FR3142283A1 - Dispositif de commande manuelle comprenant un bouton glisseur - Google Patents

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Frédérik Salle
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Somfy Activites SA
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Abstract

Le dispositif (100) de commande manuelle comprend : un bouton (101) glisseur comprenant une embase (102) et un élément (103) d’actionnement manuel formant saillie par rapport à l’embase (102) ; et un logement (107) dans lequel est agencée l’embase (102). Le bouton (101) glisseur est monté mobile par rapport au logement (107) de sorte à varier entre une première position et une deuxième position, le bouton (101) glisseur comprenant un organe (106) de rappel tendant à s’opposer, lorsque le bouton (101) glisseur est dans l’une de la première position et de la deuxième position, à un déplacement du bouton (101) glisseur dans l’autre de la première position et de la deuxième position, l’organe (106) de rappel venant de matière avec au moins une partie de l’embase (102). Figure à publier avec l’abrégé : Fig. 2

Description

Dispositif de commande manuelle comprenant un bouton glisseur Domaine technique de l’invention
La présente invention concerne un dispositif de commande manuelle comprenant un bouton glisseur.
La présente invention trouve notamment une application dans la fourniture d’un dispositif de commande manuelle à fixer sur une paroi murale ou se présentant sous la forme d’une télécommande, l’actionnement du bouton glisseur du dispositif de commande manuelle permettant d’activer ou non, sélectivement, une fonction prévue correspondante.
La présente invention peut notamment s’appliquer dans le domaine de la domotique.
Etat de la technique antérieure
Il est connu de l’état de la technique antérieure un dispositif de commande manuelle à bouton glisseur comprenant une embase depuis laquelle fait saillie un élément d’actionnement manuel. Le bouton glisseur comprend en outre un ressort à lame conductrice en métal monté sur l’embase et dont l’effet de ressort permet à la fois de participer à assurer une fonction de maintien du bouton glisseur dans une position souhaitée et une fonction de contact électrique entre deux contacts du dispositif de commande manuelle dans la position souhaitée. Le brevet US2762880 décrit un tel dispositif de commande manuelle comprenant un bouton glisseur. Ce bouton glisseur présente l’inconvénient de nécessiter un ajustement du ressort à lame conductrice en métal par rapport à l’embase pour assurer les deux fonctions de manière efficace. Ce bouton glisseur est par ailleurs relativement encombrant en épaisseur.
Objet de l’invention
La présente invention a pour but de proposer un dispositif de commande manuelle qui soit robuste, efficace et de préférence économique.
A cet effet, l’invention est relative à un dispositif de commande manuelle comprenant :
  • un bouton glisseur comprenant une embase et un élément d’actionnement manuel formant saillie par rapport à l’embase ;
  • un logement dans lequel est agencée l’embase ;
le bouton glisseur étant monté mobile par rapport au logement de sorte à varier entre une première position et une deuxième position, le bouton glisseur comprenant un organe de rappel tendant à s’opposer, lorsque le bouton glisseur est dans l’une de la première position et de la deuxième position, à un déplacement du bouton glisseur dans l’autre de la première position et de la deuxième position, l’organe de rappel venant de matière avec au moins une partie de l’embase.
Cette association de l’organe de rappel à l’embase permet d’éviter à avoir besoin de réaliser un assemblage mécanique ajusté entre l’organe de rappel et l’embase ; il est donc obtenu un dispositif de commande manuelle robuste, efficace et de préférence économique car cela ne nécessite pas une fastidieuse étape d’ajustement entre l’organe de rappel et l’embase puisque ladite au moins une partie de l’embase, dite partie principale de l’embase, avec laquelle l’organe de rappel vient de matière forment alors une seule et même pièce. Ainsi, cela peut permettre en outre de limiter le nombre de pièces à utiliser lors de l’assemblage du dispositif de commande manuelle pour assurer une fonction de maintien en position du bouton glisseur, soit en première position soit en deuxième position, tant qu’un effort suffisant permettant d’entrainer une déformation de l’organe de rappel et le déplacement du bouton glisseur n’est pas appliqué sur l’élément d’actionnement manuel.
Le dispositif de commande manuelle peut en outre comprendre une ou plusieurs des caractéristiques suivantes.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, le logement comprend une surface d’appui comprenant une partie de basculement, la surface d’appui étant configurée pour coopérer avec l’organe de rappel pour, d’une part, tendre à s’opposer audit déplacement et, d’autre part, induire une déformation de l’organe de rappel lorsqu’un effort adapté est appliqué manuellement sur l’élément d’actionnement manuel, cette déformation permettant à une partie de l’organe de rappel sollicitée contre la surface d’appui de passer la partie de basculement afin d’obtenir ledit déplacement.
Cet agencement particulier présente l’avantage d’être simple à mettre en œuvre. En outre, le passage de la partie de basculement permet un retour haptique à un utilisateur du dispositif de commande manuelle donnant satisfaction vis-à-vis de l’action réalisée sur l’élément d’actionnement manuel.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, le logement comprend des première et deuxième butées de coulissement opposées selon un axe de déplacement de l’embase dans le logement, et au moins une surface de coulissement, la surface de coulissement et la surface d’appui étant agencées respectivement au niveau d’un premier côté latéral du logement et au niveau d’un deuxième côté latéral du logement opposé au premier côté latéral, le dispositif de commande manuelle étant tel que :
  • dans la première position du bouton glisseur, l’organe de rappel est sollicité contre la surface d’appui de sorte à plaquer l’embase contre la surface de coulissement et contre la deuxième butée de coulissement ;
  • dans la deuxième position du bouton glisseur, l’organe de rappel est sollicité contre la surface d’appui de sorte à plaquer l’embase contre la surface de coulissement et contre la première butée de coulissement.
Cela présente l’avantage de participer au maintien du bouton glisseur, soit dans sa première position soit dans sa deuxième position, dans le plan de glissement de son embase ; il reste alors stable dans le plan de glissement, notamment sans flottement, ce qui améliore la qualité perçue par l’utilisateur du dispositif de commande manuelle. En outre, le fait que l’organe de rappel soit en contact ou légèrement précontraint dans ces première et deuxième positions permet d’obtenir un maintien sans flottement de l’embase dans le logement, ce qui améliore aussi la qualité perçue lors de la manipulation du bouton glisseur via son élément d’actionnement manuel.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, le logement comprend quatre parois latérales venant de matière entre elles et formant respectivement la première butée de coulissement, la surface de coulissement, la deuxième butée de coulissement et la surface d’appui.
Cela permet de limiter le nombre de pièces pour former le logement, i.e. le logement peut comprendre une pièce monobloc formée d’une même matière et délimitant le contour latéral/les parois latérales du logement et donc la surface d’appui. Cela confère en outre une solidité au logement vis-à-vis des efforts qu’il va subir lors de la manipulation du bouton glisseur.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, l’organe de rappel s’étend latéralement par rapport à l’embase.
Cela permet de faciliter l’arrangement de l’embase et de l’organe de rappel dans un même plan correspondant, ou étant sensiblement parallèle, au plan de glissement de l’embase dans le logement. Avantageusement, l’épaisseur de l’organe de rappel est inférieure ou égale à celle de l’embase. Ainsi, cela permet aussi de limiter l’encombrement en épaisseur lié au bouton glisseur qui peut alors correspondre alors au final à l’épaisseur de l’embase (si on ne tient pas compte de la hauteur de l’élément d’actionnement manuel), l’encombrement en épaisseur étant notamment compté sensiblement parallèlement à une direction d’extension en hauteur de l’élément d’actionnement manuel.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, le dispositif de commande manuelle est configuré de sorte que :
  • dans la première position du bouton glisseur, une première portion de surface de l’embase est visible au travers d’une lumière que comprend le dispositif de commande manuelle ;
  • dans la deuxième position du bouton glisseur, une deuxième portion de surface de l’embase est visible au travers de la lumière ;
la première portion de surface et la deuxième portion de surface formant des indicateurs visuels différents.
La présence d’indicateurs visuels différents permet avantageusement de discriminer rapidement la position du bouton glisseur, par exemple quelle que soit l’orientation du dispositif de commande manuelle.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, le bouton glisseur comprend une première partie et une deuxième partie en contact et solidaires l’une de l’autre, la première partie étant monobloc, la deuxième partie étant monobloc, la première partie comprenant la première portion de surface de l’embase et la deuxième partie comprenant la deuxième portion de surface de l’embase. De préférence, l’élément d’actionnement manuel et l’organe de rappel sont répartis sur l’une et/ou l’autre des première et deuxième parties.
La formation d’indicateurs visuels directement formés par des surfaces des première et deuxième parties, puisque ces dernières sont chacune monoblocs, permet d’éviter d’avoir à reporter un ou plusieurs autocollants formant indicateurs visuels sur l’embase ce qui n’est pas optimum en terme de pérennité et induit des coûts supplémentaires du fait d’opérations supplémentaires en production, ou d’avoir à réaliser les indicateurs par tampographie ce qui induit des coûts supplémentaires du fait d’opérations supplémentaires en production.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, l’une des première et deuxième parties comprend au moins un élément de maintien coopérant avec l’autre des première et deuxièmes parties afin de maintenir les première et deuxième parties entre elles.
