FR3057884A1

FR3057884A1 - Dispositif simplifie pour ancrer un mur de doublage a un mur porteur.

Info

Publication number: FR3057884A1
Application number: FR1660199A
Authority: FR
Inventors: Philippe Tolleret; Alain Leroy
Original assignee: Ateliers LR Etanco SAS
Current assignee: Ateliers LR Etanco SAS
Priority date: 2016-10-20
Filing date: 2016-10-20
Publication date: 2018-04-27
Anticipated expiration: 2036-10-20
Also published as: FR3057884B1

Abstract

L'invention porte sur un dispositif 3 pour ancrer un mur de doublage 2 à un mur porteur 3, le mur porteur comprenant une gorge 6 en forme de « T », et, le mur d'habillage comprenant des briques 11 maintenues entre elles par des inserts 12 munis de trous 18, le dispositif d'ancrage 3 étant constitué d'un fil formant : - une ancre 32 pour venir en prise avec la gorge 6, cette ancre étant formée à une première extrémité dudit dispositif ; -un crochet 31 prévu pour venir en prise avec le deuxième logement, ce crochet étant formé à une deuxième extrémité dudit dispositif (3); et, - une entretoise 33, reliant l'ancre et le crochet.

Description

©) N° d’enregistrement national : 16 60199 ® RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

INSTITUT NATIONAL DE LA PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE

COURBEVOIE

©) Int Cl⁸ : E 04 B 2/18 (2017.01), E 04 B 1/41, E 04 C 1/39

DEMANDE DE BREVET D'INVENTION A1

©) Date de dépôt : 20.10.16.	©) Demandeur(s) : ATELIERS LR ETANCO Société par
(30) Priorité :	actions simplifiée — FR.
	©) Inventeur(s) : TOLLERET PHILIPPE et LEROY
	ALAIN.
(43) Date de mise à la disposition du public de la
demande : 27.04.18 Bulletin 18/17.
(56) Liste des documents cités dans le rapport de
recherche préliminaire : Se reporter à la fin du
présent fascicule
(© Références à d’autres documents nationaux	©) Titulaire(s) : ATELIERS LR ETANCO Société par
apparentés :	actions simplifiée.
©) Demande(s) d’extension :	@) Mandataire(s) : CABINET MOUTARD.

DISPOSITIF SIMPLIFIE POUR ANCRER UN MUR DE DOUBLAGE A UN MUR PORTEUR.

FR 3 057 884 - A1 _ L'invention porte sur un dispositif 3 pour ancrer un mur de doublage 2 à un mur porteur 3, le mur porteur comprenant une gorge 6 en forme de « T », et, le mur d'habillage comprenant des briques 11 maintenues entre elles par des inserts 12 munis de trous 18, le dispositif d'ancrage 3 étant constitué d'un fil formant:

- une ancre 32 pour venir en prise avec la gorge 6, cette ancre étant formée à une première extrémité dudit dispositif;

-un crochet 31 prévu pour venir en prise avec le deuxième logement, ce crochet étant formé à une deuxième extrémité dudit dispositif (3); et,

- une entretoise 33, reliant l'ancre et le crochet.

~-P2

- 1 La présente invention se rapporte au domaine du doublage de murs extérieurs de bâtiments, notamment dans le cas d’un double mur, plus particulièrement d’un cas où un mur porteur est doublé d’un mur de briques, ces murs étant séparés d’un espace vide ou rempli d’un isolant thermique. De tels murs de briques servent généralement d’habillage pour les murs extérieurs d’un bâtiment. L’invention se rapporte plus particulièrement à des murs construits sans mortier. Le document EP2831347 décrit un tel procédé.

Un tel mur de briques n’est généralement pas auto-stable, notamment s’il est de grande hauteur, par exemple sur plusieurs étages ; il doit être ancré dans le mur porteur.

L’invention a pour but de proposer un dispositif pour ancrer un tel mur de briques assemblées sans mortier avec un mur porteur.

