FR3112738A1 - Dispositif de connexion d’un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace - Google Patents
Dispositif de connexion d’un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace Download PDFInfo
- Publication number
- FR3112738A1 FR3112738A1 FR2007675A FR2007675A FR3112738A1 FR 3112738 A1 FR3112738 A1 FR 3112738A1 FR 2007675 A FR2007675 A FR 2007675A FR 2007675 A FR2007675 A FR 2007675A FR 3112738 A1 FR3112738 A1 FR 3112738A1
- Authority
- FR
- France
- Prior art keywords
- connection member
- yoke
- wiper arm
- upper wall
- main
- Prior art date
- Legal status (The legal status is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the status listed.)
- Granted
Links
- 239000011521 glass Substances 0.000 claims description 3
- 230000000903 blocking effect Effects 0.000 description 15
- 239000011324 bead Substances 0.000 description 7
- 230000006870 function Effects 0.000 description 5
- 210000005069 ears Anatomy 0.000 description 4
- 238000011084 recovery Methods 0.000 description 2
- 230000002269 spontaneous effect Effects 0.000 description 2
- 244000007853 Sarothamnus scoparius Species 0.000 description 1
- 238000010521 absorption reaction Methods 0.000 description 1
- 238000005452 bending Methods 0.000 description 1
- 230000000295 complement effect Effects 0.000 description 1
- 238000006073 displacement reaction Methods 0.000 description 1
- 210000002816 gill Anatomy 0.000 description 1
- 238000007373 indentation Methods 0.000 description 1
- 230000037431 insertion Effects 0.000 description 1
- 238000003780 insertion Methods 0.000 description 1
- 238000002955 isolation Methods 0.000 description 1
- 238000004806 packaging method and process Methods 0.000 description 1
Classifications
-
- B—PERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
- B60—VEHICLES IN GENERAL
- B60S—SERVICING, CLEANING, REPAIRING, SUPPORTING, LIFTING, OR MANOEUVRING OF VEHICLES, NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
- B60S1/00—Cleaning of vehicles
- B60S1/02—Cleaning windscreens, windows or optical devices
- B60S1/04—Wipers or the like, e.g. scrapers
- B60S1/32—Wipers or the like, e.g. scrapers characterised by constructional features of wiper blade arms or blades
- B60S1/40—Connections between blades and arms
- B60S1/4003—Multi-purpose connections for two or more kinds of arm ends
-
- B—PERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
- B60—VEHICLES IN GENERAL
- B60S—SERVICING, CLEANING, REPAIRING, SUPPORTING, LIFTING, OR MANOEUVRING OF VEHICLES, NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
- B60S1/00—Cleaning of vehicles
- B60S1/02—Cleaning windscreens, windows or optical devices
- B60S1/04—Wipers or the like, e.g. scrapers
- B60S1/32—Wipers or the like, e.g. scrapers characterised by constructional features of wiper blade arms or blades
- B60S1/40—Connections between blades and arms
- B60S1/4038—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end
- B60S1/4045—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end comprising a detachable intermediate element mounted on the channel-shaped end
- B60S1/4048—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end comprising a detachable intermediate element mounted on the channel-shaped end the element being provided with retention means co-operating with the channel-shaped end of the arm
-
- B—PERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
- B60—VEHICLES IN GENERAL
- B60S—SERVICING, CLEANING, REPAIRING, SUPPORTING, LIFTING, OR MANOEUVRING OF VEHICLES, NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
- B60S1/00—Cleaning of vehicles
- B60S1/02—Cleaning windscreens, windows or optical devices
- B60S1/04—Wipers or the like, e.g. scrapers
- B60S1/32—Wipers or the like, e.g. scrapers characterised by constructional features of wiper blade arms or blades
- B60S1/40—Connections between blades and arms
- B60S1/4038—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end
- B60S1/4045—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end comprising a detachable intermediate element mounted on the channel-shaped end
- B60S1/4048—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end comprising a detachable intermediate element mounted on the channel-shaped end the element being provided with retention means co-operating with the channel-shaped end of the arm
- B60S2001/4051—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end comprising a detachable intermediate element mounted on the channel-shaped end the element being provided with retention means co-operating with the channel-shaped end of the arm the intermediate element engaging the side walls of the arm
-
- B—PERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
- B60—VEHICLES IN GENERAL
- B60S—SERVICING, CLEANING, REPAIRING, SUPPORTING, LIFTING, OR MANOEUVRING OF VEHICLES, NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
- B60S1/00—Cleaning of vehicles
- B60S1/02—Cleaning windscreens, windows or optical devices
- B60S1/04—Wipers or the like, e.g. scrapers
- B60S1/32—Wipers or the like, e.g. scrapers characterised by constructional features of wiper blade arms or blades
- B60S1/40—Connections between blades and arms
- B60S1/4038—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end
- B60S1/4045—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end comprising a detachable intermediate element mounted on the channel-shaped end
- B60S1/4048—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end comprising a detachable intermediate element mounted on the channel-shaped end the element being provided with retention means co-operating with the channel-shaped end of the arm
- B60S2001/4054—Connections between blades and arms for arms provided with a channel-shaped end comprising a detachable intermediate element mounted on the channel-shaped end the element being provided with retention means co-operating with the channel-shaped end of the arm the intermediate element engaging the back part of the arm
Landscapes
- Engineering & Computer Science (AREA)
- Mechanical Engineering (AREA)
- Pivots And Pivotal Connections (AREA)
Abstract
Titre de l’invention : Dispositif de connexion d’un balai d’essuyage a un bras d’essuie-glace Dispositif de connexion (100) adapté pour relier un balai d’essuyage à au moins deux bras d’essuie-glace (320), le dispositif de connexion (100) comprenant au moins organe de connexion principal (110) configuré pour coopérer avec une chape d’un premier bras d’essuie-glace et au moins un organe de connexion secondaire (120) configuré pour coopérer avec une chape (321) d’un deuxième bras d’essuie-glace (320), l’organe de connexion principal (110) et l’organe de connexion secondaire (120) étant adaptés pour être montés l’un sur l’autre selon une direction d’empilement (D), l’organe de connexion principal (110) comprenant au moins deux flancs (113) reliés entre eux par une paroi supérieure (114) porteuse d’un bouton escamotable (112) configuré pour coopérer avec la chape du premier bras d’essuie-glace, l’organe de connexion secondaire (120) comprenant au moins une oreille latérale (122) adaptée pour coopérer avec la chape (321) du deuxième bras d’essuie-glace (320), l’organe de connexion secondaire (120) comprenant au moins une protubérance (125) configurée pour coopérer avec la chape (321) du deuxième bras d’essuie-glace (320). Figure 7
Description
Le domaine de la présente invention est celui des systèmes d’essuyage destinés aux véhicules automobiles. Plus particulièrement, le domaine de la présente invention est celui des moyens de connexion mis en œuvre entre un bras d’essuie-glace et un balai d’essuyage d’un tel système d’essuyage.
Les véhicules automobiles sont couramment équipés de systèmes d’essuyage destinés à nettoyer leurs surfaces vitrées, et notamment leurs pare-brise. De tels systèmes d’essuyage comprennent au moins un bras d’essuie-glace et un balai d’essuyage entraîné par le bras d’essuie-glace. Le bras d’essuie-glace est ainsi relié à un moteur électrique du véhicule et le balai d’essuyage comprend au moins une lame d’essuyage adaptée pour venir au contact de la surface vitrée à nettoyer. Afin de pouvoir entrainer le balai d’essuyage, un dispositif de connexion est agencé entre ce balai d’essuyage et le bras d’essuie-glace. Un tel dispositif de connexion comprend classiquement au moins un connecteur solidaire du balai d’essuyage et au moins un adaptateur qui permet quant à lui de relier le connecteur, et donc le balai d’essuyage sur lequel il est fixé, au bras d’essuie-glace.
Il existe aujourd’hui une multitude de bras d’essuie-glace différents qui nécessitent, pour leur fixation au balai d’essuyage, autant de dispositifs de connexion différents. Sont aujourd’hui commercialisés des dispositifs de connexion adaptés pour être utilisés sur la plupart de ces bras d’essuie-glace. Toutefois, les dernières innovations en la matière rendent ces dispositifs de connexion obsolètes.
La présente invention s’inscrit dans ce contexte en proposant un dispositif de connexion qui permet d’assurer la connexion entre un balai d’essuyage et au moins deux bras d’essuie-glace structurellement différents.
Un objet de la présente invention concerne ainsi un dispositif de connexion adapté pour relier un balai d’essuyage à au moins deux bras d’essuie-glace, le dispositif de connexion comprenant au moins organe de connexion principal configuré pour coopérer avec une chape d’un premier bras d’essuie-glace et au moins un organe de connexion secondaire configuré pour coopérer avec une chape d’un deuxième bras d’essuie-glace, l’organe de connexion principal et l’organe de connexion secondaire étant adaptés pour être montés l’un sur l’autre selon une direction d’empilement, l’organe de connexion principal comprenant au moins deux flancs reliés entre eux par une paroi supérieure porteuse d’un bouton escamotable configuré pour coopérer avec la chape du premier bras d’essuie-glace, l’organe de connexion secondaire comprenant au moins une oreille latérale adaptée pour coopérer avec la chape du deuxième bras d’essuie-glace, et l’organe de connexion secondaire comprenant au moins une protubérance configurée pour coopérer avec la chape du deuxième bras d’essuie-glace.
La présente invention permet d’utiliser un même dispositif de connexion pour relier le balai d’essuyage avec le premier bras d’essuie-glace, ou avec le deuxième bras d’essuie-glace qui se distinguent l’un de l’autre notamment par la structure de leurs chapes respectives. Dans une utilisation avec la chape du premier bras d’essuie-glace, le dispositif de connexion est dépourvu de l’organe de connexion secondaire. Dans une utilisation avec la chape du deuxième bras d’essuie-glace, le dispositif de connexion comprend à la fois l’organe de connexion principal et l’organe de connexion secondaire empilés l’un sur l’autre selon la direction d’empilement.
