FR3139440A1 - Manchon pour tête d’étrognage, et tête d’étrognage correspondante - Google Patents

Manchon pour tête d’étrognage, et tête d’étrognage correspondante Download PDF

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Jean-François TOUBEAUX
Bertrand DENHAENE
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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A23FOODS OR FOODSTUFFS; TREATMENT THEREOF, NOT COVERED BY OTHER CLASSES
    • A23NMACHINES OR APPARATUS FOR TREATING HARVESTED FRUIT, VEGETABLES OR FLOWER BULBS IN BULK, NOT OTHERWISE PROVIDED FOR; PEELING VEGETABLES OR FRUIT IN BULK; APPARATUS FOR PREPARING ANIMAL FEEDING- STUFFS
    • A23N15/00Machines or apparatus for other treatment of fruits or vegetables for human purposes; Machines or apparatus for topping or skinning flower bulbs
    • A23N15/003Machines or apparatus for other treatment of fruits or vegetables for human purposes; Machines or apparatus for topping or skinning flower bulbs for trimming cauliflowers, broccoli or cabbages

Abstract

Manchon pour tête d’étrognage, et tête d’étrognage correspondante L’invention concerne un manchon (1) de tête d’étrognage pour la séparation en morceaux, de préférence en fleurettes, de choux à inflorescence, tels que des choux-fleurs, des choux romanesco ou des brocolis. Le manchon (1) est destiné à être positionné autour d’un moyen de forage, par exemple un arbre tournant, de la tête d’étrognage et comporte un tube plongeur (2) de carottage pour la tête d’étrognage. Le manchon (1) comporte au moins une saillie radiale (4) montée sur une surface latérale externe (2b) dudit tube (2) et s’étendant selon une direction radiale perpendiculaire à la surface latérale externe (2b) dudit tube. Ladite saillie radiale (4) comporte, selon une coupe transversale à la direction radiale de ladite saillie, un profil avec un bord d’attaque (4a). Ladite saillie radiale (4) présente, en projection sur un plan transversal à la direction axiale du manchon, une épaisseur, notamment maximale, supérieure ou égale à 3mm, de préférence à 4mm, de préférence à 6mm et plus préférentiellement à 8mm. L’invention concerne également une tête d’étrognage, et une machine agricole, comportant un tel manchon (1). Figure pour l’abrégé : Fig. 1.

Description

Manchon pour tête d’étrognage, et tête d’étrognage correspondante
La présente invention concerne le domaine des machines de traitement de produits agricoles, tels que les légumes. L’invention concerne plus spécifiquement le domaine des machines de traitement, ou transformation, de choux-fleurs, brocolis, choux romanesco et autres légumes équivalents.
Généralement, dans un légume tel qu’une tête de chou-fleur, de choux romanesco ou de brocoli, on ne mange que l'inflorescence, appelée tête ou pomme, formée de fleurettes. Le trognon, parfois appelé cœur, est éliminé lors de l'étrognage, de même que les feuilles qui sont éliminées par effanage.
En particulier, dans la commercialisation de tels légumes surgelés, ce sont surtout les inflorescences, appelées fleurettes qui présentent de l'intérêt, le trognon étant peu comestible. Il est donc préférable d’éliminer le trognon lors du traitement ou de la transformation de tels légumes.
Les fabricants de plats surgelés souhaitent pouvoir disposer de très grandes quantités de fleurettes prêtes à cuisiner, c'est-à-dire des fleurettes de taille suffisamment faible pour être cuisinées. On parle ainsi, par exemple, d'éclatement des têtes de choux-fleurs en fleurettes.
Il est déjà connu d’effectuer l'étrognage et la découpe des fleurettes de choux-fleurs ou brocolis.
Le document EP 1 462 012 décrit une machine pour l'étrognage de choux-fleurs et la découpe en fleurettes. Dans ce dispositif antérieur, une bande sans fin porte des coupelles de support des choux fleurs et les amène au droit d'une tête d'étrognage montée sur un plateau vertical tournant. Deux têtes d'étrognage sont par exemple montées sur ledit plateau tournant dont le mouvement est synchrone au déplacement de la bande de convoyage des coupelles. Chaque tête comprend un arbre tournant monté dans un manchon de carottage, et des éléments configurés pour aspirer les résidus d’étrognage ainsi formés.
