OA18947A

OA18947A - Appareil pour labelliser la provenance des produits

Info

Publication number: OA18947A
Application number: OA1201800351
Authority: OA
Inventors: TAMEYA KENGNE Joseph KUE
Original assignee: TAMEYA KENGNE Joseph KUE
Filing date: 2018-09-11
Publication date: 2019-10-28

Abstract

L'invention concerne un appareil pour labelliser la provenance du produit, sans risque pour le promoteur d'émettre un message illogique. Suivant le mode préférentiel de réalisation, le cover (1) protège les composants électroniques nécessaires. Le serial-label (2) exprime la source d'activité du producteur. Le NCB (3) renferme la communication promotionnelle. L'entrée (4) les alimente en énergie électrique. Le GGRL (5) annonce l'expression. Le 20 (6) allume et éteint l'ISD (7) qui emboîte les plans à émettre. L'encoche (8) permet d'ouvrir les coques de protection des boîtiers. A l'intérieur, le châssis (9), le trou (10) et la vis (11) fixent l'EB (12) pourvu d'électricité. Le câble-GGR (13) sous tension, relaie le programme de promotion. Le NDB (14) lit la messagerie prévue. L'EM (15) module la lumière annonciatrice de l'émission. Le circuit imprimé (16) embarque le MSI (17) et le MSII (18) mémorisant le message annoncé. Le WMA (19) saisit et valide son application. Le TSI (20), le GS (21) et le TSII (22) traitent l'information écrite en plan 3D. L'inter-bus (23) transmet les données graphiques entre les composants reliés par Linterconnectique (24). Le CS (25) coordonne le traitement et les échanges. Le DB (26) émet les verbes et figures : « a% PRODUCE IN : P » ; « LOCAL ». « DELOCAL » ou « RELOCAL » ; « + ORIGINAL » ou « ORIGINAL ».

Description

La présente invention concerne un appareil pour labelliser la provenance des biens et des services dans le domaine de la production.

La communication promotionnelle de l’origine des produits sort habituellement de la voix des personnes, ce qui empêche les régies de l’exprimer systématiquement sans risque d’émettre un message illogique sur les étiquettes conseillées aux consommateurs. En effet, l’étiquetage habituel dérive de l’expression « Made in Germany » prononcée par les autorités britanniques dans la loi protectionniste : « Merchandise Marks Act 1887 ». Pour appliquer l’acte de cette année 1887, les termes ont été transposés sur les articles importés d’Allemagne, afin de conseiller les consommateurs à acheter la production provenant du Commonwealth. La transposition s’est pérennisée et même étendue ensuite à d’autres producteurs reprenant à leur compte et sous forme de label, la prononciation du pays (P) des biens et des services générés par eux. Bien que le droit allemand tend de nos jours à restreindre la portée, puisse qu’en 1995, le tribunal de grande instance de Stuttgart a estimé que ce label convient au « Germany’s Fair Trades Act », lorsqu’un bien manufacturé, soit n’a pas été produit à partir d’une fraction minimum de matière première extraite en Allemagne, soit n’est pas élaboré par une main d’œuvre essentiellement allemande (voir WIKIPEDIA). Par ailleurs, les régisseurs manifestent également leur conseil par des symboles originaux, formés des caractères de la langue arabe, et représentatifs de la propriété des objets. Aussi, les organismes intéressés par la propriété intellectuelle assurent la protection des symboles et de l’indication géographique (IG). Le langage dans ce dernier cas, consiste à nommer la localité administrativement circonscrite dans le territoire, de manière à permettre l’identification de la région (Y) du produit par le verbe de l’IG, soit : « Machin de Y| », « Machin de Y2 », « Machin de Y3 », .... Malheureusement, ces expressions personnelles tronquent la productivité, la territorialité et l’originalité des objets consommables. Car, les termes « Made in : P » parlent de la fabrication de l’objet dans le pays concerné. Elle a pour approche de taire l’action du concepteur et de prononcer en exclusivité, l’activité du fabricant. L’IG fait autant, en nommant seulement la circonscription locale des administrations (Etats). Cette nomination ignore les autres parties du territoire abritant la délocalisation et la relocalisation - - des mouvements de l’activité (évoqués dans le lexique de géographie) qui contraignent les producteurs à élire domicile dans les espaces territoriaux sans que les conseillers n’en disent mot. Le manque de considération pour le sous-espace de domiciliation de la personne (X) intéressée par la production, explique pourquoi son objet délocalisé se dit géographiquement d’origine étrangère. Tandis que le penchant régional, de celui relocalisé, demeure inconnu du langage promotionnel de la source d’activité. Enfin le symbole original représente une variante du caractère estimable de la