Pour atteindre son but, l’invention propose un dispositif pour ancrer un mur de doublage à un mur porteur constituant ensemble un double-mur, dans lequel le mur porteur comprend un premier logement d’ancrage, et, le mur d’habillage comprend des briques maintenues entre elles par des inserts munis d’au moins un deuxième logement d’ancrage, et, ce dispositif d’ancrage étant caractérisé en ce qu’il est constitué d’un fil formant :

-2- une ancre, prévue pour venir en prise avec le premier logement, cette ancre étant formée à une première extrémité du dispositif ;

- un crochet, prévu pour venir en prise avec le deuxième logement, ce crochet étant formé à une deuxième extrémité du dispositif ; et,

- une entretoise, reliant l’ancre et le crochet.

le premier logement d’ancrage est avantageusement une rainure en forme de « T », de préférence verticale, débouchant par une zone étroite sur une face avant du mur porteur et comprenant une zone élargie, à l’arrière de la zone étroite, l’ancre pouvant prendre une première position dans laquelle elle peut être introduite dans la zone élargie en passant par la zone étroite et une deuxième position, dans laquelle elle est prisonnière de la zone élargie.

L’entretoise peut comprendre une goutte d’eau.

Le fil est de préférence de section sensiblement constante, de préférence de section circulaire. De préférence le fil a un diamètre compris entre trois et six millimètres, de préférence voisin de quatre millimètres.

L’invention porte aussi sur un procédé de construction utilisant un dispositif d’ancrage selon l’invention.

Plusieurs modes d’exécution de l’invention seront décrits ci-après, à titre d’exemples non limitatifs, en référence aux dessins annexés dans lesquels :

- la figure 1 est une vue en élévation d’un double mur comprenant un dispositif selon l’invention pour ancrer un mur de doublage sur un mur porteur ;

- la figure 2 est une vue du profil en élévation du dispositif de la figure 1;

-3 - la figure 3 est une vue de dessus d’une ancre pour le dispositif de la figure 1 ;

- la figure 4 est une vue en perspective illustrant l’ancrage du dispositif dans le mur porteur ; et,

- la figure 5 est une vue en élévation et en coupe illustrant l’ancrage du dispositif dans le mur de doublage.

Dans la description qui suit les termes « avant » et « arrière » sont définis en supposant que le mur de doublage est « devant » le mur porteur ; les termes « haut » et « bas », « horizontal » et « vertical » sont définis dans la position d’usage, illustrée aux figures 1, 2 et 5, dans lesquelles, le haut correspond au haut de la feuille ; les termes « gauche » et « droite » doivent se comprendre lorsque l’on regarde d’avant en arrière.

Dans l’exemple illustré à la figure 1, un double mur comprend un mur porteur 1, un mur de doublage 2 et un dispositif 3 pour ancrer le doublage 2 sur le mur porteur 1.

Le mur porteur 1 comprend des blocs 4 de béton aggloméré emboîtés les uns dans les autres. Un tel bloc 4 est partiellement représenté aux figures 1, 3 et 4. Ce bloc 4 comprend, sur toute sa hauteur, une rainure 6 verticale de section sensiblement constante en forme de « T », La rainure 6 est ouverte sur une face avant 7 du bloc 4, en vis-à-vis du doublage 2. Depuis la face avant 7, la ramure comprend une zone étroite 61 de largeur sensiblement constante L61 qui s’étend vers l’arrière sur une distance D61, jusqu’à une zone élargie, de largeur L62, et de profondeur D62.

Comme particulièrement illustré à la figure 5, le doublage 2 est constitué d’un empilage de briques 11 et d’inserts 12, sensiblement symétrique par rapport à un plan vertical P2 perpendiculaire au plan des figures 1 et 5. Dans l’exemple

-4illustré, les briques 11 sont en terre cuite et les inserts 12 sont en un matériau plastique. Chaque insert 12 est prévu pour s’encliqueter sur un insert disposé en dessous de lui, et pour être ensuite habillé par une brique 11 du doublage 2. Les inserts, emboîtés entre eux, forment une ossature pour le doublage 2, les briques constituant un habillage pour cette ossature.

