FR3107682A1 - Dispositif de connexion d’un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace - Google Patents

Dispositif de connexion d’un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace Download PDF

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Vincent Gaucher
Olivier Jomard
Eric Poton
Stephane Houssat
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Valeo Systemes dEssuyage SAS
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Abstract

TITRE DE L’INVENTION : L’invention concerne un dispositif de connexion (100) destiné à relier un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace, le dispositif de connexion (100) comprenant au moins un organe de connexion principal (110) adapté pour être relié au balai d’essuyage et à une chape (210) du bras d’essuie-glace (201), l’organe de connexion principal (110) s’étendant selon un axe d’extension principal (X), caractérisé en ce que l’organe de connexion principal (110) comprend au moins une base (140) configurée pour être montée à pivotement sur le balai d’essuyage et au moins une partie amovible (150) par rapport à la base (140), la partie amovible (150) et la base (140) étant alignées le long de l’axe d’extension principal (X). Figure 1

Description

Dispositif de connexion d’un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace
Le domaine de la présente invention est celui des systèmes d’essuyage destinés aux véhicules automobiles. Plus particulièrement, le domaine de la présente invention est celui des moyens de connexion mis en œuvre entre un bras d’essuie-glace et un balai d’essuyage d’un tel système d’essuyage.
Les véhicules automobiles sont couramment équipés de systèmes d’essuyage destinés à nettoyer leurs surfaces vitrées, et notamment leurs pare-brise. De tels systèmes d’essuyage comprennent au moins un bras d’essuie-glace et un balai d’essuyage entraîné par le bras d’essuie-glace. Le bras d’essuie-glace est ainsi relié à un moteur électrique du véhicule et le balai d’essuyage comprend au moins une lame d’essuyage adaptée pour venir au contact de la surface vitrée à nettoyer. Afin de pouvoir entrainer le balai d’essuyage, un dispositif de connexion est agencé entre ce balai d’essuyage et le bras d’essuie-glace. Un tel dispositif de connexion comprend classiquement au moins un connecteur solidaire du balai d’essuyage et au moins un adaptateur qui permet quant à lui de relier le connecteur, et donc le balai d’essuyage sur lequel il est fixé, au bras d’essuie-glace.
Il existe aujourd’hui une multitude de bras d’essuie-glace différents qui nécessitent, pour leur fixation au balai d’essuyage, autant de dispositifs de connexion différents. Sont aujourd’hui commercialisés des dispositifs de connexion adaptés pour être utilisés sur la plupart de ces bras d’essuie-glace. Toutefois, les dernières innovations en la matière rendent ces dispositifs de connexion obsolètes.
Notamment, un nouveau type de bras d’essuie-glace qui permet la projection de fluide lave-glace depuis le dispositif de connexion a récemment fait son apparition. Ces nouveaux bras d’essuie-glace comprennent ainsi au moins un organe de projection rapporté sur le bras d’essuie-glace, et plus particulièrement sur une chape de ce bras d’essuie-glace, en regard du dispositif de connexion. Afin d’alimenter cet organe de projection, des conduites de fluide lave-glace courent le long du bras d’essuie-glace, entre le véhicule dans lequel se trouve le réservoir contenant ce fluide lave-glace et l’organe de projection. Les dispositifs de connexion permettant la connexion de différents types de bras d’essuie-glace ne sont pas adaptés à ces nouveaux bras d’essuie-glace. En particulier, ces dispositifs de connexion entrent en interférence avec les conduites de fluide lave-glace évoquées ci-dessus.
A des fins de standardisation, qui permettent de réaliser d’importantes économies d’échelle, il existe aujourd’hui un réel besoin de créer de nouveaux dispositifs de connexion qui s’adaptent dont aussi bien sur les bras d’essuie-glace dits «classiques» et sur les bras d’essuie-glace équipés d’une fonction de projection de fluide lave-glace disposée au niveau de la connexion avec le balai d’essuyage tels qu’ils viennent d’être décrits. On entend par «bras d’essuie-glace classiques» des bras d’essuie-glace adaptés pour être reliés à un balai d’essuyage grâce à un dispositif de connexion tel que par exemple décrit dans la demande de brevet EP 1918 166 A2 ou grâce à un dispositif de connexion tel que par exemple décrit dans la demande de brevet FR3 066 457 A1 ou encore grâce à un dispositif de connexion tel que par exemple décrit dans la demande de brevet FR 2890 925 A1, cette liste n’étant pas exhaustive.
La présente invention s’inscrit dans ce contexte en proposant un dispositif de connexion qui permet d’assurer la connexion entre les balais d’essuie-glace et les bras d’essuie-glace dits «classiques» et également entre les balais d’essuie-glace et les bras d’essuie-glace équipés de la fonction de projection de fluide lave-glace disposée au niveau de la connexion avec le balai d’essuyage.
Un objet de la présente invention concerne ainsi un dispositif de connexion destiné à relier un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace, le dispositif de connexion comprenant au moins un organe de connexion principal adapté pour être relié au balai d’essuyage et à une chape du bras d’essuie-glace, l’organe de connexion principal s’étendant selon un axe d’extension principal. Selon l’invention, et l’organe de connexion principal comprend au moins une base configurée pour être montée à pivotement sur le balai d’essuyage et au moins une partie amovible par rapport à la base, la partie amovible et la base étant alignées le long de l’axe d’extension principal. En d’autres termes, on comprend que l’organe de connexion principal est adapté pour être maintenu sur le balai d’essuyage par l’au moins une base.
Selon une caractéristique de l’invention, la partie amovible de l’organe de connexion principal peut participer à la liaison du dispositif de connexion avec la chape du bras d’essuie-glace. Selon l’invention, la chape du bras d’essuie-glace définit un logement de réception d’au moins une partie du dispositif de connexion. On entend par «partie amovible», une portion de l’organe de connexion principal qui peut être ôtée de cet organe de connexion principal. Autrement dit, le dispositif de connexion selon l’invention permet une fixation du balai d’essuyage sur le bras d’essuie-glace aussi bien avec ou sans cette partie amovible. Cette partie amovible peut en effet, lorsque le dispositif de connexion est utilisé avec un type de bras d’essuie-glace particulier, empêcher la connexion. Plus particulièrement, cette partie amovible peut entrer en interférence avec des conduites qui courent le long de ces bras d’essuie-glace équipés d’une fonction de projection de fluide lave-glace disposée au niveau de la connexion entre ce bras d’essuie-glace et le balai d’essuyage. Toutefois, il existe d’autres types de bras d’essuie-glace, pour lesquels cette partie amovible forme une pièce indispensable à la connexion. La présente invention permet ainsi, en rendant cette partie amovible, d’utiliser un seul et unique dispositif de connexion au moins sur les deux types de bras d’essuie-glace qui viennent d’être mentionnés. Avantageusement, le dispositif de connexion selon l’invention s’adapte également à d’autres types de bras d’essuie-glace. L’ensemble de ces bras d’essuie-glace ainsi que leurs caractéristiques particulières seront plus amplement décrits ci-dessous.
Selon une caractéristique de l’invention, au moins un premier organe de liaison est ménagé sur la base de l’organe de connexion principal, au moins un deuxième organe de liaison est ménagé sur la partie amovible de l’organe de connexion principal, l’au moins un premier organe de liaison et l’au moins un deuxième organe de liaison étant configurés pour coopérer de manière amovible l’un avec l’autre. Par exemple, l’au moins un premier organe de liaison et l’au moins un deuxième organe de liaison peuvent être configurés pour coopérer par emboîtement. Selon un exemple de réalisation de la présente invention, l’au moins un premier organe de liaison prend la forme d’une cheminée, l’au moins un deuxième organe de liaison prend la forme d’une languette, l’au moins une languette étant reçue dans l’au moins une cheminée.
Selon l’invention, la base de l’organe de connexion principal comprend au moins deux premiers flancs reliés entre eux par une première paroi supérieure, et la languette formant l’au moins un deuxième organe de liaison peut s’étendre, majoritairement selon une direction perpendiculaire à un plan d’extension principal de la première paroi supérieure de la base de l’organe de connexion principal, un axe d’extension principal de la cheminée formant l’au moins un premier organe de liaison étant également perpendiculaire au plan d’extension principal de la première paroi supérieure de la base de l’organe de connexion principal. Alternativement, la languette formant l’au moins un deuxième organe de liaison peut s’étendre parallèlement à l’axe d’extension principal de l’organe de connexion principal, l’axe d’extension principal de la cheminée formant l’au moins un premier organe de liaison étant également parallèle à l’axe d’extension principal de l’organe de connexion principal. Il est entendu qu’il ne s’agit que d’exemples de réalisation qui ne limitent pas la présente invention et que tout autre organe de liaison compatible avec l’invention peut être envisagé sans sortir du contexte de l’invention à condition qu’il permette de réaliser une liaison amovible entre la base et la partie amovible de l’organe de connexion principal.
Selon l’invention, la partie amovible de l’organe de connexion principal comprend au moins une patte élastique qui s’étend principalement selon une direction parallèle à l’axe d’extension principal de l’organe de connexion principal, l’au moins une patte élastique étant adaptée pour coopérer avec la chape du bras d’essuie-glace. Le terme élastique doit ici, ainsi que dans l’ensemble du présent document, être compris comme impliquant que l’objet considéré présente des propriétés élastiques, c’est-à-dire des propriétés qui lui permettent de reprendre sa forme initiale après avoir été mécaniquement contraint.
