FR3048601A1 - Banc d'optique pour la mise en oeuvre de la methode pnv (pedagogie neuro visuelle) - Google Patents

Banc d'optique pour la mise en oeuvre de la methode pnv (pedagogie neuro visuelle) Download PDF

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De Benaze Henri François Guy Duhil
Seters Husson Hélène Van
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Duhil De Benaze Henri Francois Guy
Van Seters Husson Helene
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Duhil De Benaze Henri Francois Guy
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Abstract

L'invention concerne une amélioration du banc d'optique breveté par Marguerite Quertant (brevet 91 03 832) d'un point de vue facilité d'utilisation, poids, espace occupé, prix de fabrication. Le banc est constitué d'un corps (1) et de sa rallonge (2) assimilés à une poutre creuse formant une chambre noire dans laquelle il est possible à l'utilisateur d'installer des tests (T) qu'il observe à travers des filtres (F) installés également à l'intérieur de la poutre. Une butée de nez (BN) sert à positionner les yeux de l'utilisateur. Une lampe (L) permet d'éclairer les tests (T). Un pied (3) permet de fixer le corps (1), équipé ou non de sa rallonge (2), et de régler la hauteur pour l'adapter à chaque utilisateur. Le banc selon l'invention est particulièrement destiné à être utilisé dans la méthode dite de Pédagogie Neuro Visuelle (PNV).

