FR3049429A1 - Cloche de forcage - Google Patents

Abstract

La présente invention se rapporte à une cloche de forçage (100) avec un fond (112) et une paroi latérale circonférentielle (111), au moins un orifice d'aération (110) dans la zone de transition du fond (112) avec la paroi latérale (111) et avec un élément de fermeture (102), qui comporte au moins un orifice (120), et qui peut être déplacé par rapport à l'orifice d'aération (110) dans le fond (112) de manière à ce que l'orifice d'aération (110) puisse au moins partiellement être fermé ou ouvert par l'élément de fermeture (102).

Description

Cloche de forçage

La présente invention concerne une cloche de forçage.

Des cloches de forçage sont connues de l’état de l’art antérieur. Celles-ci peuvent être placées au-dessus de plantes, comme par exemple des salades ou des plantes similaires, pour les protéger des influences de l’environnement et des infestations de nuisibles.

Les cloches de forçage connues ont d’habitude une forme d’hémisphère ou de seau qui peut être placé à l’envers au dessus d’une plante ou d’un groupe de plantes. Sur le fond - qui est alors disposé vers le haut - de la cloche de forçage sont disposés au centre un ou plusieurs trous, par lesquels de l’air, mais aussi de l’eau peuvent parvenir à la plante.

Un réglage précis de l’air amené et de la quantité d’eau est cependant difficile, de sorte que les conditions pour la croissance de la plante sous la cloche de forçage ne sont pas toujours Idéales.

En partant de cet état de l’art antérieur, le problème à résoudre consiste à fournir une cloche de forçage qui protège les plantes des influences néfastes de l’environnement et des infestations de nuisibles, et qui permette en même temps une alimentation contrôlée en eau et en air.

Ce problème est résolu par une cloche de forçage selon l’invention, qui présente un fond et une paroi latérale circonférentielle, ainsi qu’au moins un orifice d’aération dans la zone de transition du fond avec la paroi latérale. Par ailleurs, la cloche de forçage comprend un élément de fermeture, qui comporte au moins un orifice, et qui peut être déplacé par rapport à l’orifice d’aération dans le fond, de manière à ce que l’orifice d’aération puisse au moins partiellement être fermé ou ouvert par l’élément de fermeture.

De par la disposition des orifices d’aération dans le fond dans la zone de transition avec la paroi latérale, c’est-à-dire dans la zone radiale extérieure et par conséquent en respectant une distance par rapport au centre du fond, l’échange d’air avec l’environnement n’est plus limité au centre du fond de la cloche de forçage et permet ainsi une meilleure circulation. En même temps, l’ouverture ou la fermeture des orifices d’aération peut être réglée plus précisément par un déplacement de l’élément de fermeture.

Conformément à l’invention, la cloche de forçage peut présenter une forme qui ressemble à celle d’un sceau ou du moins à une forme qui lui ressemble. La forme de la paroi latérale circonférentielle peut alors être soit conique, soit cylindrique. Le fond peut, mais ne doit pas nécessairement, être plat. La zone de transition entre le fond et la paroi latérale doit être entendue comme étant une zone du fond qui suit immédiatement la paroi latérale.

Dans le cas où le fond et la paroi latérale sont assemblés, par exemple, moyennant un bord, alors la zone de transition se situe immédiatement après le bord. La zone de transition peut avoir une largeur de quelques centimètres seulement, et s’étendre en direction du centre du fond en s’éloignant du bord. Si la paroi latérale est de forme cylindrique ou conique et est assemblée avec le fond par un anneau qui sert de bord de raccordement, alors la zone de transition peut être représentée par une surface en forme d’anneau, dont le rayon extérieur correspond au rayon du cercle qui forme le bord de raccordement, et dont le rayon intérieur est plus petit que le rayon extérieur. L’orifice d’aération est alors disposé dans cette zone.

Dans un mode de réalisation, l’orifice d’aération peut être disposé sur un cercle concentrique par rapport au centre du fond, dont le rayon est plus petit que le rayon r de la paroi latérale et plus grand que 0,75 r. Le placement de l’orifice d’aération dans la zone du fond qui suit immédiatement la paroi latérale circonférentielle améliore la circulation de l’air et permet un réglage simplifié du degré d’ouverture de l’orifice d’aération (soit de la partie de la surface totale de l’orifice d’aération qui n’est pas couverte par l’élément de fermeture.)