Selon une caractéristique de l’invention, le bouton escamotable est adapté pour être reçu dans un orifice ménagé dans la chape du premier bras d’essuie-glace. Par exemple, la chape du premier bras d’essuie-glace peut comprendre au moins deux parois latérales reliées entre elles par une paroi supérieure dans laquelle est ménagé l’orifice. Une coopération entre le bouton escamotable et un contour de l’orifice participe au maintien du dispositif de connexion dans la chape du premier bras d’essuie-glace.
Selon une autre caractéristique de l’invention, la protubérance est adaptée pour être reçue dans un trou ménagé dans la chape du deuxième bras d’essuie-glace. Par exemple, la chape du deuxième bras d’essuie-glace peut comprend au moins deux parois latérales reliées entre elles par une paroi supérieure dans laquelle est ménagé le trou. Avantageusement, le trou est un trou traversant, c’est-à-dire que ce trou débouche sur une face supérieure et sur une face inférieure de la paroi supérieure de la chape du deuxième bras d’essuie-glace dans laquelle il est ménagé. Une coopération entre la protubérance et un contour du trou participe au maintien du dispositif de connexion dans la chape du deuxième bras d’essuie-glace.
La chape du premier bras d’essuie-glace et la chape du deuxième bras d’essuie-glace présentent des différences structurelles. Notamment, la position de l’orifice dans la paroi supérieure de la chape du premier bras d’essuie-glace présente un décalage longitudinal par rapport à la position du trou ménagé dans la paroi supérieure de la chape du deuxième bras d’essuie-glace. Par exemple, une distance mesurée entre une extrémité longitudinale libre de la chape du premier bras d’essuie-glace et le contour de l’orifice ménagé dans cette chape est inférieure à une distance mesurée entre une extrémité longitudinale libre de la chape du deuxième bras d’essuie-glace et le contour du trou ménagé dans la paroi supérieure de cette chape. Les deux distances précitées sont mesurées selon une droite qui s’inscrit dans un plan d’extension principal de la paroi supérieure de la chape du bras d’essuie-glace concerné et également dans un plan parallèle à un plan d’extension principal d’au moins l’une des parois latérales de cette chape. On entend par « extrémité longitudinale libre de la chape » une extrémité de la chape concernée adaptée pour être engagée avec le dispositif de connexion selon l’invention.
Avantageusement, le bouton escamotable est configuré pour générer un effort contre la protubérance. Par exemple, la paroi supérieure de l’organe de connexion principal comprend une languette élastique porteuse du bouton escamotable. On entend ici par « languette élastique », une languette adaptée pour reprendre sa position initiale après avoir subi une déformation mécanique. On comprend ainsi que l’élasticité de cette languette participe à conférer au bouton son caractère escamotable. Tel qu’évoqué ci-dessus, dans une utilisation avec la chape du deuxième bras d’essuie-glace, l’organe de connexion secondaire est empilé sur l’organe de connexion principal selon la direction d’empilement. Le caractère élastique de la languette élastique porteuse du bouton escamotable garantit avantageusement la génération de l’effort contre la protubérance, cet effort participant au maintien de la protubérance en place dans le trou ménagé dans la paroi supérieure de la chape du deuxième bras d’essuie-glace. En d’autres termes, la languette élastique agit comme un ressort qui pousse la protubérance, par l’intermédiaire du bouton escamotable, de manière à éviter que cette protubérance échappe le trou ménagé dans la chape du deuxième bras d’essuie-glace. Autrement dit, on comprend que la protubérance est adaptée pour être interposée, au moins partiellement, entre le bouton escamotable et le trou ménagé dans la chape du deuxième bras d’essuie-glace.
Il convient donc de considérer que le bouton escamotable présente une première fonction de maintien mécanique de l’organe de connexion principal dans la chape du premier bras d’essuie-glace, grâce à la coopération entre ce bouton escamotable et le contour de l’orifice ménagé dans cette chape, ainsi qu’une deuxième fonction de maintien en position de la protubérance au sein du trou ménagé dans la chape du deuxième bras d’essuie-glace.
Avantageusement, l’organe de connexion secondaire peut comprendre au moins un organe de retenue adapté pour coopérer avec la paroi supérieure de l’organe de connexion principal. Particulièrement, cet organe de retenue peut être adapté pour coopérer avec une face inférieure de la paroi supérieure de l’organe de connexion principal. Avantageusement, cet organe de retenue permet d’empêcher, ou à tout le moins de limiter, les mouvements le long de la direction d’empilement de l’organe de connexion secondaire par rapport à l’organe de connexion principal, c’est-à-dire les mouvements selon une direction verticale. Cet au moins un organe de retenue participe ainsi au maintien de l’organe de connexion secondaire sur l’organe de connexion principal.
Selon une caractéristique de l’invention, l’organe de connexion secondaire peut comprendre au moins deux oreilles latérales, chacune prolongée par une branche latérale, les deux branches latérales étant reliées entre elles par un pont supérieur, ce pont supérieur étant prolongé par une paroi supérieure porteuse de la protubérance. Par exemple, le pont supérieur et les branches latérales peuvent prendre une conformation en U dans laquelle le pont supérieur forme une base de cette forme de U de laquelle naissent chacune des branches latérales. Chaque branche latérale est prolongée par l’une des oreilles latérales, un plan d’extension principal de chaque oreille latérale étant confondu avec un plan d’extension principal de la branche latérale qu’elle prolonge. Chaque oreille latérale s’étend en outre selon une direction d’extension principal sécante, avantageusement perpendiculaire, à une direction d’extension principale de la branche latérale qu’elle prolonge. Chaque oreille latérale présente une forme oblongue, dont une portion arrondie s’étend vers l’arrière, c’est-à-dire en éloignement de la branche latérale qu’elle prolonge.
Par exemple, l’au moins un organe de retenue peut émerger de la paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire et s’étendre selon une direction perpendiculaire à un plan d’extension principal de la paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire. Avantageusement, cet au moins un organe de retenue s’étend plus particulièrement dans un espace délimité, au moins partiellement, par la paroi supérieure et par les oreilles latérales de l’organe de connexion secondaire. Par exemple cet organe de retenue peut prendre la forme d’une tige qui prend naissance sur la paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire et qui se termine par un ergot adapté pour coopérer avec la face inférieure de la paroi supérieure de l’organe de connexion principal. Autrement dit, dans l’utilisation du dispositif de connexion avec la chape du deuxième bras d’essuie-glace, la paroi supérieure de l’organe de connexion principal est prise en sandwich entre la paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire et l’ergot de l’organe de retenue. Avantageusement, l’organe de connexion secondaire peut comprendre deux organes de retenue identiques entre eux.
Selon une caractéristique de l’invention, le pont supérieur et la paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire s’étendent dans deux plans parallèles et distincts. Autrement dit, le pont supérieur présente un épaulement formant un décalage vertical par rapport à la paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire, c’est-à-dire un décalage le long de la direction d’empilement de l’organe de connexion secondaire sur l’organe de connexion principal. Le pont supérieur comprend ainsi une première butée adaptée pour venir en appui contre l’organe de connexion principal et une deuxième butée, formée par l’épaulement généré par le décalage vertical susmentionné, contre laquelle la chape du deuxième bras d’essuie-glace est adapté pour prendre appui. En d’autres termes, le pont supérieur est interposé longitudinalement entre une extrémité longitudinale de la chape du deuxième bras d’essuie-glace et l’organe de connexion principal du dispositif de connexion.
Selon un exemple de l’invention, l’organe de connexion principal s’étend selon un axe d’extension principal entre une tête et le bouton escamotable. L’organe de connexion secondaire peut avantageusement comprendre au moins une excroissance adaptée pour coopérer avec ladite tête, avantageusement avec un bourrelet ménagé sous la tête de l’organe de connexion principal. Avantageusement, cette coopération permet un blocage vertical de l’organe de connexion secondaire par rapport à l’organe de connexion principal, c’est-à-dire un blocage selon la direction d’empilement de l’organe de connexion secondaire sur l’organe de connexion principal.
L’excroissance présente un profil courbé, vu dans un plan longitudinal et vertical, par exemple médian, de l’organe de connexion secondaire. Avantageusement, ce profil courbé permet de former un guide de montage de l’organe de connexion secondaire sur l’organe de connexion principal. Selon une caractéristique de l’invention, l’excroissance configurée pour coopérer avec la tête de l’organe de connexion principal émerge du pont supérieur de l’organe de connexion secondaire.
Selon une caractéristique de l’invention, au moins une cavité peut être ménagée, au moins, dans la paroi supérieure de l’organe de connexion principal, et l’organe de connexion secondaire peut comprendre au moins une patte configurée pour être reçue dans l’au moins une cavité de l’organe de connexion principal. Par exemple cette cavité peut être ménagée dans au moins l’un des flancs de l’organe de connexion principal et déboucher sur une face supérieure de la paroi supérieure de l’organe de connexion principal.
Par exemple, l’au moins une patte émerge de la paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire. Plus particulièrement, cette au moins une patte peut prendre naissance sur la paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire et s’étendre en direction des oreilles latérales de cet organe de connexion secondaire.
