FR3135471A3 - Dispositif de réception d’eau muni d’une ouverture pour système de récupération d’eau - Google Patents
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Abstract
La présente invention concerne un dispositif de réception d’eau (10) comprenant au moins un bassin et un rebord (11) définissant un plan dans lequel est formé l’au moins un bassin, ledit au moins un bassin comprenant un fond (12) muni d’une première ouverture (13) configurée pour recevoir un système de vidange et à être raccordé à un conduit d’évacuation d’eaux usées, ledit dispositif de réception d’eau (10) comprenant au moins une première zone (14’, 14’’) destinée à constituer une deuxième ouverture (14) dans ledit plan, ladite deuxième ouverture (14) étant configurée pour monter un système de récupération d’eau (20) sur ledit plan. Figure pour l’abrégé : Figure 1
Description
La présente invention concerne le domaine des dispositifs de réception d’eau.
La présente invention concerne plus particulièrement un dispositif de réception d’eau permettant le montage d’un système de récupération d’eau, ledit système étant configuré pour récupérer l’eau du dispositif sans que celle-ci soit souillée.
Par dispositif de réception d’eau au sens de la présente invention, on entend ici et dans toute la description qui suit un évier ou encore un lavabo, c’est-à-dire un élément de mobilier dédié à la vaisselle et/ou la toilette, disposé généralement à mi-hauteur, muni d’un robinet permettant une arrivée d’eau dans un bassin, appelé également vasque ou bac, le bassin présentant un fond muni d’une ouverture connectée à un système de plomberie pour l’évacuation de l’eau. Un tel dispositif est généralement métallique ou en résine dans le cadre d’un évier ou en céramique ou résine dans le cadre d’un lavabo.
La présente invention trouvera ainsi de nombreuses applications avantageuses dans le domaine des installations de cuisine et/ou de salle de bains.
Le Demandeur observe que la plupart des éviers et lavabos permettent une sélection et/ou un mélange entre une arrivée d’eau froide et une arrivée d’eau chaude. Lorsque de l’eau chaude est sélectionnée, il est nécessaire d’attendre une certaine durée, durant laquelle de l’eau froide s’écoule, avant que le robinet ne distribue de l’eau chaude à la température souhaitée. Cette eau froide est généralement perdue et évacuée, résultant en une surconsommation inutile d’eau propre.
Afin de pallier ces pertes d’eau, il est connu de concevoir des éviers dont le bassin présente un fond muni à la fois d’une ouverture pour l’évacuation de l’eau et d’une ouverture auxiliaire, associée à une bonde permettant de boucher l’ouverture auxiliaire si nécessaire. Cette ouverture auxiliaire peut alors être connectée, plutôt qu’à une évacuation de l’eau, à un système de récupération de l’eau. Le document KR20010090052A détaille par exemple un tel évier.
Le Demandeur observe cependant qu’un tel système tend à souiller l’eau récupérée. En effet, l’usage normal de l’évier mène à une salissure du bassin et de l’ouverture auxiliaire par exemple par l’usage de produits ménagers ou sanitaires tels que du liquide vaisselle ou du savon, pouvant à son tour salir l’eau froide récupérée par l’ouverture auxiliaire, notamment si l’intérieur de l’ouverture auxiliaire est impacté. En particulier, un usage accidentel de l’ouverture auxiliaire, par exemple par usage de la bonde servant à la boucher, lorsque l’évier est empli d’eau souillée après un lavage, peut résulter en un encrassement à long terme de l’ensemble du système de récupération d’eau.
Le Demandeur soumet ainsi qu’il n’existe à ce jour aucune solution alternative satisfaisante permettant la récupération d’eau inutilisée assurant que cette eau reste propre et apte à la consommation.
La présente invention vise à améliorer la situation actuelle décrite ci-dessus.
La présente invention vise plus particulièrement à remédier aux limitations ci-dessus en proposant un dispositif de réception d’eau permettant le montage d’un système de récupération d’eau évitant la souillure générée par l’usage normal du dispositif.
A cet effet, l’objet de la présente invention concerne dans un premier aspect un dispositif de réception d’eau comprenant au moins un bassin et un rebord définissant un plan dans lequel est formé l’au moins un bassin, l’au moins un bassin comprenant un fond muni d’une première ouverture configurée pour recevoir un système de vidange apte à obturer ou, inversement, ouvrir la première ouverture et à être raccordé à un conduit d’évacuation d’eaux usées.
En d’autres termes, le bassin définit un volume dans lequel de l’eau peut être écoulée, permettant l’emploi du dispositif pour des opérations de nettoyage. Lorsque le système de vidange obture la première ouverture, l’eau est emmagasinée à l’intérieur du volume, puis évacuée lorsque le système de vidange ouvre la première ouverture. Le système de vidange correspond par exemple à une bonde sanitaire. La première ouverture est ménagée au fond du bassin de manière à permettre la vidange complète du volume lorsque la première ouverture est ouverte. Le rebord définit le contour externe du bassin et s’étend de ce contour, à l’extérieur du volume défini par le bassin. Un tel rebord sert communément à recevoir des ustensiles relatifs aux opérations de nettoyage et également à poser ledit dispositif sur un mobilier, par exemple un meuble sanitaire ou un plateau de travail de cuisine.