Cela permet d’assurer que les première et deuxièmes parties restent liées entre elles.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, l’une de la première partie et de la deuxième partie est surmoulée sur l’autre de la première partie et de la deuxième partie.
Le surmoulage est une solution permettant de former aisément deux indicateurs visuels permettant de différencier de manière visuelle, via la première portion de surface et la deuxième portion de surface, un état associé à la position du bouton glisseur par rapport au logement.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, la première partie est d’une première couleur et la deuxième partie est d’une deuxième couleur, la première couleur étant différente de la deuxième couleur. Ainsi, de préférence, la première portion de surface de l’embase est de la première couleur et la deuxième portion de surface de l’embase est de la deuxième couleur.
Cela permet de différencier de manière efficace la première position et la deuxième position l’une de l’autre quelle que soit l’orientation du dispositif de commande manuelle.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, la partie principale de l’embase est en polyoxyméthylène.
Le polyoxyméthylène est tout particulièrement adapté en tant que matière formant l’organe de rappel et pour résister aux frottements auxquels l’embase est soumise, notamment induits lors du déplacement du bouton glisseur.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle :
  • la première partie est en polyoxyméthylène ;
  • la première partie comprend la partie principale de l’embase avec laquelle l’organe de rappel vient de matière et l’organe de rappel ;
  • la deuxième partie est en acrylonitrile butadiène styrène.
Cela permet de former le bouton glisseur de manière efficace, en particulier par surmoulage ou par clippage des première et deuxième parties entre elles.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, l’organe de rappel de rappel comprend des première et deuxième extrémités longitudinales opposées reliées à l’embase, de préférence respectivement du côté d’une première extrémité longitudinale de l’embase et du côté d’une deuxième extrémité longitudinale de l’embase opposée à la première extrémité longitudinale de l’embase.
Cela permet de procurer à l’organe de rappel une force de rappel efficiente.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, le dispositif de commande manuelle comprend un interrupteur comprenant un premier état et un deuxième état, l’interrupteur étant agencé de sorte que :
  • dans la première position du bouton glisseur, l’interrupteur est dans le premier état ;
  • dans la deuxième position du bouton glisseur, l’interrupteur est dans le deuxième état.
L’interrupteur comprend un organe mobile en rotation et l’embase du bouton glisseur comprend une première butée et une deuxième butée, l’interrupteur et le bouton glisseur étant agencés de sorte que :
  • dans la première position du bouton glisseur, la première butée de l’embase est en contact avec l’organe mobile pour le maintenir dans une position qui place l’interrupteur dans le premier état ;
  • dans la deuxième position du bouton glisseur, la deuxième butée de l’embase est en contact avec l’organe mobile pour le maintenir dans une position qui place l’interrupteur dans le deuxième état.
Cela permet une intégration d’un composant électrique ou électronique (i.e. l’interrupteur) en vue de mettre en œuvre une fonction, notamment électrique, associée au bouton glisseur.
Cela permet en outre une coopération adaptée, simple et efficace à mettre en œuvre entre l’interrupteur et le bouton glisseur.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, les première et deuxième butées de l’embase sont agencées du côté inférieur de l’embase opposé à l’élément d’actionnement manuel, les première et deuxième butées de l’embase formant des rampes convergentes dans une direction opposée à une partie de l’interrupteur depuis laquelle s’étend l’organe mobile, l’interrupteur et le bouton glisseur étant agencés de sorte que, quelle que soit la position de l’embase par rapport au logement, l’organe mobile est au moins en partie agencé entre les première et deuxième butées de l’embase.
Cela permet de positionner l’interrupteur dans le plan de l’embase tout en permettant l’actionnement de l’organe mobile par le déplacement de l’embase dans ce plan. Cela permet en outre de limiter l’encombrement en épaisseur lié au bouton glisseur et à l’interrupteur, qui peut alors correspondre au final à l’épaisseur de l’embase (si on ne tient pas compte de la hauteur de l’élément d’actionnement manuel) ou à l’épaisseur de l’interrupteur sans que ces épaisseurs ne s’additionnent.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, l’élément d’actionnement manuel vient de matière avec au moins une portion de l’embase.
Cela présente l’avantage de faciliter la fabrication du bouton glisseur puisque l’élément d’actionnement manuel forme un tout avec ladite au moins une portion de l’embase et n’aura pas à être reporté puis fixé mécaniquement sur l’embase, et l’avantage de limiter le besoin d’épaisseur de l’embase en comparaison d’une solution où l’élément d’actionnement manuel serait fabriqué de manière séparée à l’embase puis fixé sur l’embase.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, le bouton glisseur est le seul actionneur manuel du dispositif de commande manuelle ou le dispositif de commande manuelle comprend en outre au moins un bouton de commande poussoir actionnable manuellement.
Ainsi, il est possible de prévoir une version simple du dispositif de commande manuelle (bouton glisseur en tant que seul actionneur manuel) ou, selon les besoins, une version complétée avec un ou plusieurs boutons poussoirs pour ajouter d’autres possibilités de commandes de fonctions au dispositif de commande manuelle.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, l’organe de rappel est relié à l’embase en débordant sur une face inférieure de l’embase par sa première extrémité longitudinale.
Cela permet une plus grande facilité de conception et de fabrication du bouton glisseur et permet un équilibrage du bouton glisseur dans ses différentes dimensions.
Selon une caractéristique du dispositif de commande manuelle, les première et deuxième butées de l’embase sont agencées du côté de l’embase opposé à l’organe de rappel et, de préférence, à la face inférieure de l’embase opposée à l’élément d’actionnement manuel.
Cela permet de rendre le dispositif de commande manuelle particulièrement plat puisque chaque côté latéral de l’embase peut être rendu fonctionnel : un côté pour l’organe de rappel et un côté pour la coopération avec l’interrupteur.
D’autres avantages et caractéristiques pourront ressortir de la description détaillée qui suit.
L’invention sera mieux comprise à la lecture de la description détaillée qui suit, donnée uniquement à titre d’exemple non limitatif et faite en se référant aux dessins annexés et listés ci-dessous.
La représente une vue de dessus d’un dispositif de commande manuelle, selon un mode de réalisation particulier de l’invention, comprenant un bouton glisseur dans une première position.
La représente le dispositif de commande manuelle de la dépourvu d’une paroi qu’il comprend afin de visualiser des éléments se trouvant masqués par cette paroi qui forme notamment une limite entre l’intérieur et l’extérieur du dispositif de commande manuelle.
La représente une vue partielle et en perspective du dispositif de commande manuelle montré en , la vue partielle étant centrée sur le bouton glisseur.
La représente une vue de dessus du dispositif de commande manuelle dont le bouton glisseur dans une deuxième position.
La représente le dispositif de commande manuelle de la dépourvu de la paroi afin de visualiser des éléments se trouvant masqués par cette paroi.
La représente une vue partielle et en perspective du dispositif de commande manuelle montré en , la vue partielle étant centrée sur le bouton glisseur.
La représente une vue partielle et en perspective du dispositif de commande manuelle montré en , la vue partielle étant centrée sur le bouton glisseur.
La représente une vue en perspective du bouton glisseur, selon un mode de réalisation particulier de l’invention, montrant le dessus du bouton glisseur.
La représente une vue en perspective d’une première partie du bouton glisseur de la .
La représente une vue en perspective d’une deuxième partie du bouton glisseur de la .
La représente une vue en perspective du bouton glisseur de la et montrant le dessous du bouton glisseur.
La représente une vue partielle de l’intérieur du dispositif de commande manuelle, selon un mode de réalisation particulier du bouton glisseur, lorsque le bouton glisseur est dans sa première position.
La représente une vue partielle de l’intérieur du dispositif de commande manuelle, selon le mode de réalisation particulier de la , lorsque le bouton glisseur est dans sa deuxième position.
Sur ces figures, les mêmes références sont utilisées pour désigner les mêmes éléments. Les éléments représentés sur les différentes figures ne sont pas nécessairement réalisés à l’échelle afin de faciliter la compréhension des figures.
Description détaillée
Par « sensiblement orthogonal » (et le cas échéant, sensiblement orthogonale), il est entendu dans la présente description orthogonal ou orthogonal à plus ou moins 10 degrés près.
Par « sensiblement parallèle », il est entendu dans la présente description parallèle ou parallèle à plus ou moins 10 degrés près.
Par « manuel » ou « manuelle », il est entendu manœuvrable à la main par un utilisateur.
Un utilisateur au sens de la présente description peut être une personne utilisatrice d’un dispositif 100 de commande manuelle décrit ci-après.
L’invention est relative au dispositif 100 de commande manuelle, dont un exemple de réalisation est notamment visible en figures 1 à 7, le dispositif 100 de commande manuelle comprenant :
  • un bouton 101 glisseur comprenant une embase 102 et un élément 103 d’actionnement manuel formant saillie par rapport à l’embase 102 ;
  • un logement 107 dans lequel est agencée l’embase 102 ;
  • de préférence, une lumière 105 traversée par l’élément 103 d’actionnement manuel afin d’autoriser la manœuvre de l’élément 103 d’actionnement manuel depuis l’extérieur du dispositif 100 de commande manuelle (visible en figures 1, 4 et 7), cette lumière 105 étant en particulier formée dans une paroi 104, le dispositif 100 de commande manuelle comprenant cette paroi 104.
