FR3084194A1 - Procede de fonctionnement de systeme d'alarme pour batiment, systeme d'alarme pour batiment et installation d'alarme - Google Patents

Procede de fonctionnement de systeme d'alarme pour batiment, systeme d'alarme pour batiment et installation d'alarme Download PDF

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Abstract

L'invention se rapporte à un procédé de mise en œuvre d'un système d'alarme pour un bâtiment, le procédé comprenant les étapes suivantes : - lors de la réception d'un signal provenant d'un dispositif de détection d'intrusion, une unité de commande déclenche un laps de temps en l'espace duquel un utilisateur est invité à désactiver le système d'alarme, - lors de l'écoulement du laps de temps prédéfini, l'unité de commande choisit une réaction parmi une pluralité de réactions prédéfinies basées sur le contexte. L'invention se rapporte en outre à un système d'alarme pour un bâtiment, et à une installation d'alarme qui présente un tel système et un centre opérationnel à distance, l'unité de commande du système d'alarme étant connectée au centre opérationnel.

Description

Procédé de mise en œuvre d’un système d’alarme pour un bâtiment, système d’alarme pour un bâtiment, et installation d’alarme
L’invention se rapporte à un procédé de mise en œuvre d’un système d’alarme pour un bâtiment, à un système d’alarme pour un bâtiment, et à une installation d’alarme.
Des systèmes d’alarme pour bâtiments sont généralement connus. Ils comprennent habituellement une unité de commande et plusieurs dispositifs de détection d’intrusion, en particulier des capteurs magnétiques qui envoient un signal lorsqu’une porte ou une fenêtre est ouverte. Après la réception d’un tel signal, l’utilisateur dispose d’un laps de temps prédéfini en l’espace duquel il doit mettre le système d’alarme hors service ou le désactiver, par exemple en entrant un pin ou un code. Si le système d’alarme n’est pas activé en l’espace du laps de temps prédéfini, l’unité de commande suppose qu’il s’agit d’une situation d’alerte.
Le terme « bâtiment » se rapporte ici à de petites entreprises et des logements. II peut s’agir de maisons ou d’appartements dans une maison.
L’inconvénient dans les systèmes d’alarme connus est qu’ils répondent de manière très statique à différentes situations.
L’objectif de l’invention consiste à améliorer l’expérience de l’utilisateur avec le système d’alarme.
À cet effet, l’invention prévoit un procédé de mise en œuvre d’un système d’alarme, le procédé comprenant les étapes suivantes : lors de la réception d’un signal provenant d’un dispositif de détection d’intrusion, une unité de commande déclenche un laps de temps en l’espace duquel un utilisateur est invité à désactiver le système d’alarme. Lors de l’écoulement du laps de temps prédéfini, l’unité de commande choisit une réaction parmi une pluralité de réactions prédéfinies basées sur le contexte.
L’invention prévoit en outre un système d’alarme pour un bâtiment, présentant une unité de commande, un dispositif de génération de son, une interface utilisateur, une interface de désactivation, et au moins un dispositif de
-2détection d’intrusion, l’unité de commande présentant un module de stratégie de réaction recevant des signaux provenant au moins de l’interface de désactivation, de l’interface utilisateur et dudit au moins un dispositif de détection d’intrusion pour choisir une stratégie de réaction basée sur le contexte. L’invention prévoit en outre une installation d’alarme qui comprend un système tel que défini cidessus et un centre opérationnel à distance, l’unité de commande du système d’alarme étant connectée au centre opérationnel par Internet et/ou par GSM.
L’invention est basée sur le concept de l’ajout « d’intelligence » à l’unité de commande pour permettre à l’unité de commande de réagir à différentes situations par différentes réponses. L’utilisateur peut ainsi mieux interagir avec le système d’alarme, ce qui améliore l’expérience de l’utilisateur avec le système d alarme. Ceci permet aussi à l’opérateur du système d’atarme à comprendre plus rapidement si une alarme concerne une véritable situation d’alarme ou est en effet une fausse alarme, ce qui réduit les coûts opérationnels de l’installation d’alarme.