La coopération entre la patte de l’organe de connexion secondaire et la cavité ménagée dans l’organe de connexion principal permet de limiter un mouvement longitudinal de cet organe de connexion secondaire par rapport à l’organe de connexion principal, c’est-à-dire un mouvement selon une direction parallèle à l’axe d’extension principal de l’organe de connexion principal. Avantageusement, la coopération entre la patte de l’organe de connexion secondaire et la cavité ménagée dans la paroi supérieure de l’organe de connexion principal permet également de limiter les efforts transmis pendant les phases d’essuyage d’une surface vitrée par le système d’essuyage équipé du dispositif de connexion selon l’invention. Autrement dit, cette coopération entre la patte de l’organe de connexion secondaire et la cavité de l’organe de connexion principal a une fonction de reprise d’effort lors de ces phases d’essuyage. Avantageusement, une telle reprise d’effort permet de pérenniser la liaison entre le dispositif de connexion et la chape du deuxième bras d’essuie-glace, et donc par conséquent également la liaison entre le balai d’essuyage et le deuxième bras d’essuie-glace.
Par exemple, l’au moins une patte émerge de la paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire. Avantageusement, deux pattes émergent de la paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire et deux cavités sont ménagées dans la paroi supérieure de l’organe de connexion principal, chaque patte étant reçue dans l’une des cavités.
La présente invention concerne également un ensemble constitué d’un balai d’essuyage et d’un dispositif de connexion tel qu’il vient d’être évoqué. On entend ici par « ensemble » une disposition du balai d’essuyage ainsi que du dispositif de connexion dans un même contenant adapté à la vente. Par exemple, l’ensemble peut comprend un emballage qui contient le balai d’essuyage, l’organe de connexion principal et l’organe de connexion secondaire du dispositif de connexion.
La présente invention concerne également un système d’essuyage comprenant au moins un balai d’essuyage relié à un premier bras d’essuie-glace ou à un deuxième bras d’essuie-glace par l’intermédiaire d’un dispositif de connexion selon l’invention. Selon une caractéristique de l’invention, les deux flancs et la paroi supérieure de l’organe de connexion principal du dispositif de connexion délimitent un logement adapté pour recevoir au moins une partie du balai d’essuyage. Plus particulièrement, ce logement est adapté pour recevoir un connecteur solidaire du balai d’essuyage.
Selon l’invention, le premier bras d’essuie-glace et le deuxième bras d’essuie-glace comprennent respectivement au moins chape constituée d’au moins deux parois latérales reliées entre elles par une paroi supérieure, les deux parois latérales et la paroi supérieure définissant une zone de réception adaptée pour recevoir le dispositif de connexion. La chape du premier bras d’essuie-glace et la chape du deuxième bras d’essuie-glace présente en outre des largeurs internes identiques. On entend par « largeur interne d’une chape » une dimension de cette chape mesurée entre ses deux parois latérales selon une direction perpendiculaire à un plan d’extension principal d’une première paroi latérale de la chape et à un plan d’extension principal d’une deuxième paroi latérale de cette chape. Tel qu’évoqué précédemment, la chape du premier bras d’essuie-glace et la chape du deuxième bras d’essuie-glace se distinguent l’une de l’autre, au moins par la position de l’orifice ménagé dans la paroi supérieure de la chape du premier bras d’essuie-glace par rapport à la position du trou ménagé dans la paroi supérieure de la chape du deuxième bras d’essuie-glace. Tel que mentionné ci-dessus, la coopération du bouton escamotable avec le contour de l’orifice ménagé dans la chape du premier bras d’essuie-glace et la coopération de la protubérance avec le contour du trou ménagé dans la chape du deuxième bras d’essuie-glace forment, respectivement, un premier moyen de coopération entre le bras d’essuie-glace concerné et le dispositif de connexion selon l’invention. Entre outre, chacune de ces chapes comprend au moins un deuxième moyen de coopération avec le dispositif de connexion selon l’invention.
Le deuxième moyen de coopération de la chape du premier bras d’essuie-glace comprend, par exemple, au moins un bord replié adapté pour coopérer avec le dispositif de connexion. Plus particulièrement, au moins un bord inférieur d’au moins l’une des parois latérales de la chape du premier bras d’essuie-glace est replié vers le logement définit par les parois latérales et la paroi supérieure de cette chape et ce bord replié est configuré pour venir en butée contre une arête inférieure de l’un des flancs de l’organe de connexion principal du dispositif de connexion. On entend par « bord inférieur de la paroi latérale » un bord libre de cette paroi latérale agencé à l’opposé d’un bord de cette paroi latérale par lequel elle est reliée à la paroi supérieure de la chape. De façon similaire, on entend par « arête inférieure du flanc » une arête libre de ce flanc, agencée à l’opposé d’une arête supérieure de ce flanc par laquelle il est relié à la paroi supérieure de l’organe de connexion principal. En d’autres termes, une fois le système d’essuyage assemblé, au moins la paroi supérieure et l’un des flancs de l’organe de connexion principal sont pris en sandwich entre la paroi supérieure de la chape du premier bras d’essuie-glace et l’au moins un bord replié de cette chape, de sorte que les mouvement verticaux, c’est-à-dire parallèles à une direction perpendiculaire à un plan d’extension principal de la paroi supérieure de la chape du premier bras d’essuie-glace, de l’organe de connexion principal par rapport à la chape du premier bras d’essuie-glace sont empêchés, ou à tout le moins limités. Avantageusement, le deuxième moyen de coopération de la chape du premier bras d’essuie-glace comprend deux bords repliés, chaque paroi latérale de la chape présentant alors une pliure de son bord inférieur et chaque bord inférieur replié ainsi formé venant en butée contre une arête inférieure de chacun des flancs de l’organe de connexion principal.
Le deuxième moyen de coopération de la chape du deuxième bras d’essuie-glace comprend quant à lui au moins une ouïe ménagé dans au moins l’une des deux parois latérales de la chape de ce deuxième bras d’essuie-glace, l’au moins une oreille latérale de l’organe de connexion secondaire est reçue dans cette ouïe. Avantageusement, l’organe de connexion secondaire peut comprendre deux oreilles latérales respectivement adaptées pour être agencée au contact de l’un des flancs de l’organe de connexion principal, au moins une ouïe étant ménagée dans chacune des parois latérales de la chape du bras d’essuie-glace, chaque oreille latérale étant adaptée pour être reçue dans l’une des ouïes. Avantageusement, la coopération entre les oreilles latérales de l’organe de connexion secondaire et les ouïes de la chape du deuxième bras d’essuie-glace permet d’empêcher, ou à tout le moins de limiter, un mouvement vertical de l’organe de connexion secondaire, et donc du dispositif de connexion dont il fait partie, par rapport à cette chape, c’est-à-dire un mouvement selon la direction d’empilement de l’organe de connexion secondaire sur l’organe de connexion principal. Par exemple, chacune de ces ouïes peut prendre la forme d’une découpe oblongue ouverte longitudinalement.
D’autres détails, caractéristiques et avantages ressortiront plus clairement à la lecture de la description détaillée donnée ci-après en relation avec les différents modes de fonctionnement illustrés, à titre indicatif, sur les figures suivantes :
Les caractéristiques, variantes et les différentes formes de réalisation de l’invention peuvent être associées les unes avec les autres, selon diverses combinaisons, dans la mesure où elles ne sont pas incompatibles ou exclusives les unes aux autres. On pourra notamment imaginer des variantes de l’invention ne comprenant qu’une sélection de caractéristiques décrites par la suite de manière isolée des autres caractéristiques décrites, si cette sélection de caractéristiques est suffisante pour conférer un avantage technique ou pour différencier l’invention par rapport à l’état de la technique antérieur.
Sur les figures, les dénominations longitudinale, transversale, latérale, gauche, droite, dessus, dessous, se réfèrent à l'orientation, dans un trièdre L, V, T d’un dispositif de connexion 100 selon l’invention. Dans ce repère, un axe longitudinal L représente une direction longitudinale, un axe transversal T représente une direction transversale, et un axe vertical V représente une direction verticale de l’objet considéré. Dans ce repère, une coupe transversale correspond à une coupe réalisée selon un plan transversal et vertical, c’est-à-dire un plan dans lequel s’inscrivent l’axe transversal T et l’axe vertical V du trièdre. Une coupe longitudinale désigne quant à elle une coupe réalisée selon un plan longitudinal et vertical, c’est-à-dire un plan dans lequel s’inscrivent l’axe longitudinal L et l’axe vertical X. Dans la description qui suit les termes « balai d’essuyage » et « balai » seront utilisés sans distinction, tout comme les termes « bras d’essuie-glace » et « bras ».
La figure 1 illustre, de façon schématique, en perspective, un système d’essuyage 200 selon l’invention. Tel que représenté, ce système d’essuyage 200 comprend au moins un balai d’essuyage 210 et au moins un premier bras d’essuie-glace 220 reliés entre eux par au moins un dispositif de connexion 100 selon l’invention. Tel que représenté, le dispositif de connexion 100 permet plus particulièrement de relier le balai d’essuyage 210 à une chape 221 du premier bras d’essuie-glace 220. Avantageusement, le dispositif de connexion 100 selon l’invention est adapté pour relier le balai d’essuyage 210 au premier bras d’essuie-glace 220 tel qu’illustré sur la figure 1 et également à au moins un deuxième bras d’essuie-glace, par exemple représenté aux figures 6 et 7.
Le balai d’essuyage 210 comprend au moins une lame d’essuyage 211 adaptée pour venir au contact d’une surface vitrée d’un véhicule équipé du système d’essuyage 200 selon l’invention, au moins un organe de rigidification – non visible sur la figure 1 – et au moins un déflecteur d’air 212. On entend par « déflecteur d’air » un élément configuré pour transformer une pression appliquée par un flux d’air circulant le long de la surface vitrée en une force d’appui du balai d’essuyage 210 contre la surface vitrée du véhicule automobile.