Selon une caractéristique de l’invention, la partie amovible de l’organe de connexion principal peut comprendre au moins une première paroi latérale et au moins une deuxième paroi latérale reliées entre elles par au moins un pont supérieur, la première paroi latérale et la deuxième paroi latérale étant réparties de part et d’autre d’un plan transversal à l’au moins un pont supérieur et dans lequel s’inscrit l’axe d’extension principal de l’organe de connexion principal, au moins une première patte élastique étant ménagée dans le prolongement de la première paroi latérale en éloignement de la base de l’organe de connexion principal, et au moins une deuxième patte élastique étant ménagée dans le prolongement de la deuxième paroi latérale en éloignement de la base de l’organe de connexion principal, chacune des deux pattes élastiques étant adaptée pour coopérer avec la chape du bras d’essuie-glace. Optionnellement, la première paroi latérale de la partie amovible de l’organe de connexion principal et la deuxième paroi latérale de cette partie amovible de l’organe de connexion principal peuvent être parallèles entre elles. Avantageusement, l’au moins un pont supérieur qui relie la première paroi latérale de la partie amovible de l’organe de connexion principal et la deuxième paroi latérale de cette partie amovible de l’organe de connexion principal, participe à conférer à la première patte élastique et à la deuxième patte élastique leurs propriétés élastiques. Plus particulièrement, ce pont supérieur permet le rapprochement des deux pattes élastiques l’une vers l’autre, permettant, alternativement, l’engagement et le désengagement de ces pattes par rapport à la chape du bras d’essuie-glace. Selon une caractéristique de l’invention, la base de l’organe de connexion principal comprend au moins un bouton escamotable adapté pour être reçu dans un orifice ménagé dans la chape du bras d’essuie-glace et pour être escamoté lorsque la chape du bras d’essuie-glace est dépourvue de l’orifice. Le cas échéant, ce bouton escamotable est adapté pour être reçu dans l’orifice ménagé dans la chape du bras d’essuie-glace de sorte à empêcher les déplacements longitudinaux du balai d’essuyage, c’est-à-dire les mouvements le long d’un axe longitudinal parallèle à l’axe d’extension principal de l’organe de connexion principal du dispositif de connexion selon l’invention.
Selon une caractéristique de la présente invention, la base de l’organe de connexion principal comprend au moins deux premiers flancs reliés entre eux par une première paroi supérieure, les deux premiers flancs et la première paroi supérieure délimitant au moins un premier espace adapté pour recevoir, au moins partiellement, le balai d’essuyage.
Selon l’invention, la première paroi supérieure de la base de l’organe de connexion principal est prolongée, en direction de la partie amovible, par une languette élastique qui porte le bouton escamotable. Avantageusement, le bouton escamotable comprend au moins un organe de retenue qui participe à retenir la partie amovible contre la base. Par exemple, l’organe de retenue du bouton escamotable peut être adapté pour venir en butée contre une paroi transversale de la partie amovible, cette paroi transversale étant ménagée de sorte à relier la première paroi latérale et la deuxième paroi latérale de la partie amovible.
Avantageusement, cette coopération entre le bouton escamotable, et plus particulièrement l’organe de retenue de ce bouton escamotable, et la paroi transversale de la partie amovible permet de pérenniser la liaison amovible entre la base et la partie amovible de l’organe de connexion principal, notamment dans des connexions avec des bras d’essuie-glace dont la chape est dépourvue de l’orifice dans lequel le bouton escamotable est autrement adapté pour être reçu. En d’autres termes, cet organe de retenue permet d’assister et de renforcer la liaison amovible entre la base et la partie amovible de l’organe de connexion principal. En outre, cet organe de retenue forme un moyen de sécurisation de cette liaison amovible entre la base et la partie amovible de l’organe de connexion principal, c’est-à-dire qu’en cas de casse de cette liaison amovible, l’organe de retenue garantit que le balai d’essuyage ne se sépare pas de la chape. Par exemple, cet organe de retenue peut prendre la forme d’une tige qui émerge du bouton escamotable et qui s’étend perpendiculairement à l’axe d’extension principal de l’organe de connexion principal et au plan d’extension principal de la première paroi supérieure de la base de l’organe de connexion principal.
Selon un exemple de l’invention, le dispositif de connexion peut comprendre au moins un organe de connexion secondaire configuré pour être interposé entre la base de l’organe de connexion principal et la chape du bras d’essuie-glace. Autrement dit, cet organe de connexion secondaire est adapté pour être reçu dans le logement de réception défini par la chape du bras d’essuie-glace. Avantageusement, l’ajout de cet organe de connexion secondaire permet d’utiliser le dispositif de connexion avec au moins deux types de chapes qui diffèrent l’une de l’autre par leur taille, autrement dit, par les dimensions des logements de réception qu’elles définissent respectivement.
Selon une caractéristique de l’invention, la base de l’organe de connexion principal comprend au moins les deux premiers flancs reliés entre eux par au moins la première paroi supérieure, l’organe de connexion secondaire comprend au moins deux deuxièmes flancs reliés entre eux par au moins une deuxième paroi supérieure, les deux premier flancs et la première paroi supérieure délimitant un premier espace configuré pour recevoir, au moins en partie, le balai d’essuyage et les deux deuxièmes flancs et la deuxième paroi supérieure délimitant un deuxième espace configuré pour recevoir, au moins partiellement, la base de l’organe de connexion principal. Autrement dit, le deuxième espace délimité par les deux deuxièmes flancs et la deuxième paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire est adapté pour recevoir les deux premiers flancs et la première paroi supérieure de l’organe de connexion principal. Selon l’invention, le premier espace définit par les premiers flancs et par la première paroi supérieure est plus particulièrement adapté pour recevoir un connecteur rendu solidaire du balai d’essuyage.
Selon une caractéristique de l’invention, au moins l’un des deuxièmes flancs de l’organe de connexion secondaire comprend au moins une dent de verrouillage de l’organe de connexion secondaire sur l’organe de connexion principal. Par exemple, l’au moins une dent de verrouillage peut être repliée vers l’autre deuxième flanc de l’organe de connexion secondaire, cette au moins une dent de verrouillage étant adaptée pour former butée contre une arête inférieure d’au moins l’un des premiers flancs de la base de l’organe de connexion principal.
En d’autres termes, l’organe de connexion secondaire et la base de l’organe de connexion principal présentent tous deux une forme de U, les première et deuxième parois supérieures formant, respectivement, une base de ces formes de U et les premiers et deuxièmes flancs formant, respectivement, les deux branches de chaque forme en U. On entend par « arête inférieure de l’un des premiers flancs » un bord libre du flanc concerné, opposé au bord par lequel ce flanc est relié à la première paroi supérieur de la base de l’organe de connexion principal. Autrement dit, on comprend que la base de l’organe de connexion principal est prise en sandwich entre l’au moins une dent de verrouillage de l’organe de connexion secondaire et la deuxième paroi supérieure de cet organe de connexion secondaire. Ainsi, cet organe de connexion secondaire permet un verrouillage vertical, c’est-à-dire le long d’un axe perpendiculaire au plan d’extension principal de la première paroi supérieure de la base de l’organe de connexion principal, de la position de la base de l’organe de connexion principal. Avantageusement, au moins une dent de verrouillage est ménagée sur chacun des deuxièmes flancs de l’organe de connexion secondaire. On pourra également prévoir que deux dents de verrouillage soient ménagées sur l’un des deuxième flancs de l’organe de connexion secondaire ou encore que deux dents de verrouillage soient ménagées sur chacun de ces deuxièmes flancs de l’organe de connexion secondaire sans sortir du contexte de la présente invention.
Le dispositif de connexion selon l’invention peut également comprendre au moins un organe de connexion tertiaire, cet organe de connexion tertiaire comprenant au moins deux troisièmes flancs et une troisième paroi supérieure qui délimitent un troisième espace configuré pour recevoir, au moins partiellement, l’organe de connexion secondaire et la base de l’organe de connexion principal. Optionnellement, l’organe de connexion tertiaire peut comprendre au moins un premier ergot adapté pour coopérer avec l’organe de connexion principal. Par exemple, ce premier ergot peut être adapté pour coopérer avec une arête inférieure de l’un des premiers flancs de la base de l’organe de connexion principal. Cet organe de connexion tertiaire peut également comprendre au moins un deuxième ergot adapté pour coopérer avec l’organe de connexion secondaire. Par exemple, ce deuxième ergot peut être adapté pour coopérer avec une arête inférieure d’au moins l’un des deuxièmes flancs de l’organe de connexion secondaire.
L’invention concerne également un système d’essuyage pour véhicule automobile, comprenant au moins un balai d’essuyage et au moins un bras d’essuie-glace reliés entre eux par au moins un dispositif de connexion tel qu’évoqué ci-dessus.
La présente invention concerne enfin un véhicule automobile comprenant au moins un système d’essuyage tel qu’il vient d’être évoqué.