Des saillies radiales peuvent également être prévues sur le pourtour du manchon, afin de venir couper le légume en étoile, de manière simultanée à l’étrognage.
Cependant, de telles saillies agissent tels des couteaux qui descendent au travers du chou lors de l'étrognage. Ces couteaux découpent ainsi pratiquement toutes les fleurettes sur toute la hauteur du chou. Or, les fleurettes disposées à la base du chou sont nettement plus grosses que celles situées plus haut sur le trognon.
Par ailleurs, les fleurettes ainsi obtenues présentent alors des bords plats et lisses, obtenus par découpe, et non plus leur forme originelle de fleurettes, ce qui n’est pas satisfaisant d’un point de vue de la texture, notamment en bouche, pour le consommateur final ou pour la mise en valeur esthétique et la présentation du produit final.
La présente invention vise à résoudre les différents problèmes techniques énoncés précédemment. En particulier, la présente invention vise à proposer une tête d’étrognage permettant d’étrogner des choux à inflorescence pour obtenir des fleurettes. Plus précisément, la présente invention vise à proposer un manchon de tête d’étrognage, permettant de limiter l’impact de la mécanisation de l’étrognage sur la forme des fleurettes obtenues.
Ainsi, selon un aspect, il est proposé un manchon de tête d’étrognage pour la séparation en morceaux, de préférence en fleurettes, de choux à inflorescence, tels que des choux-fleurs, des choux romanesco ou des brocolis. Le manchon est destiné à être positionné autour d’un moyen de forage, par exemple un arbre tournant, de la tête d’étrognage et comporte un tube plongeur de carottage pour la tête d’étrognage. Le manchon comporte au moins une saillie radiale montée sur une surface latérale externe dudit tube et s’étendant selon une direction radiale perpendiculaire à la surface latérale externe dudit tube. Ladite saillie radiale comporte, selon une coupe transversale à la direction radiale de ladite saillie, un profil avec un bord d’attaque. Ladite saillie radiale présente, en projection sur un plan transversal à la direction axiale du tube, une épaisseur, notamment maximale, supérieure ou égale à 3mm, de préférence à 4mm, de préférence à 6mm et plus préférentiellement à 8mm.
Ainsi, les saillies selon la présente invention présentent une épaisseur d’au moins 3mm en projection sur le plan transversal à la direction du tube, ce qui signifie que les saillies radiales viennent en contact avec le choux à inflorescence avec une épaisseur apparente d’au moins 3mm, ce qui limite la coupe du choux à inflorescence, c’est-à-dire la formation d’un bord plat et lisse sur un côté de la ou des fleurettes, mais permet au contraire de venir appuyer localement sur le choux à inflorescence pour créer des forces d’éclatement dans le chou. On obtient alors un éclatement du chou à inflorescence au niveau des zones de fragilité du chou, c’est-à-dire au niveau des interfaces entre fleurettes : les fleurettes sont alors séparées les unes des autres, au niveau desdites interfaces, conduisant à l’obtention de fleurettes individuelles de forme naturelle.
Les saillies radiales du manchon selon la présente invention sont donc configurées pour être non-tranchantes. Au contraire, les saillies radiales sont configurées pour faire éclater le chou par insertion d’éléments volumineux dans le chou, afin de casser les liaisons entre fleurettes du chou, qui sont plus faibles que les liaisons au sein des fleurettes.
Le manchon selon la présente invention permet donc d’obtenir des fleurettes séparées ayant des formes naturelles, correspondant sensiblement à leur forme au sein du chou, et non des fleurettes avec un ou plusieurs côtés plats et lisses correspondant à des découpes.
Préférentiellement, ladite épaisseur supérieure ou égale à 3mm, de préférence à 4mm, de préférence à 6mm et plus préférentiellement à 8mm, est située, selon ladite coupe transversale à la direction radiale de ladite saillie, à une distance inférieure ou égale à 20mm dudit bord d’attaque, de préférence inférieure ou égale à 14mm, de préférence inférieure ou égale à 7mm et plus préférentiellement inférieure ou égale à 2mm.