-2nouveauté du bien ou du service dans le pays producteur. Il se détourne ainsi du caractère plus ou moins personnel de la marque déposée, du copyright ou de la marque de commerce du produit. Jusqu’ici, les verbes sont incohérents parce que l’ordinateur traditionnel assure fidèlement l’émission de la messagerie des personnes, en se contentant de transcrire l’information orale sur les marques et les étiquettes. La passivité de cet appareil se justifie par la capacité de ses composants électroniques, à effectuer le traitement automatique de l’oralité des termes irrationnels. Les brevets américains D 670 286 et 9 904 502 des années 2012 et 2018, présentent un équipement constitutif d’un laptop, d’un smartphone ou d’une tablette, généralement composé d’un encombrement, d’un écran, d’un clavier, d’un châssis....La carte mère, composant essentiel de ces ordinateurs, embarque : le disque dur, la mémoire vive, la carte réseau, la carte son, la carte graphique, le processeur, le bus, le chipset etc. Le clavier assorti à l’écran, comporte les touches portant mention de l’alphabet, du chiffre et du symbole d’espacement (séparation), de suppression, de retrait, d’avancement (suivant), de revient (précédent), .... Il dispose souvent les caractères alphabétiques du système de communication arabique « a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, 1, m, n. o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y, z » ; le chiffrage « 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 » ; les touches symboliques permettant de commander le traitement de l’information. Parfois, le constituant possède un connecteur et une nappe.Toutefois, les différents appareils constitués, traitent les informations de toute nature, d’après leur système d’exploitation et les programmes intégrés. Quand ceux-ci sont spécialisés dans la médecine, la musique, la cuisine, le jeu, ..., les composants n’assurent point le labelling (labellisation ou promotion) de l’origine des produits disponibles dans ces secteurs. Par conséquent, la technologie déployée dans l’art antérieur (informatique) demeure incapable de corriger la troncature précédente.

L’appareil selon l’invention vient remédier à cette anormalité, entend qu’une soustablette de côté inférieur ou égal à 21 cm. I/utilisation de cette machine se limite à la communication promotionnelle fondée sur l’approche WMA (Writting Message Access) de la source d’activité. L’action de l’utilisateur est d'appliquer, d’écrire, d’envoyer et de recevoir les messages inhérents à la promotion de l'origine des produits. Selon un mode préférentiel de réalisation, l’architecture extérieure se compose d'une coque avant et d'une coque arrière disposant des clips autour du pourtour interne lignant l’encoche. Elle forme un cover (ou couverture) des composants inamovibles et amovibles (à titre d’exemple non limitatif, l’encombrement peut avoir une dimension de 17,29 cm de côté et de 0,86 cm d’épaisseur, une masse de moins de 400 g). La sous-tablette ainsi formée, présente : une vue frontale ; une vue arrière ; une vue de gauche ; une vue de droite ; une vue de dessus ; et une vue de dessous. La

