FR3138093A1 - Balai d’essuie-glace pour véhicule comprenant deux connecteurs et un dispositif de projection - Google Patents
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Abstract
L’invention concerne un balai d’essuie-glace (1) pour véhicule (2) comprenant : - au moins une lame d’essuyage (10) configurée pour essuyer une surface vitrée (20) dudit véhicule,- un organe de rigidification (11) comprenant un support de vertèbre (12.1) et au moins une vertèbre (12) configuré pour rigidifier ladite lame d’essuyage,- une monture centrale (13) configurée pour être raccordée à un bras d’entraînement (3) du balai d’essuie-glace, - un déflecteur d’air (14) relié au support de vertèbre,- lesdits deux connecteurs (15) solidaires de ladite au moins une vertèbre,caractérisé en ce que le balai d’essuie-glace comprend :- un dispositif de projection (16) configuré pour projeter un fluide de lavage (L) sur ladite surface vitrée et comprenant des orifices de projection (160),- un dispositif de distribution (17) du fluide de lavage configuré pour le distribuer audit dispositif de projection. Figure pour l’abrégé: figure 1
Description
La présente invention se rapporte à un balai d’essuie-glace pour véhicule. Elle trouve une application particulière mais non limitative dans les véhicules automobiles.
Il est connu de l’homme du métier un balai d’essuie-glace pour véhicule comprenant :
- une lame d’essuyage configurée pour essuyer une surface vitrée du véhicule,
- un organe de rigidification comprenant un support de vertèbre et une vertèbre,
- deux connecteurs solidaires de ladite vertèbre,
- une lame d’essuyage configurée pour essuyer une surface vitrée du véhicule,
- un organe de rigidification comprenant un support de vertèbre et une vertèbre,
- deux connecteurs solidaires de ladite vertèbre,
- une monture centrale articulée sur chacun des deux connecteurs et configurée pour être fixée à un bras d’entraînement du balai d’essuie-glace,
- un déflecteur d’air relié au support de vertèbre.
- un déflecteur d’air relié au support de vertèbre.
Le balai d’essuie-glace assure une fonction d’essuyage d’une surface vitrée du véhicule telle qu’un pare-brise. Le déflecteur d’air permet d’améliorer l’effort de plaquage du balai d’essuie-glace sur la surface vitrée du véhicule. D’un autre côté pour laver la surface vitrée avec un fluide de lavage, le véhicule comprend une buse de projection au niveau du capot moteur qui projette le fluide de lavage sur la surface vitrée.
Un inconvénient de cet état de la technique antérieur est que lorsque la courbure de la surface vitrée à nettoyer est très galbée ou lorsque la surface vitrée est panoramique comme dans le cas d’un véhicule tel qu’un camion ou un bus, le lavage de ce type de surface vitrée n’est pas efficace.
Dans ce contexte, la présente invention vise à proposer un balai d’essuie-glace pour véhicule qui permet de résoudre l’inconvénient mentionné.
A cet effet, l’invention propose un balai d’essuie-glace pour véhicule, ledit balai d’essuie-glace comprenant :
- au moins une lame d’essuyage configurée pour essuyer une surface vitrée du véhicule,
- un organe de rigidification comprenant un support de vertèbre et au moins une vertèbre configuré pour rigidifier ladite au moins une lame d’essuyage,
- au moins deux connecteurs solidaires de ladite au moins une vertèbre,
- au moins une lame d’essuyage configurée pour essuyer une surface vitrée du véhicule,
- un organe de rigidification comprenant un support de vertèbre et au moins une vertèbre configuré pour rigidifier ladite au moins une lame d’essuyage,
- au moins deux connecteurs solidaires de ladite au moins une vertèbre,
- une monture centrale articulée sur chacun des deux connecteurs, la monture centrale étant configurée pour être raccordée à un bras d’entraînement du balai d’essuie-glace,
- un déflecteur d’air relié au support de vertèbre,
caractérisé en ce que le balai d’essuie-glace comprend en outre :
- un dispositif de projection configuré pour projeter un fluide de lavage sur ladite surface vitrée, ledit dispositif de projection comprenant des orifices de projection,
- un dispositif de distribution du fluide de lavage configuré pour distribuer ledit fluide de lavage audit dispositif de projection.
- un déflecteur d’air relié au support de vertèbre,
caractérisé en ce que le balai d’essuie-glace comprend en outre :
- un dispositif de projection configuré pour projeter un fluide de lavage sur ladite surface vitrée, ledit dispositif de projection comprenant des orifices de projection,
- un dispositif de distribution du fluide de lavage configuré pour distribuer ledit fluide de lavage audit dispositif de projection.
Ainsi, comme on le verra en détail par la suite, le fait d’utiliser deux connecteurs avec une monture centrale en combinaison avec un dispositif de projection intégré permet de mieux répartir l’effort de pression localement sur la surface vitrée et de mieux répartir le liquide de lavage sur la surface vitrée et par conséquent de mieux essuyer et laver toute la surface vitrée.
Selon des modes de réalisation non limitatifs, ledit balai d’essuie-glace peut comporter en outre une ou plusieurs caractéristiques supplémentaires prises seules ou selon toutes les combinaisons techniquement possibles, parmi les suivantes.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit dispositif de projection comprend au moins une rampe hydraulique.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ladite au moins une rampe hydraulique comprend des orifices de projection sur au moins une de ses portions.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit dispositif de distribution comprend un tuyau d’alimentation connecté à au moins un des deux connecteurs et le déflecteur d’air comprend le dispositif de projection.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit tuyau d’alimentation est connecté aux deux connecteurs via respectivement deux tuyaux d’amenée du fluide de lavage.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit tuyau d’alimentation est connecté directement à un unique connecteur.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit au moins un connecteur comprend au moins un canal hydraulique pour alimenter au moins une portion dudit dispositif de projection en fluide de lavage.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ladite au moins rampe hydraulique du dispositif de projection comprend des orifices de projection sur deux de ses portions.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit dispositif de distribution comprend un tuyau d’alimentation connecté à ladite monture centrale.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit déflecteur d’air comprend le dispositif de projection et ledit dispositif de distribution comprend en outre un tuyau d’amenée connecté à ladite monture centrale et à au moins un des deux connecteurs.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ladite monture centrale comprend tout ou partie du dispositif de projection.
Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit déflecteur d’air comprend une partie du dispositif de projection, et ledit dispositif de projection comprend au moins une rampe hydraulique primaire faisant partie de la monture centrale, et au moins une rampe hydraulique secondaire faisant partie du déflecteur d’air, et ledit dispositif de distribution comprend en outre un tuyau d’amenée connecté à ladite monture centrale et à au moins un des deux connecteurs.
Selon un mode de réalisation non limitatif, au moins un deux connecteurs comprend un canal hydraulique pour alimenter ladite au moins une rampe hydraulique secondaire en fluide de lavage.
Selon un mode de réalisation non limitatif, la monture centrale comprend une surface déflectrice d’air.
Selon un mode de réalisation non limitatif, l’organe de rigidification comprend au moins deux vertèbres.
Selon un mode de réalisation non limitatif, les deux vertèbres ont des longueurs différentes.
Selon un mode de réalisation non limitatif, les deux vertèbres un rayon de courbure différent.
Selon un mode de réalisation non limitatif, chaque connecteur est positionné sensiblement au centre de chaque vertèbre.
Selon un mode de réalisation non limitatif, chaque connecteur est solidaire d’une vertèbre.
Selon un mode de réalisation non limitatif, les deux tuyaux d’amenée sont raccordés au tuyau d’alimentation via un raccord hydraulique.
Selon un mode de réalisation non limitatif, un des deux connecteurs est dépourvu d’entrée de fluide de lavage.
Selon un mode de réalisation non limitatif, un des deux connecteurs comprend en outre une canule configurée pour être bouchée avec un bouchon.
Selon un mode de réalisation non limitatif, la rampe hydraulique primaire et la rampe hydraulique secondaire s’étendent du même côté du balai d’essuie-glace.