Le manchon est notamment configuré pour présenter, au niveau des saillies radiales, une épaisseur à proximité du bord d’attaque de la saillie radiale qui est supérieure à 3mm. Dit autrement, les saillies radiales entrent directement dans le chou à inflorescence par leur partie épaisse, pour venir le contraindre mécaniquement et le faire éclater. La distance entre le bord d’attaque et la partie épaisse de la saillie radiale est donc courte, permettant notamment à la partie épaisse de la saille radiale, au cours de l’éclatement du chou, de se déplacer jusqu’à une certaine profondeur dans le chou, pour venir le séparer en fleurettes jusqu’à la tête.
Selon un mode de réalisation, ladite au moins une saillie radiale présente, selon une coupe transversale à la direction radiale de ladite saillie, un renflement au niveau du bord d’attaque, l’épaisseur supérieure ou égale à 3mm, de préférence à 4mm, de préférence à 6mm et plus préférentiellement à 8mm de ladite saillie étant obtenue au niveau dudit renflement.
Le renflement, ou partie épaisse, de la saillie radiale est prévue au niveau du bord d’attaque de la saillie radiale. La saillie radiale vient donc en contact avec le chou à éclater directement par sa partie épaisse.
Selon un autre mode de réalisation, ladite au moins une saillie radiale est dépourvue de renflement.
Dans un tel mode de réalisation, la saillie radiale peut alors présenter une épaisseur sensiblement constante sur toute sa longueur, ladite épaisseur de la saillie radiale étant alors supérieure ou égale à 3mm, de préférence à 4mm, de préférence à 6mm et plus préférentiellement à 8mm.
Préférentiellement, ladite saillie présente un bord d’attaque convexe, par exemple arrondie, ou bien un bord d’attaque en forme d’arête présentant un angle supérieur à 40°, de préférence supérieur à 60° et plus préférentiellement supérieur à 80°.
Même si la saillie radiale entre en contact avec le chou par sa partie épaisse, le bord d’attaque de la saillie radiale n’est pas une surface plane, ce qui pourrait créer des contraintes trop localisées dans le chou, et donc l’abimer, mais comporte au contraire un bord d’attaque de forme arrondie ou en pointe, afin de faciliter la mise en contact de la partie épaisse de la saillie radiale avec le chou. En particulier, dans le cas d’un bord d’attaque en forme d’arête, l’angle de l’arête est choisi de manière à créer un contrainte, et non à couper le chou, notamment grâce à un angle supérieur ou égal à 40°.
Préférentiellement, ledit bord d’attaque de ladite saillie radiale est formé par une arête d’un cylindre à base carrée, par exemple un cylindre à base carrée de 3mm, de préférence de 4mm de côté, de 6mm de côté ou de 8mm de côté.
Un exemple de renflement, ou partie épaisse, d’une saillie radiale peut être obtenu à partir d’un cylindre à base carrée positionné en tête de saillie, c’est-à-dire sur le bord d’attaque, avec l’axe du cylindre s’étendant selon la direction radiale de la saillie, et orienté de manière à présenter, au niveau du bord d’attaque, une arête du cylindre, et non une face. Un tel mode de réalisation permet donc d’avoir la partie épaisse de la saillie radiale au niveau du bord d’attaque, et d’avoir un bord d’attaque sous la forme d’une arête présentant un angle de 90°. Une telle géométrie permet une insertion douce dans le chou tout en créant rapidement des contraintes entre fleurettes à cause de l’encombrement dû à l’épaisseur du cylindre à base carrée.
Préférentiellement, ladite saillie présente une forme générale d’aile s’étendant sensiblement dans un plan comportant la direction axiale du tube et la direction radiale de ladite saillie radiale.
La saillie radiale peut également s’étendre le long de la direction axiale du tube de carottage, c’est-à-dire s’étendre aussi à l’arrière la partie épaisse. Ainsi, dans un plan transversal à la direction radiale de la saillie, la saillie présente une forme longitudinale, le long de la direction axiale du tube de carottage.
Préférentiellement, ladite saillie radiale présente un profil avec un bord de fuite et comprend une plaque s’étendant entre le bord d’attaque, et le bord de fuite.
Selon un mode de réalisation, ladite saillie radiale présente un profil avec un bord de fuite et comprend une plaque s’étendant entre le renflement présent au niveau du bord d’attaque, et le bord de fuite.