Dans un autre mode de réalisation, au moins deux orifices d’aération peuvent être disposés dans le fond. La présence de deux ou plusieurs de ces orifices améliore la circulation de l’air sous la cloche de forçage.

Dans une variante de ce mode de réalisation, les orifices d’aération peuvent être disposés à équidistance sur un cercle concentrique par rapport au centre du fond. Ainsi une circulation uniforme ou un échange uniforme d’air avec l’environnement peuvent être garantis.

Dans une variante de ces deux modes de réalisation, l’élément de fermeture peut comporter le même nombre d’orifices que d’orifices d’aération prévus dans le fond. Il peut ainsi être garanti que chacun des orifices d’aération dans le fond peut être ouvert ou fermé moyennant un déplacement correspondant de l’élément de fermeture, en faisant se chevaucher plus ou moins les orifices de l’élément de fermeture avec les orifices d’aération.

Il peut être prévu par ailleurs que l’élément de fermeture ait une forme d’anneau. L’ouverture et la fermeture des orifices d’aération peuvent ainsi par exemple s’effectuer en tournant l’anneau par rapport au fond, ce qui simplifie la manutention de la cloche de forçage.

En outre, il peut être prévu que le fond et/ou la paroi latérale comporte(nt) au moins un évidement d’encliquetage, et que l’élément de fermeture puisse être déplacé le long de l’évidement d’encliquetage. Moyennant cet évidement d’encliquetage, le profil de déplacement de l’élément de fermeture par rapport au fond peut être déterminé de manière exacte, ce qui facilite la manutention de la cloche de forçage.

Dans une variante de ce mode de réalisation, l’élément de fermeture peut comporter un ergot d’encliquetage, qui en interaction avec l’évidement d’encliquetage limite le déplacement de l’élément de fermeture. La manutention de la cloche de forçage peut ainsi être améliorée, dans la mesure où un contrôle plus précis du déplacement de l’élément de fermeture par rapport au fond est rendu possible.

Dans une variante de ce mode de réalisation, il est peut être prévu que l’évidement d’encliquetage et l’ergot d’encliquetage limitent le déplacement de l’élément de fermeture de manière à ce que l’élément de fermeture ne puisse être déplacé par rapport à l’évidement d’encliquetage que sur une distance limitée, qui est supérieure à deux fois la dimension de l’orifice d’aération, mais inférieure à trois fois la dimension de l’orifice d’aération dans la direction de l’évidement d’encliquetage. Le déplacement de l’élément de fermeture peut ainsi être limité sur une zone permettant l’ouverture et la fermeture complète de l’orifice d’aération.

Il peut par ailleurs être prévu que l’élément de fermeture comporte au moins une zone striée, cette zone étant disposée sur la face extérieure de la cloche de forçage. Cette zone striée peut permettre une meilleure prise en main de l’élément de fermeture, ce qui permet d’améliorer davantage sa manutention.

En outre, la cloche de forçage peut comporter des orifices d’irrigation, qui sont disposés à une distance du centre du fond inférieure à celle des orifices d’aération. Moyennant ces orifices d’irrigation, l’eau peut pénétrer à l’intérieur de la cloche de forçage, permettant ainsi de garantir une irrigation des plantes couvertes par la cloche de forçage.

Dans une variante de ce mode de réalisation, les orifices d’irrigation peuvent être disposés dans au moins un évidement du fond, et/ou à l’extérieur de l’élément de fermeture, et/ou être réalisés sous la forme de trous dont le diamètre est inférieur à 1 cm, de préférence inférieur à 0,5 cm. La quantité d’eau qui pénètre à l’intérieur de la cloche de forçage par les orifices d’irrigation et qui atteint ainsi la plante peut être régulée en fonction de l’emplacement et de la dimension des orifices d’irrigation, ce qui peut se répercuter positivement sur la croissance de la plante.

