FR3136307A1 - Procédé de détermination d’une fonction de correction d’un signal d’affichage pour l’affichage d’une image - Google Patents

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Michael Strecker
Efstathios Persidis
Simon Schimpf
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Robert Bosch GmbH
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Abstract

TITRE : Procédé de détermination d’une fonction de correction d’un signal d’affichage pour l’affichage d’une image Procédé pour une fonction de correction du signal d’affichage sur un afficheur pour un observateur (24) consistant à : - émettre une image blanche sur l’afficheur, - mesurer la distribution de luminosité de l’image blanche pour différents angles de vue de l’observateur (24), - déterminer une fonction de distribution de luminosité, - déterminer une plage d’angle de vue de l’observateur (24), - associer les valeurs de densité lumineuse aux pixels de l’afficheur dans la plage d’angle de vue, - déterminer une valeur minimale de densité, - déterminer une fonction de correction en fonction de l’angle de vue de l’observateur (24). Figure 14

Description

Procédé de détermination d’une fonction de correction d’un signal d’affichage pour l’affichage d’une image DOMAINE DE L’INVENTION
La présente invention se rapporte à un procédé de détermination d’une fonction de correction pour corriger un signal d’affichage d’une image sur un afficheur pour un observateur.
ETAT DE LA TECHNIQUE
On connaît déjà un procédé et un affichage du type défini ci-dessus.
De façon plus particulière, le document DE 10 2019 008 744 A1 décrit un procédé de commande de la luminosité de l’affichage.
EXPOSE ET AVANTAGES DE L’INVENTION
L’invention a pour objet un procédé pour déterminer une fonction de correction d’un signal d’affichage d’une image sur un afficheur pour un observateur
comprenant les étapes consistant à
- émettre une image blanche sur l’afficheur, mesurer la distribution de luminosité de l’image blanche émise selon l’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur, les valeurs de densité lumineuse étant mesurées pour différents angles de vue de l’observateur sur l’afficheur,
- déterminer une fonction de distribution de luminosité par les valeurs de luminosité mesurées, la fonction de distribution de luminosité des valeurs de densité de luminosité donnant une image selon l’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur,
- déterminer une plage d’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur,
- associer les valeurs de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité aux pixels de l’afficheur dans la plage d’angle de vue, déterminer une valeur minimale de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité dans la plage d’angle de vue,
- déterminer une fonction de correction des valeurs de correction de pixels de l’afficheur en fonction de l’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur dans la plage d’angle de vue en fonction de la valeur minimale de densité lumineuse et des valeurs de densité lumineuse associées aux pixels de l’afficheur dans la plage d’angle de vue.
Le procédé, selon l’invention, permet de représenter avantageusement une image sur un afficheur en la corrigeant et en l’améliorant. De façon préférentielle, on peut corriger une distribution non homogène de la luminosité sur l’afficheur et ainsi compenser l’image. Cela permet notamment d’avoir une distribution homogène de la luminosité sur l’afficheur et ainsi une perception plus fiable des informations d’image, par un observateur. En outre, on peut corriger les défauts de données d’image par la fonction de correction, en confiance.
Selon un développement, dans l’étape de mesure on mesure la distribution de luminosité de l’image blanche émise en fonction de l’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur et consistant à mesurer plusieurs valeurs de luminosité selon une horizontale en fonction de l’angle de vue horizontal de l’observateur sur l’afficheur. Cela permet de déterminer simplement la distribution de luminosité, pour une correction optimale des données d’image avec les moyens réduits. La détermination peut se faire de façon simple et fiable avec une faible capacité de calcul. En variante ou en plus, dans l’étape de la mesure de la distribution de luminosité de l’image blanche émise en fonction de l’angle de vue de l’observateur, on peut mesurer sur l’afficheur, les valeurs de luminosité selon différentes verticales en fonction de l’angle de vue vertical de l’observateur sur l’image. Cela permet d’améliorer la qualité et corriger la distribution de luminosité selon la verticale.
Selon une réalisation donnée à titre d’exemple, dans l’étape de l’association des valeurs de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité aux pixels de l’afficheur dans la plage d’angle de vue on calcule des angles de vue discrets pour les pixels de l’afficheur et on associe les valeurs de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité à l’aide des angles de vue discrets, aux pixels de l’afficheur dans la plage d’angle de vue. Cela permet une correction par pixels, ce qui correspond à une détermination sûre ou fiable de la fonction de correction et de la correction résultante des données d’image.
En outre, dans l’étape d’association des valeurs de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité aux pixels de l’afficheur dans la plage d’angle de vue, on associe les valeurs de densité lumineuse, notamment aux pixels d’une colonne. Cela permet de déterminer la fonction de correction selon les lignes de coupe horizontales et ainsi des colonnes simplifiant le calcul de la fonction de correction et la correction résultante des données d’image ou d’appliquer celle-ci de manière fiable. On économise ainsi notamment de la capacité de calcul.
De manière avantageuse, la fonction de correction, permet d’abaisser différemment les niveaux de gris des pixels de l’afficheur dans la plage d’angle de vue de façon à équilibrer les valeurs de densité lumineuse des pixels dans la plage d’angle de vue. Cette réalisation de la fonction de correction, garantit la correction des valeurs de luminosité et ainsi l’homogénéité de la distribution de luminosité ou permet celle-ci de manière fiable.
Selon un développement avantageux, on détermine la plage d’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur en fonction de la distance de l’observateur à l’afficheur ou de la position de l’observateur. En outre, on peut déterminer la fonction de correction selon la distance de l’observateur à l’afficheur ou la position de l’observateur ou déterminer plusieurs fonctions de correction selon les différentes distances entre l’observateur et l’afficheur ou les positions différentes de l’observateur. Si l’observateur se déplace devant l’afficheur dans la direction X, le gradient de luminosité se déplace également sur l’afficheur selon la position de l’observateur. En d’autres termes, le mouvement de l’observateur devant l’afficheur se traduit par un gradient dynamique de la luminosité. Si l’observateur change sa distance par rapport à l’afficheur, par exemple, en modifiant la distance du siège dans le véhicule, cela modifie l’impression de luminosité de l’afficheur en fonction de la distance de l’observateur. L’adaptation de la fonction de correction à la distance de l’observateur par la position de l’observateur par rapport à l’afficheur, améliore la qualité des informations présentées. Cela permet notamment de réduire la probabilité d’effets physiologiques tels que la fatigue des yeux, les maux de tête ou jusqu’au malaise des yeux. De manière avantageuse, on réduit le risque de mal de mer, même s’il s’agit d’informations d’images affichées qui sont notamment fixes comme, par exemple, un moteur de recherche avec texte à lire pour lequel l’observateur souhaite notamment une présentation de l’image fixe dans le temps et dans l’espace. Cela permet d’augmenter notamment le confort de l’observateur, en particulier, d’un passager du véhicule.
Suivant une autre caractéristique, l’invention a pour objet un procédé de détermination d’un signal corrigé pour l’affichage d’une image sur un afficheur, pour un observateur ce procédé comprenant les étapes consistant à :
- fournir un signal d’entrée de données d’image pour afficher une image sur l’afficheur à destination de l’observateur,
- fournir une fonction de correction,
- déterminer le signal corrigé pour l’affichage d’une image sur l’afficheur en fonction du signal d’entrée et de la fonction de correction.
Le procédé selon l’invention, permet une représentation avantageuse d’une image corrigée sur l’afficheur et ainsi de l’améliorer. De façon préférentielle, on corrige la distribution non homogène de luminosité sur l’afficheur et ainsi on la compense. Cela permet notamment une distribution homogène de la luminosité sur l’afficheur, ce qui se traduit par une perception fiabilisée des informations d’image, de préférence, par un observateur.
Un afficheur, par exemple, un afficheur de passager, peut avantageusement disposer d’au moins un état de commutation selon lequel on affiche exclusivement un contenue d’image pour un observateur qui se trouve devant, par exemple, le passager avant, alors que l’image pour les autres occupants du véhicule, notamment le conducteur, sera neutralisée autant que faire se peut. Cela est, par exemple, nécessaire, si des informations vidéo critiques comme, par exemple, des images de mouvements, par exemple, des films de mouvement sont affichés sur l’afficheur de passager, pour éviter tout détournement possible de l’attention du conducteur. On augmente ainsi la sécurité de circulation de l’afficheur de passager. En d’autres termes, on peut représenter les contenus d’images d’un véhicule pour le conducteur, par exemple, en concentrant les contenus d’image de sorte que le conducteur ne peut pas percevoir ces représentations. Ainsi, on peut diriger et concentrer les faisceaux lumineux, ce qui peut se traduire, en particulier, par une distribution de luminosité non homogène. Le procédé selon l’invention et l’application de la fonction de correction permettent de corriger ou de réduire cette distribution non homogène de la luminosité ce qui améliore ainsi la qualité de l’afficheur. En outre, on améliore la lisibilité de l’affichage si l’on ne corrige pas la luminosité réduite des bords de l’afficheur. On a ainsi une représentation localement spéciale, mieux perçue par l’observateur. Les bords peuvent représenter, par exemple, des symboles ou des éléments de manœuvre ou de service, ce qui améliore la perception et le service, par exemple, par la touche fonctionnelle. En outre, un éclairage homogène de l’afficheur, améliore la concentration de l’observateur pendant la perception de la représentation d’images. Ainsi, on réduit plusieurs effets physiologiques tels que la fatigue des yeux, les douleurs aux yeux et les maux de tête, ce qui augmente le confort.
En outre, le procédé permet de compenser avantageusement les effets des tolérances de fabrication d’un afficheur, notamment d’un élément concentrateur de lumière, par exemple, d’un film à lamelles pour concentrer les rayons lumineux. Grâce au procédé, on réduit ainsi notamment la mise au rebut d’afficheurs en corrigeant la distribution non homogène de la luminosité liée à des défauts de fabrication. Cela permet d’augmenter le rendement et/ou de réduire le coût de production. En outre, cela permet aux afficheurs fabriqués, d’émettre des impressions de luminosité identiques ou analogues se traduisant par une qualité constante de l’afficheur. La correction de la distribution de luminosité non homogène augmente la qualité. En outre, on augmente le confort de l’observateur en ce que l’on tient mieux compte de la représentation de l’image. Cela permet notamment de réduire la probabilité de l’occurrence d’effets physiologiques tels que la fatigue des yeux, les douleurs à la tête et aux yeux jusqu’au malaise.
Selon un développement, dans l’étape de détermination du signal corrigé, on applique la fonction de correction à un ou plusieurs canaux de couleurs avec un niveau de gris des pixels du signal d’entrée. On corrige ainsi les valeurs de luminosité et on homogénéise la distribution de la luminosité d’une manière sûre et fiable.
Selon un mode de réalisation donné à titre d’exemple, le procédé a une étape de détermination de la distance entre l’observateur et l’afficheur et de l’angle de vue de l’observateur sur l’affichage ou la fonction de correction seront adaptés à la distance entre l’observateur et l’afficheur. Selon un développement, le procédé comporte, en variante, ou en plus, une étape de détermination de la position de l’observateur ; la plage d’angle de vue de l’observateur est, dans cette hypothèse, déterminée sur l’afficheur ou la fonction de correction en fonction de la position de l’observateur. Si l’observateur se déplace devant l’afficheur dans la direction X, il déplace également le gradient de luminosité sur l’afficheur et avec la position de l’observateur.
