OA18298A - Machine d'automatisation des opérations d'assurances, de sécurisation des primes d'assurances, de transferts d'argent et de vulgarisation des produits bancaires - Google Patents

Machine d'automatisation des opérations d'assurances, de sécurisation des primes d'assurances, de transferts d'argent et de vulgarisation des produits bancaires Download PDF

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OA18298A
OA18298A OA1201700218 OA18298A OA 18298 A OA18298 A OA 18298A OA 1201700218 OA1201700218 OA 1201700218 OA 18298 A OA18298 A OA 18298A
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Roger KAMDEM
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Roger KAMDEM
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Abstract

L'invention concerne une machine automatique, se présentant comme un guichet automatique bancaire classique, mais pouvant effectuer automatiquement autant les opérations de banque que les opérations d'assurances ; cette machine est en fait le terminal principal d'une plateforme technologique pouvant être connectée à des terminaux secondaires (smartphones, tablettes et ordinateurs), et qui est constituée de serveurs portant des logiciels spécifiques de banque et d'assurance. Tous les terminaux connectés par intranet, internet, SMS ou USSD à la plateforme, servent d'interfaces, permettant aux usagers d'interagir avec elle, pour effectuer ces opérations que seule la machine automatique peut accomplir de bout en bout. La performance de cet automate par rapport aux guichets automatiques bancaires connus, relève de l'originalité des nouveaux organes créés, des nouvelles fonctionnalités des organes connus, des nouveaux agencements et surtout du nouveau principe fonctionnel de la machine.

Description

La présente invention se rapporte à une machine automatique dont le fonctionnement comme interface principale d’une plateforme technologique pouvant utiliser des interfaces secondaires, est assuré par des logiciels de banque et d’assurance qui lui permettent de jouer le rôle, selon le besoin, d’un guichet d'automatisation des opérations d’assurance ou d’un guichet d’automatisation des opérations bancaires, avec ou sans compte et carte bancaires.
Les serveurs dans lesquels sont installés lesdits logiciels communiquent par intranet, internet, USSD, SMS ou tout autre moyen de communication qui conviendra, avec l’interface principale (machine automatique) et les interfaces secondaires (ordinateurs, tablettes ou les Smartphones), lesquelles permettent aux clients ou aux partenaires d’interagir avec la plateforme et d’effectuer automatiquement leurs opérations.
II-2- ETAT DE LA TECHNIQUE
Π-2-1- La machine automatique fonctionnant comme guichet automatique d’assurance
Un rapport du cabinet américain «Accenture» dénommé « AccentureTechnology Vision for Insurancc 2016 » qui traite du sujet indiqué « Pcople first : T7ie Primaçy of People in the Age of Digital Insurancc», réalisé après un sondage de 450 dirigeants de compagnies d’assurances reparties dans 15 pays différents, insiste dans cet ère de la numérisation à outrance, sur la nécessité pour les compagnies d’assurance de rompre avec le statut-quo ambiant, en intégrant d’avantage ces opportunités technologiques dans leur culture d’entrepriseet en faisant profiter au maximum leurs partenaires et clients des bienfaits de ce boom digital.
Ce rapport révèle que, même si la grande majorité des entreprises occidentales cherchent encore leurs marques dans cette approche révolutionnaire, d’autres par contre commencent à se distinguer par des concepts novateurs ;c’est le cas de INSURIFY aux Etats-Unis, qui a mis sur pied un système dénommé EVIA (Expert Virtual Insurancc Agent), comparateur de primes d’assurance automobile fonctionnant de la façon suivante : le client filme sa carte grise, répond à quelques questions, puis envoie ces informations à EVIA, qui à travers son application intelligenteréagit en aidant l’usager à trouver le meilleur tarif possible du marché.
MS&AD, une compagnie d’assurances japonaise vient de déployer le système intelligent IBM WATSON qui utilise l’analyse de texte et la reconnaissance vocale pour évaluer automatiquement lessinistres de ses clients.
D’autres applications intelligentes robotisées, à l’instar de BLUEPRISM et AUTOMATION ANYWHERE, ont réussi dans plusieurs domaines d’activités(y compris, les assurances avec XCHANGING aux Royaumes Unis) à automatiser certains procédés qui étaient encore manuels, ceci, grâce à un logiciel qui peut récupérer des données sur des applications existantes pour gérer une transaction, manipuler des données, déclencher des réponses et communiquer avec d’autres systèmes numériques.
Malheureusement, en Afrique et plus particulièrement en zone CIMA, bien que le régulateur ait inscrit l’informatisation des Compagnies d’assurances au rang des exigences prioritaires, celles-ci sont encore très loin d’envisager l’étape supérieure qui consiste à franchir le seuil des simples applications de gestions, pour l’étape sublime des outils d’automatisation de certains «process ».
Pourtant, la mission de collecte des droits de timbres automobile que l’Etat du Cameroun vient de confier aux compagnies d’assurances, met davantage plus de pression sur les assureurs, de trouver une solution efficace pour la sécurisation des documentsct des primes d’assurances.xn
Faute de mieux, plusieurs compagnies d’assurances installent depuis peu, leurs logiciels chez les intermédiaires, pour contrôler l'impression des attestations d’assurances automobiles; toute attestation produite en dehors de ce logiciel est considérée comme fausse.Cependant, une telle mesure est dérisoire au regard de la complexité et l’immensité des problèmesde l’industrie des assurances en Afrique et plus particuliérement en zone CIMA,notamment :
❖ le faible taux de pénétration des assurances ;
❖ l'excès de formalisme des compagnies d'assurances ;
❖ la lenteur des services d’assurances ;
❖ les frais généraux non maîtrisés et élevés ;
❖ les difficultés des compagnies à lancer des produits populaires et «lowcost» à cause des difficultés de collecte des primes ;
❖ le non reversement des primes et l’insolvabilité de certains acteurs de la chaîne de distribution des produits d’assurances ;
❖ le détournement des primes par certains employés ;
❖ les pertes financières dues aux erreurs humaines ;
❖ les arriérés de primes importants et le coût élevé des recouvrements ;
❖ les vols, les contrefaçons et les documents antidatésfaito/aZionj d’assurance automobile et certificats maritimes) ;
❖ les pratiques anti-professionnelles (ex : délivrance d’atlestation sans contrat) ;
❖ le non respect des tarifs harmonisés ;
❖ l'insuffisante traçabilité des opérations ;
<· la concurrence déloyale et les tricheries sur les éléments de tarification.
Π-2-2- La machine automatique fonctionnant comme Guichet automatique bancaire
Les guichets automatiques bancaires connus comportent un lecteur de carte bancaire, capable de lire les données des cartes qui y sont introduites, lesquelles seront comparées aux données de l’usager préenregistrés dans la plateforme informatique du banquier,via le centre Visa ou MasterCard etc....
Le cas échéanL ces GAB classiques peuvent distribuer des billets de banques, accepter des dépôts ou effectuer des transferts, mais uniquement aux personnes dont les données sont préenregistrées dans les systèmes informatiques de leurs banquiers et disposant d'un compte bancaire ou d’une carte bancaire portant les mêmes informations.
On comprend alors que sans compte bancaire préalablement ouvert dans une institution financière prédéterminée et sans carte bancaire, il soit impossible d'utiliser les Guichets automatiques bancaires classiques en Afrique et plus particulièrement en zone CFA. Cette situation a pour conséquence de rendre élitiste l'utilisation des guichets automatiques et d'exclure plus deS8% de la population africaine qui n’ont pas de compte bancaire.
Plusieurs initiatives,parmi Iesquellescclles des sociétés spécialisées dans le transfert d'argent, les sociétés de « mobil-banking » (banque mobile) et les sociétés de «e-banking» (banque électronique),ont tenté de résoudre cette problématique de la vulgarisation des services bancaires et plus particulièrement celle du transfert d’argent, sans pour pourtant endiguer de façon satisfaisante les risques qui menacent la crédibilité et l’efficacité de ces solutions ; notamment les risques d’ordre règlementaires, transactionnels, structurels, et les risques liés à la distribution :
a) S’agissant des sociétés spécialisées dans le transfert d’argent.
Leurs opérations sont effectuées dans des guichets disséminés sur l’ensemble du territoire ; au Cameroun, on peut citer des exemples tels que WESTERN UNION, MONNEY GRAM, EXPRESS UNION, EXPRESS EXCHANGE et biens d’autres.
Récemment encore, ces opérations de guichet n’utilisaient pas de machine d’automatisation : i il fallait remplir manuellement une fiche d’envoi ou de réception, que l’on remettait ensuite à J un agent de guichet avec une photocopie de la carte d’identité sur laquelle on y avait apposé trois fois sa signature ; L’agent introduisait les données ainsi recueillies dans la plateforme informatique de la société interconnectée & l’agence par internet ; le logiciel de la plateforme confrontait ces données avec celles contenues dans la base de données dudit logiciel avant de conclure la transaction.
Dans ce système, bien que la gestion de la base des données soit informatisée, les procédures de transfert restent manuelles et exposent le système à des défis d’ordre structurels et de distribution suivant:
❖ Un tel système requiert d’importants investissements et frais généraux relatifs aux guichets dont il faut payer les loyers, l’électricité et l’eau, les fournitures de bureau et les imprimés de transfert, les salaires du personnel, les commissions des partenaires et autres ;
<· Les coûts de transfert au guichet sont plus élevés au regard des charges techniques et financières engagées ;
❖ Le traitement manuel des opérations est à l’origine d’erreurs humaines et de lenteurs observées dans le service des prestations au guichet ;
<· La manipulation des espèces expose davantage les transferts au guichet aux risques de fraudes, de vols et de détournements.
b) En ce qui concerne les sociétés de « mobil bankfne ».