D’autres détails, caractéristiques et avantages ressortiront plus clairement à la lecture de la description détaillée donnée ci-après en relation avec les différents modes de fonctionnement illustrés, à titre indicatif, sur les figures suivantes:
est une représentation, en éclaté, d’un dispositif de connexion selon l’invention ;
est une représentation, en éclaté, d’un organe de connexion principal du dispositif de connexion selon un exemple de réalisation particulier;
est une représentation, en perspective, du dispositif de connexion selon un premier mode d’assemblage de l’invention ;
est une représentation, vue de dessous, d’une portion du dispositif de connexion selon le premier mode d’assemblage de l’invention;
est une représentation partielle, en éclaté, d’un système d’essuyage selon un premier exemple de réalisation de l’invention, le système d’essuyage comprenant le dispositif de connexion selon un deuxième mode d’assemblage de l’invention ;
est une vue partielle, selon une coupe longitudinale, du système d’essuyage selon le premier exemple de réalisation illustré sur la figure 5 ;
est une représentation partielle, vue de dessous, du système d’essuyage selon une variante du premier exemple de réalisation, comprenant au moins un dispositif de connexion selon le deuxième mode d’assemblage de la présente invention ;
est une vue, selon une coupe transversale d’une chape d’un bras d’essuie-glace du système d’essuyage selon la variante du premier exemple de réalisation illustrée sur la figure 7 ;
est une représentation partielle, en éclaté, du système d’essuyage selon un deuxième exemple de réalisation de l’invention, le système d’essuyage comprenant au moins un dispositif de connexion selon un troisième mode d’assemblage ;
est une représentation partielle, en éclaté, du système d’essuyage selon un troisième exemple de réalisation de l’invention, le système d’essuyage comprenant au moins un dispositif de connexion selon un quatrième mode d’assemblage;
est une vue partielle, selon une coupe longitudinale, du système d’essuyage selon le troisième exemple de réalisation illustré sur la figure 10.
Les caractéristiques, variantes et les différentes formes de réalisation de l’invention peuvent être associées les unes avec les autres, selon diverses combinaisons, dans la mesure où elles ne sont pas incompatibles ou exclusives les unes aux autres. On pourra notamment imaginer des variantes de l’invention ne comprenant qu’une sélection de caractéristiques décrites par la suite de manière isolée des autres caractéristiques décrites, si cette sélection de caractéristiques est suffisante pour conférer un avantage technique ou pour différencier l’invention par rapport à l’état de la technique antérieur.
Sur les figures, les dénominations longitudinale, transversale, latérale, gauche, droite, dessus, dessous, se réfèrent à l'orientation, dans un trièdre L, V, T d’un dispositif de connexion 100 selon l’invention. Dans ce repère, un axe longitudinal L représente une direction longitudinale, un axe transversal T représente une direction transversale, et un axe vertical V représente une direction verticale de l’objet considéré. Dans ce repère, une coupe transversale correspond à une coupe réalisée selon un plan transversal et vertical, c’est-à-dire un plan dans lequel s’inscrivent l’axe transversal T et l’axe vertical V du trièdre. Une coupe longitudinale désigne quant à elle une coupe réalisée selon un plan longitudinal et vertical, c’est-à-dire un plan dans lequel s’inscrivent l’axe longitudinal L et l’axe vertical X. Dans la description qui suit les termes « balai d’essuyage » et « balai » seront utilisés sans distinction, tout comme les termes «bras d’essuie-glace» et «bras».
La figure 1 représente, en éclaté, un dispositif de connexion 100 selon l’invention. Tel qu’illustré, ce dispositif de connexion 100 comprend au moins un organe de connexion principal 110 destiné à être fixé sur un balai d’essuyage – non illustré ici - au moins un organe de connexion secondaire 120 et au moins un organe de connexion tertiaire 130, cet organe de connexion secondaire 120 et cet organe de connexion tertiaire 130 étant adaptés pour être interposés entre l’organe de connexion principal 110 et une chape d’un bras d’essuie-glace, dont plusieurs exemples sont illustrés sur les figures 5 à 11.
L’organe de connexion principal 110 s’étend selon un axe d’extension principal X parallèle à l’axe longitudinal L du trièdre illustré et comprend au moins une base 140 et au moins une partie amovible 150 par rapport à la base 140, la base 140 et la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110 étant alignées l’une par rapport à l’autre le long de l’axe d’extension principal X. L’organe de connexion secondaire 120 et l’organe de connexion tertiaire 130 sont quant à eux adaptés pour être montés l’un sur l’autre, selon une direction verticale parallèle à l’axe vertical V du trièdre illustré.
La base 140 de l’organe de connexion principal 110 comprend deux premiers flancs 141 – un seul d’entre eux étant visible sur la figure 1 - reliés entre eux par une première paroi supérieure 142. Tel que représenté, cette première paroi supérieure 142 s’étend, majoritairement, dans un plan longitudinal et transversal, c’est-à-dire un plan dans lequel s’inscrivent l’axe longitudinal L et l’axe transversal T du trièdre illustré. Ces deux premiers flancs 141 et cette première paroi supérieure 142 délimitent, ensemble, un premier espace 148 destiné à recevoir un connecteur rendu solidaire du balai d’essuyage. La première paroi supérieure 142 est prolongée, en direction de la partie amovible 150, par une languette élastique 143 porteuse d’un bouton escamotable 144. Autrement dit, la languette élastique 143 s’étend également, majoritairement, dans le plan d’extension principal de la première paroi supérieure 142 mentionné ci-dessus. On entend par «languette élastique» une languette capable de reprendre une position initiale après avoir été déformée par une contrainte mécanique. C’est ainsi les propriétés d’élasticité de cette languette élastique 143 qui rendent le bouton qu’elle porte escamotable. Plus particulièrement, ce bouton escamotable 144 s’étend au-delà de chacun des premiers flancs 141 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110, à la fois le long de l’axe d’extension principal X de l’organe de connexion principal 110, et le long de la direction verticale parallèle à l’axe vertical V du trièdre illustré. Tel que cela sera plus amplement détaillé ci-dessous, ce bouton escamotable 144 peut participer à rendre le dispositif de connexion 100 solidaire de la chape du bras d’essuie-glace, ce bouton escamotable 144 étant adapté pour être reçu dans un orifice ménagé dans la chape du bras d’essuie-glace. Avantageusement, et tel que cela sera plus amplement détaillé ci-dessous, en référence à la figure 11, le bouton escamotable 144 peut également permettre de sécuriser la liaison amovible réalisée entre la base 140 et la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110,
La base 140 de l’organe de connexion principal 110 comprend également une tête 146 qui forme une extrémité longitudinale de la base 140. Autrement dit, la base 140 de l’organe de connexion principal 110 s’étend, le long de son axe d’extension principal X, entre la tête 146 et le bouton escamotable 144. Tel que représenté, cette tête 146 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110 présente une encoche 146a ménagée depuis un bord arrière 146b de cette tête 146, c’est-à-dire un bord de cette tête 146 tourné vers la première paroi supérieure 142 de la base 140.
Chacun des premiers flancs 141 de la base 140 présente également un ajour 145 qui est configuré pour recevoir un axe de rotation du bras d’essuie-glace par rapport au dispositif de connexion 100.
En outre, la base 140 de l’organe de connexion principal 110 comprend au moins un premier organe de liaison 149 adapté pour coopérer avec au moins un deuxième organe de liaison 151 ménagé sur la partie amovible 150. Selon l’invention, cette coopération peut par exemple être réalisée par emboîtement. Ainsi, selon l’exemple illustré sur la figure 1, le premier organe de liaison 149 prend la forme d’au moins une cheminée 147 adaptée pour recevoir au moins une languette 152 ménagée sur la partie amovible 150. Tel que représenté, cette au moins une cheminée 147 prend la forme d’un trou borgne, c’est-à-dire qu’elle s’étend le long d’une droite principale C entre une paroi de fond et une ouverture par laquelle, l’au moins une languette 152 est apte à être insérée. Selon l’exemple illustré, la droite principale C est parallèle à l’axe vertical V du trièdre illustré et l’ouverture de la cheminée 147 débouche au niveau de la première paroi supérieure 142 de la base 140 de l’organe de connexion primaire 110. Avantageusement, le premier organe de liaison 149 comprend deux cheminées 147, réparties sur chacun des premiers flancs 141 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110, chacune de ces cheminées 147 débouchant au niveau de la première paroi supérieure 142 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110 et chacune de ces cheminées 147 étant adaptée pour recevoir une languette 152. Plus particulièrement, ces cheminées 147 sont ménagées de part et d’autre de la languette élastique 143 porteuse du bouton escamotable 144. Autrement dit, le deuxième organe de liaison 151 comprend, selon l’exemple illustré, deux languettes 152 ménagées de sorte à pouvoir être insérées dans les cheminées 147 correspondantes. Ainsi, la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110 comprend au moins une première paroi latérale 153 de laquelle émerge une première languette 152a et au moins une deuxième paroi latérale 154 de laquelle émerge une deuxième languette 152b.
Plus particulièrement, la première paroi latérale 153 et la deuxième paroi latérale 154 s’étendent parallèlement, ou sensiblement parallèlement, l’une par rapport à l’autre et elles sont reliées entre elles par au moins un pont supérieur 155. Ce pont supérieur 155 s’étend, selon l’exemple illustré, parallèlement à l’axe transversal T du trièdre illustré. La première paroi latérale 153 et la deuxième paroi latérale 154 sont réparties de part et d’autre d’un plan transversal au pont supérieur 155 et dans lequel s’inscrit l’axe d’extension principal X de l’organe de connexion principal 110. Selon l’exemple illustré, ce plan est plus particulièrement un plan longitudinal et vertical, c’est-à-dire un plan dans lequel s’inscrivent l’axe longitudinal L et l’axe vertical V du trièdre illustré. Chacune de ces parois latérales 153, 154 s’étend ainsi entre une extrémité avant 153a de laquelle émerge la languette 152a, 152b concernée, et une extrémité arrière formée par une patte élastique 153b, 154b. Ces pattes élastiques 153b, 154b comprennent, chacune, une zone de préhension 153c, 154c qui s’étend en saillie de la patte élastique concernée, vers l’extérieur, c’est-à-dire en éloignement l’une de l’autre. En outre, le pont supérieur 155 qui relie la première paroi latérale 153 à la deuxième paroi latérale 154 participe à conférer leur élasticité aux pattes élastiques 153b, 154b. Ces pattes élastiques 153b, 154b sont adaptées pour coopérer avec la chape de certains bras d’essuie-glace décrits et illustrés ci-après.