Description

L'invention a pour objet l'amélioration du banc d'optique breveté par Margumte Quertant (brevet 91 03 832) : banc d'optique pour la mise en oeuvre de la méthode neuro pédagogique culture psycho sensorielle par l'étude des troubles visuels et leur normalisation. L'invention sert préférentiellement pour travailler avec la méthode PNV (Pédagogie Neuro Visuelle).
En effet, les appareils brevetés par Matgueiite Quertant présentent des inconvénients : Ils sont utilisés nécessairement dans une pièce obscure, ils sont lourds, ils sont encombrants, ils ont un prix de revient élevé, et par ailleurs il faut un appareil pour le « grand effort », un autre appareil pour 1' « effort moyen », un autre appareil pour le « repos », un autre appareil pour la « haute tension ». L'invention porte sur l'amélioration d'un point de vue facilité d'utilisation, poids, espace occupé, prix de fabrication des appareils non périmétroscopiques décrits dans le brevet de Marguerite Quertant. L'idée de base est de fabriquer un banc optique comportant une chambre noire intégrée. Ceci permet d'utiliser l'appareil dans une pièce éclairée normalement La deuxième idée maîtresse est de réunir les quatre appareils en un seul, ceci réduit considérablement l'espace occupé pour l'appareU. La troisième idée clef est de fabriquer cet appareil préférentiellanent mais non obligatoirement en bois de façon à réduire le poids et le prix de fabrication. La quatriBne idée importante est de fabriquer l'appareil en deux parties séparées et emboîtables de façon à réduire encore la place de stockage et celle nécessaire au transport. La cinquième idée consiste à trouver les adaptations nécessaires pour ce que nous appellerons les accessoires : lampe d'éclairage, barrettes, buttée de nez, test et plaques « porte-test », plaques-filtres et plaques-bouche-trous. Par commodité, ces accessoires seront rangés dans une boîte fabriquée à cet effet.
Dans un premier temps, il était nécessaire de comprendre le principe de fonctionnement des appareils utilisés dans la méthode Quertant d'un point de vue théorique. Cette recherche mathématiques préliminaire est décrite en annexe 1. Une fois établie ces équations, il est devenu possible de réfléchir à une conception complètement nouvelle des appareils qui finalement aboutit à un seul appareil. L'idée de base est donc de construire un banc optique, non comme une poutre portant filtres et tests plongée dans l'obscurité d'une pièce sombre, mais comme une boîte en forme de parallélépipède peinte en noir intérieurement, utilisée comme chambre noire, dans une pièce éclairée normalement. Pour des raisons d'esthétique et de fabrication il a été choisi un parallélépipède de section carrée mais cela n'est pas nécessaire. Une première série de prototypes a consisté à réaliser non pas 4 appareils en un seul, l'idée n'était pas encore venue de le faire, mais 4 appareils distincts comme dans le brevet de Matgueiite Quertant. Ces premiers prototypes ont permis de valider le principe de la chambre noire intégrée et de la construction en bois. L'intérieur de la chambre en bois est peinte en noir mat.
Il a fallu ensuite inventer une nouvelle façon de concevoir et fabriquer les plaques filtres -appelées plus simplement dès maintenant « filtres »-, les plaques porte-test - appelés plus simplement dès maintenant « porte-test »-, et la façon de passer d'un exercice à un autre d'une manière très simple car les solutions utilisées sur les appareils de Maiguerite Quertant n'étaient plus adaptés. À cause des lois mathématiques qui sous-tendent la fabrication des appareils, les filtres ne pouvaient pas être fabriqués en bois. Soit ils étaient solides mais trop épais, soit fins mais trop fragües. Or il faut que le plan des fUtres soit le plus fin possible. Aussi des plaques d'alximinium ont-elles été utilisées. Le calcul mathématique montre que plusieurs diamètres de trous peuvent être utilisées pour le « repos », pour 1' « effort moyen », et pour le « grand effort ». Il a été choisi des diamètres proches de ceux utilisés dans les appareils de Maiguerite Quertant et correspondant à des forets de diamètres courants dans le commerce.
Nota : il est intéressant de noter que d'autres diamètres peuvent être utilisés dans le but, par exemple, d'obtenir la même impression de grandeur des ronds observés quel que soit l'appareil utilisé. Par contre on verra que Tutilisation des rails de guidage du « grand effort » pour la « haute tension » imposera un diamètre précis pour les trous du filtre de la « haute tension » (voir annexe 1). L'invention de Maiguerite Quertant porte beaucoup sur les détails d'une solution technique avec des plaques percées de trous circulaires, réglettes percées de trous oblongs et le trous circulaires, prismes massifs carrés, rotatifs, indexés, languettes coulissantes indexées, et sur des systèmes d'édairage intégrés. Cette solution est une amélioration du diploscope inventé en 1911.
Ce matériel est onéreux et, bien que permettant une utilisation plus facile que par le passé, il reste un peu difficile à fabriquer. Et il reste encore un peu difficile à utiliser pour un néophyte. Or il est important de rappeler ici que l'appareil breveté est beaiKoup plus simple à fabriquer que les appareils de Maiguetiite Quertant, donc beaucoup moins cher. Il devient donc envisageable pour les personnes qui ne sont pas professionnelles de l'acheter de façon à l'utiliser chez elles, dans le cadre par exemple, et préférentiellement, de la méthode PNV. Ces personnes ont besoin d'un appareil très simple d'utilisation.
Donc, pour en revenir à la solution inventée pour les premiers prototypes, il a été choisi de référencer toutes les configurations de tests utiles à la méthode et d'en déduire le nombre minimum et suffisant de tests à fabriquer « prêts à l'emploi ». Idem pour les filtres. La définition géométrique des tests et des filtres est obtenue par calcul d'après les lois mathématiques décrites en annexe 1. Le résultat est donné en annexe 2. Les configurations minimales ont été découpées sur les plaques d'aluminium servant de filtres puis peintes en noir. En faisant coulisser la plaque dans un rail on passe rapidement et facilement d'une configuration filtre à une autre. Certains exercices demandent à boucher des trous dans la plaque filtre. Cette fonction est assurée par l'invention d'une seconde plaque en aluminium, elle aussi peinte en noir et percées de trous, qui coulisse dsiière la première plaque, indépendamment de celle-d, et qui permet de boucher certains trous de la première plaque, celle des filtres. C'est pourquoi la seconde plaque a été appelée la plaque bouche-trous -appelée plus simplement dès maintenant « bouche-trous »-.