Le premier bras d’essuie-glace 220 est quant à lui configuré pour entrainer en rotation le balai d’essuyage 210. Par exemple, le premier bras d’essuie-glace 220 peut ainsi comprendre une première extrémité longitudinale formée par la chape 221 destinée à être relié au dispositif de connexion 100 et une deuxième extrémité longitudinale destinée à être reliée à un moteur électrique agencé sur le véhicule. La chape 221 présente quant à elle au moins une extrémité longitudinale 223 par laquelle elle est rattachée au premier bras d’essuie-glace 220 et au moins une extrémité longitudinale libre 224, adaptée pour être agencée au contact d’au moins une partie du dispositif de connexion 100. Ces deux extrémités longitudinales 223, 224 sont opposées l’une de l’autre le long de l’axe longitudinal L du trièdre illustré.
Selon l’invention, le deuxième bras d’essuie-glace présente une structure similaire à celle du premier bras d’essuie-glace. Les différences structurelles entre ces deux types de bras d’essuie-glace seront plus amplement détaillées ci-après.
La figure 2 illustre, en éclaté, un dispositif de connexion 100 selon la présente invention. Ce dispositif de connexion 100 comprend au moins un organe de connexion principal 110 et au moins un organe de connexion secondaire 120 adaptés pour être montés l’un sur l’autre, le long d’une direction d’empilement verticale, c’est-à-dire une direction parallèle à l’axe vertical V du trièdre illustré et orientée dans un sens descendant.
L’organe de connexion principal 110 s’étend selon un axe d’extension principal X parallèle à l’axe longitudinal L du trièdre illustré entre une tête 111 et un bouton escamotable 112. Autrement dit, cet organe de connexion principal 110 comprend au moins une extrémité longitudinale avant formée par la tête 111, une extrémité longitudinale arrière formée par le bouton escamotable 112 et un corps reliant la tête 111 au bouton escamotable 112. Cet organe de connexion principal 110, et plus particulièrement le corps de cet organe de connexion principal 110, comprend au moins deux flancs 113 reliés entre eux par une paroi supérieure 114. Les deux flancs 113 et la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110 définissent un logement adapté pour recevoir au moins une partie du balai d’essuyage. Plus particulièrement, ce logement est adapté pour recevoir un connecteur rendu solidaire du balai d’essuyage.
Au moins une découpe 117 est ménagée dans la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110. Tel que cela sera plus amplement détaillé ci-dessous, cette découpe 117 permet une coopération entre un organe de retenue 128 ménagé sur l’organe de connexion secondaire 120 et une face inférieure de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110. On entend par « face inférieure » une face de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110 tournée vers la surface vitrée à essuyer lorsque le dispositif de connexion 100 selon l’invention est monté sur le balai d’essuyage. La paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110 comprend ainsi une partie avant 118 qui s’étend entre la tête 111 et la découpe 117 ménagée dans cette paroi supérieure 114 et une partie arrière 119 qui s’étend quant à elle entre cette découpe 117 et le bouton escamotable 112.
La paroi supérieure 114 comprend au moins une languette élastique 115 porteuse du bouton escamotable 112. On entend ici par « languette élastique » une portion de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110 adaptée pour reprendre sa position initiale après avoir subi une déformation mécanique. Tel que représenté, cette languette élastique 115 s’étend ainsi entre une charnière 115’ et le bouton escamotable 112, la charnière 115’ formant un axe de pivotement de la languette élastique 115. En outre, un espace libre 115’’ est ménagé entre la languette élastique 115 et chacun des flancs 113 de l’organe de connexion principal 110. Autrement dit, c’est grâce à cette languette élastique 115 que le bouton escamotable 112 peut monter ou descendre, par fléchissement de la languette élastique 115, autour de l’axe de pivotement formé par la charnière 115’. Selon l’exemple illustré sur la figure 2, la partie arrière 119 de la paroi supérieure 114 est formée, majoritairement, par cette languette élastique 115 qui porte le bouton escamotable 112. Ce bouton escamotable 112 est adapté pour être reçu dans un orifice ménagé dans la chape du premier bras d’essuie-glace, et plus particulièrement dans une paroi supérieure de la chape de ce premier bras d’essuie-glace. La coopération entre ce bouton escamotable 112 et l’orifice qui le reçoit forme un premier moyen de coopération entre le dispositif de connexion 100 et la chape du premier bras d’essuie-glace.
L’un des flancs 113 de l’organe de connexion principal 110 comprend au moins un palier de pivotement 116 adapté pour recevoir un axe de rotation du dispositif de connexion 100 par rapport au balai d’essuyage sur lequel il est destiné à être monté. Selon l’exemple illustré, ce palier de pivotement 116 prend une forme carré. L’autre flanc 113 présente quant à lui au moins un toron 116’ adapté pour coopérer avec une forme complémentaire ménagée sur le connecteur solidaire du balai d’essuyage.
Au moins une cavité 130 est également ménagée dans l’un des flancs 113 de l’organe de connexion principal 110, cette au moins une cavité 130 débouchant sur une face supérieure de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110. On entend par « face supérieure » une face de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110 tournée à l’opposé de sa face inférieure telle que définie ci-dessus. Autrement dit, la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110 est délimitée verticalement par sa face supérieure d’une part et par sa face inférieure d’autre part. Cette au moins une cavité 130 est adaptée pour recevoir une patte 121 de l’organe de connexion secondaire 120. Cette au moins une cavité 130 débouche plus particulièrement sur la face supérieure de la partie avant 118 de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire entre la tête 111 de l’organe de connexion principal 110 et la découpe 117 ménagée dans la paroi supérieure 114 de cet organe de connexion principal 110. Selon l’exemple illustré, une cavité 130 est ménagée dans chacun des flancs 113, ces cavités 130 débouchant toutes deux sur la face supérieure de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110, et plus particulièrement sur la face supérieure de la partie avant 118 de cette paroi supérieure 114. Chacune de ces cavités 130 est adaptée pour recevoir au moins une patte 121 ménagée sur l’organe de connexion secondaire 120. Ces cavités 130 sont réparties de part et d’autre d’un plan P longitudinal et vertical médian de l’organe de connexion principal 110. Selon l’exemple illustré, ce plan P médian forme un plan de symétrie de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110.
Un renfoncement est en outre réalisé depuis un bord arrière 132 de la tête 111 de l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire depuis un bord de cette tête 111 tourné vers l’extrémité longitudinale arrière de cet organe de connexion principal 110 formée par le bouton escamotable 112. Ce renfoncement permet de générer un espace de réception 131 qui, dans une utilisation du dispositif de connexion 100 avec le deuxième bras d’essuie-glace est configuré pour permettre l’insertion d’une excroissance 126 ménagée sur l’organe de connexion secondaire 120. Dans une telle utilisation, le bord arrière 132 de la tête 111 est adapté pour former butée à l’organe de connexion secondaire 120. Dans une utilisation du dispositif de connexion 100 avec le premier bras d’essuie-glace, le bord arrière 132 de la tête 111 est adapté pour former butée à l’extrémité longitudinale libre de la chape de ce premier bras d’essuie-glace. Ces différentes coopérations entre la tête 111 de l’organe de connexion principal 110, l’organe de connexion secondaire 120 et l’extrémité libre de la chape du premier bras d’essuie-glace seront plus amplement détaillées ci-dessous.
La tête 111 de l’organe de connexion principal 110 est plus large et plus haute que le corps de cet organe de connexion principale 110. Autrement dit, la tête 111 de l’organe de connexion principal 110 s’étend au-delà de la paroi supérieure 114, le long de l’axe vertical V du trièdre illustré et au-delà de chacun des flancs 113 transversalement, c’est-à-dire parallèlement à l’axe transversal T du trièdre illustré. Avantageusement, de telles dimensions permettent que le bord arrière 132 de la tête 111 puisse venir en appui contre l’extrémité longitudinale libre de la chape du premier bras d’essuie-glace, tel que par exemple illustré sur la figure 4, et contre l’organe de connexion secondaire 120, lorsque le dispositif de connexion 100 est utilisé avec le deuxième bras d’essuie-glace, tel qu’illustré sur les figures 6 et 7.
L’organe de connexion secondaire 120 s’étend également selon un axe d’extension principal X’ parallèle à l’axe longitudinal L du trièdre illustré. Cet organe de connexion secondaire 120 comprend au moins une oreille latérale 122 adaptée pour être agencée au contact de l’un des flancs 113 de l’organe de connexion principal 110. Cette oreille latérale 122 présente une forme oblongue, dont une portion arrondie s’étend vers l’arrière. Selon l’exemple illustré ici, l’organe de connexion secondaire 120 comprend deux oreilles latérales 122 – une seule étant visible sur les figures - réparties de part et d’autre d’un plan longitudinal et vertical médian de cet organe de connexion secondaire 120. Selon l’exemple illustré, ce plan médian forme plus particulièrement un plan de symétrie de l’organe de connexion secondaire 120.
Ces deux oreilles latérales 122 sont respectivement prolongées par une branche latérale 123’, ces deux branches latérales 123’ étant reliées entre elles par un pont supérieur 123 duquel émerge une paroi supérieure 124. Les deux branches latérales 123’ et le pont supérieur 123 sont conformés en U, vu dans un plan vertical et transversal. Plus particulièrement, le pont supérieur 123 forme une base de cette forme de U depuis laquelle s’étendent chacune des branches latérales 123’, formant ainsi les branches de cette forme de U.
Chaque oreille latérale 122 s’inscrit principalement dans un plan vertical et longitudinal, c’est-à-dire un plan dans lequel s’inscrivent l’axe longitudinal L et l’axe vertical V du trièdre illustré. En outre, chaque branche latérale 123’ s’étend, majoritairement, dans un plan confondu avec le plan d’extension principal de l’oreille latérale 122 qu’elle prolonge. Enfin, chaque oreille latérale 122 s’étend selon une direction principale sécante, avantageusement perpendiculaire, à une direction d’extension principale de la branche latérale 123’ qui la prolonge. Selon l’exemple illustré, la direction d’extension principale de chaque oreille latérale 122 est parallèle à l’axe longitudinal L du trièdre illustré.