Les languettes 152 comprennent quant à elles plus particulièrement au moins une portion d’attache 156 par laquelle elles émergent de la paroi latérale 153, 154 concernée et au moins une portion d’emboîtement 157 qui s’étend, depuis cette portion d’attache 156, parallèlement à la droite d’extension principale C d’au moins l’une des cheminées 147, et qui est adaptée pour être reçue, au moins partiellement, dans la cheminée 147 correspondante. On comprend que la portion d’attache 156 permet de ménager un espace entre un bord de la languette 152 concernée et un bord de la paroi latérale 153, 154 qui la porte, de sorte à permettre l’insertion de cette languette 152 dans la cheminée 147 prévue à cet effet sur la base 140 de l’organe de connexion principal 110.
Avantageusement, la première paroi latérale 153 et la deuxième paroi latérale 154 présentent un écartement, mesuré perpendiculairement à la première paroi latérale 153 et à la deuxième paroi latérale 154 équivalent, ou sensiblement équivalent à un écartement des cheminées 147 formées sur la base 140 de l’organe de connexion principal 110 mesuré selon une direction perpendiculaire aux premiers flancs 141 de cette base 140 de l’organe de connexion principal 110. Ainsi, une fois la partie amovible 150 liée à la base 140 de l’organe de connexion principal 110, l’extrémité avant 153a de chacune des parois latérales 153, 154 de la partie amovible 150 est agencée en regard, avantageusement en contact, respectivement, d’un bord d’extrémité arrière de l’un des premiers flancs 141 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110.
On comprend donc que, selon l’exemple illustré, les languettes 152 qui forment le deuxième organe de liaison 151 sont adaptées pour être insérées verticalement, par le haut, c’est-à-dire par la première paroi supérieure 142 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110, dans les cheminées 147 correspondantes. Alternativement, les cheminées pourraient déboucher au niveau d’une arête inférieure de chacun des premiers flancs de la base de l’organe de connexion principal, et les languettes pourraient avoir une forme inversées à celle illustrée sur la figure 1, de sorte à être insérées verticalement par le bas dans les cheminées correspondantes.
Enfin, tel que cela sera plus amplement décrit ci-dessous, au moins une paroi transversale – par exemple visible sur les figures 2, 10 et 11 - s’étend entre la première paroi latérale 153 et la deuxième paroi latérale 154 de la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110.
Tel qu’évoqué ci-dessus, le dispositif de connexion 100 selon l’invention comprend également un organe de connexion secondaire 120 et un organe de connexion tertiaire 130. L’organe de connexion secondaire 120 présente au moins deux deuxièmes flancs 121 reliés entre eux par une deuxième paroi supérieure 122. Selon l’exemple illustré, la paroi supérieure 122 prend une forme de H, vue de dessus, c’est-à-dire vue depuis l’organe de connexion tertiaire 130, mais il est entendu qu’il ne s’agit que d’un exemple de réalisation de l’invention qui ne limite pas cette dernière.
Les deux deuxièmes flancs 121 de l’organe de connexion secondaire 120 délimitent un deuxième espace 123 adapté pour recevoir, au moins partiellement, la base 130 de l’organe de connexion principal 110. Autrement dit, en position montée, les deuxièmes flancs 121 de l’organe de connexion secondaire 120 recouvrent, au moins partiellement, les premiers flancs 141 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110 et la deuxième paroi supérieure 122 de l’organe de connexion secondaire 120 recouvre, au moins partiellement, la première paroi supérieure 142 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110. On comprend de la figure 1, qu’en position montée, la languette élastique 143 porteuse du bouton escamotable 144 fait face à une partie ajourée 124 de la forme de H de la deuxième paroi supérieure 122, de sorte que cette deuxième paroi supérieure 122 n’entrave pas le déplacement de cette languette élastique 143. Chacun des deuxièmes flancs 121 de l’organe de connexion secondaire 120 présente également un ajour 125 agencé en regard de l’ajour 145 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110 lorsque l’organe de connexion secondaire 120 est monté sur cette base 140 de l’organe de connexion principal 110.
L’organe de connexion tertiaire 130 comprend quant à lui deux troisièmes flancs 131 reliés entre eux par une troisième paroi supérieure 132. Les deux troisièmes flancs 131 et la troisième paroi supérieure 132 délimitent un troisième espace 133 adapté pour recevoir à la fois l’organe de connexion secondaire 120, c’est-à-dire au moins une partie des deux deuxièmes flancs 121 et la deuxième paroi supérieure 122 de cet organe de connexion secondaire 120, et au moins une partie de la base 130 de l’organe de connexion principal 110. De façon similaire à ce qui a été décrit précédemment, chaque troisième flanc 131 comprend au moins un ajour 134 positionné en regard des ajours 125, 145 respectivement ménagés sur l’organe de connexion secondaire 120 et sur la base 140 de l’organe de connexion principal 110. On note que la troisième paroi supérieure 132 présente un évidement 135. En position montée, cet évidement 135 reçoit le bouton escamotable 144 porté par la base 140 de l’organe de connexion principal 110.
La figure 2 illustre l’organe de connexion principal 110, vue en éclaté, selon un exemple de réalisation particulier de l’invention. Selon cet exemple de réalisation particulier, les cheminées 147 sont réalisées de sorte à ce que leur droite principale C d’extension est parallèle à l’axe d’extension principal X de l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire parallèle à l’axe longitudinal L du trièdre illustré, et leurs ouvertures respectives débouchent quant à elles au niveau de l’extrémité longitudinale arrière 170 de chacun des premiers flancs 141 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110. Les portions d’emboitement 157 de chacune des languettes 152 ménagées sur la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110 s’étendent également parallèlement à l’axe d’extension principal X de l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire qu’elles prolongent longitudinalement, respectivement, l’une des parois latérales 153, 154 de la partie amovible 150 de sorte à être insérées, longitudinalement, dans les cheminées 157 correspondantes.
Par ailleurs, on note que chacune des portions d’emboitement 157 de chacune des languettes 152 émerge de l’extrémité avant 153a, 154a de l’une des parois latérales 153, 154 de la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110 et qu’elle se sépare en deux branches 171, 172, ces deux branches 171, 172 étant adaptées pour être reçues dans l’une des cheminées 147 correspondantes, par l’extrémité arrière 170 du premier flanc 141 concerné. Avantageusement, ces deux branches 171, 172 sont élastiques, c’est-à-dire qu’elles sont configurées pour reprendre leur forme initiale après avoir été déformées par une contrainte mécanique. Autrement dit, on comprend que ces deux branches 171, 172 sont rapprochées l’une de l’autre pour pouvoir être insérées dans la cheminée 147 correspondante, puis qu’une fois insérées dans cette cheminée 147, elles tendent à reprendre leur position initiale, coopérant alors avec une paroi interne de la cheminée 147 de sorte à assurer le maintien de cette languette 152 dans la cheminée 147 et donc la liaison entre la partie amovible 150 et la base 140 de l’organe de connexion principal 110. On comprend que pour désolidariser la partie amovible 150 de la base 140, il suffit alors d’exercer une force mécanique sur la languette 152, de sorte à permettre le rapprochement de ses deux branches 171, 172 et ainsi permettre leur retrait de la cheminée 147.
Il est entendu qu’il ne s’agit que d’exemples de réalisation qui ne limitent pas l’invention et que tout autre forme de réalisation des premier et deuxième organes de liaison est envisageable sans sortir du contexte de la présente invention à condition qu’ils permettent effectivement de générer une liaison amovible entre la base et la partie amovible de l’organe de connexion principal.
La figure 2 rend en outre visible la paroi transversale 158 qui relie la première paroi latérale 153 à la deuxième paroi latérale 154 de la partie amovible 150 tel que précédemment décrit et dont la fonction sera plus amplement détaillée ci-dessous, en référence à la figure 11.
La figure 3 illustre le dispositif de connexion 100 selon un premier mode d’assemblage de l’invention. Il est à noter que ce premier mode d’assemblage correspond au mode d’assemblage utilisé pour la vente du dispositif de connexion 100 selon l’invention. Autrement dit, la figure 3 illustre le dispositif de connexion 100 tel que vendu dans les réseaux après-vente de première monte et de deuxième monte. Selon ce premier mode d’assemblage, l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire la base de cet organe de connexion principal – non visible sur la figure 3 - ainsi que sa partie amovible 150, l’organe de connexion secondaire – non visible sur la figure 3 - et l’organe de connexion tertiaire 130 sont assemblés.
Selon ce premier mode d’assemblage, la base de l’organe de connexion principal 110 et l’organe de connexion secondaire sont totalement recouverts par l’organe de connexion tertiaire 130, de sorte que cette base de l’organe de connexion principal 110 et cet organe de connexion secondaire ne sont pas visibles sur la figure 3. Toutefois, tel que précédemment évoqué, la troisième paroi supérieure 132 de l’organe de connexion tertiaire 130 présente un évidement 135 à travers lequel s’étend le bouton escamotable 144 porté par la base 140 de l’organe de connexion principal, ce bouton escamotable 144 étant ainsi visible sur la figure 3. En outre, la tête 146 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110 s’étend également au-delà de l’organe de connexion tertiaire 130, de sorte qu’elle est également visible sur cette figure 3. Tel que précédemment évoqué, cette tête 146 comprend une encoche 146a qui s’étend depuis son bord arrière 146b. Tel que représenté, un trou 101 est ainsi ménagé entre la tête 146 et les première, deuxième et troisième parois supérieures, respectivement, de la base, de l’organe de connexion secondaire et de l’organe de connexion tertiaire 130. Tel que cela sera plus amplement détaillé ci-dessous, ce trou 101 est configuré pour recevoir une partie de la chape de certains bras d’essuie-glace.