La société SAFARICOM qui s’est distinguée au KENYA et dans certains pays de l’Afrique de l’Est à travers sa solution M-PESA, illustre bien ces «Fintech» (entreprise de technologie financière) qui sont très souvent les sociétés de téléphonie mobile dont le l’approche B2B(Business to business) ou B2C(business to customer) attaque sévèrement le business model de l’industrie financière classique.
5 Ces sociétés de téléphonie mobile,pourvoyeurs majeurs de ces services bancaires mobiles dont les plus connus en zone CFA sont « ORANGE MONEY », MTN MOBILE MONEY » et AIRTEL MOBILE, opèrent en partenariat avec une ou plusieurs banques, recrutent des agents externes chargés de la distribution de leurs produits d’ouverture de compte électronique et de transfert d’argent, en contrepartie des commissions.
Dans le cas d’une opération de transfert par exemple, l’usager qui se présente chez un agent agrée remplît et signe une fiche contenant les éléments d’identification de l’expéditeur ou du bénéficiaire ainsi que le montant de la transaction. L’agent agrée se charge d’introduire les informations contenues sur la fiche dans le système interconnecté, reçoit l’argent du client ou paie le cas échéant La plateforme informatique de la « Fintech renvoie aux usagers 5 impliqués dans la transaction, un message SMS les en informant
Bien que l’on note un fort engouement des populations pour ces nouveaux services d’ouverture de compte et de transfert mobile, plusieurs défis restent à relever, à savoir :
❖ Le défi règlementaire est un risque réel qui s’illustre par les plaintes récurrentes des banques classiques, des sociétés de transfertsd’argent et des sociétés de micro-finances, lesquelles évoquent une concurrence déloyale des sociétés de téléphoniemobile: en effet, ces sociétésn’ayant pas d’agrément pour effectuer des opérations de banque, contournent la règlementation en signant des accords de partenariats avec une ou plusieurs banques classiques pour légitimer leurs opérations. Par conséquence,les banques étrangères auxdits accords, les critiquent et poussent le régulateur à sévir.ïv.
<’ Les risques transactionnels sont tout aussi considérables, notamment :
les fraudes par hameçonnage consistant à utiliser des appels téléphoniques et des SMS trompeurs pour obtenir des informations confidentielles relatives au numéro du compte mobile money de la victime, son code secret ou des informations liées & son identité ;
Les fausses opérations consistant à envoyer les SMS de confirmations pour faire croire au client que celles-ci ont été effectuées, souvent accompagnées de demande d’annulation ;
• Les demandes d’annulation frauduleuses qui interviennent après que l’usager ait déjà bénéficié du transfert ;
Les paiements frauduleux qui se traduisent par des encaissements de sommes par des employés ou des bénéficiaires fictifs ;
et enfin les fraudes par avance de fonds qui consistent & amener le client à envoyer de l’argent par de fausses promesses ;
<* S’agissant des risques structurels,ils sont liés au business model adopté par ces sociétés de téléphonies mobiles qui ont une emprise limitée sur la chaîne de production de leurs services de transfert mobile, étant donné que des tâches importantes sont encore contrôlées par des agents externes agréés.Les autres risques structurels sont les suivants :
o les possibles fraudes des employés de ces sociétés de transfert mobile,dont l’accès aux données confidentielles des clients pourrait susciter la tentation de voler leurs identités ou de créer des connivences avec des personnes externes pour détourner des comptes ou des transferts.
o la simplification exagérée des procédures d’identification des usagers et d’authentification des opérations, à l’origine du risque de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme. Cette faiblesse est d’ailleurs à l’origine de la méfiance des régulateurs et les amènent à limiter les montants et l’étendue géographique de ces transferts mobiles.
o l’énorme concurrence dans le secteur de transfert mobile qui entraînerait à moyen terme une saturation du marché.
o l’instabilité des réseaux de télécommunication ou de l’énergie électrique qui pourrait être à l’origine des doublements des transactions (le message que l’agent incompétent croyait interrompu à cause des incidents précités, est renvoyé une deuxième fois) ❖ L’autre défi & relever par les sociétés de transfert mobile est celui de la distribution de ces services, qui très souvent, s’appuie sur la sous-traitance des agents extérieurs rémunérés par un système de commissionnement.Cette non maîtrise par la société de « mobil banking » d’un maillon essentiel de son activité, commence à montrer des failles qui à terme pourraient discréditer ces opérations bancaires mobiles, notamment :
l’indisponibilité feinte ou avérée des liquidités dans de nombreux points agréés, • les transferts des agents véreux, de l’argent des clients vers des comptes personnels, • l’ouverture par ces agents des comptes fictifs dans le but de toucher des commissions, le fractionnement de certains transferts pour toucher des commissions, les erreurs humaines, les détournements et les fraudes diverses.
c) Les opérations de « e-banklng » sont très souvent pratiquées par les banques classiques eti par certaines sociétés de micro-finances,à travers leurs Distributeurs Automatiques de BilletsC «
(DAB), les ordinateurs et les téléphones portables connectés par internet avec la plateforme informatique de la banque.
La version élaborée de ce service de banque électronique en zone CFA, s’illustre essentiellement par des opérations de retrait d’argent par carte bancaire, de virement de compte à compte, de transfert de compte à compteet de renseignement sur le compte bancaire.
L’usager introduit dans le DAB sa carte bancaire ou son Numéro d’identification Personnel (NIP) s’il utilise une interface secondaire (Smartphone, ordinateur) ; ces éléments permettent au logiciel de la banque de confronter les données qu’ilsportent à celles existantes dans la base de données de la banque.Le cas échéant, l’usager n’aura plus qu’à suivre les différentes étapes procédurales qui s’affichent à l’écran de l’interface, avec la possibilité de faire des choix ou d’ajouter des informations au système par le biais des touches de sélection et des claviers.
Les sociétés de « e-banking » doivent aussi faire face & certaines difficultés qui sont d’ordre transactionnel et distributionnel telles que :
<· La faible ubiquité des agences bancaires et des distributeurs automatiques de billets.compte tenu de l’importance des investissements i réaliser ;
<· La faible variété des types d’opérations réalisables par les DAB classiques ;
<· La limitation des services bancaires proposés par les DAB aux personnes disposant d’un compte et d’une carte bancaire (moins de 12% de la population en zone CFA) ;
<· L’inaccessibilité des conditions d’ouverture des comptes bancaires à la grande majorité de la population et l’excès de formalisme des banques classiques ;
❖ Sentiment d’insécurité et de rejet des services bancaires, du fait des cas récurrents des banqueroutes frauduleuses de certaines banques et EMF ;
<· Coût prohibitif des prestations des banques classiques et des établissements de microfinances ;
❖ Engorgement des banques et le manque de célérité dans certains services bancaires
En réponse à ces nombreux défis soulevés, certaines initiatives se distinguent :
La BANQUE ATLANTIQUE a déployé en 2016 dans certains pays de la zone CFA, un concept qui permet à leurs clients titulaires d’un compte bancaire de transférer, sans besoin d’une carte bancaire, de l’argent à un tiers, qui peut ne pas être client de la banque et qui pourra recevoir son transfert en introduisant dans un DAB de la banque, le code secret qu'il aura reçu par SMS.
C’est aussi le cas du partenariat entre PAYNET et le M-PES A qui ont conçu un logiciel qui permet l’utilisation des guichets automatiques sans carte, dans le but de minimiser les risques liés & la distribution de leurs produits de transfert d’argent.
Les sociétés de « mobil banking » donnent depuis peu, l’opportunité aux usagers d’ouvrir des comptes « mobil moncy » assortis des cartes bancaires, pouvant être utilisées pour retirer de l’argent dans les distributeurs automatiques de billets (DAB) et effectuer des achats sur intemet.Les frais de retrait d’espèces dans ces DAB sont de l’ordre de 3%, toutefois limités à 5000 Fcfa par retrait(à noter que ces opérations ne sont actuellement possibles que dans les DAB de 2 banques du Cameroun).
II-3- DESCRIPTION SOMMAIRE DE L’INVENTION
La machine automatique de banque et d’assurances ou Guichet Automatique de banque et d’assurances (GABA), objet de la présente invention, ci-dessous dénommée la machine, automatique, est le terminal principal d’une plateforme technologique, capable d’effectuer L
B automatiquement les opérations de banque ou les opérations d’assurances, suivant un niveau de « customer effort score » (niveau d’effort demandé au client pour l’aboutissement de son opération) minimisé, l’objectif étant de permettre au client qui effectue ces opérations, d’économiser en temps et en argent
La conception des terminaux principaux les prédisposent à accomplir de bout en bout toutes les tâches relatives aux différentes opérations prévues par la plateforme, contrairement aux terminaux secondaires dont ils sont les relais en ce qui concerne les tâches telles que l’impression des documents transactionnels, l’encaissement et le décaissement des moyens de paiements.
Le concept de la machine automatique basée sur la devise « ATADAWAC » (Any lime, Any 10 Device, Any Where, Any Content), consiste & mettre à la disposition des partenaires, notamment :
les Banques, les établissements de micro-finances, les Compagnies d’assurances, les intermédiaires d'assurances et les sociétés de transfert d’argent, un outil pouvant diversifier, optimiser, sécuriser leurs services et en faciliter l’accès.