En d’autres termes, le déplacement de l’observateur devant l’afficheur donne un gradient dynamique de luminosité. Si l’observateur modifie sa distance par rapport à l’afficheur, par exemple, en modifiant la distance du siège du véhicule, cela modifie l’impression de luminosité de l’afficheur en fonction de la distance de l’observateur. Par l’adaptation de la fonction de correction à la distance de l’observateur ou la position de l’observateur par rapport à l’afficheur, on améliore la qualité des informations présentées. Cela réduit notamment une probabilité de l’occurrence de phénomènes ou effets physiologiques tels que la fatigue des yeux, des douleurs à la tête ou aux yeux jusqu’au malaise. De manière avantageuse, on peut réduire le risque de mal de mer, même s’il s’agit d’informations d’image notamment affichées de manière statique, comme, par exemple, un navigateur avec un texte de lecture selon lequel l’observateur s’attend notamment à une représentation de l’image fixe dans le temps et dans l’espace. Cela permet notamment d’augmenter le confort pour un observateur notamment un occupant du véhicule.
Suivant une autre caractéristique, il est proposé un afficheur pour afficher une image à l’aide du signal corrigé. L’afficheur peut, par exemple, se trouver dans un véhicule et en particulier, être l’afficheur du copilote. De manière avantageuse, l’afficheur permet de générer des contenus d’image qui ont une distribution homogène de la luminosité ce qui permet de modifier et d’optimiser la qualité de l’afficheur.
Selon un développement, l’afficheur est réalisé pour afficher des images différentes selon au moins deux angles de vue différents ; pour un premier angle, les images présentées sont affichées avec le signal corrigé.
Suivant une autre caractéristique, l’invention a pour objet un système avec un affichage et un dispositif d’observation pour déterminer la distance entre l’observateur et l’afficheur et/ou la position de l’observateur et ainsi corriger les signaux des images et ainsi la distribution de luminosité selon la distance de l’observateur à l’afficheur ou la positon de l’observateur par rapport à l’afficheur.
La présente invention sera décrite ci-après de manière plus détaillée à l’aide d’exemples de réalisation de l’invention représentés dans les dessins annexés dans lesquels :
représentation schématique en vue de dessus d’un véhicule avec un afficheur,
représentation schématique d’un véhicule avec un dispositif d’observation,
représentation schématique d’un afficheur,
représentation schématique d’un afficheur
représentation schématique d’une plage d’angle de vue
représentation schématique d’une fonction de distribution de luminosité,
représentation schématique d’une distribution de luminosité,
représentation schématique d’une distribution de luminosité,
représentation schématique d’une distribution de luminosité,
représentation schématique d’un procédé selon un mode de réalisation de l’invention,
représentation schématique d’un procédé selon un exemple de réalisation de l’invention,
représentation schématique d’un procédé selon un exemple de réalisation de l’invention,
représentation schématique d’un procédé selon un exemple de réalisation de l’invention,
représentation schématique d’un procédé selon un exemple de réalisation de l’invention,
représentation schématique d’une fonction de distribution de luminosité selon un exemple de réalisation de l’invention,
représentation schématique d’une fonction de distribution de luminosité selon un exemple de réalisation de la présente invention,
représentation schématique d’une mesure d’une distribution de luminosité selon un exemple de réalisation de l’invention.
DESCRIPTION DE MODES DE REALISATION DE L’INVENTION
La est une représentation schématique en vue de dessus d’un véhicule 20 tel qu’un véhicule automobile ; il s’agit, par exemple, d’un véhicule avec un dispositif d’affichage 22. Le dispositif d’affichage 22 est, réalisé comme afficheur 22 ou comporte un afficheur 22. L’afficheur 22 est réalisé pour afficher au moins une représentation d’image et/ou des représentations vidéo. L’afficheur 22 permet d’afficher, par exemple, des informations concernant le véhicule 20, des informations d’état du véhicule ou des informations concernant le mode de fonctionnement du véhicule, des informations de navigation, des représentations d’un système de loisir du véhicule et/ou d’autres informations.
L’afficheur 22 est installé dans le véhicule 20 pour qu’un ou plusieurs observateurs 24 puissent voir les informations présentées. Un observateur 24 peut être notamment un occupant du véhicule 24, par exemple, le conducteur et/ou le passager du véhicule. L’afficheur 22 est, par exemple, intégré dans le tableau de commande ou le tableau de bord du véhicule et/ou à tout autre endroit dans un véhicule, par exemple, sur une colonne ou un siège comme, par exemple, au dos d’un siège ou dans le toit du véhicule. Dans cette réalisation avantageuse, l’afficheur 22 est prévu dans une région du tableau de bord du véhicule devant le conducteur 24. L’afficheur 22 peut également être appelé, « afficheur de passager » 22.
La est une représentation schématique d’un véhicule 20, par exemple, d’un véhicule automobile équipé d’un dispositif d’observation 26 pour observer l’habitacle du véhicule et/ou un ou plusieurs occupants 24 du véhicule. Le dispositif d’observation 26 peut également être appelé « système d’observation » et/ou « système d’observation des occupants » ou « système de surveillance ».
Le dispositif d’observation 26 est, par exemple, réalisé pour saisir une direction de regard, la tenue ou la position de la tête ou du visage ou des yeux des occupants 24 du véhicule ou encore l’état de fatigue et/ou d’autres caractéristiques vitales des passagers 24 du véhicule. Selon un développement, en particulier on saisit l’identité de l’occupant 24 du véhicule. Le dispositif d’observation 26 peut être notamment intégré dans le tableau de bord, dans le tableau des instruments, sur le volant ou dans le toit du véhicule, dans le rétroviseur ou dans une colonne, par exemple, la colonne A ou la colonne B du véhicule 20.
Pour observer l’occupant 24 du véhicule, le dispositif d’observation 26 comporte une unité d’éclairage pour émettre des rayons lumineux, notamment des rayons infrarouges en direction de l’habitacle du véhicule ou d’un ou plusieurs occupants 24 du véhicule ainsi qu’une unité de réception pour recevoir les rayons lumineux. Les rayons lumineux émis par l’unité d’éclairage sont réfléchis dans l’habitacle du véhicule ou par les passagers 24 et sont dirigés vers l’unité de réception. L’unité de réception est notamment sous la forme d’une caméra. En outre, le dispositif d’observation 26 comporte une unité de commande ou une unité d’exploitation ou une unité de calcul portant toutes, la même référence 28, pour commander l’unité d’éclairage ou l’unité de saisie ou pour le traitement des données prises par l’unité de saisie. Le dispositif d’observation 26 peut être aussi une caméra ou un capteur optique qui permet à une unité d’éclairage particulière d’observer les passagers 24 du véhicule.
La est une représentation schématique d’un afficheur 22 en vue de dessus. L’afficheur 22 est dans le véhicule selon la . L’afficheur 22 est réalisé comme l’afficheur de la . L’afficheur 22 est notamment prévu pour afficher une image avec un signal. L’afficheur 22 est réalisé notamment comme afficheur LCD ou encore il comporte un panneau LCD. On a également présenté un système de coordonnées 70 avec un axe (x) 72 et un axe (y) 74. L’afficheur 22 est dans ce système de coordonnées 70.
Selon un développement, l’afficheur est notamment une partie d’un système ; ce système comporte un dispositif d’observation pour déterminer la distance entre l’observateur et l’afficheur ou la position de l’observateur par rapport à l’affichage. Le dispositif d’observation est, par exemple, réalisé, comme le dispositif d’observation de la ou installé dans un véhicule.
En plus ou en variante, dans un développement, le système émet des données de capteur à partir d’un siège du véhicule, de préférence, celui du passager à côté du conducteur, pour les recevoir, les traiter pour déterminer la position de l’observateur, de préférence, celle du passager à côté du conducteur, par rapport à l’afficheur.
L’afficheur 22 est réalisé notamment pour afficher différentes images selon au moins deux angles de vue différents. L’afficheur 22 peut être réalisé comme afficheur de passager 22. L’afficheur de passager 22 est dans le véhicule sur le côté du passager ou installé ainsi pour qu’un passager puisse voir l’afficheur 22 ou l’afficheur de passager 22. Cela permet d’afficher des contenus d’image pour le passager.
L’afficheur 22 dispose notamment de plus d’un état de commutation dans lequel, de façon avantageuse, uniquement le passager voit le contenu d’images alors que l’image est aussi bien que possible, neutralisée pour les autres passagers du véhicule, notamment pour le conducteur. Cela est, par exemple, nécessaire, s’il faut afficher des informations vidéo, critiques, par exemple, des images en mouvement telles que des films sur l’afficheur 22, pour éviter tout détournement d’attention du conducteur. Ainsi, l’afficheur 22 augmente la sécurité de la conduite. Si l’afficheur 22 ne présente ces caractéristiques uniquement qu’à l’état de repos, il peut également être appelé « afficheur fixe de passager ». Un afficheur fixe de passager ne peut pas changer son état de commutation. Ce premier état limité de commutation, est également appelé « mode privé » ou « mode de passager ». Dans cet état de commutation, l’angle de vue horizontal de l’observateur correspond à une répartition de luminosité concentrée sur l’afficheur, notamment selon la distribution de luminosité de la . Cette distribution de luminosité est principalement indépendante de la réalisation technique de l’afficheur de passager. En d’autres termes, chaque afficheur de passager, indépendamment de sa structure, peut avoir pratiquement la même distribution de luminosité s’il fonctionne en mode privé. Pour l’application du procédé selon l’invention, il suffit que l’afficheur ait le mode de passager. En d’autres termes, on peut appliquer le procédé si un afficheur peut fonctionner en mode de passager.
L’afficheur de passager peut également avoir plusieurs états de commutation ; cela permet d’alterner entre les états de commutation. Un tel système de passager est également commutable en mode privé ou commutable en affichage privé ou SPD. Cet afficheur de passager peut, à côté du mode privé, avoir au moins un autre état, de préférence, un second état de commutation. Il s’agit, de préférence, d’un morceau de mode de vision ou de mode public dans lequel le contenu d’images est visible sur une plage d’angle de vision. Ainsi, on garantit un contenu d’images pour l’afficher en même temps pour le conducteur ou pour le passager. Ce mode de vision est choisi s’il faut présenter sur l’afficheur de passager, des contenus non critiques en contenu d’image ; par exemple, des images fixes, décoratives dont la visibilité est autorisée par la législation, les ordonnances ou les normes, selon différents angles de vue.
Selon un développement avantageux, on a un affichage commutable ou notamment un troisième état de commutation. Un tel troisième état de commutation peut être, par exemple, un second mode de vision, qui est limité en visibilité du contenu d’images selon l’angle de visée vers la position du conducteur et si l’image, notamment selon la position du passager, ne peut être bien neutralisée. Un tel mode de vision peut être désigné, notamment comme « mode de conducteur » ou « mode économique ». L’afficheur 22 peut en outre avoir d’autres états de commutation réalisés, par exemple, avec d’autres techniques de procédé.
