FR3095741A1

FR3095741A1 - Chaussure ouverte avec des renforts lateraux

Info

Publication number: FR3095741A1
Application number: FR1904761A
Authority: FR
Inventors: Elisabeth TROTEL
Original assignee: Kastine
Current assignee: Kastine
Priority date: 2019-05-07
Filing date: 2019-05-07
Publication date: 2020-11-13
Anticipated expiration: 2039-05-07
Also published as: FR3095741B1

Abstract

CHAUSSURE OUVERTE AVEC DES RENFORTS LATERAUX L’invention concerne une chaussure ouverte (100) comportant une semelle (103) avec une partie avant destinée à supporter des orteils d’un pied et une partie arrière destinée à supporter un talon du pied, de part et d’autre de la partie arrière, un renfort latéral (450a-b) destiné à se positionner sous une malléole du pied, et pour chaque renfort latéral (450a-b), une base (452) solidaire dudit renfort latéral (450a-b), où ladite base (452) est horizontale et fixée à la semelle (103). Une telle chaussure est ainsi équipée de renforts latéraux qui maintiennent latéralement la semelle confort (62), le talon du pied et l’appui du pied sur les bases horizontales renforce le maintien en position des renforts latéraux. Fig. 4

Description

CHAUSSURE OUVERTE AVEC DES RENFORTS LATERAUX

La présente invention concerne une chaussure ouverte avec des renforts latéraux.

Une chaussure ouverte de l’état de la technique comporte classiquement une semelle et des lanières qui sont fixées à la semelle et qui assurent un maintien minimal de la chaussure ouverte sur le pied.

Une chaussure ouverte est par exemple une tong, une sandale ou une claquette.

La tong comporte une lanière en V dont la pointe est fixée à l’avant de la semelle et se positionne classiquement entre le gros orteil et le secundus, et dont les branches sont fixées à la semelle de part et d’autre du talon du pied.

La sandale comporte une lanière avant sous laquelle se placent les orteils afin qu’ils soient maintenus, et une lanière arrière formant une boucle qui est fixée au niveau du talon et qui enserre la cheville.

La claquette comporte une lanière avant qui est large et sous laquelle se glissent les orteils.

Les semelles et les lanières peuvent être réalisées en différents matériaux souples comme du cuir.

Ces différents types de chaussure ouverte présentent un inconvénient majeur. En effet, le talon du pied n’est pas maintenu latéralement et peut bouger lors de la marche. Un tel déplacement du pied peut engendrer des entorses ou un mauvais positionnement de la jambe et du dos.

Il est donc nécessaire de trouver une chaussure ouverte qui présente des moyens qui maintiennent latéralement le talon du pied.

Un objet de la présente invention est de proposer une chaussure ouverte avec des renforts latéraux.

A cet effet, est proposée une chaussure ouverte comportant :

- une semelle avec une partie avant destinée à supporter des orteils d’un pied et une partie arrière destinée à supporter un talon du pied,

- de part et d’autre de la partie arrière, un renfort latéral destiné à se positionner sous une malléole du pied, et

- pour chaque renfort latéral, une base solidaire dudit renfort latéral, où ladite base est horizontale et fixée à la semelle.

Une telle chaussure est ainsi équipée de renforts latéraux qui maintiennent latéralement le talon du pied et l’appui du pied sur les bases horizontales renforce le maintien en position des renforts latéraux.

Avantageusement, ladite semelle étant constituée d’une semelle d’usure en contact avec le sol et d’une semelle supérieure solidaire de la semelle d’usure et disposée au-dessus de la semelle d’usure et chaque base est fixée entre la semelle d’usure et la semelle supérieure.

Avantageusement, ladite semelle étant constituée d’une semelle d’usure en contact avec le sol et d’une semelle supérieure solidaire de la semelle d’usure et disposée au-dessus de la semelle d’usure et chaque base est fixée au-dessus de la semelle supérieure.

Avantageusement, la chaussure ouverte comporte en outre une semelle de confort amovible, et la semelle supérieure comporte un enfoncement dans lequel vient se loger la semelle de confort.

