FR3052588A1 - Dispositif lumineux d'enseigne double face ajouree. - Google Patents

Abstract

La présente invention concerne un dispositif lumineux pour enseignes lumineuses ajourées sur-mesure ne nécessitant ni cadre, ni caisson, ni panneau en matériau composite à circuit imprimé. En effet ces derniers éléments sont des obstacles à la création d'enseignes aux formes libres et personnalisées, ou sont seulement propices à la fabrication d'enseignes en série en raison de leur coût. L'enseigne est constituée d'au moins deux plaques d'ossature ayant sensiblement la même forme géométrique, assemblées entre elles par des vis et des entretoises, rigidifiées par au moins un plat métallique, au moins une bande d'assemblage fixée aux contours de l'enseigne, deux plaques d'habillage auxquelles sont fixés une pluralité de modules lumineux ainsi qu'un moyen de support. Ce procédé de fabrication nous permet de réaliser des enseignes lumineuses surmesure légères, ajourées tout en conservant un procédé de fabrication performant.

Description

Domaine technique concerné

Le domaine concerné par la présente invention est celui des enseignes lumineuses « double face ». « Double face », signifiant la présence d’un affichage lumineux sur chacune des deux faces opposées de l’enseigne.

Etat de la technique antérieure

Traditionnellement, les enseignes type drapeau (fixées en applique) sont constituées de deux coques représentant chacune une face de l’enseigne, assemblées à une structure réalisée en tubes généralement soudés.

Dans la demande coréenne de modèle d’utilité KR 20090003575, il a été imaginé de réaliser un caisson avec des profilés formant ainsi l’âme de l’enseigne. Des montants supports sont fixés à ce caisson afin de le rapporter sur un mur par exemple, tandis que des plaques supportant des diodes électroluminescentes DEL, sont rapportées de part et d’autre de ce caisson. Cet agencement permet de réaliser des formes essentiellement carrées ou rectangulaires car la réalisation d’un caisson de forme originale avec des courbes, par exemple en forme d’une paire de lunettes pour un opticien, deviendrait vite impossible ou d’un coût prohibitif. De plus, une telle enseigne voit toute sa rigidité confiée au caisson. Surtout en cas d’enseigne d’une taille importante, il devient difficile de fixer les plaques supportant des diodes électroluminescentes LEDs de façon plane sauf à prévoir des plaques relativement épaisses, la rigidité étant affectée par une fixation uniquement périphérique.

Un procédé de fabrication d’une enseigne lumineuse à LEDs est énoncé dans le document FR2890775A1. Celui-ci décrit une enseigne composée d’un ou plusieurs panneaux lumineux. Ces derniers étant constitués d’une plaque support disposant de deux faces sur lesquelles sont soudées des diodes de type CMS, représentant un motif lumineux par face constituant ainsi une enseigne « double face ». Ces dites cartes supports sont nécessairement montées et fixées sur un cadre constitué de plusieurs profilés tubulaires assemblés bout à bout ainsi que d’un capot de protection pour les panneaux lumineux. Ce procédé de fabrication permet la réalisation d’enseignes beaucoup plus fines. Mais là encore de type carré, rectangulaire ou à plusieurs angles droits. D’autre part comme le souligne le document EP23355077, les câbles d’alimentation des différents panneaux lumineux sont fixés sur le cadre de l’enseigne et disposés à l’intérieur d’un capot de protection transparent. Du fait de la non opacité du dernier élément cité, les fils se trouvent apparents ce qui nuit à l’esthétique globale de l’enseigne.

Le document EP23355077 nous expose une autre technique de fabrication. Celui-ci nous présente un dispositif d’affichage lumineux d’une enseigne comportant deux plaques de support avec un cadre enjoliveur formé de plusieurs éléments de cadre entre la 1®'^® et la 2®"^® plaque. Sur celles-ci est monté au moins un panneau lumineux par face. Cette méthode induit la fabrication d’un cadre enjoliveur et de deux plaques supports de dimensions au moins égales à la taille des panneaux lumineux. La rigidité de l’enseigne repose sur les deux dites plaques qui doivent être suffisamment épaisses pour assurer une bonne résistance mécanique. Tout cela représente un coût et conduit à un poids important de l’enseigne. De plus chaque panneau lumineux composé de LEDs est encapsulé dans un bloc de résine et fixé sur les dites plaques supports, ils sont donc saillants et nuisent à l’esthétique générale de l’enseigne.