Dans un mode de réalisation, les orifices d’aération peuvent être formés comme des fentes. Des fentes, par exemple sous la forme d’un rectangle ou d’un segment circulaire, permettent une manutention simplifiée, dans la mesure où le degré d’ouvertures des orifices d’aération peut être réglé facilement moyennant un déplacement de l’élément de fermeture.

Dans une variante de ce mode de réalisation, la dimension de la fente dans la direction radiale par rapport au centre du fond peut être plus petite que dans sa direction azimutale. La régulation de l’alimentation en air peut ainsi être améliorée par les orifices d’aération. L’Invention sera décrite plus en détail ci-après à l’aide de modes de réalisation avantageux en combinaison avec les figures d’accompagnement, dans lesquelles : la Figure 1 montre une cloche de forçage selon un mode de réalisation de l’invention avec un élément de fermeture dans une vue en perspective ; et la Figure 2 est une vue en plan du fond de la cloche de forçage selon le mode de réalisation de la Figure 1.

La Figure 1 montre une vue en perspective d’une cloche de forçage 100 selon un mode de réalisation de l’invention. La cloche de forçage 100 comporte un corps principal 101, formé d’un fond 112 et d’une paroi latérale circonférentielle 111. Ceux-ci sont assemblés ensemble et sont de préférence faits du même matériau. Il peut ainsi s’agir par exemple d’une matière plastique comme le PET ou semblables. La forme extérieure de la cloche de forçage peut ressembler à celle d’un sceau ou d’une forme similaire, de sorte que la paroi latérale circonférentielle puisse être de forme cylindrique ou conique et être assemblée avec le fond par un bord de raccordement.

Au moins un orifice d’aération 110 est disposé sur le fond 112 de la cloche de forçage 100, cet orifice d’aération étant disposé dans la zone de transition entre la paroi latérale 111 et le fond 112. Dans le mode de réalisation représenté ici, l’orifice d’aération est disposé à une distance a du centre du fond 112. La distance a est plus petite que le rayon r du fond 112 ou de la paroi latérale 111 dans la zone de transition.

En principe, lorsque la cloche de forçage a la forme d’un corps conique ou cylindrique, l’orifice d’aération peut être disposé dans une zone annulaire ou sur un anneau dont le rayon extérieur correspond au rayon r du fond ou de la paroi latérale 111 dans la zone de transition et dont a est le rayon intérieur. Le rayon a est alors plus petit que le rayon r, mais de préférence au moins égal à 0,75 r.

La cloche de forçage comprend par ailleurs un élément de fermeture 102, qui est représenté sur la Figure 1 séparément du fond et de la paroi latérale. L’élément de fermeture 102 peut être assemblé avec le fond de la cloche de forçage et peut être déplacé par rapport au fond dans l’état assemblé. L’élément de fermeture a la forme d’un anneau ou d’un disque annulaire et comprend également un orifice 120 qui peut être amené à couvrir - plus ou moins - l’orifice d’aération 110 dans le fond de la cloche de forçage 100, lorsque l’élément de fermeture est assemblé avec le fond de la cloche de forçage. En particulier, dans l’état assemblé, l’élément de fermeture 102 peut être déplacé ou tourné de sorte que l’orifice d’aération 110 puisse être au moins partiellement fermé ou ouvert par l’élément de fermeture.

Dans le mode de réalisation représenté ici, l’élément de fermeture peut être tourné par rapport au fond, de sorte que l’orifice d’aération 110 soit fermé entièrement par l’élément de fermeture, et soit ouvert lorsque l’orifice 120 correspond à l’orifice d’aération 100. Des états intermédiaires, à savoir une ouverture ou découverte partielle de l’orifice d’aération, sont également possibles. L’orifice d’aération 110 et l’orifice 120 peuvent alors avoir la même forme, en particulier ils peuvent être identiques en ce qui concerne leur forme et aire (dimension). Il est également concevable que l’orifice 120 soit légèrement plus grand ou plus petit que l’orifice d’aération 110, mais qu’il présente par ailleurs tout de même la même forme.

En outre, l’élément de fermeture peut avoir, en coupe transversale, une forme en U, de manière à ce que l’élément de fermeture entoure une partie surélevée du fond, dans laquelle sont disposés les orifices d’aération.