La est une vue schématique de côté d’un afficheur 22. L’afficheur 22 est installé dans le véhicule comme l’afficheur 22 de la . En outre, l’afficheur 22 est réalisé comme l’afficheur de la . L’afficheur 22 est notamment réalisé pour afficher une ou plusieurs images à l’aide d’un signal. En outre, on a représenté un système de coordonnées 70, d’axe (x) 72 et d’axe (z) 76. L’afficheur 22 est dans ce système de coordonnées 70. L’afficheur 22 est notamment réalisé pour afficher des images différentes selon au moins deux angles de vue différents ; selon un premier angle de vue, les images sont représentées avec le signal corrigé. Pour cela, on alterne entre des états de commutation, différents selon la ou la .
L’afficheur 22 a notamment un générateur d’images par transmission 78 ou un panneau à cristaux liquides 78 encore appelé « panneau LCD ». Derrière le panneau à cristaux liquides 78 on a un éclairage de fond. L’éclairage de fond comporte un réflecteur 8, un premier guide de lumière 82, une pile optique 84 ainsi qu’un second guide de lumière 86. Le côté inférieur du second guide de lumière 86 a notamment des structures de diffusion lumineuse 88. Le réflecteur 80 est un réflecteur plan 80, par exemple, un film réflecteur. Le premier guide de lumière 82 ou le second guide de lumière 86 sont des guides de lumière plans. La pile optique 84 regroupe les rayons lumineux sortant du premier guide de lumière 82 notamment les rayons lumineux diffus. La pile optique 84 comprend un diffuseur 90 ou un film diffuseur 90, un premier film à prismes 92, un second film à prismes 94 et un élément concentrateur de lumière 96, par exemple, un film à lamelles 96. La pile optique 84 comprend moins d’autres composants. Le second film à prismes 94 est disposé notamment selon un angle d’au moins 25°, de préférence un angle de 90° rapporté à l’axe longitudinal des prismes par rapport au premier film à prismes 92. En d’autres termes, le second film à prismes 94 est croisé, de préférence croisé selon un angle de 90° par rapport au premier film à prismes 92. Le film à lamelles 96 qui est réalisé comme concentrateur de lumière comme un film à lamelles, par exemple un film de commande de lumière (film CLF).
En outre, l’éclairage du fond a une première source lumineuse 98 qui injecte des rayons lumineux selon la flèche 100 dans le premier guide de lumière 82. Cette source de lumière 98 est prévue notamment dans la direction (x) c’est-à-dire parallèlement à l’axe 72 (x), en particulier, par rapport à l’un des grands côtés du guide de lumière 82. La première source lumineuse 98 est, par exemple, réalisée sous la forme d’une led ou d’un cordon de leds. L’éclairage du fond comprend en outre une seconde source lumineuse 102 qui injecte des rayons lumineux selon la flèche 104 dans le second guide de lumière 86. La seconde source de lumière 102 est installée, de préférence, sur le côté transversal de l’afficheur 22 à l’opposé du conducteur, dans la direction (y) ou parallèlement à l’axe (y) 74. La seconde source lumineuse 102 est composée, par exemple, de diodes leds ou d’un cordon de diodes leds.
L’éclairage du fond de l’afficheur 22 est, par exemple, réalisé sous la forme d’un éclairage de bord qui éclaire latéralement, par le guide de lumière avec des sources lumineuses, par exemple, des photodiodes, et ainsi, on a un éclairage de fond, en surface pour l’émetteur d’images, notamment le panneau LCD qui éclaire l’émetteur d’images principalement par l’arrière par rapport à un plan (xy).
Les composants de l’éclairage du fond sont logés dans un boîtier, par exemple, un boîtier de rétro-éclairage, par exemple, en tôle ou un support de système, par exemple, injecté en matière plastique, en magnésium ou en aluminium. L’afficheur 22 peut avoir, notamment d’autres couches. En particulier, l’afficheur peut également avoir moins de couches s’il s’agit, par exemple, d’un afficheur privé, fixe, c’est-à-dire non commutable. Dans ce cas, on supprime, par exemple, un guide de lumière, par exemple le second guide de lumière 86 et une source lumineuse, par exemple, la seconde source lumineuse 102.
De façon préférentielle, la première source lumineuse 98 ou le premier cordon de leds 98 et la seconde source lumineuse 102 ou le second cordon de leds 102 sont commandés indépendamment l’un de l’autre selon l’état de commutation ou sont commandés en combinaison. Les états de commutation peuvent être réalisés notamment selon les états de commutation de la ou de la . Dans un premier état de commutation, par exemple, dans le mode passager ou mode privé, on alimente exclusivement le premier cordon de leds 98 et ainsi on injecte la lumière latéralement dans le premier guide de lumière 82 et on la répartit en surface. Les rayons lumineux sont répartis de façon homogène dans la surface par le diffuseur 90 pour avoir ainsi une source de lumière, plane, d’éclairage homogène. Les rayons lumineux sont alors orientés dans toutes les directions ce qui signifie qu’ils sont diffus. Après l’autre passage des films à prisme 92, 93 orientés, de préférence, de façon croisée, notamment dans le premier film à prisme 92 et le second film à prisme 94, les rayons lumineux sont déjà concentrés par rapport à la normale à la surface. La normale à la surface est parallèle à la direction (z)76 de l’afficheur 22, c’est-à-dire parallèle à l’axe (z). Le film à lamelles 96 concentre plus fortement les rayons lumineux en absorbant la lumière diffuse. Il en résulte un faisceau lumineux en direction des normales des surfaces avec une suppression particulièrement bonne de la composante de lumière diffuse. Ce faisceau lumineux traverse ensuite tout d’abord dans cet état de commutation, sans fonction, des seconds guides de lumière 86 et, en outre, le panneau LCD 78. De préférence, de direction inchangée, l’émission lumineuse concentrée n’est visible que selon l’angle de vue du passager pour l’image affichée par l’afficheur LCD 78, si le passager oriente son regard parallèlement à la normale à la surface de l’afficheur passager. En réalité, à partir de cet angle de vue passager, il peut subsister notamment une luminosité résiduelle minimale.
Si, dans un second état de commutation, notamment en mode public, en plus du premier cordon de leds 98 on alimente également le second cordon de leds 102, on injecte de la lumière supplémentaire dans le second guide de lumière 86. Seule une partie aussi faible que possible de ces rayons lumineux arrive sur le dessous du guide de lumière 86, notamment sur le côté opposé au panneau LCD 78 pour sortir ; les rayons lumineux sortant du dessous sont absorbés, en grande partie, par la pile optique 84 située en dessous ou sont réfléchis. La partie principale des rayons lumineux injectés dans le second guide de lumière 86 est répartie en surface, de préférence, par les structures de diffusion lumineuse 88 et elle quitte le guide de lumière avec une orientation diffuse par le côté supérieur dans une plage de rayonnement sortant de grand angle dans la direction du panneau LCD 78. Dans un développement, le second guide de lumière 86 oriente les rayons lumineux principalement dans la direction du regard du conducteur. Par cette alimentation, combinée des deux cordons de leds 98, 102, les rayons lumineux se chevauchent venant du premier guide de lumière 82, avec les rayons lumineux du second guide de lumière 86 et ils traversent ensuite le panneau LCD 78. La somme correspond ainsi à une distribution de luminosité appropriée pour un mode public ; l’image présentée sur le panneau LCD est visible à la fois par le conducteur et par le passager. Ainsi, on a une même image pour le conducteur et pour le passager. Selon un développement, en principe, on peut également envisager de créer un affichage par une conception particulière et une commande du générateur d’images par transmission, avec également une image différente pour chacun des observateurs.
Dans un troisième état de commutation, notamment en mode conducteur, le second cordon de leds 102 est le seul alimenté ; l’émission lumineuse du premier guide de lumière 82 est supprimé et ainsi pour une conception appropriée du second guide de lumière 86, l’image présentée sur l’afficheur LCD 78 n’est pratiquement visible que dans la direction de regard du conducteur alors que pour la direction de regard du passager, la perception est pratiquement sans aucune luminosité résiduelle ou seulement d’une luminosité résiduelle minimale. Cela permet de réduire avantageusement la puissance absorbée par l’afficheur et l’émission non voulue des rayons lumineux, par exemple, en direction d’une vitre latérale du véhicule sur le côté du passager.
A côté de la construction décrite à titre d’exemple, d’un afficheur 22 à commande en transmission, avec éclairage commutable du fond, on réalise un afficheur de passager, en variante avec une technique d’affichage auto éclairée, par exemple, OLED ou µLED. Dans ce cas, par exemple, sur le côté supérieur de l’affichage auto-éclairé on applique un film à lamelles, commutable ou fixe, au choix, couplé à l’affichage. De façon générale, l’élément couplable, est un concentrateur de lumière ou un filtre privé. Cet élément concentrateur de lumière réalise de nouveau une courbe de luminosité en mode privé selon la qui permet d’appliquer le procédé décrit.
De façon préférentielle, l’afficheur 22, est, par exemple, un panneau LCD avec une résolution de (ixj) pixels discrets. L’affichage a, par exemple, une résolution ixj=1920x720 pixels. Dans ce cas, le nombre i de colonnes a des valeurs i ∈ {1,2,3…1920} et le nombre j de lignes a des valeurs j ∈ {1,2,3…720}.
La est une représentation schématique d’une plage d’angle de vue, c’est-à-dire de plusieurs plages d’angle de vue de l’afficheur 22. La figure montre un système de coordonnées 70 avec un axe (x) 72 et un axe (y) 74. L’afficheur 22 correspond au système de coordonnées 70. Les plages d’angle de vue permettent de définir, les plages de vue 110, 112, 114 pour l’observateur, notamment le conducteur et le passager. Un passager pourra regarder, en direction de la première ligne 106 ; le conducteur pourra regarder dans la direction de la seconde ligne 108. On a ainsi une première plage de vue 110, une seconde plage de vue 112 et une troisième plage de vue 114. La première plage de vue 110 fait, en particulier, par rapport à l’axe (y) 74 un angle d’environ -4° jusqu’à un angle d’environ +8° et le long de l’axe (x) 72, un angle d’environ -10° jusqu’à un angle d’environ +10°. La seconde plage de vue 112 va notamment, selon l’axe (y) 74, d’un angle d’environ -10° jusqu’à un angle d’environ +20° et, selon l’axe (x) 72, un angle d’environ -40° jusqu’à un angle d’environ +40°. La troisième plage de vue 114 est celle notamment selon l’axe (y) 74 avec un angle d’à peu près -10° jusqu’à un angle d’à peu près +10° et le long de l’axe (x) 72, un angle d’environ -50° jusqu’à un angle d’environ +50°. Le passager peut ainsi percevoir notamment une représentation d’image dans la première plage de vue 110. Le conducteur peut notamment percevoir une représentation d’image dans une partie de la troisième plage de vue 114 notamment selon l’axe (x) pour un angle d’environ 40° jusqu’à environ 50°. Les plages de vue indiquées et les angles de vue en degrés sont à considérer comme des valeurs numériques approximatives. On peut avoir, par exemple, un intervalle d’angle de -5° à +5° pour les angles de vue perçus.