Enfin, la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110 s’étend également au-delà de l’organe de connexion tertiaire 130. Plus particulièrement, les pattes élastiques 153b, 154b de cette partie amovible 150 s’étendent au-delà des troisièmes flancs 131 de l’organe de connexion tertiaire 130, et donc également de au-delà de l’organe de connexion secondaire, permettant ainsi, tel que plus amplement détaillé ci-après, leur coopération avec la chape de certains bras d’essuie-glace.
La figure 4 illustre, vue de dessous, une partie du dispositif de connexion 100 selon le premier mode d’assemblage, c’est-à-dire le mode d’assemblage dans lequel le dispositif de connexion 100 peut être proposé dans les réseaux après-vente de première monte et de deuxième monte. Il est donc entendu que les caractéristiques décrites ci-après peuvent être prise individuellement ou selon des combinaisons différentes sans sortir du contexte de la présente invention du moment qu’elles ne sont pas incompatibles entre elles.
Ainsi, tel qu’illustré, on note que l’organe de connexion secondaire 120 comprend au moins une dent 126 de verrouillage qui émerge d’une arête inférieure 127 de l’un des deuxièmes flancs 121 de l’organe de connexion secondaire 120, et qui s’étend en direction de l’autre deuxième flanc 121 de cet organe de connexion secondaire 120. On entend par « arête inférieure », un bord libre du deuxième flanc 121 concerné opposé à un bord de ce deuxième flanc 121 par lequel il est relié à la deuxième paroi supérieure de l’organe de connexion secondaire 120. Tel qu’illustré, cette au moins une dent 126 de verrouillage vient en butée contre une arête inférieure 160 de l’un des premiers flancs 141 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110. On entend ici par « arête inférieure » un bord libre du premier flanc 141 concerné opposé à un bord de ce premier flanc 141 par lequel il est relié à la première paroi supérieure. Autrement dit, on comprend que la base 140 de l’organe de connexion principal 110 est prise en sandwich entre l’au moins une dent 126 de verrouillage de l’organe de connexion secondaire 120 et la deuxième paroi supérieure – non visible sur la figure 4 – de cet organe de connexion secondaire 120. Avantageusement, l’organe de connexion secondaire 120 peut comprendre une pluralité de dents de verrouillage réparties entre ces deux deuxièmes flancs et qui viennent en butée contre, respectivement, les deux premiers flancs de la base de l’organe de connexion principal.
Cette figure rend également visible un premier ergot 136 qui émerge de l’un des troisièmes flancs 131 de l’organe de connexion tertiaire 130 et qui comprend au moins une portion verticale 136a qui s’étend principalement selon une direction parallèle à l’axe vertical V et au moins une portion transversal 136b qui émerge de la portion verticale 136a et qui s’étend principalement selon une direction parallèle à l’axe transversal T, en direction de l’autre troisième flanc de cet organe de connexion tertiaire 130. Plus particulièrement, ce premier ergot 136 émerge d’une arête inférieure 138 du troisième flanc 131 concerné, c’est-à-dire qu’il émerge d’un bord libre de ce troisième flanc opposé à un bord par lequel il est relié à la troisième paroi supérieure de l’organe de connexion tertiaire 130. Tel qu’illustré, la portion transversale 136b de ce premier ergot 136 vient, selon le premier mode d’assemblage, en butée contre l’arête inférieure 160 de l’un des premiers flancs 141 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110.
Selon l’exemple illustré, la dent 126 de verrouillage de l’organe de connexion secondaire 120 et le premier ergot 136 de l’organe de connexion tertiaire 130 viennent en butée contre l’arête inférieure 160 du même premier flanc 141 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110. Il est entendu qu’il ne s’agit que d’un exemple de réalisation et que ce premier ergot 136 pourrait venir en butée contre l’autre premier flanc de la base 140 de l’organe de connexion principal 110 sans sortir du contexte de la présente invention. Avantageusement, l’organe de connexion tertiaire 130 peut comprendre une pluralité de premiers ergots répartis entre les deux troisièmes flancs de cet organe de connexion tertiaire.
L’organe de connexion tertiaire 130 comprend en outre, selon l’exemple illustré, au moins un deuxième ergot 139 qui émerge de l’arête inférieure 138 de l’un des troisièmes flancs 131 de l’organe de connexion tertiaire 130 et qui s’étend en direction de l’autre troisième flanc 131 de cet organe de connexion tertiaire 130.
Selon l’exemple illustré, le premier ergot 136 et le deuxième ergot 139 sont ménagés sur le même troisième flanc 131 de l’organe de connexion tertiaire 130 mais il est entendu qu’il ne s’agit que d’un exemple de réalisation et que le deuxième ergot 139 pourrait être ménagé sur l’autre troisième flanc 131 de cet organe de connexion tertiaire 130 sans sortir du contexte de la présente invention.
Tel que représenté ce deuxième ergot 139 vient en butée contre l’arête inférieure 127 de l’un des deuxième flancs 121 de l’organe de connexion secondaire 120. Autrement dit, la base 140 de l’organe de connexion principal 110 est ainsi prise en sandwich, d’une part entre la dent 126 de verrouillage de l’organe de connexion secondaire 120 et la deuxième paroi supérieure de cet organe de connexion secondaire 120 et, d’autre part, entre le premier ergot 136 de l’organe de connexion tertiaire 130 et la troisième paroi supérieure de l’organe de connexion tertiaire 130. L’organe de connexion secondaire 120 est quant à lui pris en sandwich entre le deuxième ergot 137 de l’organe de connexion tertiaire 130 et la troisième paroi supérieure de cet organe de connexion tertiaire 130.
Par ailleurs, la figure 4 rend visible une portion de la partie amovible de l’organe de connexion principal 110. Plus particulièrement, cette figure 4 rend visible l’extrémité avant 153a de la première paroi latérale 153 de cette partie amovible. Tel qu’illustré, une face interne 153d de la première paroi latérale 153 est prolongée longitudinalement, en direction de la base 140, par un organe de reprise d’effort 159 qui vient en appui contre un épaulement 161 ménagé sur une face interne 162 du premier flanc 141 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110. On entend par «face interne de la première paroi latérale» une face de cette première paroi latérale 153 tournée vers la deuxième paroi latérale de la partie amovible, et par «face interne du premier flanc de la base de l’organe de connexion principal» une face de ce premier flanc tourné vers l’autre premier flanc de cette base de l’organe de connexion principal. Avantageusement, la coopération entre cet organe de reprise d’effort 159 et l’épaulement 161 permet d’éviter que les pattes élastiques 153b, 154b ne cassent lorsqu’on leur applique une force mécanique, notamment lors de phases d’assemblage et de désassemblage du dispositif de connexion 100 sur certains types de bras d’essuie-glace, par exemple décrits ci-dessous en référence aux figures 10 et 11.
En référence aux figures 5 à 11, nous allons maintenant décrire la coopération entre le dispositif de connexion 100 selon différents modes d’assemblage et des bras d’essuie-glace de systèmes d’essuyage illustrés selon différents exemples de réalisation.
Selon l’un quelconque des exemples de réalisation illustrés ici, le système d’essuyage 200 comprend au moins un balai d’essuyage – non illustré ici – relié à un bras d’essuie-glace 201 par le dispositif de connexion 100 selon l’invention. Le balai d’essuyage comprend au moins une lame d’essuyage destinée à balayer une surface vitrée d’un véhicule automobile pour en retirer les salissures, cette lame d’essuyage étant portée par au moins un organe de rigidification de cette lame d’essuyage. Le balai d’essuyage comprend en outre au moins un connecteur adapté pour être reçu dans le premier espace délimité par les premiers flancs et la première paroi supérieure de la base de l’organe de connexion principal du dispositif de connexion 100 selon l’invention et au moins un déflecteur d’air, adapté pour assurer le maintien du contact entre la lame d’essuyage et la surface vitrée à essuyer.
Le bras d’essuie-glace 201 comprend quant à lui au moins une tige 202 emmanchée dans une chape 210. Cette chape 210 présente, vue dans un plan transversal et vertical, c’est-à-dire un plan dans lequel s’inscrivent l’axe transversal T et l’axe vertical V du trièdre illustré, une forme en U renversé qui définit un logement de réception 211 adapté pour recevoir, au moins partiellement, le dispositif de connexion 100 selon l’invention. Autrement dit, cette chape 210 comprend au moins deux quatrième flancs 212 reliés entre eux par une quatrième paroi supérieure 212, ces deux quatrièmes flancs 212 et cette quatrième paroi supérieure 213 définissant le logement de réception 211 du dispositif de connexion 100.
La figure 5 est une vue, en éclaté, du bras d’essuie-glace 201 et du dispositif de connexion 100 d’un système d’essuyage 200 selon un premier exemple de réalisation de la présente invention. Selon ce premier exemple de réalisation, le dispositif de connexion 100 est assemblé selon un deuxième mode d’assemblage qui diffère du premier mode d’assemblage en ce qu’il est dépourvu de la partie amovible. La figure 6 est une vue, en coupe longitudinale de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 et du dispositif de connexion 100 du système d’essuyage 200 illustré sur la figure 5.
