FR3087053A1 - Boite d'accueil pour box internet et coffret electrique integrant une telle boite - Google Patents

Abstract

Boîte d'accueil (6) d'un appareillage comportant un cadre rigide (60) qui délimite une ouverture d'accès (62), et une enveloppe souple (61) qui est solidaire du cadre et forme le corps de la boîte, caractérisée en ce que l'enveloppe souple (61) présente un état déployé pour fournir avec le cadre une boîte parallélépipédique, et est apte à être dans un état écrasé pour fournir via son cadre une boîte si besoin empilable avec d'autres boîtes

Description

DESCRIPTION

TITRE : Boîte d’accueil pour box Internet et coffret électrique intéçyant une telle boîte

L’invention concerne une boîte d’accueil pour des moyensde télécommunication telsqu’une box Internet, et un coffret électrique destiné à accueillir en son intérieur une telle boîte.

Les normes pour les bâtiments d’habitation imposent différentes obligations vis-à-vis des appareillages et interfaces électriques. Aussi, il est usuel d’utiliser des coffrets avec porte de fermeture qui logent un tableau électrique et toutes les interfaces nécessaires à une installation électrique dans une habitation.

On connaît des coffrets généralement métalliques et de forme parallélépipédique qui sont conçus pour être associésàdesmursde cloison sèche. Ce type de coffret comporte un châssis, une porte de fermeture et destasseaux intérieursqui permettent laf ixation des appareillages électriques. Le coffret est logé dans une fenêtre découpée de la cloison et vient en applique via le cadre/collerette périphérique du châssis contre laface externe de lacloison ; lafixation du châssis s’opère par des vis de fixation qui coopèrent avec des alésages oblongs ménagés dans les parois verticales et selon l’horizontal du coffret, en se vissant dans les profilés métalliques (ou des tasseaux en bois) à l’arrière de la cloison sur lesquels sont montées les plaques de plâtre de lacloison du type BA13.

A l’intérieur, les tasseaux en bois sont fixés dans le fond plein du châssis, et le châssis comporte des ouvertures en paroi supérieure et/ou en paroi inférieure pour acheminer les câbles électriques à l’intérieur du coffret.

Les coffrets existants sont tousde profondeur standard de 160 ou 180 mm.

Dépendant, lanorme NFC15-100 pour les installai ions électriques des bâtimentsd’habitation impose depuis peu « un volume attenant >> ou intégré au tableau de communication, de dimensions minimales 240 x 300 mm x 200 mm. Cè volume permet d’accueillir les équipements de l’opérateur de communications électroniques et les équipements additionnels. Un tel volume doit ainsi permettre d’accueillir une box Internet. Or, les coffrets existants de 160 ou 180 mm ne peuvent donc pas loger un volume de profondeur de 200 mm ; ils ne répondent pas aux nouvelles exigences de lanorme.

L’invention adoncpour but de proposer une solution technique pour répondre aux nouvelles exigences de la norme et s’adapter aux coffrets existants ou à des nouveaux coffrets électriquestout en gardant une profondeur de châssisde 160 ou 180 mm.

L’invention porte sur une boîte d’accueil d’un appareillage qui est conçue spécifiquement pour loger un box Internet et est apte à se fixer dans le fond d’un coffret électrique pour en agrandir sa profondeur, le fond du coffret électrique étant ouvert pour ménager un espace d’emplacement de la boîte qui dépasse ainsi dudit fond. D’autres caractéristiques seront également détaillées concernant le coffret électrique.

Selon l’invention, la boîte d’accueil d’un appareillage comporte un cadre rigide qui délimite une ouverture d’accès, et une enveloppe souple qui est solidaire du cadre et forme le corps de la boîte, et est caractérisée en ce que l’enveloppe souple présente un état déployée pour fournir avec le cadre une boîte parallélépipédique, et est apte à être dans un état écrasé (recroquevillé) pour fournir viason cadre une boîte si besoin empilable avec d’autres boîtes. Ansi, la boîte est aisément transportable, et occupe un encombrement minimum pour son stockage et son transport. Blé est ensuite aisément mise en oeuvre en étant dépliée et fixée dans le fond d’un coffret électrique.

La boîte est utilisée pour loger une box Internet, labox Internet étant destinée àêtre installée à l’intérieur de l’enveloppe souple à l’état déployé.