Le bouton 101 glisseur est monté mobile par rapport au logement 107, et donc le cas échéant par rapport à la lumière 105, de sorte à varier entre une première position (telle que par exemple visible en figures 1 à 3 et 7) et une deuxième position (telle que par exemple visible en figures 4 à 6). Le bouton 101 glisseur comprend un organe 106 de rappel (par exemple visible en figures 2, 3, 5 et 6) dont une fonction est de s’opposer (i.e. l’organe 106 de rappel tend à s’opposer), lorsque le bouton 101 glisseur est dans l’une de la première position et de la deuxième position, à un déplacement du bouton 101 glisseur dans l’autre de la première position et de la deuxième position, l’organe 106 de rappel venant de matière avec au moins une partie de l’embase 102, dite partie principale de l’embase 102. Ainsi, l’organe 106 de rappel est configuré pour participer au maintien du bouton 101 glisseur sélectivement dans sa première position ou dans sa deuxième position.
Par « l’organe 106 de rappel venant de matière avec ladite au moins une partie de l’embase 102 », il est compris qu’une pièce monobloc comprend l’organe 106 de rappel et la partie principale de l’embase 102, et qu’il y a une continuité de matière, depuis la partie principale de l’embase 102, qui forme l’organe 106 de rappel. Cela permet d’éviter une étape supplémentaire lors de l’assemblage du dispositif 100 de commande manuelle consistant à ajuster l’organe 106 de rappel par rapport à l’embase 102 puisqu’ici l’organe 106 de rappel est fixé à l’embase 102 directement par continuité de matière depuis l’embase 102 (i.e. depuis la partie principale de l’embase 102).
Le bouton 101 glisseur présente notamment un degré de liberté dans le sens où il peut être manœuvré pour se déplacer le long d’un axe A1 de déplacement.
En fait, l’embase 102 est agencée dans le logement 107 avec possibilité de coulissement dans le logement 107 ; ainsi, le guidage du bouton 101 glisseur est notamment assuré au moins par la coopération de l’embase 102 avec le logement 107.
Le logement 107 peut comprendre une première face 107a latérale, une deuxième face 107b latérale, une troisième face 107c latérale et une quatrième face 107d latérale. Les deuxième et quatrième faces 107b, 107d latérales s’étendent, de part et d’autre de l’embase 102, le long de l’axe A1 de déplacement de l’embase 102 dans le logement 107. Les première et troisième faces 107a, 107c latérales étant opposées et reliant chacune la deuxième face 107b latérale à la quatrième face 107d latérale pour former un contour latéral du logement 107.
Selon une réalisation, l’embase 102 peut être monobloc et issue d’une même matière ; dans ce cas, l’organe 106 de rappel vient de matière avec l’embase 102. Dans ce cas, l’élément 103 d’actionnement manuel peut aussi venir de matière avec l’embase 102.
L’élément 103 d’actionnement manuel peut venir de matière avec au moins une portion de l’embase 102, notamment dite partie secondaire de l’embase 102. Notamment, dans ce cas, la partie secondaire de l’embase 102 peut être différente de la partie principale de l’embase 102 avec laquelle l’organe 106 de rappel vient de matière. Cela permet d’éviter une étape de fixation de l’élément 103 d’actionnement manuel à l’embase 102.
Notamment, la paroi 104 forme une limite entre l’intérieur et l’extérieur du dispositif 100 de commande manuelle, c’est en ce sens que l’élément 103 d’actionnement manuel traversant la lumière 105 permet un actionnement manuel du bouton 101 glisseur depuis l’extérieur du dispositif 100 de commande manuelle, l’embase 102 étant quant à elle agencée dans le dispositif 100 de commande manuelle en arrière de la paroi 104 selon une direction d’observation depuis l’extérieur du dispositif 100 de commande manuelle et orientée vers la face de la paroi 104 agencée à l’extérieur du dispositif 100 de commande manuelle.
Autrement dit, de préférence, afin d’autoriser la manœuvre de l’élément 103 d’actionnement manuel depuis l’extérieur du dispositif 100 de commande manuelle, la lumière 105 est traversée par l’élément 103 d’actionnement manuel de sorte qu’une portion 103a de l’élément 103 d’actionnement manuel fait saillie d’un premier côté de la paroi 104 orienté vers l’extérieur du dispositif 100 de commande manuelle. Cela permet à un utilisateur du dispositif 100 de commande manuelle d’imposer le déplacement du bouton 101 glisseur en exerçant un effort à/sur l’élément 103 d’actionnement manuel, par exemple à l’aide de sa main et notamment d’au moins l’un de ses doigts. Une telle configuration est notamment visible en qui représente une vue partielle du dispositif 100 de commande manuelle permettant de percevoir que l’élément 103 d’actionnement manuel s’étend depuis l’embase 102, alors notamment agencée du côté d’un deuxième côté de la paroi 104 opposé au premier côté de la paroi 104, de sorte à traverser la lumière 105 puis à s’étendre du côté du premier côté de la paroi 104.
Le déplacement du bouton 101 glisseur peut être défini selon l’axe A1 de déplacement qui correspond à un axe de translation du bouton 101 glisseur tel que par exemple visible en figures 1 à 7. L’effort à appliquer par l’utilisateur du dispositif 100 de commande manuelle sur l’élément 103 d’actionnement manuel pour déplacer le bouton 101 glisseur doit alors être orienté de manière adaptée selon cet axe A1 de déplacement. L’axe A1 de déplacement donne donc la direction de glissement/coulissement du bouton 101 glisseur qui peut se faire selon deux sens opposés définis selon cet axe A1 de déplacement. Notamment, le bouton 101 glisseur est apte à glisser/se déplacer selon un plan P1 de glissement (représenté schématiquement en ) au sein du dispositif 100 de commande manuelle.
En particulier, l’embase 102 est montée selon une liaison glissière par rapport au logement 107 et, de préférence, selon une amplitude de déplacement contrainte entre la première position et la deuxième position. Cela permet d’assurer le déplacement souhaité du bouton 101 glisseur.
La lumière 105 est, de préférence, une lumière oblongue. Notamment, la lumière 105 oblongue définie des extrémités distales opposées où l’élément 103 d’actionnement manuel est agencé en fonction de la position du bouton 101 glisseur respectivement choisie entre la première position et la deuxième position. L’allongement de la lumière 105 oblongue est, dans ce cas, sensiblement parallèle à l’axe A1 de déplacement. Le dimensionnement de la lumière 105 est notamment adapté aux positions occupées par l’élément 103 d’actionnement manuel respectivement dans la première position du bouton 101 glisseur et dans la deuxième position du bouton 101 glisseur.
De préférence, l’organe 106 de rappel présente une forme au repos et est notamment configuré pour se déformer lorsqu’un effort de déformation lui est appliqué. En particulier, en configuration du bouton 101 glisseur inséré dans le logement 107 et dans la première position et dans la deuxième position, l’organe 106 de rappel est dans sa forme de repos ou très légèrement précontraint. Cette légère précontrainte ou une définition appropriée des dimensions du bouton 101 glisseur permet d’obtenir un maintien sans flottement de l’embase 102 selon une direction sensiblement orthogonale à l’axe A1 de déplacement et, de préférence, sensiblement parallèle au plan P1 de glissement du bouton 101 glisseur. Le maintien sans flottement permet de d’augmenter la qualité du dispositif 100 de commande perçue par l’utilisateur du dispositif 100 de commande manuelle.
L’organe 106 de rappel peut s’étendre latéralement par rapport à l’embase 102. Ainsi, le plan P1 de glissement du bouton 101 glisseur et le plan dans lequel l’organe 106 de rappel se déforme, lors du déplacement de l’une de la première position et de la deuxième position à l’autre de la première position et de la deuxième position, peuvent être confondus ou sensiblement parallèles de sorte à être quasi-confondus. Il en résulte que l’encombrement en épaisseur du bouton 101 glisseur, cette épaisseur étant mesurée de manière sensiblement orthogonale à l’axe A1 de déplacement du bouton 101 glisseur et au plan P1 de glissement, est limitée ; cela permet de limiter in fine l’épaisseur globale du dispositif de commande manuelle (typiquement mesurée orthogonalement au plan des figures 1 et 4). La notion de « latéralement par rapport à l’embase 102 » est entendue comme un côté latéral de l’embase 102 s’étendant selon l’axe A1 de déplacement et reliant une face 129 inférieure ( ) de l’embase 102 à une face 130 supérieure ( ) de l’embase 102 de laquelle s’étend l’élément 103 d’actionnement manuel.