-3vue frontale comporte le serial-label. Elle incorpore aussi le GRRL (voyant) et l’ISD. La vue de dessous contient à la fois le NCB, le bouton 20 et l’entrée électrique de la machine. Le cover constitue un encombrement carré en matière plastique semi-rigide, avec des coins arrondis. Il s’ouvre en sautant les clips à travers une légère torsion effectuée au moyen de la main et d’une spatule plastique insérée dans l’encoche de la vue de gauche. Le serial-label est formé d’un cercle intégré dans un carré (cercle-carré). Il constitue le label, ou alors le motif de toute source d’activité, ressortant logiquement dans les trois plans d’expression configurés. Le boîtier GRRL (Green-Green-Red Light) comprend un composant à luminescente tricolore. Le composant de luminosité est constitué d’électrodes couvertes par un verre transparent (voyant). Les électrodes forment une anode, et trois cathodes correspondant chacune à la couleur vert, vert et rouge. L’anode et la cathode sont montées en parallèle sur le circuit électrique du boîtier. L’EM (Electrode Modulator) associé, possède 3 sorties de couleur chacune reliées à une cathode et à un système de temporisation qui se déclenche dès l’effectivité de la combinaison l ci-dessous. Le déclenchement du module d’anode entraîne la correspondance de la couleur de lumière avec l’application messagère effectuée. Cette modulation dure le temps d’émission du message approprié. Le NCB (Network Card Box) inclus dans le cover, est un emplacement pour circuit intégré de promotion. L’emplacement comprend un petit couvercle, un réceptacle et un ressort de maintien. Une spatule permet d’ouvrir le couvercle de l’emplacement. Un léger appui exercé sur le circuit par le biais de ladite spatule, déclenche le ressort de maintien. Au terme du déclenchement, le circuit sort du réceptacle. L’entrée est une ouverture du boîtier électrique, sous forme de rectangle aux coins arrondis. Elle se positionne à proximité de l’angle offert par les vues gauche et de dessous. Le bouton 20 (On and Off) comprend un dispositif d’allumage et d’extinction. L’ISD (Integrator of Square Display) emboîte une vitre tactile. Il s’associe au boîtier WMA et au boîtier d’affichage (DB). Le WMA intègre une interface comportant : un onglet de frappe ; un curseur ; des icônes de recherche (ou OK) et d’envoi de message ; et une table de commande avec un dispositif de toucher associé à des fichiers électroniques. L’onglet de frappe est un petit cadre qui coulisse sur une surface virtuelle plus grande. La table de commande dicte le message. Elle peut disposer des boutons portant la lettre ou le chiffre, ou alors le symbole «dièse», «séparation», «étoile», «retrait», «suivant», «précédent», «suppression». Le DB (Display Box) emboîte une dalle d’affichage à matrice active, gravée du motif de toute source d’activité. La dalle de couleur noire intégrant le serial-label associé à l’ISD (vitre), jouit d’un affichage dont le format carré est défini par le nombre de pouces. Elle peut comporter des polariseurs, des électrodes, des cristaux liquides, et un rétro-éclairage. L’architecture

-4intérieure se compose d’un châssis et des composants électroniques. Le châssis comporte une partie externe et une partie interne avec interstice. La partie externe est en matière rigide. La partie interne (en matière rigide), forme une entretoise contenant des slots et des orifices avec filetage. Elle fixe le boîtier électrique (EB), le câble-GGR, ΓΕΜ, le circuit imprimé, l’interconnectique et le DB - - Le trou est susceptible de s’associer à une vis en acier. Cette association permet de fixer le boîtier électrique lié à un support rigide et percé de trous. L’EB (Electrical Box) débouche sur l’entrée. Il accepte une batterie et un chargeur, électriques. La batterie jouit d’une icône affichable suite à l’alimentation de l’appareil en électricité. Le câble-GGR (Green- Green-Red) constitue un dispositif d’émission et de réception des ondes magnétiques. Il comprend un support, une icône de réseau et une cellule compatible avec le circuit intégré de télécommunication mobile. La cellule porte les normes de transmission des données et la fréquence du réseau de télécommunication de l’opérateur préféré. Elle est logiquement connectée au modulateur d’électrodes. Celui-ci étant chargé (via les instructions du logiciel, exécutées par le système principal de traitement des données) d’envoyer vers le voyant du GGRL, la couleur de la lumière correspondant à la promotion de la source d’activité dans le réseau activé par le lecteur du circuit intégré. Le NDB (Network Drive Box) incorpore un lecteur comprenant un support rigide et un connecteur. Le circuit intégré y connecté, dispose les paramètres de communication, le compte communicationnel, l’accès personnelle ou SWMA (Subscriber Writting Message Access), l’accès opérationnel ou OWMA (Operator Writting Message Access), les systèmes de traitement, de mémorisation et de contrôle des données, la boîte à outil ainsi que les protocoles de base du réseau câblé et du réseau filaire. Le système de mémorisation est organisé en répertoires et en fichiers (identifiant de l’opérateur, données liées au réseau, WMA d’urgence, entrées du répertoire). Il mémorise le programme de promotion et l’application messagère de la source d’activité. La programmation configure : le tracespace terrestre ; le répertoire des producteurs; le catalogue d’ouvrage ; la liste des normes et des matricules ; et le journal supplémentaire. L’application messagère comprend huit combinaisons saisissables, dans l’interface tactile par l’utilisateur de l’appareil. Le SWMA assorti, forme le code du pays couvert par le réseau et le numéro d’identification de l’utilisateur. L’OWMA forme de son côté, le numéro de l’opérateur. Le compte se protège au moyen d'un code secret (PIN ou Personnal Identification Number) inscrit par l’opérateur, il est muni d’une tranche de communication promotionnelle. Le système de contrôle assure : l’accès aux données mémorisées ; les fonctions de cryptographie (par exemple code PIN) et de messagerie. Enfin la boîte à outil permet de contrôler l’ensemble des fonctions (messagerie). Par ailleurs, la carte mère est un circuit imprimé