La réaction de l’unité de commande basée sur le contexte peut dépendre du dispositif de détection d’intrusion spécifique (dénommé ci-après « capteur » pour des raisons de commodité) qui envoie le signal. Le ou les capteur(s) associés à ou aux porte(s) d’entrée est/sont de préférence marqué(s) dans l’unité de commande comme appartenant à une entrée prévue, tandis que tous les autres capteurs sont marqués dans l’unité de commande comme appartenant à une entrée imprévue. En supposant que l’unité de commande reçoit un signal d’un capteur ou de l’un des capteurs associés à l’entrée désignée, la réaction basée sur le contexte peut être un message aimable de bienvenue. En supposant qu’un signal est reçu d’un capteur associé à une entrée imprévue, la réaction basée sur le contexte peut être une demande d’identification ou d’entrée d’un pin ou d’un code dans l’interface utilisateur. Dans cette deuxième situation, la réaction basée sur le contexte peut aussi comprendre l’envoi d’un message au centre opérationnel, en particulier à un centre d’appels où il est ajouté à la queue d’appels entrant requérant l’attention, une priorité inférieure étant donnée à ce message. Le message est toutefois déjà dans la queue de sorte qu’il est possible d’en tenir compte très rapidement au cas où le laps de temps prédéfini s’écoulerait sans désactivation du système d’alarme.
-3La réaction de l’unité de commande basée sur le contexte peut aussi inclure le choix de différentes durées pour le laps de temps accordé pour la désactivation du système d’alarme en fonction du dispositif d’intrusion spécifique qui envoie le signal. En supposant que l’interface utilisateur est agencée près de la porte indiquée dans l’unité de commande comme entrée désignée, le laps de temps prédéfini peut être plus court que le laps de temps disponible pour désactiver le système d’alarme si un signal est reçu d’un capteur associé à une entrée imprévue au sous-sol. L’inverse peut aussi éventuellement être valable un cambriolage peut être plus probable par une entrée non désignée, et le temps est alors essentiel.
La réaction basée sur le contexte peut être le choix d’un ton différent de l’invitation adressée à l’utilisateur à désactiver le système d’alarme en fonction du dispositif de détection d’intrusion spécifique qui envoie le signal. En supposant que le signal est généré par un capteur associé à une entrée prévue, le ton peut être très aimable. En supposant que le signal est reçu d’un capteur associé à une entrée imprévue, le ton de l’invitation à désactiver le système d’alarme peut être plus sévère.
La réaction basée sur le contexte peut aussi dépendre du type du signai reçu du dispositif de détection d’intrusion. En supposant qu’un signal « normal » est reçu, lequel indique qu’une porte a été ouverte, la réaction basée sur le contexte peut être une invitation adressée à l’utilisateur à désactiver le système. En supposant que le signal indique qu’il y a eu une tentation de manipuler le capteur ou de briser une fenêtre, la réaction basée sur le contexte peut être un message adressé à l’utilisateur le poussant à vérifier la porte ou la fenêtre respective, ou peut être un message d’alarme envoyé au centre opérationnel.
Il est également possible que la réaction basée sur le contexte soit un message textuel affiché sur un écran de l’interface utilisateur. Le message textuel peut être un message de « bienvenue à la maison », une indication de l’état du système d’alarme, une confirmation que le système a été désactivé, une indication quel capteur a déclenché un état d’alarme particulier, ou tout autre message aidant l’utilisateur à comprendre ce qui est en train de se passer.
-4En alternative ou en plus d’un message textuel, la réaction basée sur le contexte peut être un message vocal délivré par un haut-parleur. Le contenu d’un tel message peut en principe être le même que celui d’un message textuel.
Ces messages peuvent être des messages personnalisés qui s’adressent à I utilisateur avec leur nom. II est également possible que le message soit un message d’alerte.
La réaction basée sur le contexte peut aussi inclure l’affichage d’une pluralité d’options sur l’interface utilisateur et une invitation adressée à l’utilisateur à cliquer sur l’une des options. Ceci est particulièrement avantageux s’il s’agit d une situation d alarme particulière, laquelle est en effet une fausse alarme, étant donné que ceci permet à l’utilisateur de remettre le système d’alarme « à zéro » pour éviter que le centre opérationnel ne prenne une mesure non nécessaire. Un exemple est l’envoi d’un signal indiquant qu’il y a une forte vibration à l’une des fenêtres par un capteur de fenêtre. La réaction basée sur le contexte peut être une invitation adressée à l’utilisateur à confirmer qu’il y a une activité suspecte ou à confirmer qu’il est sûr qu’aucune activité suspecte n’est survenue (pour exemple parce qu’un enfant à envoyé un ballon contre la fenêtre). Un autre scénario est que le détecteur de fumée détecte de la fumée dans la cuisine. La réaction basée sur le contexte peut être une invitation adressée à l’utilisateur à confirmer qu’il peut y avoir du feu dans la cuisine ou à confirmer qu’il y a une fausse alerte (par exemple parce qu’il ou elle prépare le dîner). Dans le scénario précédent, la réaction basée sur le contexte peut aussi comprendre la désactivation du détecteur de fumée pour un laps de temps prédéfini afin d’éviter à la suite de nouvelles fausses alertes.