Selon une caractéristique, le cadre comporte des moyens de fixation rapide (pour fixer la boîte à une surface d’accueil), de préférence les moyens de fixation rapide étant à encliquetage/clipsage, et éventuellement le cadre comporte des orifices de passage pour des vis de fixation.

Le cadre comporte desmoyensde fixation qui sont agencés sur chacun des côtés du cadre. L’enveloppe souple présente un fond plein qui comporte des trous pouvant être à opercules défonçables ou obturés par des tétines se détachant par traction, en particulier les trous présentant un diamètre autorisant le passage de câbles FU45.

Avantageusement, la boîte présente les dimensions suivantes: au moins 240 mm par au moi ns 300 mm et par au moins40 mm, ladimension minimum de 40 mm correspondant àla profondeur de laboîte. Ansi, laboîte, associée au fond d’un coffret électrique et en dépassant dudit fond, permet pour un coffret électrique de 160 mm de profondeur d’atteindre une profondeur totale avec la boîte de 200 mm, ce qui correspond au minimum requis par la norme.

Avantageusement, la boîte d’accueil forme donc un dispositif de logement de préférence parallélépipédique et ouverte sur la totalité de l’une de ses faces. Ainsi, le dispositif est facilement empilable pour son stockage et son transport. L’enveloppe souple se repliant, s’aplatissant, et les dispositifs étant empilables via leur cadre.

L’invention porte également sur un coffret électrique qui comporte au moins une boîte d’accueil précitée de l’invention.

Selon une caractéristique, le coffret comporte un châssis dont le fond est ouvert (au moins en partie) et en ce que la boîte est fixée à l’intérieur du châssis et son enveloppe souple est apte à dépasser du fond (au niveau de l’espace ouvert). La profondeur du coffret est ainsi étendue de manière simple et rapide grâce à la boîte de l’invention et à l’espace ouvert du fond du châssis. Le châssis du coffret peut ainsi garder une profondeur usuelle de 160 ou 180 mm.

Le coffret de distribution électrique comporte une porte fermant le coffret et l’accès à l’intérieur de la boîte.

Le coffret comporte un châssisqui comprend des parois contre au moinsdeux desquelles est fixé le cadre de la boîte. Les autres côtés du cadre de la boîte sont par exemple fixés à des tasseaux ou destraversesfixésau châssis.

Le coffret électrique comporte un châssis, une porte, et des moyens d'articulation pour amener la porte entre une position de fermeture et une position d'ouverture, de préférence lesmoyensd'articulation sont descharnièresinvisiblés. On entend par « charnière invisible », une charnière qui ne se voit pas en position fermée de la porte. Une telle charnière est du type charnière pour meuble de placard ou de cuisine.

& particulier, la charnière invisible comporte une première pièce de fixation se fixant dans l’une des parois latéral esdu châssis, une seconde pièce de fixation se fixant sur laface interne de la porte, et une pièce de liaison et d’articulation solidaire et reliant les deux pièces de fixation et permettant le déplacement relatif de la porte entre un état d’ouverture et un état fermé par rapport au châssis, ledit élément de liaison et d’articulation étant logé à l’intérieur du châssis (et non de la porte) en position fermée de la porte.

& outre, la charnière invisible présente sa pièce de liaison et d’articulation qui est à déploiement (dans un plan horizontal par rapport à la verticale de montage de la porte). Une telle charnière invisible dite àdéploiement est particulièrement astucieuse pour l’application visée.

La charnière invisible àdéploiement garantit qu’on peut plaquer directement la porte contre la cloison sans nécessiter d’un jeu/espace entre la porte et le châssis du coffret. La pièce de liaison à déploiement permet lors de l’ouverture de la porte de déporter en même temps la porte par rapport au châssisde sorte que le chant de la porte ne bute pas contre ladoison ou le châssis.

Ainsi, l’utilisation de charnières invisibles permet de se dispenser de l’utilisation d’un cadrechâssis de porte comme dans l’art intérieur ; la porte est diredement fixée à l’intérieur du châssis du coffret. On gagne en quantité de matière, en coût de fabrication, en simplidtéde fabrication et en rapidité de mise en oeuvre. & outre, les charnières invisibles àdéploiement n’engendrent aucune surépaisseur au niveau du coffret, du fait de la compadté du mécanisme, et la porte peut alorsêtre plaquée contre le châssis du coffret.