-5disposant de plusieurs trous. Elle embarque le boîtier MSI (Memory System l), le boîtier MSII (Memory System 2), les boîtiers TS (Treatment System), l’inter-bus et le boîtier CS (Coordination System). Le MSI contient le système principal de mémorisation. Il est capable de conserver les fichiers, les informations et les paramètres de la messagerie. Le MSII 5 supporte le système secondaire de mémorisation. Il constitue une mémoire dynamique, débitant les données durant le temps que fonctionne la sous-tablette. Le TSI renferme le système principal de traitement des données. Il est doté d’une fréquence d’exécution des instructions. La dotation lui permet de traiter les informations suivant la cadence attribuée par l’homme de métier. Le CS renferme le boîtier GS (Graphie System) qui emboîte à son tour un 10 circuit graphique, possédant le système secondaire de traitement des données. Ledit système secondaire intègre le boîtier TSH. Son circuit graphique peut jouir des formats vidéo et d’un navigateur web. L’inter-bus constitue un système de transmission des données, formé des canaux pouvant être des pistes électroniques associées aux composants amovibles embarqués dans le circuit imprimé. Il forme un transmetteur des données en pistant également la bande 15 de l’inter-connectique reliant le dispositif de modulation. L’inter-connectique est un système de liaison comprenant une bande et des joints électroniques, répartis entre les composants. Il constitue la bande et les joints : d’entrée et d’EB ; de GGRL et d’EM ; d’ISD et de DB ; et du

20. Les dessins de l’annexe illustrent l’invention : la figure I représente l’extérieur de l’appareil selon l’invention ; la figure 2 représente le voyant du GGRL ; la figure 3 schématise 20 l’intérieur.

En références aux figures annexées, le cover (1) protège les composants électroniques de la sous-tablette représentée. Le serial-label (2) reproduit l’expression de toute source d activité. Le NCB (3) insère le circuit intégré de communication promotionnelle dans le réseau de télécommunication mobile de l’opérateur intéressé. L’entrée (4) accepte le chargeur 25 branché sur une prise de courant électrique. Le GGRL (5) indique à travers une luminosité verte et rouge, le message à communiquer. Le 20 (6), démarre ou éteint l’appareil, en y pressant fortement du doigt de la main. Un léger appui manuel l’allume, lorsqu’il passe en mode veille. L’ISD (7) allumé, active la vitre tactile et affiche les icônes d’alimentation électrique et de réseau ainsi que les informations liées au producteur. L’encoche (8) sert à 30 l’ouverture du cover (1). Le châssis (9) supporte les composants amovibles et inamovibles, grâce au trou (10) et à la vis (11 ) mis ensemble. L’EB (12) fournit l’électricité aux différents composants électroniques. Le câble-GGR (13) sous tension relaie le programme de promotion de la provenance du produit, dès lors que le NDB (14) lit le circuit disponible dans le NCB (3). L’EM (15) sort sur le voyant du GGRL (5), la couleur de lumière correspondant à la