La réaction basée sur le contexte peut aussi être un son d’alarme qui est émis par un haut-parleur ou une sirène. Dans un scénario dans lequel une réaction plus sévère du système d’alarme est requise, cette réaction peut être choisie en tant qu’alternative à un message vocal qui est une invitation adressée à l’utilisateur à désactiver le système.
Selon un mode de réalisation, le volume du son d’alarme est réduit lorsque la présence d’un utilisateur est détectée à proximité de l’interface utilisateur. Ceci réduit le niveau de stress pour l’utilisateur lorsqu’il s’approche de l’interface utilisateur avec l’intention de désactiver le système d’alarme. II permet en outre à
-5l’utilisateur de communiquer plus aisément avec le personnel du centre opérationnel par l’intermédiaire de l’interface utilisateur lorsqu’une assistance personnelle est nécessaire.
Le volume du son d’alarme est réduit assez longtemps pour que l’utilisateur s’identifie lui-même, par exemple par biométrie ou en entrant un mot de passe. S’il n’y a pas d’identification en l’espace d’un laps de temps prédéfini, le volume est de nouveau augmenté.
Selon un aspect de l’invention, le système d’alarme est réalisé de telle sorte qu’un (éventuellement plusieurs) moyen d’alarme est agencé près de ou dans la même unité que l’organe périphérique d’alarme que l’utilisateur utilise pour (i) contacter le site de surveillance à distance, (ii) commander le système d’alarme. Ceci peut être effectué pour réduire les coûts, réduire le nombre d’organes périphériques nécessaires pour le fonctionnement du système, etc.
L’un des organes périphériques que l’utilisateur utilise pour contacter le site de surveillance à distance (le centre opérationnel) est une unité qui comprend un ou plusieurs microphones, un écran tactile et éventuellement une caméra vidéo. Ceci permet une interaction directe et personnelle avec un opérateur dans un site de surveillance.
Cette unité peut être adaptée à la détection de proximité, en particulier à la détection de la présence d’un utilisateur. Si la présence d’un utilisateur est détectée, le son d’alarme peut être réduit pour un certain temps. La présence d’un utilisateur peut être détectée par un capteur IR passif, un accéléromètre, une reconnaissance vocale, etc.
Si cette unité avec un écran est utilisée en tant que pièce de l’installation d’alarme, une réaction basée sur le contexte peut être le contenu de ce qui est affiché sur l’écran. Dans une situation d’alarme, un message d’alarme est affiché. Lorsque la présence d’un utilisateur est détectée, il est possible d’afficher un message plus cordial sur l’écran, invitant l’utilisateur à se connecter au centre opérationnel et/ou à confirmer s’il s’agit d’une situation d’alarme ou d’une fausse alarme.
La réaction basée sur le contexte peut aussi comprendre l’activation d’une caméra et/ou d’un microphone. Ceci est avantageux étant donné qu’elle permet
-6de distinguer entre une vraie situation d’alarme et une fausse alarme. En supposant qu’un capteur associé à une fenêtre a envoyé un signal, alors que le système d alarme est dans un état correspondant à « personne à la maison », l’activation d’une caméra et/ou d’un microphone permet au personnel dans le centre opérationnel à obtenir des informations additionnelles. Au cas où il n’y a pas d’autre activité ou de bruit, on peut supposer qu’il y a une fausse alerte. Dans le cas d’un bruit ou d’une activité suspecte, le centre opérationnel peut déclencher une alarme, et des gardiens, un service d’urgence et/ou la police peut être informé(e).
La réaction basée sur le contexte peut aussi comprendre l’envoi d’une note à un centre opérationnel à distance. La note peut inclure le type d’évènement qui a déclenché une alarme, peut comprendre une séquence acoustique et/ou une séquence vidéo saisie avec les microphones et/ou une caméra du système d’alarme, ou peut comprendre des informations saisies de l’utilisateur en I amenant à choisir parmi les options affichées sur l’interface utilisateur.