La paroi supérieure 124 s’inscrit quant à elle dans un plan longitudinal et transversal, c’est-à-dire qu’un plan d’extension principal de la paroi supérieure 124 est un plan dans lequel s’inscrivent l’axe longitudinal L et l’axe transversal T du trièdre illustré. Tel que cela sera mieux visible sur la figure 7, le pont supérieur 123 et la paroi supérieure 124 présentent un décalage vertical l’une par rapport à l’autre. Autrement dit, le pont supérieur 123 s’étend au-delà de la paroi supérieure 124 le long de l’axe vertical V du trièdre illustré en formant un épaulement 101. Avantageusement, et tel que cela sera plus amplement détaillé ci-dessous, ce décalage vertical permet à l’épaulement 101 formé de venir en butée contre l’extrémité longitudinale libre de la chape du deuxième bras d’essuie-glace du système d’essuyage auquel est destiné l’organe de connexion secondaire 120 du dispositif de connexion 100 selon l’invention.
Tel que représenté, la paroi supérieure 124 s’étend ainsi entre le pont supérieur 123 qui relie les branches latérales 123’ et une protubérance 125. Tel que plus amplement détaillé ci-après, cette protubérance 125 est adaptée pour être reçue dans un trou ménagé dans la chape du deuxième bras d’essuyage, et plus particulièrement dans une paroi supérieure de cette chape du deuxième bras d’essuyage. Une coopération entre la protubérance 125 et le trou dans lequel elle est reçue forme un premier moyen de coopération entre le dispositif de connexion 100 et le deuxième bras d’essuie-glace. Lorsqu’il est utilisé avec le deuxième bras d’essuie-glace, le dispositif de connexion 100 comprend l’organe de connexion secondaire 120 empilé sur l’organe de connexion principal 110. Il en résulte que, dans une telle utilisation, la protubérance 125 est interposée, au moins partiellement, entre le bouton escamotable 112 et la chape du deuxième bras d’essuie-glace. Cette protubérance 125 présente au moins une échancrure 129 configurée pour venir en appui contre le bouton escamotable 112 ménagé sur l’organe de connexion principal 110. Tel que représenté, cette échancrure 129 est plus particulièrement ménagée depuis un bord arrière 133 de la protubérance 125, c’est-à-dire depuis une extrémité longitudinale arrière de l’organe de connexion secondaire 120. On entend par « extrémité longitudinale arrière de l’organe de connexion secondaire » un point le plus extrême de l’organe de connexion secondaire 120 pris le long de l’axe d’extension principal X’ de cet organe de connexion secondaire 120.
Tel que précédemment évoqué, l’organe de connexion secondaire 120 comprend une excroissance 126 adaptée pour être insérée dans l’espace de réception 131 ménagé depuis le bord arrière 132 de la tête 111 de l’organe de connexion principal 110. Tel qu’illustré, cet excroissance 126 émerge du pont supérieur 123 et présente une courbure adaptée pour coopérer avec un bourrelet ménagé sous la tête 111 de l’organe de connexion principal 110. Avantageusement, la courbure de l’excroissance 126 forme un guide de montage de l’organe de connexion secondaire 120 sur l’organe de connexion principal 110. On note que cette excroissance 126 forme également une extrémité longitudinale avant de l’organe de connexion secondaire 120. Autrement dit, on comprend de ce qui précède que l’organe de connexion secondaire 120 s’étend le long de l’axe d’extension principal X’, entre l’excroissance 126 et la protubérance 125.
Tel que précédemment décrit, au moins une cavité 130 est ménagée dans l’un des flancs 113 de l’organe de connexion principal 110, cette au moins une cavité 130 étant adaptée pour recevoir une patte 121 de l’organe de connexion secondaire 120. Tel qu’illustré sur la figure 2, cette au moins une patte 121 émerge de la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120 et s’étend vers le bas, c’est-à-dire en direction de l’une des oreilles latérales 122, selon une direction verticale, c’est-à-dire une direction perpendiculaire, ou sensiblement perpendiculaire au plan d’extension principal de la paroi supérieure 124. Avantageusement, l’organe de connexion secondaire 120 comprend au moins deux pattes 121 qui émergent, respectivement, de deux bords parallèles de la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120. Chacune de ces pattes 121 est adaptée pour être reçue dans l’une des cavités 130 ménagées, au moins en partie, dans la partie avant 118 de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110. Ces pattes 121 émergent ainsi d’une partie avant de la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120, c’est-à-dire que ces pattes 121 sont ménagées plus près du pont supérieur 123 que de la protubérance 125 de l’organe de connexion secondaire 120.
Avantageusement, la coopération des pattes 121 avec leurs cavités 130 respectives mise en œuvre une fois que ces pattes 121 sont insérées dans les cavités 130, permet de réaliser une reprise d’effort lorsque le deuxième bras d’essuie-glace est en mouvement, c’est-à-dire lorsque ce deuxième bras d’essuie-glace entraine en rotation le balai d’essuyage auquel il est relié par l’intermédiaire du dispositif de connexion 100. Plus particulièrement, cette coopération permet une reprise des efforts transversaux, c’est-à-dire des efforts s’appliquant parallèlement à l’axe transversal T du trièdre illustré, subis par le dispositif de connexion 100 lors de phases de balayage de la surface vitrée du véhicule équipé du système d’essuyage selon l’invention.
Une rainure traversante 127 est également ménagée dans la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120. On entend par « rainure traversante » le fait que cette rainure débouche, à la fois sur la face supérieure et sur la face inférieure de la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120. Tel que cela sera plus amplement détaillé ci-dessous, notamment en référence à la figure 7, au moins un organe de retenue 128 s’étend depuis un bord 134 délimitant cette rainure 127.
Enfin, on note de la figure 2 que le pont supérieur 123 comprend au moins une portion avant 123a rétrécie. Autrement dit, cette portion avant 123a présente une dimension transversale, c’est-à-dire une dimension mesurée parallèlement à l’axe transversal T du trièdre illustré, entre deux bords opposés de cette portion avant 123a, inférieure à une dimension transversale – mesurée selon les mêmes contraintes – d’une portion arrière 123b de ce pont supérieur 123. Tel que plus amplement détaillé ci-dessous, la portion avant 123a du pont supérieur 123 est adaptée pour être reçue dans l’espace de réception 131 ménagé dans la tête 111 de l’organe de connexion principal 110. Autrement dit, cette portion avant 123a est adaptée pour venir en butée contre la tête 111 de l’organe de connexion principal 110.
En référence à la figure 3, nous allons plus amplement décrire le dispositif de connexion 100 adapté pour être utilisé avec le deuxième bras d’essuie-glace, c’est-à-dire le dispositif de connexion 100 formé de l’empilement de l’organe de connexion secondaire 120 sur l’organe de connexion principal 110, le long de la direction d’empilement D. Cette figure 3 rend ainsi notamment visible la coopération entre les pattes 121 et les cavités 130 qui les reçoivent, l’agencement des oreilles latérales 122 de l’organe de connexion secondaire 120 contre les flancs 113 de l’organe de connexion principal 110 – une seule de ces oreilles latérales 122 et un seul de ces flancs 113 étant visibles sur la figure 3 – ainsi que la coopération entre la portion avant 123a rétrécie et l’espace de réception 131 ménagé dans la tête 111 de l’organe de connexion principal 110. Le bord arrière 132 de la tête 111 est agencé au contact du pont supérieur 123, ainsi que des branches latérales 123’ qui portent les oreilles latérales 122. Plus particulièrement, ce bord arrière 132 de la tête 111 forme butée au pont supérieur 123 et aux branches latérales 123’, participant ainsi au blocage longitudinal de l’organe de connexion secondaire 120 par rapport à l’organe de connexion principal 110.
Cette figure 3 illustre également un agencement de la protubérance 125 par rapport au bouton escamotable 112. Tel qu’évoqué précédemment, la protubérance 125 présente une échancrure 129 dans laquelle le bouton escamotable 112 est reçu. Autrement dit, lorsque l’organe de connexion principal 110 et l’organe de connexion secondaire 120 sont empilés l’un sur l’autre, la protubérance 125 et le bouton escamotable 112 sont au moins partiellement superposés l’un sur l’autre. On note également un décalage longitudinal entre le bouton escamotable 112 de l’organe de connexion principal 110 et la protubérance 125 de l’organe de connexion secondaire 120. Ce décalage longitudinal participe à l’adaptabilité du dispositif de connexion 100 selon l’invention aux deux types de bras d’essuie-glace évoqués ci-dessus.
L’organe de connexion secondaire 120 est ainsi pris en sandwich entre la tête 111 de l’organe de connexion principal 110, et plus particulièrement entre le bord arrière 132 de cette tête 111, et le bouton escamotable 112 de cet organe de connexion principal 110, limitant ainsi les mouvements longitudinaux de l’organe de connexion secondaire 120 par rapport à l’organe de connexion principal 110.
Le premier bras d’essuie-glace et le deuxième bras d’essuie-glace comprennent, chacun, une chape constituée d’au moins deux parois latérales reliées entre elles par une paroi supérieure. Les deux parois latérales et la paroi supérieure d’une même chape définissent une zone de réception du dispositif de connexion selon l’invention. L’orifice ménagé dans la paroi supérieure de la chape du premier bras d’essuie-glace présente un décalage longitudinal par rapport au trou ménagé dans la paroi supérieure de la chape du deuxième bras d’essuie-glace. Autrement dit, une distance mesurée parallèlement à l’axe longitudinal L du trièdre entre l’extrémité longitudinale libre de la chape du premier bras d’essuie-glace et un contour de l’orifice est supérieure à une distance mesurée parallèlement à l’axe longitudinal L du trièdre entre l’extrémité longitudinal libre de la chape du deuxième bras d’essuie-glace et un contour du trou ménagé dans cette chape. Le décalage longitudinal entre la protubérance 125 et le bouton escamotable 112 est, selon l’invention, équivalent au décalage longitudinal entre l’orifice et le trou respectivement ménagés dans les chapes des premier et deuxième bras d’essuie-glace.