La est une représentation schématique d’une ou plusieurs fonctions de distribution de luminosité 120, 122, 124. Une fonction de distribution de luminosité représente la courbe de la luminance ou des valeurs de densité lumineuse en fonction de l’angle de vue de l’observateur d’un afficheur. Dans cette réalisation avantageuse, on a représenté trois fonctions de distribution de luminosité 120, 122, 124 notamment pour un afficheur de passager ; les trois fonctions de distribution de luminosité 120, 122, 124 ont une distribution dans les différents modes, par exemple, dans le mode public, le mode conducteur, le mode passager ainsi que des conditions de luminosité dans les plages de vue 110, 112, 114. En d’autres termes, à l’aide de la fonction de distribution de luminosité L (δ) on a représenté des valeurs de densité de luminosité L en fonction de l’angle de vue δ de l’observateur de l’afficheur. Les fonctions de distribution de luminosité 120, 122, 124 sont représentées dans un système de coordonnées ; le système de coordonnées a un axe x 118 sur lequel on a tracé les angles de vue δ de l’observateur de l’afficheur, en particulier, l’angle de vue horizontal et sur l’axe (y) 116 on a mis les valeurs de luminance ou de densité de lumière L en [cd/m2]. Le système de coordonnées en outre représente les plages de vue 110, 112, 114 ; les fonctions de distribution de luminosité s’étendent au-delà des différentes plages de vue 110, 112, 114. Les différentes conditions de luminosité sont représentées notamment par la hauteur des plages de vue 110, 112, 114 par rapport à l’axe (y). Pour simplifier, dans cette réalisation avantageuse, on a uniquement reporté les angles de vue horizontaux de l’observateur. Selon un développement, en variante, on peut également représenter les angles de vue verticale de l’observateur.
Une première fonction de distribution de luminosité 120 représente la courbe de luminosité en mode conducteur ; ainsi, en particulier, dans le troisième mode de commutation ou état de commutation selon la , la ou la . En d’autres termes, la première fonction de distribution de luminosité 120 montre la distribution de la luminosité vue par le conducteur lorsque celui-ci regarde l’affichage et active en outre le mode conducteur ; il s’agit ici notamment du second guide de lumière selon la qui est éclairé. Une seconde fonction de distribution de luminosité 122 représente la courbe de luminosité en mode passager et ainsi notamment dans le premier mode de commutation ou état de commutation selon la , la et/ou la . En d’autres termes, la seconde fonction de distribution de luminosité 122 montre la distribution de luminosité que voit un passager lorsqu’il regarde l’afficheur et active le mode passage ; ainsi, en particulier, le premier guide de lumière selon la sera éclairé. Une troisième fonction de distribution de luminosité 124 représente la courbe de luminosité en mode public et ainsi la transmission du mode conducteur et du mode passager et ainsi notamment dans le second mode de commutation ou état de commutation selon la , la ou la . En d’autres termes, la troisième fonction de distribution de luminosité 124 montre la distribution de luminosité superposée de la première fonction de luminosité 120 et de la seconde fonction de luminosité 122 ; ainsi, en particulier, le premier guide de lumière et le second guide de lumière selon la sont éclairés.
La première fonction de distribution de luminosité 120 a un tracé tel que dans la plage gauche de l’angle de vue et ainsi dans la plage négative de l’axe (x) 118 de l’angle de vue, on a un sommet et ensuite une descente en direction de l’angle de vue de 0° dès que la première fonction de distribution de luminosité 120 arrive dans la première plage de vue 110. A partir de l’angle de vue de 0°, la première fonction de distribution de luminosité 120 se rapproche de l’axe (x) 118 et ainsi prend une valeur de densité lumineuse égale à 0. Bien que la première fonction de distribution de luminosité de cet exemple soit avantageusement une fonction décroissante strictement monotone, on peut, en principe, également, utiliser des fonctions qui ont un tracé avec des selles et/ou des mini sommets secondaires et des maxi sommets secondaires. La seconde fonction de distribution de luminosité 122 augmente fortement dans la première plage de vue 110 et atteint son point le plus élevé pour un angle de vue de 0° et ensuite chute de nouveau dans la première plage de vue 110. A droite et à gauche de la première plage de vue 110, la seconde fonction de distribution de luminosité 120 se rapproche de l’axe (x) et ainsi de la valeur de densité de luminosité égale à 0. La troisième fonction de distribution de luminosité 124 s’obtient par la superposition de la première fonction de luminosité 120 et de la seconde fonction de distribution de luminosité 122. Celle-ci est ainsi parallèle à l’axe (x) 118 dans la plage gauche de la troisième zone de vision 114 et de la seconde zone de vision 112 et augmente ensuite par l’arrivée de la première zone de vision 110. Le sommet dans cette fonction de distribution de luminosité 124 est atteint au point le plus haut de la seconde fonction de distribution de luminosité 122. Ensuite, la troisième fonction de distribution de luminosité 124 chute à la valeur 0 ce qui correspond approximativement à la troisième fonction de distribution de luminosité 120 et se rapproche ainsi de l’axe (x) et de la valeur d’éclairage nulle. Un passager voit la première zone 110 et ainsi le champ parsemé de points 126. Un conducteur voit une partie de la troisième zone de vue 41 et ainsi le champ hachuré 128.
L’affichage de passager crée une zone de vue 110 pour le passager en mode privé et en particulier dans le premier état de commutation et/ou en mode public, notamment dans le second état de commutation, une distribution de luminosité concentrée sur l’angle de vue horizontal notamment fortement concentré selon la seconde fonction de distribution de luminosité 122 et/ou la troisième fonction de distribution de luminosité 124. A l’origine, pour générer cette distribution de luminosité, on a les composants de concentration de lumière de la pile de lumière arrière. A côté du film à prismes, le film à lamelles joue un rôle. En d’autres termes, la distribution de luminosité résulte de la fonction du film à lamelles. Cette distribution de luminosité concentrée est d’une part nécessaire pour neutraliser au mieux la luminosité résiduelle de l’afficheur en mode privé dans la direction de vue du conducteur. La règle est que plus la distribution de luminosité est étroite, par exemple, mesurée selon la demi-largeur FWHM, (toute la largeur sur le demi-maximum) est d’autant plus réduite que la luminosité résiduelle pour l’angle de vue du conducteur.
D’autres variantes de construction technique peuvent donner principalement des distributions de luminosité analogues et/ou d’autres distributions de luminosité selon le type et le nombre de modes de vue.
La est une représentation schématique d’une distribution de luminosité. La distribution de luminosité résulte de la représentation d’une image sur un afficheur, l’observateur 24 regardant l’afficheur. L’afficheur peut être réalisé comme l’afficheur de la et/ou comme celui de la . En outre, on a représenté un système de coordonnées 70 avec un axe (x) 72 et un axe (y) 74 ainsi qu’un axe (d) 130 ; l’axe (d) 130 représente la distance de l’observateur par rapport à l’afficheur, c’est-à-dire qu’il est perpendiculaire à la surface de l’afficheur. La distribution de luminosité est représentée comme gradient de luminosité résultant h(x,y,d) en fonction de la position de l’observateur 24 par rapport à l’afficheur. L’observateur 24 peut se déplacer devant l’afficheur vers la droite et la gauche et ainsi il se déplace dans la direction (x) ou parallèlement à l’axe (x) 72. En variante ou en plus, l’observateur 24 peut également se déplacer par rapport à l’afficheur, vers le haut ou vers le bas et ainsi dans la direction (y), c’est-à-dire parallèlement à l’axe (y) 74. En outre, l’observateur 24 peut, en variante, ou en plus, s’éloigner ou se rapprocher de l’afficheur ce qui modifie la distance (d) de l’observateur par rapport à l’afficheur ; en d’autres termes, l’observateur 24 se déplace selon l’axe (d) 130.
Le film à lamelles ou le concentrateur de lumière produit sur l’écran image, c’est-à-dire l’afficheur pour la représentation des images pour le passager, un gradient de luminosité principalement dans la direction (x), c’est-à-dire parallèlement à l’axe (x) 72, notamment dans un développement dans la direction (x) et dans la direction (y), c’est-à-dire parallèlement à l’axe (y) 74. Ce gradient de luminosité peut être perçu visuellement par l’observateur 24, notamment le passager. Si, par exemple, on présente une image en blanc pur 132 sur l’écran-image, par exemple, avec les niveaux de gris R=G=B=255, l’observateur 24 peut percevoir une chute de luminosité vers les bords droit et gauche de l’afficheur. La chute de luminosité est interprétée comme profil de gris et l’image affichée n’est plus perçue comme une surface blanche éclairée de manière homogène. La luminosité maximale est en général perçue dans la position (x) de l’observateur 24 et ainsi à la position dans laquelle se trouve l’observateur 24 devant l’afficheur. Le gradient de luminosité dépend de la position (x, y) de l’observateur 24 devant l’afficheur et/ou de sa distance (d) par rapport à l’afficheur. Le gradient de luminosité peut ainsi s’exprimer, de préférence, comme une fonction h(x,y,d), la valeur de la fonction étant une valeur de luminosité ou une densité de luminosité L, mesurée en [cd/m2]. Ce gradient de luminosité doit être réduit ou évité par le procédé proposé selon les figures 10, 11, 12, 13.
Si l’observateur 24 occupe une première position 134 et ainsi se trouve au milieu devant l’afficheur, par exemple, à la position (x _0136) de l’axe (x) 72, alors l’observateur perçoit un premier développement de luminosité 138. L’observateur 24 est ainsi à une première distance 140 par rapport à l’afficheur. La luminosité maximale sera perçue à la position (x_136). La luminosité maximale évolue de manière simplifiée notamment selon une ligne qui est une ligne parallèle à l’axe (y) 74. Partant de cette droite ou ligne vers la droite et vers la gauche, la luminosité diminue vers les bords de l’afficheur. Lorsque l’observateur 24 se trouve dans une seconde position 142, c’est-à-dire non au milieu devant l’afficheur ainsi, par exemple, plus à gauche à la position (x_1 144), alors l’observateur perçoit un second développement de luminosité 146. L’observateur 24 est ainsi à une première distance 138 par rapport à l’afficheur. La luminosité maximale sera perçue à la position (x_1 144). La luminosité maximale évolue de façon simplifiée en particulier selon une ligne qui est parallèle à l’axe (y) 74. La luminosité diminue à partir de cette droite ou ligne vers la droite et vers la gauche vers les bords de l’afficheur. Lorsque l’observateur 24 occupe une troisième position 148 au milieu devant l’afficheur, c’est-à-dire à la position (x_0136), il aura modifié sa distance d par rapport à l’afficheur et se trouve à une seconde distance 150 par rapport à l’afficheur ; l’observateur perçoit alors un troisième développement de luminosité 152. La seconde distance 150 est plus éloignée de l’afficheur que la première distance 140. La luminosité maximale est perçue à la position (x_0136). La luminosité maximale évolue de manière simplifiée, en particulier, selon une ligne parallèle à l’axe (y) 74. A partir de cette droite ou de cette ligne, la luminosité diminue vers la droite et la gauche vers les bords de l’afficheur. Mais, la luminosité ne diminue pas vers les bords de l’afficheur aussi fortement que pour le développement de la luminosité à la première position 134 de l’observateur et ainsi pour une première distance 140 plus courte entre l’observateur et l’afficheur.