Ces sociétés partenaires, propriétaires de la plateforme technologique ou connectés en groupe 15 suivant le business modèle connu sous le nom de « SAAS » (Software As A Service), pourront ainsi proposer leurs services, partout où elles le souhaitent et surtout dans des zones rurales ou difficiles d’accès, sans qu’il soit nécessaire d’engager de lourds investissements pour ouvrir chacun une agence. Ce partage de la plateforme suivant le concept de «sltarlng Economy », permet à chaque partenaire de minimiser ses dépenses d’agences et réduire le coût de ses prestations. Dans 20 les pratiques actuelles des banques et des compagnies d’assurances, les clients sont moins impliqués dans la chaîne de production des services qu’ils consomment : c’est aussi une des raisons de la suspicion et même de la désaffection de la grande majorité de la population, qui estime qu’en monopolisant ainsi la chaîne de production de leurs services, les banquiers et les assureurs profitent de leur prééminence pour piéger les contrats et les services qu’ils proposent.
La plateforme technologique et la machine automatique changent cette approche et proposent un modèle de production plus participatif,encore connu sous l’appellation de « crowdsourcing »),àaos laquelle on note une collaboration interactive plus marquée entre le prestataire et son client (« coworking»)
La plateforme technologique est donc constituée de serveurs et de logiciels spécifiques, gérant à 30 distance par le biais d’intranet, d’intemet ou tout autre système de télécommunication, les opérations de banque ou d’assurances à travers des terminaux servant d’interface clients ou partenaires.
Π-4- DESCRIPTION DETAILLEE DE L’INVENTION
La machine automatique objet de cette invention, fonctionne avec les deux logiciels spécifiques 35 dans un « ntodus operandi » donnant l’opportunité d’une plus grande implication de l’usager, qui peut ainsi concourir à un aboutissement plus rapide du service souhaité (co-working).
Grâce à un logiciel de banque et & un logiciel d’assurance, conçus sur les fondements du « selfcare system », la machine automatique peut fonctionner en mode banque ou en mode assurance selon la sollicitation de l’usager.
Dans un premier temps, il sera affecté à chaque machine automatique, un moniteur formé dans les opérations de banques et d’assurances dont le rôle sera de guider les clients â l’utilisation de la machineA—
II-4-1- La machine automatique fonctionnant en mode banque
Ce mode de fonctionnement de h machine automatique est rendu possible grâce au logiciel bancaire de la plateforme technologique; il vise les objectifs suivants pour le secteur des banques:
L'amélioration du taux de bancarisation (encore très faible dans la zone CFA) ; A La réduction du formalisme auquel sont soumises les prestations bancaires;
4 La réduction de l’engorgement des banques dans les guichets classiques et la célérité dans le service bancaire;
t L’amélioration des coûts des prestations bancaires jugés prohibitifs;
A L’amélioration de l’ubiquité des services bancaires sur l’ensemble du territoire;
La réduction de l’incidence des délestages sur les services bancaires;
dk La réappropriation des transferts d’argent par les acteurs traditionnels;
A La restauration d’une saine concurrence dans le secteur bancaire;
L L’amélioration des dépôts bancaires;
A L’amélioration de la sécurité des opérations bancaires «L La facilitation de l’accès aux banques de 1er ordre et à leurs services;
A La réduction des risques de change, de fraude, d’erreur, de volet de blanchiment d’argent;
L’amélioration et la facilitation de la traçabilité et l’archivage des opérations ; L’optimisation des volumes de transferts venant de la diaspora;
A L’amélioration de la sécurité des transferts d’argent mobile;
A La maîtrise et le contrôle efficace de la chaîne de production des services de transfert mobil 20 par les partenaires ;
Λ L’amélioration du contrôle des liquidités dans les points de service de transfert mobile dans l’objectif de circonscrire le problème de la disponibilité des fonds dans cespoints.
Le fonctionnement en mode banque fait de la machine automatique un appareil caractérisé par sa multi-opérationnalité, notamment en ce qui concerne la gestion des :
opérations d’envoi d’argent vers un tiers ;
• opérations de réception d’argent venant d’un tiers ;
opérations d’envoi d’argent vers un tiers ;
opérations de réception d’argent venant d’un tiers ;
ouverture d’un compte bancaire ;
3° dépôts dans un compte ;
retraits d’un compte.
Chaque opération est rendue possible, grâce aux différentes fonctions intégrées de la machine, notamment:
J La fonction de sélection des données préenregistrées dans le système et correspondant au 35 besoin de l’usager ;
J La fonction de paramétrage et de saisie des données du client;
J La fonction de numérisation et d’enregistrement des pièceset documents du client ou de l’usager ;
J La fonction de numérisation et d’enregistrement des données biométriques et personnelles du client ou de l’usager ;
40 La fonction de calcul ;
J La fonction d’encaissement ;
La fonction de décaissement ;
•S La fonction de change ν' La fonction d’édition et impression ;
ν' La fonction de sécurité t
J La fonction d’information, de communication et de contrôle ;
« * La fonction économique.
a) La fonction de sélection des données nréenregistrées correspondant au besoin du client
Cette fonction identique à celles des DAB classiques, est assurée par l’écran et les touches de sélections de la machine automatique : il est suggéré â l’usager au travers de l’écran, de choisir parmi les éléments qui s’y affichent et qui ont été préalablement paramétrés dans la base de données de la plateforme.
Grâce aux touches de sélection, l’usager opère le choix qui correspond le mieux à ses besoins, notamment le choix de la langue d’opération, le choix du type d’opération â accomplir ou le choix de l’institution financière chargée de garantir son opération.
Le paramétrage préalable des banques ou des établissements de micro-finances partenaires dans la plateforme technologique, est d’autant plus important que ce sont eux qui confèrent un caractère légal aux opérations effectuées par les terminaux. En conséquence, la machine automatique n’effectue des opérations de banque que pour le compte des institutions financières dûment agréées.
La fonction de sélection est aussi exécutable sur les terminaux secondaires grâce à l’application mobile de la plateforme.
b) La fonction de paramétrage et de saisi des données clients
Cette fonction est assurée par le clavier et l’écran de la machine automatique. Le clavier présente les mêmes caractéristiques que ceux des DAB classiques. Toutefois, il peut comme dans certains Smartphone, être digital et incorporé à un écran tactile.
L’usager utilise le clavier pour paramétrer dans la plateforme informatique, des données qui déterminent les conditions d’exécution par la machine des requêtes qui lui sont introduites et qui permettront de gérer les différentes les opérations : les informations relatives au client et à ses besoins et qui sont sollicitées par la machine y sont saisies, puis elles sont comparées avec les données déjà paramétrées dans le système.
Les informations sollicitées par la machine dépendent du type d’opération que l’usager souhaite effectuer : elles sont les suivantes:
Le(s) nom(s) et prénom(s) du client ou de l’usager ;
Le numéro de téléphone du client ou de l’expéditeur ;
Le numéro de téléphone du destinataire ;
11 Le pays et la ville de résidence ou d’expédition du transfert ;
Le pays et la ville de destination du transfert ;
Le montant à déposer ou à envoyer ;
Le montant attendu ou â retirer ;
Le code de transfert reçu ;
Le numéro de compte ;
La date et le lieu de naissance ;
Le cas échéant, les informations sur les personnes à contacter en cas de besoin.
L’usager doit par la suite se servir des touches de sélection pour confirmer ou modifier les informations ainsi saisies et qui s’affichent à l’écran de la machine automatique.
Cette fonction de paramétrage et de saisie est également exécutable par application mobile sur les terminaux secondaires au moyen des claviers et des écrans des Smartphones, des tablettes et des ordinateurs.
V s
c) La fonction de numérisation et d’enregistrement des pièces et documents
La machine automatique est caractérisée en ce qu’elle est dotée d’un dispositif de numérisation et d’enregistrement des pièces et documents, nécessaires à l’identification de l’usager. Cette fonction distingue la machine automatique des Guichets automatiques bancaires classiques ; les informations numérisées sont confrontées le cas échéant avec les données saisies dans l’étape précédente, dans le but de déceler d’éventuelles erreurs ou fraudes.
Cette fonction est visible sur la machine à travers la fente de numérisation des pièces : l’usager introduit dans la fente de numérisation de la machine automatique, sa carte d’identité ou les pages indiquées de son passeport ; la pièce ainsi introduite est scannée et enregistrée dans la plateforme technologique, puis elle est éjectée de la machine par la même fente.
Un système OCR (Optical Character Récognition) permet à la machine de reconnaître le document ainsi introduit ; & défaut, un message de rqet apparaît à l’écran du terminal et la mauvaise pièce automatiquement éjectée de la machine.
S’agissant des terminaux secondaires (Smartphones, tablettes ou ordinateurs), grâce à l’application mobile, la pièce est scannée par un Smartphone ou tout autre appareil externe et transférée par WhatsApp ou autre moyen de télécommunication à la plateforme technologique qui l’accepte ou la rejette.
En lieu et place d’un dispositif de lecture de la carte bancaire, la machine automatique dispose plutôt d’un système pouvant scanner et enregistrer la pièce d’identité de l’usager ; ce qui donne la possibilité à tout porteur d’une carte nationale d’identité, d’un passeport et d’une carte de séjour de pouvoir effectuer ses opérations de banque, sans besoin d’un compte ou de carte bancaire.
d) La fonction de numérisation et d’enregistrement des empreintes digitales, de la photo et de lajsignature du client
Cette fonction est visible sur la machine automatique à travers le point d’enregistrement des empreintes digitales, la caméra incorporée et le stylo électronique.