Toujours selon un plan transversal à la direction radiale de la saillie, la saillie présente un profil avec un bord d’attaque et un bord de fuite. De plus, la saillie comporte, entre le renflement de la saille et la partie arrière, une plaque. Une telle plaque permet notamment d’apporter un soutien mécanique au renflement de la saillie. En effet, la saillie s’étendant transversalement depuis la surface externe du tube de carottage, le renflement ne tiendrait que par une extrémité proximale sur le tube de carottage, sans le reste de la saillie. Grâce à la plaque, les forces exercées par le chou sur le renflement, notamment celles au niveau de l’extrémité distale du renflement qui entraînent un couple de torsion important au niveau de l’extrémité proximale en raison de la longueur du renflement, sont également supportées par la plaque montée entre le renflement et le reste du tube de carottage.
Selon un autre mode de réalisation, la saillie radiale peut être dépourvue de renflement, et être formée uniquement par une plaque présentant une épaisseur supérieure ou égale à 3mm, de préférence à 4mm, de préférence à 6mm et plus préférentiellement à 8mm.
Préférentiellement, le manchon de tête d’étrognage comporte au moins trois saillies radiales réparties uniformément sur le pourtour de la surface latérale externe dudit tube, de préférence au moins quatre saillies radiales, et plus préférentiellement au moins six saillies radiales.
Le nombre de saillies radiales prévues dans le manchon dépend de la taille du tube de carottage, et de la taille des fleurettes à séparer. Ainsi, selon le type de chou, ou selon la taille du chou, le nombre de saillies radiales du manchon pourra être modifié ou adapté de manière à obtenir la séparation voulue des fleurettes.
Selon un autre aspect, il est également proposé une tête d’étrognage comportant un arbre tournant disposé dans un manchon tel que décrit précédemment.
Une telle tête d’étrognage permet donc à la fois d’étrogner le chou et d’en séparer les différentes fleurettes, tout en conservant leur aspect esthétique naturel.
Selon un autre aspect, il est également proposé une machine agricole pour le traitement de choux, comprenant au moins une tête d’étrognage telle que décrit précédemment.
Une telle machine agricole peut notamment comporter un convoyeur pour récupérer les choux récoltés puis les amener jusqu’à un système de traitement comportant une tête d’étrognage, de préférence plusieurs têtes d’étrognage, telles que décrites précédemment, pour venir étrogner et séparer en fleurettes lesdits choux transportés par le convoyeur.
La représente une vue en perspective d’un manchon pour tête d’étrognage, selon la présente invention ;
La représente, en vue de face, le manchon illustré à la ,
La représente, en vue de côté, le manchon illustré à la ,
La représente, en perspective, un premier mode de réalisation d’une tête d’étrognage comportant un manchon selon la présente invention, et
La représente, en perspective, un deuxième mode de réalisation d’une tête d’étrognage comportant un manchon selon la présente invention.
Les figures 1, 2 et 3 représentent différentes vues d’un manchon 1 pour tête d’étrognage, selon la présente invention. Le manchon 1 est destiné à équiper une tête d’étrognage de choux à inflorescence, afin d’en récupérer des morceaux, et plus particulièrement les fleurettes. Les choux à inflorescence pouvant ainsi être traités par un tel manchon, peuvent comprendre notamment les choux-fleurs, les choux romanesco ou encore les brocolis, sans toutefois être limités à de tels exemples de choux à inflorescence. A cet effet, le manchon 2, qui vient traiter le chou à inflorescence depuis la face inférieure du chou à inflorescence, c’est-à-dire depuis le côté du chou à inflorescence présentant le pied, est configuré pour, d’une part, carotter le trognon pour en permettre l’élimination, et d’autre part séparer les fleurettes entre elles.
Le manchon 1 comporte un tube 2 plongeur de carottage, et des saillies radiales 4 montées sur le tube 2.
Le tube 2 de carottage est destiné d’une part à effectuer une découpe du trognon du chou à inflorescence afin de le séparer des fleurettes, et d’autre part à venir entourer un moyen de forage de la tête d’étrognage qui vient forer ledit trognon lors de l’insertion du tube 2 de carottage dans le chou à inflorescence.