En particulier, afin d’assurer une force de rappel efficiente, l’organe 106 de rappel de rappel peut comprendre des première et deuxième extrémités 106b, 106c longitudinales (voir notamment les figures 3, 6, 8, 9 et 11) opposées reliées ou raccordées à l’embase 102 (plus particulièrement, le cas échéant, à la partie principale de l’embase 102), de préférence respectivement du côté d’une première extrémité 131 longitudinale de l’embase 102 et du côté d’une deuxième extrémité 132 longitudinale de l’embase 102 ( ) opposée à la première extrémité 131 longitudinale de l’embase 102, et l’organe 106 de rappel est configuré de sorte à se déformer en direction de l’embase 102 (le cas échéant, plus particulièrement en direction de la partie principale de l’embase 102) au cours du déplacement de l’une de la première position et de la deuxième position à l’autre de la première position et de la deuxième position. Ainsi, l’organe 106 de rappel peut présenter un fonctionnement de type ressort à lame.
L’organe 106 de rappel peut s’étendre, entre ses première et deuxième extrémités 106b, 106c longitudinales, en zigzag notamment dans un plan parallèle au plan P1 de glissement du bouton 101 glisseur. Cette forme en zigzag permet à l’organe 106 de rappel de se déformer et de conférer l’effet ressort recherché.
De préférence, l’organe 106 de rappel est relié à l’embase 102 en débordant sur la face inférieure 129 de l’embase 102 par sa première extrémité 106b longitudinale et/ou en débordant sur la face supérieure 130 de l’embase 102 par sa deuxième extrémité 106c longitudinale. Cela permet une plus grande facilité de conception et de fabrication du bouton 101 glisseur et permet un équilibrage du bouton 101 glisseur dans ses différentes dimensions.
Comme évoqué ci-avant, l’embase 102 du bouton 101 glisseur est agencée dans le logement 107 (figures 2, 3, 5, 6) que comprend le dispositif 100 de commande manuelle. De préférence, ce logement 107 comprend une surface 108 d’appui comprenant une partie 108a de basculement (notamment visible en figures 2, 3, 5 et 6). La surface 108 d’appui est configurée pour coopérer avec l’organe 106 de rappel pour, d’une part, tendre à s’opposer audit déplacement et, d’autre part, induire une déformation de l’organe 106 de rappel lorsqu’un effort adapté/idoine est appliqué manuellement à/sur l’élément 103 d’actionnement manuel pour permettre à une partie 106a de l’organe 106 de rappel sollicitée contre la surface 108 d’appui de passer la partie 108a de basculement afin d’obtenir ledit déplacement. Cela permet un usage ergonomique avec de bonnes sensations (retour haptique satisfaisant) pour l’utilisateur du dispositif 100 de commande manuelle. De préférence, comme évoqué ci-avant, quelle que soit la position du bouton 101 glisseur par rapport au logement 107, l’organe 106 de rappel est en appui contre la surface 108 d’appui.
Ainsi, la cinématique de déplacement du bouton 101 glisseur de sa première position à sa deuxième position, ou inversement, est la suivante : l’effort appliqué sur l’élément 103 d’actionnement manuel entraîne la mise en mouvement du bouton glisseur 101 et une déformation de l’organe 106 de rappel sollicité, via sa partie 106a, contre la surface 108 d’appui d’où il résulte que la partie 106a de l’organe de rappel 106 en contact avec la surface 108 d’appui se rapproche de l’embase 102 (ce rapprochement étant notamment maximum lorsque la partie 106a de l’organe de rappel 106 en contact avec la surface 108 est en vis-à-vis de la partie 108a de basculement). Une fois la partie 108a de basculement passée, l’organe 106 de rappel tend à se détendre tout en restant sollicité contre la surface 108 d’appui dans le but que le bouton 101 glisseur atteigne automatiquement la position souhaitée (i.e. soit la première position soit la deuxième position).
La surface 108 d’appui peut comprendre deux pans 108b, 108c qui convergent l’un en direction de l’autre vers l’intérieur du logement 107 et qui se rejoignent pour délimiter à leur jointure la partie 108a de basculement.
La partie 108a de basculement peut être une arête où les deux pans 108b, 108c se rejoignent. Cette arête peut être arrondie.
La partie 108a de basculement peut aussi être appelée zone de basculement dans le sens où il s’agit d’un endroit où le passage de la partie 106a de l’organe 106 de rappel entrainera le bouton 101 glisseur, le cas échéant, vers sa première position ou vers sa deuxième position, de préférence de manière automatique une fois la partie 108a de basculement passée à l’aide de l’effet ressort de l’organe 106 de rappel.
La surface 108 d’appui peut être formée par une saillie dont le sommet forme la partie 108a de basculement.
En particulier, le logement 107 peut comprendre au moins une surface 133a, 133b de coulissement (à titre d’exemple deux surfaces 133a, 133b de coulissement visibles en figures 3 et 6) et contre laquelle l’embase 102 est constamment sollicitée grâce à la sollicitation de l’organe 106 de rappel contre la surface 108 d’appui quelle que soit la position de l’embase 102 dans le logement 107. Cela permet de participer à la formation de la liaison glissière en s’opposant aux mouvements de l’embase 102 latéralement à l’axe A1 de déplacement. Le cas échéant, la deuxième paroi 107b latérale du logement comprend la ou les surfaces 133a, 133b de coulissement.
Par exemple, l’embase 102 peut comprendre une première protubérance 137a et une deuxième protubérance 137b agencées du côté latéral de l’embase 106 opposé à l’organe 106 de rappel. Quelle que soit la position du bouton 101 glisseur, la première protubérance 137a reste au contact de l’une des deux surfaces 133a de coulissement et la deuxième protubérance 137b reste au contact de l’autre des deux surfaces 133b de coulissement : cela permet un maintien latéral du bouton 101 glisseur lors du coulissement/déplacement de l’embase 102 dans le logement 107 tout en limitant les frottements dus au déplacement du bouton 101 glisseur.
Le logement 107 peut être ménagé dans une pièce qui comprend la paroi 104 dans laquelle est formée la lumière 105 ou dans un socle 135 du dispositif 100 de commande manuelle ou dans un capot supérieur du dispositif 100 de commande manuelle venant se monter sur le socle.
Ainsi, l’embase 102 peut former un chariot logé et guidé en translation selon l’axe A1 de déplacement dans le logement 107. Le logement 107 forme, dans le cas présent, un organe de guidage de l’embase 102 qui est montée mobile dans le logement 107 en liaison glissière.
Selon une réalisation particulière, le logement 107 peut comprendre des première et deuxième butées 136a, 136b de coulissement (figures 3 et 6) opposées selon l’axe A1 de déplacement de l’embase 102 dans le logement 107. Autrement dit, les première et deuxième butées 136a, 136b de coulissement sont décalés selon l’axe A1 de déplacement, i.e. dans la direction de glissement. Les première et deuxième butées 136a, 136b de coulissement permettent donc de limiter l’amplitude de déplacement du bouton 101 glisseur. Selon cette réalisation, le logement 107 comprend préférentiellement ladite au moins une surface 133a, 133b de coulissement, la surface 133a, 133b de coulissement et la surface 108 d’appui étant agencées respectivement au niveau d’un premier côté latéral du logement 107 (notamment formé par la deuxième paroi 107b latérale) et au niveau d’un deuxième côté latéral du logement 107 (notamment formé par la quatrième paroi 107d latérale du logement 107) opposé au premier côté latéral du logement 107, le dispositif 100 de commande manuelle étant tel que :
  • dans la première position du bouton 101 glisseur, l’organe 106 de rappel est sollicité contre la surface 108 d’appui de sorte à plaquer l’embase 102 contre la surface 133a, 133b de coulissement et contre la deuxième butée 136b de coulissement ( ) ;
  • dans la deuxième position du bouton 101 glisseur, l’organe 106 de rappel est sollicité contre la surface 108 d’appui de sorte à plaquer l’embase 102 contre la surface 133a, 133b de coulissement et contre la première butée 136a de coulissement ( ).
Cela permet d’éviter, notamment dans le cadre de la liaison glissière, le flottement du bouton 101 glisseur selon l’axe A1 de déplacement et orthogonalement à ce dernier de manière sensiblement parallèle au plan P1 de glissement : la qualité perçue est alors augmentée par un maintien efficace du bouton 101 glisseur par rapport au logement 107. Ici, l’organe 106 de rappel est préférentiellement constamment sollicité, quelle que soit la position de l’embase 102 dans le logement 107 (i.e. l’organe 106 de rappel n’est jamais dans sa forme initiale de repos, qu’il occuperait si aucune force n’était exercée sur ce dernier). Les premier et deuxième côtés latéraux s’étendent chacun le long de l’axe A1 de déplacement de part et d’autre de l’embase 102.
Dans l’exemple illustré en figures 3 et 6, dans la première position et dans la deuxième position, l’embase 102 est plaquée contre les deux surfaces 133a, 133b de coulissement.
En particulier, lorsque le logement 107 comprend quatre parois 107a, 107b, 107c, 107d latérales (i.e. les première à quatrième paroi évoquées ci-avant), ces parois 107a, 107b, 107c, 107d latérales peuvent venir de matière entre elles et forment respectivement la première butée 136a de coulissement, la surface 133a, 133b de coulissement, la deuxième butée 136b de coulissement et la surface 108 d’appui. Cela permet de limiter le nombre de pièces pour former le logement 107.