Les techniques présentées dans les documents cités précédemment (KR20090003575, FR3010222A1, EP23355077) ne permettent pas ou alors très difficilement la fabrication d’enseignes évidées, et réduisent ainsi les possibilités de création.

Le document FR3010222A1 permet déjà la réalisation d’enseignes fines et évidées, ce concept est bien adapté à la réalisation de modèles d’enseignes fabriqués en petites ou grandes séries dont les exemplaires ont exactement les mêmes caractéristiques. En effet ce procédé met en oeuvre des plaques en matériau composite à circuit imprimé sur lesquelles sont soudées des LEDs, cela nécessite donc la conception d’un circuit imprimé, qui engendre un certain coût. D’autre part la réalisation d’un circuit imprimé unitaire est très coûteux, de ce fait ce procédé de fabrication n’est pas du tout adapté à la réalisation d’enseigne surmesure en raison de son prix excessif. Résumé de rinvention

La présente invention a pour objet de s’affranchir de panneau en matériau composite à circuit imprimé, de caissons, et de cadres en ce qui concerne la fabrication d’enseignes lumineuses, elle est particulièrement bien adaptée aux enseignes évidées, par exemple : bagues pour bijoutiers, lunettes pour opticiens,... quelles que soit la forme et la taille souhaitées. Elle permet aussi la réalisation d’enseignes aux dimensions standards ayant peu de modules lumineux et des animations réduites, en effet, si le nombre de modules lumineux est important, ou si les animations sont élaborées, le câblage devient fastidieux et chronophage.

Ce procédé comporte une ossature ajourée composée de deux plaques d’ossature de même forme, assemblées entre elles par des entretoises et rigidifiées par au moins un plat métallique. Deux plaques d’habillages sur lesquelles sont implantés des modules lumineux ainsi que de bandes d’assemblage. Idéalement, des pattes de fixation permettent d’assembler au moins un plat métallique à un tube support placé en dehors de l’enseigne. Ce procédé de fabrication permet d’obtenir une enseigne rigide et également légère.

La présente invention ne comporte aucune contrainte de création d’enseigne, les modules lumineux étant indépendants de la structure et de l’habillage de l’enseigne. Grâce â la présente invention il est désormais possible de réaliser aisément des enseignes lumineuses évidées sur-mesure â un prix raisonnable.

Les modules lumineux sont aisément dissimulables puisque qu’ils sont avantageusement placés sur la plaque arrière d’habillage, ils ne nuisent donc pas â l’esthétique générale de l’enseigne.

Ce mode de réalisation permet de réaliser très facilement des enseignes aux formes diverses avec un faible coût de fabrication puisqu’on évite la fabrication d’un caisson et d’un cadre, ainsi que la conception et la fabrication d’un panneau en matériau composite à circuit imprimé.

Exposé de l’invention L’invention présentée ici consiste en un dispositif lumineux d’une enseigne double face ajourée comportant une ossature comprenant au moins deux plaques dites d’ossature ajourée du fait qu’elles présentent au moins une partie évidée. Elles ne servent pas de support pour les modules lumineux et ne nécessitent aucune gravure électronique.

Elles sont de même forme, assemblées entre elles par des vis et des entretoises. Ces plaques sont rigidifiées par au moins un plat métallique cintré, il a une longueur suffisante pour parcourir au moins un tiers des plaques d’ossature ajourée, une largeur identique à la longueur des entretoises permettant ainsi aux plaques de prendre appui dessus. Ce dernier est placé en dehors de la périphérie des dites plaques d’ossature ajourée, sensiblement centré entre leurs contours intérieurs et extérieurs, afin d’optimiser la résistance apportée à l’ossature. L’ensemble constituant ainsi une ossature rigide évidée représentant la forme de l’enseigne souhaitée ayant un recto et un verso.