Chaque insert comprend une base 13 et deux éperons 14, s’étendant verticalement vers le haut, depuis la base 13. Pour chaque insert 12, seul l’un des éperons est visible, l’autre étant masqué par celui qui est visible. Le sommet de chaque éperon 14 comprend des premiers moyens de prises 16 et sous chaque éperon sont disposés des deuxièmes moyens de prises 17. Les premiers moyens de prises 16 d’un insert 12 sont prévus pour venir s’encliqueter dans les deuxièmes moyens de prises 17 d’un insert disposé immédiatement au-dessus.

De préférence, les inserts sont disposés en quinconce, c’est-à-dire que sur un même insert d’un rang de briques inférieur, viennent s’encliqueter deux inserts d’un rang de briques supérieur, chacun des deux inserts du rang supérieur venant en prise avec un éperon respectif de Γ insert du rang inférieur.

Chaque insert comprend un rang de logements 18 cylindriques verticaux, disposés selon deux rangs horizontaux, parallèles au plan de symétrie P2.

Le dispositif d’ancrage 3 est formé d’un fil de section sensiblement constante. Le fil est mis en forme de sorte que le dispositif d’ancrage 3 comprend :

- à l’avant, un crochet 31 pour venir en prise avec un logement respectif 18 ;

- à l’arrière, une ancre 32 pour venir en prise avec la rainure 6 ;

- entre le crochet et l’ancre, une partie intermédiaire 33 formant entretoise ; et,

- sur la partie intermédiaire 33, une goutte d’eau 34.

-5Dans l’exemple illustré, le fil est un fil d’acier inoxydable ayant un diamètre de quatre millimètres.

L’entretoise 33 s’étend sensiblement horizontalement, sauf à l’endroit de la goutte d’eau 34.

La goutte d’eau 34 est formée par un « affaissement » local de Γentretoise 33, de sorte qu’elle y forme un point bas 35. Ainsi, de la condensation qui se formerait à l’avant de l’entretoise 33, qui tendrait à migrer vers l’arrière, le long de l’entretoise, serait arrêtée par la goutte d’eau ; elle se concentrerait au point bas 35 sous la forme d’une goutte qui, une fois suffisamment lourde, tomberait. Ainsi, le mur porteur et un isolant éventuellement disposé entre la goutte d’eau 34 et le mur porteur, seraient protégés de cette condensation.

Le crochet 31 est formé, à une extrémité avant du dispositif 3, par un tronçon du fil replié à angle droit vers le bas, relativement à Γentretoise 33. Comme illustré à la figure 5, les logements 18 cylindriques verticaux sont prévus pour y recevoir, de façon ajustée, le crochet 21.

L’ancre est formée par des coudes 41-45 successifs du fil, formant des segments 51-55 de fil successifs. Les coudes et les segments sont disposés de telle sorte que l’ancre a un encombrement L32, H32, E32 défini par :

- une largeur L32, mesurée horizontalement dans la position d’usage, supérieure à la largeur L61 de la zone étroite 61 de la rainure 6, et, inférieure à la largeur L62 de la zone élargie 62 de la rainure ;

soit : L61 < L32 < L62 ;

- une profondeur P32, mesurée horizontalement dans la position d’usage, inférieure à la profondeur D62 de la zone élargie ;

soit : P32 < D62 ;

-6- une hauteur H32, mesurée verticalement dans la position d’usage, inférieure à la largeur L61 de la zone étroite 61 ;

soit : H32 < L61 ;

Les dimensions de l’ancre 32 sont prévues pour qu’il y ait du jeu, de préférence faible relativement aux dimensions de l’ancre, entre l’ancre et la partie élargie 62 de la rainure.