S’agissant des empreintes digitales,
A un moment de l’opération, un message apparaît à l’écran de la machine automatique, invitant l’usager à placer un ou plusieurs de ses doigts à l’emplacement prévu sur la machine et qui se distingue par son clignotant rouge ; si le ou les doigts à scanner sont bien disposés, le clignotant passe du rouge au vert et la machine scanne et enregistre automatiquement la ou les empreintes digitales requises.
Cette fonction intervient :
• soit vers la fin d’une opération, lorsqu’il faut la conclure, auquel cas l’empreinte enregistrée tient lieu de validation de l’opération et de moyen de son authentification ;
soit au début de l’opération, pour permettre à la plateforme d’identifier l’usager l’ayant déjà utilisé et ressortir certaines de ses données personnelles qui permettra de raccourcir le temps de son opération.
Ainsi, l’usager qui a utilisé la machine automatique au moins une fois, est exempté de plusieurs étapes dans Γaccomplissement d’une opération de banque, s’il dispose du numéro d’identification personnel (NIP).
La machine délivre automatiquement à travers le reçu de la transaction, un NIP à toute personne qui l’utilise pour la première utilisation fois ; A défaut d’en disposer pour quelque raison que ce soit, on fera son opération en suivant toutes étapes qui s’imposent à un nouvel utilisateur.
La quasi-totalité des distributeurs automatiques de la zone CFA utilisant les cartes bancaires et 5 des codes secrets, l’utilisation de l'empreinte digitale comme moyen d'identification de l'usager et d’authentification de l’opération en lieu et place de la carte bancaire est inédite.
Grâce â l’application mobile de la plateforme, Γ enregistrement des empreintes digitales est également exécutable sur les terminaux secondaires: l’opération se déclenchera automatiquement lorsque l’usager placera le ou les doigts à scanner sur le lieu indiqué sur 10 l’écran tactile de son Smartphone ou de sa tablette.
En ce qui concerne la caméra Incorporée.
Au cours de l’opération, il s’affiche à l’écran de la machine automatique, un message invitant l’usager à fixer la caméra : grâce à un système de reconnaissance par l’iris, celle-ci ne se déclenche que lorsque l’œil de la caméra rencontre effectivement les yeux de l’usager, sinon 15 l’opération est bloquée et le message continue à s’afficher jusqu’à ce l’exercice soit bien réalisé.
Lorsque la caméra se déclenche, une photo 4x4 est numérisée et enregistrée dans la base de données de la plateforme dans le triple but d’identifier l’usager, authentifier l’opération et d’en assurer la traçabilité.
Contrairement au GAB classiques où la caméra est un instrument de sécurisation de la machine 20 et de l’usager, la caméra des machines automatiques est non seulement un moyen de numérisation des données pour l’opération, mais aussi un moyen d’identification de l’usager, d’authentification et de sécurisation de l’opération.
L’application mobile de la plateforme permet à l’usager de se servir de la caméra de son téléphone portable pour se photographier et transmettre ces données par internet à la plateforme 25 technologique pour exploitation.
S’agissant de l’enregistrement de la signature par stylet.
Au cas la législation de certains pays n’autoriserait des empreintes digitales comme moyen d’identification ou d’authentification utilisable par des privés, on pourrait envisager des écrans tactiles pouvant recueillir la signature du client à l’aide d’un stylo électronique (stylet) fixé à la 30 machine à l’aide d’un cordon ultra-résistant
Grâce à l’application mobile de la plateforme technologique, cette fonction sera exécutable sur les Smartphones et les tablettes dotés d'un stylo électronique.
e) La fonction de calcul
Plusieurs organes soutiennent cette fonction :
- Un organe de détail chargé de la reconstitution des montants obtenus entre les coupures ;
- Un organe de composition qui rassemble tous les détails faits sur les coupures ;
Un authentifîcateur qui vérifie l’authenticité des données saisies ou enregistrées ; Un authentifîcateur de monnaie ;
Un organe de coupure qui donne la valeur des coupures ; i
Un organe de vérification de compte qui détermine si le compte est fourni. VL·
Un tarif générique des prestations est paramétré dans la base de données de la plateforme.
Lorsque l’usager introduit ses données personnelles dans ladite plateforme, elles sont confrontées aux données préenregistrées, ce qui génèrent des résultats représentant les frais à payer pour son opération.
Avant le bouclage de chaque opération, la machine à travers son écran, communique à l'usager le montant & payer pour son aboutissement. Il doit alors confirmer l’acceptation de ce montant pour continuer la transaction, ou appuyer sur la touche « modifier » pour le corriger.
A titre d’exemple, si le client souhaite transférer 10000 FCFA et que le tarif préenregistré indique que les frais à payer sont de 175 FCFA, il s’affichera à l’écran du terminal la syntaxe 10 suivante : montant à transférer 10000 FCFA + montant des frais 175 FCFA = montant & déposer 10175 FCFA.
Si l’usager appuie sur la touche «modifier », il se présentera à l’écran du terminal, un espace dans lequel il doit mentionner la somme qu’il souhaite déposer et qui dès validation, affiche la somme qui sera effectivement remise au destinataire, déduction faite des frais i payer : on aura 15 alors la syntaxe suivante :
Montant déposé 10000 FCFA - Montant des frais 175 FCFA = Montant effectif & transférer 9825 FCFA.
Cette fonction de calcul est également exécutable par l’application mobile des terminaux secondaires.
f) La fonction d’encaissement, de décaissement et de change
Cette fonctionnalité confère & la machine automatique la même utilité qu’un guichet automatique de banque, mais avec la particularité de fonctionner sans besoin de disposer de compte et de carte bancaire.
La fonction d’encaissement :
La fonction d’encaissement est réservée aux seuls terminaux principaux ; en effet, les machines automatiques disposent d’une fente de dépôt des billets et une fente d’introduction des pièces de monnaie, respectivement pour encaisser des billets de banques et des pièces de monnaie, contrairement à la grande majorité des GAB classiques qui ne peuvent recevoir que des billets.
Dans une opération d’envoi d’argent, d’ouverture de compte ou de dépôt dans un compte, après que le montant à déposer ait été validé, l’usager est invité par un message qui s’affiche à I’écran, à introduire les billets et les pièces de monnaies dans leurs fentes respectives. Ces moyens de paiements passent par un dispositif de reconnaissance, de trie et de comptage automatique incorporé à la machine préalablement configurée, en fonction de la présentation de moyens de paiement utilisés dans sa zone d’activité de la machine.
Après cette étape de dépôt d’argent qui s’opère dans la partie supérieure de la machines où se trouvent les fentes, les moyens de paiement retenus se servent de la force gravitationnelle (pour raison d’économie d’énergie) pour échouer dans les caissons qui leurs sont réservés dans la partie basse de la machine.
La machine dispose de quatre caissons de stockage des moyens de paiement dont deux pour les 40 billets de banques locaux, un pour les devises étrangères (billets) et un autre réservé aux pièces monnaie. Seuls les billets non acceptés peuvent être rejetés à travers la fente d’éjection de la machine automatique.Vv
La fonction de décaissement
Cette fonction, elle aussi réserve à la machine automatique, s’exerce & travers la fente d’éjection qui est conçue pour éjecter uniquement les billets. Dans le cas de réception d’argent ou de retrait d’argent en compte par exemple, l’usager après avoir saisi dans la machine le montant & retirer, le code transfert ou le numéro de compte selon le cas, reçoit le montant sollicité, automatiquement compté puis éjecté de la fente d'éjection. La machine automatique ne rembourse, ni ne paie les pièces de monnaie.
La fonction de change
Cette fonction exclusive à la machine automatique, lui donne la possibilité de vendre les devises étrangères à ses clients. Chaque banque partenaire de la plateforme ajuste périodiquement les paramètres du logiciel en fonction des taux de change des devises étrangères (Dollars, Euros) qu’elle compte vendre sur la plateforme technologique.
Après avoir tapé sur l'icône « Change » qui apparaît & l’écran, l’usager est invité à choisir parmi les banques qui s’affichent, celle chez qui elle souhaite acheter ses devises. Puis, il lui est demandé de saisir dans la machine le montant qu'il souhaite changer. A chaque fois que le montant est saisi, il apparaît automatiquement à l'écran, le taux de change applicable du jour, les fiais & percevoir par la banque et le montant correspondant en devise & recevoir. Si l’usager valide le montant à déposer, la machine lui demande de l’introduire à travers la fente appropriée; cette action déclenche automatiquement l'éjection par la fente de paiement, des devises achetées, puis, un reçu de la transaction.
g) La fonction d’édition et d’impression
Cette fonction est assurée par une imprimante spéciale à plusieurs bacs,logée dans la partie inférieure de la machine automatique, parallèlement au compartiment de disposition des caissons,dont l'accès est sécurisé par une clé électronique et dont la sortie visible est la fente d’impression par laquelle les documents imprimés sont évacués.