Cbntre toute attente, il n’a jamais été envisagé d’utiliser de charnières invisibles à déploiement pour un coffret électrique.

Selon une caractéristique, la porte comporte une plaque présentant une face interne (destinée à être tournée vers l’intérieur du coffret, et une face externe opposée ), et un bord périphérique formant un retour de la plaque du côté de la face interne, ledit retour étant biaisé sur tout ou partie d'au moins un bord vertical et convergent vers la face interne, de préférence le retour étant de l'ordre de 5 mm.

La porte présente une épaisseur totale inférieure à 10 mm, de préférence de l’ordre de 5 mm. Ansi, la porte présente une apparence extra-plate, lui procurant une ligne très épurée et se fondant dans le mur auquel le coffret est fixé.

De plus, le rebord biaisé permet de s’affranchir de la présence d’une poignée externe, car il autorise le passage d’un doigt pour ouvrir la porte. & variante, la porte peut comprendre sur sa face interne et en son bord un décrochement/un renfoncement pour la coopération avec un doigt.

Selon une autre caractéristique, le châssis comporte une face avant ouverte délimitée par une collerette périphérique (issue des parois inférieure, supérieure et latérales du châssis), et en ce que la porte comporte une plaque (pleine) dont la superficie est supérieure à la face ouverte du châssis et à la collerette périphérique, de sorte qu’elle est destinée en position montée du coffret dans la cloison à être plaquée directement contre la cloison. Ainsi, cela renforce le design extra-plat de la porte et donc du coffret ; on ne voit nullement la tranche disgracieuse de la collerette périphérique comme dans l’état de l’art.

& outre, la porte est maintenue fermée grâce aux charnières à déploiement. Il n’y a aucun besoin des loqueteaux magnétiques comme dans l’art antérieur. Céla simplifie encore le coffret et en diminue le coût de fabrication.

Avantageusement, le châssis comporte des fentes dans chacune desquelles est destinée à être glissée une partie d'une charnière invisible (la charnière venant également en butée contre latente), en particulier une charnière comprenant une première pièce de fixation dont l'extrémité distale est glissée dans la fente et une pièce de liaison et d’articulation qui vient en butée contre ladite fente. Les fentes sont agencées dans le châssis (les parois du châssis) et éventuellement dansl’intérieurdelaporte (sans être traversant es par rapport àl’épaisseur de la porte). Deux fentes en vis-à-vis accueillent chaque partie de fixation de charnière. Chaque fente sert avantageusement à maintenir en position la charnière. Les fentes permettent en outre de minimiser le nombre de visde fixation. Une seule visde fixation suffit pour fixer la pièce de lacharnière associée à latente, en particulier à latente du châssis. Quant à la pièce de lacharnière à fixer sur la porte, deux vis de fixation suffisent, mais une seule vis pourrait convenir si une autre fente est prévue sur la porte pour accueillir l’autre pièce de charnière.

Selon encore une autre caractéristique, le châssis comporte un fond de préférence qui est ouvert sur l'ensemble de sa section, éventuellement le fond comportant un retour périphérique ou des extensions perpendiculaires ponctuelles pour la fixation de tasseaux.

De préférence, le coffret comporte des lumières et des pièces de fixation du châssis, les lumières et les piècesde fixation du châssis comportant des moyens de coopération mutuelle par engagement mécanique et les pièces étant réglables par rapport à la profondeur du châssis.

Les piècesde fixation du châssis comprennent desmoyensd’accrochage (sans vissage) faisant saillie par rapport à l’extérieur du châssis et étant aptes à coopérer avec une cloison sèche (face arrière de la cloison ou dans l’épaisseur de la cloison) Ainsi, l’opérateur qui installe le coffret n’a pas^plus besoin de tournevis pour fixer le coffret.

Dans la suite de la description le terme de « hauteur », les qualificatifs « supérieur », « inférieur », « haut » et « bas » d’un élément du coffret et du dispositif d’accueil d’une box, sont utilisés dans le cadre d’une installation normale du coffret, c'est-à-dire relatif à une notion verticale de fixation.