Sur les figures 5 et 6, le bras d’essuie-glace 201 est représenté dépourvu de la tige. Autrement dit, ces figures n’illustrent que la chape 210 de ce bras d’essuie-glace 201. Tel qu’évoqué ci-dessus, cette chape 210 comprend deux quatrièmes flancs 212 reliés entre eux par la quatrième paroi supérieure 213, ces deux quatrièmes flancs 212 et cette quatrième paroi supérieure 213 délimitant le logement de réception 211 du dispositif de connexion 100. Plus particulièrement, selon ce premier exemple de réalisation, la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 présente, vue de dessus, une forme en Z. Ainsi, la quatrième paroi supérieure 213 et les quatrièmes flancs 212 présentent, respectivement, une première portion 214 qui s’étend majoritairement selon une première direction D1, une deuxième portion 215 qui s’étend majoritairement selon une deuxième direction D2 parallèle à la première direction D1 et au moins une troisième portion 216 qui s’étend majoritairement selon une troisième direction D3 transversale à la première direction D1 et à la deuxième direction D2. Selon l’invention, le logement de réception 211 est plus particulièrement formé par les premières portions 214 de la quatrième paroi supérieure 213 et des quatrièmes flancs 212. Sur la figure 6, seule la première portion 214 est visible.
Tel qu’évoqué précédemment, le bouton escamotable 144 est adapté pour être reçu dans un orifice 217 ménagé dans la chape 210 du bras d’essuie-glace 201. Tel qu’illustré, cet orifice 217 est ménagé dans la quatrième paroi supérieure 213, et plus particulièrement dans la première portion 214 de cette quatrième paroi supérieure 213. Cet orifice 217 est traversant de sorte que le bouton escamotable 144 puisse s’étendre à travers cet orifice 217, tel que représenté sur la figure 6.
La chape 210 du bras d’essuie-glace 201 comprend en outre une patte de retenue 218 du dispositif de connexion 100. Selon l’exemple illustré ici, la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 comprend deux pattes de retenue 218 respectivement portées par chacun des quatrièmes flancs 212. L’une de ces pattes de retenue 218 est partiellement visible sur la figure 5, tandis que l’autre patte de retenue 218 est quant à elle visible sur la figure 6.
Chacun de ces pattes de retenue 218 émerge ainsi de l’un des quatrièmes flancs 212 de la chape 210, et plus particulièrement d’une arête inférieure 219 de ces quatrièmes flancs 212. De façon similaire à ce qui a été précédemment décrit, on entend par «arête inférieure du quatrième flanc», un bord libre de ce quatrième flanc, opposé à la quatrième paroi supérieure 213. Ces pattes de retenue 218 s’étendent ainsi, chacune, en direction de l’autre patte de retenue 218. En d’autres termes, chaque patte de retenue 218 est repliée vers le quatrième flanc 212 qui ne la porte pas et participe, tel qu’illustré sur la figure 6, à définir le logement de réception 211 du dispositif de connexion 100.
En effet, on comprend de la figure 6 que chacune de ces pattes de retenue 218 est configurée pour venir en butée contre l’arête inférieure de l’un des troisièmes flancs de l’organe de connexion tertiaire 130. Sur cette figure 6 est plus particulièrement visible, uniquement la première portion 214 de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201. Cette figure 6 rend en outre visible un moyen de retenue 161 qui prolonge longitudinalement le bouton escamotable 144, en direction de la tête 146 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110. On comprend que ce moyen de retenue 161 est adapté pour venir en butée contre la quatrième paroi supérieure 213 de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 et ainsi éviter que le dispositif de connexion 100 ne se désengage de la chape 210 par le bas. Autrement dit, ce moyen de retenue 161 permet de limiter, en coopération avec les pattes de retenue 218, les mouvements verticaux, c’est-à-dire le long de l’axe vertical V du trièdre illustré, du dispositif de connexion 100 une fois que celui-ci est engagé dans la chape 210 et que le bouton escamotable 144 est engagé dans l’orifice 217 ménagé dans cette chape 210.
La figure 6 rend également visible la première paroi supérieure 142 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110, la deuxième paroi supérieure 122 de l’organe de connexion secondaire 120 et la troisième paroi supérieure 132, qui sont, tel que précédemment évoqué, empilées les unes au-dessus des autres le long de l’axe vertical V du trièdre illustré.
La figure 7 illustre, en perspective, vue de dessous, le bras d’essuie-glace 201 selon une variante du premier exemple de réalisation qui vient d’être décrit et le dispositif de connexion 100 selon le deuxième mode d’assemblage. La figure 8 illustre quant à elle une vue en coupe transversale du bras d’essuie-glace 201 selon la variante du premier exemple de réalisation, cette coupe étant plus particulièrement réalisée dans la première partie 214 de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201.
Cette variante du premier exemple de réalisation diffère de ce premier exemple de réalisation en ce que le bras d’essuie-glace 201 comprend au moins un organe de projection 300 d’un fluide lave-glace et au moins une conduite 301 adaptée pour permettre l’acheminement de ce fluide lave-glace jusqu’à l’organe de projection 300.
Tel qu’illustré, l’organe de projection 300 de fluide lave-glace est monté sur la chape 210 du bras d’essuie-glace 201, en regard du dispositif de connexion 100 et il s’étend principalement selon une direction D longitudinale parallèle à l’axe d’extension principal X de l’organe de connexion principal 110. Tel que représenté, cet organe de projection 300 comprend au moins un orifice d’alimentation 302 auquel la conduite 301 est hydrauliquement raccordée. L’organe de projection 300 comprend en outre au moins un moyen d’accrochage 310 à la chape 210 du bras d’essuie-glace 201. Cet organe de projection 300 est plus amplement décrit ci-dessous en référence à la figure 8.
La conduite 301 court quant à elle depuis cet organe de projection 300, et plus particulièrement depuis l’orifice d’alimentation 302 de cet organe de projection 300, le long du bras d’essuie-glace 201. Cette conduite 301 est également raccordée à un réservoir de fluide lave-glace agencé sur le véhicule auquel est destiné le système d’essuyage selon l’invention.
Tel qu’illustré, au moins un organe de maintien 303 de la conduite 301 permet de maintenir cette conduite 301 contre le bras d’essuie-glace 201. Selon l’exemple illustré, cet organe de maintien 303 prend la forme d’une bague 304 qui enserre à la fois la conduite 301 et le bras d’essuie-glace 201. Il est entendu que le bras d’essuie-glace 201 comprend en pratique une pluralité d’organes de maintien 303 répartis le long de ce bras d’essuie-glace 201. En outre, cet organe de maintien 303 pourrait prendre d’autres formes que celle qui vient d’être décrite sans sortir du contexte de la présente invention.
Le dispositif de connexion 100 selon le deuxième mode d’assemblage illustré sur la figure 7 est identique au dispositif de connexion 100 décrit en référence aux figures 5 et 6. Avantageusement, on comprend de la figure 7 que l’utilisation du dispositif de connexion 100 selon le deuxième mode d’assemblage permet le passage de la conduite 301. En effet, il apparaît clairement de cette figure que si le dispositif de connexion 100 était utilisé selon le premier mode d’assemblage, la partie amovible de l’organe de connexion principal entrerait en interférence avec cette conduite 301.
Le reste des éléments est commun avec les éléments illustrés sur les figures 5 et 6 et on pourra se référer à la description qui en a été faite en référence à ces figures.
La figure 8 illustre, la chape 210 du bras d’essuie-glace selon la variante du premier exemple de réalisation qui vient d’être décrite, vue en coupe transversale. Tel que représenté, l’organe de projection 300 comprend un corps 320 formé d’au moins une première partie 321 et d’au moins une deuxième partie 322 rapportées l’une sur l’autre, cette première partie 321 et cette deuxième partie 322 délimitant, ensemble, une chambre 323 en communication fluidique avec l’orifice d’alimentation – non visible sur la figure 8. Alternativement, l’organe de projection peut être monobloc, c’est-à-dire que la première partie et la deuxième partie forment alors un unique ensemble qui ne peut être séparé sans entrainer la détérioration de la première partie ou de la deuxième partie. Ainsi, le fluide lave-glace qui arrive du réservoir par la conduite 301 entre dans l’organe de projection 300, et plus particulièrement dans la chambre 323 de cet organe de projection 300 par l’orifice d’alimentation. L’organe de projection 300 comprend en outre au moins un orifice de projection 324, avantageusement, une pluralité d’orifices de projection 324 répartis le long de l’organe de projection 300, adapté pour permettre la projection du fluide lave-glace reçu dans la chambre 323 vers la surface vitrée à nettoyer.
Tel qu’évoqué ci-dessus, l’organe de projection 300 comprend un moyen d’accrochage 310 à la chape 210 du bras d’essuie-glace 201. Selon l’exemple illustré, ce moyen d’accrochage 310 comprend au moins un moyen d’encliquetage 311 adapté pour coopérer avec une espace creux 220 ménagé dans la chape 210 du bras d’essuie-glace 201. Selon l’exemple illustré, cet espace creux 220 est traversant et est ménagé dans l’un des quatrièmes flancs 212 de la chape 210 et le moyen d’encliquetage 311 prend la forme d’un crochet qui vient en butée contre une portion du quatrième flanc 212 concerné qui participe à définir l’espace creux 220. Selon une alternative non illustrée, l’espace creux pourrait être un trou borgne sans sortir du contexte de la présente invention.