Le tube 2 de carottage présente donc une extrémité, ou bord, 2a qui est tranchante afin d’en faciliter l’entrée dans le chou à inflorescence. D’autre part, le tube 2 de carottage présente avantageusement une forme cylindrique à base circulaire et de direction axiale A (voir ), afin d’entourer efficacement un moyen de forage rotatif, tel qu’une saillie hélicoïdale montée sur un arbre tournant autour de ladite direction axiale A, tel que cela sera décrit ultérieurement. Le bord 2a est alors un bord circulaire tranchant permettant de réaliser une découpe tubulaire autour du pied et du trognon, pour les séparer des fleurettes, mais sans nécessairement traverser intégralement le chou, de manière à ne pas altérer la ou les fleurettes situées au sommet du chou, c’est-à-dire à l’opposé du pied du chou. Afin de séparer complètement du reste du chou et d’éliminer la portion tubulaire découpée par le tube 2 de carottage, ladite portion tubulaire est découpée et évacuée par le moyen de forage rotatif.
Le tube 2 de carottage présente également une surface latérale externe 2b sur laquelle sont montées les saillies radiales 4. Les saillies radiales 4 sont avantageusement réparties uniformément sur tout le pourtour de la surface latérale externe 2b, de manière à obtenir une séparation des fleurettes uniforme. Par ailleurs, le nombre de saillies radiales 4 présentes dans le manchon peut être supérieur ou égal à 4, de préférence à 6, plus préférentiellement à 8, 10 ou 12. En particulier, le nombre de saillies radiales peut être choisi en fonction du type de chou à inflorescence à traiter, de la taille des choux à inflorescence à traiter et/ou du diamètre du tube 2 de carottage.
Les saillies radiales 4 sont destinées à séparer les fleurettes entre elles. En particulier, et afin de garder des fleurettes avec leur forme originelle et non des flancs plats découpés, les saillies radiales 4 sont configurées pour créer des forces de contrainte dans les fleurettes, afin de faire casser les liaisons les plus fragiles dans un premier temps, à savoir les liaisons entre fleurettes.
Les saillies radiales présentent, de manière classique, un profil général d’aile, avec un bord d’attaque 4a, un bord de fuite 4b et une plaque 4c reliant le bord d’attaque 4a au bord de fuite 4b. Le bord d’attaque 4a est monté de manière à faire face au chou lors de l’étrognage et de manière à être la première partie de la saillie radiale 4 à toucher le chou lors de l’étrognage. La plaque 4c est de préférence plane, et s’étend dans un plan passant par la direction axiale A du tube 2 et comprenant la direction radiale de ladite saillie radiale 4. Dit autrement, la plaque 4c, et donc la saillie radiale 4, s’étend selon la direction de déplacement du manchon 1 dans le chou lors de l’étrognage. La plaque 4c est notamment fixée à la surface latérale externe 2b du tube 2 de carottage, entre le bord d’attaque 4a et le bord de fuite 4b. La plaque 4c permet notamment de conférer à la saillie radiale 4 une tenue mécanique renforcée, en particulier au niveau du bord d’attaque 4a qui subit des forces de repliement dudit bord d’attaque 4a le long de la surface latérale externe 2b lors de l’éclatement du chou en fleurettes, et en particulier lorsque la saillie radiale 4 comporte un renflement tel que décrit ci-dessous, au niveau dudit bord d’attaque 4a.
Chaque saillie radiale 4 comporte ainsi, au niveau de son bord d’attaque 4a par lequel elle vient en contact avec le chou à inflorescence, un renflement 6 destiné à créer, par effet d’encombrement, lesdites contraintes de séparation des fleurettes, tout en limitant les découpes franches et nettes. Le renflement 6 peut par exemple être obtenu avec n’importe quelle forme conduisant à un élargissement de l’épaisseur de la saillie radiale 4, et en particulier conduisant à une saillie radiale 4 dont l’épaisseur augmente depuis le bord d’attaque 4a jusqu’au renflement 6, et notamment jusqu’à l’épaisseur maximale du renflement 6. Le renflement 6 peut être monté au niveau du bord d’attaque 4a de la saillie radiale 4, ou bien à distance, mais néanmoins à proximité, du bord d’attaque 4a de la saillie radiale 4.