La est une représentation schématique d’une distribution de luminosité. La distribution de luminosité résulte de la représentation d’une image sur un afficheur, en particulier, l’afficheur de passager, un observateur 24 observant l’afficheur. L’observateur observe que l’afficheur, en particulier, à partir de positions différentes. L’afficheur peut être réalisé comme l’afficheur de la ou celui de la . On a représenté un système de coordonnées 70 avec un axe (x) 72 et un axe (d) 130 ; l’axe (d) 130 correspond à la distance (d) de l’observateur par rapport à l’afficheur, c’est-à-dire qu’il est perpendiculaire à la surface de l’afficheur. La distribution de luminosité peut varier selon la distribution de luminosité de la ou de la en fonction de la position de l’observateur 24 ou de la distance de l’observateur 24 par rapport à l’afficheur. Parallèlement à l’axe (x) 72, schématiquement le film à lamelles 96 est installé ou représenté. Bien que dans le dessin on représente un film à lamelles, le dessin se comprend qu’il s’agit ainsi de façon générale d’un concentrateur de lumière qui peut être réalisé d’une autre manière.
La montre l’influence du concentrateur de lumière 96 sur l’impression de luminosité pour l’observateur 24 en fonction de la position de l’observateur 24 devant l’afficheur. A l’origine, pour le gradient de luminosité, on a le concentrateur de lumière 96 ou film à lamelles 96. L’observateur 24 peut se trouver à la première position 134, ce qui donne un premier angle de vue 154. L’observateur 24 peut également se trouver à la troisième position 148, ce qui donne un troisième angle de vue 156. En variante, l’observateur 24 peut se trouver à une quatrième position 158, ce qui donne un quatrième angle de vue 160. L’angle de vue δ de l’observateur 24 est d’autant plus grand que la distance d de l’observateur par rapport à l’afficheur est faible. Si l’observateur 24 ne se trouve pas au centre (x_0136) de l’afficheur, on a un angle de vue asymétrique. La position de la luminosité L(δ) de la fonction de distribution de luminosité 122, perçue par l’observateur 24 selon des angles de vue (δ) sur les bords d’afficheur L_gauche et L_droit est, par exemple, représentée schématiquement pour les trois positions de l’observateur.
Selon la position de l’observateur 24 devant l’afficheur on aura un angle de vue symétrique ou asymétrique. Si l’observateur 24 se trouve au centre (x_0136) de l’afficheur, par exemple, à la première position 134 ou à la troisième position 148 on obtient un angle de vue symétrique. L’observateur perçoit ainsi à droite et à gauche par rapport à la position (x_0136), la même impression de luminosité L_droite (δ_r) 162= impression de luminosité L_gauche (δ_l) 164. On a ainsi un profil symétrique du gradient de luminosité par rapport à la position (x_0136). Si l’observateur 24 est assis à une quatrième position 158 non au centre de l’afficheur, mais à une autre position (x_1144) différent de la position (x_0136), par exemple, à la position (x_144) inférieure à la position (x_0136), on a un angle de vue asymétrique ; l’impression de luminosité L_droite(δ_r) 166≠ à l’impression de luminosité L_gauche(δ_l) 168. Il en résulte comme conséquence, un gradient de luminosité asymétrique. En principe, la règle est que la chute de luminosité vers les bords de l’affichage est d’autant plus fortement imprimée que l’observateur 24 se trouve proche, devant l’afficheur ou que l’observateur 24 est éloigné du bord de l’afficheur. En d’autres termes, plus l’angle de vue δ est grand et plus grand sera la diminution de luminosité.
La est une représentation schématique d’une distribution de luminosité. La distribution de luminosité est représentée par une première fonction de distribution de luminosité 122 de l’afficheur de passager en mode passager dans le système de coordonnées avec les axes des valeurs de densité lumineuse 116 selon l’angle de vue 118. Une tolérance de fabrication d’un film à lamelles influence l’impression de luminosité de l’afficheur. Les tolérances de fabrication se traduisent notamment par un décalage de la courbe L(δ) présentée uniquement à titre d’exemple vers la droite. La fonction de distribution de luminosité se déplace vers une seconde fonction de distribution de luminosité 170. En d’autres termes, l’existence de tolérance de fabrication des films à lamelles se traduit par une tolérance de la fonction de distribution de luminosité, c’est-à-dire de la caractéristique L(δ). Les tolérances de fabrication peuvent se traduire notamment par un déplacement de la courbe de la fonction de distribution de luminosité (L(δ). Par conséquence, l’impression de luminosité de l’afficheur change car le déplacement de la courbe pour une position fixe de l’observateur se traduit par une variation de la distribution de luminosité symétrique souhaitée L_droite(δ_r) 162=L_gauche(δ_l) 164 vers une distribution asymétrique non souhaitée de la luminosité L_droite*(δ_r)172>L_gauche*(δ_l)174. Ainsi, la première courbe de luminosité 138 c’est-à-dire le premier gradient de luminosité h(x,y,d) se déplace du fait de l’influence des tolérances de fabrication selon la flèche 176 vers la deuxième courbe de luminosité 178, en particulier un second gradient de luminosité h*(x,y,d). La luminosité maximale ne se trouve plus à la position de l’observateur 24. Cette distribution différente de la luminosité peut notamment être corrigée ou améliorée avec le procédé proposé.
En d’autres termes, un décalage de courbe résultant d’une fabrication défectueuse peut se traduire par un décalage de la luminosité maximale de l’afficheur qui ne se trouve plus, dans ces conditions, à la position (x) du passager. Du fait de la courbe asymétrique les deux yeux de l’observateur perçoivent, dans ce cas, une luminosité différente bien que les deux yeux reçoivent le même contenu d’image. Cela est un paradoxe pour le traitement de l’information d’image perçue dans le centre de vision humain. On s’attend à deux parties d’image ayant la même information d’image et la même luminosité.
La est une représentation schématique d’un procédé 200 pour déterminer une fonction corrigée pour corriger un signal pour l’affichage d’une image sur un afficheur pour un observateur selon un exemple de réalisation de la présente invention. En d’autres termes, la fonction de correction est conçue pour corriger un signal d’affichage d’une image sur un affichage pour un observateur. L’afficheur peut être réalisé comme l’afficheur de la ou de la ou selon l’afficheur de la , installé dans un véhicule. Sur l’afficheur, par la représentation d’image à l’aide du signal on aura un gradient de luminosité ou une courbe de luminosité selon la , la , ou la . Ce gradient de luminosité, c’est-à-dire cette courbe de luminosité doit être corrigée par la fonction de correction et ainsi être réduit ou éliminé. Pour cela, la fonction de correction sera notamment déterminée et enregistrée au préalable notamment avant l’utilisation. Ensuite, on pourra appliquer cette fonction de correction lors de l’utilisation de l’afficheur, par exemple, dans le véhicule. Le procédé 200 pour déterminer la fonction de correction comprend notamment les étapes suivantes.
Dans une première étape 202 du procédé 200 on émet une image blanche sur l’afficheur. L’afficheur a, de préférence, un nombre maximum N_max=255 niveaux de gris ce qui en particulier correspond à 8 bits. En principe, il est possible d’avoir un afficheur, affichant un nombre plus faible, par exemple, 6 bits ou un nombre plus important de niveaux de gris, par exemple, pour 8 bits. L’afficheur a notamment des pixels et pour l’affichage de l’image blanche sur l’afficheur, on donne à chaque pixel (i,j), par exemple, le niveau de gris maximum g_max, par exemple, 255 pour 8 bits. Les variables i et j peuvent être des valeurs discrètes, par exemple, représenter un pixel discret d’une surface d’affichage. L’afficheur aura, par exemple, une résolution ixj= 1920x720 pixels. Dans ce cas, le nombre de colonnes i sera iЄ{1,2,3…1920} et le nombre de lignes j sera jЄ{1,2,3…720}. Pour l’application du procédé on peut, toutefois, envisager n’importe quelle autre résolution.
Dans une seconde étape 204 du procédé 200, on mesure l’image blanche émise selon l’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur ; on mesure les valeurs de densité lumineuse pour différents angles de vue de l’observateur sur l’afficheur. Selon un développement, dans une seconde étape 204 du procédé 200, on mesure la distribution de luminosité de l’image blanche émise selon un angle de vue de l’observateur sur l’afficheur ; on mesure les valeurs de densité lumineuse selon une direction horizontale pour un angle de vue horizontal de l’observateur sur l’afficheur. En variante ou en plus, dans la seconde étape 204 du procédé 200 on peut mesurer une distribution de luminosité de l’image blanche émise en fonction de l’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur en mesurant les valeurs de densité lumineuse selon une verticale pour un angle de vue vertical de l’observateur regardant l’afficheur.
En d’autres termes, on mesure la distribution de luminosité de l’afficheur au moins sur plusieurs ou tous les angles de vue horizontaux δ. Cela se fait, de préférence, avec une mesure de densité lumineuse à l’aide d’un conoscope. La densité lumineuse de l’afficheur se détermine notamment pour plusieurs ou tous les angles de vue possibles et toutes les directions dans l’espace. La détermination de L(δ) se fait en tenant compte des valeurs de mesure qui se situent dans un plan de coupe horizontal (δ,Φ=0). Pour déterminer L(δ) on peut, en principe, utiliser également d’autres procédés de mesure. Par exemple, on peut envisager de mesurer L(δ) par des mesures discrètes de la densité lumineuse pour différents angles de vue δ avec un spectromètre. Il est également possible de déterminer h(x) par un balayage de surface à l’aide d’une caméra CMOS et de former le plan de coupe horizontal (x,y=0) et de transférer dans L(δ) par une transformation de coordonnées. L’avantage de la mesure avec un conoscope est que pour une étape ultérieure, le calcul de la courbe du gris peut également se faire pour des distances d’observation (d) variables, de façon simplifiée, avec une seule mesure.
Dans une troisième étape 206 du procédé 200 on détermine une fonction de distribution de luminosité avec les valeurs de luminosité mesurées ; la fonction de distribution de luminosité représente les valeurs de densité lumineuse L en fonction de l’angle de vue δ de l’observateur de l’afficheur. En d’autres termes, les résultats de la mesure sont les valeurs de densité lumineuse discrètes L pour différents angles de vue horizontaux (δ). Pour la suite du calcul, on calcule une courbe continue de la fonction de distribution de luminosité L(δ), par exemple, avec une fonction Fit appropriée. La fonction de distribution de luminosité correspond à la fonction de distribution de luminosité selon la . Cela permet d’obtenir notamment une courbe de luminosité ou un gradient de luminosité selon la , la ou la . En d’autres termes, avec le procédé, on peut déterminer individuellement un gradient de luminosité h(x,y,d) pour l’affichage. Comme simplification, on peut représenter la courbe de luminosité, notamment seulement par une coupe horizontale et ainsi la représenter en fonction du gradient de luminosité h(x) qui dépend de la position x de l’observateur. Par une transformation des coordonnées à partir du système de coordonnées cartésiennes (x,y) en un système de coordonnées sphériques d’angle de vue (δ,Φ) on peut passer, de préférence, par approximation, en L(δ) et réciproquement.