Tel que représenté à la Figure 1, plusieurs orifices d’aération peuvent être prévus dans le fond de la cloche de forçage. Ceux-ci peuvent être distribués à équidistance dans la zone de transition du fond avec la paroi latérale. En particulier, deux orifices disposés en se faisant face par rapport au centre du fond peuvent être prévus. En alternative, trois orifices d’aération disposés avec un écart respectif de 120° (par rapport au centre des orifices d’aération) peuvent être prévus dans la zone de transition. En outre, quatre orifices d’aération avec un écart respectif de 90° (par rapport au centre des orifices d’aération) peuvent être distribués dans la zone de transition.

De préférence, les orifices d’aération sont séparés le long de la zone de transition par des zones fermées du fond 112 dont la dimension dans la direction de la circonférence correspond au moins à la dimension des orifices d’aérations dans cette direction. Lorsque les orifices de l’élément de fermeture 102 sont aussi grands que les orifices d’aération, il est possible, également en prévoyant plusieurs orifices d’aération dans le fond et autant d’orifices correspondants dans l’élément de fermeture 102, d’obtenir une fermeture ou une ouverture complètes par déplacement de l’élément de fermeture par rapport au fond.

Les modes de réalisation décrits ici avec de un à quatre orifices d’aération et un nombre correspondant d’orifices dans l’élément de fermeture 102 valent à titre d’exemple. Il est possible de prévoir plus que quatre orifices d’aération dans le fond et autant d’orifices correspondants dans l’élément de fermeture.

Afin de régler le déplacement de l’élément de fermeture 102 par rapport au fond de la cloche de forçage, il peut être prévu un ou plusieurs évidements d’encliquetage 113 dans le fond, dans la zone de transition, voire même sur la paroi latérale 111 de la cloche de forçage, qui peuvent être par exemple formés comme des fentes. Ces évidements d’encliquetage peuvent servir de guides pour l’élément de fermeture 102, qui dispose à cette fin d’ergots d’encliquetage 123 correspondants, qui peuvent interagir avec les évidements d’encliquetage 113 lorsque l’élément de fermeture est assemblé avec le fond de la cloche de forçage 100, c’est- à-dire encliqueté et pouvant être tourné.

Ainsi les ergots d’encliquetage et les évidements d’encliquetage peuvent limiter le déplacement de l’élément de fermeture 102, de manière à ce que l’élément de fermeture couvre ou ferme entièrement les orifices d’aération 110 dans le fond 112 de la cloche de forçage, quand l’élément de fermeture est dans une position correspondant aux ergots d’encliquetage positionnés à une extrémité des évidements d’encliquetage. Dans une autre position correspondant aux ergots d’encliquetage positionnés à l’autre extrémité des évidements d’encliquetage, l’élément de fermeture 102 peut être positionné par rapport au fond 112 de manière à ce que les orifices 120 correspondent aux orifices d’aération 110, et les premiers soient alors entièrement ouverts ou ne soient pas couverts pas l’élément de fermeture 102. Un déplacement de l’élément de fermeture entre ces positions amène alors à une couverture/fermeture partielle (ou une ouverture/libération) des orifices d’aération par l’élément de fermeture.

Si l’élément de fermeture présente une coupe transversale en forme U, alors les ergots d’encliquetage 123 peuvent être disposés sur l’une des faces opposées de la coupe transversale en forme de U, et les orifices 120 peuvent être placés sur la troisième face. Dans le cas d’une forme correspondante du fond et de la surface latérale, les évidements d’encliquetage peuvent alors être placés soit sur la surface latérale, soit sur l’une des surfaces opposées du fond faisant face à la surface latérale.

En outre, la Figure 1 montre qu’une ou plusieurs zones striées 124 peuvent être disposées sur la surface de l’élément de fermeture 102 la plus éloignée du fond et de la paroi latérale 111 (de manière générale, les surfaces s’éloignant de la cloche de forçage). Ces zones striées peuvent permettre d’améliorer le touché de l’élément de fermeture, de manière à ce qu’une rotation de l’élément de fermeture par rapport au fond 112 de la cloche de forçage reste toujours possible, par exemple même lorsque l’élément de fermeture est mouillé. À titre additionnel ou alternatif, la zone 124 peut également comporter une surface rugueuse, de manière à ce que, même si elle est mouillée, le coefficient de friction de cette surface soit élevé en comparaison du reste de la surface de l’élément de fermeture et permette une manutention de l’élément de fermeture ou un déplacement de l’élément de fermeture.