Selon un mode de réalisation particulier, la chaussure ouverte prend la forme d’une tong et les lanières forment un V dont la pointe est fixée à un entre-doigt au niveau de la partie avant et dont chaque branche est fixée à un des renforts latéraux.

Avantageusement, l’entre-doigt présente une base solidaire de la partie avant de la semelle et une extrémité libre au-dessus de la semelle, la pointe est fixée de manière amovible au niveau de l’extrémité libre de l’entre-doigt, la semelle de confort présente un trou pour le passage de l’entre-doigt, la chaussure ouverte comporte un système d’accrochage qui permet de fixer ladite pointe à l’entre-doigt par une rotation d’un quart de tour dans un premier sens de rotation et de libérer ladite pointe de l’entre-doigt par une rotation d’un quart de tour dans un deuxième sens de rotation, où le système d’accrochage comporte au niveau de l’extrémité libre de l’entre-doigt, une barrette qui est solidaire de l’entre-doigt et surélevée par rapport à l’entre-doigt afin de laisser un espace libre entre la barrette et l’entre-doigt, où le système d’accrochage comporte également au niveau de la pointe des lanières, une fenêtre, où dans une première position de la fenêtre par rapport à la barrette, la barrette est libre de traverser la fenêtre, et où dans une deuxième position de la fenêtre par rapport à la barrette, la barrette est empêchée de traverser la fenêtre, et où le passage de la première position à la deuxième position consiste en une rotation d’un quart de tour.

Selon un mode de réalisation particulier, la chaussure ouverte prend la forme d’une claquette et les lanières comportent une lanière avant solidaire de la semelle et des lanières latérales fixées de part et d’autre de la chaussure ouverte entre la lanière avant et les renforts latéraux.

Selon un mode de réalisation particulier, la chaussure ouverte prend la forme d’une sandale et les lanières prennent la forme d’une boucle qui est fixée aux renforts latéraux et qui est destinée à enserrer une cheville.

Selon un mode de réalisation particulier, la base est commune aux deux renforts latéraux.

Selon un mode de réalisation particulier, il y a une base par renfort latéral et chacune s’étend vers l’autre base.

Selon un mode de réalisation particulier, il y a une base par renfort latéral, l’une des bases est disposée à l’arrière par rapport à l’autre base, les deux bases sont en contact l’une avec l’autre le long d’une zone de contact qui s’étend transversalement par rapport à l’axe du pied, et le long de la zone de contact, chaque base comporte des dents qui s’enclenchent avec les dents de l’autre base.

Les caractéristiques de l'invention mentionnées ci-dessus, ainsi que d'autres, apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante d'un exemple de réalisation, ladite description étant faite en relation avec les dessins joints, parmi lesquels :

est une représentation schématique en vue de côté d'une tong selon l’invention,

est une représentation schématique en vue de côté d'une claquette selon l’invention,

est une représentation schématique en vue de côté d'une sandale selon l’invention,

est une vue en perspective d’une chaussure selon un premier mode de réalisation de l’invention,

est une vue en perspective d’une chaussure selon un deuxième mode de réalisation de l’invention,

est une vue en perspective d’une chaussure selon un troisième mode de réalisation de l’invention,

est une vue en perspective d’un système d’accrochage d’une lanière de tong selon un premier mode de réalisation,

est une vue en perspective d’un entre-doigt utilisé dans le système d’accrochage de la Fig. 7, et

est une vue en perspective d’un système d’accrochage d’une lanière de tong selon un deuxième mode de réalisation.

EXPOSE DETAILLE DE MODES DE REALISATION

Dans la description qui suit, les termes relatifs à une position sont pris en référence à une chaussure en position d’utilisation, c'est-à-dire comme elle est représentée sur les Figs. 1 à 3.

Les Figs. 1 à 3 montrent des chaussures ouvertes selon différents modes de réalisation de l’invention. Une chaussure ouverte est une chaussure qui laisse libre la plus grande partie de la surface supérieure du pied et en particulier la zone médio-pied.

La Fig. 1 montre une tong 100, la Fig. 2 montre une claquette 200, et la Fig. 3 montre une sandale 300.

La chaussure ouverte 100, 200, 300 comporte une semelle 103 avec une partie avant sur laquelle repose les orteils du pied et une partie arrière sur laquelle repose le talon du pied.

