FR3078446A1 - Dispositif de maintien et d'arrimage d'au moins un cable et receptacle de branchement d'un cable qui en est pourvu - Google Patents

Abstract

La présente invention se rapporte notamment à un dispositif (2) de maintien et d'arrimage d'au moins un câble (C), tel qu'un câble optique, caractérisé par le fait qu'il comporte : - au moins une surface (20) de réception d'un câble (C), cette surface présentant une orientation longitudinale ; - à distance, en regard et selon la même orientation longitudinale que de ladite surface (20) de réception, une lame (3) dont au moins une partie est élastiquement déformable, et dont au moins l'extrémité libre (32), en l'absence de sollicitation, tend à se rapprocher de ladite surface (20), cette lame (3) élastique comportant au moins une saillie (310, 320) en forme de griffe dirigée vers ladite surface (20) ; - des moyens configurés (V) pour contraindre durablement ladite lame (3) élastique en direction de ladite surface de réception (20).

Description

DOMAINE DE L'INVENTION

La présente invention se rapporte à un dispositif de maintien et d'arrimage d'au moins un câble, tel qu'un câble optique, ainsi qu'à un réceptacle de branchement d'au moins un câble qui en est pourvu.

Cette invention trouve préférentiellement une application dans le domaine des réseaux de télécommunication connus sous l'acronyme FTTH (Fiber To The Home en anglais, lequel peut être traduit en français par Fibre Optique jusqu’à l’abonné).

La solution selon l'invention peut être intégrée dans les boîtiers que l’on trouve habituellement au niveau des PBO (points de branchement optique) et se rapporte plus particulièrement au mode de fixation des câbles optiques à l’intérieur de ces boîtiers.

ARRIERE-PLAN TECHNOLOGIQUE DE L'INVENTION

A l'heure actuelle, l’arrimage de câbles dans les boîtiers, qu’ils soient intérieurs ou extérieurs, est principalement réalisé à l’aide de deux accessoires rapportés, à savoir un collier en matière plastique, de type Colson (marque déposée) ou Rilsan (marque déposée), ou un collier métallique, de type Serflex (marque déposée).

Mais avec ces deux types de collier, l’installateur doit procéder en plusieurs étapes. En l'occurrence, il commence par positionner le collier dans la zone prévue à cet effet. Il poursuit en positionnant le câble dans la zone de maintien, puis le maintient et finit par serrer le collier au moyen d’une pince à Colson(collier plastique) et couper à la pince l’excédent. Lorsque l'on a affaire à un collier métallique, il faut le serrer à l'aide d’une clé à douille ou d'un tournevis.

Ces deux manières de procéder présentent des inconvénients.

Ainsi, le collier plastique ne permet pas le maintien du câble avant serrage et ne permet pas non plus une réversibilité montage/démontage du câble, ce qui oblige à changer le collier systématiquement. De plus, il n’assure pas un maintien correct en traction et torsion du câble.

Dans le cas du collier métallique, il ne permet pas non plus le maintien du câble avant serrage. De plus, sa mise en place n’est pas des plus aisée (ouverture de la cage et accrochage dans le système de vissage). En revanche, il est réversible et assure un bon maintien du câble en traction et torsion.

Mais dans les deux cas, la mise en œuvre oblige de monopoliser les deux mains de l’installateur lors de l’arrimage.

La présente invention vise à pallier ces inconvénients et à proposer un dispositif de maintien et d'arrimage d'au moins un câble qui soit facile à utiliser pour l'opérateur, permette un pré-maintien et un arrimage correct du câble, de préférence en monopolisant une seule main de l'opérateur, tout en permettant une réversibilité de montage/démontage, ceci sans dégradation.