L’imprimante spéciale délivre des reçus pour les opérations de banque : quelque soit l’opération (transfert d'argent, dépôt en compte, retrait, ou ouverture de compte), la machine délivre par la fente d'impression, un reçu delà transaction de dimension classique et sur lequel figurentinformations importantespour les cas de réclamations ou pour les futurs transactions. Ces informations qui diffèrent selon le type d’opération sont les suivantes:
Le nom et le logo de la banque garantissant la transaction; le type d’opération effectuée ; la date de la transaction ;le numéro de la machine l'ayant effectuée ; le nom, prénom et numéro de téléphone du déposant ;la ville et le pays du déposant ; le nom, prénom et numéro de téléphone du bénéficiaire ; la ville et le pays du bénéficiaire ;Ie montant de la transaction; le code de la transaction; le Numéro d’identification Personnel (cas de 1*” utilisation). Le montant en devise ; le taux dc change ;
h) La fonction d’information, de communication et de contrôle
Cette fonction s’exerce à travers l’écran, le haut-parleur ou les systèmes de télécommunications intégrés à la plateforme : le haut parleur retransmet des messages vocaux préenregistrés dans la plateforme et qui vise A guider l’usager dans les différentes étapes de son opération
Le système de télécommunication intégré sous forme d’intranet, internet, USSD, SMS ou autre, permet aux éléments de la plateforme de communiquer entres eux, d’informer les usagers ou d’installer avec eux un dialogue interactif A travers les écrans des terminaux principaux ou secondaires et ce dans le but de répondre A leurs besoins opérationnels ou de les faciliter/L.
t
A titre d’illustration, dans le cas d’une opération d’envoi d’argent, 1a machine automatique, juste après la délivrance d'un reçu à l’expéditeur, déclenche automatiquement un message SMS en direction du numéro de téléphone du destinataire, pour l'informer de la transaction.
Ledit message porte les informations suivantes :
* Le nom et le logo de la plateforme de la transaction ; le type d’opération effectuée ; la date de la transaction ;le lieu de paiement ; le nom, prénom et numéro de téléphone du déposant ; la ville et le pays du déposant ; le montant de la transaction ; le code de la transaction.
Par ailleurs, tous les éléments de la plateforme technologique communiquent entre eux et le cas 10 échéant avec l’extérieur, grâce à une connexion internet VPN (VirtualPrivate Network) sécurisée.
Toutes les données relatives & une transaction enregistrées dans la plateforme, peuvent être disponibles en temps réels sur toutes les interfaces. A ce titre la fonction d’information, offre une traçabilité qui fait de la plateforme et de la machine automatique un formidable instrument de contrôle des opérations de banque.
1$ Cette disponibilité des informations en temps réel, permet de fournir un inventaire détaillé des opérations réalisées par les terminaux; elle facilite également la tenue des états statistiques automatisés, fiables et actuels et vient définitivement régler le problème de l’anachronisme des statistiques, à l’origine des décisions stratégiques lentes ou tardives.
La gestion d’une telle base de données, suppose la maîtrise de certaines contraintes, notamment :
2o Les contraintes liées à l’interopérabilité du système informatique open source »),
- les contraintes relatives à la prise en compte de l’environnement (adaptation aux technologies actuelles et futures), sa gestion et sa configuration,
- les contraintes liées à l’utilisation des outils ou des bases de données ; elle devra également mettre un accent sur les aspects sécuritaires du système tels quela sécurité physique des machines automatiques d’assurances, les questions d’habilitations, la confidentialité des données, intégrité des données, la non répudiation des données, l’authentification des utilisateurs, la disponibilité et la permanence du système, la gestion de la performance du système (montée en charge et temps de réaction du système)
La connexion internet de la plateforme doit être caractérisée par :
Le déploiement des serveurs en réplication, derrière un mur pare-feu, avec deux instances de bases de données MySQL configurés en mode répliqué et synchrone.
La configuration de sécurité stratifiée comme suit :
• Niveau réseau • Niveau système d’exploitation • Niveau serveur Web • Niveau application
Un service sécurisé (créer sur un réseau IP maîtrisé, une communauté de sites étanches)
La création dynamique et personnalisation des VPN (Virtual Private Network) (capacité du réseau à s’adapter aux partenaires et & l’organisation de la plateforme technologique)
La haute disponibilité du système informatique
La haute qualité du matériel technique (serveurs)
ί) La fonction de sécurité
Nonobstant les dispositifs de sécurité informatique de la plateforme dans son ensemble, cette fonction gère particulièrement les problèmes de sécurité pouvant affecter physiquement la machine automatique :
Le premier niveau de sécurité s’illustre par ce dispositifde GPS incorporé à la machine, qui lui permet d’être tracée ;
une alarme à son strident, qui se déclenche automatiquement lorsque la machine installée et programmée, est déplacée à une certaine distance, sans avoir été préalablement déprogrammée ou alors lorsque certains accès et compartiments sécurisés sont forcés.
Le deuxième niveau de sécurité est relatif à l’ouverture électronique du compartiment inférieur abritant les caissons de billets/jetons et l’imprimante spéciale.
Le troisième niveau concerne les systèmes d’écrou situés aux quatre coins de la base de la machine, grâce auxquels elle peut être fixée au sol. A défaut, la forme particulière de la machine automatique lui permettra d’être facilement emmurée.
Le compartiment par lequel les caissons sont ravitaillés ou vidés, présente un accès arrière sécurisé par une serrure électronique, dont le code est changeable au besoin, par le fondé de pouvoir agrée par la plateforme.
j) La fonction économique
Cette fonction s’illustre à travers les dispositifs d’économie et de conservation de l’énergie de la machine, notamment, le dispositif relatif à la batterie incorporée dans la partie inférieure de la machine, ayant une autonomie d’au moins 4 heures, et le dispositif de transfert par gravité de l’argent introduit dans la fente de dépôt jusqu’aux caissons de stockage.
Ces dispositifs visent à adapter les machines automatiques tant au fonctionnement optimal tant en 25 zone urbaine, qu’en zone rurale, en prévention des conséquences des délestages récurrents dans les pays de la zone CFA.
L’autre illustration de la fonction économique de la plateforme, consiste à rendre possible, grâce à l’application mobile, la majorité des étapes des opérations sur les terminaux secondaires (Smartphones, tablettes ou ordinateurs) ; de manière à n’utiliser le terminal principal que pour des 3q tâches ne pouvant pas être faites par ces terminaux secondaires, en l’occurrence les tâches d’encaissement, de décaissement et de change, ainsi que les tâches d’impression: l’opération commencée sur le terminal secondaire se poursuit sur le terminal principal, en introduisant dans la machine automatique le code de continuation qu’a produit le terminal secondaire. Cette méthode permet de gagner en temps et à optimiser la productivité des machines automatiques.
Par ailleurs la fonction économique confère la multi-opérationnalité de la machine automatique, qui grâce au concept du «sharing ecortomy» qui la fonde, peut être partagée par plusieurs sociétés partenaires interconnectés par des moyens de communications dédiées, sécurisées et étanches.
Π-4-2- La machine automatique fonctionnant en mode assurance
Lorsque le mode de fonctionnement de la machine automatique est géré par le logiciel d’assurance 0 de la plateforme, il présente les avantages suivants pour l’industrie des assurances :
❖ L’amélioration de l’ubiquité et du taux de pénétration des services d’assurances, en rapprochant d’avantage ces services des populations ;
❖ L’amélioration de la traçabilité et de la transparence des opérations d’assurances grâce à la constitution d’une base de données fiable ❖ La réduction des erreurs humaines, des contrefaçons, des fraudes, des vols et des détournements dans la gestion et la manipulation des primes ou documents des sociétés d’assurances ;
❖ Le renforcement de la sécurité des documents et des recettes ;
simplification des «process» des assureurs et l’amélioration du temps et de la qualité des prestations ;
❖ La protection des sociétés d’assurances contre le risque d’insolvabilité des intermédiaires ;
❖ L’amélioration du taux d’encaissement des primes ;
❖ La réduction des frais généraux des Compagnies d’assurances et des intermédiaires ;
❖ Le respect du tarif d’assurance automobile harmonisé;
❖ Le développement de la micro assurance dans les marchés de la zone CIMA et dans les pays africains de même profil économique ;
<· La réduction des arriérés de primes ;
<· La réduction des déclarations sinistres tardives
En mode assurance, mis à part la fonction de change, la machine automatique utilise les mêmes fonctions que celles décrites en mode banque, les caractéristiques de ses fonctions sont très souvent les mêmes ; cependant, certains effets produits et les opérations different
Avec le travers le logiciel d’assurance de la plateforme, la machine automatique qui compte progressivement s’ouvrir à de nouvelles opérations, offre pour un départ, les suivantes :
opérations de souscription d’assurance automobile (contrat mono-véhicule et contrat flotte) ;
Les opérations de déclaration de sinistre automobile ;
Les opérations de souscription et de cotisation d’assurance maladie universelle ;
Les opérations de souscription d’une assurance maritime ;
Les opérations de souscription d’assurance voyage ;
Les opérations de souscription d’assurance obsèques ;
Les opérations de souscription et cotisation d’assurance retraite ;
Les opérations de retrait des quottes parts primes des compagnies d’assurances et de retrait des commissions des intermédiaires.
Toutes ces opérations sont effectuées grâces aux différentes fonctions suivantes :
a) La fonction de sélection
En mode assurance, la fonction de sélection s’exerce à travers quatre organes de la machine automatique : les touches de sélection, l’écran, le clavier et le GPS incorporé.
