter, transformer pour rediriger, depuis les sondes, l’impulsion via un calculateur (18), directe si positive (12/24v) ou négative (-) vers les répliques du tableau de contrôle (la), et générer un changement de statut pour activer et/ou désactiver automatiquement les circuits proactifs.
3) Procédé selon les revendications 1 et 2 caractérisé en ce qu’il permet l’injection automatique ou manuelle d’un fluide dans un moteur ou dans un système de freinage à partir du réservoir multi-compartimenté, en cas de l’alerte orange (maintenant entre autre le bon niveau des fluides et assurant ainsi une bonne lubrification et une bonne température pour le bon fonctionnement des organes dudit moteur) et/ou de mettre le moteur en quarantaine en cas de l’alarme rouge pour le protéger de la détérioration (surchauffe du moteur) ou de la destruction prématurée (serrage du moteur) et empêcher le conducteur d’utiliser le véhicule si le niveau d’huile de frein de réserve est au mini, prévenant ainsi les accidents de la circulation et les dégâts collatéraux (sécurisation).
4) Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce que le réservoir de fluide est gradué en trois (03) niveaux primordiaux (maxi, inter et mini) pouvant être multi-compartimenté (31), (44) et (70) également gradués (maxi, inter et mini) et munis de sondes de niveau de réserve de fluide de mesure par point (32), (46) et (72) pour recevoir plusieurs types de fluides en vue de leur injection dans différentes parties du moteur.
5) Procédé selon la revendication 3 caractérisé en ce qu’il permet d’activer instantanément le premier circuit proactif, d’une part, pour faire injecter automatiquement un fluide d’appoint, tel que de l’huile moteur dans le circuit de lubrification du moteur, du liquide de refroidissement dans le circuit de refroidissement du moteur et du liquide de frein dans le circuit de freinage du véhicule lors d’une alerte orange, d’autre part, pour l’injecter manuellement grâce à un bouton poussoir (17) à commutateur quatre (04) positions dont la (17a) pour l’huile moteur, (17b) pour le liquide de refroidissement et (17c) pour le liquide de frein du, lors d’un contrôle révélant le niveau bas d’un des fluides.
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7)
8)
9)
Procédé selon la revendication 3 caractérisé en ce qu’il permet d’activer instantanément le second circuit, d’une part, pour faire couper automatiquement le moteur en cas d’alarme rouge et d’empêcher son redémarrage pour autant que le problème reste non résolu, d’autre part, pour le couper manuellement grâce à la position (17d) dudit bouton poussoir (17) pour servir de coupe-circuit principal.
Procédé selon la revendication 6 caractérisé en ce qu’un relais temporisé (60) va se désactiver et entraîner une baisse progressive du régime moteur pour prévenir de son arrêt imminent et couper automatiquement par intermittence l’alimentation du circuit carburant ou électrique (50) du moteur afin de l’isoler pour empêcher son redémarrage.
Procédé selon la revendication 7 caractérisé en ce que la baisse du régime est irréversible et tient lieu d’avertisseur, interne et externe, de coupure imminente et obligée pour ainsi permettre au conducteur de prendre des mesures sécuritaires idoines et pour prévenir les autres passagers de la route d’une situation.
Procédé selon la revendication 8 caractérisé en ce que l’avertisseur interne est lumineux et sonore dans l’habitacle du véhicule pour le conducteur et déclenche automatiquement le système « Feux de détresse » et le Klaxon pour l’avertisseur externe du véhicule pour prévenir les usagers environnants de la route d’un problème afin de leur signaler le début du processus de coupure moteur.
OA1202000180 2020-03-10 Procédé de gestion proactive des alertes orange/jaune et des alarmes rouges du moteur thermique du véhicule de transport. OA19528A (fr)

Publications (1)

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OA19528A true OA19528A (fr) 2020-11-13

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