Dans une quatrième étape 208 du procédé 200 on détermine une plage d’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur. La plage d’angle de vue peut être réalisée comme la plage d’angle de vue de la ou se déterminer ainsi. Dans un développement, on détermine la plage d’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur et/ou la fonction de correction selon la distance entre l’observateur et l’afficheur et/ou la position de l’observateur. En d’autres termes, on détermine la plage d’angle de vue de L(δ) à prendre en compte. Pour une distance d’observateur (d), fixe devant l’afficheur avec la largeur w on obtient un angle de vue droit δ_r pour l’arête extérieure droite de l’afficheur comme suit :
Du fait de la symétrie, on a, de préférence, pour l’angle de vue côté gauche δ_l, la même valeur que δ_r. Pour un calcul simplifié on peut considérer que la distance de l’observateur par rapport à l’afficheur est constante et ainsi prendre une distance fixe de l’observateur par rapport à l’afficheur. En outre, pour simplifier, on peut supposer que l’observateur se trouve dans la direction (x), au milieu devant l’afficheur, c’est-à-dire dans la position (x_0). Selon un développement, en variante, on peut déterminer la plage d’angle de vue de l’observateur sur l’afficheur en fonction de la distance de l’observateur par rapport à l’afficheur et/ou d’une position de l’observateur.
Dans une cinquième étape 210 du procédé 200, on associe les valeurs de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité aux pixels de l’afficheur dans la plage de l’angle de vue. Selon un développement, on peut calculer des angles de vue discrets pour les pixels de l’afficheur et associer les valeurs de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité avec l’angle de vue discret pour les pixels de l’afficheur dans la plage d’angle de vue. Selon une réalisation avantageuse, on peut associer les valeurs de densité lumineuse aux pixels d’une colonne. En d’autres termes, pour chaque pixel j d’une colonne i on calcule, de préférence, un angle de vue discret δ_i. Cela permet d’associer, de préférence, à chaque pixel j d’une colonne i, une valeur de densité lumineuse L(i) à partir de la courbe de L(δ) ; cela peut être considéré comme une discrétisation.
Dans une sixième étape 212 du procédé 200 on détermine une valeur minimale de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité dans la plage d’angle de vue. En d’autres termes, on peut notamment déterminer la valeur la plus basse mesurée L_min(δ) dans la plage d’angle de vue calculée [δ_l ; δ_r] de la fonction L(δ).
Dans une cinquième étape 214 du procédé 200, on détermine une fonction de correction f de valeur de correction pour les pixels de l’afficheur en fonction de l’angle de vue de l’observateur de l’afficheur dans la plage d’angle de vue en fonction de la valeur minimale de densité lumineuse et des valeurs de densité lumineuse associées aux pixels de l’afficheur dans la plage d’angle de vue. En d’autres termes, avec les valeurs de mesure obtenues, en appliquant un algorithme, on détermine une fonction de correction f individuelle d’un afficheur et ainsi une fonction de filtre individuel. Dans un développement avec la fonction de correction f on abaisse les niveaux de gris du pixel de l’afficheur dans la plage d’angle de vue de façon différente pour équilibrer les valeurs de densité lumineuse des pixels dans la plage d’angle de vue. En d’autres termes, on calcule, de préférence, un coefficient de correction individuel f, c’est-à-dire une fonction de correction f(i,j) pour calculer la réduction du niveau de gris de chaque pixel avec pour objectif de compenser la densité lumineuse de tous les pixels pour l’angle de vue de l’observateur. Une règle de calcul donnée à titre d’exemple peut être la suivante :
Selon un développement, on détermine la fonction de correction en fonction de la distance de l’observateur par rapport à l’afficheur et/ou de la position de l’observateur. En variante, on peut déterminer plusieurs fonctions de correction dépendant des distances différentes de l’observateur par rapport à l’afficheur et/ou de la position différente de l’observateur. Les différentes fonctions de correction peuvent être enregistrées et appelées selon les nécessités.
Les étapes du procédé peuvent être visualisées comme à la .
La est une représentation schématique d’un procédé 220 pour déterminer un signal corrigé pour l’affichage d’une image sur un afficheur pour un observateur selon un exemple de réalisation de la présente invention. L’afficheur peut être réalisé comme l’afficheur de la et/ou de la ou être installé dans un véhicule comme l’afficheur de la .
Dans une première étape 220 du procédé, on fournit un signal d’entrée de données d’images pour afficher une image sur l’afficheur pour l’observateur. Sur l’afficheur on aura, par la représentation d’images à l’aide du signal d’entrée, un gradient de luminosité ou une courbe de luminosité selon la , la ou la .
Dans une seconde étape 224 du procédé 220 on fournit une fonction de correction f. La fonction de correction f peut se déterminer, par exemple, selon le procédé 200 de la ou de la . Cette fonction de correction se trouve dans une mémoire et elle est enregistrée, par exemple, sous la forme d’un tableau de mise à jour pour être appelée et utilisée.
Dans une troisième étape 226 du procédé 220 on détermine un signal corrigé pour afficher une image sur un afficheur en fonction du signal d’entrée de la fonction de correction. La fonction de correction f(i,j) peut être appliquée aux pixels du signal vidéo d’entrée G_in(i,j) ce qui permet de calculer le signal vidéo de sortie G_out(i,). Pour cela, on applique la fonction de correction, de préférence à un ou plusieurs canaux de couleur, pour le niveau de gris des pixels du signal d’entrée.
Selon un développement avantageux, on applique le coefficient de correction f(i,j) notamment à tous les canaux de couleur, par exemple, les canaux rouge, vert, bleu, avec un niveau de gris pour chaque pixel du signal vidéo d’entrée G_in(i ;j) et on calcule le signal vidéo de sortie G_out(i,j) :

En d’autres termes, on applique la fonction de correction f déterminée ou fournie à l’information de niveau de gris G_in(i,j) du signal vidéo d’entrée pour obtenir le signal vidéo de sortie résultant G_out(i,j) sur l’afficheur. On peut notamment améliorer l’homogénéité du contenu d’image affiché pour le passager en fonction de l’angle de vue pour n’importe quelle image affichée. Le résultat du procédé 220 est notamment une image de sortie, homogénéisée. En particulier, le procédé permet de plus d’appliquer la fonction de correction à chaque image d’une période d’images d’un afficheur et ainsi avoir une amélioration durable de l’homogénéité indépendamment du contenu d’image.
En d’autre termes, on peut appliquer la fonction de correction obtenue ou fonction de filtre f à l’information de niveau de gris G_in(i,j) d’un signal vidéo d’entrée et obtenir le signal vidéo de sortie G_out(i,j) pour l’afficheur, en particulier avec, pour objectif d’améliorer l’homogénéité du contenu d’images affiché pour le passager pour les angles de vue.
Le procédé 220 d’amélioration de l’image correspond notamment à une manipulation des niveaux de gris du signal vidéo d’entrée G_in(i,j) pour obtenir après le traitement, une courbe de niveau de gris adaptée pour le signal vidéo de sortie G_out(i,j) sur l’afficheur. Le traitement du niveau de gris est appliqué pour homogénéiser l’impression de luminosité selon l’angle de vue de l’observateur. Les niveaux de gris pour un affichage par transmission permettent la modulation de la transmission par l’afficheur et ainsi la modulation locale de la densité lumineuse déterminée pour chaque pixel. Il est ainsi possible avantageusement de compenser la diminution de luminosité vers les bords de l’afficheur en ce que l’on réduit les niveaux de pixels ayant une luminosité excessive. On peut remédier à la réduction de la densité lumineuse de l’afficheur, globalement au moins en partie par l’augmentation de la puissance de l’éclairage du fond.
Au lieu de corriger chaque pixel, on peut également corriger les groupes de pixels. Pour cela, on applique aux groupes de pixels des coefficients de correction différents.
Selon un développement, pour calculer le signal vidéo de sortie G_out, on peut utiliser une table de mise à jour LUT qui contient une fonction de correction statique f(i,j,d). Cela permet, pour chaque niveau de gris du signal vidéo d’entrée G_in(i,j), de fournir comme signal de sortie G_out(i,j), un niveau de gris corrigé selon f(i,j,d) une telle table LUT se trouve, par exemple, dans le contrôleur d’horloge TCON de l’afficheur ou directement dans la source d’image, par exemple dans l’appareil multimédia, tel que l’ordinateur de bord, l’unité d’affichage ou autre. De manière générale, une telle table LUT se trouve dans n’importe quel processeur graphique (GPU). Le signal vidéo de sortie G_out(i,j) peut ensuite être émis vers l’afficheur par un canal approprié.
Selon un mode de réalisation, le calcul du signal vidéo de sortie, corrigé G_out(i(t),j(t)) se fera directement dans la source d’images, par exemple, l’appareil multimédia, tel que l’ordinateur de bord, l’unité principale, avec un programme exécutable ou comme implémentation de circuit dans la puce graphique, par exemple GPU, FPGA, ASCI. La fonction de correction f(i(t),j(t),d(t)) est adaptée, de manière dynamique, au temps de fonctionnement. Le système de calcul peut, dans ce cas, utiliser d’autres signaux de capteur tels que les variables d’entrée x(t), y(t) et d(t), par exemple, par la détection de la distance d’assise, les systèmes de poursuite des yeux, comme, par exemple, dans le procédé de la . De manière générale, le calcul peut se faire dans n’importe quel processeur graphique. Le signal vidéo de sortie G_out(i(t),j(t)) peut être émis dans suite par un canal approprié sur l’afficheur.
Selon un développement avantageux, le procédé 220 peut compenser, de façon intrinsèque, un décalage possible de la courbe de L(δ) résultant des tolérances de fabrication du film à lamelles par la pondération des niveaux de gris sur une luminance minimale mesurée dans l’extrait d’angle de vue, c’est-à-dire, par exemple, à L_gauche* comme à la . Le procédé de compensation des tolérances de fabrication peut être réalisé comme le procédé de la .
La est une représentation schématique du procédé 220 pour obtenir un signal corrigé pour l’affichage d’une image sur un afficheur pour un observateur selon un exemple de réalisation de la présente invention. L’afficheur peut être un afficheur comme celui de la ou de la ou un afficheur intégré dans un véhicule comme à la . Le procédé 220 peut comporter les étapes du procédé 200 de la avec ainsi notamment une première étape 222, une seconde étape 224 et une troisième étape 226.
Le procédé 220 comporte notamment une quatrième étape 228 ; cette quatrième étape 228 doit être faite notamment avant la seconde étape 24 de fourniture de la fonction de correction. Dans la quatrième étape 228 du procédé 220 on détermine la distance de l’observateur par rapport à l’afficheur. Dans une variante ou une réalisation supplémentaire, on détermine la position de l’observateur par rapport à l’afficheur. La position de l’observateur peut se déterminer, notamment dans la direction (x), dans la direction (y) et aussi par la distance entre l’observateur et l’afficheur. De façon préférentielle, la fonction de correction se détermine ou utilise la distance de l’observateur à l’afficheur ou la position de l’observateur par rapport à l’afficheur. Il est, pour cela, possible d’adapter la fonction de correction notamment de manière scalaire à la distance ou la position de l’observateur. En variante ou en plus, on peut disposer de plusieurs fonctions de correction pour différentes distances ou positions de l’observateur et on choisira la fonction de correction en fonction de la distance ou de la position de l’observateur. Selon un développement, les différentes valeurs de la fonction de correction ou les coefficients de correction pour les différentes distances ou positions de l’observateur sont enregistrées dans un tableau, notamment un tableau de mise à jour et pouvant être appelées.