Du fait de ses dimensions, l’ancre 32 ne peut être introduite frontalement dans la rainure 6, c’est à dire par un mouvement horizontal d’avant en arrière, que si le dispositif 3 est tourné de façon que la hauteur H32 de l’ancre 32 soit sensiblement dans le sens de la largeur L61 de la partie étroite 61. L’ancre peut alors être introduite au travers de la partie étroite 61 jusque dans la partie élargie 62. Lorsque l’ancre est dans la partie élargie, le dispositif peut être redressé dans sa position d’usage, dans laquelle la largeur L32 de l’ancre 32 est sensiblement dans le même sens que la largeur L62 de la partie élargie. L’ancre 32 ne peut alors plus en être retirée frontalement, c’est à dire par un mouvement horizontal d’arrière en avant ; elle assure ainsi sa fonction d’ancrage dans le mur 1. Lorsque le dispositif d’ancrage 3 est en prise dans la rainure 6, il peut y rester immobilisé, par arc-boutement de l’ancre 32 dans la partie élargie 62 de la rainure 6.

Comme particulièrement illustré à la figure 4, l’ancre est constituée des cinq coudes 41-45 alternant avec les cinq segments 51-55.

A partir d’une extrémité arrière de la partie formant entretoise 33, un premier coude 41 tourne horizontalement vers la gauche ; il est suivi d’un premier segment 51, horizontal, allant vers la gauche et vers l’avant. Le premier coude forme un point 46 le plus en arrière du dispositif 3.

-7Le premier segment 51 est suivi d’un deuxième coude 42 qui tourne vers le bas. Ce deuxième coude 42 est suivi d’un deuxième segment 52 ; ce deuxième segment s’éloigne du deuxième coude essentiellement vers le bas tout en allant légèrement vers l’arrière et vers la droite, en restant sensiblement à l’aplomb du premier segment 51. Le deuxième coude 42 forme un point 47 le plus à gauche du dispositif 3 et un point 48 le plus en avant de l’ancre 32.

Le deuxième segment 52 est suivi d’un troisième coude 43 suivi d’un troisième segment 53, horizontal ; ce troisième segment s’éloigne du troisième îo coude vers l’arrière et vers la droite, en restant sensiblement à l’aplomb du premier segment 51.

Le troisième segment 53 est suivi d’un quatrième coude 44, horizontal, suivi d’un quatrième segment 54, horizontal ; ce quatrième segment s’éloigne du quatrième coude vers l’avant et vers la droite. Le quatrième coude forme un autre point 48 le plus en arrière du dispositif 3, sensiblement à l’aplomb du précédent point le plus en arrière 46.

Le quatrième segment 54 est suivi d’un cinquième coude 45, vertical, suivi d’un cinquième segment 55 ; ce cinquième segment s’éloigne du cinquième coude vertical vers le haut. Le cinquième segment forme une ligne 56 la plus en avant de l’ancre 32, et une ligne 57 la plus à droite du dispositif 3. L’extrémité supérieure 58 du cinquième segment est légèrement plus basse que la génératrice supérieure du premier segment 51.

La disposition du deuxième segment 52, qui va vers le bas en même temps que vers la droite et vers l’arrière, permet de faire tourner le dispositif 3, une fois qu’il a traversé la partie étroite 61. En outre, ceci permet, en disposant l’avant du dispositif plus haut que l’arrière et/ou la gauche de l’ancre 32 plus haut que sa droite, de faire plus aisément coulisser l’ancre dans la rainure 6. Ainsi, on

-8peut déplacer le dispositif jusqu’à ce qu’il soit à la bonne hauteur dans le mur

1. Lorsque l’on modifie ensuite l’orientation du dispositif d’ancrage 3 de façon à ce que l’entretoise 33 soit sensiblement horizontale, le dispositif 3 vient s’immobiliser par arc-boutement de l’ancre 32 dans la partie élargie 62 de la rainure 6.