Il peut être intéressant de discriminer la position du bouton 101 glisseur, en particulier lorsque ce dernier est associé à une fonction, par exemple électrique, qui peut être activée ou non selon la position du bouton 101 glisseur, par exemple choisie parmi la première position et la deuxième position. Cette discrimination peut être mise en œuvre par le fait que la lumière 105 permet de positionner, au niveau de la lumière 105, des portions de surfaces différentes de l’embase 102 en fonction que le bouton glisseur 101 est dans sa première position ou dans sa deuxième position. Ainsi, il peut être judicieux d’associer à l’embase 102 des indicateurs visuels permettant à l’utilisateur du dispositif 100 de commande manuelle de déterminer visuellement si la fonction associée est activée ou non. Par exemple, pour former ces indicateurs visuels, l’embase 102 peut comprendre un ou plusieurs autocollants agencés de sorte à former la ou les portions de surface ou encore de la tampographie réalisée localement sur l’embase 102, par exemple de manière différente de part et d’autre de l’élément 103 d’actionnement manuel.
Ainsi, de manière générale, pour discriminer la position du bouton 101 glisseur le dispositif 100 de commande manuelle peut être configuré de sorte que :
  • dans la première position du bouton 101 glisseur, une première portion 102a de surface de l’embase 102 est visible au travers de la lumière 105 que comprend le dispositif 100 de commande manuelle (figures 1 et 7), en particulier depuis l’extérieur du dispositif 100 de commande manuelle ;
  • dans la deuxième position du bouton 101 glisseur, une deuxième portion 102b de surface de l’embase 102 est visible au travers de la lumière 105 ( ), en particulier depuis l’extérieur du dispositif 100 de commande manuelle ;
la première portion 102a de surface et la deuxième portion 102b de surface formant des indicateurs visuels différents. Ici les indicateurs visuels peuvent être des autocollants, être générés par tampographie de la matière formant l’embase 102, ou encore être formés par des couleurs différentes par exemple de matières différentes utilisées pour former l’embase 102.
Pour améliorer la pérennité de la discrimination de la position du bouton 101 glisseur et simplifier la fabrication, le bouton 101 glisseur peut comprendre, et de préférence être constitué par, une première partie 109a et une deuxième partie 109b en contact et solidaires l’une de l’autre (voir par exemple les figures 3, 6 et 8 à 11), la première partie 109a étant monobloc, la deuxième partie 109b étant monobloc, la première partie 109a comprenant la première portion 102a de surface de l’embase 102 et la deuxième partie 109b comprenant la deuxième portion 102b de surface de l’embase 102. Autrement dit, la première partie 109a comprend la partie principale de l’embase 102 et la deuxième partie 109b comprend la partie secondaire de l’embase 102, notamment complémentaire à la partie principale de l’embase 102 et à l’organe de rappel 106 pour constituer l’embase 102. L’utilisation de première partie 109a et une deuxième partie 109b monoblocs, en contact et solidaires entre elles permet d’autoriser la discrimination sans avoir recours à un ou des autocollants. Ainsi, la première partie 109a peut être constituée d’une première matière et la deuxième partie 109b peut être constituée d’une deuxième matière, la première matière et la deuxième matière étant choisies pour former les indicateurs visuels différents respectivement à la première portion 102a de surface et à la deuxième portion 102b de surface. Notamment, l’une des première et deuxième parties 109a, 109b comprend l’élément 103 d’actionnement manuel qui vient de préférence de matière avec ladite une des première et deuxième parties 109a, 109b qui le comprend et qui forme alors la portion de l’embase 102, et le cas échéant, la partie secondaire de l’embase 102 évoquée ci-avant. Ainsi, ces indicateurs visuels issus de la matière formant les première et deuxième portions 102a et 102b de surface sont pérennes dans le sens où ils ne s’abiment pas dans le temps, augmentant ainsi la qualité perçue du dispositif 100 de commande manuelle. Ce mode de réalisation rend également inutiles des opérations de reprises lors de la fabrication, diminuant ainsi le coût et le nombre d’étapes d’industrialisation.
Les indicateurs visuels, respectivement formés par les première et deuxième portions 102a, 102b de surface de l’embase 102 sont notamment agencées de part et d’autre de l’élément 103 d’actionnement manuel selon l’axe A1 de déplacement de sorte à en faciliter la lecture visuelle au travers de la lumière 105.
La solution selon laquelle l’embase 102 permet de former les indicateurs visuels différents sans recours à un ou des autocollants (par exemple utilisation des première et deuxième matières) est en outre plus facile à mettre en œuvre au contraire du positionnement ajusté d’un ou de plusieurs autocollants qui peut être difficile à réaliser sur une chaine de production en comparaison à l’assemblage des première et deuxième parties 109a, 109b par accouplement entre elles ou en comparaison à la formation de la première partie 109a et de la deuxième partie 109b par la technique du surmoulage comme cela sera vu par la suite.
Comme évoqué ci-dessus, les première et deuxième parties 109a, 109b peuvent être deux pièces distinctes assemblées entre elles par exemple par collage ou par emboitement de sorte former un ensemble solidaire, de préférence constituant le bouton 101 glisseur : c’est-à-dire qu’il résulte de l’assemblage des première et deuxième parties 109a, 109b l’obtention du bouton 101 glisseur comprenant l’embase 102, l’élément 103 d’actionnement manuel et l’organe 106 de rappel.
De préférence, l’une de la première partie 109a et de la deuxième partie 109b est surmoulée sur l’autre de la première partie 109a et de la deuxième partie 109b. Cela présente l’avantage de ne pas nécessiter un assemblage par collage qui peut poser des problématiques de coût de production et de constance du collage (quantité de colle, position de la colle) difficile à garantir dans un assemblage industriel ou par emboitement qui peut poser des problématiques de difficultés de la maitrise de la tenue mécanique et de gestion des stocks de pièces à assembler sur une chaine de production. Dès lors, l’utilisation d’une technique de surmoulage permet de former directement la première partie 109a et la deuxième partie 109b en les liant intimement du fait du surmoulage par exemple par accroche mécanique et/ou par adhésion chimique. Le surmoulage présente l’avantage que deux matières (e.g. les première et deuxième matières évoquées ci-avant), par exemple de couleurs différentes peuvent être utilisées, afin de former les indicateurs visuels par teinte directement dans la masse de l’embase 102 formée des première et deuxième parties 109a, 109b. La solution d’indicateurs visuels par teintes de l’embase 102 dans la masse à l’aide de deux couleurs différentes est pérenne.
Le surmoulage évoqué ci-dessus est clairement identifiable dans le bouton 101 glisseur en tant que produit fini par l’homme du métier. En effet, le surmoulage peut, si les matières utilisées le permettent, conférer une interface de liaison intime entre les première et deuxième parties 109a, 109b par adhésion chimique. La technique du surmoulage permet d’obtenir une pièce à partir d’une double injection de matière conduisant à former, de préférence, l’intégralité du bouton 101 glisseur.
En particulier, le bouton 101 glisseur peut être constitué par les première et deuxième parties 109a, 109b et donc, le cas échéant être obtenu par surmoulage.
Les figures 3, 6 et 8 à 11 illustrent un exemple particulier de bouton 101 glisseur formé, et plus particulièrement constitué, de première et deuxième parties 109a, 109b dont la deuxième partie 109b est surmoulée sur la première partie 109a. La première partie 109a, dont un exemple de réalisation est illustré en , forme une partie dite « inférieure » du bouton 101 glisseur qui délimite en partie l’embase 102 et forme notamment la partie principale de l’embase 102 avec laquelle l’organe 106 de rappel vient de matière. Cette première partie 109a forme également l’organe 106 de rappel et un support 110 pour l’élément 103 d’actionnement manuel. Cette première partie 109a délimite en outre localement la première portion 102a de surface de l’embase 102. La deuxième partie 109b, dont un exemple de réalisation est montré plus en détail en , forme alors une partie dite « supérieure » du bouton 101 glisseur qui délimite en partie (notamment i.e. le reste de) l’embase 102 et plus précisément localement la deuxième portion 102b de surface de l’embase 102, et l’élément 103 d’actionnement manuel qui s’étend depuis ce reste de l’embase 102.
Les première et deuxième parties 109a, 109b peuvent avoir des formes complémentaires qui permettent de former un tout cohérent correspondant au bouton 101 glisseur. Notamment, il est compris que le support 110 est inséré dans un creux 124 de forme complémentaire que comprend l’élément 103 d’actionnement manuel (visible en ).
En particulier, l’une des première et deuxième parties 109a, 109b peut comprendre au moins un élément 114, 115 de maintien (aussi appelé élément d’accroche) coopérant avec l’autre des première et deuxième parties 109a, 109b afin de maintenir les première et deuxième parties 109a, 109b entre elles. Cela permet de s’opposer à la séparation des première et deuxième parties 109a, 109b.