De part et d’autre de la partie arrière, la chaussure ouverte 100, 200, 300 comporte un renfort latéral 150 dont un seul est vu sur les Figs. 1 à 3 et qui prend la forme d’une paroi s’étendant dans un plan vertical et parallèle à l’axe du pied. Chaque renfort latéral 150 se positionne sous la malléole 50 du pied.

Les Figs. 4 à 6 montrent différents types de renforts latéraux mis en œuvre dans le cas d’une tong 100, mais ces différents types de renforts latéraux peuvent être mis en œuvre pour les autres types de chaussures ouvertes 200, 300. Il y a un renfort latéral gauche 450a, 550a, 650a et un renfort latéral droit 450b, 550b, 650b.

Chaque renfort latéral 450a-b, 550a-b, 650a-b est solidaire d’une base 452, 552a-b, 652a-b qui prend la forme d’une paroi horizontale et qui se fixe à la semelle 103 en se présentant sous le talon du pied.

Le renfort latéral 450a-b, 550a-b, 650a-b et sa base 452, 552a-b, 652a-b sont rigides et réalisés par exemple en plastique ou en métal et le renfort latéral 450a-b, 550a-b, 650a-b ne se déforme pas lors de la marche.

La présence des renforts latéraux 450a-b, 550a-b, 650a-b permet un maintien du talon lors de la marche et le fait que les bases 452, 552a-b, 652a-b soient placées sous le talon du pied renforce la rigidité des renforts latéraux 450a-b, 550a-b, 650a-b du fait de l’appui du pied sur les bases.

Dans un mode de réalisation préféré, la semelle 103 comporte une semelle d’usure 102 qui vient en contact avec le sol et une semelle supérieure 104 qui est solidaire de la semelle d’usure 102 et qui est disposée au-dessus de la semelle d’usure 102. La semelle supérieure 104 peut supporter directement le pied ou une semelle de confort 62, par exemple du type semelle anatomique, qui est conformée au pied et sur laquelle se positionne ledit pied. Pour s’adapter au pied, la semelle de confort 62 est amovible et peut donc être remplacée ou retirée en cas de besoin.

Dans les modes de réalisation présentés sur les Figs. 1 à 6, chaque base 452, 552a-b, 652a-b est fixée plus particulièrement entre la semelle d’usure 102 et la semelle supérieure 104. Mais il est possible de prévoir que chaque base 452, 552a-b, 652a-b soit fixée au-dessus de la semelle supérieure 104.

Comme le montrent les Figs. 1 à 6, la partie supérieure de la semelle supérieure 104 présente un enfoncement 60 dans lequel vient se loger la semelle de confort 62 ce qui assure un minimum de maintien de la semelle de confort 62 et les renforts latéraux 450a-b, 550a-b, 650a-b assurent également un maintien latéral de ladite semelle de confort 62.

Sur les Figs. 1 à 3, l’enfoncement 60 et la semelle de confort 62 apparaissent en traits pointillés.

Comme le montrent les Figs. 1 à 3, chaque chaussure ouverte 100, 200, 300 comporte également des lanières 152, 252, 352 qui sont solidaires des renforts latéraux 150. Cette fixation des lanières aux renforts latéraux 150 permet un renforcement de la tenue du pied par les lanières.

La fixation 152, 252, 352 des lanières aux renforts latéraux 150 peut prendre différentes formes, une fixation permanente comme par exemple le collage, une fixation amovible comme par exemple des boutons pression.

Dans le cas de la tong 100, les lanières 152 forment un V dont la pointe est fixée à un entre-doigt 105 fixé au niveau de la partie avant de la semelle 103 entre le gros orteil et le secundus, et dont chaque branche est fixée à un des renforts latéraux 150.

Dans le cas de la claquette 200, les lanières 252 comportent une lanière avant 254 qui est large et solidaire de la semelle 103 et sous laquelle se glissent les orteils et des lanières latérales 256 qui sont fixées de part et d’autre de la chaussure ouverte 200 entre la lanière avant 254 et les renforts latéraux 150.