-6messagerie du promoteur de la source d’activité : la luminosité verte annonce la localité de sa productivité - - elle apparaît lorsque l’utilisateur de l’appareil valide la combinaison l ; l’autre luminosité verte indique la relocalité de sa productivité une fois la combinaison l validée ; la délocalité de sa productivité entraîne le passage de la luminosité au rouge, suite à la validation de la combinaison l. Le circuit imprimé (16) embarque les composants permettant le fonctionnement de cette machine. Le MSI (17) mémorise tous les paramètres du système d’exploitation, du réseau, du système graphique et du programme de promotion. Le MSI1 (18) conserve momentanément les informations, notamment l’application messagère, les plans et les matricules d’expression, le journal et les messages promotionnels envoyés ou reçus auprès des tiers. Le WMA (l9) y paramétré, favorise l’interaction entre l’utilisateur et la machine, à travers l’application, l’écriture, l’envoi et la réception des messages par le biais de l’interface et de la fiche apparaissant sur la vitre tactile. Dès cette apparition, la table de commande et le curseur se positionnent dans la fiche. A cet effet, l’onglet de frappe permet la saisie des données à partir de la touche alphabétique ou numérique, de la touche dièse et de la touche étoile. L’icône d’envoi sert à transférer le message vers une autre sous-tablette connectée au réseau. Tandis que l’icône de recherche valide du toucher, la recherche de l’information relative à la combinaison appliquée. Suivant le mode préférentiel de réalisation : dièsedénomination de la marque d’objet - étoile - indice du producteur - dièse, et OK, active le plan d’expression ; dièse - l - dièse et OK, active dans le tracespace de la terre, le point de la région exprimée ; dièse - 2 - dièse et OK, active dans le catalogue d’ouvrage, l’armature de la productivité exprimée ; dièse - 3 - dièse et OK, active le journal supplémentaire de la source d’activité exprimée ; dièse - 4 - dièse et OK, active dans la liste des matricules, l’immatriculation des verbes et des figures ; dièse - 5 - dièse et OK, active dans la liste des normes, les « code et valeurs » ; dièse - 6 - dièse et OK, active le compte de communication ; dièse - S WMA - étoile - code de tranche - dièse et OK, approvisionne le compte retranché de communication. La touche « précédent » et la touche « suivant » avancent et reculent le curseur dans les fenêtres et défilent les pages de communication et les fiches de matricules d’expression. Le TSl (20) traite principalement les données à travers son système qui exécute les instructions suivant le paramétrage de la machine et la commande de l’utilisateur. Le GS (21) définit le format de l’image à l’aide du circuit graphique. Le TSH (22) convertit secondairement les données numériques en plans verbaux et figuratifs, depuis son système. L’inter-bus (23) transmet les données entre les composants reliés par l’inter-connectique (24). Le CS(25) coordonne les échanges et le jeu d’instructions. Le DB (26) émet finalement les informations et l’ISD (7) affiche : le PLAN I de couleur vert disposant les sections de termes

-7« cti% PRODUCE IN : P », « LOCAL », « + ORIGINAL » ; ou le PLAN II de couleur vert sectionnant les termes « a₂% PRODUCE IN : P », « RELOCAL », « + ORIGINAL » ; ou alors le PLAN III de couleur rouge qui sectionne « a.3% PRODUCE IN : P », « DELOCAL », « ORIGINAL » ; le cercle-carré (motif intégré), encerclant éventuellement le caractère symbolique de la prenouveauté ou de la denouveauté ; la 4^imesection rectangulaire encadrant l’immatriculation de l’expression.