Le dispositif comporte au moins deux plaques d’habillage ajourées, de même forme que les plaques d’ossature ajourée, précédemment citées et de taille légèrement supérieure à celles-ci, de sorte à ce qu’elles prennent appui sur les bandes d’assemblages intérieures et extérieures et ne soient pas en saillie. Les plaques d’habillage présentent chacune une face intérieure qui ne sera pas visible, et une face extérieure qui sera apparente.

Des modules lumineux sont assemblés sur les faces intérieures des plaques d’habillage face à une pluralité de trous traversants réalisés sur ces dernières. Ils sont ainsi dissimulés derrière les faces apparentes de chaque plaque d’habillage. Les plaques d’habillage ont une dimension supérieure à celles des plaques d’ossature ajourée, elles sont fixées à celles-ci, et prennent appui sur des bandes d’assemblage.

Les bandes d’assemblage peuvent être préalablement cintrées puis fixées en périphérie intérieure et extérieure des plaques d’ossature ajourée et génèrent un interstice d’au moins 5 millimètres de chaque côté de l’ossature. Ceci dans le but d’intégrer les modules lumineux assemblés sur les faces intérieures des plaques d’habillage, un interstice de 5 millimètres étant nécessaire pour les modules les plus fins, la dimension de l’interstice peut s’adapter en fonction des modules s’ils sont plus épais.

Les plaques d’habillage sont avantageusement réalisées en une matière rigide de type métallique ou plastique. Le matériau utilisé est de préférence léger et fin afin de ne pas alourdir l’enseigne dans son ensemble. L’enseigne lumineuse est en outre composée de modules lumineux qui ont une faible épaisseur, au moins 3 millimètres, composés d’au moins une LED, d’un circuit imprimé ayant un côté composant et un côté soudure, comprenant des trous traversants de diamètre 3 à 4 fois supérieur à la largeur des pattes de la LED. Ceux-ci aboutissent côté soudure sur des pastilles spécifiques qui couvrent au maximum les deux tiers du périmètre des trous traversants empêchant ainsi de les obstruer lors de la soudure des pattes de la LED. Cette caractéristique permet le passage d’une résine de faible viscosité appliquée uniquement côté soudure recouvrant ce dernier et enveloppant intégralement les pattes de la LED insérée côté composant. Ce procédé permet la réalisation de modules très fins car il ne nécessite pas l’application de résine côté composant pour protéger la ou les LEDs qui sont les seuls éléments présents côté composant. Leur dimension est généralement de 12 millimètres de diamètre, elle peut atteindre jusqu’à 30 millimètres de diamètre, cela permet de s’adapter à tout type d’enseigne évidée quel que soit leur dimension et leur forme. L’invention prévoit deux manières de fixer l’enseigne, en fonction de sa forme soit elle comprend au moins un plat métallique cintré assemblé à un tube support via une encoche.

Soit, elle comprend au moins un plat métallique cintré assemblé à au moins une patte de liaison, elle-même assemblée à un tube support entièrement apparent à l’extérieur de l’enseigne.

Le tube support peut être assemblé perpendiculairement à une platine de fixation afin de permettre la pose en drapeau.

Ce dispositif a pour but la création d’enseignes évidées, fines, complètement personnalisables tant en forme, qu’en dimension, qu’en couleur, qu’en quantité de modules lumineux et ce à un prix raisonnable. D’autres caractéristiques et avantages apparaîtront dans la description d’un mode de réalisation selon l’invention donné à titre d’exemple non limitatif, en référence aux dessins suivants :

Présentation des figures Les dessins annexés illustrent l’invention : - La figure 1 est une vue de face d’un exemple de réalisation représentant une enseigne en forme de bague - La figure 2 est une vue de face d’une plaque d’habillage de l’enseigne en forme de bague - La figure 3 est une vue de face de l’ossature ajourée de l’enseigne en forme de bague - La figure 4 est une vue de face d’une enseigne en forme de lunettes - La figure 5 est une vue de face de l’ossature ajourée de l’enseigne en forme de lunettes - La figure 6 est une vue de face d’une plaque d’habillage de l’enseigne en forme de lunettes

- La figure 7 est une vue de coupe de la figure 4 suivant la coupe A.A - La figure 8 est une vue de coupe d’un module lumineux - La figure 9 est une vue de face d’un circuit imprimé faisant apparaître les trous traversants et les pastilles.