RESUME DE L'INVENTION

Ainsi, la présente invention se rapporte en premier lieu à un dispositif de maintien et d'arrimage d'au moins un câble, tel qu'un câble optique, caractérisé par le fait qu'il comporte :

au moins une surface de réception d'un câble, cette surface présentant une orientation longitudinale ;

à distance, en regard et selon la même orientation longitudinale que de ladite surface de réception, une lame dont au moins une partie est élastiquement déformable, et dont au moins l'extrémité libre, en l'absence de sollicitation, tend à se rapprocher de ladite surface, cette lame élastique comportant au moins une saillie en forme de griffe dirigée vers ladite surface ;

des moyens configurés pour contraindre durablement ladite lame élastique en direction de ladite surface de réception.

Selon d'autres caractéristiques non limitatives et avantageuses de ce dispositif :

ladite surface a la forme d'un berceau, de sorte qu elle présente un profil en arc de cercle ;

ladite lame comporte un pied de fixation indéformable, à partir duquel s'étend un corps, lequel est élastiquement déformable, cette lame étant préférentiellement métallique ;

lesdits pied et corps forment un angle d'environ 90° ;

ladite lame comporte au moins une saillie formant griffe à proximité immédiate de son extrémité libre ;

ladite lame comporte au moins une saillie supplémentaire formant griffe à distance de ladite extrémité libre ;

une cloison s'étend à distance, en regard, selon la même orientation longitudinale que de ladite surface de réception, et à l'opposé de celle-ci, cette cloison comportant une ouverture débouchante qui s'étend en regard de ladite lame, et lesdits moyens configurés pour contraindre durablement ladite lame élastique en direction de ladite surface de réception consistent en une vis adaptée pour être engagée dans ladite ouverture débouchante et venir appuyer sur ladite lame ;

lesdits moyens configurés pour contraindre durablement ladite lame élastique en direction de ladite surface de réception comprennent une came disposée de manière à ce que sa surface externe vienne sélectivement en appui contre ladite lame ;

ladite came comprend au moins deux rayons différents, de préférence au moins trois rayons différents, et ladite came agencée de manière à être déplacée manuellement.

Par ailleurs, l'invention se rapporte à un réceptacle de branchement d'au moins un câble, tel qu'un câble optique, caractérisé par le fait qu'il est équipé d'au moins un dispositif selon l'une des caractéristiques précédentes.

BREVE DESCRIPTION DES DESSINS

D’autres caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront à la lecture de la description suivante de modes de réalisation préférés de l’invention. Cette description est faite en référence aux dessins annexés dans lesquels :

- la figure 1 est une vue partielle et en perspective de la partie basse d'un réceptacle, en l'occurrence d'un boîtier, qui est pourvu de plusieurs dispositifs conformes à l'invention ;

- la figure 2 une vue partielle, selon la direction de la flèche de la figure 1, d'un premier mode de réalisation du dispositif selon l'invention ;

- la figure 3 est une vue analogue à la figure 2, mais en perspective ;

- la figure 4 est une vue en bout de la lame du dispositif des figures 2 et 3 ;

- la figure 5 est une vue similaire à la figure 2, sur laquelle un câble est arrimé au dispositif ;

- les figures 6 et 7 sont des vues de face d'un deuxième mode de réalisation du dispositif, qui fait usage d'une came, respectivement dans deux positions différentes de celle-ci ;

- enfin la figure 8 est une vue en perspective du dispositif des figures 6 et 7, étant précisé que la pièce ici représentée est double, à savoir quelle permet de positionner deux câbles.

DESCRIPTION DETAILLEE DE L'INVENTION

A la figure 1 est représentée la partie inférieure d'un réceptacle, en l'occurrence un boîtier 1 dit PBO'' (pour Point de Branchement Optique). Ce boîtier 1 comporte un fond 10 et une paroi inférieure d'orientation horizontale. Cette paroi présente sur son chant libre un ensemble d'échancrures 110 qui sont chacune destinées à permettre le passage de câbles de l'extérieur vers l'intérieur du boîtier.

A l'intérieur de ce boîtier et parallèlement à la paroi 11 s'étend une cloison 12 qui, elle aussi, comporte un ensemble d'échancrures 120, ces échancrures 120 étant disposées à l'aplomb des échancrures 110 de la paroi 11.