Si en principe la forme des orifices d’aération et des orifices correspondants dans l’élément de fermeture 102 est arbitraire, il est préférable que les orifices d’aération (et donc également les orifices dans l’élément de fermeture 102) soient en forme de fentes ou de segments circulaires ou annuiaires et s’étendent le long de la zone de transition. Il est préférable que la dimension des orifices d’aération soit plus grande dans la direction azimutale de la zone de transition que dans la direction radiale, ce qui permet, moyennant un déplacement de l’élément de fermeture par rapport au fond, un réglage plus précis des surfaces découvertes, ou bien fermées ou couvertes des orifices d’aération par l’élément de fermeture.

Dans le mode de réalisation exemplaire présenté, le fond contient plusieurs évidements 114. Ces évidements peuvent être formés en tant que renfoncements qui s’étendent vers l’intérieur de la cloche de forçage (dans la disposition représentée à la Figure 1, en s’éloignant donc de l’élément de fermeture vers l’intérieur de la zone de la cloche de forçage qui est limitée par la paroi latérale). Ces renfoncements peuvent être séparés l’un de l’autre par des cloisons 115, qui peuvent par exemple s’étendre en forme de croix. En fonction du nombre d’évidements, il peut ne pas s’agir d’une croix 115. Ces cloisons 115 ne séparent pas seulement les renfoncements entre eux mais servent également à rigidifier davantage le fond ou l’ensemble de la cloche de forçage.

Les évidements/renfoncements sont de préférence disposés en dehors de la zone du fond qui est recouverte par l’élément de fermeture 102. De préférence, ils sont disposés dans une zone qui s’étend du centre du fond jusqu’à la distance a, de manière à ce que les évidements puissent se situer juste après la zone de transition décrite.

La Figure 2 montre une vue en plan de la cloche de forçage selon la Figure 1. Le corps principal 101 et l’élément de fermeture 102 sont représentés ici dans un agencement assemblés entre eux. En outre, le placement de l’élément de fermeture 102 est représenté de manière à ce que les orifices 120 dans l’élément de fermeture correspondent avec les orifices d’aération 110 dans le fond de la cloche de forçage. De même, les évidements 114 (dans ce mode de réalisation, quatre) dans le fond de la cloche de forçage sont représentés. Les cloisons 115 sont également représentées schématiquement.

Dans la Figure 2, on reconnaît qu’un orifice d’irrigation 241 est disposé dans chacun des évidements/renfoncements à une distance d par rapport au centre du fond. Les orifices d’irrigation 241 sont disposés de préférence à l’endroit le plus profond des renfoncements 114, de manière à permettre à l’eau qui arrive dans les renfoncements de pénétrer à l’intérieur de la cloche de forçage par les orifices d’irrigation 241, sans qu’il reste des résidus d’eau dans les renfoncements.

Pour empêcher que trop d’eau atteigne trop vite la plante sous la cloche de forçage, il peut être prévu que les orifices d’irrigation 241 présentent un diamètre qui soit inférieur à 1 cm, de préférence inférieur à 0,5 cm, de manière encore plus préférentielle inférieure à 0,3 cm, de manière à limiter le débit maximal à travers les orifices d’irrigation.

Il peut être prévu que dans une position de l’élément de fermeture, les orifices d’aération soient entièrement couverts par l’élément de fermeture, les orifices d’aération étant alors également étanches contre toute eau qui viendrait de l’extérieur. Dans un tel cas, de l’eau s’accumule dans les évidements 114 et pénètre par les orifices d’aération dans l’intérieur de la cloche de forçage jusqu’à la plante qui s’y trouve. L’eau en excès s’écoule alors, dans la mesure où les évidements sont remplis d’eau, le long de la surface extérieure de la cloche de forçage, de manière à protéger la plante contre tout excès d’irrigation.