Selon un développement en plus ou en variante on détermine la plage d’angle de vue de l’observateur en fonction de la distance de l’observateur par rapport à l’afficheur ou la position de l’observateur par rapport à l’afficheur.
La distance ou la position de l’observateur se détermine, par exemple, par une unité de poursuite des yeux ou d’une unité de poursuite de tête. A l’aide de l’unité de poursuite, on saisit notamment la position actuelle de la tête ou la position des yeux de l’observateur et ainsi celle du passager. Avec la connaissance de la position actuelle du passager on peut dynamiser la fonction de correction ou fonction de filtre (f) et l’adapter. Cela permet d’optimiser l’homogénéité de l’image affichée, de préférence, selon la position actuelle du passager.
La distance de l’observateur à l’afficheur peut en outre se déterminer, par exemple, par la détection de la distance de l’assise en ce qu’à l’aide de la détection de la distance de l’assise on détermine la distance actuelle d’assise du passager. Avec la connaissance de la distance actuelle d’assise du passage on adapte la fonction de correction ou fonction de filtre (f). Cela permet d’optimiser l’homogénéité de l’image affichée, de préférence, en fonction de la distance d’assise actuelle.
En d’autres termes, la distance (d) entre l’observateur et l’afficheur peut être variable. L’observateur est, de préférence, assis dans la direction (x), notamment dans une position quelconque devant l’afficheur, c’est-à-dire, en général, dans une position (x) différente de x≠x_0. En outre, l’observateur est dans la direction (y), notamment dans une position quelconque devant l’afficheur, c’est-à-dire, en général, dans une position y≠y_0. Du fait de la position d’assise variable, la position à la fois de la tête devant l’afficheur (x, y) et aussi la distance (d) varie en fonction du temps. On a ainsi un gradient de luminosité en fonction du temps h(x(t),y(t),d(t)) par rapport à l’afficheur pour la position de l’observateur.
Le gradient de luminosité variable en fonction du temps peut être corrigé par une fonction de correction dynamique f(i(t),j(t),d(t)) à chaque instant d’une variation de position. En d’autres termes, le calcul de la fonction de correction dépend de la position actuelle de la tête. La ou la montrent une distance différente de l’observateur.
Dans un exemple de réalisation, on détermine la position actuelle de la tête en fonction de la distance de l’assise. A cet effet, on a, par exemple, un signal de capteur qui détermine la position assise du passager comme variable d’entrée pour déterminer la distance d de l’observateur. Une variation de position de l’assise du passager devant l’afficheur se traduit ainsi par une fonction de correction f(i(t),j(t),d(t)) adaptée à la position d’assise actuelle. Le calcul du signal vidéo de sortie G_out est ainsi également variable, c’est-à-dire que l’on a G_out(i(t),j(t)). Cette disposition garantit que les distances (d) variables de l’observateur et l’angle de vue ainsi variable n’ont pas d’influence sur l’impression du gradient de luminosité sur l’observateur.
Selon un autre développement, en plus de la distance d de l’observateur que l’on détermine à l’aide d’un système de poursuite des yeux, en variante, avec un système de poursuite de tête ou de contrôle d’occupants on peut également déterminer la position locale (x,y) de l’observateur devant l’afficheur à chaque instant. Une quelconque variation de position du passager dans les directions (x), (y), (d) devant l’afficheur se détecte ainsi à tout instant. Cela permet également de calculer la fonction de correction f(i(t),j(t),d(t)) en fonction de la position actuelle de la tête. Le calcul du signal vidéo de sortie G_out est ainsi également variable en fonction du temps, c’est-à-dire que l’on a G_out(i(t)),j(t)). Cette disposition garantit que l’angle de vue modifié par les différentes positions de la tête n’a pas d’influence sur l’impression du gradient de luminosité sur l’observateur. Un tel système de caméra pour déterminer la position du passager peut être intégré, par exemple, dans l’environnement direct de l’afficheur de passager ou directement intégré dans cet afficheur, dans un rétroviseur latéral, dans le rétroviseur intérieur ou dans une position quelconque appropriée.
La est une représentation schématique d’un procédé 230 pour déterminer un signal corrigé pour l’affichage d’une image sur un afficheur pour un observateur selon un exemple de réalisation de la présente invention. L’afficheur peut être un afficheur comme celui de la ou de la ou un afficheur intégré dans un véhicule comme à la . Le procédé 230 peut compenser avantageusement, de manière intrinsèque, un possible décalage de la courbe L(δ) à cause des tolérances de fabrication du film à lamelles, par la pondération des niveaux de gris sur une lumineuse minimale mesurée dans l’extrait d’angle de vue, c’est-à-dire, par exemple, sur L_gauche* comme à la .
En d’autres termes, selon un développement, le procédé 230 corrige l’influence d’une éventuelle tolérance de fabrication, par exemple, du film à lamelles, de préférence sans influencer les gradients de luminosité qui sont générés par le film à lamelles. En d’autres termes, le procédé 230 permet de rétablir un décalage de la courbe L_réel(δ) attachée de tolérances de fabrication par un décalage inverse pour obtenir ainsi la courbe L_cons(δ), souhaitée. Cette relation est représentée à la .
Dans une première étape 232 du procédé 230, on détermine la position δ_réel,max de la courbe L_réel(δ) entachée des tolérances. En d’autres termes, δ_réel,max à cet endroit :
Dans une seconde étape 234 du procédé 230 on calcule une courbe corrigée L_cons (δ) par le décalage inverse de la courbe L_réel(δ) entachée d’erreur selon l’angle de décalage δ_réel, max :
Dans une troisième étape 236 du procédé 230 on détermine la fonction de correction
Dans une quatrième étape 238 du procédé 32, pour chaque pixel j d’une colonne i on calcule un angle de vue δ_i. Cela permet d’associer à chaque pixel j d’une colonne i une valeur de correction f(i) du tracé de f(δ) notamment pour discrétiser
Dans les formules ci-dessus :
List(δist,max) = Lréel (δréel,max)
List(δ) = Lréel(δ)
Lsoll(δ) = Lcons(δ)
List = Lréel
δist,max = δréel,max
Lsoll(i) = Lcons(i)
List(i) = Lréel(i)
Dans une cinquième étape 239 du procédé 230 on calcule le signal vidéo de sortie G_out(i,j). Le calcul du signal de sortie se fait notamment selon la troisième étape de 226 du procédé 220.
Le procédé de correction des tolérances de fabrication peut en principe s’appliquer également à deux dimensions (i,j). On calcule alors la seconde dimension (j) de f(i,j) de façon analogue à la dimension (i) de f(i).
La est une représentation schématique d’un procédé selon un exemple de réalisation de la présente invention. Le procédé réunit le procédé de détermination de la fonction de correction de la et pour déterminer le signal corrigé selon la et ainsi, de façon correspondante, les étapes du procédé de la et selon la . En d’autres termes, on détermine une fonction de correction et on applique cette fonction de correction aux signaux d’entrée pour obtenir ou calculer des signaux de sortie corrigés. Le procédé de calcul comprend notamment les étapes suivantes.
Tout d’abord, on affiche une image blanche S(i,j) 132 sur l’afficheur, c’est-à-dire l’écran-image selon une première étape du procédé selon la . On a ainsi une impression de luminosité h(x,y,d) 138 pour l’observateur potentiel 24 de l’image blanche. L’impression de luminosité correspond à la distribution de luminosité selon la , la ou la .
Ensuite, on mesure la distribution horizontale de luminosité h(x) ou (h(x,y,d) et on applique une transformation 240 dans un système de coordonnées d’angle de vue (δ,Φ=0). Pour cela, on prend comme référence la distribution de luminosité au gradient de luminosité sur un axe de coupe horizontale 242. Pour simplifier on peut déterminer uniquement la distribution de luminosité sur une horizontale ou sur l’axe de coupe horizontale. Dans un développement, on détermine la distribution de luminosité en plus ou en variante selon la direction verticale. La mesure de la distribution de luminosité peut alors se faire selon la deuxième étape du procédé de la .
Ensuite, on définit l’extrait d’angle de vue [δ_l ; δ_r]. On définit pour cela un bord gauche de l’angle de vue δ_l 244 et un bord droit de l’angle de vue δ_r 246. L’extrait d’angle de vue correspond ainsi à l’extrait d’angle de vue de la . La définition de la plage d’angle de vue ou d’extrait d’angle de vue se fait selon la quatrième étape du procédé de la .
Ensuite, on discrétise L(δ) sur L(i). La discrétisation se fait selon la cinquième étape du procédé de la .
Ensuite, on calcule la fonction de correction f(i,j) 248. Le calcul de la fonction de correction se fait selon la septième étape du procédé de la . La fonction de correction f(i,j) 248 est représentée notamment dans un système de coordonnées ; sur les axes on a les valeurs de correction f des pixels i de l’afficheur. Sur l’axe y 250 on reporte les valeurs de correction (f) et sur l’axe x 252 on reporte les pixels (i). La fonction de correction selon l’exemple de la est indiquée, de préférence, dans un intervalle [1 ; 1920], c’est-à-dire, notamment entre une première limite gauche 244 et une seconde limite droite 246 qui correspondent, par exemple, à la première valeur de colonne i=1 discrète et à la dernière valeur de colonne i=1920 discrète d’une matrice de pixels d’un afficheur.
Ensuite, on applique la fonction de correction f(i,j) 248 au signal vidéo d’entrée G_in(i,j) pour générer le signal vidéo de sortie G_out(i,j) par exemple, G_in(i,j)=W(i,j). L’application se fait selon la troisième étape du procédé de la . Par l’application de la fonction de correction au signal vidéo d’entrée on obtient une distribution de luminosité 254 représentée, c’est-à-dire une courbe de niveau de gris après la réduction du niveau de gris. Celle-ci est, par exemple, réalisée comme inverse de la distribution mesurée ou déterminée de la luminosité.
L’image des niveaux de gris modifiée G_out(i,j) 254 peut être sur l’afficheur ou être fournie par l’afficheur. Il en résulte une impression de luminosité 256 du signal vidéo de sortie, modifié pour l’observateur. L’impression de luminosité résultante 256 peut être perçue par l’observateur notamment comme image blanche homogénéisée.
Selon un développement du procédé, en plus de la compensation dans la direction (x) on peut également effectuer une compensation dans la direction (y). En d’autres termes, à la place du plan de coupe horizontal unidimensionnel du gradient de luminosité h(x) on peut compenser le gradient de luminosité à deux dimensions h(x,y), complet. Cela peut être avantageux pour acheminer la compensation du gradient de luminosité, par exemple, si l’élément concentrateur de lumière dépend non seulement de la direction (x), mais également de la direction (y), par exemple, non seulement, de la direction (δ), mais également de la direction (Φ).
Pour cela, pour obtenir les données des valeurs de densité lumineuse nécessaires L(δ,Φ) on peut, par exemple, effectuer également une mesure conoscopique qui fournit les valeurs de densité lumineuse sur tous les angles dans l’espace. Une telle mesure est présentée, à titre d’exemple, à la comme tracé isoluminance.