Le GPS incorporé permet â la machine de sélectionner automatiquement la zone de souscription du risque (ZONE A, ZONE B ou ZONE C), laquelle constitue un facteur déterminant dans la 35 tarification du risque. Cette astuce permet à la machine de gérer automatiquement les fraudes de « dézonifïcation » pratiquées par de nombreux assureurs véreux.
Avec l’aide des touches de sélections, l’usagerest invité à sélectionner les offres qui se présentent à l’écran de la machine automatique ou du terminal secondaire, relativement aux langues d’opération, aux types d’opération et aux compagnies d’assurances partenaires agrées etpréenregistrés dans la 40 base de données de la plateforme technologique ;
S’agissant des contrats mono-véhicules,
Pour la souscription d’un contrat mono-véhicule, l’écran propose à l’usager l’icône « oui » et « non » pour répondre à la question de savoir s’il a «reçu, lu et approuvé les conditions générales] d’assurance automobile», lesquelles sont publiées sur un site internet de la plateforme!
« «
technologique. Pour continuer son opération il doit sélectionner la touche « oui » ; la touche « non », l’invitant plutôt i prendre connaissance dudit document avant d’engager son opération.
Les touches de sélection permettent également à l’usager de choisir sur les icônes qui se présentent à l’écran, la catégorie qui correspond & celle du véhicule à assurer et qui figure sur la carte grise ; les différentes catégories que présente l’écran sont les suivantes :
Catégorie I (véhicule de tourisme)
Catégorie II (Véhicule de commerce ou utilitaire)
Catégorie III (Transport Public de Marchandises-TPM)
Catégorie IV (Transport public de voyageur- TPV)
Catégorie V (Véhicule & deux roues)
Catégorie IX (Engins mobile de chantiers)
Autres catégories
En appuyant sur la touche correspondant à la catégorie IV, Trois sous-catégories apparaissent & l’écran :
• Catégorie IV A (Taxi de ville)
Catégorie IV B (Transport interurbain)
Catégorie IV C (Transport du Personnel ou des élèves)
La touche correspondante à « Autres catégories » affiche les autres catégories qui ne sont pas encore affichées :
Catégorie VI
Catégorie VII ( )
Catégorie VIII0
Catégorie
Les touches de sélection interviennent aussi pour choisir l’énergie consommée par le véhicule à assurer et qui détermine le tarif applicable : le gasoil ou l’essence.
Si le véhicule à assurer appartient aux véhicules de catégories IV, il s’affiche & l’écran, un tableau en deux colonnes : la première, déterminant les différents nombres de places du véhicule, prévus par le tarif automobile et la deuxième indiquant l’espace à cocher. En se servant de la touche de sélection, l’assuré coche dans la case qui correspond & son véhicule.
En ce qui concerne les véhicules de catégorie V, il apparaît à l’écran un tableau comportant 3 colonnes : la première définit les véhicules de catégorie V à usage personnel, la deuxième indique les différentes cylindrées possibles du véhicule proposé par le tarif et la troisième définit les véhicules à usage commercial : l’usager se sert de la touche de sélection pour cocher, la case de la colonne de l’usage du véhicule qui correspond & la cylindrée indiquée sur la carte grise de son véhicule.
Aussi, l’usager se sert de la touche de sélection pour répondre par « oui » ou par «non » dans les cas suivant:
L’utilisation d’une remorque par les véhicules de cat IV, VI, VII, VIII, X,
Le transport d’une matière inflammable pour les véhicules de catégories II et ΠΙ.
Par le même mécanisme, il doit choisir les facteurs de minoration ou de majoration de primes qui s’affichent à l’écran et qui correspondent au véhicule ou qui caractérise le conducteur habituel, notamment : L
K *
Permis de moins de 2 ans • Conducteur ayant moins 25 ans
Membre du clergé
Délégués médicaux, agents publicitaires ou agents d’affaires
Si aucun des facteurs proposés à l’écran ne correspond à la situation de l’assuré, il sélectionne en appuyant sur la touche « aucune »
L’usager aura aussi à choisir parmi les compagnies d’assurances qui se présentent à l’écran, celles qui correspond le mieux à ses aspirations ; si aucune de celles présentées ne lui convient, il n’aura qu’à appuyer sur la touche « Autres » pour découvrir de nouvelles propositions. Par contre, si aucun choix n’est fait, l’écran revient sur l’affiche précédente jusqu’à ce qu’un choix soit opéré.
Le choix de la compagnie d’assurance fait, il se présente successivement à l’écran du terminal, les offres de la compagnie choisie relativement aux garanties complémentaires proposées,ainsi qu’aux primes correspondantes qui les distinguent des autres compagnies:
ν' Pour toutes les catégories, le montant de la garantie « défenses/recours » et la prime correspondante ;
ν' Pour les véhicules de catégorie ΙΠ et plus (non compris les catégories V et VIII), le montant des garanties et les primes correspondants aux capitaux Décès, Individuel accident et Frais de traitement pour les garanties « individuelle chauffeur » ou « individuelle passager » ;
ν' Pour les véhicules de catégories I, II, VIII, le montant des capitaux Décès, Individuel accident et Frais de traitement ainsi les primes correspondantes.
Si l’usager n’est pas satisfait au terme de toutes ces propositions relatives aux garanties complémentaires, il lui suffira d’appuyer sur la touche « recommencer » pour sélectionner une autre compagnie d’assurance et voir l’offre qu’elle propose.
Par ailleurs, pour se voir appliquer un pourcentage de réduction sur la prime nette, l’usager choisit en fonction de l’historique du risque dans la plateforme, de sélectionner la touche correspondante à l’icône « Bonus pour non sinistre » ou « réduction flotte », s’il dispose d’au moins 2 véhicules assurés dans la même compagnie de la plateforme.
L’usager en fonction de ses besoins, choisit également sa période d’assurances sur les cinq icônes qui se présentent à l’écran du terminal, en nombre de jours de couverture : 1 à 60 jours ; 61 à 120 jours ; 121 à 180jours ; 181 à240jours et 241 à 365 jours.
Après cette étape, fl s’affiche à l’écran du terminal, la prime à payer que l’usager doit accepter ou refuser à travers les touches correspondantes aux icônes « payer primes » ou « modifier ». En appuyant sur cette dernière touche, la machine propose à l’usager le cas échéant, de réduire les montants des garanties complémentaires pour diminuer le montant des primes.
S’agissant des contrats automobile flotte,
Bien que la souscription d’une flotte automobile soit possible sur la machine automatique, il est plus pratique compte tenu de nombreux tableaux à remplir, qu’elle soit effectuée pour l’essentiel des étapes, sur les terminaux secondaires, notamment les Smartphones, tablettes et les ordinateurs.
Dans ce cas, les touches de sélection servent essentiellement à se mouvoir avec le curseur dans les tableaux successifs qui s’affichent à l’écran, grâce aux icônes d’orientations: & titre d’illustration, une fois le curseur positionné, l’usager appuie sur l’icône « modifier » pour obtenir des meilleures garanties par rapport aux minimales que proposent la compagnie d’assurance choisie ; ces garanties s’affichent dans un tableau ayant en première colonne les catégories des véhicules, en deuxième colonne le numéro d’ordre du véhicule, en troisième colonne le numéro d'immatriculation correspondant et en abscisse les montants des garanties RC/RTI, Défenses/Recours, Individuelle chauffeur et Individuelle Personne Transportée (IPT), le cas échéant.
Lorsque les primes sont déjà calculées, l’usager est invité à marquer dans le tableau qui se présente i l’écran le facteur de modulation qui correspond le mieux à son risque : ce tableau présente en 5 ordonnée, les catégories des véhicules et en abscisse, les facteurs de majoration et de minoration de risque qui sont les suivants :
• Facteurs minorants : bonus pour non sinistre, Profession à faible risque
Facteurs majorants : Conducteur âgé de moins de 25 ans, permis de conduire de moins de 2 ans, Profession à haut risque, Malus pour sinistralité élevée.
Dans d’autres cas, le curseur positionné sur des icônes de renseignements, permet de saisir des informations sollicitées pour la cotation du risque.
b) La fonction de saisi des données clients
En mode assurance, cette fonction est assurée par les mêmes organes de la machine qu’en mode banque, notamment, le clavier, les touches de sélection et l’écran.
L’usager doit saisir dans la plateforme, les informations qui correspondent & celles exigées dans les formulaires des propositions d’assurance. Ces informations sollicitées & travers l’écran, sont relatives à l’assuré, aux caractéristiques du risque à assurer et le cas échéant à l’intermédiaire, notamment :
Le nom et prénom de l’assuré ; le numéro de téléphone de l’assuré ; le nom et prénom du souscripteur; le numéro de téléphone du souscripteur, le nom et prénom de l'intermédiaire ; le code intermédiaire ; le numéro de téléphone de l'intermédiaire ; la date d’effet souhaitée ; la durée de couverture souhaitée ; le type de véhicule ; la marque du véhicule ; le numéro d’immatriculation ou le numéro de châssis du véhicule ; le genre de véhicule ; la puissance du véhicule ; le poids total en charge du véhicule.
Si oui ou non, il y a antériorité de sinistre.