La réaction basée sur le contexte peut aussi consistée en l’établissement d une communication avec un opérateur dans le centre opérationnel à distance. L opérateur peut alors clarifier avec l’utilisateur si un support immédiat est nécessaire, peut faire des suggestions à l’utilisateur comment réagir le mieux à la situation particulière, ou peut permettre à l’utilisateur d’indiquer qu’il s’agit d’une fausse alarme
La réaction basée sur le contexte peut aussi consister en l’émission d’un appel de détresse à un gardien ou un service d’urgence, de sorte qu’une assistance personnelle est fournie le plus rapidement possible.
L unité de commande tient de préférence compte de signaux d’autres capteurs, tels qu’un détecteur de fumée, un capteur de proximité au niveau de I interface utilisateur, un capteur anti-manipulation sur l’interface utilisateur ou l’unité de commande, etc. Plus l’unité de commande dispose d’informations, plus la probabilité que la réaction basée sur le contexte est adaptée à la situation spécifique est élevée.
La réaction basée sur le contexte peut être l’interaction avec un téléphone mobile prédéfini. La réaction peut en particulier être l’appel d’un premier
-7téléphone mobile et ensuite, s’il n’y a pas de réponse, d’un deuxième, d’un troisième téléphone mobile etc., jusqu’à ce quelqu'un soit joint.
La réaction basée sur le contexte peut inclure un transfert intercellulaire, dit handover, de la communication à un téléphone mobile. Ceci est particulièrement avantageux dans des situations dans lesquelles la situation d’alarme est la forte probabilité que l’utilisateur quitte le bâtiment, par exemple dans le cas d’une alerte incendie ou de la détection d’une intrusion à un endroit éloigné du bâtiment. Le handover permet par exemple à un opérateur dans le centre opérationnel de rester continuellement en contact personnel ave l’utilisateur pour fournir un conseil approprié, augmentant ainsi la sécurité de l’utilisateur.
L’interface utilisateur peut comprendre une unité de détection de présence, l’unité de détection de présence étant apte à détecter la présence d’identificateurs prédéfinis. Les identificateurs prédéfinis peuvent être des porteclés, des puces RFID ou des dispositifs électroniques similaires qui sont associés à un utilisateur spécifique. Lorsqu’un utilisateur désactive le système d’alarme avec « son » porte-clés ou son chip, l’interface utilisateur peut fournir un message personnalisé à l’utilisateur.
L'interface utilisateur peut en particulier être un écran, de préférence un écran tactile. Un tel écran offre une grande flexibilité pour l’interaction avec l’utilisateur en permettant des interactions s’étendant d’un simple affichage d’un état du système ou d’un message textuel, l’offre de différentes options parmi lesquelles l’utilisateur peut choisir, la représentation de séquences vidéo de l’endroit où une alarme a été déclenchée, à un canal de communication en direct avec un opérateur dans un centre opérationnel.
L’interface utilisateur présente de préférence un détecteur de proximité pour la détection de la proximité d’un utilisateur, étant donné que ceci permet de choisir la réaction basée sur le contexte avec plus de précision.
Dans le dessin annexe, une unité de commande 10 est montrée de manière schématique.
La flèche A symbolise un signal provenant d’un dispositif de détection d’intrusion.
-8Les flèches B symbolisent d’autres informations dont l’unité de commande 10 dispose. Ces informations peuvent comprendre :
l’emplacement du dispositif de détection d’intrusion spécifique qui envoie le signal ;
- le type du signal reçu du dispositif de détection d’intrusion ;
- la présence d’un utilisateur à une unité d’interface ;
l’écoulement de laps de temps prédéfinis ;
l’absence d’interactions prévues en l’espace d’un laps de temps prédéfini.
Les flèches C symbolisent différentes réactions basées sur le contexte de 10 l’unité de commande 10. Ces réactions peuvent inclure :
- un son d’alarme qui est émis par un haut-parleur, le volume du son d’alarme étant adapté à la situation spécifique (par exemple le volume du son d’alarme étant réduit lorsque la présence d’un utilisateur est détectée à proximité de l’interface utilisateur) ;
- un message textuel affiché sur un écran de l’interface utilisateur ;
- un message vocal délivré par l’intermédiaire d’un haut-parleur ;
- l’affichage d’une pluralité d’options sur l’interface utilisateur et une invitation adressée à l’utilisateur à cliquer sur l’une des options ;
- une activation d’une caméra et/ou d’un microphone ;
- une note qui est envoyée à un centre opérationnel à distance ;
l’établissement d’une communication avec un opérateur ;
- l’émission d’un appel de détresse adressé à un gardien ou un service d’urgence ;
- une interaction avec un téléphone mobile prédéfini ;
- un handover de la communication à un téléphone mobile.