La présente invention est maintenant décrite à l’aide d’exemples uniquement illustratifs et nullement limitatifs de la portée de l’invention, et à partir des illustrations jointes, dans lesquelles :

La figure 1 est une vue en perspective de face d’un exemple de coffret électrique selon l’invention avec la porte ouverte ;

La figure 2 est vue en perspective de l’arrière du coffret de la figure 1 avec la porte fermée représentée sans lestasseaux de fixation ;

La figure 3 est une vue de côté du coffret des figures 1 et 2 ;

La figure 4 est une vue en perspective d’un coin du coffret montrant la porte partiellement en coupe ;

Lafigure5est une vue en perspective de détail de l’intérieur du coffret montrant les moyens de fixation de la porte, la porte étant ouverte ;

La figure 6 est une vue en perspective de détail d’une pièce de fixation du coffret permettant l’accrochage du coffret à une cloison;

Lafigure7est une vue en perspective de détail montrant l’arrière de la cloison et l’arrière de la pièce de fixation de la figure 6 en position montée dans le châssis et associée à la cloison ; La figure 8 est une vue en perspective de face d’un dispositif d’accueil selon l’invention destiné au logement d’une box Internet, le dispositif étant destiné à être installé dans le coffret de l’invention ;

La figure 9 est une vue arrière du dispositif de la figure 8 ;

La figure 10 illustre une vue en perspective avant du dispositif de la figure 8 en position montée dans le coffret selon l’invention, la porte du coffret n’étant pas illustrée ;

La figure 11 est une vue de côté de la figure 10 sans les tasseaux illustrés.

Le coffret électrique 1 de l’invention illustré sur les figures comporte un châssis 10 délimitant un espace intérieur 11, une porte de fermeture 2 apte àfermer lafaçadedu châssis et mobile en rotation, et des tasseaux en bois 3 pour fixer des rails ici non illustrés destinés à recevoir des appareillages^ interfaces électriques à loger dansl’espace intérieur 11.

Le coffret 1 est destiné àêtre encastré dans une fenêtre découpée d’une paroi/cloison sèche 1A (figures 7,10 et 11).

Le châssis 10 et la porte 2 sont en métal et/ou en matière plastique.

L’invention porte sur le coffret électrique 1, et sur la boîte/le dispositif d’accueil 6 de moyens de communication du type box Internet, le dispositif étant avantageusement adapté pour s’intégrer au coffret électrique.

Le châssis 10 est de forme générale parallélépipédique. Il comprend un fond 11A ouvert, une façade 11 Btotalement ouverte, et quatre parois, dont deux parois inférieure 12 et supérieure 13 et deuxparoislatéralesopposées14et 15. Les parois présentent au niveau de l’ouverture de façade 11B, un retour perpendiculaire 16 formant un cadre/une collerette périphérique qui est destiné à venir en applique contre la face externe de la cloison en regard de l’environnement extérieur.

La porte 2, en position installée du coffret, est verticale et s’ouvre par rotation depuis un bord latéral du châssis 10.

La porte 2 est montée directement sur le châssis 10 du coffret sans cadre d’interface.

La porte 2 comporte une plaque 20 possédant une face interne 21 et une face opposée externe 22. La plaque 20 est une plaque de tôle plate d’épaisseur réduite, et présentant un retour 23 tel que l’épaisseur totale de la plaque est de l’ordre de 5 mm.

Avantageusement, le retour 23 au moins le long d’un côté vertical 23A est biaisé en étant convergeant vers la face interne 21 de la plaque (figure 4). De préférence, la porte 2 est dépourvue de poignée, le retour biaisé 23 permettant la préhension de la porte par le passage d’un doigt de l’utilisateur pour ouvrir la porte par traction.

Sèlon l’invention, le coffret comporte des moyens 4 de fixation et de pivotement de la porte qui sont composés de charnières dites invisibles du type celles pour meubles de cuisine ou de placard.

La plaque 20 de la porte et les charnières invisibles 4 procurent une porte extra plate qui ne fait quasiment pas saillie par rapport à la cloison, en ne dépassant que sur environ 5 mm.

Une charnière invisible 4 à déploiement (figure 5) comporte une première pièce de fixation 40 se fixant dans l’une des parois latérales 14, 15 par au moins une vis 40A (une vis étant suffisante en raison de la présence d’une fente de maintien 17 selon l’invention décrite plus loin), une seconde pièce de fixation 41 se fixant sur la face interne 21 (au travers de zones de fixation 24) de la (plaque de la) porte 2 via au moins deux vis 41A et 41 B, et une pièce de liaison et d’articulation 42 solidaire et reliant les deux pièces de fixation 40 et 41 et permettant le déplacement relatif de la porte entre un état d’ouverture et un état fermé par rapport au châssis 10 ; en position fermée de la porte, l’élément de liaison et d’articulation 42 est logé à l’intérieur du châssis et non de la porte.