Par exemple, le ou chaque élément 114, 115 de maintien peut comprendre une collerette 114a, 115b qui participe à la coopération susmentionnée en s’opposant au désassemblage des première et deuxième parties 109a, 109b. Plus particulièrement, le ou chaque élément 114, 115 de maintien peut comprendre un corps 114b, 115b s’étendant au niveau d’une face de ladite une des première et deuxième parties 109a, 109b et au sommet duquel est agencé la collerette 114a, 115a, ce corps 114b, 115b traverse alors un trou 112, 113 débouchant ménagé dans l’autre des première et deuxième parties 109a, 109b et la collerette 114a, 115a dudit élément 114, 115 de maintien est en contact avec ladite autre des première et deuxième parties 109a, 109b, par exemple au niveau de la périphérie d’une ouverture dudit trou 112, 113 d’où il résulte que la collerette 114a, 115a s’oppose à la séparation des première et deuxième parties 109a, 109b. La collerette 114a, 115a est formée lors du surmoulage des première et deuxième parties 109a, 109b : il s’agit de réaliser une liaison inamovible dans le sens où la collerette 114a, 115a ne peut passer par le trou 112, 113 traversé par l’élément 114, 115 de maintien comprenant ladite collerette 114a, 115a.
Selon une variante représentée en figures 13 et 14, le ou chaque élément 114, 115 de maintien peut être formé par un pion formé par surmoulage dans un fût 137, 138 ou trou correspondant de forme complémentaire de manière à assurer le maintien des première et deuxième parties 109a, 109b entre elles. Le pion peut, par exemple, appartenir à la deuxième partie 109b et le trou ou fût 137, 138 peut appartenir à la première partie 109a. Les matériaux utilisés permettent alors une adhésion chimique entre le pion et le fût correspondant.
Il est à présent décrit un mode de réalisation particulier, utilisant des éléments 114, 115 de maintien, par exemple au nombre de deux et ci-après référencés premier élément 114 de maintien et deuxième élément 115 de maintien, pour améliorer la cohérence entre les première et deuxième parties 109a, 109b obtenues par surmoulage. Dans ce cas, le bouton 101 glisseur peut être tel que :
  • la première partie 109a de l’embase 102 comprend une rainure 111 ( ) s’étendant depuis le support 110 et reliant un premier trou 112 débouchant agencé à une extrémité longitudinale de la première partie 109b (agencée in fine du côté de la deuxième extrémité 132 longitudinale de l’embase 102) et ménagé selon l’épaisseur de la première partie 109a, la longueur de la première partie 109a étant comptée selon l’axe A1 de déplacement lorsque le bouton 101 glisseur est intégré au dispositif 100 de commande manuelle ;
  • la première partie 109a de l’embase 102 comprend un deuxième trou débouchant 113 ménagé dans l’épaisseur de la première partie 109a à la base du support 110 à l’opposé de la rainure 111 ;
  • la deuxième partie 109b comprend ( ) le premier élément 114 de maintien comprenant une collerette, le premier élément 114 de maintien traversant le premier trou 112 débouchant ( ) via son corps 114b et coopérant avec le premier trou 112 débouchant, notamment à la périphérie de son ouverture opposée à la deuxième partie 109b, pour participer à s’opposer à une dissociation des première et deuxième parties 109a, 109b dans une direction sensiblement orthogonale au plan P1 de glissement du bouton 101 glisseur ;
  • la deuxième partie 109b comprend ( ) le deuxième élément 115 de maintien comprenant une collerette, le deuxième élément 115 de maintien traversant le deuxième trou 113 débouchant via son corps 115b ( ) et coopérant avec le deuxième trou 113 débouchant, notamment à la périphérie de son ouverture opposée à la deuxième partie 109b, pour participer à s’opposer à une dissociation des première et deuxième parties 109a, 109b dans une direction sensiblement orthogonale au plan P1 de glissement du bouton 101 glisseur ;
  • la deuxième partie 109b comprend ( ) un épaulement 116 de forme complémentaire à la rainure 111 et agencé dans la rainure 111 de la première partie 109a pour participer à assurer un maintien des première et deuxième parties 109a, 109b entre elles vis-à-vis d’efforts pratiqués sensiblement parallèlement au plan P1 de glissement et sensiblement orthogonalement à l’axe A1 de déplacement ;
  • la deuxième partie 109b comprend l’élément 103 d’actionnement manuel, lequel comprend le creux 124 dans lequel est logé le support 110 de l’élément 103 d’actionnement manuel lorsque les première et deuxième parties 109a, 109b sont formées l’une avec l’autre par surmoulage.
Notamment, ici les collerettes 114a, 115a sont agencées du côté d’une face inférieure de la première partie 109a opposée à une face supérieure de la première partie 109a où le support 110 est situé. La forme représentée en de la deuxième partie 109b constitue une visualisation théorique de la deuxième partie 109b seule, c’est-à-dire en faisant abstraction de la première partie 109a dont elle est complémentaire, telle qu’elle serait obtenue par surmoulage avec la première partie 109a.
Il a été évoqué ci-avant que des couleurs différentes pouvaient être utilisées en tant qu’indicateurs visuels. Ainsi, la première partie 109a peut être d’une première couleur et la deuxième partie 109b peut être d’une deuxième couleur, la première couleur étant différente de la deuxième couleur. Autrement dit, l’intégralité de la surface de la première partie 109a présente la première couleur et l’intégralité de la surface de la deuxième partie 109b présente la deuxième couleur, ce qui permet de délimiter localement, via la lumière 105 et selon la position du bouton 101 glisseur choisie parmi la première position et la deuxième position, la première portion 102a de surface présentant alors la première couleur et la deuxième portion 102b de surface présentant alors la deuxième couleur. Par exemple, la première couleur est jaune et la deuxième couleur est blanche. Cela permet de différencier de manière efficace la première position et la deuxième position l’une de l’autre quelle que soit l’orientation du dispositif 100 de commande manuelle. En outre, l’utilisation de couleurs différentes est tout particulièrement adaptée à la technique du surmoulage dans le sens où il est possible, lors de la réalisation du bouton 101 glisseur, de réaliser une bi-injection de deux matériaux présentant (i.e. la première matière et la deuxième matière évoquées ci-avant), à l’état solide, des couleurs différentes. Il n’y a dons pas besoin de venir ajouter sur l’embase 102 un élément différenciateur ultérieurement à l’obtention de l’embase 102.
La partie principale de l’embase 102 avec laquelle l’organe 106 de rappel vient de matière est, de préférence, en POM (abréviation pour polyoxyméthylène) ; le POM peut alors former la première matière évoquée ci-avant. Le POM est tout particulièrement adapté pour former l’organe 106 de rappel dans le sens où ses propriétés physiques permettent d’obtenir l’effet ressort (i.e. la force de rappel) recherché de l’organe 106 de rappel tout en lui permettant :
  • d’être plus ou moins contraint en compression par la surface 108 d’appui ;
  • de résister aux frottements par exemple induits entre l’organe 106 de rappel et la surface 108 d’appui lors de la mise en œuvre du déplacement du bouton 101 glisseur.
En particulier, le POM est tout particulièrement adapté pour former la partie principale de l’embase 102 (voire l’embase 102 complète dans une réalisation où cette dernière peut être monobloc) et l’organe 106 de rappel, alors flexible/déformable, va pouvoir se courber sans casser lorsque l’effort évoqué précédemment va être appliqué sur l’élément 103 d’actionnement manuel de sorte à vaincre la force de rappel et permettre le déplacement souhaité du bouton 101 glisseur.
La première partie 109a peut être en POM et elle comprend la partie principale de l’embase 102 avec laquelle l’organe 106 de rappel vient de matière et l’organe 106 de rappel. Dans ce cas, la deuxième partie 109b peut être en ABS (abréviation de « acrylonitrile butadiène styrène) ; l’ABS peut alors former la deuxième matière évoquée ci-avant. L’ABS présente l’avantage de pouvoir être surmoulé de manière efficace sur le POM et donc de permettre le surmoulage de la deuxième partie 109b sur la première partie 109a. En outre, l’utilisation de l’ABS surmoulé permet d’obtenir une zone de délimitation autour de l’élément 103 d’actionnement manuel nette pour former un indicateur visuel agréable visuellement et surtout sans zone d’épargne comme cela aurait été le cas par exemple pour un indicateur visuel avant été obtenu par tampographie sur l’embase 102.
Selon une réalisation particulière, l’embase 102 peut comporter des nervures 117a, 117b, 117c, 117d de glissement agencées à l’opposé de l’élément 103 d’actionnement manuel, ces nervures 117a, 117b, 117c, 117d de glissement (voir par exemple en ce sens les figures 11, 12 et 13) permettent à l’embase 102 de glisser sur un fond 118 (visible en figures 2, 5 et 6) du logement 107 prévu à cet effet en limitant les frottements. Là encore, le matériau POM est tout particulièrement adapté pour former ces nervures 117a, 117b, 117c, 117d de glissement qui font alors préférentiellement partie intégrante de la première partie 109a dans le sens où le POM résiste aux frottements répétitifs dus aux multiples actionnement du bouton 101 glisseur au cours de la vie du dispositif 100 de commande manuelle.
De manière générale, le fond 118 du logement 107 participe aussi à former la liaison glissière évoqué ci-avant, notamment en coopération avec la paroi 104, pour tendre à s’opposer à un déplacement du bouton 101 glisseur sensiblement orthogonal au plan P1 de glissement.