Avantageusement, le dispositif de réception d’eau comprend au moins une première zone destinée à constituer une deuxième ouverture dans le plan, la deuxième ouverture étant configurée pour monter un système de récupération d’eau sur le plan.
Par zone destinée à constituer une ouverture au sens de la présente invention, on comprend ici et dans toute la description qui suit une portion spécifique du dispositif, laquelle est expressément dédiée à former une ouverture. Il peut s’agir ainsi d’une ouverture en tant que telle ou encore d’une variation de la section du dispositif permettant le ménagement de l’ouverture lors de l’installation du dispositif et/ou du montage d’un élément sur l’ouverture, par exemple du montage du système de récupération d’eau sur la deuxième ouverture.
On comprend ici que la première zone est disposée à l’extérieur du bassin de sorte que la deuxième ouverture se situe hors du volume dans lequel l’eau est écoulée lors de l’emploi du dispositif. Le système de récupération d’eau est ainsi monté sur le plan du rebord, par exemple sur le rebord en lui-même ou un élément adjacent au rebord, par exemple un plateau de meuble sanitaire ou un plateau de travail de cuisine, selon la conception du dispositif. Un tel système de récupération correspond par exemple à une bonde montée sur la deuxième ouverture, notamment une bonde sanitaire similaire à celle d’un système de vidange.
Grâce à la présente invention, il devient possible de réaliser un dispositif de réception d’eau, par exemple un évier ou un lavabo, lequel est muni d’un système de récupération d’eau permettant de recevoir l’eau froide inutilisée, sans qu’un tel système ou que l’eau froide inutilisée ne soient souillés par l’emploi du dispositif. L’eau récupérée reste ainsi propre et consommable pour son utilisation future, au même titre que l’eau froide initialement écoulée.
Dans un mode de réalisation avantageux de l’invention, le dispositif comprend au moins une deuxième zone destinée à constituer une troisième ouverture, la troisième ouverture étant configurée pour monter un robinet.
On comprend ici que la deuxième zone permet la conception de dispositifs comportant un bassin, un système de récupération d’eau et un robinet à l’intérieur d’un même ensemble, par exemple dans un assemblage. La deuxième zone est par exemple disposée de manière adjacente à la première zone.
Selon une conception particulière, on prévoit deux deuxièmes zones disposées de part et d’autre du bassin, l’installation du dispositif et le montage du robinet comprenant une sélection d’une deuxième zone selon l’orientation du dispositif, la troisième ouverture étant alors ménagée selon la deuxième zone sélectionnée.
De préférence, l’au moins une deuxième zone est disposée dans le plan défini par le rebord.
L’homme du métier comprend que d’autres variantes sont envisageables, par exemple le montage d’un robinet selon une sortie murale adjacente au bassin, selon la conception globale du dispositif, ou encore la disposition du robinet directement à l’intérieur du bassin.
Dans un mode de réalisation, l’au moins une première zone est disposée sur le rebord.
Dans un autre mode de réalisation pouvant être combiné avec le mode précédent, l’au moins une deuxième zone est disposée sur le rebord.
La disposition de l’au moins une première zone et/ou de l’au moins une deuxième zone sur le rebord permet de concevoir et de réaliser le bassin et l’au moins une première et/ou deuxième zone à l’intérieur d’une même pièce, par exemple une plaque métallique présentant un bac formant le bassin et un rebord muni de l’au moins une première et/ou deuxième zone. La conception et la fabrication du dispositif sont par conséquent simplifiées.
Dans un mode de réalisation additionnel, l’au moins une première zone est disposée à une distance de l’au moins une deuxième zone, la distance étant dimensionnée pour correspondre à un entraxe entre un bec et un corps de tuyau d’un robinet compatible avec la troisième ouverture.
En d’autres termes, la première zone et la deuxième zone sont disposées l’une par rapport à l’autre de manière à permettre, lorsqu’un robinet de taille standard est monté sur la troisième ouverture, d’orienter ce robinet de manière à diriger directement l’eau s’écoulant du robinet dans le système de récupération d’eau. Une telle conception facilite ainsi l’emploi du dispositif et réduit le risque d’éclaboussures. Les dimensions de l’entraxe du robinet sont par exemple corrélées avec le diamètre de la troisième ouverture, permettant de concevoir de manière conjointe le positionnement respectif des zones et les dimensions de l’au moins une deuxième zone.
De préférence, le dispositif comporte une pluralité de premières zones disposées à une pluralité de distances de ladite au moins une deuxième zone, lesdites distances étant dimensionnées pour correspondre à une pluralité de valeurs d’entraxe de robinets compatibles avec la troisième ouverture.