De préférence et selon l’invention, laplaque 20 comporte sur sa face interne 21 deszones de fixation 24 pour les secondes pièces de fixation 41 des charnières 4 ; chaque zone de fixation 24 forme une surface en saillie par rapport à lafaœ interne 21 et ménage un espace creux 25 entre ladite face interne 21 de la plaque et ladite surface 24 de sorte à accueillir le corps des vis de fixation 41A et 41B sans que celles-d ne traversent la plaque de la porte 2.

Selon l’invention, la paroi 14, 15 du châssis comporte avantageusement une fente 17 avec laquelle est destinée à coopérer chaque charnière 4. Chaque fente 17 est positionnée de manière idoine pour être au même niveau que chaque surface de fixation 24 de la porte. Chaque fente 17 s’étend parallèlement à la verticale du coffret.

La fente 17 sert de moyen de repérage rapide pour agencer la première pièce de fixation 40 d’une charnière 4, et permet un maintien provisoire avant fixation avec la ou les vis.

Plus particulièrement, chaque fente 17 reçoit l’extrémité libre 43 de la première pièce de fixation 40 par insertion/glissement jusqu’à ce que vienne en butée la pièce de liaison et d’articulation 42.

De préférence, le coffret 1 comporte au moinsdeux charnières invisibles4 pour la porte 2. Il peut en comprendre d’avantage en nombre en fonction de la hauteur de la porte. Le nombre de fentes 17 est usiné en fonction du nombre de charnières à recevoir.

De préférence, les deux parois latérales 14 et 15 du châssis comportent chacune des fentes 17 pour agencer la porte soit du côté droit, soit du côté gauche, la figure 1 montrant la porte montée du côté droit.

Chaque fente 17 forme une découpe en T, la barre du T correspondant au moins à la largeur de la pièce de fixation 40 pour que celle-ci soit introduite dans cette découpe et passe du côté externe de la paroi du châssis, et jusqu’à ce que la base 43 de la pièce de liaison 42 vienne en butée contre le bord de la découpe en T (figure 5).

& variante, la porte 2 peut également comprendre dans les zones 24 de fixation une fente d’accueil pour la seconde pièce 41 de charnière, et la bloquer ainsi en position. Dans cette réalisation, une seule visde fixation 41A suffirait àfixer la pièce de charnière.

De préférence, le coffret métallique 1 comporte un fil de mise à la terre 1B (figure 5) qui est connecté électriquement par simple contact mécanique, via une vis par exemple, à la porte

2. Cè fil est de longueur suffisante pour cheminer à l’intérieur du châssis 10 et est destiné à être relié à la terre de l’habitation.

Le châssis 10 comporte d’autres caractéristiques techniques, en particulier pour sa fixation à la cloison, et pour loger une box Internet.

& regard des figures 4,6 et 7, le coffret 1 comporte pour sa fixation, des pièces de fixation 5 amovibles, tandis que le châssis 10 comporte des lumières 18 dans ses parois latérales 14 et 15 avec lesquelles coopèrent lesdites pièces de fixation 5.

Les pièces de fixation 5 sont de préférence en matière plastique. Blés assurent la fixation du coffret 1 sans vissage. Blescoopèrent directement avec la doison comme illustré sur lafigure 7. Les lumières 18 et les pièces 5 comportent des moyens de coopération mutuelle par engagement mécanique pour le maintien despièœsdanslesditeslumières. De plus, les pièces sont aptes à être mobiles dans les lumières jusqu’à la position souhaitée pour se fixer, soit dans l’épaisseur de la doison lorsque celle-d est alvéolée, soit contre la face interne de la doison (la face qui est cachée pour l’utilisateur). Les moyens de coopération mutuelle consistent en une pluralité et alternance de crans 18A au niveau des chants inférieur et supérieur des lumières 18, et des dents 50 sur deux côtés opposés des pièces, de sorte que les dents 50 s’engagent en coopération dans les crans 18A comme une crémaillère. Cét engagement permet de maintenir fermement en position chacune des pièces 5.