Selon un mode de réalisation non limitatif, le dispositif de projection comprend deux rampes hydrauliques primaires et deux rampes hydrauliques secondaires.
Selon un mode de réalisation non limitatif, les deux rampes hydrauliques primaires s’étendent chacune le long de chaque côté de la monture centrale.
Selon un mode de réalisation non limitatif, les deux rampes hydrauliques secondaires s’étendent chacune le long de chaque côté du déflecteur d’air.
Selon un mode de réalisation non limitatif, les deux rampes hydrauliques primaires et secondaires sont activées alternativement en fonction du mouvement du balai d’essuie-glace.
Selon un mode de réalisation non limitatif, le dispositif de projection comprend deux rampes hydrauliques faisant partie du déflecteur d’air.
Selon un mode de réalisation non limitatif, les deux rampes hydrauliques s’étendent chacune le long de chaque côté du déflecteur d’air.
Selon un mode de réalisation non limitatif, les deux rampes hydrauliques sont activées alternativement en fonction du mouvement du balai d’essuie-glace.
Selon un mode de réalisation non limitatif, le déflecteur d’air est composé d’au moins trois parties.
Selon un mode de réalisation non limitatif, le déflecteur d’air comprend une partie inférieure, une partie centrale, et une partie supérieure.
Selon un mode de réalisation non limitatif, la partie inférieure s’étend de l’extrémité inférieure du balai d’essuie-glace jusqu’à un premier connecteur, la partie centrale se situe entre les deux connecteurs, et la partie supérieure s’étend du deuxième connecteur jusqu’à l’extrémité supérieure du balai d’essuie-glace.
L’invention et ses différentes applications seront mieux comprises à la lecture de la description qui suit et à l’examen des figures qui l’accompagnent :
Les éléments identiques, par structure ou par fonction, apparaissant sur différentes figures conservent, sauf précision contraire, les mêmes références.
Le balai d’essuie-glace 1 pour véhicule 2 selon l’invention est décrit en référence aux figures 1 à 34 selon des modes de réalisation non limitatifs. Dans un mode de réalisation non limitatif, le véhicule 2 est un véhicule automobile. Par véhicule automobile, on entend tout type de véhicule motorisé. Ce mode de réalisation est pris comme exemple non limitatif dans la suite de la description. Dans la suite de la description, le véhicule 2 est ainsi autrement appelé véhicule automobile 2.
Dans la description qui suit, les dénominations longitudinales ou latérales se réfèrent au balai d’essuie-glace 1. La direction longitudinale correspond à l’axe principal du balai d’essuie-glace dans lequel il s’étend, alors que les orientations latérales correspondent à des droites concourantes, c’est-à-dire qui croisent la direction longitudinale, notamment perpendiculairement à l’axe longitudinal du balai d’essuie-glace 1 dans son plan de rotation.
Le véhicule automobile 2 comprend une surface vitrée 20 qu’il faut essuyer et laver. Dans un mode de réalisation non limitatif, la surface vitrée 20 est le pare-brise du véhicule automobile 2.
La montre une vue éclatée d’un balai d’essuie-glace 1. Le balai d’essuie-glace 1 est un balai d’essuie-glace plat, autrement appelé « flat blade » en anglais.
Le balai d’essuie-glace 1 comprend :
- au moins une lame d’essuyage 10,
- un organe de rigidification 11 comprenant un support de vertèbre 12.1 et au moins une vertèbre 12,
- deux connecteurs 15 solidaires de ladite au moins une vertèbre 12,
- au moins une lame d’essuyage 10,
- un organe de rigidification 11 comprenant un support de vertèbre 12.1 et au moins une vertèbre 12,
- deux connecteurs 15 solidaires de ladite au moins une vertèbre 12,
- une monture centrale 13 articulée sur chacun des deux connecteurs 15,
- un déflecteur d’air 14 relié au support de vertèbre 12.1,
- un dispositif de projection 16, et
- un dispositif de distribution 17 d’un fluide de lavage L.
- un déflecteur d’air 14 relié au support de vertèbre 12.1,
- un dispositif de projection 16, et
- un dispositif de distribution 17 d’un fluide de lavage L.
Tel qu’illustré sur la , le balai d’essuie-glace 1 est délimité par une extrémité inférieure 1.1, autrement appelée extrémité basse 1.1, et par une extrémité supérieure 1.2, autrement appelée extrémité haute 1.2. Ces deux extrémités forment les extrémités de la lame d’essuyage 10. Les extrémités 1.1 et 1.2 sont des embouts qui permettent de solidariser les pièces 14 et 12 ensemble et d’obturer deux extrémités d’une rampe hydraulique 16a (décrite plus loin) du dispositif de projection 16.
La lame d’essuyage 10 est configurée pour essuyer la surface vitrée 20 du véhicule automobile 2. Elle est en général en élastomère et est maintenue sur toute sa longueur. Le balai d’essuie-glace 1 est généralement fixé à un bras d’entraînement 3 illustré sur la qui est entraîné par un moteur dans un mouvement de va et vient angulaire. La lame d’essuyage 10 est alors configurée pour essuyer la surface vitrée 20 en la raclant lors de ces mouvements de va-et-vient angulaires, ce qui permet d’évacuer dans le même temps un fluide de lavage L en l’amenant en dehors du champ de vision du conducteur du véhicule automobile 2.
L’organe de rigidification 11 avec le support de vertèbre 12.1 et ladite au moins une vertèbre 12 permettent de rigidifier la lame d’essuyage 10 de manière à favoriser l’application de la lame d’essuyage 10 sur la surface vitrée 20. L’organe de rigidification 11 assure une répartition de l’effort d’appui sur le bras d’entraînement 3 le long de la lame d’essuyage 10. Il permet ainsi de transférer la pression du bras d’entraînement 3 en la distribuant sur la longueur du balai d‘essuie-glace 1. Ladite au moins une vertèbre 12 est une vertèbre longitudinale. Elle comprend un rayon de courbure. Elle n’est donc pas plate. De plus, la vertèbre 12 est cintrée et son cintrage permet de donner une forme courbe à la lame d’essuyage 10 tout en la maintenant plaquée contre la surface vitrée 10. Autrement dit, c’est la vertèbre 12 qui génère la courbure de la lame d’essuyage 10. L’organe de rigidification 11 garantit ainsi que la lame d’essuyage 10 suive le galbe courbé de la surface vitrée 20 telle que le pare-brise du véhicule automobile 2 dans l’exemple non limitatif pris. Dans un mode de réalisation non limitatif, la vertèbre 12 est métallique. Cela permet de rigidifier et de courber la lame d’essuyage 10. Le support de vertèbre 12.1 est configuré pour supporter ladite au moins une vertèbre 12 et la lame d’essuyage 10.
Dans un mode de réalisation non limitatif, l’organe de rigidification 11 comprend deux vertèbres 12. Le support de vertèbre 12.1 est ainsi configuré pour supporter les deux vertèbres 12. Elles sont mises bout à bout par leur extrémité longitudinale. Dans un mode de réalisation non limitatif, les deux vertèbres 12 présentent un rayon de courbure différent d’une vertèbre 12 à l’autre, permettant d’appliquer un effort différent le long de la lame d’essuyage 10. Dans une variante de réalisation non limitative, une première vertèbre 12, dite vertèbre inférieure 12, est plus plate que la deuxième vertèbre 12, dite vertèbre supérieure 12, qui elle est plus courbée. La vertèbre inférieure 12 est celle qui est la plus proche du bras d’entraînement 3. Dans un mode de réalisation non limitatif, les deux vertèbres 12 possèdent des longueurs différentes. Dans une variante de réalisation non limitative, la vertèbre inférieure 12 est plus longue que la vertèbre supérieure 12 qui elle est plus courte. Dans un mode de réalisation non limitatif, les deux vertèbres 12 sont alignées dans le support de vertèbre 12.1.