On comprend ici que, lors de l’installation du dispositif, le ménagement des deuxième et troisième ouvertures et l’assemblage du système de récupération d’eau et du robinet sont fait de concerts pour faire correspondre les dimensions du robinet à la position relative du système de récupération d’eau par rapport au robinet.
Dans un mode de réalisation supplémentaire, l’au moins une deuxième zone présente, selon son épaisseur, une réduction de matière définissant la forme de la troisième ouverture.
On comprend ici que la réduction de matière correspond à une variation du profil du dispositif au niveau de la deuxième zone permettant d’indiquer et/ou de délimiter la troisième ouverture et/ou d’en faciliter le ménagement. La réduction de matière correspond par exemple à une prédécoupe ou encore à une réduction de l’épaisseur du dispositif. La réduction de matière est par exemple réalisée de manière à ne pas être apparente, en particulier dans le cadre d’une pluralité de deuxièmes zones parmi lesquelles une seule est sélectionnée, de manière à ne pas impacter l’apparence du dispositif une fois le robinet monté.
Dans un autre mode de réalisation pouvant être combiné avec le mode précédent, l’au moins une première zone présente, selon son épaisseur, une réduction de matière définissant la forme de la deuxième ouverture.
On comprend ici, de la même manière, que la réduction de matière permet de faciliter le ménagement de la deuxième ouverture et le montage du système de récupération d’eau, en particulier sans modification de l’apparence du dispositif.
Dans un mode de réalisation, le dispositif de réception d’eau est ménager, du type évier, ou sanitaire, du type lavabo.
L’homme du métier comprend ici que les caractéristiques spécifiques du dispositif sont de préférence adaptées pour la conception d’un dispositif de type évier ou de type lavabo. Un dispositif de réception d’eau ménager est par exemple réalisé en une seule pièce métallique, tandis qu’un dispositif de réception d’eau sanitaire est par exemple réalisé à partir d’une vasque en céramique associée à un robinet métallique, notamment un robinet sur support mural.
Un deuxième aspect de la présente invention concerne un ensemble qui comprend le dispositif de réception d’eau selon le premier aspect de l’invention et un système de récupération d’eau, le système de récupération d’eau comprenant une bonde assemblée selon la deuxième ouverture du dispositif de réception d’eau, la bonde comportant un corps définissant un espace interne.
En d’autres termes, le corps de la bonde forme une cuvette, dit espace ou encore volume interne, lequel permet une accumulation d’eau évitant un débordement instantané du système de récupération d’eau. Bien évidemment, la bonde permet une communication avec le système de récupération d’eau, de manière à permettre la réception d’un volume au moins égal à celui s’écoulant lors de la chauffe de l’eau écoulée du robinet.
On comprend ici que la bonde correspond à la portion du système de récupération d’eau dédiée à être montée sur la deuxième ouverture, la deuxième ouverture et la bonde présentant par conséquent des dimensions complémentaires permettant leur assemblage. Le corps de la bonde correspond par exemple à un contour de la deuxième ouverture.
Dans un mode de mise en œuvre, le corps forme un épaulement selon une extrémité, le corps présentant un filetage, la bonde étant assemblée selon la deuxième ouverture par mise en étau d’un contour de la deuxième ouverture entre l’épaulement et un écrou vissé sur le filetage.
En d’autres termes, la bonde est assemblée avec la deuxième ouverture selon un système vis-écrou, le corps de la bonde formant la vis. Un tel assemblage est par exemple complété par l’emploi de joints d’étanchéité, par exemple disposés entre l’écrou et le contour de la deuxième ouverture. L’épaulement formé par le corps définit ainsi une face venant en contact avec le contour de la deuxième ouverture, et correspondant par exemple au plan du rebord.
Dans un mode de mise en œuvre additionnel, la bonde comporte un tuyau d’évacuation pouvant être connecté à un conduit, le tuyau d’évacuation communiquant avec l’espace interne et définissant une embouchure de l’espace interne.
En d’autres termes, le tuyau d’évacuation forme la sortie de la bonde et définit en particulier le débit de récupération d’eau. Un tel tuyau est de préférence disposé selon un fond de l’espace interne, c’est-à-dire en portion inférieure du corps, de manière à éviter la stagnation de l’eau récupérée. Selon la conception, le tuyau d’évacuation forme un élément monobloc avec la bonde ou encore est assemblé avec la bonde par exemple par emboîtement ou par vissage. Le tuyau d’évacuation peut être relié à une canalisation ou un conduit, permettant ainsi de connecter la bonde avec le reste du système de récupération d’eau.
Dans un mode de mise en œuvre supplémentaire, le système de récupération d’eau comporte un réservoir de récupération d’eau, le tuyau d’évacuation étant connecté au réservoir.
On comprend ici que le réservoir de récupération d’eau permet une réutilisation personnelle de l’eau récupérée plutôt qu’une simple différenciation entre l’eau évacuée et l’eau récupérée.
De préférence, le réservoir comporte une pompe connectée à une arrivée en eau d’un robinet.