Chaque brique 11 comprend un évidement intérieur 70. Cet évidement comprend une zone basse 71 débouchant vers le bas et destinée à envelopper au moins partiellement la base d’un insert 12 respectif et deux cheminées 72, dont une seule est visible sur la coupe de îa figure 5, chacune débouchant à la fois dans la zone basse et sur une face supérieure 73 de la brique 11. Chacune des cheminées 72 est prévue pour y recevoir, de préférence de façon sensiblement ajustée, un éperon 14 respectif. La brique 11 comprend en outre une échancrure 74 réalisée dans une paroi de la zone de base 71, pour permettre le passage de la partie avant du dispositif 3, notamment du crochet

31.

Ainsi, tel qu’illustré à la figure 5, un procédé de construction utilisant un dispositif d’ancrage 3 selon l’invention comprend les étapes suivantes :

- sur un précédent rang de briques 11 et d’inserts 12, disposer de préférence en quinconce un nouveau rang d’inserts ; puis,

- après avoir ancré un dispositif d’ancrage 3 dans une rainure 6 selon le procédé précédemment décrit, introduire le crochet 31 dans un logement correspondant 18 ;

- disposer autant de dispositifs d’ancrage que nécessaire sur un même rang ; puis,

- recouvrir le nouveau rang d’inserts 12 d’un nouveau rang de briques 11.

Le nombre de dispositifs d’ancrage par mètre carré de double-mur est choisi pour assurer une bonne tenue du doublage 2.

-9Bien sûr, l'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation préférés qui viennent d'être décrits mais, au contraire, l'invention est définie par les revendications qui suivent.

Il apparaîtra en effet à l'homme de l'art que diverses modifications peuvent être apportées aux modes de réalisation décrits ci-dessus, à la lumière de l'enseignement qui vient de lui être divulgué.

io Ainsi, les termes de « bloc » et « brique » utilisés dans la précédente description ne sont pas limitatifs, les matériaux constituants chacun des deux pouvant résulter d’un choix esthétique et/ou technique spécifique. Ainsi, les blocs et les briques peuvent être, notamment, les uns comme les autres, de béton aggloméré, de terre cuite, de silico-calcaire ou de bois.

Claims

Revendications

1. Dispositif (3) pour ancrer un mur de doublage (2) à un mur porteur (1) constituant ensemble un double-mur (1,2), dans lequel :

- ledit mur porteur comprend un premier logement d’ancrage (6) ;

- ledit mur d’habillage comprend des briques (11) maintenues entre elles par des inserts (12) munis d’au moins un deuxième logement d’ancrage (18) ;

caractérisé en ce que ledit dispositif d’ancrage est constitué d’un fil formant ;

- une ancre (32) prévue pour venir en prise avec ledit premier logement (6), ladite ancre étant formée à une première extrémité dudit dispositif (3) ;

-un crochet (31) prévu pour venir en prise avec ledit deuxième logement (18), ledit crochet étant formé à une deuxième extrémité dudit dispositif (3); et,

- une entretoise (33), reliant ladite ancre et ledit crochet.
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le premier logement d’ancrage est une rainure en forme de « T », de préférence verticale, débouchant par une zone étroite (61) sur une face avant (7) du mur porteur (1) et comprenant une zone élargie (62), à l’arrière de ladite zone étroite, l’ancre (32) pouvant prendre une première position dans laquelle elle peut être introduite dans ladite zone élargie en passant par ladite zone étroite et une deuxième position, dans laquelle elle est prisonnière de ladite zone élargie.
3. Dispositif selon l’une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que Γentretoise comprend une goutte d’eau 34.
4. Dispositif selon l’une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que le fil de section sensiblement constante, de préférence de section circulaire, de préférence d’un diamètre compris entre trois et six millimètres, de préférence voisin de quatre millimètres.

- 11
5. Procédé pour construire un double-mur (1,2, 3), caractérisé en ce qu’il utilise un dispositif d’ancrage selon l’une des revendications précédentes.

2/2

RG 5