Eh outre, chaque pièce 5 comporte sur l’une de ses faces des picots 51 s’étendant latéralement en saillie et vers l’extérieur du coffret pour venir en accroche et en compression contre la doison 1A.

Néanmoins, le châssis 10 peut comprendre comme illustré sur les figures, des lumières oblongues19, qui sont celles habituel les dans un châssis de coffret électrique, pour si besoin la fixation du coffret par vissage avec des vis de fixation.

Cbncernant la fixation des appareillages électriques, celle-d est destinée à se faire via les tasseaux 3 comme il est usuel. Toutefois, si les tasseaux sont habituellement fixésà l’intérieur du châssis, ils sont de préférence selon l’invention fixés à l’extérieur du châssis pour gagner en profondeur d’agencement dans l’espace intérieur 11. Leur fixation est par exemple réalisée contre des oreilles de fixation dont au moins une oreille supérieure 11Cest visible sur lafigure 10 ; les oreilles sont coplanairesaufond ouvert 11Aet s’étendent vers l’extérieur du châssis à l’opposé des parois inférieure et supérieure pour y rapporter extérieurement au châssis au moins un tasseau vertical et central 3, et de même d’autres oreilles s’étendent en bord du châssis et depuis les parois latérales pour la fixation de tasseaux d’angle.

Selon l’invention, le châssis 10 comporte son fond 11A ouvert sur la totalité de la surface (figure 1 et 2). Céla permet notamment d’avoir un passage aisé pour les câbles électriques à câbler aux appareillages électriques.

De plus, le fond 11A ouvert procure selon l’invention un volume attenant au coffret comme l’exige lanorme NFC15-1000.

Selon l’invention, certains appareillages, en particulier de télécommunication comme une box Internet, pourront ainsi dépasser à l’arrière du châssis 10 sans avoir nécessairement à augmenter la profondeur dudit châssis lors de sa fabrication. Le châssis 10 peut rester à la profondeur habituelle de 160 mm.

Selon l’invention, le coffret 1 comporte le dispositif/ la boîte 6 dédié au logement d’un appareil de télécommunication tel qu’une box Internet. Cé dispositif est semi-fermé pour servir de volume d’accueil et de support en se projetant dans le vide à l’arrière du châssis 10 tout en étant fermé sur l’arrière pour accueillir la box sans risquer que cette dernière ne tombe à l’arrière du châssis.

Le dispositif 6 illustré sur les figures 8 à 10 comporte un cadre 60 rigide et une enveloppe 61 souple solidaire du cadre 60. Le dispositif présente une face avant 62 ouverte, de préférence selon la total ité de lasection du dispositif, c'est-à-dire délimitée par le cadre 60. Le dispositif est donc ouvert en façade et fermé sur le reste du corps, l’intérieur étant creux pour ménager un volume adapté à une box Internet.

Le dispositif présente des parois périphériques 63 pleines qui sont formées par le cadre 60 et l’enveloppe souple 61 lorsqu’elle est dans un état déployée.

L'enveloppe souple 61 présente un fond ou une face arrière 64 pleine.

L'enveloppe souple 61 est par exemple faite dans un polyuréthane thermoplastique (TPU), ou un élastomère thermoplastique (TPE) tel qu’un polystyrène-b-poly(éthylène-butylène)-bpolystyrène (SEBS).

Le cadre 60 rigide est par exemple en polypropylène (PP).

Le cadre et l'enveloppe sont par exemple fabriqués selon un moulage bi-injection.

De préférence, le dispositif est de forme parallélépipédique.

Le dispositif 6 comporte des moyens de fixation 65 pour être rendu solidaire de l'intérieur du châssis 10. Les moyens de fixation sont à fixation rapide (sans vissage), de préférence par clipsage ou encliquetage. Les moyens de fixation 65 comportent par exemple des éléments mâles solidaires du cadre 60 et se projetant vers l’extérieur du dispositif, tels que des pattes sensiblement élastiques d'encliquetage. Les éléments mâles 65 sont de préférence disposés à proxi mit é de chacun des coi ns du cadre 60.

Le châssis 10 comporte des éléments femelles 19A dans lesquelles sont destinés à être introduits les éléments mâles. Les éléments femelles sont par exemple des orifices oblongs dans chacune des quatre parois du châssis. Les éléments femelles 19A sont à proximité du bord arrière du châssis (du bord arrière des parois) et du fond 11.