A l’aide de la largeur (w), à la hauteur (h) de l’afficheur et de la distance de l’observateur (d) devant l’afficheur on peut déterminer la plage d’angle de vue prise par l’afficheur dans le champ de vision de l’observateur à l’intérieur du tracé isoluminance par le calcul des sommets.
Ensuite, on peut de nouveau associer à chaque pixel (i,j) de l’afficheur, une valeur de mesure de densité lumineuse à partir du tracé isoluminance.
Dans l’étape suivante, on détermine la valeur de densité de l’éclairage minimal L_min dans la plage d’angle de vue déterminée précédemment. Comme dans le cas monodimensionnel, on calcule les rapports de la densité lumineuse minimale L_min par rapport aux valeurs de densité lumineuse de chaque pixel (i,j) :
Le calcul du signal vidéo de sortie G_out(i,j) se fait comme dans la troisième étape du procédé de la . Le procédé peut notamment se faire pour la compensation des niveaux de gris.
La est une représentation schématique d’une fonction de distribution de luminosité selon un exemple de réalisation de la présente invention. La fonction de distribution de luminosité 122 peut être réalisée comme la fonction de distribution de luminosité 122 de la ou de la . A l’aide de la fonction de distribution de luminosité L(δ) 122 on peut représenter les valeurs de densité lumineuse L en fonction de l’angle de vue (δ) de l’observateur de l’afficheur. La fonction de distribution de luminosité 122 est représentée dans un système de coordonnées qui a un axe (x) 118 sur lequel on représente l’angle de vue (δ) de l’observateur de l’afficheur, notamment l’angle de vue horizontal et un axe (y) 116 sur lequel on représente la luminance ou la valeur de la densité lumineuse L en unité [cd/m2]. Dans le système de coordonnées on représente en outre le détail d’angle de vue [δ_l ; δ_r]. On définit un bord gauche de l’angle de vue δ_l 244 et un bord droit de l’angle de vue δ_r 246.
En outre, on représente les fonctions empiriques e(δ) 260, 262 dans le système de coordonnées. On peut, par exemple, envisager de supprimer une détermination métrologique de L(δ) et à la place on définit la distribution de luminosité par des fonctions d’origine empirique e(δ) 260, 262. On peut, par exemple, imaginer que e(δ) est une fonction analogique, par exemple, une parabole 260. Il est également possible de définir e(δ) par exemple, par segments d’une fonction linéaire analytique 262. De plus, on peut, en principe, définir d’autres fonctions appropriées, quelconques qui apparaissent comme convenir pour le problème du procédé. La fonction e(δ) est alors utilisée pour d’autres calculs du procédé. En d’autres termes e(δ) peut remplacer la fonction de luminosité mesurée L(δ).
La est une représentation schématique d’une fonction de distribution de luminosité selon un exemple de réalisation de la présente invention. La fonction de distribution de luminosité 122 peut être réalisée comme la fonction de distribution de luminosité 122 de la ou de la . A l’aide de la fonction de distribution de luminosité L (δ) 122 on peut représenter des valeurs de densité lumineuse L en fonction de l’angle de vue (δ) de l’observateur de l’afficheur. La fonction de distribution de luminosité 122 est représentée dans un système de coordonnées, ce système ayant un axe (x) 118 sur lequel on représente l’angle de vue (δ) de l’observateur de l’afficheur, notamment un angle de vue horizontal et sur l’axe (y) 116 on représente les valeurs de luminance ou de densité de lumière L en unités [cd/m2]. Dans le système de coordonnées on représente en outre le détail d’angle de vue [δ_l ; δ_r]. On définit ainsi un bord gauche de l’angle de vue δ_l 244 et un bord droit de l’angle de vue δ_r 246.
En outre, on a représenté la fonction empirique e(δ) 264 dans le système de coordonnées. De façon préférentielle, la fonction L(δ) déterminée par métrologie peut être adaptée ou étendue empiriquement selon un autre développement. Pour cela, par exemple, L(δ) 122 est pondérée par une fonction e(δ) 264 obtenue d’une manière empirique. La combinaison de L(δ) 122 avec e(δ) 264 peut se faire, par exemple, par addition, soustraction, multiplication, division. Par exemple, on peut envisager que e(δ) 264 est une fonction analytique linéaire par segment. La fonction pondérée par e(δ) donne une fonction modifiée, c’est-à-dire calculée et adaptée L’(δ) 266 qui remplace la fonction L(δ) dans les étapes du procédé et s’utilise pour les autres calculs du procédé. De plus, en principe, on peut définir également d’autres fonctions quelconques qui apparaissent comme appropriées pour résoudre le problème du procédé.
Une extension appropriée peut, par exemple, s’avérer comme intéressante pour compenser le gradient de luminosité seulement en partie ou dans une forme de tracé et limiter la perte en niveaux de gris dans l’image de sortie.
La est une représentation schématique d’une mesure d’une distribution de luminosité selon un exemple de réalisation de la présente invention. On a ainsi représenté un plot isoluminance 268 notamment une mesure faite à titre d’exemple de la densité lumineuse d’un afficheur avec un conoscope pour l’angle de vue (δ,Φ) dans un système de coordonnées sphériques. La mesure selon la peut être faite, par exemple, selon la seconde étape du procédé pour déterminer la fonction de correction selon la en représentant le résultat du plot isoluminance 268. En outre, on a représenté une flèche linéaire selon la direction horizontale et qui représente notamment l’angle de vue (δ) de l’observateur de l’afficheur. En outre, on a représenté une flèche cintrée de manière appropriée et qui représente l’angle Φ.

Claims (15)

  1. Procédé (200) pour déterminer une fonction de correction pour corriger un signal d’affichage d’une image sur un afficheur (22) pour un observateur (24) comprenant les étapes consistant à :
    - émettre une image blanche sur l’afficheur (22),
    - mesurer une distribution de luminosité de l’image blanche émise selon l’angles de vue de l’observateur (24) sur l’afficheur (22), les valeurs de densité lumineuse étant mesurées pour différents angles de vue de l’observateur (24) sur l’afficheur (22),
    - déterminer une fonction de distribution de luminosité par les valeurs de luminosité mesurées, la fonction de distribution de luminosité des valeurs de densité de luminosité donnant une image selon l’angles de vue de l’observateur (24) sur l’afficheur (22),
    - déterminer une plage d’angle de vue de l’observateur (24) sur l’afficheur (22),
    - associer les valeurs de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité aux pixels de l’afficheur (22) dans la plage d’angle de vue,
    - déterminer une valeur minimale de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité dont la plage d’angle de vue,
    - déterminer une fonction de correction pour des valeurs de correction de pixels de l’afficheur (22) en fonction de l’angles de vue de l’observateur (24) sur l’afficheur (22) dans la plage d’angle de vue en fonction de la valeur minimale de densité lumineuse et des valeurs de densité lumineuse associées aux pixels de l’afficheur (22) dans la plage d’angle de vue.
  2. Procédé (200) selon la revendication précédente,
    selon lequel
    dans l’étape de mesure d’une distribution de luminosité de l’image blanche émise selon l’angles de vue de l’observateur (24) sur l’afficheur (22), on mesure les valeurs de densité lumineuse selon une horizontale en fonction de l’angles de vue horizontal de l’observateur (24) de l’afficheur (22).
  3. Procédé (200) selon l’une des revendications précédentes,
    selon lequel
    dans l’étape de mesure d’une distribution de luminosité de l’image blanche émise en fonction de l’angles de vue de l’observateur (24) sur l’afficheur (22), on mesure les valeurs de densité lumineuse selon une verticale en fonction de l’angles de vue vertical de l’observateur (24) sur l’afficheur (22).
  4. Procédé (200) selon l’une des revendications précédentes,
    selon lequel
    dans l’étape d’association des valeurs de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité aux pixels de l’afficheur (22) dans la plage d’angle de vue on calcule des angles de vue discrets pour les pixels de l’afficheur (22) et on associe les valeurs de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité par l’angles de vue discret aux pixels de l’afficheur (22) dans la plage d’angle de vue.
  5. Procédé (200) selon l’une des revendications précédentes,
    selon lequel
    dans l’étape d’association des valeurs de densité lumineuse de la fonction de distribution de luminosité aux pixels de l’afficheur (22) dans la plage d’angle de vue, on associe les valeurs de densité lumineuse aux pixels d’une colonne.
  6. Procédé (200) selon l’une des revendications précédentes,
    selon lequel
    à l’aide de la fonction de correction on abaisse différemment les niveaux de gris des pixels de l’afficheur (22) dans la plage d’angle de vue pour équilibrer les valeurs de densité lumineuse des pixels dans la plage d’angle de vue.
  7. Procédé (200) selon l’une des revendications précédentes,
    selon lequel
    on détermine la plage d’angle de vue de l’observateur (24) sur l’afficheur (22) en fonction de la distance de l’observateur (24) par rapport à l’afficheur (22) et/ou de la position de l’observateur (24).
  8. Procédé (200) selon l’une des revendications précédentes,
    selon lequel
    on détermine la fonction de correction selon la distance de l’observateur (24) par rapport à l’afficheur (22) et/ou la position de l’observateur (24) ou
    on détermine plusieurs fonctions de correction selon les distances différentes de l’observateur (24) par rapport à l’afficheur (22) et/ou aux positions différentes de l’observateur (24).
  9. Procédé (220, 230) pour déterminer un signal corrigé pour afficher une image sur l’afficheur (22) pour un observateur (24) comprenant les étapes suivantes consistant à :
    - fournir un signal d’entrée de données d’image pour l’affichage d’une image sur l’afficheur (22) pour l’observateur (24),
    - fournir une fonction de correction selon l’une des revendications 1 à 8,
    - déterminer le signal corrigé pour l’affichage d’une image sur un afficheur (22) en fonction du signal d’entrée et de la fonction de correction.
  10. Procédé (220, 230) selon la revendication 9,
    selon lequel
    dans l’étape de détermination du signal corrigé on applique la fonction de correction sur un ou plusieurs canaux couleurs à un niveau de gris des pixels du signal d’entrée.
  11. Procédé (220, 230) selon l’une des revendications précédentes,
    selon lequel
    le procédé comporte une étape de détermination de la distance de l’observateur (24) par rapport à l’afficheur (22),
    on adapte la plage de l’angle de vue de l’observateur (24) à l’afficheur (22) et/ou la fonction de correction selon la distance de l’observateur (24) par rapport à l’afficheur (22).
  12. Procédé selon l’une des revendications précédentes,
    selon lequel
    le procédé comprend une étape de détermination de la position de l’observateur (24),
    on détermine l’angle de vue de l’observateur (24) sur l’afficheur (22) et/ou la fonction de correction selon la position de l’observateur (24).
  13. Afficheur (22) pour présenter une image avec le signal corrigé selon l’une des revendications 9 à 12.
  14. Afficheur (22) selon la revendication 13,
    selon lequel
    l’afficheur (22) est réalisé pour afficher des images différentes dans au moins deux angles de vue différents, les images affichées dans un premier angle de vue étant représentés avec le signal corrigé.
  15. Système comportant un afficheur (22) selon l’une des revendications 13-14 et un dispositif d’observation (26) pour déterminer la distance de l’observateur (24) par rapport à l’afficheur (22) et/ou d’une position de l’observateur (24).
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