Tel que décrit ci-après, les oreilles latérales 122 sont adaptées pour participer au blocage vertical du dispositif de connexion 100 par rapport à la chape du deuxième bras d’essuie-glace. Ce deuxième bras d’essuie-glace comprend à cet effet des ouïes adaptées pour recevoir ces oreilles latérales 122. Autrement dit, une coopération entre les oreilles latérales 122 et les ouïes ménagées dans la chape forme un deuxième moyen de coopération entre le dispositif de connexion 100 et le deuxième bras d’essuie-glace.
Les figures 4 et 5 illustrent le dispositif de connexion 100 illustré en coopération avec la chape 221 du premier bras d’essuie-glace 220. Cette chape 221 comprend ainsi les deux parois latérales 201 – une seule d’entre elles étant visible sur la figure 4 - reliées entre elles par la paroi supérieure 202 dans laquelle est ménagé l’orifice 222 adapté pour recevoir le bouton escamotable 112 de l’organe de connexion principal 110. Le dispositif de connexion 100 adapté pour coopérer avec la chape 221 du premier bras d’essuie-glace 220 est dépourvu de l’organe de connexion secondaire.
La figure 4 illustre, en perspective vu de dessus, le dispositif de connexion 100 illustré en coopération avec la chape 221 du premier bras d’essuie-glace 220. On comprend de cette figure que la coopération entre le bouton escamotable 112 et le contour de l’orifice 222 permet un blocage longitudinal et transversal du dispositif de connexion 100 par rapport à la chape 221 dans laquelle est ménagé l’orifice 222.
Le bouton escamotable 112 est porté par la languette élastique précédemment décrite de sorte qu’il peut être désengager en exerçant une pression verticale sur ce bouton escamotable 112. Afin d’éviter un désengagement spontané de ce bouton escamotable 112, ce dernier présente un doigt de retenue 112’ qui prolonge sa paroi supérieure 112a, c’est-à-dire une paroi de ce bouton escamotable 112 qui s’étend majoritairement au-delà de l’orifice 222, et en dehors de la zone de réception du dispositif de connexion 100. En cas de mouvement intempestif du bouton escamotable 222 qui pourrait entrainer un désengagement de ce dernier, le doigt de retenue 112’ est adapté pour venir en butée contre la paroi supérieure 202 de la chape 221 du premier bras d’essuie-glace 220 de sorte à empêcher un tel désengagement.
Le blocage vertical du dispositif de connexion 100 par rapport à la chape 221 du premier bras d’essuie-glace 220 est quant à lui réalisé grâce à une coopération entre au moins un bord replié de la chape et l’organe de connexion principal. Cette coopération est par exemple illustrée sur la figure 5.
Cette figure 5 illustre, en perspective vu de dessous, le dispositif de connexion 100 en coopération avec la chape 221 du premier bras d’essuie-glace 220. Au moins l’une des parois latérales 201 de cette chape 221 présente un bord inférieur 225 replié vers la zone de réception 226 adapté pour recevoir le dispositif de connexion 100. On entend par « bord inférieur 225 » un bord libre de la paroi latérale 201 concernée opposé à un bord supérieur quant à lui relié à la paroi supérieure 202 de la chape 221. Ce bord inférieur 225 replié est agencé au contact d’une arête inférieure 113’ de l’un des flancs 113 de l’organe de connexion principal 110. L’organe de connexion principal 110 est ainsi pris en sandwich entre la paroi supérieure 202 de la chape 221 du premier bras d’essuie-glace 220 et au moins un bord inférieur 225 replié, de sorte que les mouvements verticaux de cet organe de connexion principal 110 par rapport à la chape 221 du premier bras d’essuie-glace 220 sont empêchés, ou à tout le moins limité. En d’autres termes, la zone de réception 226 adaptée pour recevoir le dispositif de connexion 100 est défini par la paroi supérieure 202 de la chape 221, par les parois latérales 201 de cette chape 221 et par l’au moins un bord inférieur 225 replié. Cette coopération entre le bord inférieur 125 replié et l’arête inférieure 113’ du flanc 113 de l’organe de connexion principal 110 concerné forme le deuxième moyen de coopération entre la chape 221 du premier bras d’essuie-glace 220 et le dispositif de connexion 100 selon l’invention. Selon l’exemple illustré, les bords inférieurs 225 des deux parois latérales 201 sont ainsi repliés et sont respectivement agencés au contact de l’arête inférieure 113’ de l’un des flancs 113 de l’organe de connexion principal 110.
Les figures 6 et 7 illustrent quant à elles, le dispositif de connexion 100 en coopération avec la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace 320.
La figure 6 est une vue en perspective du dispositif de connexion 100 représenté en coopération avec la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace 320 du système d’essuyage auquel est destiné ce dispositif de connexion 100. La chape 321 du deuxième bras 320 comprend ainsi les deux parois latérales 301 – une seule étant visible sur la figure 6 – reliées entre elles par la paroi supérieure 302, ces parois latérales 301 et cette paroi supérieure 302 délimitant la zone de réception adaptée pour recevoir le dispositif de connexion 100. Le dispositif de connexion 100 qui coopère avec la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace 320 comprend l’organe de connexion principal 110 et l’organe de connexion secondaire 120 empilés l’un sur l’autre.
Tel qu’évoqué précédemment, un trou 322 est ménagé dans la chape 321, et plus particulièrement dans la paroi supérieure 302 de cette chape 321, ce trou 322 recevant la protubérance 125 de l’organe de connexion secondaire 320. On comprend que la coopération entre cette protubérance 125 et un contour qui délimite le trou 322 permet un blocage longitudinal et transversal de l’organe de connexion secondaire 120 – et donc par conséquent de l’ensemble du dispositif de connexion 100. Autrement dit, cette coopération entre la protubérance 125 et le contour du trou 322 permet un blocage du dispositif de connexion 100 selon une direction parallèle à l’axe transversal T du trièdre illustré et également selon une direction parallèle à l’axe longitudinal L de ce trièdre. Cette coopération forme le premier moyen de coopération entre la chape 321 du deuxième bras 320 et le dispositif de connexion 100.
On note également que cette protubérance 125 présente un bec de retenue 125’ qui la prolonge longitudinalement. Avantageusement, ce bec de retenue 125’ est configuré pour former butée verticale sur la chape 321, et plus particulièrement à la paroi supérieure 302 de cette chape 321, de sorte à éviter un désengagement spontané de la protubérance 125 par rapport au trou 322.
Tel que précédemment évoqué, la tête 111 de l’organe de connexion principal 110, et plus particulièrement le bord arrière 132 de cette tête 111, est adaptée pour venir en butée contre l’organe de connexion secondaire 120. Tel qu’illustré, le bord arrière 132 de la tête 111 de l’organe de connexion principal 110 est plus particulièrement agencée en butée contre un bord avant du pont supérieur 123 de l’organe de connexion secondaire 120, et contre un bord avant des branches latérales 123’, c’est-à-dire un bord de ce pont supérieur 123 et de ces branches latérales 123’ tourné vers l’excroissance qui forme l’extrémité longitudinale avant de cet organe de connexion secondaire 120.
Encore plus particulièrement, le bord arrière 132 de la tête 111 de l’organe de connexion principal 110 est agencé, au moins partiellement, en butée contre un bord avant 136 de la portion arrière 123b du pont supérieur 123 de l’organe de connexion secondaire 120. La portion avant 123a du pont supérieur 123 de l’organe de connexion secondaire 120 est quant à elle reçue dans l’espace de réception 131 généré par le renfoncement réalisé dans cette tête 111. Il en résulte qu’un contour 137 de l’espace de réception 131 est agencé au contact d’un bord avant 138 de la portion avant 123a du pont supérieur 123. On comprend que la coopération entre la portion avant 123a du pont supérieur 123 et le contour 137 de l’espace de réception 131 permet un blocage transversal de l’organe de connexion secondaire 120 par rapport à l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire un blocage le long de l’axe transversal T du trièdre illustré.
Tel qu’évoqué ci-dessus, le pont supérieur 123 et la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120 sont décalés verticalement l’un par rapport à l’autre de sorte à former l’épaulement 101qui est agencé en butée contre la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace 320, et plus particulièrement contre l’extrémité longitudinale libre 324 de cette chape 321. Il en résulte que le pont supérieur 123 de l’organe de connexion secondaire 120 est interposé entre la tête 111 de l’organe de connexion principal 110 et la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace. Un tel agencement permet avantageusement un blocage longitudinal de l’organe de connexion secondaire 120.
En outre, une ouïe 311 est ménagée dans chaque paroi latérale 301 de la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace 320 – une seule de ces ouïes étant visible sur la figure 6. Tel que représenté, l’ouïe 311 prend la forme d’une découpe oblongue ouverte à une extrémité longitudinale et est adaptée pour recevoir l’une des oreilles latérales 122 de l’organe de connexion secondaire 120. Plus particulièrement, la forme de découpe oblongue débouche sur l’extrémité longitudinale libre 324 de la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace 320. La coopération entre chaque oreille latérale 122 et l’ouïe 311 qui la reçoit, et plus précisément avec un bord qui délimite cette ouïe 311, permet de bloquer les mouvements verticaux du dispositif de connexion 100 par rapport à la chape 321, c’est-à-dire les mouvements selon une direction parallèle à l’axe vertical V du trièdre illustré. Cette coopération forme le deuxième moyen de coopération entre la chape 321 du deuxième bras 320 et le dispositif de connexion 100.
La figure 7 illustre quant à elle le dispositif de connexion 100 selon l’invention en coopération avec la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace du système d’essuyage auquel est destiné le dispositif de connexion 100, selon une coupe longitudinale, c’est-à-dire une coupe réalisée selon un plan longitudinal et vertical A-A illustré sur la figure 6.