Claims (15)

1. Revendications

   1. Cloche de forçage (100) avec - un fond (112) et une paroi latérale circonférentielle (111), - au moins un orifice d’aération (110) dans la zone de transition du fond (112) avec la paroi latérale (111) et avec - un élément de fermeture (102), qui comporte au moins un orifice (120), et qui peut être déplacé par rapport à l’orifice d’aération (110) dans le fond (112) de manière à ce que l’orifice d’aération (110) puisse au moins partiellement être fermé ou ouvert par l’élément de fermeture (102).
2. 2. Cloche de forçage (100) selon la revendication 1, dans laquelle l’orifice d’aération (110) est disposé sur un cercle concentrique par rapport au centre du fond (112), dont le rayon est plus petit que le rayon r de la paroi latérale circonférentielle (111) et plus grand que 0,75 r.
3. 3. Cloche de forçage (100) selon les revendications 1 ou 2, dans laquelle au moins deux orifices d’aération (110) sont disposés dans le fond (112).
4. 4. Cloche de forçage (100) selon la revendication 3. dans laquelle les orifices d’aération (110) sont disposés à équidistance sur un cercle concentrique par rapport au centre du fond (112).
5. 5. Cloche de forçage (100) selon la revendication 3 ou 4, dans laquelle l’élément de fermeture (102) comporte le même nombre d’orifices (120) que d’orifices d’aération (110) prévus dans le fond (112).
6. 6. Cloche de forçage (100) selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, dans laquelle l’élément de fermeture (102) a la forme d’un disque annulaire.
7. 7. Cloche de forçage (100) selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisée en ce que l’orifice d’aération (110) dans le fond (112) et l’orifice (120) dans l’élément de fermeture (102) ont la même forme.
8. 8. Cloche de forçage (100) selon l’une quelconque des revendications 1 à 7, dans laquelle le fond (112) et/ou la paroi latérale (111) comporte(nt) au moins un évidement d’encliquetage (113), et l’élément de fermeture (102) peut être déplacé le long de l’évidement d’encliquetage (113).
9. 9. Cloche de forçage (100) selon la revendication 8, dans laquelle l’élément de fermeture (102) comporte au moins un ergot d’encliquetage (123), qui en interaction avec l’évidement d’encliquetage (113) limite le déplacement de l’élément de fermeture (102).
10. 10. Cloche de forçage (100) selon la revendication 9, dans laquelle l’évidement d’encliquetage (113) et l’ergot d’encliquetage (123) limitent le déplacement de l’élément de fermeture (102) de manière à ce que l’élément de fermeture (102) ne puisse être déplacé que sur une distance limitée, qui est supérieure à deux fois la dimension de l’orifice aération (110), mais inférieure à trois fois la dimension de l’orifice d’aération (110) dans la direction de l’évidement d’encliquetage (113).
11. 11. Cloche de forçage (100) selon l’une quelconque des revendications 1 à 10, dans laquelle l’élément de fermeture (102) comporte au moins une zone striée (124), la zone (124) étant disposée sur la face extérieure de la cloche de forçage (100).
12. 12. Cloche de forçage (100) selon l’une quelconque des revendications 1 à 11, dans laquelle la cloche de forçage (100) comporte des orifices d’irrigation (241), qui sont disposés à une distance par rapport au centre du fond (112) inférieure à celle des orifices d’aération (110).
13. 13. Cloche de forçage (100) selon la revendication 12, dans laquelle les orifices d’irrigation (241) sont disposés dans au moins un renfoncement (114) du fond (112) et/ou dans laquelle les orifices d’irrigation (241) sont placés en dehors de l’élément de fermeture (102) et/ou dans laquelle les orifices d’irrigation (241) sont réalisés sous la forme de trous dont le diamètre est inférieur à 1 cm, de préférence inférieur à 0,5 cm.
14. 14. Cloche de forçage (100) selon l’une quelconque des revendications 1 à 13, dans laquelle les orifices d’aération (110) sont formés comme des fentes.
15. 15. Cloche de forçage (100) selon la revendication 14, dans laquelle la dimension des fentes (110) dans la direction radiale par rapport au centre du fond (112) est plus petite que dans leur direction azimutale.