Que le renflement 6 soit monté au niveau du bord d’attaque 4a de la saillie radiale 4 ou à distance dudit bord d’attaque 4a, le bord d’attaque 4a peut être convexe, par exemple arrondie, ou bien en forme d’arête présentant un angle supérieur à 40°, de préférence supérieur à 60° et plus préférentiellement supérieur à 80°. Un tel bord d’attaque 4a permet notamment, même si le renflement 6 est situé à distance de lui, de limiter l’effet coupant de la saillie radiale 4, et d’augmenter la création d’une contrainte d’éclatement.
Par exemple, le renflement 6 peut ainsi être formé par un cylindre à base carrée, monté sur la surface latérale externe 2b selon la direction radiale du tube 2 de carottage, et orienté de manière à ce qu’une arête du cylindre à base carrée vienne former le bord d’attaque 4a de la saillie radiale 4.
Le cylindre du renflement 6 peut par exemple comprendre une base carrée de 3mm, de 4mm de côté, de 6mm de côté ou de 8mm de côté. En particulier, la taille du renflement 6 pourra être choisie en fonction de la nature et/ou de la taille des choux à inflorescence à traiter.
La forme et l’orientation du cylindre à base carrée formant le renflement 6 sont choisies pour limiter à la fois les risques d’écrasement, qui seraient obtenus avec une orientation exposant une face du cylindre comme bord d’attaque, et les risques de découpe, qui seraient obtenus avec un renflement trop fin.
A cet effet, et comme illustré sur la , chaque renflement 6 présente une épaisseur E, dans le cas présent une épaisseur maximale E, vue depuis la face du chou à inflorescence traité par le manchon 1, qui est supérieure ou égale à 3mm, préférentiellement à 4mm, préférentiellement à 6mm et plus préférentiellement à 8mm.
Dit autrement, la projection d’une saillie radiale 4 dans un plan P perpendiculaire à la direction axiale A du tube 2 de carottage, présente une épaisseur E qui est supérieure ou égale à 3mm, préférentiellement à 4mm, préférentiellement à 6mm et plus préférentiellement à 8mm. Cette épaisseur E correspond à l’épaisseur du renflement 6 de la saillie radiale 4.
De plus, une telle épaisseur E, qui peut se situer à distance du bord d’attaque 4a de la saillie radiale 4, reste à proximité du bord d’attaque 4a de la saillie radiale 4, par exemple à une distance D inférieure ou égale à 20mm, voire à 14mm, à 7mm ou à 2mm.
Par exemple, dans le cas d’un renflement 6 sous la forme d’un cylindre à base carrée de 6mm de côté, l’épaisseur E obtenue par projection dans le plan P de projection est alors approximativement égale à 8,48mm. Par ailleurs, une telle épaisseur E se trouve à une distance D d’environ 4,24mm du bord d’attaque 4a de la saillie radiale 4. On obtient ainsi une saillie radiale 4 permettant de créer une contrainte d’éclatement du chou à inflorescence, sans pour autant écraser ou découper les fleurettes lors de l’étrognage. Par ailleurs, le bord d’attaque 4a de la saillie radiale 4 est formé par une arête dudit cylindre à base carrée, c’est-à-dire par une arête présentant un angle de 90°. Préférentiellement, l’arête du renflement 6 formant le bord d’attaque 4a de la saillie radiale peut être émoussée, c’est-à-dire arrondie, pour limiter les risques de coupe du chou à inflorescence lors de l’étrognage.
Selon un autre mode de réalisation non-illustré sur les figures, les saillies radiales peuvent, chacune, être uniquement formées par une plaque présentant une épaisseur supérieure ou égale à 3mm, de préférence à 4mm, de préférence à 6mm et plus préférentiellement à 8mm. Le bord d’attaque de la saillie radiale peut également être biseauté. Le bord d’attaque de la saillie radiale peut notamment être formé par un chant biseauté de la plaque, par exemple par un chant biseauté formant une arête avec un angle de 90°. Préférentiellement, l’arête formant le bord d’attaque de la saillie radiale peut être émoussée, c’est-à-dire arrondie, pour limiter les risques de coupe du chou à inflorescence lors de l’étrognage.
La illustre une tête d’étrognage 8 comportant notamment un manchon 1 tel que décrit précédemment, un moyen de forage 10 et un bâti 12 sur lequel sont montés le manchon 1 et le moyen de forage 10. Par exemple, le manchon 1 peut être monté de manière réversible, sur le bâti 12, par des moyens de fixation 13, par exemple des vis ou goujons coopérant avec des trous filetés du bâti 12.