Exposé détaillé d’un mode de réalisation de rinvention

Les figures 4 à 9 illustrent un dispositif lumineux d’une enseigne double face ajourée très fine (33mm d’épaisseur) ayant la forme de lunettes pour opticien. Cet exemple d’application comporte une ossature comprenant deux plaques d’ossature ajourée (11, 12) de même forme, assemblées entre elles par des vis (71, 72) et des entretoises (60, 61 ).

Les deux plaques d’ossature ajourée (11, 12) sont rigidifiées par deux plats métalliques (20, 21) ayant une épaisseur de 2 ou 3mm, pouvant ainsi être cintrés. Ils ont une largeur identique à la longueur des entretoises (60, 61) et sont placés entre les plaques d’ossature ajourée (11, 12) qui prennent de ce fait appui sur ces derniers.

Les plats métalliques (20, 21) sont sensiblement centrés entre les contours intérieurs (83, 85) et les contours extérieurs (84, 86) des plaques d’ossature ajourée (11, 12), permettant ainsi de bien répartir la résistance fournie à celles-ci. Cet exemple de réalisation représente une enseigne de petite dimension, de ce fait, les plats métalliques (20, 21) ne parcourent que partiellement les plaques d’ossature ajourée (11, 12) et sont assemblés à celles-ci par collage. L’ensemble constitue une ossature ajourée rigide, de faible épaisseur ayant sensiblement la même forme que les plaques d’habillage (41, 42) et sert de base à la réalisation du dispositif lumineux d’enseigne double face ajourée pour opticien.

Selon une variation d’exécution, comme par exemple le dispositif lumineux en forme de bague pour bijoutier représenté figure 3, le plat métallique (22) parcourt la totalité de l’enseigne et forme ainsi un cercle fermé. Il peut être assemblé par quelques points de soudure aux plaques d’ossature (10) si celles-ci sont composées de la même matière.

Le dispositif lumineux d’enseigne pour opticien comporte des bandes d’assemblage (30, 31) cintrées qui suivent les contours intérieurs (83, 85) et extérieurs (84, 86). Elles sont assemblées par collage à ces derniers ainsi qu’aux différentes entretoises (60, 61) et génèrent un interstice de 5 millimètres de chaque côté de l’ossature permettant l’intégration de modules lumineux (101, 102, 103, 104) de 4 mm d’épaisseur.

Les plaques d’habillage (41, 42) sont en aluminium lO/IOe, elles ont la même forme que les plaques d’ossature ajourée (11, 12) et sont assemblées sur le recto et le verso de l’ossature présentant la même forme par des vis (76) et des écrous (77). Elles sont légèrement plus grandes que les plaques d’ossature ajourée (11, 12) et prennent ainsi appui sur les bandes d’assemblage intérieures (31) et extérieures (30).

Les modules lumineux (101, 102, 103, 104) sont fins, et sont assemblés sur les faces intérieures des plaque d’habillage (41, 42) face à une pluralité de trous traversants (51) réalisés sur ces dernières. Seule la partie lumineuse des modules lumineux (101, 102, 103, 104) est saillante sur la face extérieure des plaques d’habillage (41, 42) grâce aux trous (51).

Les modules lumineux (101, 102, 103, 104) sont constitués d’une LED (150), d’un circuit imprimé (110, 111) présentant un côté composant (120) et un côté soudure (130), disposant de deux trous traversant (140, 141) permettant d’insérer la LED électroluminescente (150) côté composant (120) et de la souder côté soudure (130). Les trous traversant (140, 141) ont un diamètre 3 fois supérieur à la largeur des pattes (160, 161) de la LED (150), et aboutissent côté soudure (130) sur des pastilles (180) spécifiques qui couvrent au maximum les deux tiers du périmètre des trous traversants (140, 141) empêchant ainsi de les obstruer lors de la soudure des pattes (160, 161) de la LED (150). Cette caractéristique permet le passage d’une résine (170) de faible viscosité appliquée uniquement côté soudure (130) qui enveloppe intégralement les pattes (160, 161) de la LED (150) et recouvre le côté soudure (130) du circuit imprimé (110, 111) où se trouvent les pistes, les soudures et autres éléments oxydables. Ce procédé permet la réalisation de modules lumineux (101, 102, 103, 104) fins car il ne nécessite pas l’application de résine côté composant (120) pour protéger la LED (150).