La monture centrale 13 est configurée pour être fixée sur le bras d’entraînement 3. La monture centrale 13 se raccorde via un pivot central (non illustré) à une partie terminale 30 (illustré sur la ) du bras d’entraînement 3. Dans un mode de réalisation non limitatif, le bras d’entraînement 3 comprend la partie terminale 30 qui est sertie sur une tige 31 reliée à un carter 32. La partie terminale 30 sert ainsi de connexion entre la tige 31 et la monture centrale 13. Dans un exemple de réalisation non limitatif, le pivot central est configuré pour réaliser une rotation entre le balai d’essuie-glace 1 et le bras d’entraînement de plus ou moins 15°. Dans un autre mode de réalisation non limitatif, le bras d’entraînement 3 comprend une partie terminale 30 qui est monobloc avec le carter 32. Il n’y a pas de tige 31 dans ce cas.
Dans un mode de réalisation non limitatif, la monture centrale 13 est articulée sur chacun des connecteurs 15 via une liaison pivot. La liaison pivot s’étend perpendiculairement à l’axe longitudinal du balai d’essuie-glace 1. Dans un exemple non limitatif, la liaison pivot est réalisée par la coopération entre un axe 151 (illustré sur la ou la par exemple) s’étendant latéralement en saillie de part et d’autre du connecteur 15 et une ouverture 131 (illustrée sur la par exemple) de la monture centrale 13 configurée pour recevoir ledit axe 151. La liaison pivot permet la rotation de la monture centrale 13 par rapport au connecteur 15 dans un plan perpendiculaire au plan de rotation du balai d’essuie-glace 1. Le fait d’avoir deux connecteurs 15 permet de mieux distribuer l’effort de pression localement sur les vertèbres 12.
Dans un mode de réalisation non limitatif, la monture centrale 13 comprend une surface déflectrice d’air 130. Cette surface déflectrice d’air 130 permet de transformer les efforts aérodynamiques créés sur le balai d’essuie-glace 1 en un effort de déportance qui va plaquer ledit balai d’essuie-glace 1 sur la surface vitrée 20 et assurer une bonne efficacité d’essuyage et lavage à haute vitesse. La monture centrale 13 est en outre configurée pour maintenir les deux connecteurs 15.
Le déflecteur d’air 14 est un déflecteur aérodynamique qui utilise le vent relatif du véhicule automobile 2 pour augmenter la force de contact de la lame d’essuyage 10 sur la surface vitrée 20 à essuyer. Tel qu’illustré sur la , dans un mode de réalisation non limitatif, le déflecteur d’air 14 est composé d’au moins trois parties. Ainsi, il comprend une partie inférieure 14.1 autrement appelée partie basse 14.1, une partie centrale 14.2, et une partie supérieure 14.3 autrement appelée partie haute 14.3. La partie inférieure 14.1 s’étend de l’extrémité inférieure 1.1 du balai d’essuie-glace 1 jusqu’à un premier connecteur 15. La partie centrale 14.2 se situe entre les deux connecteurs 15. La partie supérieure 14.3 s’étend du deuxième connecteur 15 jusqu’à l’extrémité supérieure 1.2 du balai d’essuie-glace 1. La coupe de la illustre une partie des éléments du balai d’essuie-glace 1 selon un mode de réalisation non limitatif. On peut voir la forme du déflecteur d’air 14, une vertèbre 12 qui permet d’appliquer une force sur la lame d’essuyage 10 et un support de vertèbre 12.1. Le déflecteur d’air 14 est relié au support de vertèbre 12.1 pour le maintien mécanique et aux canaux hydrauliques 15.1 (décrits plus loin) pour la fonction hydraulique de distribution du fluide de lavage L. Plus particulièrement, le déflecteur d’air est fixé sur une partie supérieure du support de vertèbre 12.1 de façon à encapsuler la vertèbre 12.
Les connecteurs 15 sont distants l’un de l’autre et la monture centrale 13 est articulée sur chacun des connecteurs 15. Un connecteur 15 est associé à une vertèbre 12. Chaque connecteur 15 est solidaire d’une vertèbre 12. Chaque connecteur 15 est positionné sensiblement au centre de chaque vertèbre 12. Ainsi, la force de pression exercée par le bras d’entraînement 3 relié à la monture centrale 13 est répartie sur les deux connecteurs 15, ce qui permet de répartir la force de pression uniformément le long de la lame d’essuyage 10 par l’intermédiaire de l’organe de rigidification 11. La force de pression exercée est un effort perpendiculaire au plan du balai d’essuie-glace 1. En effet, du fait de la courbure de la lame d’essuyage 10, et du fait que la monture centrale 13 soit articulée sur au moins deux connecteurs 12 distants l’un de l’autre, la force de pression exercée sur la monture centrale 13 par le bras d’entraînement 3 est divisée par deux. Les deux connecteurs 15 transmettent alors chacun la moitié de la force de pression exercée par le bras d’entraînement 3 à la lame d’essuyage 10, notamment par l’intermédiaire de l’organe de rigidification 11 et de chaque vertèbre 12. A noter que chaque connecteur 15 est disposé longitudinalement au centre ou sensiblement au centre de la vertèbre 12 sur laquelle il est fixé. La moitié de la force de pression est donc transmise au centre, longitudinalement, de chacune des vertèbres 12 de l’organe de rigidification 11. Ainsi, la force de pression du bras d’entraînement 3 est répartie uniformément le long de la lame d’essuyage 10 via les connecteurs 15 et l’organe de rigidification 11. Notamment, la force de pression est appliquée sur les vertèbres 12 de sorte qu’elles transmettent un effort constant sur la surface vitrée 20 du véhicule automobile 2.
Comme les vertèbres 12 ont une courbure, quand elles sont posées sur la surface vitrée 20, elles sont en contraintes sur la surface vitrée 20. Par réaction, il existe une distribution de pression homogène du fait que l’effort est appliqué en chaque centre de chaque vertèbre 12 grâce aux deux connecteurs 15. Les deux connecteurs 15 permettent d’avoir deux points de liaison sur la lame d’essuyage 10 et l’organe de rigidification 11 ce qui évite d’avoir un jeu latéral aux extrémités de la lame d’essuyage 10 appelé gaudillage qui apparaît lorsqu’il n’y a qu’un seul connecteur 15 et donc un seul point de liaison. Avec uniquement un seul point de liaison, il y a trop d’effort appliqué sur ce point de liaison ce qui créé le gaudillage. Le gaudillage qui est un mouvement latéral qui créé des vibrations sur la surface vitrée 20 et par conséquent du bruit. Ainsi, grâce aux deux connecteurs 15, on évite ces vibrations et par conséquent on supprime le bruit. On notera que ce mouvement latéral est d’autant plus important que la lame d’essuyage 10 est longue, notamment lorsqu’elle est de longueur égale à 1m dans un exemple non limitatif.
On notera par ailleurs, que les deux connecteurs 15 permettent d’avoir un suivi de courbure de la surface vitrée 20 plus efficace qu’avec un unique connecteur 15. A cet effet, ils sont reliés entre eux via des pivots secondaires (non illustrés). Les pivots secondaires permettent un débattement angulaire compris entre plus ou moins 5 degrés par rapport au plan longitudinal du balai d’essuie-glace 1. Cela permet un contact suffisant entre la lame d’essuyage 10 et la surface vitrée 20. Cela permet d’avoir un nettoyage plus efficace, notamment en cas d’une surface vitrée 20 panoramique. En effet, dans ce cas, l’extrémité du balai d’essuie-glace 1 suit l’extrémité de la surface vitrée 20. Ainsi, grâce aux deux connecteurs 15, le nettoyage est plus efficace, et il n’y a pas de risque de perturbation de la vision du conducteur.