Selon l’exemple illustré, le moyen d’encliquetage 311 est issu de matière avec la deuxième partie 322 de l’organe de projection 300, c’est-à-dire que ce moyen d’encliquetage 311 et cette deuxième partie 322 de l’organe de projection 300 forment un unique ensemble qui ne peut être séparé sans entrainer la détérioration de la deuxième partie 322 de l’organe de projection 300 ou du moyen d’encliquetage 311. Il est entendu qu’il ne s’agit que d’un exemple de réalisation de la présente invention et que le moyen d’accrochage 310 de l’organe de projection 300 sur la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 est envisageable sans sortir du contexte de la présente invention. On pourra par exemple prévoir que l’organe de projection soit collé sur la chape, que l’organe de projection soit issu de matière avec la chape, ou encore que l’organe de projection comprenne un aimant, la chape étant réalisée en un matériau métallique, l’organe de projection est alors maintenu par aimantation.
La figure 9 illustre le bras d’essuie-glace 201 selon un deuxième exemple de réalisation de la présente invention. Ce deuxième exemple de réalisation diffère du premier exemple de réalisation, d’une part par une dimension transversale de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 ainsi que par le mode d’assemblage du dispositif de connexion 100. On entend par «dimension transversale de la chape 210», une dimension mesurée entre les deux quatrièmes flancs 212 de la chape 210, selon une direction transversale, c’est-à-dire une direction perpendiculaire aux deux quatrièmes flancs 212. La dimension transversale de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 selon le deuxième exemple de réalisation est inférieure à la dimension transversale de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 selon le premier exemple de réalisation, et plus particulièrement à la dimension transversale de la première portion de la chape du bras d’essuie-glace selon le premier exemple de réalisation. Il résulte de cet écart de dimension que le dispositif de connexion 100 selon le deuxième mode d’assemblage est incompatible avec la chape 210 selon le deuxième exemple de réalisation, c’est-à-dire qu’il ne peut pas être utilisé pour relier cette chape 21 au balai d’essuyage concerné.
D’autre part, le bras d’essuie-glace 201 présente une forme généralement rectiligne, c’est-à-dire que ce bras d’essuie-glace 201 selon ce deuxième exemple de réalisation s’étend principalement selon une direction parallèle à l’axe longitudinal L du trièdre illustré. Autrement dit, ce bras d’essuie-glace 201 ne comprend pas les première, deuxième et troisième portions précédemment décrites.
Enfin, le bras d’essuie-glace 201 selon le deuxième exemple de réalisation diffère du bras d’essuie-glace selon le premier exemple de réalisation en ce qu’il comprend au moins une première patte de retenue 223 et au moins une deuxième patte de retenue 224 qui émergent toutes deux de l’arête inférieure 219 de l’un des quatrième flancs 212 de la chape 210 de ce bras d’essuie-glace 201 et qui sont distantes l’une de l’autre. Chacune de ces première et deuxième pattes de retenue 223, 224 émerge ainsi de l’arête inférieure 219 de l’un des quatrièmes flancs 212 de la chape 210 et s’étend sensiblement parallèlement à l’axe transversal T du trièdre illustré, en direction de l’autre quatrième flanc 212 de cette chape 210. Bien que non visibles ici, la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 selon le deuxième exemple de réalisation comprend plus particulièrement deux premières pattes de retenue 223 ménagées en regard l’une de l’autre et deux deuxième pattes de retenue 224 également ménagées en regard l’une de l’autre. Autrement dit, les deux premières pattes de retenue 223 émergent, respectivement, de l’un des quatrièmes flancs 212 et s’étendent en direction de l’autre quatrième flanc 212 et les deux deuxièmes pattes de retenue 224 émergent, respectivement, de l’un des quatrièmes flancs 212 de la chape 210 et s’étendent en direction de l’autre quatrième flanc 212. Avantageusement, ces première et deuxième pattes de retenue 224 viennent en butée, au moins, contre les arêtes inférieures des deuxièmes flancs 121 de l’organe de connexion secondaire 120 et participent, conjointement avec le bouton escamotable 144 au maintien du dispositif de connexion 100 dans la chape 210, et donc, par conséquent, au maintien de la connexion réalisée entre le balai d’essuyage et le bras d’essuie-glace 201 par l’intermédiaire de ce dispositif de connexion 100.
Tel que représenté sur la figure 9, le système d’essuyage 200 selon le deuxième exemple de réalisation comprend le dispositif de connexion 100 réalisé selon un troisième mode d’assemblage. Selon ce troisième mode d’assemblage, le dispositif de connexion 100 comprend la base 140 de l’organe de connexion principal 110 et l’organe de connexion secondaire 120. Autrement dit, le dispositif de connexion 100 selon le troisième mode d’assemblage diffère du dispositif de connexion selon le deuxième mode d’assemblage en ce qu’il est dépourvu de l’organe de connexion tertiaire. On comprend qu’en ôtant l’organe de connexion tertiaire, une dimension transversale du dispositif de connexion selon le troisième mode d’assemblage est inférieure à une dimension transversale du dispositif de connexion selon le premier ou le deuxième mode d’assemblage. Selon l’invention, la dimension transversale du dispositif de connexion est mesurée parallèlement à l’axe transversal T du trièdre illustré, entre les deux deuxièmes flancs 121 de l’organe de connexion secondaire selon le troisième mode d’assemblage et entre les deux troisièmes flancs 131 de l’organe de connexion tertiaire 130 selon le premier ou le deuxième mode d’assemblage. Ainsi le dispositif de connexion 100 selon le troisième mode d’assemblage est adapté pour être interposé entre la base 140 de l’organe de connexion principal 110 et la chape 210 du bras d’essuie-glace 201.
Le reste des caractéristiques de ce deuxième exemple de réalisation sont identiques avec le premier exemple de réalisation et la description donnée précédemment concernant ce premier exemple de réalisation s’applique mutatis mutandis au deuxième exemple de réalisation.
Selon une variante du deuxième exemple de réalisation non illustrée ici, le bras d’essuie-glace peut comprendre l’organe de projection du fluide lave-glace, tel que décrit ci-dessus en référence aux figures 7 et 8. Avantageusement, le dispositif de connexion selon le troisième mode d’assemblage est également compatible avec cette variante du deuxième exemple de réalisation. Autrement dit, on comprend que le dispositif de connexion selon l’invention peut facilement être adapté pour être utilisé sur au moins trois types de bras d’essuie-glace différents.
Les figures 10 et 11 illustrent toutes deux le bras d’essuie-glace 201 selon un troisième exemple de réalisation, la figure 10 étant une vue en éclaté de ce bras d’essuie-glace 201 et du dispositif de connexion 100 selon un quatrième mode d’assemblage et la figure 11 étant une vue en coupe longitudinale du bras d’essuie-glace 201 selon le troisième exemple de réalisation illustré en coopération avec le dispositif de connexion 100 selon le quatrième mode d’assemblage. Le bras d’essuie-glace 201 selon le troisième exemple de réalisation diffère du bras d’essuie-glace selon les premier et deuxième exemples de réalisation, entre autres, par sa dimension transversale, cette dimension transversale étant mesurée tel que précédemment décrit. La chape 210 du bras d’essuie-glace 201 selon le troisième exemple de réalisation présente ainsi une dimension transversale inférieure à la dimension transversale de la chape 210 selon le premier exemple de réalisation et à la dimension transversale de la chape 210 selon le deuxième exemple de réalisation. Il en résulte que le dispositif de connexion selon l’un quelconque des modes d’assemblage décrits ci-dessus ne peut pas être utilisé avec le bras d’essuie-glace selon ce troisième exemple de réalisation.
Le dispositif de connexion 100 selon le quatrième mode d’assemblage comprend ainsi, tel que représenté, uniquement l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire à la fois la base 140 et la partie amovible 150 de cet organe de connexion principal 110. Ainsi, une dimension transversale du dispositif de connexion 100 selon le quatrième mode d’assemblage mesurée parallèlement à l’axe transversal T, entre les deux premiers flancs 141 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110, est inférieure à la dimension transversale du dispositif de connexion 100 selon l’un quelconque des modes d’assemblage décrits ci-dessus.
Le bras d’essuie-glace 201 selon ce troisième exemple de réalisation comprend quant à lui la chape 210 et la tige 202 emmanchée dans cette chape 210 tel que décrit ci-dessus, la chape 210 comprenant également, tel que précédemment mentionné, les deux quatrièmes flancs 212 reliés entre eux par la quatrième paroi supérieure 213. Selon ce troisième exemple de réalisation, la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 s’étend principalement parallèlement à l’axe longitudinal L du trièdre illustré. Tel qu’illustré, les deux quatrièmes flancs 212 de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 selon le troisième exemple de réalisation présentent, chacun, une butée 221 destinée à coopérer avec l’une des pattes élastiques 153b, 154b de la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110. La quatrième paroi supérieure 213 de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 selon ce troisième exemple de réalisation est prolongée longitudinalement, en éloignement de la tige 202, par une excroissance 222 adaptée pour être reçue dans le trou 101 généré par la formation de l’encoche 146a dans la tête 146 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110. Tel que plus amplement détaillé ci-dessous en référence à la figure 11, cette excroissance 222 forme plus particulièrement un moyen de retenue du bras d’essuie-glace 201 par rapport au dispositif de connexion 100.
On note également que la quatrième paroi supérieure 213 de la chape 210 selon le troisième exemple de réalisation diffère de la quatrième paroi supérieure 213 de la chape 210 selon l’un quelconque des exemples de réalisation qui viennent d’être décrits en ce qu’elle est dépourvue de l’orifice adapté pour recevoir le bouton escamotable 144. Ainsi, tel qu’illustré sur la figure 11, ce bouton escamotable 144 est escamoté, c’est-à-dire repoussé vers le bas, en direction du balai d’essuyage une fois que le dispositif de connexion 100 est monté sur ce balai d’essuyage.