-9Dans le cadre de l’invention, toute combinaison possible des options citées cidessus peut être mise en œuvre en tant que mode de réalisation du procédé et du système d’alarme selon l’invention.

Claims (26)

  1. Revendications
    1. Procédé de mise en œuvre d’un système d’alarme pour un bâtiment, le procédé comprenant les étapes suivantes :
    lors de la réception d’un signal provenant d’un dispositif de détection d’intrusion, une unité de commande déclenche un laps de temps en l’espace duquel un utilisateur est invité à désactiver le système d’alarme, lors de l’écoulement du laps de temps prédéfini, l’unité de commande choisit une réaction parmi une pluralité de réactions prédéfinies basées sur le contexte.
  2. 2. Procédé selon la revendication 1, dans lequel la réaction basée sur le contexte est un son d’alarme émis par l’intermédiaire d’un haut-parleur.
  3. 3. Procédé selon la revendication 2, dans lequel le volume du son d’alarme est réduit lorsque la présence d’un utilisateur est détectée à proximité de l’interface utilisateur.
  4. 4. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte dépend du dispositif de détection d’intrusion spécifique qui envoie le signal.
  5. 5. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la durée du laps de temps dépend du dispositif de détection d’intrusion spécifique qui envoie le signal.
  6. 6. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel le ton de l’invitation adressée à l’utilisateur à désactiver le système d’alarme dépend du dispositif de détection d’intrusion spécifique qui envoie le signal.
  7. 7. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte dépend du type du signal reçu du dispositif de détection d’intrusion.
  8. 8. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte est un message textuel affiché sur un écran de l’interface utilisateur.
  9. 9. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte est un message vocal délivré par l’intermédiaire d’un haut-parleur.
  10. 10. Procédé selon la revendication 8 ou la revendication 9, dans lequel le message est un message personnalisé.
  11. 11. Procédé selon l’une des revendications 8 à 10, dans lequel le message est un message d’alerte.
  12. 12. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte affiche une pluralité d’options sur l’interface utilisateur et une invitation adressée à l’utilisateur à cliquer sur l’une des options.
  13. 13. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte est l’activation d’une caméra et/ou d’un microphone.
  14. 14. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte est une note envoyée à un centre opérationnel à distance.
  15. 15. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte établit une communication avec un opérateur.
  16. 16. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte émet un appel de détresse adressé à un gardien ou un service d’urgence.
  17. 17. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel l’unité de commande tient compte du signal d’au moins un capteur additionnel, par exemple un détecteur de fumée.
  18. 18. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte dépend de l’emplacement d’un dispositif de détection d’intrusion spécifique qui envoie le signal.
  19. 19. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte est une interaction avec un téléphone mobile prédéfini.
  20. 20. Procédé selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la réaction basée sur le contexte est un transfert intercellulaire de la communication à un téléphone portable.
  21. 21. Système d’alarme pour un bâtiment, présentant une unité de commande, un dispositif de génération de son, une interface utilisateur, une interface de désactivation, et au moins un dispositif de détection d’intrusion, l’unité de commande présentant un module de stratégie de réaction recevant des signaux provenant au moins de l’interface de désactivation, de l’interface utilisateur et dudit au moins un dispositif de détection d’intrusion pour choisir une stratégie de réaction basée sur le contexte.
  22. 22. Système d’alarme selon la revendication 21, l’interface utilisateur présentant une unité de détection de présence, l’unité de détection de présence étant apte à détecter la présence d’identificateurs prédéfinis.
  23. 23. Système d’alarme selon la revendication 21 ou 22, l’interface utilisateur étant un écran.
  24. 24. Système d’alarme selon la revendication 23, l’écran étant un écran tactile.
  25. 25. Système d’alarme selon l’une des revendications 21 à 24, l’interface utilisateur présentant un détecteur de proximité pour la détection de la proximité d’un utilisateur.
  26. 26. Installation d’alarme comprenant un système d’alarme selon l’une des revendications 21 à 25 et un centre opérationnel à distance, l’unité de commande du système d’alarme étant connectée au centre opérationnel par Internet et/ou par un réseau de téléphonie mobile (par exemple GSM).
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Citations (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US5777551A (en) * 1994-09-09 1998-07-07 Hess; Brian K. Portable alarm system
DE102013103535A1 (de) * 2013-04-09 2014-10-09 Efp Vertriebs- Und Servicegesellschaft Mbh Überwachungsvorrichtung zur Überwachung von Verschlusseinrichtungen von Objektöffnung eines Objekts, insbesondere Haus, und ein entsprechendes Verfahren

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