On comprend ici que cette conception permet de réutiliser automatiquement l’eau récupérée sans nécessiter de manipulation supplémentaire, comme l’extraction du réservoir pour transvaser l’eau récupérée dans un autre récipient ou une cuve afin de la réutiliser. L’ensemble comporte par exemple une électrovanne permettant d’activer la pompe, notamment de manière à activer la pompe lorsque le réservoir n’est pas vide, par exemple en fonction d’une sonde de niveau associée au réservoir, et de basculer sur un autre circuit d’eau lorsque le réservoir est vide. Le robinet correspond par exemple à un robinet monté sur le dispositif de réception d’eau, permettant de réutiliser l’eau non souillée de manière circulaire en constituant une deuxième arrivée d’eau froide, ou à un robinet extérieur permettant par exemple d’alimenter un système d’arrosage. Bien évidemment, le réservoir de récupération d’eau peut être connecté à une variété de systèmes connus de l’homme du métier aptes à consommer l’eau non souillée récupérée.
Dans un mode de mise en œuvre spécifique, la bonde comprend un prolongateur, le prolongateur présentant un tronçon dont la surface extérieure correspond à une surface intérieure d’une partie du corps, le prolongateur étant configuré pour passer d’une première position dans laquelle le tronçon est engagé dans le corps à une deuxième position dans laquelle le tronçon s’étend du corps.
En d’autres termes, le tronçon s’emboîte au moins partiellement dans le corps, par exemple de manière télescopique, et peut s’étendre du corps de manière à augmenter la hauteur de la bonde. Cette conception permet en particulier de rapprocher la bonde d’un bec d’un robinet associé au dispositif de réception d’eau, de manière à réduire les éclaboussures lors de la récupération d’eau.
De préférence, le prolongateur est flexible.
On comprend ici que la flexibilité du prolongateur permet d’adapter la position de l’embouchure du prolongateur à celle du robinet, et donc de faciliter la correspondance entre le système de récupération d’eau et tout robinet associé à l’ensemble. La flexibilité permet par exemple également d’étirer le prolongateur de manière à le positionner directement sous le bec du robinet.
Dans encore un mode de mise en œuvre, l’ensemble comporte un capuchon amovible complémentaire de la bonde.
On comprend ici que le capuchon amovible permet d’obturer la bonde lorsque celle-ci n’est pas employée, notamment de manière à éviter un encrassement du système de récupération d’eau ainsi que de préserver l’apparence du dispositif de réception d’eau.
Ainsi, par les différentes caractéristiques techniques fonctionnelles et structurelles ci-dessus, le Demandeur propose un dispositif de réception d’eau configuré pour recevoir un système de récupération d’eau, et un ensemble comprenant un tel dispositif et un système de récupération, permettant la récupération d’eau inutilisée du dispositif sans que celle-ci ne soit souillée par l’usage normal du dispositif de réception d’eau.
D’autres caractéristiques et avantages de la présente invention ressortiront de la description ci-dessous en référence aux figures 1 à 9 annexées illustrant une pluralité d’exemples de réalisation qui sont dépourvus de tout caractère limitatif et sur lesquelles :
La représente une vue schématique d’un dispositif de réception d’eau selon un premier exemple de réalisation de la présente invention ;
La représente une vue schématique vue de haut d’un dispositif de réception d’eau selon un deuxième exemple de réalisation de la présente invention ;
La représente une vue schématique vue de haut d’un dispositif de réception d’eau selon un troisième exemple de réalisation de la présente invention ;
La représente une vue schématique d’un ensemble comprenant un dispositif de réception d’eau associé à un système de récupération d’eau selon un quatrième exemple de réalisation de la présente invention ;
La représente une vue en coupe d’une bonde assemblée selon la deuxième ouverture d’un dispositif de réception d’eau conforme à l’une des figures 1 à 4 ;
La représente une vue en coupe d’une bonde conforme à la recevant un premier exemple de prolongateur dans la première position ;
La représente une vue en coupe d’une bonde conforme à la , le prolongateur étant dans la deuxième position ;
La représente une vue en coupe d’une bonde conforme à la recevant un deuxième exemple de prolongateur dans la deuxième position ; et
La représente une vue en coupe d’une bonde assemblée selon la deuxième ouverture d’un dispositif de réception d’eau conforme à l’une des figures 1 à 4, la bonde recevant un pot.
La présente invention va maintenant être décrite dans ce qui va suivre en référence conjointement aux figures 1 à 9 annexées à la description. Des mêmes éléments sont identifiés avec des mêmes signes de référence tout au long de la description qui va suivre.
Comme indiqué dans le préambule de la description, l’incorporation d’un système de récupération d’eau aux dispositifs de réception d’eau, notamment aux éviers et lavabos, entraîne une contamination de l’eau récupérée par l’usage normal du dispositif de réception d’eau.
Un des objectifs de la présente invention consiste à permettre la récupération d’eau inutilisée, notamment lors de l’emploi d’une arrivée d’eau chaude, garantissant que l’eau récupérée reste consommable.