Cette figure 7 rend notamment mieux visible l’organe de retenue 128 évoqué précédemment. Tel qu’illustré, l’organe de retenue 128 émerge d’un bord 134 qui participe à délimiter la rainure traversante 127 ménagée dans la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120 et s’étend selon une direction perpendiculaire, ou sensiblement perpendiculaire, au plan d’extension principal de la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120. Avantageusement, au moins deux organes de retenue 128 peuvent émerger du même bord 134 – un seul d’entre eux étant visible sur la figure 7. On note que cet organe de retenue 128 émerge plus particulièrement du bord arrière de la rainure 127, c’est-à-dire le bord de cette rainure 127 situé le plus près de la protubérance 125. Cet organe de retenue 128 est adapté pour venir en butée contre la face inférieure 135 de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110.
Autrement dit, on comprend que cet organe de retenue 128 est adapté pour être reçu dans la découpe 117 ménagée dans la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110. La paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110 est alors prise en sandwich entre l’organe de retenue 128 et la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120 duquel ils émergent. Plus particulièrement, cet organe de retenue 128 prend la forme d’une tige qui prend naissance sur la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120 et qui se termine par un ergot 128’ qui forme la partie de cet organe de retenue qui est agencée au contact de la face inférieure 135 de la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110.
Cet organe de retenue 128 permet donc un blocage vertical de l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire un blocage, ou à tout le moins une limitation, des mouvements de l’organe de connexion principal 110 par rapport à l’organe de connexion secondaire 120, le long de l’axe vertical V et participent au maintien de l’organe de connexion secondaire 120 sur l’organe de connexion principal 110.
Avantageusement, l’organe de connexion secondaire 120 peut comprendre au moins deux organes de retenue 128 identiques entre eux.
Tel que précédemment évoqué, l’organe de connexion secondaire 120 et l’organe de connexion principal 110 sont empilés l’un sur l’autre selon la direction d’empilement D verticale. Il en résulte que la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120 recouvre, au moins partiellement, la paroi supérieure 114 de l’organe de connexion principal 110.
Tel que précédemment évoqué, la protubérance 125 est reçue dans le trou 322 ménagé dans la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace. Selon l’invention, cette protubérance 125 est interposée, partiellement, entre le bouton escamotable 112 et la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace 320.
On comprend de la figure 7 que le positionnement de l’organe de connexion secondaire 120 sur l’organe de connexion principal 110 entraine un déplacement vertical de la languette élastique 115, et donc du bouton escamotable 112 qu’elle porte. La languette étant élastique, elle tend, après avoir subie une déformation mécanique, à reprendre sa position initiale. Il en résulte que le bouton escamotable 112 exerce un effort vertical, ascendant, sur la protubérance 125. Cet effort participe au maintien de la protubérance 125 dans le trou 322. De la même manière, le caractère élastique de la languette élastique 115 qui porte le bouton escamotable 112 permet de faciliter le désengagement de la protubérance 122 par rapport au trou 322. On comprend en effet que ce désengagement est possible en exerçant une pression directement sur une paroi supérieure 125a de la protubérance 125, c’est-à-dire sur la paroi de cette protubérance 125 qui s’étend majoritairement au-delà de la zone de réception 326 délimitée par la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace 320.
Selon un exemple de réalisation, la protubérance 125 présente une section longitudinale, c’est-à-dire une section vue dans un plan longitudinal et vertical, sensiblement en U. Autrement dit, cette protubérance 125 présente au moins la paroi supérieure 125a qui forme une base de cette forme de U de laquelle émergent une branche avant 125b et une branche arrière 125c, parallèles ou sensiblement parallèles entre elles. Dû à l’échancrure ménagée dans la protubérance, la branche arrière 125c est plus courte que la branche avant 125b de cette forme de U. Le bec de retenue 125’ est quant à lui ménagé dans le prolongement de la paroi supérieure 125a de cette protubérance 125.
Tel que représenté, c’est plus particulièrement l’appui de la branche arrière 125c de la protubérance 125 qui engendre une position fléchie de la languette élastique 115.
Le bouton escamotable 112 présente également une section longitudinale sensiblement en forme de U, dont la paroi supérieure 112a forme une base de cette forme de U de laquelle émergent une branche avant 112b et une branche arrière 112c. En outre, la paroi supérieure 112a est prolongée longitudinalement par le doit de retenue 112’, tel que décrit en référence à la figure 4.
La branche arrière 125c de la protubérance 125 vient en appui sur la paroi supérieure 112a du bouton escamotable 112. Plus particulièrement, cette branche arrière 125c vient en appui contre une portion avant de cette paroi supérieure 112a, c’est-à-dire une portion de cette paroi supérieure 112a plus près de la branche avant 112b que de la branche arrière 112c de ce bouton escamotable 112. Autrement dit, on comprend que sans cette protubérance 125, le bouton escamotable 112 entrerait en interférence avec la paroi supérieure 202 de la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace 320.
Par ailleurs, un plan d’extension principal de la paroi supérieure 112a du bouton escamotable 112 est sécant d’un plan d’extension principal de la paroi supérieure 125a de la protubérance 125 lorsque l’organe de connexion principal 110 et l’organe de connexion secondaire 120 sont empilés l’un sur l’autre.
Avantageusement, le dispositif de connexion 100 selon l’invention est ainsi utilisable avec au moins deux types de chapes distinctes qui diffèrent l’une de l’autre, au moins, par la position longitudinale de l’orifice et du trou respectivement ménagés dans la paroi supérieure de la chape du premier bras d’essuie-glace et dans la paroi supérieure de la chape du deuxième bras d’essuie-glace. Dans une utilisation du dispositif de connexion avec le premier bras d’essuie-glace, c’est alors le bouton escamotable qui est reçu dans l’orifice ménagé dans la chape de ce premier bras d’essuie-glace et que dans une utilisation du dispositif de connexion avec le deuxième bras d’essuie-glace, c’est la protubérance, poussée par la force de retour élastique de la languette élastique porteuse du bouton escamotable, qui sera reçue dans le trou ménagé dans la chape de ce deuxième bras d’essuie-glace. Il convient donc de considérer que le bouton escamotable présente une première fonction de maintien mécanique de l’organe de connexion principal dans la chape du premier bras d’essuie-glace, grâce à la coopération entre ce bouton escamotable et le contour de l’orifice ménagé dans cette chape, ainsi qu’une deuxième fonction de maintien en position de la protubérance au sein du trou ménagé dans la chape du deuxième bras d’essuie-glace.
Enfin, on note qu’un bourrelet 111’ est ménagé sous la tête 111 de l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire que ce bourrelet 111’ s’étend depuis cette tête 111 de l’organe de connexion principal 110, en direction du balai d’essuyage lorsque le dispositif de connexion est monté dans le système d’essuyage auquel il est destiné. Selon un exemple de réalisation, ce bourrelet 111’ coopère avec l’excroissance 126 qui forme l’extrémité longitudinale avant de l’organe de connexion secondaire 120. On comprend que cette excroissance 126 est insérée dans la tête 111 de l’organe de connexion principal 110 par l’espace de réception 131 ménagé depuis le bord arrière 132 de la tête 111, puis est glissé sous le bourrelet 111’ susmentionné. Cette coopération participe au blocage vertical de l’organe de connexion secondaire 120 par rapport à l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire au blocage le long de l’axe vertical V du trièdre illustré. Bien entendu et selon une variante alternative, l’excroissance 126 peut venir en prise sous une tête 11 de l’organe de connexion principal 110 qui serait dépourvue d’un tel bourrelet.
Cette figure 7 rend enfin particulièrement visible le décalage vertical entre le pont supérieur 123 et la paroi supérieure 124 de l’organe de connexion secondaire 120 qui permet, tel qu’évoqué ci-dessus, de prendre l’organe de connexion secondaire 120, et plus particulièrement le pont supérieur 123 de cet organe de connexion secondaire, en sandwich entre l’organe de connexion principal 110 et la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace. Avantageusement, un tel arrangement participe au blocage longitudinal de l’organe de connexion secondaire 120 par rapport à l’organe de connexion principal 110 et par rapport à la chape 321 du deuxième bras d’essuie-glace.
On comprend de ce qui précède que la présente invention propose ainsi un dispositif de connexion destiné à relier un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace qui peut être facilement adapté pour être utilisé avec au moins deux types de bras d’essuie-glace différents, étant entendu que la description qui vient d’être donnée ne limite pas l’étendue de la présente invention. On pourra notamment prévoir d’autres modes d’assemblage non décrits ici sans sortir du contexte de la présente invention, permettant ainsi d’adapter le dispositif de connexion à un très grand nombre de bras d’essuie-glace différents.
Claims (12)
- Dispositif de connexion (100) adapté pour relier un balai d’essuyage (210) à au moins deux bras d’essuie-glace (220, 320), le dispositif de connexion (100) comprenant au moins organe de connexion principal (110) configuré pour coopérer avec une chape (221) d’un premier bras d’essuie-glace (220) et au moins un organe de connexion secondaire (120) configuré pour coopérer avec une chape (321) d’un deuxième bras d’essuie-glace (320), l’organe de connexion principal (110) et l’organe de connexion secondaire (120) étant adaptés pour être montés l’un sur l’autre selon une direction d’empilement (D), l’organe de connexion principal (110) comprenant au moins deux flancs (113) reliés entre eux par une paroi supérieure (114) porteuse d’un bouton escamotable (112) configuré pour coopérer avec la chape (221) du premier bras d’essuie-glace (220), l’organe de connexion secondaire (120) comprenant au moins une oreille latérale (122) adaptée pour coopérer avec la chape (321) du deuxième bras d’essuie-glace (320), l’organe de connexion secondaire (120) comprenant au moins une protubérance (125) configurée pour coopérer avec la chape (321) du deuxième bras d’essuie-glace (320).