Selon l’invention, notamment son programme (logiciel) de promotion, la localité, la délocalité et la relocalité exprimées constituent chacune la zone de région de l’espace de tout pays pouvant abritée la production. La nomination de ces sous-espaces de domiciliation des personnes, dérive naturellement du lexique de géographique des mouvements de l’activité de celles-ci : « localisation » ; « délocalisation » et « relocaiisation ». Les radicaux « iocali... » ; « dé — Iocali... » ; « re — Iocali... » ; s’accompagnant évidemment du suffixe « té » qui remplace l’ajout « sation ». De façon normale, ces zones spatiales sont chacune identifiées par un sous-code, une série de chiffres découlant de l’anus (alphanumerical spécification) domiciliaire et de l’anus personnel, du producteur. D’après aussi cette logique, l’œuvre de ce personnage entier comprend 2 phases, la conception et la fabrication, pouvant s’effectuer régionalement au taux : Ti = ctj% pour la productivité localisée (a] compris entre 50,25 et IOO) ; T2 = a₂% pour la productivité relocalisée (a₂ variant conformément à oti) ; T3 = «3% pour la productivité délocalisée (ct₃ égale 50). Aussi, l’unicité de la production se caractérise par l’entièreté (estimée à l), de la personne active. En conséquence, la première nouveauté (prenouveauté) ou la deuxième nouveauté (denouveauté) du produit se déduit, du finit (multiplication) de l’estimation plus ou moins personnelle. Parce que le concepteur (X') ou le fabricant (X) de cet objet est un ouvrier doté du caractère ± l. D’où l’ouvrage du producteur (X = X'X) entraîne les variantes originales : (X‘ ; X)i = (X' ; X)₂ = + l ; (X’ ; X)3 = -L Cette répartition de la dotation se justifiant par le fait que l’objet localisé ou relocalisé appartienne plus au pays (Etat) producteur que l’objet délocalisé. Autrement dit, les anus possèdent des caractères normalement départagés par le déterminant de spécificité Δ. Car au point (Y)_n = 0 : Δ, = (X')_n- (X)_n; et Δ₂ = (X’)_n - (X')_n._t - (X)„; avec (X’)_n = (X)„ et n l’indice ou le nombre entier de spécifications relevées sur la production de l’objet. Par conséquent, la relocalisation d’avantage penchée vers la région de l’Etat originel du produit, (X')_n = + (+I), donne une spécificité similaire à Δ]. A contrario d’un penchant régional encore éloigné du personnage étatique, (X')_n-i = - (-1 ), donnant l’absurdité Δ3 = -l, par rapport à Δ₂. Puisse que : A| = A₃ = 0 ; et Λ₂ = L Raison pour laquelle, le taux (T) de productivité inclut la valeur unique de l'originalité, comme par exemple : 100% = 100 x l %.

Claims

REVENDICATIONS

1 - Appareil pour labelliser la provenance des produits, caractérisé en ce qu’il est prévu un ensemble de composants, spécial par rapport à tout ordinateur antérieur, et grâce auquel, les promoteurs s’expriment logiquement.
2 - Appareil selon la revendication l caractérisé en ce que l’architecture extérieure se compose : du cover (I) ; du serial-label (2) ; du NCB (3) ; de l’entrée (4) ; du GGRL (5) ; du 20 (6) ; de l’ISD (7) ; et de l’encoche (8).
3 - Appareil selon la revendication 2 caractérisé en ce que l’architecture intérieure se compose du châssis (9) ; du trou (10) avec filetage ; de la vis (l l) ; de ΓΕΒ (12) ; du câbleGGR (13) ; du NDB (14) ; de ΓΕΜ (15) ; du circuit imprimé (16) ; du MSI (17) ; du MSII (18) ; du WMA (19) ; du TSI (20) ; du GS (21) ; du TSII (22) ; de i’inter-bus (23) ; de l’interconnectique (24) ; du CS (25) ; et du DB (26).
4 - Appareil selon les revendications précédentes caractérisé en ce que le cover (1) ; le NCB (3) ; le GGRL (5) ; l’ISD (7) ; ΓΕΒ (12) ; le câble-GGR (13) ; le NDB (14) ; ΓΕΜ (15) ; le MSI ( 17) ; le MSII ( 18) ; le WMA ( 19) ; le TSI (20) ; le GS (21 ) ; le TSII (22) ; le CS (25) ; et le DB (26) forment chacun un boîtier d’équipement électronique.
5 - Appareil selon les revendications précédentes caractérisé en ce que le cover (1), en matière plastique semi-rigide, constituant une sous-tablette électronique avec un côté inférieur ou égal à 21 cm, un carré réducteur de l’encombrement rectangulaire par rapport à la forme carrée non modifiable du motif de la source d’activité, couvre le 20 (6), le châssis (9), le trou (10), la vis (11), I’inter-bus (23) et les boîtiers.
6 - Appareil selon les revendications précédentes caractérisé en ce que le circuit imprimé (16) embarque : le NDB (14) ; le MSI (17) ; le MSII (18) ; le TSI (20) ; le GS (21) ; le TSH (22) ; I’inter-bus (23) et le CS (25).
7 Appareil selon les revendications précédentes caractérisé en ce que le TSI (20) emboîte le système principal de traitement des données.
8 - Appareil selon les revendications précédentes caractérisé en ce que le CS (25) incorpore le GS (21) et le TSII (22) pouvant emboîter le circuit graphique et le système secondaire de traitement des données.
9 - Outil technique selon la revendication 3 caractérisé en ce que le serial-label (2) formé d’un cercle intégré dans un carré, constitue le motif de la productivité ; de la localité, de la relocalité et de la délocalité ; de l’originalité dont la prenouveauté et la denouveauté.