Ceci est rendu possible dans l’exemple décrit ci-après, lequel considère un dispositif de réception d’eau équipé d’un système de récupération d’eau.
On comprendra ici que cet exemple n’est pas limitatif et que l’invention trouvera d’autres inventions et configurations pour l’association d’un système de récupération d’eau et d’un dispositif de réception d’eau.
Selon l’exemple de la , un dispositif de réception d’eau 10 développé dans le cadre de la présente invention est associé à un système de récupération d’eau, formant ainsi un ensemble 100. Le dispositif de réception d’eau 10 correspond par exemple à un dispositif ménager, de type évier ( ), ou à un dispositif sanitaire, de type lavabo ( ).
Comme illustré dans les figures 1 à 4, un tel dispositif de réception d’eau 10 comprend un bassin définissant un fond 12 ainsi qu’un rebord 11 définissant un plan. Le bassin est formé par rapport au plan défini par le rebord 11, c’est-à-dire en-dessous d’un tel plan dans une orientation normale du dispositif de réception d’eau 10. Selon une conception particulière illustrée dans les figures 1 et 4, le dispositif 10 comprend également un cadre 16 recevant le rebord 11 et le bassin, et permettant par exemple d’adapter la forme du dispositif 10 ou de l’intégrer à l’intérieur d’un élément de mobilier. Dans l’exemple de la , le dispositif 10 comprend une pluralité de bassins séparés, chacun présentant un fond 12. On comprend par conséquent que le dispositif 10 peut présenter un ou plusieurs bassins distincts au sein d’une structure unique.
En accord avec le fonctionnement du dispositif de réception d’eau 10, le fond 12 est muni d’une première ouverture 13 configurée pour la réception d’un système de vidange, notamment une bonde sanitaire. Un tel système de vidange est apte à obturer ou ouvrir la première ouverture 13 et permet le raccordement à un conduit d’évacuation d’eaux usées, permettant ainsi si besoin de remplir le bassin pour l’opération du dispositif de réception d’eau 10.
Selon l’exemple des figures 1 à 4, le dispositif de réception d’eau 10 comprend en outre au moins une première zone 14’, 14’’ (figures 2 et 3) destinée à constituer une deuxième ouverture 14 (figures 1 et 4) dans le plan défini par le rebord 11. Cette deuxième ouverture 14 est configurée pour monter un système de récupération d’eau, comme décrit ci-après. Optionnellement, le dispositif de réception d’eau 10 comprend également au moins une deuxième zone 15’, 15’’ (figures 2 et 3) destinée à constituer une troisième ouverture pour le montage d’un robinet 15 ( ). L’au moins une deuxième zone 15’, 15’’ est par exemple disposée également dans le plan défini par le rebord 11, ou encore directement dans le bassin.
Dans une première conception, l’au moins une première zone 14’, 14’’ correspond directement à la deuxième ouverture 14 et/ou l’au moins une deuxième zone 15’, 15’’ correspond directement à la troisième ouverture pour le montage du robinet 15, par exemple comme illustré dans la . Dans une deuxième conception, l’au moins une première zone 14’, 14’’ correspond à une zone expressément dédiée au ménagement de la deuxième ouverture 14 et/ou l’au moins une deuxième zone 15’, 15’’ correspond à une zone expressément dédiée au ménagement de la troisième ouverture, tel qu’illustré aux figures 2 et 3. L’au moins une première zone 14’, 14’’ et/ou l’au moins une deuxième zone 15’, 15’’ sont par exemple délimitées par une réduction de matière définissant la forme de la deuxième ouverture 14 et/ou de la troisième ouverture. Une telle réduction de matière correspond à une prédécoupe ou à une réduction locale de l’épaisseur du dispositif 10.
On comprend alors que le ménagement de la deuxième ouverture 14 et/ou de la troisième ouverture correspond à une sélection, parmi les premières zones 14’, 14’’ et/ou deuxièmes zones 15’, 15’’, celle propice au ménagement de l’ouverture. La sélection est par exemple effectuée selon la disposition et l’orientation du dispositif 10 dans la pièce, notamment entre un premier ensemble 14’, 15’ et un deuxième ensemble 14’’, 15’’ disposés de part et d’autre du bassin.
La disposition des zones 14’, 14’’, 15’, 15’’ peut également être ajustée selon la conception du dispositif 10. Ainsi, l’au moins une première zone 14’, 14’’ est par exemple directement disposée sur le rebord 11, selon l’exemple des figures 2 et 3, ou encore sur le cadre 16 recevant le rebord 11 et le bassin, selon l’exemple de la . De même, l’au moins une deuxième zone 15’, 15’’ est par exemple directement disposée sur le rebord 11, par exemple de manière adjacente à l’au moins une première zone 14’, 14’’, ou en toute autre position du dispositif 10, selon l’agencement voulu du robinet 15. On prévoit encore des conceptions dans lesquelles le dispositif 10 est associé à un robinet externe, par exemple un robinet sur support mural.