La figure 11 illustre plus particulièrement la coopération entre le dispositif de connexion 100 selon le quatrième mode d’assemblage et la chape 210 du bras d’essuie-glace selon le troisième exemple de réalisation.
Tel qu’illustré sur cette figure 11, un bourrelet 146b est ménagé sous la tête 146 de la base 140 de l’organe de connexion principal 110 du dispositif de connexion 100 selon l’invention. Tel que précédemment évoqué, l’excroissance 222 ménagée dans le prolongement de la quatrième paroi supérieure 213 de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201 est insérée dans le trou 101 délimité par l’encoche 146a ménagée dans la tête 146 de la base 140 de l’organe de connexion principale 110 et on comprend de cette figure 11 que cette excroissance 222 vient en prise avec le bourrelet 146b ménagé sous cette tête 146, formant ainsi une première zone de retenue 230 du bras d’essuie-glace 201 sur le dispositif de connexion 100 configurée pour limiter les mouvements longitudinaux du bras d’essuie-glace 201, c’est-à-dire les mouvements le long de l’axe longitudinal L du trièdre illustré, selon un premier sens S1 illustré sur la figure 11.
Cette figure 11 rend également visible la coopération entre l’une des pattes élastiques 154b de la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110 et l’une des butées 221 ménagées sur les quatrièmes flancs 211 de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201. Tel que représenté, il s’agit plus particulièrement d’une coopération entre un bord de la zone de préhension 154c et la butée 221 formée sur l’un des quatrièmes flancs 212 de la chape 210 du bras d’essuie-glace 201. Tel qu’évoqué ci-dessus, la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110 comprend le pont supérieur 155 qui relie la première paroi latérale à la deuxième paroi latérale 154 de cette partie amovible 150 et qui participe à conférer aux pattes élastiques portées par cette partie amovible 150 leurs propriétés élastiques. Plus particulièrement, ce pont supérieur 155 permet le rapprochement des deux pattes élastiques l’une vers l’autre, permettant, alternativement, l’engagement et le désengagement de ces pattes élastiques, et plus particulièrement des zones de préhension de ces pattes élastiques, par rapport aux butées 221 ménagées sur les quatrièmes flancs 212 de la chape 210.
On comprend de cette figure 11 que la coopération entre les pattes élastiques de la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110 et les butées 221 de la chape 210 forme une deuxième zone de retenue 240 du bras d’essuie-glace 201 sur le dispositif de connexion 100 configurée pour limiter les mouvements longitudinaux du bras d’essuie-glace 201, c’est-à-dire les mouvements le long de l’axe longitudinal L du trièdre illustré, selon un deuxième sens S2, contraire au premier sens S1.
La quatrième paroi supérieure 213 étant dépourvue de l’orifice adapté pour recevoir le bouton escamotable 144 et ce dernier étant porté par une languette élastique 143, le bouton escamotable 144 est escamoté, par cette quatrième paroi supérieure 213 vers le bas. Avantageusement, ce bouton escamotable 144 comprend un organe de retenue 144a qui, selon l’exemple illustré, prend la forme d’une tige qui émerge de ce bouton escamotable 144, et qui s’étend vers le bas. Tel que particulièrement visible sur la figure 11, cet organe de retenue 144a est adapté pour venir en butée contre la paroi transversale 158 de la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110, et plus particulièrement contre une face arrière de cette paroi transversale 158, c’est-à-dire une face de cette paroi transversale 158 tournée vers les pattes flexibles 153b, 154b de cette partie amovible 150. Avantageusement, cette coopération entre l’organe de retenue 144a du bouton escamotable 144 et la paroi transversale 158 de la partie amovible 150 permet d’assister et de renforcer la liaison amovible entre la base 140 et la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110. En outre, cet organe de retenue 144a forme un moyen de sécurisation de cette liaison amovible entre la base 140 et la partie amovible 150 de l’organe de connexion principal 110, c’est-à-dire qu’en cas de casse de cette liaison amovible, l’organe de retenue 144a garantit que le balai d’essuyage ne se sépare pas de la chape 210 du bras d’essuie-glace.
Avantageusement, un organe de projection ainsi que la conduite permettant d’acheminer le fluide lave-glace à cet organe de projection tel que décrit ci-dessus peut être rapportés sur le bras d’essuie-glace selon le troisième exemple de réalisation sans que le dispositif de connexion n’ait à être modifié. En effet, les pattes élastiques de la partie amovibles étant en prise sur les butées de la chape du bras d’essuie-glace tel que cela vient d’être décrit, ces pattes élastiques n’entrent pas en interférence avec la conduite, et la connexion peut ainsi être assurée par le dispositif de connexion selon le quatrième mode d’assemblage.
On comprend de ce qui précède que la présente invention propose ainsi un dispositif de connexion destiné à relier un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace qui peut être facilement adapté pour être utilisé avec au moins trois types de bras d’essuie-glace différents, étant entendu que la description qui vient d’être donnée ne limite pas l’étendue de la présente invention. On pourra notamment prévoir d’autres modes d’assemblage non décrits ici sans sortir du contexte de la présente invention, permettant ainsi d’adapter le dispositif de connexion à un très grand nombre de bras d’essuie-glace différents.

Claims (13)

  1. Dispositif de connexion (100) destiné à relier un balai d’essuyage à un bras d’essuie-glace (201), le dispositif de connexion (100) comprenant au moins un organe de connexion principal (110) adapté pour être relié au balai d’essuyage et à une chape (210) du bras d’essuie-glace (201), l’organe de connexion principal (110) s’étendant selon un axe d’extension principal (X), caractérisé en ce que l’organe de connexion principal (110) comprend au moins une base (140) configurée pour être montée à pivotement sur le balai d’essuyage et au moins une partie amovible (150) par rapport à la base (140), la partie amovible (150) et la base (140) étant alignées le long de l’axe d’extension principal (X).
  2. Dispositif de connexion (100) selon la revendication précédente, dans lequel la partie amovible (150) de l’organe de connexion principal (110) participe à la liaison du dispositif de connexion (100) avec la chape (210) du bras d’essuie-glace (201).
  3. Dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel au moins un premier organe de liaison (149) est ménagé sur la base (140) de l’organe de connexion principal (110), dans lequel au moins un deuxième organe de liaison (151) est ménagé sur la partie amovible (150) de l’organe de connexion principal (110), l’au moins un premier organe de liaison (149) et l’au moins un deuxième organe de liaison (151) étant configurés pour coopérer de manière amovible l’un avec l’autre.
  4. Dispositif de connexion (100) selon la revendication précédente, dans lequel l’au moins un premier organe de liaison (149) et l’au moins un deuxième organe de liaison (151) sont configurés pour coopérer par emboîtement.
  5. Dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications 3 ou 4, dans lequel l’au moins un premier organe de liaison (149) prend la forme d’une cheminée (147), dans lequel l’au moins un deuxième organe de liaison (151) prend la forme d’une languette (152) reçue dans l’au moins une cheminée (147).
  6. Dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la partie amovible (150) de l’organe de connexion principal (110) comprend au moins une patte élastique (153b, 154b) qui s’étend principalement selon une direction parallèle à l’axe d’extension principal (X) de l’organe de connexion principal (110), l’au moins une patte élastique (153b, 154b) étant adaptée pour coopérer avec la chape (210) du bras d’essuie-glace (201).
  7. Dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la base (140) de l’organe de connexion principal (110) comprend au moins un bouton escamotable (144) adapté pour être reçu dans un orifice (217) ménagé dans la chape (210) du bras d’essuie-glace (201) et pour être escamoté lorsque la chape (210) du bras d’essuie-glace (201) est dépourvu de l’orifice (217).
  8. Dispositif de connexion (100) selon la revendication précédente, dans lequel le bouton escamotable (144) comprend au moins un organe de retenue (144a) qui participe à retenir la partie amovible (150) contre la base (140).
  9. Dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes, comprenant au moins un organe de connexion secondaire (120) configuré pour être interposé entre la base (140) de l’organe de connexion principal (110) et la chape (210) du bras d’essuie-glace (201).
  10. Dispositif de connexion (100) selon la revendication précédente, dans lequel la base (140) de l’organe de connexion principal (110) comprend au moins deux premiers flancs (141) reliés entre eux par au moins une première paroi supérieure (142), l’organe de connexion secondaire (120) comprenant au moins deux deuxièmes flancs (121) reliés entre eux par au moins une deuxième paroi supérieure (122), les deux premiers flancs (141) et la première paroi supérieure (142) délimitant un premier espace (148) configuré pour recevoir, au moins en partie, le balai d’essuyage et les deux deuxièmes flancs (121) et la deuxième paroi supérieure (122) délimitant un deuxième espace (123) configuré pour recevoir, au moins partiellement, la base (140) de l’organe de connexion principal (110).
  11. Dispositif de connexion (100) selon la revendication précédente, dans lequel au moins l’un des deuxièmes flancs (121) de l’organe de connexion secondaire (120) comprend au moins une dent (126) de verrouillage de l’organe de connexion secondaire (120) sur l’organe de connexion principal (110).
  12. Dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications 10 ou 11, comprenant au moins un organe de connexion tertiaire (130), cet organe de connexion tertiaire (130) comprenant au moins deux troisièmes flancs (131) et une troisième paroi supérieure (132) qui délimitent un troisième espace (133) configuré pour recevoir, au moins partiellement, l’organe de connexion secondaire (120) et la base (140) de l’organe de connexion principal (110).
  13. Système d’essuyage (200) pour véhicule automobile, comprenant au moins un balai d’essuyage et au moins un bras d’essuie-glace (201) reliés entre eux par au moins un dispositif de connexion (100) selon l’une quelconque des revendications précédentes.
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