- Dispositif de connexion (100) selon la revendication précédente, dans lequel le bouton escamotable (112) est adapté pour être reçu dans un orifice (222) ménagé dans la chape (221) du premier bras d’essuie-glace (220).
- Dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la protubérance (125) est adaptée pour être reçue dans un trou (322) ménagé dans la chape (321) du deuxième bras d’essuie-glace (320).
- Dispositif de connexion (100) selon la revendication précédente, dans lequel le bouton escamotable (112) est configuré pour générer un effort contre la protubérance (125).
- Dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel l’organe de connexion secondaire (120) comprend au moins un organe de retenue (128) adapté pour coopérer avec la paroi supérieure (114) de l’organe de connexion principal (110).
- Dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel l’organe de connexion secondaire (120) comprend au moins deux oreilles latérales (122), chacune prolongée par une branche latérale (123’), les deux branches latérales (123’) étant reliées entre elles par un pont supérieur (123), ce pont supérieur (123) étant prolongé par une paroi supérieure (124) porteuse de la protubérance (125).
- Dispositif de connexion (100) selon la revendication précédente, dans lequel le pont supérieur (123) et la paroi supérieure (124) de l’organe de connexion secondaire (120) s’étendent dans deux plans parallèles et distincts.
- Dispositif de connexion (100) selon les revendications 5 et 6 ou 7, dans lequel l’au moins un organe de retenue (128) émerge de la paroi supérieure (124) de l’organe de connexion secondaire (120) et s’étend selon une direction perpendiculaire à un plan d’extension principal de la paroi supérieure (124) de l’organe de connexion secondaire (120).
- Dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel au moins une cavité (130) est ménagée, au moins dans la paroi supérieure (114) de l’organe de connexion principal (110), et dans lequel l’organe de connexion secondaire (120) comprend au moins une patte (121) configurée pour être reçue dans l’au moins une cavité (130) de l’organe de connexion principal (110).
- Dispositif de connexion (100) selon la revendication précédente prise en combinaison avec l’une quelconque des revendications 6 à 8, dans lequel l’au moins une patte (121) émerge de la paroi supérieure (124) de l’organe de connexion secondaire (120).
- Ensemble constitué d’un balai d’essuyage (210) et d’un dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes.
- Système d’essuyage comprenant au moins un balai d’essuyage (210) relié à un premier bras d’essuie-glace (220) ou à un deuxième bras d’essuie-glace (320) par l’intermédiaire d’un dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes.
Priority Applications (4)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
FR2007675A FR3112738B1 (fr) | 2020-07-22 | 2020-07-22 | Dispositif de connexion d’un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace |
PCT/EP2021/068903 WO2022017806A1 (fr) | 2020-07-22 | 2021-07-07 | Dispositif de connexion d'un balai d'essuyage à un bras d'essuie-glace |
US18/016,760 US12122330B2 (en) | 2020-07-22 | 2021-07-07 | Device for connecting a wiper blade to a wiper arm |
JP2023504357A JP2023534732A (ja) | 2020-07-22 | 2021-07-07 | ワイパーブレードをワイパーアームに接続するための装置 |
Applications Claiming Priority (2)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
FR2007675 | 2020-07-22 | ||
FR2007675A FR3112738B1 (fr) | 2020-07-22 | 2020-07-22 | Dispositif de connexion d’un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace |
Publications (2)
Publication Number | Publication Date |
---|---|
FR3112738A1 true FR3112738A1 (fr) | 2022-01-28 |
FR3112738B1 FR3112738B1 (fr) | 2022-07-15 |
Family
ID=73013623
Family Applications (1)
Application Number | Title | Priority Date | Filing Date |
---|---|---|---|
FR2007675A Active FR3112738B1 (fr) | 2020-07-22 | 2020-07-22 | Dispositif de connexion d’un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace |
Country Status (3)
Country | Link |
---|---|
JP (1) | JP2023534732A (fr) |
FR (1) | FR3112738B1 (fr) |
WO (1) | WO2022017806A1 (fr) |
Families Citing this family (2)
Publication number | Priority date | Publication date | Assignee | Title |
---|---|---|---|---|
FR3125779B1 (fr) * | 2021-07-30 | 2024-05-24 | Valeo Systemes Dessuyage | Dispositif de connexion entre balai d’essuyage et bras d’entraînement |
FR3145330A1 (fr) * | 2023-01-27 | 2024-08-02 | Valeo Systemes D'essuyage | Dispositif de connexion pour l’assemblage d’un balai à un bras d’essuie-glace |
Citations (3)
Publication number | Priority date | Publication date | Assignee | Title |
---|---|---|---|---|
US8850653B2 (en) * | 2009-11-17 | 2014-10-07 | Robert Bosch Gmbh | Adapter for connecting a connecting element at the end of a wiper arm to a wiper blade in particular of flat beam construction |
US20150151718A1 (en) * | 2013-12-02 | 2015-06-04 | Trico Products Corporation | Wiper coupler assembly and wiper assembly incorporating same |
US20190039574A1 (en) * | 2016-02-15 | 2019-02-07 | Trico Products Corporation | Wiper adapter and wiper assembly incorporating the same |
-
2020
- 2020-07-22 FR FR2007675A patent/FR3112738B1/fr active Active
-
2021
- 2021-07-07 WO PCT/EP2021/068903 patent/WO2022017806A1/fr active Application Filing
- 2021-07-07 JP JP2023504357A patent/JP2023534732A/ja active Pending
Patent Citations (3)
Publication number | Priority date | Publication date | Assignee | Title |
---|---|---|---|---|
US8850653B2 (en) * | 2009-11-17 | 2014-10-07 | Robert Bosch Gmbh | Adapter for connecting a connecting element at the end of a wiper arm to a wiper blade in particular of flat beam construction |
US20150151718A1 (en) * | 2013-12-02 | 2015-06-04 | Trico Products Corporation | Wiper coupler assembly and wiper assembly incorporating same |
US20190039574A1 (en) * | 2016-02-15 | 2019-02-07 | Trico Products Corporation | Wiper adapter and wiper assembly incorporating the same |
Also Published As
Publication number | Publication date |
---|---|
US20240034276A1 (en) | 2024-02-01 |
JP2023534732A (ja) | 2023-08-10 |
WO2022017806A1 (fr) | 2022-01-27 |
FR3112738B1 (fr) | 2022-07-15 |
Similar Documents
Publication | Publication Date | Title |
---|---|---|
EP3118070B1 (fr) | Organe pour un système de connexion d'un balai d'essuie-glace | |
WO2022017806A1 (fr) | Dispositif de connexion d'un balai d'essuyage à un bras d'essuie-glace | |
EP3165416B1 (fr) | Adaptateur pour un essuie-glace de véhicule automobile | |
EP3165415A1 (fr) | Adaptateur pour un essuie-glace de véhicule automobile | |
EP3165417B1 (fr) | Adaptateur pour un essuie-glace de véhicule automobile | |
FR2696393A1 (fr) | Essuie-glace de véhicule automobile, tête d'entraînement pour un tel essuie-glace, et coiffe de protection de la tête d'entraînement. | |
WO2021170428A1 (fr) | Dispositif de connexion d'un balai d'essuyage à un bras d'essuie-glace | |
EP3366531B1 (fr) | Embout d'extremite adaptable pour balai d'essuyage | |
FR3113014A1 (fr) | Dispositif de connexion pour un système d’essuyage pour un véhicule | |
FR3043043A1 (fr) | Adaptateur pour balai d’essuyage de vitre, et dispositif de raccordement correspondant entre un balai et un bras d’entrainement | |
WO2022254038A1 (fr) | Dispositif de connexion et ensemble d'essuyage pour véhicule automobile | |
EP3248848B1 (fr) | Dispositif de fixation pour le montage d'un balai d'essuie-glace sur un bras d'entrainement, et système d'essuyage correspondant | |
FR3091235A1 (fr) | Dispositif de connexion destiné à relier un balai d’essuyage à un bras d’entrainement d’un système d’essuyage pour véhicule automobile | |
FR3014530A1 (fr) | Agrafe de fixation d'un tuyau de circulation de fluide a un bras d'entrainement d'un balai d'essuie-glace de vehicule | |
WO2024126417A1 (fr) | Adaptateur d'un système d'essuyage | |
EP3375675A1 (fr) | Capot, dispositif de connexion pour le montage d'un balai d essuie-glace sur un bras d essuie-glace et système d essuyage correspondants | |
WO2023030973A1 (fr) | Adaptateur d'un système d'essuyage | |
WO2023222802A1 (fr) | Dispositif de connexion d'un balai d'essuyage | |
FR3135679A1 (fr) | Dispositif de connexion d’un balai d’essuyage. | |
FR3122629A1 (fr) | Adaptateur d’un système d’essuyage | |
EP4124518A1 (fr) | Dispositif de connexion entre balai d' essuyage et bras d' entraînement | |
FR3089184A1 (fr) | Adaptateur pour la connexion d'un balai d'essuyage a un bras d'entrainement d'un systeme d'essuyage pour vehicule automobile | |
FR3143494A1 (fr) | Adaptateur d’un système d’essuyage | |
EP4124521A1 (fr) | Dispositif de connexion entre balai d' essuyage et bras d' entraînement | |
FR3146444A1 (fr) | Adaptateur pour l’assemblage d’un balai à un bras d’essuie-glace |
Legal Events
Date | Code | Title | Description |
---|---|---|---|
PLFP | Fee payment |
Year of fee payment: 2 |
|
PLSC | Publication of the preliminary search report |
Effective date: 20220128 |
|
PLFP | Fee payment |
Year of fee payment: 3 |
|
PLFP | Fee payment |
Year of fee payment: 4 |
|
PLFP | Fee payment |
Year of fee payment: 5 |