Avantageusement, on prévoit que la disposition de l’au moins une première zone 14’, 14’’ relativement à l’au moins une deuxième zone 15’, 15’’ corresponde à l’entraxe d’un robinet compatible avec la troisième ouverture. Comme illustré dans les figures 2 et 3, chaque première zone 14’, 14’’ est séparée de l’au moins une deuxième zone 15’, 15’’ selon une distance d1, d2 définie, la sélection de l’au moins une première zone 14’, 14’’ et de l’au moins une deuxième zone 15’, 15’’ correspondant également à la sélection de la distance d1, d2. Ainsi, lorsque la deuxième ouverture 14 est ménagée et que le robinet 15 est monté, le robinet 15 peut être orienté de sorte que le bec du robinet 15 corresponde sensiblement avec la deuxième ouverture 14. En outre, la pluralité de distances d1, d2 résultant des combinaisons possibles est par exemple déterminée en fonction des différents modèles de robinet compatibles avec le diamètre de la troisième ouverture, c’est-à-dire des dimensions de l’au moins une deuxième zone 15’, 15’’.
Comme énoncé ci-avant, un système de récupération d’eau est monté selon la deuxième ouverture 14, formant ainsi au moins partiellement un ensemble 100 avec le dispositif 10. Ainsi, l’eau s’écoulant du robinet 15 peut être récupérée par le système de récupération d’eau monté selon la deuxième ouverture 14, par mise en correspondance du robinet 15 avec la deuxième ouverture 14. Selon l’exemple des figures 4 à 9, ce système de récupération d’eau comprend une bonde 20 assemblée selon la deuxième ouverture 14, par exemple similaire à une bonde sanitaire connue de l’homme du métier. Une pluralité d’exemples de bonde 20 est détaillée dans les figures 5 à 9.
Dans ce même exemple, la bonde 20 comprend un corps 21 définissant un espace interne 22, c’est-à-dire un corps 21 creux. Le corps 21 définit également la structure externe de la bonde 20 et donc permet de dimensionner son assemblage selon la deuxième ouverture 14. On prévoit ainsi un assemblage vis-écrou entre le corps 21 et la deuxième ouverture 14, le corps 21 présentant d’une part un filetage et d’autre part un épaulement 23, l’épaulement 23 venant en butée contre le contour de la deuxième ouverture 14 et étant serré par un écrou 24 vissé sur le filetage. Avantageusement, un joint 25 est disposé entre l’écrou 24 et le contour de la deuxième ouverture 14, de manière à assurer l’étanchéité de l’assemblage. Tout autre élément connu de l’homme du métier et permettant d’améliorer l’étanchéité de l’assemblage de la bonde 20 selon la deuxième ouverture 14 peut également être considéré.
L’espace interne 22 est ouvert en portion supérieure, c’est-à-dire qu’il forme une cuvette venant recevoir l’eau du robinet 15 pour sa récupération, l’espace interne 22 étant alors connecté au reste du système de récupération d’eau. Optionnellement, on prévoit en outre un capuchon (non illustré) amovible complémentaire de la bonde et venant obturer la portion supérieure de l’espace interne 22 lorsque le système de récupération d’eau n’est pas employé.
Dans ce même exemple, on prévoit un tuyau d’évacuation 26 formant une embouchure de l’espace interne 22, c’est-à-dire assemblé avec la bonde 20 de manière à communiquer avec l’espace interne 22. Selon la réalisation de la bonde 20, le tuyau d’évacuation 26 forme un élément monobloc avec la bonde 20 ou est assemblé avec elle, par exemple par emboîtement ou vissage, de manière à réaliser une connexion étanche entre le tuyau d’évacuation 26 et l’espace interne 22. De préférence, le tuyau d’évacuation 26 est agencé dans le fond de l’espace interne 22.
Comme illustré dans la , le tuyau d’évacuation 26 peut être connecté à un conduit 26’, correspondant par exemple à une canalisation du système de récupération d’eau ou encore un conduit souple facilitant le raccordement de la bonde à toute autre configuration du système de récupération d’eau. Dans ce même exemple, le tuyau d’évacuation 26 est ainsi relié,viale conduit 26’, à un réservoir de récupération d’eau 30, permettant ainsi d’emmagasiner l’eau récupérée. Avantageusement, le tuyau d’évacuation 26 et le conduit 26’ sont dimensionnés de manière à permettre la circulation d’un débit au moins égal au débit du robinet 15, c’est-à-dire de l’arrivée d’eau à laquelle le dispositif 10 est connecté.