Grâce aux deux connecteurs 15 et aux vertèbres 12, on va appuyer sur toute la longueur du balai d’essuie-glace 1. On améliore la répartition de l’effort sur les deux vertèbres 12. La qualité d’essuyage est préservée par rapport à un balai d’essuie-glace 1 qui ne comprend qu’une seule vertèbre 12 et qu’un seul connecteur 15.
Le dispositif de projection 16 est configuré pour projeter du fluide de lavage L sur la surface vitrée 20. Il comprend des orifices de projection 160. Dans un mode de réalisation non limitatif, le dispositif de projection 16 comprend au moins une rampe hydraulique 16a, autrement appelée rampe de projection 16a. Dans un mode de réalisation non limitatif, ladite au moins une rampe hydraulique 16a comprend des orifices de projection 160 sur au moins une portion configurés pour permettre la projection du fluide de lavage L.
Dans un mode de réalisation non limitatif, la rampe hydraulique 16a est de forme sensiblement cylindrique. Dans un mode de réalisation non limitatif, Le dispositif de projection 16 ne comprend qu’une seule rampe hydraulique 16a qui s’étend le long d’un côté du balai d’essuie-glace 1. Il est donc mono-rampe. Dans un autre mode de réalisation non limitatif, le dispositif de projection 16 comprend deux rampes hydrauliques 16a qui s’étendent le long de chaque côté du balai d’essuie-glace 1. Il est donc bi-rampes. L’action conjuguée de la projection du fluide de lavage L et du mouvement de balayage de la lame d’essuyage 10 permet d’éliminer certaines particules pouvant se fixer sur la surface vitrée 20, comme les projections de boue, des poussières, ou les résidus d’insectes écrasés dans des exemples non limitatifs.
Le dispositif de distribution 17 du fluide de lavage L est configuré pour distribuer ledit fluide de lavage L au dispositif de projection 16. Le dispositif de distribution 17 comprend un tuyau d’alimentation 170. Ce dernier est relié au bras d’entraînement 3 et relie le balai d’essuie-glace 1 à une pompe (non illustrée) connectée à un réservoir (non illustré) de fluide de lavage L situé généralement sous le capot moteur du véhicule automobile 2. Ainsi, le tuyau d’alimentation 170 alimente le dispositif de projection 16 en fluide de lavage L.
Différents mode de réalisation du balai d’essuie-glace 1 sont décrits ci-après.
Selon un premier mode de réalisation non limitatif illustré sur les figures 3 et 10, le déflecteur d’air 14 assure la fonction d’arrosage. On notera que dans ce premier mode de réalisation non limitatif, la monture centrale 13 n’assure pas la fonction d’arrosage. Elle n’intervient pas pour projeter du fluide de lavage L sur la surface vitrée 20. Ainsi, elle est dépourvue d’orifices de projection 160.
A cet effet, selon ce premier mode de réalisation non limitatif illustré sur les figures 3 et 10, le dispositif de distribution 17 comprend le tuyau d’alimentation 170 qui est connecté à au moins un des deux connecteurs 15 et le déflecteur d’air 14 comprend le dispositif de projection 16. Ainsi, le déflecteur d’air 14 comprend ladite au moins une rampe hydraulique 16a du dispositif de projection 16 et le tuyau d’alimentation 170 est connecté à ladite au moins une rampe hydraulique 16a du déflecteur d’air 14 par l’intermédiaire d’au moins un des deux connecteurs 15.
Le tuyau d’alimentation 170 est connecté à au moins un connecteur 15 indirectement ou directement. Ainsi, ledit au moins un connecteur 15 est configuré pour amener le fluide de lavage L sur ladite au moins une rampe hydraulique 16a du dispositif de projection 16.
Le mode de réalisation d’une seule rampe hydraulique 16a dans le dispositif de projection 16 est pris comme exemple non limitatif ci-après.
Selon une première variante de réalisation non limitative illustré sur la , le tuyau d’alimentation 170 est connecté aux deux connecteurs 15 via respectivement deux tuyaux d’amenée 18 du fluide de lavage L. Ces tuyaux d’amenée 18 sont ainsi connectés respectivement chacun audit tuyau d’alimentation 170 et à chaque connecteur 15. Autrement dit, le balai d’essuie-glace 1 comprend deux tuyaux d’amenée 18 du fluide de lavage L connectés respectivement chacun audit tuyau d’alimentation 170 et à chaque connecteur 15. Dans ce cas, chaque connecteur 15 amène le fluide de lavage L en direct sur le déflecteur d’air 14, notamment dans la rampe hydraulique 16a. Comme on peut le voir sur la , les deux tuyaux d’amenée 18 sont raccordés au tuyau d’alimentation 170 via un raccord hydraulique 18.1. Le raccord hydraulique 18.1 comprend ainsi une entrée et deux sorties.
Tel qu’illustré sur les figures 5 et 6, chaque connecteur 15 est connecté à un tuyau d’amenée 18. La illustre un premier connecteur 15 autrement appelé connecteur inférieur 15 ou connecteur bas 15 et la illustre un deuxième connecteur 15 autrement appelé connecteur supérieur 15 ou connecteur haut 15. Le connecteur inférieur 15 est connecté à un tuyau d’amenée 18 autrement appelé tuyau d’amenée inférieur 18. Le connecteur supérieur 15 est connecté à un tuyau d’amenée 18 autrement appelé tuyau d’amenée supérieur 18.
Tel qu’illustré sur les figures 5 et 6, chaque connecteur 15 comprend un canal hydraulique 15.1 pour alimenter chacun au moins une portion de ladite au moins une rampe hydraulique 16a en fluide de lavage L. Dans un mode de réalisation non limitatif, le connecteur inférieur 15 comprend deux canaux hydraulique 15.1 dont :
- un autre canal hydraulique 15.1 connecté à la portion inférieure 16a.1 de la rampe hydraulique 16a configuré pour amener le fluide de lavage L dans ladite portion inférieure 16a.1,
- un canal hydraulique 15.1 connecté à la portion centrale 16a.2 de la rampe hydraulique 16a et configuré pour amener le fluide de lavage L dans cette portion centrale 16a.2.
- un autre canal hydraulique 15.1 connecté à la portion inférieure 16a.1 de la rampe hydraulique 16a configuré pour amener le fluide de lavage L dans ladite portion inférieure 16a.1,
- un canal hydraulique 15.1 connecté à la portion centrale 16a.2 de la rampe hydraulique 16a et configuré pour amener le fluide de lavage L dans cette portion centrale 16a.2.
Dans un mode de réalisation non limitatif, le connecteur supérieur 15 comprend deux canaux hydrauliques 15.1 dont :
- un canal hydraulique 15.1 configuré pour amener le fluide de lavage L dans la portion supérieure 16a.3 de la rampe hydraulique 16a,
- un autre canal hydraulique 15.1 connecté à la portion centrale 16a.2 de la rampe hydraulique 16a configuré pour amener le fluide de lavage L dans cette portion centrale 16a.2.
- un canal hydraulique 15.1 configuré pour amener le fluide de lavage L dans la portion supérieure 16a.3 de la rampe hydraulique 16a,
- un autre canal hydraulique 15.1 connecté à la portion centrale 16a.2 de la rampe hydraulique 16a configuré pour amener le fluide de lavage L dans cette portion centrale 16a.2.
Tel qu’illustré sur la , le connecteur inférieur 15 comprend en outre une canule 15.2 configurée pour être connectée au tuyau d’amenée inférieur 18. Tel qu’illustré sur la , le connecteur supérieur 15 comprend en outre une canule 15.2 configurée pour être connectée au tuyau d’amenée supérieur 18.
Dans un mode de réalisation non limitatif, la rampe hydraulique 16a comprend des orifices de projection 160 sur deux de ses portions. La rampe hydraulique 16a comprend une portion inférieure 16a.1, autrement appelée portion basse 16a.1 (illustrée sur la ), une portion centrale 16a.2 (illustrée sur la ) et une portion supérieure 16a.3, autrement appelée portion haute 16a.3 (illustrée sur la ).