Le moyen de forage 10 est positionné dans le tube 2 de carottage du manchon 1. Le moyen de forage 10 comporte notamment un arbre tournant 14 positionné selon la direction axiale A du tube 2 de carottage, sur lequel est monté un élément de forage, en l’occurrence une saillie hélicoïdale 16 préférentiellement tranchante. Le moyen de forage 10 est destiné à forer et enlever le trognon du chou à inflorescence en même temps que celui-ci est séparé des fleurettes par le bord 2a du tube 2 de carottage.
A cet effet, le moyen de forage 10 comprend ou est relié à un moyen d’entraînement 18, par exemple un moteur ou une poulie destinée à coopérer avec une courroie, monté selon la direction axiale A et permettant de mettre en rotation l’arbre 14 et, par conséquent, la saillie hélicoïdale 16.
De manière classique et connue par l’homme du métier, le bâti 12 peut comprendre un logement 12a communiquant d’une part avec le tube 2 de carottage du manchon 1, et d’autre part avec une ouverture 12b, par exemple inférieure, du bâti 12. Le logement 12a est ainsi positionné entre le manchon 1 et le moyen d’entraînement 18, et est donc traversé par l’arbre tournant 14. Les copeaux de trognon forés par la saillie hélicoïdale 16 sont ainsi acheminés par ladite saillie hélicoïdale 16 vers le logement 12a du bâti 12 afin d’être évacués vers l’ouverture 12b.
Le moyen de forage 10 peut également comprendre, au niveau du logement 12a du bâti 12, des ailettes radiales (non représentées) disposées entre le manchon 1 et le moyen d’entraînement 18. De telles ailettes radiales ont notamment pour but de faciliter l’acheminement des copeaux de trognon depuis la saillie hélicoïdale 16 jusque vers l’ouverture 12b du bâti 12.
Le bâti 12 comprend enfin des moyens de fixation 12c, par exemple une plaque avec perçages, permettant sa fixation, par exemple par vissage ou boulonnage, sur un plateau tournant (non représenté). Le plateau tournant peut notamment faire partie d’une machine agricole, et comprendre plusieurs têtes d’étrognage 8 telles que décrites précédemment.
La illustre un second mode de réalisation d’une tête d’étrognage 8’ comportant un manchon 1 tel que décrit précédemment. Dans ce second mode de réalisation, les éléments identiques à la tête d’étrognage 8 illustrée à la sont désignés par les mêmes références.
La tête d’étrognage 8’ est identique à la tête d’étrognage 8 illustrée à la , à la différence qu’elle comporte également un système de positionnement et de maintien du chou à inflorescence lors de son traitement.
Un tel système, qui est optionnel et qui peut être ajouté ou non sur la tête d’étrognage 8 illustrée à la , comprend en particulier une contre-assiette 20 destinée à venir s’appuyer sur la surface exposée du chou à inflorescence à traiter. Le chou à traiter se retrouve donc maintenu entre la coupelle (non représentée) sur laquelle il est posé et la contre-assiette 20 qui vient s’appuyer sur lui au début et pendant toute la durée du traitement par le manchon 1, c’est-à-dire au début et pendant toute la durée de l’étrognage et de la séparation en fleurettes.
Ainsi, la contre-assiette 20 est montée coulissante sensiblement selon la direction axiale A de manière à rester sensiblement à la même position pendant la translation du manchon 1 dans le chou à inflorescence. La contre-assiette 20 est ainsi reliée au bâti 12 par un ensemble de biellettes 22 et par un moyen de rappel élastique 24, par exemple un ressort, permettant à la contre-assiette 20 d’appliquer une force de maintien sensiblement constante sur le chou à inflorescence traité, pendant l’insertion et le retrait du manchon 1 dans ledit chou.
Ainsi, grâce au manchon selon la présente invention, il devient possible de traiter de manière automatisée et rapide, des choux à inflorescence en y retirant le trognon central, et en séparant les fleurettes entre elles sans les découper. En particulier, le nombre, l’écartement et la forme des saillies radiales, en particulier le renflement des saillies radiales, peuvent être modifiés et adaptés à la taille ou à la nature des choux à traiter, afin d’obtenir les fleurettes voulues. Un tel manchon présente en particulier l’avantage d’être compatible avec les têtes d’étrognage antérieures, permettant donc une mise à niveau simple et rapide des têtes d’étrognage actuelles, afin d’obtenir l’effet bénéfique recherché sur la géométrie des fleurettes.