-9ΙΟ - Appareil selon les revendications précédentes ou la revendication 4 caractérisé en ce que le NCB (3), le câble-GGR (13), avec une icône de réseau affichable, et le NDB (14) comporte : l’emplacement du circuit intégré compatible avec le programme de promotion de la source d’activité, le dispositif d’émission et de réception des ondes magnétiques de communication promotionnelle à distance et le lecteur du circuit intégré.
11 - Appareil selon les revendications précédentes caractérisé en ce que l’entrée (4) liée à ΓΕΒ (12) accepte le chargeur électrique et emboîte la batterie électrique à icône affichable.
12 - Appareil selon les revendications précédentes ou la revendication 5 caractérisé en ce que le GGRL(5) et ΓΕΜ (15) insèrent quatre électrodes et le modulateur susceptible de changer temporairement les couleurs de lumière vert et rouge dans un verre transparent afin de réaliser le voyant d’annonce de l’émission de la messagerie du promoteur.
13 - Appareil selon les revendications précédentes ou la revendication 6 caractérisé en ce que le NDB (14) reconnaît l’OWMA de l’opérateur de télécommunication.
14 - Appareil selon les revendications précédentes ou la revendication 7 caractérisé en ce que le MSI (17) et le MSII (18) mémorisent éventuellement le système d’exploitation, les fichiers, le journal et les données de communication promotionnelle.
15 - Appareil selon les revendications précédentes ou la revendication 8 caractérisé en ce que le WMA (19) en liaison avec le S WMA peut emboîter une interface avec un onglet de frappe, un curseur, des icônes de recherche et d’envoi de messages, une table de commande et un dispositif de toucher associé à la vitre tactile de l’ISD (7).
16 - Appareil selon les revendications précédentes ou la revendication 9 caractérisé en ce que le TS (20), le CS (25) et le TSI1 (22) forment les systèmes de traitement des informations, convertissant l’application messagère en plans 3D d’expression.
17 - Appareil selon les revendications précédentes caractérisé en ce que l’inter-bus (23) peut former des canaux électroniques constitutives d’un transmetteur des données.
18 - Appareil selon les revendications précédentes ou la revendication 10 caractérisé en ce que l’inter-connectique (24) consiste en une bande et des joints d’entrée (4), de GGRL (5), de 20 (6), d’ISM (7), d’EB ( 12), d’EM ( 15), et de DB (26).
19 - Appareil selon les revendications précédentes ou la revendication 11 caractérisé en ce que le DB (26) peut être, une dalle de cristaux liquides à matrice active d’affichage, à même de constituer l’émetteur des verbes et figures : « a% PRODUCE IN : P » ; « LOCAL », « DELOCAL », « RELOCAL » ; « + ORIGINAL », « ORIGINAL » ; avec P la variable des pays et a la variable proportionnelle comprise entre 50 et 100.