Cette eau récupérée peut alors être réutilisée selon une variété de configurations, notamment en associant une pompe 31 au réservoir 30. Selon une conception avantageuse, le réservoir 30 est ainsi relié à une arrivée en eau froide du robinet 15 du dispositif 10, permettant ainsi directement de réemployer l’eau non utilisée par ce même dispositif 10. En raison de la disposition de la deuxième ouverture 14, l’eau récupérée par le système de récupération d’eau n'est pas souillée, tout comme la bonde 20, assurant que celle-ci reste consommable et puisse donc être directement réutilisée par le dispositif 10, par exemple pour nettoyer des légumes. Bien évidemment, la consommation de l’eau stockée dans le réservoir 30 peut être contrôlée d’une variété de moyens, par exemple à l’aide d’une électrovanne et/ou d’une sonde de niveau, selon l’architecture du système de récupération d’eau et le ou les dispositifs auxquels le réservoir 30 est connecté.
Optionnellement, la bonde 20 comprend un prolongateur 27 assemblé avec le corps 21 permettant d’approcher la bonde 20 du robinet 15 et donc de faciliter la récupération d’eau. Selon l’exemple des figures 6 et 7, le prolongateur 27 est configuré pour passer entre une première position, dans laquelle un tronçon du prolongateur 27 est engagé dans le corps 21 ( ), à une deuxième position dans laquelle ce tronçon s’étend du corps 21 ( ). En d’autres termes, la surface extérieure du tronçon du prolongateur 27 correspond à une surface intérieure d’une partie du corps 21 de manière à permettre l’engagement et le dégagement du tronçon vis-à-vis du corps 21. Le prolongateur 27 et le corps 21 présentent par exemple tous deux des formes cylindriques, de sorte que le prolongateur 27 coulisse à l’intérieur du corps 21 ou encore se télescope à l’intérieur du corps 21.
Optionnellement, le prolongateur 27 présente également un épaulement permettant à l’extrémité supérieure du prolongateur de dépasser du corps 21, par exemple de manière à en permettre la préhension. Ainsi, un utilisateur du dispositif 10 peut déplacer manuellement le prolongateur 27 entre la première et la deuxième position pour l’usage du système de récupération d’eau, notamment afin d’évacuer l’eau froide en attendant l’arrivée d’eau chaude. Bien évidemment, on peut prévoir d’autres moyens, connus de l’homme du métier pour actionner le passage du prolongateur 27 entre la première et la deuxième position.
Selon une conception avantageuse illustrée en , le prolongateur 27 est flexible, c’est-à-dire que sa forme peut être adaptée lorsqu’il est en deuxième position, tout en correspondant à celle du corps 21 lorsque le prolongateur 27 est en première position. L’embouchure du prolongateur 27 peut ainsi être arrangée directement sur le bec du robinet 15 sans nécessiter de faire parfaitement correspondre le bec du robinet 15 avec la deuxième ouverture 14, simplifiant la conception du dispositif 10 et rendant le système de récupération d’eau compatible avec un robinet 15 immobile.
Selon une variante de réalisation illustrée dans la , on prévoit, à la place du prolongateur 27, un pot 28 venant recouvrir le corps 21. Le pot 28 présente par exemple avantageusement une portion inférieure complémentaire d’un contour externe de la portion supérieure du corps 21, par exemple définie par l’épaulement 23, de manière à faciliter l’assemblage du pot 28 sur le corps 21 et/ou à assurer une disposition étanche du pot 28. Cette conception permet en particulier à la fois d’approcher la bonde 20 du bec du robinet et de fournir une embouchure de surface supérieure, définie par les dimensions du pot 28 plutôt que de l’espace interne 22. Dans cet exemple, le pot 28 présente une structure interne en forme d’entonnoir, permettant ainsi de rediriger l’eau récupérée directement vers l’espace interne 22. Sur cette , l’espace interne 22 est ouvert en partie inférieure, c’est-à-dire que le corps 21 est sans fond, ledit corps 21 pouvant être placé au-dessus d’un récipient ou raccordé à tuyau rigide ou flexible lui-même raccordé à un réservoir. Sur cette , le pot 28 est fermé par un capuchon 32 amovible, lequel pourrait aussi être placé directement au-dessus de l’épaulement 23 du corps 21, lorsque ledit pot 21 est retiré. Ce capuchon 32 pourrait être utilisé avec les variantes des figures 4 à 8.
Ainsi, on comprendra que la présente invention prévoit un dispositif de réception d’eau compatible avec un système de récupération d’eau, ainsi qu’un ensemble comprenant à la fois le dispositif de réception d’eau et le système de récupération d’eau, dans lequel le système de récupération d’eau peut être monté de manière à éviter de souiller l’eau récupérée. L’eau récupérée, correspondant notamment à de l’eau froide inutilisée provenant d’une arrivée d’eau chaude, peut ainsi être employée pour une plus grande variété d’usages, et notamment être directement réutilisée, à titre ultérieur, dans le dispositif de réception d’eau en tant qu’eau froide consommable.
Il devra être observé que cette description détaillée porte sur un exemple de réalisation particulier de la présente invention, mais qu’en aucun cas cette description ne revêt un quelconque caractère limitatif à l’objet de l’invention ; bien au contraire, elle a pour objectif d’ôter toute éventuelle imprécision ou toute mauvaise interprétation des revendications qui suivent.