Dans le cas de la sandale 300, les lanières 352 prennent la forme d’une boucle qui est fixée aux renforts latéraux 150 et qui enserre la cheville. Dans le mode de réalisation de l’invention présenté ici, la sandale 300 comporte également une lanière avant 354 solidaire de la semelle 103 et sous laquelle se placent les orteils.

Dans le mode de réalisation de la Fig. 4, la base 452 est commune aux deux renforts latéraux 450a-b.

Dans le mode de réalisation de la Fig. 5, il y a une base 552a-b par renfort latéral 550a-b et chacune s’étend vers l’autre base 552a-b. Dans le mode de réalisation de l’invention présenté à la Fig. 5, chaque base 552a-b s’étend globalement sur la moitié de la largeur de la chaussure ouverte 100 pour rejoindre l’autre base 552a-b, mais une longueur différente des bases est possible.

Dans le mode de réalisation de la Fig. 6, il y a une base 652a-b par renfort latéral 650a-b. L’une des bases 652a est disposée à l’arrière par rapport à l’autre base 652b et les deux bases 652a-b sont en contact l’une avec l’autre le long d’une zone de contact qui s’étend transversalement par rapport à l’axe du pied. Le long de la zone de contact, chaque base 652a-b comporte des dents. Ainsi, les dents d’une base 652a s’enclenchent avec les dents de l’autre base 652b lorsque les renforts latéraux 650a-b sont mis en place.

Dans les modes de réalisation des Figs. 7 à 9, et dans le cas où la chaussure ouverte comporte une semelle de confort 62, celle-ci présente un trou 63 qui permet le passage de l’entre-doigt 105. Dans le cas d’une semelle de confort 62 amovible, il est nécessaire de prévoir un arrangement particulier.

Selon une première variante, la semelle de confort 62 présente une fente qui s’étend depuis le bord de la semelle 103 jusqu’au trou pour permettre le passage de l’entre-doigt 105.

Les Figs. 7 à 9 montrent une deuxième variante dans laquelle il est prévu un système d’accrochage 700, 900 qui assure la fixation de la pointe en V des lanières 152 de la tong 100 à l’entre-doigt 105 dont la base est solidaire de la partie avant de la semelle 103 et qui présente une extrémité libre au-dessus de la semelle 103.

La pointe est fixée de manière amovible au niveau de l’extrémité libre de l’entre-doigt 105 et chaque branche est fixée de manière amovible au niveau de la partie arrière de part et d’autre du talon du pied. Le retrait de la pointe permet alors le retrait de la semelle de confort 62.

La fixation entre la pointe et l’entre-doigt 105 s’effectue grâce au système d’accrochage 700, 900 qui permet de fixer ladite pointe à l’entre-doigt 105 par une rotation d’un quart de tour dans un premier sens de rotation et de libérer ladite pointe de l’entre-doigt 105 par une rotation d’un quart de tour dans un deuxième sens de rotation opposé au premier sens de rotation.

Dans les modes de réalisation des Figs. 7 à 9, l’entre-doigt 105 comporte un socle 107 à sa base et l’entre-doigt 105 traverse un alésage de la semelle 103 de manière à amener le socle 107 contre la face inférieure de la semelle 103.

Dans le cas d’une semelle 103 comportant la semelle d’usure 102 et la semelle supérieure 104, l’alésage traversant la semelle 103 est constitué d’un alésage 402 de la semelle d’usure 102 et d’un alésage 404 de la semelle supérieure 104, et le socle 107 est en appui contre la face inférieure de la semelle d’usure 102.

Dans les modes de réalisation des Figs. 7 à 9, le système d’accrochage 700, 900 comporte au niveau de l’extrémité libre de l’entre-doigt 105, une barrette 706, 906 qui est solidaire de l’entre-doigt 105 et surélevée par rapport à l’entre-doigt 105 afin de laisser un espace libre entre la barrette 706, 906 et l’entre-doigt 105. Ici, la barrette 706, 906 est fixée à l’entre-doigt 105 par un plot et la barrette 706, 906 déborde par rapport à ce plot afin de former des crochets.