Claims (10)

  1. Manchon (1) de tête d’étrognage pour la séparation en morceaux, de préférence en fleurettes, de choux à inflorescence, tels que des choux-fleurs, des choux romanesco ou des brocolis, le manchon (1) étant destiné à être positionné autour d’un moyen de forage (10), par exemple un arbre tournant (14), de la tête d’étrognage (8, 8’) et comportant un tube plongeur (2) de carottage pour la tête d’étrognage, caractérisé en ce que le manchon (1) comporte au moins une saillie radiale (4) montée sur une surface latérale externe (2b) dudit tube (2) et s’étendant selon une direction radiale perpendiculaire à la surface latérale externe (2b) dudit tube (2), ladite saillie radiale (4) comportant, selon une coupe transversale à la direction radiale de ladite saillie, un profil avec un bord d’attaque (4a), et ladite saillie radiale (4) présentant, en projection sur un plan (P) transversal à la direction axiale (A) du tube (2), une épaisseur (E), notamment maximale, supérieure ou égale à 3mm, de préférence à 4mm, de préférence à 6mm et plus préférentiellement à 8mm.
  2. Manchon (1) de tête d’étrognage selon la revendication précédente, dans lequel ladite épaisseur (E) supérieure ou égale à 3mm, de préférence à 4mm, de préférence à 6mm et plus préférentiellement à 8mm, est située, selon ladite coupe transversale à la direction radiale de ladite saillie, à une distance inférieure ou égale à 20mm dudit bord d’attaque (4a), de préférence inférieure ou égale à 14mm, de préférence inférieure ou égale à 7mm et plus préférentiellement inférieure ou égale à 2mm.
  3. Manchon (1) de tête d’étrognage selon la revendication 1 ou 2, dans lequel ladite au moins une saillie radiale (4) présente, selon une coupe transversale à la direction radiale de ladite saillie, un renflement (6) au niveau du bord d’attaque (4a), l’épaisseur (E) supérieure ou égale à 3mm, de préférence à 4mm, de préférence à 6mm et plus préférentiellement à 8mm de ladite saillie étant obtenue au niveau dudit renflement (6).
  4. Manchon (1) de tête d’étrognage selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel ladite saillie (4) présente un bord d’attaque (4a) convexe, par exemple arrondie, ou bien un bord d’attaque (4a) en forme d’arête présentant un angle supérieur à 40°, de préférence supérieur à 60° et plus préférentiellement supérieur à 80°.
  5. Manchon (1) de tête d’étrognage selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel ledit bord d’attaque (4a) de ladite saillie radiale (4) est formé par une arête d’un cylindre à base carrée, par exemple un cylindre à base carrée de 3mm, de 4mm de côté, de 6mm de côté ou de 8mm de côté.
  6. Manchon (1) de tête d’étrognage selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel ladite saillie (4) présente une forme générale d’aile s’étendant sensiblement dans un plan comportant la direction axiale (A) du tube et la direction radiale de ladite saillie radiale (4).
  7. Manchon (1) de tête d’étrognage selon les revendications 3 et 6, dans lequel ladite saillie radiale (4) présente un profil avec un bord de fuite (4b) et comprend une plaque (4c) s’étendant entre le renflement (6) présent au niveau du bord d’attaque (4a), et le bord de fuite (4b).
  8. Manchon (1) de tête d’étrognage selon l’une quelconque des revendications précédentes, comportant au moins trois saillies radiales (4) réparties uniformément sur le pourtour de la surface latérale externe (2b) dudit tube (2), de préférence au moins quatre saillies radiales (4), et plus préférentiellement au moins six saillies radiales (4).
  9. Tête d’étrognage (8, 8’) comportant un arbre tournant (14) disposé dans un manchon (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes.
  10. Machine agricole pour le traitement de choux, comprenant au moins une tête d’étrognage (8, 8’) selon la revendication précédente.
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Citations (4)

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EP1462012A1 (fr) 2003-02-25 2004-09-29 Denis Delecroix Dispositif et procédé pour étrogner et éclater des choux
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