Selon une variante d’exécution non représentée, les modules lumineux (101, 102, 103, 104) peuvent comporter des LEDs de type CMS (composant monté en surface) dans ce cas la partie lumineuse n’est pas saillante, il n’y a que la lumière produite qui passe par les trous traversant (51).

Afin de permettre la fixation du dispositif lumineux en forme de lunettes pour opticien, en drapeau, c’est-à-dire perpendiculairement à la surface où il est fixé, les deux plats (20, 21) sont soudés à deux pattes de liaison (230, 231), elles-mêmes assemblées par des soudures à un tube support (201). Ce dernier est soudé perpendiculairement à une platine (221) disposant de plusieurs trous permettant la fixation de l’ensemble au support où il doit être posé.

Claims (9)

1. Revendications

   1 - Dispositif lumineux d’une enseigne double face ajourée comportant : une ossature comprenant au moins deux plaques d’ossature ajourée de même forme (10, 11, 12), assemblées entre elles par des vis (71, 72) et des entretoises (60, 61), rigidifiées par au moins un plat métallique (20, 21, 22) cintré, placé en dehors de la périphérie des dites plaques d’ossature ajourée (10, 11, 12), sensiblement centré entre leurs contours intérieurs (81, 83, 85) et extérieurs (80, 84, 86), deux plaques d’habillage (40, 41, 42) ajourées, présentant chacune une face intérieure et une face extérieure, de même forme que les plaques d’ossature ajourée (10, 11, 12) caractérisé en ce que des modules lumineux (100, 101, 102, 103, 104) sont assemblés sur les faces intérieures des plaques d’habillage (40, 41, 42) face à une pluralité de trous traversants (50, 51) réalisés sur ces dernières, les plaques d’habillage (40, 41, 42) ont une dimension supérieure à celle des plaques d’ossature ajourée (10, 11, 12), elles sont fixées à celles-ci, et prennent appui sur des bandes d’assemblage (30, 31).
2. 2 - Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que les bandes d’assemblage (30, 31) sont fixées en périphérie intérieure (81, 83, 85) et extérieure (80, 84, 86) des plaques d’ossature ajourée (10, 11, 12) et génèrent un interstice d’au moins 5 millimètres de chaque côté de l’ossature.
3. 3 - Dispositif selon la revendication 1 à 2 caractérisé en ce que les plaques d’ossature ajourée (10, 11, 12) sont réalisées en une matière rigide de type métallique ou plastique.
4. 4 - Dispositif selon l’une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les modules lumineux (100, 101, 102, 103, 104) ont une faible épaisseur, au moins 3 millimètres, composés d’au moins une LED (150), et d’un circuit imprimé (110, 111) ayant un côté composant (120) et un côté soudure (130) et comprenant des trous traversants (140, 141) de diamètre 3 à 4 fois supérieur à la largeur des pattes (160, 161 ) de la LED (150).
5. 5 - Dispositif selon la revendication 1 à 4, caractérisé en ce que les trous traversants (140, 141) aboutissent côté soudure (130) sur des pastilles (180) qui couvrent au maximum les deux tiers du périmètre des trous traversants (140, 141).
6. 6 - Dispositif selon la revendication 1 à 5 caractérisé en ce qu’une résine de faible viscosité (170) est appliquée uniquement côté soudure (130), recouvrant ce dernier et enveloppant intégralement les pattes (160, 161) de la LED (150) insérée côté composant (120).
7. 7 - Dispositif selon l’une des revendications 1 à 6 caractérisé en ce qu’il comprend au moins un plat métallique (22) cintré assemblé à un tube support (200) via une encoche (210).
8. 8 - Dispositif selon l’une des revendications 1 à 6 caractérisé en ce qu’il comprend au moins un plat métallique (20, 21) cintré assemblé à au moins une patte de liaison (230, 231) elle-même assemblée à un tube support (201) apparent.
9. 9 - Dispositif selon l’une des revendications 1 à 8 caractérisé en ce que le tube support (200, 201) est assemblé perpendiculairement à une platine de fixation (220, 221).