Le système d’accrochage 700, 900 comporte également au niveau de la pointe des lanières 152, une fenêtre 710, 910 adaptée aux dimensions de la barrette 706, 906, c'est-à-dire que selon une première position de la fenêtre 710, 910 par rapport à la barrette 706, 906, la barrette 706, 906 est libre de traverser la fenêtre 710, 910, et selon une deuxième position de la fenêtre 710, 910 par rapport à la barrette 706, 906, la barrette 706, 906 est empêchée de traverser la fenêtre 710, 910. Le passage de la première position à la deuxième position consiste en une rotation d’un quart de tour autour d’un axe globalement vertical dans un sens ou dans l’autre et ici les deux positions sont perpendiculaires entre elles.

Le fait que les branches des lanières 152 soient amovibles permet la rotation au niveau de l’entre-doigt 105.

La pointe des lanières 152 se positionne alors dans l’espace libre entre la barrette 706, 906 et l’entre-doigt 105 pour être maintenue.

Le système d’accrochage 700, 900 est donc relativement simple et facile à réaliser et permet un remplacement aisé des lanières 152.

La fixation amovible des lanières 152 aux renforts latéraux 150, 450a-b, 550a-b, 650a-b peut prendre différentes formes comme par exemple des boutons pression.

La mise en place des lanières 152 consiste à placer la fenêtre 710, 910 selon la première position, c'est-à-dire parallèle à la barrette 706, 906, à introduire la barrette 706, 906 dans la fenêtre 710, 910, puis à pivoter d’un quart de tour les lanières 152 de manière à placer la fenêtre 710, 910 selon la deuxième position, c'est-à-dire perpendiculaire à la barrette 706, 906 pour verrouiller la barrette 706, 906 par rapport aux contours de la fenêtre 710, 910.

Dans le mode de réalisation de la Fig. 7 et de la Fig. 8, le système d’accrochage 700 comporte également un fût 708 qui est solidaire des lanières 152 et dont le fond présente également une fenêtre qui prolonge la fenêtre 710 des lanières 152.

Dans ce cas, les lanières 152 et le fond du fût 708 logent dans l’espace libre entre la barrette 706 et l’entre-doigt 105.

Afin de cacher la barrette 706, le système d’accrochage 700 comporte ici un capuchon 712 qui ferme le fût 708 à l’opposé du fond.

Dans le mode de réalisation de la Fig. 9, et afin de tenir au mieux les lanières 152 en place, le système d’accrochage 900 comporte un premier moyen de fixation 916 solidaire des lanières 152 et un élément de blocage 912 qui comporte une ouverture 914 qui permet le passage de la barrette 906 et un deuxième moyen de fixation 918 qui se solidarise avec le premier moyen de fixation 916 pour fixer l’élément de blocage 912 sur les lanières 152.

Lorsque le premier moyen de fixation 916 et le deuxième moyen de fixation 918 sont fixés l’un à l’autre, l’élément de blocage 912 se positionne dans l’espace libre entre les lanières 152 et la barrette 906. Pour ce faire, l’élément de blocage 912 est reculé pour venir sous la barrette 906.

Le premier moyen de fixation 916 et le deuxième moyen de fixation 918 prennent par exemple la forme d’une partie mâle et d’une partie femelle d’un bouton pression.

Claims

Chaussure ouverte (100, 200, 300) comportant :
une semelle (103) avec une partie avant destinée à supporter des orteils d’un pied et une partie arrière destinée à supporter un talon du pied,

de part et d’autre de la partie arrière, un renfort latéral (150, 450a-b, 550a-b, 650a-b) destiné à se positionner sous une malléole (50) du pied, et