Il a été évoqué ci-avant que le bouton 101 glisseur pouvait permettre la mise en œuvre d’une fonction, par exemple qui peut être activée ou non selon la position du bouton 101 glisseur. Il existe donc un besoin d’intégrer un composant électrique ou électronique en vue de permettre cela.
A cet effet, il peut être prévu que le dispositif 100 de commande manuelle comprenne un interrupteur 119 comprenant un premier état ( , 3 et 12) et un deuxième état (figures 5, 6 et 13), l’interrupteur 119 étant agencé de sorte que :
  • dans la première position du bouton 101 glisseur, l’interrupteur 119 est dans le premier état
  • dans la deuxième position du bouton 101 glisseur, l’interrupteur 119 est dans le deuxième état.
Cet interrupteur 119 permet, par exemple, de fermer un circuit électrique correspondant dont l’interrupteur 119 fait partie intégrante, par exemple dans la première position et/ou dans la deuxième position du bouton 101 glisseur. L’interrupteur 119 peut être monté sur un circuit 134 imprimé (figures 2 et 5) que comprend le dispositif 100 de commande manuelle.
Afin de permettre une coopération adaptée, simple et efficace à mettre en œuvre entre l’interrupteur 119 et le bouton 101 glisseur, l’interrupteur 119 peut comprendre un organe 120 mobile (figures 12 et 13 et en pointillé en figures 2 et 5 pour les parties non directement visibles) en rotation et l’embase 102 du bouton 101 glisseur comprend alors une première butée 121 et une deuxième butée 122, l’interrupteur 119 et le bouton 101 glisseur étant agencés de sorte que :
  • dans la première position du bouton 101 glisseur, la première butée 121 de l’embase 102 est en contact avec l’organe 120 mobile pour le maintenir dans une position qui place l’interrupteur 119 dans le premier état ( )
  • dans la deuxième position du bouton 101 glisseur, la deuxième butée 122 de l’embase 102 est en contact avec l’organe 120 mobile pour le maintenir dans une position qui place l’interrupteur 119 dans le deuxième état ( ).
Les première et deuxième butées 121, 122 de l’embase 102 forment alors des butées d’actionnement de l’interrupteur 120.
Par exemple, l’organe 120 mobile peut être un doigt monté à rotation au sein de l’interrupteur 119 selon un axe de rotation sensiblement orthogonal au plan P1 de glissement du bouton 101 glisseur. Cela permet audit doigt, notamment engagé vis-à-vis de l’embase 102, d’être entrainé en rotation par l’embase 102 dans un premier sens de rotation lors du passage de la deuxième position du bouton 101 glisseur à la première position du bouton 101 glisseur ou dans un deuxième sens de rotation, opposé au premier sens de rotation, lors du passage de la première position du bouton 101 glisseur à la deuxième position du bouton 101 glisseur.
Par exemple, lorsque l’embase 102 comprend des nervures 117a, 117b, 117c, 117d de glissement, une première nervure 117a et une deuxième nervure 117b de glissement prises dans l’ensemble des nervures de glissement sont agencées dans la continuité l’une de l’autre tout en étant agencées à distance l’une de l’autre selon un espace 123 de séparation prédéterminé. Notamment, la première nervure 117a de glissement délimite la première butée 121 de l’embase 102 qui fait face à la deuxième butée 122 de l’embase 102 délimitée par la deuxième nervure 117b de glissement. Ainsi, l’espace de séparation prédéterminé entre les première et deuxième nervures 117a, 117b est mesurable entre les première et deuxième butées 121, 122 de l’embase 102 et est prédéterminée en fonction de la position de l’interrupteur 119 et de sa configuration afin de permettre le placement, via l’organe 120 mobile, de l’interrupteur 119 dans son premier état ou dans son deuxième état.
Avantageusement, l’interrupteur 119 est un interrupteur monostable à trois position. Ainsi, l’organe 120 mobile peut présenter une position stable agencée entre deux positions instables (respectivement les premier et deuxième états) et l’interrupteur 119 est configuré de sorte que l’organe 120 mobile est sollicité vers un retour à la position stable lorsque l’organe 120 mobile n’est pas dans sa position stable. Un tel interrupteur 119 est tout particulièrement adapté pour être utilisé dans le cadre du présent dispositif 100 de commande manuelle dans le sens où :
  • lorsque le bouton 101 glisseur est dans sa première position, l’organe 120 mobile est dans l’une de ses positions instables et le bouton 101 glisseur empêche, via la première butée 121 de l’embase 102 en appui contre l’organe 120 mobile, le retour de l’organe 120 mobile vers sa position stable ;
  • lorsque le bouton 101 glisseur est dans sa deuxième position l’organe 120 mobile est dans l’autre de ses positions instables et le bouton 101 glisseur empêche, via la deuxième butée 122 de l’embase 102 en appui contre l’organe 120 mobile, le retour de l’organe 120 mobile vers sa position stable.
Il en résulte que la coopération entre le bouton 101 glisseur et l’interrupteur 119 peut être mise en œuvre de manière efficace et simple mécaniquement. De plus, avantageusement, l’interrupteur 119 s’étend également principalement dans le (ou parallèlement au) plan P1 de glissement, de sorte à minimiser l’épaisseur du dispositif 100 de commande manuelle.
De préférence, les première et deuxième butées 121, 122 de l’embase 102 sont agencées du côté de l’embase 102 opposé à l’organe 106 de rappel. Cela permet de rendre le dispositif 100 de commande manuelle particulièrement plat puisque chaque côté latéral de l’embase 102 peut être rendu fonctionnel. Autrement dit, l’organe 106 de rappel, l’embase 102, les première et deuxième butées 121, 122 de l’embase 102 et l’organe 120 mobile peuvent s’étendre sensiblement dans un même plan, de préférence sensiblement parallèle au plan P1 de glissement.
Comme le montre les figures 12 et 13, les première et deuxième butées 121, 122 de l’embase 102 peuvent être agencées du côté inférieur de l’embase 102 opposé à l’élément 103 d’actionnement manuel (i.e. à la face 129 inférieure de l’embase 102), les première et deuxième butées 121, 122 de l’embase 102 formant des rampes convergentes dans une direction opposée à une partie de l’interrupteur 120 depuis laquelle s’étend l’organe 120 mobile, l’interrupteur 119 et le bouton 101 glisseur étant agencés de sorte que, quelle que soit la position de l’embase 102 par rapport au logement 107, l’organe 120 mobile est au moins en partie (et possiblement intégralement selon l’agencement) agencé entre les première et deuxième butées 121, 122 de l’embase 102.
Le bouton 101 glisseur peut être le seul actionneur manuel du dispositif 100 de commande manuelle ou le dispositif 100 de commande manuelle comprend en outre au moins un bouton de commande poussoir actionnable manuellement (plusieurs boutons poussoirs étant possible). Ainsi, le dispositif 100 de commande manuelle peut être adapté en fonction de sa destination d’utilisation.
Selon une application particulière, le dispositif 100 de commande manuelle peut comprendre :
  • un socle 135 ;
  • un bouton 125 de commande (par exemple visible en figures 1 à 7) monté sur le socle 135 d’une manière offrant au moins une aptitude de mouvement par rapport au socle 135 suivant au moins un degré de liberté, par exemple par pivotement/basculement autour d’un axe A2 de pivotement, le bouton 125 de commande délimitant au moins une zone d’appui accessible (deux zones 126, 127 d’appui dans l’exemple des figures 1 à 7) depuis l’extérieur du dispositif 100 de commande manuelle, chaque zone 126, 127 d’appui permettant l’application manuelle d’un effort d’appui par l’utilisateur du dispositif 100 de commande manuelle sur la zone 126, 127 d’appui notamment de manière sensiblement orthogonale au plan de la , ledit effort d’appui entraînant un déplacement de la zone 126, 127 d’appui concernée d’une position inactive stable qu’occupe le bouton 125 de commande au repos (i.e. lorsqu’il n’est pas actionné), à une position active instable ;
  • au moins un bouton électrique (non représenté), par exemple monté électriquement sur le circuit 134 imprimé, susceptible d’occuper un état actif et un état inactif, associé à la ou à l’une des zones 126, 127 d’appui du bouton 125 de commande, la ou chaque zone 126, 127 d’appui plaçant le bouton électrique associé dans l’état inactif lorsqu’elle occupe la position inactive stable et plaçant le bouton électrique associé dans l’état actif lorsqu’elle occupe la position active instable ;
  • un mécanisme de rappel (non représenté) sollicitant le bouton 125 de commande d’une manière tendant à ramener ladite au moins une zone 126, 127 d’appui vers la position inactive stable et à le maintenir dans la position inactive stable lorsque l’utilisateur du dispositif 100 de commande manuelle n’interagit pas avec le bouton 125 de commande.
Lorsque le bouton électrique est dans son état actif, il permet notamment de fermer un circuit électrique correspondant pour provoquer la mise en œuvre d’une fonction associée audit bouton électrique. Dans l’exemple illustré à deux zones 126, 127 d’appui, chacune des deux zones 126, 127 d’appui peut actionner un bouton électrique qui lui est propre afin de le faire passer à son état actif.