Dans un mode de réalisation non limitatif, la portion inférieure 16a.1 et la portion supérieure 16a.3 comprennent des orifices de projection 160. Pour des raisons de concision seuls quelques orifices de projection 160 ont été référencés sur les figures 7 et 8. Dans un mode de réalisation non limitatif, la portion centrale 16a.2 est dépourvue d’orifices de projection 160.
Le connecteur inférieur 15 est configuré pour amener le fluide de lavage L notamment sur la portion inférieure 16a.1 de la rampe hydraulique 16a. Le connecteur supérieur 15 est configuré pour amener le fluide de lavage L notamment sur la portion supérieure 16a.3 de la rampe hydraulique 16a. On notera que bien que les deux connecteurs 15 amènent du fluide de lavage L dans la portion centrale 16a.2 de la rampe hydraulique 16a, cette portion centrale 16a.2 n’est pas utilisée pour la fonction de projection puisqu’elle ne comprend pas d’orifices de projection 160. Bien entendu, dans un autre mode de réalisation non limitatif, chaque connecteur 15 peut intégrer qu’un unique canal hydraulique 15.1 pour alimenter uniquement une portion de la rampe hydraulique 16a qui assure la fonction de projection, à savoir une portion qui possède des orifices de projection 160.
Ainsi, selon cette première variante de réalisation non limitative, la distribution du fluide de lavage L se fait en deux points par l’intermédiaire des deux connecteurs 15. Cette première variante de réalisation non limitative permet une bonne distribution et répartition du fluide de lavage L dans le balai d’essuie-glace 1.
Selon une deuxième variante de réalisation non limitative illustrée sur la , le tuyau d’alimentation 170 est connecté directement à un unique connecteur 15. Autrement dit, le balai d’essuie-glace 1 ne comprend pas de tuyaux d’amenée 18 intermédiaire du fluide de lavage L. Dans ce cas, un seul connecteur 15 distribue le fluide de lavage L en direct sur le déflecteur d’air 14, à savoir sur sa rampe hydraulique 16a. Comme on peut le voir dans l’exemple non limitatif de la , le tuyau d’alimentation 170 est connecté directement sur un premier connecteur 15, ici le connecteur inférieur 15.
Comme pour la première variante de réalisation non limitative, dans un mode de réalisation non limitatif, la rampe hydraulique 16a comprend des orifices de projection 160 sur deux de ses portions, à savoir la portion inférieure 16.1 et la portion supérieure 16.3.
Ledit unique connecteur 15, ici le connecteur inférieur 15, comprend un canal hydraulique 15.1 pour alimenter au moins une portion 16.1 de ladite au moins une rampe hydraulique 16a en fluide de lavage L.
Tel qu’illustré sur la , le connecteur inférieur 15 est alors configuré pour amener le fluide de lavage L dans la portion inférieure 16a.1, dans la portion centrale 16a.2 et également dans la portion supérieure 16a.3 de la rampe hydraulique 16a. Ainsi, le connecteur inférieur 15 comprend deux canaux hydrauliques 15.1 dont :
- un canal hydraulique 15.1 connecté à la portion inférieure 16.1 de la rampe hydraulique 16a configuré pour amener le fluide de lavage L dans cette portion inférieure 16a.1,
- un autre canal hydraulique 15.1 connecté à la portion centrale 16a.2 de la rampe hydraulique 16a configuré pour alimenter la portion centrale 16.2 et la portion supérieure 16a.3 de la rampe hydraulique 16a en fluide de lavage L.
- un canal hydraulique 15.1 connecté à la portion inférieure 16.1 de la rampe hydraulique 16a configuré pour amener le fluide de lavage L dans cette portion inférieure 16a.1,
- un autre canal hydraulique 15.1 connecté à la portion centrale 16a.2 de la rampe hydraulique 16a configuré pour alimenter la portion centrale 16.2 et la portion supérieure 16a.3 de la rampe hydraulique 16a en fluide de lavage L.
On notera que dans ce cas, il faut une pompe (non illustrée) suffisamment puissante pour amener le fluide de lavage L dans la portion supérieure 16a.3, ladite pompe étant située sous le capot moteur du véhicule automobile 2 et connectée au réservoir.
Dans un mode de réalisation non limitatif, le connecteur inférieur 15 comprend en outre une canule 15.2 configurée pour être connectée cette fois-ci directement au tuyau d’alimentation 170.
La illustre un deuxième connecteur 15 dit connecteur supérieur. Le connecteur supérieur 15 comprend deux canaux hydrauliques 15.1 qui sont connectés respectivement à la portion centrale 16a.2 et à la portion supérieure 16a.3 de la rampe hydraulique 16a. Les deux canaux hydrauliques 15.1 sont configurés pour faire passer le fluide de lavage L qui a été amené dans la portion centrale 16a.2 par le connecteur inférieur 15 de la portion centrale 16a.2 à la portion supérieure 16a.3 de la rampe hydraulique 16a. Le fluide de lavage L passe ainsi d’une portion à une autre portion de la rampe hydraulique 16a via les canaux hydrauliques 15.1. Notamment, le fluide de lavage L passe de la portion centrale 16a.2 vers la portion supérieure 16a.3 via les deux canaux hydrauliques 15.1 du connecteur supérieur 15.
Dans un mode de réalisation non limitatif, le connecteur supérieur 15 est dépourvu d’entrée de fluide de lavage L. A cet effet, dans une variante de réalisation non limitative, le connecteur supérieur 15 comprend en outre une canule 15.2 configurée pour être bouchée avec un bouchon 15.4. Cela évite que le fluide de lavage L ne ressorte à l’extérieur et cela permet d’utiliser une même pièce standard pour le connecteur inférieur 15 et le connecteur supérieur 15.
Ainsi, selon cette deuxième variante de réalisation non limitative, la distribution du fluide de lavage L se fait en un seul point par l’intermédiaire d’un des deux connecteurs 15, ici le connecteur inférieur 15. Bien entendu, dans un autre mode de réalisation non limitatif, cela peut être le connecteur supérieur 15 qui amène le fluide de lavage L sur la portion inférieure 16.1, sur la portion centrale 16.2 et sur la portion supérieure 16.3 de la rampe hydraulique 16a. Dans ce cas, le tuyau d’alimentation 170 est connecté directement sur ce connecteur supérieur 15.
Selon un deuxième mode de réalisation non limitatif, la monture centrale 13 assure tout ou partie de la fonction de projection de fluide de lavage L sur la surface vitrée 20. A cet effet, selon ce deuxième mode de réalisation non limitatif illustré sur les figures 13 à 28, le dispositif de distribution 17 comprend un tuyau d’alimentation 170 connecté à ladite monture centrale 13 et la monture centrale 13 comprend tout ou partie du dispositif de projection 16. Tel qu’illustré sur la vue de dessous de la et sur la vue zoomée de la , ainsi que sur la vue zoomée de la et sur la , le tuyau d’alimentation 170 est connecté via une canule 13.1 à la monture centrale 13.
Selon une première variante de réalisation non limitative illustrée sur les figures 13 à 17, la monture centrale 13 assure toute la fonction de projection. A cet effet, la monture centrale 13 comprend tout le dispositif de projection 160. Ainsi, tel qu’illustré sur la et 17 la monture centrale 13 comprend au moins une rampe hydraulique 16a qui comprend les orifices de projection 16. Pour des raisons de concision, seuls quelques orifices de projection 160 ont été référencés sur les figures 16 et 17. Tel qu’illustré sur la , dans un mode de réalisation non limitatif, ladite au moins une rampe hydraulique 16a comprend des orifices de projection 160 sur toute sa longueur. Cela permet de projeter du fluide de lavage L via toutes les portions 16.1, 16.2 et 16.3 de la rampe hydraulique 16a sur toute sa longueur.