Cette fonction est très usitée dans les contrats flotte automobile, & cause de la complexité des tableaux â remplir :
Le premier tableau de saisi comporte en ordonnée les différentes catégories qui constituent la flotte et en abscisse, la quantité, le type, la marque, l’immatriculation ou le numéro de châssis et la zone d’activité du véhicule ;
Le deuxième tableau qui succède, affiche en ordonnée les catégories précédemment saisies et en abscisse les quantités et immatriculations déjà saisies auxquels s’ajoutent la puissance, l’énergie consommée, la charge totale, le transport de matière inflammable et le nombre de places.
c) La fonction de numérisation et d’enregistrement des données
En mode assurance, les pièces du véhicule et des conducteurs sont introduites dans la fente de numérisation, scannées et enregistrées dans la plateforme ; il s’agit de la carte nationale d’identité du souscripteur (s’il s’agit d’une personne physique), de la liste des véhicules (suivant le modèle fourni par la plateforme), les cartes grises des véhicules à assurer et les permis des conducteurs 0 desdits véhicules.
Ces documents peuvent aussi être scannés par des moyens extérieurs à la machine automatique, avant d’être envoyés par internet vers la plateforme technologique, notamment les caméras des Smartphones, les appareils scanners externes, h «
K
d) La fonction de numérisation et d’enregistrement des données bfoméfriques
En mode assurance, cette fonction produit les mêmes effets et résultats qu’en mode banque: l’empreinte digitale du souscripteur est scannée et enregistrée dans la base de données de la plateforme, dans le but de certifier et d’authentifier les choix réalisés, les informations saisies ou numérisées et le contrat d’assurance.
Pour certaines opérations, notamment de décaissement des commissions des intermédiaires ou de paiement de quotte part de coassurance, l’usager est invité à fixer la caméra pour la numérisation d’une photo 4x4 qui servira à identifier l’opérant et authentifier l’opération.
e) La fonction de calcul
En mode assurance, la fonction de calcul obéit au même principe qu’en mode banque : les données introduites dans la machine ou dans les terminaux secondaires qui correspondent aux caractéristiques de l’assuré et de son risque, sont traitées en fonction des tarifs ou des barèmes paramétrés dans la plateforme. Cette dernière opère donc une lecture directe et communique automatiquement par l’écran du terminal, les résultats, notamment: les primes à payer, les commissions des intermédiaires éventuels ou les quottes parts de coassurance attendues.
Chaque compagnie d’assurances partenaire, fait introduire dans la plateforme, les spécificités de son tarif en fonction des branches d’assurances ciblées. Dans le cadre de l’assurance automobile par exemple, en fonction des données du véhicule et du conducteur, le logiciel calcule automatiquement la prime de base qui correspond aux garanties de base que sont : la garantie « Responsabilité civile et recours tiers incendie » ajoutée & la garantie « Défenses recours » et le cas échéant les garanties « Individuelle Chauffeur » et « individuelle personnes transportées ».
Les primes complémentaires viendront s’ajouter à la prime de base, au fur et à mesure que l’usager sollicitera des garanties facultatives (vol, incendie, collision, tiers collision, bris de glace). La somme des primes engendrera une prime nette pouvant être modulée en fonction de certains facteurs de majoration ou de réduction de la prime :
> Les facteurs de réduction de la prime sont notamment, le bonus pour non sinistre, la catégorie socioprofessionnelle (membre du clergé) et la flotte (à partir de 2 véhicules) ;
> Les facteurs de majoration quant à eux, concernent le malus pour sinistre, la catégorie socioprofessionnelle (Agents d’affaires, délégués médicaux, Agents publicitaires), l’Age du conducteur (moins de 25 ans) et l’Age du permis du conducteur (moins de 2 ans) ;
Après cette étape, le logiciel calculera automatiquementla prime nette de la flotte, en multipliant la période de couverture choisie par le souscripteurà la somme des primes de tous les véhicules de la flotte découlant des différents tableaux. La prime nette ainsi calculée induira en fonction des tarifs propres à chaque compagnie d’assurances, les accessoires, les fiais de fichiers, puis la TVA qui en découle.
Enfin, la Prime Toutes Taxes Comprises à payer, sera automatiquement calculée par le logiciel, en faisant la somme de la prime nette, des accessoires, des fiais de fichiers, de la TVA, de la carte rose et des droits de timbre automobile.
En ce qui concerne les commissions des intermédiaires ou les quottes parts des co-assureurs, les contrats entre ces derniers et les compagnies d’assurances, définissant les termes et le mode de répartition des primes, seront introduits dans la plateforme qui ainsi paramétrés, permettrade calculer automatiquement à chaque production, la part que chaque partenaire pourra directement récupérer dans la machine automatique. L %
f) La fonction d'encaissement et de décaissement
L'utilisation de cette fonction est la même qu’en mode banque : â travers la fente de dépôt les usagers déposent le montant de la prime à payer ou reçoivent leurs commissions d’intermédiation ou de coassurance â travers la fente d’éjection.
En mode assurance, la fonction d’encaissement de la machine automatique a pour objectif principal d’éviter les manipulations de primes et des espèces par les employés ou par les intermédiaires, à l'origine des erreurs humaines, des détournements, des vols et des non reversements.
C’est l’aboutissement de cette fonction qui déclenche ou non la fonction d’impression : c’est ainsi que la machine automatique est conçue, de manière à ne délivrer les contrats d’assurance, les 0 certificats ou des attestations d’assurance et les reçus, qu’après que la machine ait effectivement encaissé la prime correspondante ; sauf dérogation spéciale introduite par un fondé de pouvoir agrée par la plateforme (système «prepaid » et «postpatd » combinée).
Quant & la fonction de décaissement, elle permet à chaque intervenant de la chaîne de production (assureur, Co-assureur, intermédiaire), de recevoir & temps de la machine automatique, sa quotte 5 part des primes qu’il a contribué à faire encaisser, et ce, conformément aux conventions existant entre les parties et dont les termes sont paramétrés dans la plateforme technologique.
Vu sous cet angle, la machine automatique apparaît comme un outil efficace de sauvegarde des intérêts des acteurs du secteur ; en ce qu’elle garantit leurs quotes-parts de primes respectives tout en préservant les uns et les autres des risques d’insolvabilité qui menacent la stabilité des sociétés.
Comme la machine s’occupe désormais de gérer les aspects liés au paiement, à la sécurité des primes et à la tenue des états statistiques, les intermédiaires d’assurances disposent désormais de plus de temps pour se concentrer sur leurs vocations commerciales.
g) La fonction d'édition et d'impression
En mode assurance, c'est la même imprimante spéciale décrite en mode banque qui imprime les 5 documents transactionnels, notamment, les conditions particulières, les attestations d’assurances, les cartes roses, les certificats d’assurances, les quittances, les récépissés de déclaration sinistre et autres. Cette fonction n’est exécutable que par la machine automatique.
Seul Tutilisateur disposant de la clé électronique peut accéder au compartiment inférieur de la machine automatique et ranger dans les bacs respectifs les imprimés des documents transactionnels 0 sus évoqués et qui seront imprimés et éjectés de la fente d’impression qu’à condition que l’usager ait payé la prime correspondant à son opération
Ladite imprimante spéciale imprime sur chaque document transactionnel d’assurance, un code spécial inimitable qui le distingue. La sécurisation de son accès permet à l’assureur de contrôler les documents qui sont introduits dans ses bacs et de rendre inauthentiques les documents imprimés cn 5 dehors de la machine automatique, de manière à réduire les vols de documents, les faux documents et les antidatés.
Afin de faciliter le contrôle de l’authenticité des documents imprimés par la machine automatique, on envisage des codes alpha numériques imprimables sur ces documents et pouvant être envoyés par SMS vers la plateforme technologique ; le résultat de la demande suivra instantanément
L'autre particularité qu’offre l’imprimante spéciale en mode assurance, est cette subordination de la fonction d’impression à l’encaissement des primes : les documents transactionnels des assurances précités, ne peuvent être imprimés que si la machine automatique a effectivement encaissé la prime correspondante à l’opération réalisée, h—
Cette configuration vise à s’assurer du respect des dispositions de l’article 13 du code CIMA relatives au paiement des primes et & prévenir les risques d’insolvabilité à l’origine de nombreuses sanctions des compagnies d’assurances.
h) La fonction d’information, de communication et de contrôle
Cette fonction aussi, s’exerce comme en mode banque :
Grâce à internet ou tout autre système de communication efficace, toutes les opérations commencées pour des raisons pratiques sur un terminal secondaire, peuvent être poursuivies sur la machine automatique, notamment en ce qui concerne le paiement des primes et l’impression des documents.
Chaque compagnie d’assurance partenaire connectée à la plateforme sous le modèle de «Sharing economy » dispose d’un accès dédié qui lui permet,à travers ses interfaces, d’accéder et de gérer de manière étanche les informations concernant sa société.
En mode assurance, une des particularités de cette fonction, réside dans sa dimension commerciale, en ce sens que la plateforme et la machine automatique peuvent être programmées de manière i relancer automatiquement par SMS ou tout autre moyen, les clients dont les contrats arrivent à expiration, ou à les informer du niveau d’évolution de leurs dossiers sinistres.
La plateforme et la machine automatique constituent aussi un formidable instrument de contrôle des opérations d’assurance, étant donnée qu’elles ont cette capacité de produire en temps réel aux personnes autorisées, les informations fiables relativement aux personnes et biens assurés, notamment, les souscripteurs, les bénéficiaires des contrats, les numéros de polices, les dates (échéances, expiration, déclarations des sinistre, survenance de sinistres, et autres), les agents utilisateurs de la plateforme (administrateurs et autres personnes autorisées) , les agences, les intermédiaires, les montants des primes, les accessoires, le montant de la carte rose, le montant des droits de timbres, etc.