Il devra également être observé que les signes de références mis entre parenthèses dans les revendications qui suivent ne présentent en aucun cas un caractère limitatif ; ces signes ont pour seul but d’améliorer l’intelligibilité et la compréhension des revendications qui suivent ainsi que la portée de la protection recherchée.
Claims (16)
- Dispositif de réception d’eau (10) comprenant au moins un bassin et un rebord (11) définissant un plan dans lequel est formé l’au moins un bassin, ledit au moins un bassin comprenant un fond (12) muni d’une première ouverture (13) configurée pour recevoir un système de vidange apte à obturer ou, inversement, ouvrir ladite première ouverture (13) et à être raccordé à un conduit d’évacuation d’eaux usées, caractérisé en ce que le dispositif de réception d’eau (10) comprend au moins une première zone (14’, 14’’) destinée à constituer une deuxième ouverture (14) dans ledit plan, ladite deuxième ouverture (14) étant configurée pour monter un système de récupération d’eau sur ledit plan.
- Dispositif de réception d’eau (10) selon la revendication 1, lequel comprend au moins une deuxième zone (15’, 15’’) destinée à constituer une troisième ouverture, ladite troisième ouverture étant configurée pour monter un robinet (15).
- Dispositif de réception d’eau (10) selon la revendication 2, dans lequel l’au moins une première zone (14’, 14’’) et l’au moins une deuxième zone (15’, 15’’) sont disposées sur ledit rebord (11).
- Dispositif de réception d’eau (10) selon l’une des revendications 2 ou 3, dans lequel ladite au moins une première zone (14’, 14’’) est disposée à une distance de ladite au moins une deuxième zone (15’, 15’’), ladite distance étant dimensionnée pour correspondre à un entraxe entre un bec et un corps de tuyau d’un robinet (15) compatible avec la troisième ouverture.
- Dispositif de réception d’eau (10) selon la revendication 4, lequel comporte une pluralité de premières zones (14’, 14’’) disposées à une pluralité de distances (d1, d2) de ladite au moins une deuxième zone (15’, 15’’), lesdites distances (d1, d2) étant dimensionnées pour correspondre à une pluralité de valeurs d’entraxe de robinets (15) compatibles avec la troisième ouverture.
- Dispositif de réception d’eau (10) selon l’une des revendications 2 à 5, dans lequel l’au moins une deuxième zone (15’, 15’’) présente, selon son épaisseur, une réduction de matière définissant la forme de la troisième ouverture.
- Dispositif de réception d’eau (10) selon l’une des revendications 1 à 6, dans lequel l’au moins une première zone (14’, 14’’) présente, selon son épaisseur, une réduction de matière définissant la forme de la deuxième ouverture (14).
- Dispositif de réception d’eau (10) selon l’une quelconque des revendications 1 à 7, lequel est ménager, du type évier, ou sanitaire, du type lavabo.
- Ensemble (100) comprenant le dispositif de réception d’eau (10) selon l’une des revendications 1 à 8 et un système de récupération d’eau, ledit système de récupération d’eau comprenant une bonde (20) assemblée selon ladite deuxième ouverture (14), ladite bonde (20) comportant un corps (21) définissant un espace interne (22).
- Ensemble (100) selon la revendication 9, dans lequel ledit corps (21) forme un épaulement (23) selon une extrémité, ledit corps (21) présentant un filetage, ladite bonde (20) étant assemblée selon ladite deuxième ouverture (14) par mise en étau d’un contour de ladite deuxième ouverture (14) entre ledit épaulement (23) et un écrou (24) vissé sur ledit filetage.
- Ensemble (100) selon la revendication 9 ou 10, dans lequel ladite bonde (20) comporte un tuyau d’évacuation (26) pouvant être connecté à un conduit (26’), ledit tuyau d’évacuation (26) communiquant avec ledit espace interne (22) et définissant une embouchure dudit espace interne (22).
- Ensemble (100) selon la revendication 11, dans lequel ledit système de récupération d’eau comporte un réservoir de récupération d’eau (30), ledit tuyau d’évacuation (26) étant connecté audit réservoir (30).
- Ensemble (100) selon la revendication 12, dans lequel ledit réservoir (30) comporte une pompe (31) connectée à une arrivée en eau d’un robinet.
- Ensemble (100) selon l’une des revendications 9 à 13, dans lequel ladite bonde (20) comprend un prolongateur (27), ledit prolongateur (27) présentant un tronçon dont la surface extérieure correspond à une surface intérieure d’une partie dudit corps (21), ledit prolongateur (27) étant configuré pour passer d’une première position dans laquelle ledit tronçon est engagé dans ledit corps (21) à une deuxième position dans laquelle ledit tronçon s’étend dudit corps (21).
- Ensemble (100) selon la revendication 14, dans lequel ledit prolongateur (27) est flexible.
- Ensemble (100) selon l’une des revendications 9 à 15, lequel comporte un capuchon amovible complémentaire de ladite bonde (20).
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