Dans l'exemple représenté ici, on a affaire à dix échancrures mais il est clair que ce nombre pourrait être différent, soit supérieur, soit inférieur, et pas forcément pair.

Toujours dans cet exemple, on se propose de mettre en place des câbles optiques qui présentent une orientation verticale. Il s'agit toutefois d'un simple exemple de réalisation, de sorte que l'on peut envisager une disposition de ces câbles selon une orientation horizontale, voire une orientation en biais.

A l'intérieur du boîtier 1 sont représentés très schématiquement quatre dispositifs 2 selon l'invention, chacun de ces dispositifs 2 se situant exactement en regard de deux échancrures 110 de la paroi 11 et des deux échancrures correspondantes 120 de la cloison 12.

Afin de décrire plus précisément la structure de tels dispositifs 2, on se reporte maintenant aux figures 2, 3 et 5 où un dispositif 2 est représenté selon une orientation donnée par la flèche f de la figure 1.

Ainsi, en se reportant plus spécifiquement à la figure 2, on constate que le dispositif 2, préférentiellement réalisé en matière plastique, comporte une surface 20 de réception d'un câble non visible sur cette figure, cette surface 20 présentant une orientation longitudinale, ici de direction verticale.

Préférentiellement, cette surface 20 a la forme d'un berceau, de sorte qu elle présente un profil en arc de cercle, de manière à ce que le câble qui sera mis en place dans ce dispositif soit parfaitement calé au fond de ce berceau. Dans d'autres formes de réalisation, ce profil pourrait être en forme de V ou à plusieurs rayons, de manière à remplir cette fonction de calage.

Le dispositif 2 comporte également une cloison 21 qui s'étend à distance, en regard, selon la même orientation longitudinale que la surface de réception 20 et à l'opposé de celle-ci. La surface 20 formant berceau et la cloison 21 sont reliées l'une à l'autre par une paroi de séparation perpendiculaire 22.

On notera que, dans cet exemple de réalisation, la paroi de séparation 22 constitue un plan de symétrie pour le dispositif 2 qui est double, ce qui signifie, comme visible particulièrement sur la figure 1, que ce dispositif permet d'accueillir deux câbles de part et d'autre de cette cloison.

Toutefois, on pourrait envisager que le dispositif 2 n'accueille qu'un câble, de sorte que la paroi de séparation 22 ne constituerait pas un plan de symétrie.

A distance, en regard et selon la même orientation longitudinale que la surface de réception 20 s'étend une lame 3 qui est positionnée entre ladite surface de réception 20 et ladite cloison 21.

Cette lame 3 présente au moins une partie élastiquement déformable, avec une extrémité libre 32 qui, en l'absence de sollicitation, tend à se rapprocher de la surface 20, cette lame élastique 3 comportant au moins une saillie en forme de griffe dirigée vers ladite surface.

Plus précisément, et comme montré sur les figures 2 à 4, dans le présent mode de réalisation, la lame 3 comprend un pied non déformable 30 qui est engagé dans la cloison 21, par exemple dans une fente de blocage prévue à cet effet.

Le pied 30 présente une orientation perpendiculaire à la cloison 21 et se prolonge, sensiblement à angle droit, par le corps 31 de la lame.

Ainsi que cela est plus particulièrement visible à la figure 4, l'extrémité libre 320 de la lame présente une large échancrure centrale et longitudinale 321 qui sépare cette extrémité libre en deux pointes. A ce niveau, et dirigée vers la surface de réception 20, on constate que la lame présente deux saillies 320 qui font office de griffes, ainsi qu'on l'expliquera plus loin dans la description. Dans un mode de réalisation différent, on pourrait se dispenser de ladite échancrure.

Plus en retrait de cette extrémité libre 32, le corps comporte également une autre saillie formant griffe 310 qui présente la même orientation que les précédentes.

Enfin, la cloison 21 est percée d'une ouverture traversante 210, qui débouche non loin de l'extrémité libre 32 de la lame 3.