Tel qu’illustré sur les figures 18 et 19, le déflecteur d’air 14 ne comprend aucun orifice de projection 160 que ce soit dans sa partie inférieure 14.1 (illustrée sur la ), dans sa partie centrale 14.2 (illustrée sur la ) ou dans sa partie supérieure 14.3 (illustrée sur la ). Il n’assure ainsi pas la fonction de projection.
Selon une deuxième variante de réalisation non limitative illustrée sur les figures 20 à 28, la monture centrale 13 assure une partie de la fonction de projection, et le déflecteur d’air 14 assure une partie de la fonction de projection. Ainsi, la monture centrale 13 comprend une partie du dispositif de projection 16 et le déflecteur d’air 14 comprend une partie du dispositif de projection 16. Le dispositif de projection 16 comprend au moins une rampe hydraulique primaire 16a faisant partie de la monture centrale 13 et au moins une rampe hydraulique secondaire 16b faisant partie du déflecteur d’air 14.
Dans un premier mode de réalisation illustré sur les figures de cette deuxième variante de réalisation non limitative, le dispositif de projection 16 comprend une seule rampe hydraulique primaire 16a faisant partie de la monture centrale 13 et une seule rampe hydraulique secondaire 16b faisant partie du déflecteur d’air 14. Dans une variante de réalisation non limitative, la rampe hydraulique primaire 16a et la rampe hydraulique secondaire 16b s’étendent du même côté du balai d’essuie-glace 1. On a ainsi une monture centrale 13 simple rampe et un déflecteur d’air 14 simple rampe.
Dans un deuxième mode de réalisation non limitatif non illustré de cette deuxième variante de réalisation non limitative, ledit dispositif de projection 16 comprend deux rampes hydrauliques primaires 16a et deux rampes hydrauliques secondaires 16b et le tuyau d’alimentation 170 est connecté à la monture centrale 13 configurée pour amener le fluide de lavage L aux deux rampes hydrauliques secondaires 16b du déflecteur d’air 14 par l’intermédiaire respectivement des deux connecteurs 15. On a ainsi une monture centrale 13 dite double-rampes ou bi-rampes. On a ainsi également un déflecteur d’air 14 dit double-rampes ou bi-rampes. Cela permet d’accentuer le lavage de la surface vitrée 20. Les deux rampes hydrauliques primaires 16a s’étendent chacune le long de chaque côté de la monture centrale 13, et les deux rampes hydrauliques secondaires 16b s’étendent chacune le long de chaque côté du déflecteur d’air 14.
Dans un mode de réalisation non limitatif, les deux rampes hydrauliques primaires 16a sont activées alternativement en fonction du mouvement du balai d’essuie-glace 1. Cela permet de réduire le temps de nettoyage de la surface vitrée 20 et d’améliorer ainsi l’efficacité de lavage en projetant plus de fluide de lavage L. Par activation, on entend qu’une rampe hydraulique primaire 16a projette le fluide de lavage L sur la surface vitrée 20. Quand elle est désactivée, le fluide de lavage L n’est pas projeté. Ainsi, lorsque le mouvement du balai d’essuie-glace 1 est dans le sens montant, une rampe hydraulique primaire 16a est activée tandis que lorsque le mouvement du balai d’essuie-glace 1 est dans le sens descendant, l’autre rampe hydraulique primaire 16a est activée. Il en est de même pour les rampes hydrauliques secondaires 16b. Dans un mode de réalisation non limitatif, les deux rampes hydrauliques secondaires 16b sont activées alternativement en fonction du mouvement du balai d’essuie-glace 1. Cela permet de réduire le temps de nettoyage de la surface vitrée 20. Par activation, on entend que la rampe hydraulique secondaire 16b projette le fluide de lavage L sur la surface vitrée 20. Quand elle est désactivée, le fluide de lavage L n’est pas projeté. Ainsi, lorsque le mouvement du balai d’essuie-glace 1 est dans le sens montant, une rampe hydraulique secondaire 16b est activée tandis que lorsque le mouvement du balai d’essuie-glace 1 est dans le sens descendant, l’autre rampe hydraulique secondaire 16b est activée.
La monture centrale simple rampe et le déflecteur d’air 14 simple rampe sont pris comme exemple non limitatif dans la suite de la description.
Par ailleurs, tel qu’illustré sur les figures 21 et 22, ledit dispositif de distribution 17 comprend en outre un tuyau d’amenée 171 connecté de la monture centrale 13 et à au moins un des deux connecteurs 15. Dans l’exemple non limitatif illustré sur les figures 21 à 24, ce connecteur 15 est le connecteur inférieur 15. Ainsi, le fluide de lavage L est distribué dans ladite rampe hydraulique secondaire 16b grâce audit connecteur inférieur 15. Ainsi, la monture centrale 13 amène le fluide de lavage L à ladite rampe hydraulique secondaire 16b du déflecteur d’air 14 par l’intermédiaire du connecteur inférieur 15.
Autrement dit, tel qu’illustré sur les figures 21 et 27 la monture centrale 13 comprend ladite au moins une rampe hydraulique primaire 16a qui comprend des orifices de projection 160. Pour des raisons de concision, seuls quelques orifices de projection 160 ont été référencés sur les figures. Tel qu’illustré sur la , dans un mode de réalisation non limitatif, ladite au moins une rampe hydraulique 16a comprend des orifices de projection 160 sur toute sa longueur. Cela permet de projeter du fluide de lavage L via toutes les portions 16a.1, 16a.2 et 16a.3 de la rampe hydraulique primaire 16a sur toute sa longueur.
Autrement dit, tel qu’illustré sur les figures 21, 25 et 26 ledit déflecteur d’air 14 comprend ladite au moins une rampe hydraulique secondaire 16b qui comprend des orifices de projection 160. Pour des raisons de concision, seuls quelques orifices de projection 160 ont été référencés sur les figures.
Tel qu’illustré sur le zoom de la , le tuyau d’alimentation 170 est connecté via une canule 13.1 à la monture centrale 13. Tel qu’illustré sur la , le tuyau d’amenée 171 est connecté au connecteur 15 utilisé pour amener le fluide de lavage L dans la rampe hydraulique secondaire 16b via une canule 15.3. Tel qu’illustré sur la , le tuyau d’amenée 171 est connecté à la monture centrale 13 via une canule 13.3. Ainsi, le fluide de lavage L passe de la monture centrale 13 au connecteur 15 via ce tuyau d’amenée 171.
Tel qu’illustré sur les coupes des figures 23 et 24 la canule 15.3 se prolonge par un canal hydraulique 15.4 relié à au moins un autre canal hydraulique 15.1.
Tel qu’illustré sur les coupes des figures 22, 23 et 24, cet autre canal hydraulique 15.1 est configuré pour alimenter la rampe hydraulique secondaire 16b en fluide de lavage L. Ledit au moins un connecteur 15, ici le connecteur inférieur 15, utilisé pour amener le fluide de lavage L comprend ainsi au moins un canal hydraulique 15.1.
Tel qu’illustré dans l’exemple non limitatif, le dispositif de projection 16 comprend une seule rampe hydraulique secondaire 16a et le tuyau d’alimentation 170 est connecté à la monture centrale 13 configurée pour amener le fluide de lavage L à la rampe hydraulique secondaire 16b du déflecteur d’air 14 par l’intermédiaire d’un des deux connecteurs 15. On a ainsi un déflecteur d’air 14 dit simple rampe.