Les éléments femelles 19A sont disposés aux endroits idoines du châssis afin d'agencer le dispositif 6 dans l’un des coins du châssis, en particulier dans un coin inférieur ou supérieur et opposé à celui portant les charnières 3.

Le dispositif 6 est fixé à l’arrière du châssis en débordant avantageusement du fond 11, procurant une profondeur totale pour le coffret adapté à la norme.

Le dispositif 6 est fixé via son cadre 60 par deux de ses côtés, un vertical et un horizontal au châssis 10. Il est clipsé par engagement des éléments mâles 65 dans les éléments femelles 19A, par exemple à la paroi inférieure 12 et à l’une des paroi s verticales (à la paroi verticale opposée à la paroi destinée à porter les charnières).

Des alésages de fixation 66 sont également prévus dans le cadre 60 du dispositif pour fixer le dispositif 6 par vissage contre un tasseau 3, au moins de l’autre côté vertical du dispositif qui est opposé à la paroi du châssis (figure 10 ).

Atitre d'exemple, le dispositif 6 présente des dimensions de 250 mm de large par 300 mm de hauteur et par 40 mm de profondeur.

L'enveloppe souple 61 est déployée pour s'étendre et dépasser dans le vide par rapport au fond ouvert 11Adu châssis, en particulier de 40 mm (figures 10 et 11). Lorsque le châssis fait 160 mm de profondeur, en y ajoutant le dispositif, le volume occupable est alors de 200 mm de profondeur comme requis par la norme.

Le fond 64 de l'enveloppe souple 61 comporte avantageusement des trous 67 qui de préférence sont obturés par des opercules en matière plastique défonçables ou des tétines 68 en matière plastique se détachant par traction depuis l’intérieur de l’enveloppe, lestrous 67 autorisant le passage de câbles, en particulier de câbles FU45.

Claims (10)

1. REVENDICATIONS

   1. Boîte d’accueil (6) d’un appareillage comportant un cadre rigide (60) qui délimite une ouverture d’accès (62), et une enveloppe souple (61) qui est solidaire du cadre et forme le corps de la boîte, caractérisée en ce que l’enveloppe souple (61) présente un état déployé pour fournir avec le cadre une boîte parallélépipédique, et est apte à être dans un état écrasé pour fournir viason cadre une boîte si besoin empilable avec d’autres boîtes.
2. 2. Boîte selon la revendication 1, caractérisée en ce qu’elle est utilisée pour loger une box Internet, la box Internet étant destinée à être installée à l’intérieur de l’enveloppe souple à l’état déployé.
3. 3. Boîte selon la revendication 1 ou 2, caractérisée en ce que le cadre (60) comporte des moyens de fixation rapide (65), de préférence les moyens de fixation rapide étant à encliquetage/clipsage, et éventuellement le cadre comporte des orifices de passage (66) pour des vis de fixation.
4. 4. Boîte selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le cadre (60) comporte des moyens de fixation (65,66) qui sont agencés sur chacun des côtés du cadre.
5. 5. Boîte selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que l’enveloppe souple (61) présente un fond (64) plein qui comporte destrous (67) pouvant être à opercules défonçables ou obturés par des tétines (68) se détachant par traction, en particulier les trous présentant un diamètre autorisant le passage de câbles FU45.
6. 6. Boîte selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu’elle présente lesdimensionssuivantes : au moins240 mm par au moins300 mm et par au moi ns 40 mm, ladimension minimum de 40 mm correspondant àlaprofondeur de laboîte.
7. 7. Cbffret électrique (1 ) comportant au moins une boîte (6) selon l’une quelconque des revendications précédentes, en particulier le coffret étant un coffret encastrable dans une cloison.
8. 8. Cbffret selon la revendication précédente, caractérisé en ce qu’il comporte un châssis (10) dont le fond (11 A) est ouvert et en ce que la boîte (6) est fixée à l’intérieur (11 ) du châssis et son enveloppe souple (61) est apte à dépasser du fond (11A).
9. 9. Cbffret selon la revendication 7 ou 8, caractérisé en ce qu’il comporte une porte (2) fermant le coffret et l’accès à l’intérieur de laboîte.
10. 10. Cbffret selon l’une quelconque des revendications 7 à 9, caractérisé en ce qu’il comporte un châssis (10) qui comprend des parois (12, 13, 14, 15) contre au moins deux desquelles est fixé le cadre (60) de la boîte.