Aux figures 2 et 5, est représenté l'axe V d'une vis qui, comme on le verra plus loin, est destinée à être engagée dans l'ouverture 210 pour bloquer la lame 3 en position d'appui contre un câble.

On décrit ici après un mode possible d'utilisation de ce dispositif 2, en relation avec la mise en place d'un câble tel qu'un câble optique C qui, comme de nombreux câbles de ce genre, présente une gaine externe en matière plastique au moins partiellement déformable.

Dans une étape préalable qui correspond à la position de la figure 2, la lame 3, en l'absence de toute sollicitation, tend à se rapprocher de la surface de réception 20, l'écartement entre ces deux éléments ayant une valeur prédéterminée.

On commence alors par engager, entre la surface 20 et la lame 3, de droite à gauche (ou de gauche à droite), le câble C tel que représenté à la figure 5. Ce faisant, le câble tend à déformer élastiquement la lame 3 de manière à ce qu'au moins son extrémité libre 32 se rapproche de la cloison 21. Une fois le positionnement définitif du câble C réalisé, ce qui correspond à la position de la figure 5, on constate que les saillies 320 et 310 de la lame 3 qui ont une forme de griffe viennent coopérer, c'est-à-dire s'engager, dans la gaine du câble C.

Ceci constitue un premier arrimage du câble.

Le fait de prévoir une saillie 320 de part et d'autre de l'échancrure de l'extrémité 32 de la lame 3 multiplie les points de contacts avec la gaine du câble C et améliore son arrimage.

Ainsi, il est possible, dans la plupart des cas, de positionner des câbles C dont le diamètre varie de 3,8 à 6,2 mm, puisque cette latitude de diamètre est autorisée par la déformation élastique de la lame 3. Ensuite et pour fixer définitivement le câble C, il est possible d'engager dans l'ouverture 210 précitée une vis V dont l'extrémité libre vient se positionner contre la lame 3, la forçant à maintenir en place le câble C.

Un tel arrimage définitif répond au critère de maintien en traction et en torsion par un effort à l'extrémité de la lame 3. Bien entendu, dans le cas qui vient d'être décrit, on a affaire à une vis V. Toutefois, tout autre moyen de serrage tel qu'un levier peut être envisagé.

La variante du dispositif de l'invention qui est représentée aux figures 6 à 7 est un dispositif décrivant un autre moyen de serrage. La figure 8 est un dispositif qui comprend deux de ces moyens de serrage et qui permet de positionner deux câbles C parallèlement. Comme le montre la figure 8, ce dispositif comprend une colonne verticale de séparation 5 de part et d'autre de laquelle s'agencent les surfaces de réception 20.

Cette colonne se prolonge vers l'arrière par une traverse 6 qui autorise, grâce à la présence d'une fente d'arrêt, la mise en place du pied 30 des deux lames 3.

Ce dispositif se distingue essentiellement du précédent par le fait que, en lieu et place d'une cloison et d'une vis, on immobilise le câble C au moyen d'une came référencée 4.

Cette came est mobile en rotation atour d'un axe X-X' perpendiculaire à la colonne 5 et fixé sur celle-ci.

Dans le cas présenté ici, la came comporte un organe de manœuvre 40 et elle présente un chemin de came de forme particulière avec deux régions de rayons différents, en l'occurrence des rayons référencés R! et R₂.

En comparant les positions des figures 6 et 7, on constate qu'il est nécessaire à l'opérateur, afin de caler efficacement le câble C déjà positionné sur la surface 20, de déplacer la came 4 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre de manière à ce que la partie de came de rayon R₂ vienne rencontrer et pousser la lame élastique 3 contre ledit câble.

On notera que, dans cette position, la came 4 est immobilisée puisque, comme montré sur la figure 7, un doigt 41 quelle comporte à sa périphérie vient rencontrer une butée de blocage 42 solidaire de la colonne 5.

Bien entendu, on pourrait avoir affaire à une came 4 présentant plus de deux rayons différents de manière à pouvoir adapter l'effort au diamètre du câble qui doit être positionné.