Ainsi, tel qu’illustré sur la , le déflecteur d’air 14 comprend une première portion de rampe hydraulique secondaire 16b autrement appelée portion inférieure 16b.1. Tel qu’illustré sur la , le déflecteur d’air 14 comprend une deuxième portion de rampe hydraulique secondaire 16b autrement appelée portion supérieure 16b.3. Tel qu’illustré sur la , la portion inférieure 16b.1 comprend des orifices de projection 160 qui s’étendent de l’extrémité inférieur 1.1 du balai d’essuie-glace 1 jusqu’au connecteur inférieur 15. La portion inférieure 16b.1 fait ainsi partie de la partie inférieure 14.1 du déflecteur d’air 14. Tel qu’illustré sur la , la portion supérieure 16b.3 comprend des orifices de projection 160 qui s’étendent de l’extrémité supérieure 1.2 du balai d’essuie-glace 1 jusqu’au connecteur supérieur 15. La portion supérieure 16b.3 fait ainsi partie de la partie supérieure 14.3 du déflecteur d’air 14. Ainsi, la portion inférieure 16b.1 permet de projeter du fluide de lavage L au niveau de la partie inférieure du balai d’essuie-glace 1 et la portion supérieure 16b.3 permet de projeter du fluide de lavage au niveau de la partie supérieure du balai d’essuie-glace 1. Tel qu’illustré sur la , ledit au moins un connecteur 15 comprend un premier canal hydraulique 15.1 configuré pour alimenter la portion inférieure 16b.1 de la rampe hydraulique secondaire 16b en fluide de lavage L et un deuxième canal hydraulique 15.1 configuré pour alimenter la portion supérieure 16b.3 de la rampe hydraulique secondaire 16b en fluide de lavage L.
On notera que dans cette variante de réalisation non limitative, tel qu’illustré sur la , le déflecteur d’air 14 comprend une partie centrale 14.2 avec une portion de rampe hydraulique secondaire 16b.2 sans orifices de projection 160. Bien entendu dans une autre variante de réalisation non limitative, on peut avoir une portion centrale 16b.2 de rampe hydraulique secondaire 16b qui comprend des orifices de projection 160.
Dans un troisième mode de réalisation non limitatif illustré sur les figures 29 à 34, le déflecteur d’air 14 assure toute la fonction d’arrosage. Dans ce cas, la monture centrale 13 n’assure pas la fonction de projection. Ainsi, tel qu’illustré sur les figures 30 et 31 la monture centrale 13 ne comprend ainsi aucun orifice de projection 160. On notera que les figures 22 à 24 s’appliquent également à ce troisième mode de réalisation non limitatif, en remplaçant la référence 16b.1 par la référence 16.1 et 16b.3 par la référence 16.3.
A cet effet, ledit déflecteur d’air 14 comprend le dispositif de projection 16 et ledit dispositif de distribution 17 comprend :
- le tuyau d’alimentation 170 connecté à ladite monture centrale 13, et
- un tuyau d’amenée 171 connecté de la monture centrale 13 et à au moins un des deux connecteurs 15.
- le tuyau d’alimentation 170 connecté à ladite monture centrale 13, et
- un tuyau d’amenée 171 connecté de la monture centrale 13 et à au moins un des deux connecteurs 15.
Autrement dit, ledit déflecteur d’air 14 comprend au moins une rampe hydraulique 16a qui comprend des orifices de projection 160 tel qu’illustré sur les figures 31, 32 et 33.
Dans une première variante de réalisation illustrée de ce troisième mode de réalisation sur les figures, le dispositif de projection 16 comprend une seule rampe hydraulique 16a faisant partie du déflecteur d’air 14 et le tuyau d’alimentation 170 est connecté à la monture centrale 13 configurée pour amener le fluide de lavage L à la rampe hydraulique 16a du déflecteur 14 par l’intermédiaire d’un des deux connecteurs 15. On a ainsi un déflecteur d’air 14 simple rampe.
Dans une deuxième variante de réalisation non illustrée de ce troisième mode de réalisation, ledit dispositif de projection 16 comprend deux rampes hydrauliques 16a faisant partie du déflecteur d’air 14 et le tuyau d’alimentation 170 est connecté à la monture centrale 13 configurée pour amener le fluide de lavage L aux deux rampes hydrauliques 16a du déflecteur d’air 14 par l’intermédiaire respectivement des deux connecteurs 15. On a ainsi également un déflecteur d’air 14 dit double-rampes ou bi-rampes. Cela permet d’accentuer le lavage de la surface vitrée 20. Les deux rampes hydrauliques 16a s’étendent chacune le long de chaque côté du déflecteur d’air 14. Dans un mode de réalisation non limitatif, les deux rampes hydrauliques 16a sont activées alternativement en fonction du mouvement du balai d’essuie-glace 1.
Le déflecteur d’air 14 simple rampe est pris comme exemple non limitatif dans la suite de la description.
Par ailleurs, tel qu’illustré sur la , ledit dispositif de distribution 17 comprend en outre un tuyau d’amenée 171 connecté de la monture centrale 13 et à au moins un des deux connecteurs 15. Dans l’exemple non limitatif illustré, ce connecteur 15 est le connecteur inférieur 15. Ainsi, le fluide de lavage L est distribué dans ladite au moins une rampe hydraulique 16a grâce audit connecteur inférieur 15. Ainsi, la monture centrale 13 amène le fluide de lavage L à ladite rampe hydraulique 16a du déflecteur d’air 14 par l’intermédiaire du connecteur inférieur 15.
Tel qu’illustré sur le zoom de la , le tuyau d’alimentation 170 est connecté via une canule 13.1 à la monture centrale 13. Tel qu’illustré sur la , le tuyau d’amenée 171 est connecté au connecteur 15 utilisé pour amener le fluide de lavage L dans la rampe hydraulique 16a via une canule 15.3. Tel qu’illustré sur la , le tuyau d’amenée 171 est connecté à la monture centrale 13 via une canule 13.3. Ainsi, le fluide de lavage L passe de la monture centrale 13 au connecteur 15 via ce tuyau d’amenée 171.
Tel qu’illustré sur les coupes des figures 23 et 24 la canule 15.3 se prolonge par un canal hydraulique 15.4 relié à au moins un autre canal hydraulique 15.1.
Tel qu’illustré sur les coupes des figures 22, 23 et 24, cet autre canal hydraulique 15.1 est configuré pour alimenter la rampe hydraulique 16a en fluide de lavage L. Ledit au moins un connecteur 15, ici le connecteur inférieur 15, utilisé pour amener le fluide de lavage L comprend ainsi au moins un canal hydraulique 15.1.
Tel qu’illustré sur la , le déflecteur d’air 14 comprend une première portion de rampe hydraulique 16a.1 autrement appelée portion inférieure 16a.1. Tel qu’illustré sur la , le déflecteur d’air 14 comprend une deuxième portion de rampe hydraulique 16a.3 autrement appelée portion supérieure 16a.3. Tel qu’illustré sur la , la portion inférieure 16a.1 comprend des orifices de projection 160 qui s’étendent de l’extrémité inférieur 1.1 du balai d’essuie-glace 1 jusqu’au connecteur inférieur 15. La portion inférieure 16a.1 fait ainsi partie de la partie inférieure 14.1 du déflecteur d’air 14. Tel qu’illustré sur la , la portion supérieure 16a.3 comprend des orifices de projection 160 qui s’étendent de l’extrémité supérieure 1.2 du balai d’essuie-glace 1 jusqu’au connecteur supérieur 15. La portion supérieure 16a.3 fait ainsi partie de la partie supérieure 14.3 du déflecteur d’air 14. Ainsi, la portion inférieure 16a.1 permet de projeter du fluide de lavage L au niveau de la partie inférieure du balai d’essuie-glace 1 et la portion supérieure 16a.3 permet de projeter du fluide de lavage au niveau de la partie supérieure du balai d’essuie-glace 1. Tel qu’illustré sur la , ledit au moins un connecteur 15 comprend un premier canal hydraulique 15.1 configuré pour alimenter la portion inférieure 16a.1 de la rampe hydraulique 16a en fluide de lavage L et un deuxième canal hydraulique 15.1 configuré pour alimenter la portion supérieure 16a.3 de la rampe hydraulique 16a en fluide de lavage L.
On notera que dans cette variante de réalisation non limitative, tel qu’illustré sur la , le déflecteur d’air 14 comprend une partie centrale 14.2 avec une portion de rampe hydraulique secondaire 16a.2 sans orifices de projection 160. Bien entendu dans une autre variante de réalisation non limitative, on peut avoir une portion centrale 16a.2 de rampe hydraulique 16a qui comprend des orifices de projection 160.