Selon un exemple particulier, le dispositif 100 de commande est configuré pour piloter un moteur, par exemple d’un actionneur électromécanique pour un volet roulant notamment destiné à occulter une ouverture d’un bâtiment. Les deux zones 126, 127 d’appui permettent de piloter la rotation du moteur respectivement dans un premier sens et dans un deuxième sens pour ouvrir ou fermer le volet roulant. Le bouton 101 glisseur permet de sélectionner une fonction complémentaire, par exemple une fonction silence en limitant la vitesse de rotation du moteur lorsque le bouton 101 glisseur est dans sa première position alors qu’on autorise une vitesse de rotation du moteur plus importante lorsque le bouton glisseur 101 est dans sa deuxième position. En plus de l’indication visuelle correspondant à la partie du bouton 101 glisseur visible au travers de la lumière 105, une autre information 128 visuelle (par exemple visible en figures 1, 4 et 7), comme une plume, est représentée sur la paroi 104 d’un côté de la lumière 105 où est positionné l’élément 103 d’actionnement manuel lorsque le bouton 101 glisseur est dans sa première position. Cela permet d’augmenter la quantité d’informations disponibles pour l’utilisateur du dispositif 100 de commande manuelle, tout en utilisant l’espace disponible sur la paroi 104.
Le dispositif 100 de commande manuelle trouve une application industrielle dans le domaine de la commande de fonction(s), par exemple électrique(s), et en particulier dans le domaine de la domotique pour par exemple piloter de manière idoine le fonctionnement d’un volet roulant.

Claims (15)

  1. Dispositif (100) de commande manuelle comprenant :
    • un bouton (101) glisseur comprenant une embase (102) et un élément (103) d’actionnement manuel formant saillie par rapport à l’embase (102) ;
    • un logement (107) dans lequel est agencée l’embase (102) ;
    le bouton (101) glisseur étant monté mobile par rapport au logement (107) de sorte à varier entre une première position et une deuxième position, le bouton (101) glisseur comprenant un organe (106) de rappel tendant à s’opposer, lorsque le bouton (101) glisseur est dans l’une de la première position et de la deuxième position, à un déplacement du bouton (101) glisseur dans l’autre de la première position et de la deuxième position, l’organe (106) de rappel venant de matière avec au moins une partie de l’embase (102).
  2. Dispositif (100) de commande manuelle selon la revendication 1, dans lequel le logement (107) comprend une surface (108) d’appui comprenant une partie (108a) de basculement, la surface (108) d’appui étant configurée pour coopérer avec l’organe (106) de rappel pour, d’une part, tendre à s’opposer audit déplacement et, d’autre part, induire une déformation de l’organe (106) de rappel lorsqu’un effort adapté est appliqué manuellement sur l’élément (103) d’actionnement manuel, cette déformation permettant à une partie (106a) de l’organe (106) de rappel sollicitée contre la surface (108) d’appui de passer la partie (108a) de basculement afin d’obtenir ledit déplacement.
  3. Dispositif (100) de commande manuelle selon la revendication 2, dans lequel le logement (107) comprend des première et deuxième butées (136a, 136b) de coulissement opposées selon un axe (A1) de déplacement de l’embase (102) dans le logement (107), et au moins une surface (133a, 133b) de coulissement, la surface (133a, 133b) de coulissement et la surface (108) d’appui étant agencées respectivement au niveau d’un premier côté latéral du logement (107) et au niveau d’un deuxième côté latéral du logement (107) opposé au premier côté latéral, le dispositif (100) de commande manuelle étant tel que :
    • dans la première position du bouton (101) glisseur, l’organe (106) de rappel est sollicité contre la surface (108) d’appui de sorte à plaquer l’embase (102) contre la surface (133a, 133b) de coulissement et contre la deuxième butée (136b) de coulissement ;
    • dans la deuxième position du bouton (101) glisseur, l’organe (106) de rappel est sollicité contre la surface (108) d’appui de sorte à plaquer l’embase (102) contre la surface (133a, 133b) de coulissement et contre la première butée (136a) de coulissement.
  4. Dispositif (100) de commande manuelle selon l’une quelconque des revendications 1 à 3, dans lequel l’organe (106) de rappel s’étend latéralement par rapport à l’embase (102).
  5. Dispositif (100) de commande manuelle selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, dans lequel le dispositif (100) de commande manuelle est configuré de sorte que :
    • dans la première position du bouton (101) glisseur, une première portion (102a) de surface de l’embase (102) est visible au travers d’une lumière (105) que comprend le dispositif (100) de commande manuelle ;
    • dans la deuxième position du bouton (101) glisseur, une deuxième portion (102b) de surface de l’embase (102) est visible au travers de la lumière (105) ;
    la première portion (102a) de surface et la deuxième portion (102b) de surface formant des indicateurs visuels différents.
  6. Dispositif (100) de commande manuelle selon la revendication 5, dans lequel le bouton glisseur (101) comprend une première partie (109a) et une deuxième partie (109b) en contact et solidaires l’une de l’autre, la première partie (109a) étant monobloc, la deuxième partie (109b) étant monobloc, la première partie (109a) comprenant la première portion (102a) de surface de l’embase (102) et la deuxième partie (109b) comprenant la deuxième portion (102b) de surface de l’embase (102).
  7. Dispositif (100) de commande manuelle selon la revendication 6, dans lequel l’une des première et deuxième parties (109a, 109b) comprend au moins un élément (114, 115) de maintien coopérant avec l’autre des première et deuxième parties (109a, 109b) afin de maintenir les première et deuxième parties (109a, 109b) entre elles.
  8. Dispositif (100) de commande manuelle selon l’une quelconque des revendications 6 à 7, dans lequel l’une de la première partie (109a) et de la deuxième partie (109b) est surmoulée sur l’autre de la première partie (109a) et de la deuxième partie (109b).
  9. Dispositif (100) de commande manuelle selon l’une quelconque des revendications 6 à 8, dans lequel la première partie (109a) est d’une première couleur et la deuxième partie (109b) est d’une deuxième couleur, la première couleur étant différente de la deuxième couleur.
  10. Dispositif selon l’une quelconque des revendications 1 à 9, dans lequel l’élément (103) d’actionnement manuel vient de matière avec au moins une portion de l’embase (102).
  11. Dispositif (100) de commande manuelle selon l’une quelconque des revendications 1 à 10, dans lequel le dispositif (100) de commande manuelle comprend un interrupteur (119) comprenant un premier état et un deuxième état, l’interrupteur (119) étant agencé de sorte que :
    • dans la première position du bouton (101) glisseur, l’interrupteur (119) est dans le premier état ;
    • dans la deuxième position du bouton (101) glisseur, l’interrupteur (119) est dans le deuxième état ;
    et dans lequel l’interrupteur (119) comprend un organe (120) mobile en rotation et dans lequel l’embase (102) du bouton (101) glisseur comprend une première butée (121) et une deuxième butée (122), l’interrupteur (119) et le bouton (101) glisseur étant agencés de sorte que :
    • dans la première position du bouton (101) glisseur, la première butée (121) de l’embase (102) est en contact avec l’organe (120) mobile pour le maintenir dans une position qui place l’interrupteur (119) dans le premier état ;
    • dans la deuxième position du bouton (101) glisseur, la deuxième butée (122) de l’embase (102) est en contact avec l’organe (120) mobile pour le maintenir dans une position qui place l’interrupteur (119) dans le deuxième état.
  12. Dispositif (100) de commande manuelle selon la revendication 11, dans lequel les première et deuxième butées (121, 122) de l’embase (102) sont agencées du côté de l’embase (102) opposé à l’organe (106) de rappel.
  13. Dispositif (100) de commande manuelle selon l’une quelconque des revendications 11 à 12, dans lequel les première et deuxième butées (121, 122) de l’embase (102) sont agencées du côté inférieur de l’embase (102) opposé à l’élément (103) d’actionnement manuel, les première et deuxième butées (121, 122) de l’embase (102) formant des rampes convergentes dans une direction opposée à une partie de l’interrupteur (120) depuis laquelle s’étend l’organe (120) mobile, l’interrupteur (119) et le bouton (101) glisseur étant agencés de sorte que, quelle que soit la position de l’embase (102) par rapport au logement (107), l’organe (120) mobile est au moins en partie agencé entre les première et deuxième butées (121, 122) de l’embase (102).
  14. Dispositif (100) de commande manuelle selon l’une quelconque des revendications 1 à 13, dans lequel l’organe (106) de rappel comprend des première et deuxième extrémités (106b, 106c) longitudinales opposées reliées à l’embase (102), de préférence respectivement du côté d’une première extrémité (131) longitudinale de l’embase (102) et du côté d’une deuxième extrémité (132) longitudinale de l’embase (102) opposée à la première extrémité (131) longitudinale de l’embase (102).
  15. Dispositif (100) de commande manuelle selon l’une quelconque des revendications 1 à 14, dans lequel le bouton (101) glisseur est le seul actionneur manuel du dispositif (100) de commande manuelle ou le dispositif (100) de commande manuelle comprend en outre au moins un bouton de commande poussoir actionnable manuellement.
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