Quel que soit le mode de réalisation auquel on a affaire, on constate que le dispositif de l'invention permet un pré-maintien du câble C sans glissement, sur une plage de diamètres et dans certains cas avant arrimage.

De plus, l'arrimage du câble peut être réalisé d'une seule main. Par ailleurs, on a affaire à une complète réversibilité du montage et du démontage du câble sans aucune dégradation. Le réglage du câble se trouve donc facilité.

Par ailleurs, la mise en œuvre est facilitée lors d'un agencement vertical du câble puisqu'il s'opère un pré-maintien sans glissement.

Enfin, le mode de réalisation du dispositif des figures 6 à 8 a pour avantage supplémentaire de permettre le positionnement d'un câble sans aucun outil supplémentaire.

Claims (12)

1. REVENDICATIONS

   1. Dispositif (2) de maintien et d'arrimage d'au moins un câble (C), tel qu'un câble optique, caractérisé par le fait qu'il comporte :

   - au moins une surface (20) de réception d'un câble (C), cette surface présentant une orientation longitudinale ;

   - à distance, en regard et selon la même orientation longitudinale que de ladite surface (20) de réception, une lame (3) dont au moins une partie est élastiquement déformable, et dont au moins l'extrémité libre (32), en l'absence de sollicitation, tend à se rapprocher de ladite surface (20), cette lame (3) élastique comportant au moins une saillie (310, 320) en forme de griffe dirigée vers ladite surface (20) ;

   - des moyens configurés (V ; 4) pour contraindre durablement ladite lame (3) élastique en direction de ladite surface de réception (20).
2. 2. Dispositif (2) selon la revendication 1, caractérisé par le fait que ladite surface a la forme d'un berceau, de sorte qu elle présente un profil en arc de cercle (20).
3. 3. Dispositif (2) selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que ladite lame (3) comporte un pied (30) de fixation indéformable, à partir duquel s'étend un corps (31), lequel est élastiquement déformable, cette lame (3) étant préférentiellement métallique.
4. 4. Dispositif (2) selon la revendication 3, caractérisé par le fait que lesdits pied (30) et corps (31 ) forment un angle d'environ 90°.
5. 5. Dispositif (2) selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que ladite lame (3) comporte au moins une saillie (320) formant griffe à proximité immédiate de son extrémité libre (32).
6. 6. Dispositif (2) selon la revendication 5, caractérisé par le fait que ladite lame (3) comporte au moins une saillie supplémentaire (310) formant griffe à distance de ladite extrémité libre (32).
7. 7. Dispositif (2) selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait qu’il comporte une cloison (21 ) qui s'étend à distance, en regard, selon la même orientation longitudinale que de ladite surface de réception (20), et à l'opposé de celle-ci, cette cloison (21) comportant une ouverture (210) débouchante qui s'étend en regard de ladite lame (3), et que lesdits moyens configurés pour contraindre durablement ladite lame (3) élastique en direction de ladite surface de réception (20) consistent en une vis (V) adaptée pour être engagée dans ladite ouverture débouchante (210) et venir appuyer sur ladite lame (3).
8. 8. Dispositif (2) selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisé

   5 par le fait que lesdits moyens configurés pour contraindre durablement ladite lame (3) élastique en direction de ladite surface de réception (20) comprennent une came (4) disposée de manière à ce que sa surface externe vienne sélectivement en appui contre ladite lame (3).
9. 9. Dispositif (2) selon la revendication 8, caractérisé par le fait
10. 10 que ladite came (4) comprend au moins deux rayons différents (R_1; R₂), de préférence au moins trois rayons différents.

    10. Dispositif (2) selon la revendication 8 ou 9, caractérisé par le fait que ladite came (4) agencée de manière à être déplacée manuellement.
11. 11. Réceptacle (1 ) de branchement d'au moins un câble, tel qu'un
12. 15 câble optique, caractérisé par le fait qu'il est équipé d'au moins un dispositif (2) selon l'une des revendications précédentes.