Bien entendu la description de l’invention n’est pas limitée aux modes de réalisation décrits ci-dessus et au domaine décrit ci-dessus. Ainsi, dans un autre mode de réalisation non limitatif de la seconde variante de réalisation non limitative du deuxième mode de réalisation non limitatif, on peut avoir une combinaison d’une monture centrale bi-rampes et d’un déflecteur simple rampe ou inversement. Ainsi, dans un autre mode de réalisation non limitatif, l’organe de rigidification 11 comprend trois vertèbres avec trois connecteurs reliés entre eux par des montures intermédiaires. Dans ce cas, le déflecteur d’air 14 est composé de plus de trois parties.
Ainsi, l’invention décrite présente notamment les avantages suivants :
- elle permet de regrouper dans une seule structure une fonction d’essuyage et une fonction de lavage avec un fluide de lavage L en intégrant dans le balai d’essuie-glace 1 un dispositif de projection 16,
- grâce aux deux connecteurs 15 et au dispositif de projection 16 intégré dans le balai d’essuie-glace 1, le lavage est plus efficace que dans l’état de la technique antérieur qui intègre un dispositif de projection au niveau du capot moteur du véhicule automobile 2,
- elle permet de mieux suivre le galbe de la surface vitrée 20 lors de son arrosage avec le fluide de lavage L,
- elle permet d’avoir un balai d’essuie-glace 1 de grande longueur plus robuste,
- elle permet une bonne répartition de la force de pression du bras d’entraînement 3 sur le balai d’essuie-glace 1. Elle permet donc de s’adapter à des surfaces vitrées 20 complexes qui ont une courbure très marquée, telle que les supercars, les camions dans des exemples non limitatifs où la courbure de la surface vitrée 20 est très galbée,
- elle permet de générer un appui sur l’extrémité du balai d’essuie-glace 1 pour appuyer sur l’extrémité de la surface vitrée 20 et ainsi d’avoir un suivi de courbure pour une petite ou grande surface vitrée 20, notamment pour un pare-brise panoramique. Le nettoyage est par conséquent plus efficace,
- elle facilite le changement des pièces du balai d’essuie-glace 1 et la connexion du tuyau d’alimentation 170 grâce aux différents modes de réalisation décrits.
- elle permet de regrouper dans une seule structure une fonction d’essuyage et une fonction de lavage avec un fluide de lavage L en intégrant dans le balai d’essuie-glace 1 un dispositif de projection 16,
- grâce aux deux connecteurs 15 et au dispositif de projection 16 intégré dans le balai d’essuie-glace 1, le lavage est plus efficace que dans l’état de la technique antérieur qui intègre un dispositif de projection au niveau du capot moteur du véhicule automobile 2,
- elle permet de mieux suivre le galbe de la surface vitrée 20 lors de son arrosage avec le fluide de lavage L,
- elle permet d’avoir un balai d’essuie-glace 1 de grande longueur plus robuste,
- elle permet une bonne répartition de la force de pression du bras d’entraînement 3 sur le balai d’essuie-glace 1. Elle permet donc de s’adapter à des surfaces vitrées 20 complexes qui ont une courbure très marquée, telle que les supercars, les camions dans des exemples non limitatifs où la courbure de la surface vitrée 20 est très galbée,
- elle permet de générer un appui sur l’extrémité du balai d’essuie-glace 1 pour appuyer sur l’extrémité de la surface vitrée 20 et ainsi d’avoir un suivi de courbure pour une petite ou grande surface vitrée 20, notamment pour un pare-brise panoramique. Le nettoyage est par conséquent plus efficace,
- elle facilite le changement des pièces du balai d’essuie-glace 1 et la connexion du tuyau d’alimentation 170 grâce aux différents modes de réalisation décrits.
Claims (13)
- Balai d’essuie-glace (1) pour véhicule (2), ledit balai d’essuie-glace (1) comprenant :
- au moins une lame d’essuyage (10) configurée pour essuyer une surface vitrée (20) du véhicule (2),
- un organe de rigidification (11) comprenant un support de vertèbre (12.1) et au moins une vertèbre (12) configuré pour rigidifier ladite au moins une lame d’essuyage (10),
- au moins deux connecteurs (15) solidaires de ladite au moins une vertèbre (12),
- une monture centrale (13) articulée sur chacun des deux connecteurs, la monture centrale (13) étant configurée pour être raccordée à un bras d’entraînement (3) du balai d’essuie-glace (1),
- un déflecteur d’air (14) relié au support de vertèbre (12.1),
caractérisé en ce que le balai d’essuie-glace (1) comprend en outre :
- un dispositif de projection (16) configuré pour projeter un fluide de lavage (L) sur ladite surface vitrée (20), ledit dispositif de projection (16) comprenant des orifices de projection (160),
- un dispositif de distribution (17) du fluide de lavage (L) configuré pour distribuer ledit fluide de lavage (L) audit dispositif de projection (16). - Balai d’essuie-glace (1) selon la revendication 1, selon lequel ledit dispositif de projection (16) comprend au moins une rampe hydraulique (16a, 16b).
- Balai d’essuie-glace (1) selon la revendication précédente, selon lequel ladite au moins une rampe hydraulique (16a, 16b) comprend des orifices de projection (160) sur au moins une de ses portions.
- Balai d’essuie-glace (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, selon lequel ledit dispositif de distribution (17) comprend un tuyau d’alimentation (170) connecté à au moins un des deux connecteurs (15) et le déflecteur d’air (14) comprend le dispositif de projection (16).
- Balai d’essuie-glace (1) selon la revendication précédente, selon lequel ledit tuyau d’alimentation (170) est connecté aux deux connecteurs (15) via respectivement deux tuyaux d’amenée (18) du fluide de lavage (L).
- Balai d’essuie-glace (1) selon la revendication 4, selon lequel ledit tuyau d’alimentation (17) est connecté directement à un unique connecteur (15).
- Balai d’essuie-glace (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes 4 à 6, selon lequel ledit au moins un connecteur (15) comprend au moins un canal hydraulique (15.1) pour alimenter au moins une portion dudit dispositif de projection (16) en fluide de lavage (L).
- Balai d’essuie-glace (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes 4 à 6, selon lequel ladite au moins rampe hydraulique (16a, 16b) du dispositif de projection (16) comprend des orifices de projection (160) sur deux de ses portions (16a.1, 16a.3, 16b.1, 16b.3).
- Balai d’essuie-glace (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes 1 à 3, selon lequel ledit dispositif de distribution (17) comprend un tuyau d’alimentation (170) connecté à ladite monture centrale (13).
- Balai d’essuie-glace (1) selon la revendication précédente, selon lequel ledit déflecteur d’air (14) comprend le dispositif de projection (16) et ledit dispositif de distribution (17) comprend en outre un tuyau d’amenée (171) connecté à ladite monture centrale (13) et à au moins un des deux connecteurs (15).
- Balai d’essuie-glace (1) selon la revendication 9, selon ladite monture centrale (13) comprend tout ou partie du dispositif de projection (16).
- Balai d’essuie-glace (1) selon la revendication précédente, selon lequel ledit déflecteur d’air (14) comprend une partie du dispositif de projection (16), et ledit dispositif de projection (16) comprend au moins une rampe hydraulique primaire (16a) faisant partie de la monture centrale (13), et au moins une rampe hydraulique secondaire (16b) faisant partie du déflecteur d’air (14), et ledit dispositif de distribution (17) comprend en outre un tuyau d’amenée (171) connecté à ladite monture centrale (13) et à au moins un des deux connecteurs (15).
- Balai d’essuie-glace (1) selon la revendication précédente, selon lequel au moins un deux connecteurs (15) comprend un canal hydraulique (15.1) pour alimenter ladite au moins une rampe hydraulique secondaire (16b) en fluide de lavage (L).
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