pour chaque renfort latéral (450a-b, 550a-b, 650a-b), une base (452, 552a-b, 652a-b) solidaire dudit renfort latéral (450a-b, 550a-b, 650a-b), où ladite base (452, 552a-b, 652a-b) est horizontale et fixée à la semelle (103).
Chaussure ouverte (100, 200, 300) selon la revendication 1, caractérisée en ce que ladite semelle (103) est constituée d’une semelle d’usure (102) en contact avec le sol et d’une semelle supérieure (104) solidaire de la semelle d’usure (102) et disposée au-dessus de la semelle d’usure (102), et en ce que chaque base (452, 552a-b, 652a-b) est fixée entre la semelle d’usure (102) et la semelle supérieure (104).
Chaussure ouverte (100, 200, 300) selon la revendication 1, caractérisée en ce que ladite semelle (103) est constituée d’une semelle d’usure (102) en contact avec le sol et d’une semelle supérieure (104) solidaire de la semelle d’usure (102) et disposée au-dessus de la semelle d’usure (102), et en ce que chaque base (452, 552a-b, 652a-b) est fixée au-dessus de la semelle supérieure (104).
Chaussure ouverte (100, 200, 300) selon l'une des revendications 2 ou 3, caractérisée en ce qu’elle comporte une semelle de confort (62) amovible, et en ce que la semelle supérieure (104) comporte un enfoncement (60) dans lequel vient se loger la semelle de confort (62).
Chaussure ouverte (100) selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce qu’elle prend la forme d’une tong et en ce que les lanières (152) forment un V dont la pointe est fixée à un entre-doigt (105) fixé au niveau de la partie avant et dont chaque branche est fixée à un des renforts latéraux (150).
Chaussure ouverte (100) selon la revendication 4 et la revendication 5, caractérisée en ce que l’entre-doigt (105) présente une base solidaire de la partie avant de la semelle (103) et une extrémité libre au-dessus de la semelle (103), en ce que la pointe est fixée de manière amovible au niveau de l’extrémité libre de l’entre-doigt (105), en ce que la semelle de confort (62) présente un trou pour le passage de l’entre-doigt (105), en ce que la chaussure ouverte (100) comporte un système d’accrochage (700, 900) qui permet de fixer ladite pointe à l’entre-doigt (105) par une rotation d’un quart de tour dans un premier sens de rotation et de libérer ladite pointe de l’entre-doigt (105) par une rotation d’un quart de tour dans un deuxième sens de rotation, où le système d’accrochage (700, 900) comporte au niveau de l’extrémité libre de l’entre-doigt (105), une barrette (706, 906) qui est solidaire de l’entre-doigt (105) et surélevée par rapport à l’entre-doigt (105) afin de laisser un espace libre entre la barrette (706, 906) et l’entre-doigt (105), où le système d’accrochage (700, 900) comporte également au niveau de la pointe des lanières (152), une fenêtre (710, 910), où dans une première position de la fenêtre (710, 910) par rapport à la barrette (706, 906), la barrette (706, 906) est libre de traverser la fenêtre (710, 910), et où dans une deuxième position de la fenêtre (710, 910) par rapport à la barrette (706, 906), la barrette (706, 906) est empêchée de traverser la fenêtre (710, 910), et où le passage de la première position à la deuxième position consiste en une rotation d’un quart de tour.
Chaussure ouverte (200) selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce qu’elle prend la forme d’une claquette (200) et en ce que les lanières (252) comportent une lanière avant (254) solidaire de la semelle (103) et des lanières latérales (256) fixées de part et d’autre de la chaussure ouverte (200) entre la lanière avant (254) et les renforts latéraux (150).
Chaussure ouverte (300) selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce qu’elle prend la forme d’une sandale (300) et en ce que les lanières (352) prennent la forme d’une boucle qui est fixée aux renforts latéraux (150) et qui est destinée à enserrer une cheville.
Chaussure ouverte (100, 200, 300) selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisée en ce que la base (452) est commune aux deux renforts latéraux (450a-b).
Chaussure ouverte (100, 200, 300) selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisée en ce qu’il y a une base (552a-b) par renfort latéral (550a-b) et en ce que chacune s’étend vers l’autre base (552a-b).
Chaussure ouverte (100, 200, 300) selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisée en ce qu’il y a une base (652a-b) par renfort latéral (650a-b), en ce que l’une des bases (652a) est disposée à l’arrière par rapport à l’autre base (652b), en ce que les deux bases (652a-b) sont en contact l’une avec l’autre le long d’une zone de contact qui s’étend transversalement par rapport à l’axe du pied, et en ce que le long de la zone de contact, chaque base (652a-b) comporte des dents qui s’enclenchent avec les dents de l’autre base (652b-a).