Cette disponibilité des données en temps réel, permet de fournir un inventaire détaillé des opérations réalisées par les terminaux; facilite également la tenue des états statistiques automatisés, fiables et actuels et vient définitivement régler le problème de l’anachronisme des statistiques des marchés d’assurance de la zone CIMA, à l’origine des décisions stratégiques lentes ou tardives.
i) La fonction de sécurité
Cette fonction est la même qu’en mode banque, à la seule nuance que l’accès au compartiment dans lequel l’imprimante spéciale est placée est situé à gauche de la machine. Ce compartiment est sécurisé par une serrure électronique similaire à celle qui protège l’accès aux caissons à billets et à jetons.
j) La fonction économique
En mode assurance, cette fonction de la machine automatique s’exerce suivant le même principe qu’en mode banque.
L’usager qui a réalisé la majorité des étapes de son opération sur son Smartphone ou son ordinateur, introduit dans la machine automatique son code de continuation pour payer sa prime et obtenir des documents transactionnels (conditions > particulières, attestations d’assurances, certificats d’assurance, cartes roses, quittances etc...)l·) *
« «
II-4-3- Composition et caractéristiques de la machine automatique (voir Planches I et II )
a) Composition de la machine automatique
J. Le clavier
Π peut être classique ou tactile; il permet au client de saisir les données qu’il souhaite dans la plateforme.
2. Les touches de sélection
Elles sont au nombre de 8 et permettent à l’usager de sélectionner les données qui s’affichent & l’écran.
3. L*écran
Π permet au client de visualiser les instructions, les opérations et les transactions.
H se décompose en un assemblage d’afficheurs qui sont :
- Un Afficheur message ou d’information; Un Afficheur opération; Un Afficheur coupure (informant le client des différentes coupures mises & sa disposition)
4- Le stylo électronique
H est placé sous l’écran et est relié à la machine par un cordon ultra-résistant Π permet également de recueillir la signature du client sur l’écran tactile.
5. - Fente de numérisation des documents et des pièces
Les documents qui sont introduits dans cette fente sont numérisés, enregistrés dans la plateforme, puis éjectés à travers la même fente.
& La fente de dépôt des billets
Us sont chargés de recevoir les dépôts de billets. L’ensemble de ce système est munis de composants suivants :
• Un lecteur des billets de banque ; un détecteur de faux billets de banque ; un compteur de billets automatique ; une calculatrice incorporée
7. La fente de dépôt des piècesde monnaie
Π permet au client déposer les pièces de monnaie
8. Le Compartiment de l'imprimante spéciale
Π s’agit du compartiment qui abrite l’imprimante spéciale à plusieurs bacs de formats de papier correspondant à ceux des attestations d’assurance, de carte rose, de conditions particulières et de quittance ou de reçu:
9. La caméra incorporée
Elle est placée au front de la machine et sert à faire une photo de l’usager, la numériser et l’enregistrer dans la plateforme
La caméra peut être associée à un système de reconnaissance par l’iris pour mieux identifier le client et mieux authentifier les opérations, jv
JO. L'enregistreur d'empreintes digitales
Elle sert à numériser l’empreinte digitale de l’usager, et à l’enregistrer dans la base de données de la plateforme.
L’enregistrement de cette donnée biométrique, notamment des empreintes digitales (type 5 algorithmique), peut se faire sur un dispositif électronique incorporé & la machine ou en plaçant le doigt & scanner au lieu indiqué sur l’écran tactile de la machine automatique.
IL Le système de communication Intégré
La machine automatique dispose des systèmes de communication (Internet, intranet, SMS, GPRS, USSD et autres à venir) qui facilitent d’une part, la communication entre les éléments de la 10 plateforme et d’autre part la communication entre la plateforme et les systèmes extérieurs.
12. Le système de traitement de données
C’est le cœur de l’automate: il réalise la vérification, l'authentification et les opérations demandées par le client. Π est muni de plusieurs organes qui sont :
- Un organe de gestion métier; un organe de détail chargé de la reconstitution des montants 15 obtenus entre les coupures ; un organe de composition qui rassemble tous les détails faits sur les coupures ; un organe débiteur qui modifie le solde compte du client ; un authentifîcateur qui vérifie l’authenticité des données saisies ou enregistrées ; un organe de coupure qui donne la valeur des coupures ; un organe de vérification de compte qui détermine si le compte est fourni.
13. Le support
Le support est la base de la machine ; il porte 4 écrousqui permettent de fixer la machine au sol, lorsqu'elle n’est pas emmurée.
ld. Haut parieur et alarme sonore contre les vols
Le haut parleur sert à guider vocalement l’usager dans ses opérations, il se transforme en une alarme sonore très stridente, si l'appareil est déplacé sans que l’on ait désamorcé digitalement le 25 dispositif ou si l'appareil subit des violences.
15. Fente d'impression
Le reçu des opérations bancaires et les documents transactionnels des opérations d’assurances sont éjectés par la fente d’impression
16. La batterie intégrée
A l'intérieur du support, on retrouve la batterie intégrée qui permet à la machine de fonctionner en cas de coupure de l’énergie.
17. Le compartiment du coffre ou caisson à jetons
Π est situé juste en bas de l’imprimante spéciale ; le caisson qu'il abrite est chargé de recueillir par gravitation, les pièces de monnaie introduites par la fente de jetons. I
18. Le compartiment des coffres ou caissons à billets
Il est contigu au compartiment de l'imprimante et au compartiment des jetons ; les caissons qu’il abrite sont chargés de recueillir par gravitation les billets déposés par la fente des billets.
b) Caractéristiques de la machine automatique
Dimensions de la machine
Autonomie
Interface client
Imprimante incorporée
Niveau de consommation de l’énergie
Accès sécurisé avec clé électronique à'gauche dé la machine Plusieurs bacs d’impression (4),

Claims (10)

  1. ΙΠ- REVENDICATIONS
    1- Une machine automatique connectée par intranet, internet, SMS, USSD, GPRS comme terminal principal, à une plateforme technologique dont les logiciels spécifiques lui permettent autant qu’aux terminaux secondaires (Smartphones, les tablettes et les ordinateurs), de fonctionner au choix de l’usager, comme un guichet automatique bancaire spécial ou comme guichet automatique d’assurance, pour la réalisation automatique des opérations de banque et d’assurance.
  2. 2- Une machine automatique selon la revendication 1, caractérisée en ce qu’elle est dotée d’une fente de numérisation, comportant un dispositif de reconnaissance optique de caractères (Optical Character Récognition), de scannage et d’enregistrement dans la plateforme, des pièces et documents nécessaires à l’identification, & l’évaluation du client ou du risque, avec pour finalité la justification d’une opération de banque ou d’assurance.
  3. 3- Une machine automatique selon la revendication 1, caractérisée en ce qu’elle est dotée d’une fente de dépôt des billets et d’une fente d’introduction des pièces de monnaie, disposées à sa partie supérieure par souci de consommation de l’énergie, de manière à permettre à l’argent ainsi déposé, de se servir de la force gravitationnelle pour échouer dans les différents caissons de stockage qui leurs sont réservés à la partie inférieure de la machine.
  4. 4- Une machine automatique selon la revendication 1, caractérisée en ce qu’elle comporte une imprimante spéciale à plusieurs bacs, à accès sécurisée, pouvant en plus des reçus des opérations de banque, délivrer les documents transactionnels des assurances en les dotant de marques distinctives, visibles ou invisibles et inimitables ; l’accès sécurisé de l’imprimante et la marque distinctive sur les documents concourent à une meilleure maîtrise de la quantité et la qualité des documents imprimés, de manière à rendre inauthentiques les documents imprimés en dehors de la machine automatique et par conséquent réduire les cas de vol de documents, les faux documents et les documents antidatés.
  5. 5- Une imprimante spéciale selon la revendication 4, caractérisée en ce que, la fonction d’impression est subordonnée & l’aboutissement heureux de la fonction d’encaissement
  6. 6- Une machine automatique selon la revendication 1, caractérisée en ce qu’elle dotée d’un GPS lié au tarif d’assurance intégré dans la plateforme.
  7. 7- Une machine automatique selon la revendication 1, caractérisée en ce qu’elle dotée d’une alarme sonore stridente connecté à un GPS, qui se déclenche automatiquement & travers le haut parleur, en cas de déplacement indu ou en cas de violence sur la machine automatique.
  8. 8- Une machine automatique selon la revendication 1, caractérisée en ce que la caméra incorporée n’est plus un simple moyen de sécurisation de la machine ou de l’usager, mais surtout un moyen de collecte de données à enregistrer dans la machine et nécessaires à l’aboutissement et à la sécurité de l’opération.
  9. 9- Une machine automatique selon la revendication 1, caractérisée en ce qu’elle est dotée à sa base d’une batterie, détachable, rechargeable en dehors de la machine et ayant une autonomie d’au moins 4 heures après la rupture de l’énergie électrique.
  10. 10- Une machine automatique selon la revendication 1, caractérisé en ce qu’elle dispose à côté de l’écran, un stylo électronique relié à la machine par un cordon ultra résistant et utilisable pour apposer la signature du client sur certains documents transactionnels, via l’écran tactile.
OA1201700218 2017-06-13 Machine d'automatisation des opérations d'assurances, de sécurisation des primes d'assurances, de transferts d'argent et de vulgarisation des produits bancaires OA18298A (fr)

Publications (1)

Publication Number Publication Date
OA18298A true OA18298A (fr) 2018-10-03

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