Les tests, quand à eux, on été dessinés ou imprimés sur des feuilles que l'on a collées sur les porte-test en bois. Les tests on été dessinés d'après les lois mathématiques qui ordonnent le fonctionnement de l'appareil. Dans l'absolu il faudrait dessiner chaque test en fonction de l'écartement des yeux de chaque utilisateur. Dans la solution choisie, on a choisi de dessiner les tests pour un écartement moyen des yeux d'une population moyenne elle aussi (annexe 3).
Lorsqu'on inscrit sur les tests (T) des taches de couleurs suffisamment élargies et des lettres suffisamment petites, on obtient une observation parfaite pour la plupart des observateurs. Sauf certaines zones sur certains tests très sensibles dans leur observation à l'écartement des yeux : par exemple 1' « effort moyen » en couleurs.
Au début, les rails étaient taillées dans du bois, car devant permettre le passage de plaques en bois . Mais comme cela a déjà été dit, les plaques filtre en aluminium donnent un meilleur résultat optique, car ils sont plus fins que les plaques en bois. Pour ralentir l'usure de la plaque d'aluminium sur le rail, le rail a finalement été fabriqué en aluminium, lui aussi, à partir d'un profilé en forme de U cornant dans le commerce. Afin d'éviter l'usure constatée lors des essais de la peinture noire dûe au frottement du filtre contre le cache-trous, il a fallu définir un espace, petit mais nécessaire, entre ces deux plaques. La solution technique qui a été choisie est la fabiication d'un rail double. Ce rail double est fabriqué avec un profilé en forme de U dans lequel on colle un profilé en forme de L. On obtient le profilé en forme de L en découpant en son milieu le profilé en forme de U.
Pour homogénéiser la construction et l'utilisation des filtres et des porte-tests, les porte-tests ont été conçus pour se positionner de la même manière que les filtres, sur les mêmes raüs. Une différence cependant car pour eux les rails sont simples, et non pas doubles comme pour les filtres.
Le premier prototype faisait glisser les filtres à l'horizontale et les tests à la verticale. L'idée était de bloquer automatiquement le test à la bonne position lorsqu'il arrivait en butée de fin de course. Mais cela a été abandonné pour deux raisons : Il était difficile de changer les tests avec le pied inventé par la suite pour soutenir l'appareil et permettre le réglage de sa hauteur en fonction de la taille de l'utilisateur. Et finalement, en chargeant le test à l'horizontale, comme le filtre et le bouche-trous, le geste est le même donc plus facile à intégrer. Il permet un éventuel réglage du positionnement du porte-tests et un chargement par la droite pour les droitiers et par la gauche pour les gauchers.
Mais ce premier prototype présentait encore des inconvénients : Les quatre appareils étaient distincts et cela prenait de la place. De plus, la chambre noire était tellement noire et fermée qu'elle pouvait indisposer des personnes claustrophobes. La respiration dans la chambre noire pouvait embuer les lunettes. Et le positionnanent des yeux sur l'axe optique n'était pas assez précis car il se faisait par appui du front sur la partie haute de l'appareil. De plus il était inconfortable. Il fallait donc incorporer, comme dans l'appareil de Marguerite Quertant, une butée de nez servant à fixer la position des yeirx sur l'axe optique. Celui de Marguerite Quertant présente deux inconvénients : Il est assez incommode pour ceux qui portent des lunettes, et il ne tient pas compte de la dissymétrie des yeux par rapport à l'axe du nez.
Il a donc été inventé une autre butée de nez qui permet le positionnement des yeux par rapport à l'axe optique de l'appareU. Elle est accrochée au plafond de l'appareil et descend jusqu'à la racine du nez dans l'angle mort de la vision vers le haut Elle fixe ainsi la hauteur des yeux sur l'axe vertical. Elle n'est pas fabriquée comme une fourchette tenant les deirx ailes du nez au niveau des yeux, comme celui défini par Marguerite Quertant, mais comme tme petite règle horizontale le long de laquelle le nez peut coulisser. Cela permet une correction automatique de la dissymétrie des yeux par rapport à l'axe du nez en fixant la position des yeux dans le plan horizontal de manière parfaitement symétrique par rapport à l'axe optique de l'appareU. Les tests sont donc observés de façon plus juste par les utilisateurs possédant une forte dissymétrie entre œU droit et œü gaucte. En effet, pour que l'appareU fonctionne correctement, U faut positiormer l'œU droit et l'œU gauche de façon symétrique par rapport au plan vertical médian de l'appareU. Un effet inattendu et bénéfique apparaît : La butée de nez ainsi inventée est plus c^réable à utiliser.
Un deuxième prototype a servi à tester la possibilité de réunir les appareils en un seirl. Cela s'est fait en deux étapes. La première étape réunissait en un seul appareU le « repos », le « grand effort », et 1' « effort moyen ». La deuxième étape utilisaient les rails du grand effort pour la « haute tension », ce qui a priori ne paraissait pas forcément possible. Une recherche mathématiques a permis de montrer que cela est possible sous certaines conditions. Le choix du diamètre du fUtre de la « haute tension » et le positionnement des trous du filtre de la « haute tension » doivent être choisis en fonction du diamètre et du positionnement des trous du filtre du « grand effort » (annexe 1).
Le problème de l'encombrement et du transport a imposé d'inventer une solution de rallonge. Il a été choisi de fixer sur le corps de l'appareil, qui dès maintenant s'appeUera simplement le corps, toutes les fonctions de l'appareil (sauf une) : particulièrement le porte-filtre et le porte-tests du « grand effort », le porte-filtre et le porte-tests de 1' « effort moyen », le porte-filtre du « repos ». Plus tard la « haute tension » utilisera les stmctures du « grand effort ». Il fallait fixer sur la ralloi^e uniquement le porte-tests du « repos ». (Les barrettes servant à supprimer certains axes optiques sont elles aussi introduites sur le corps. La lampe servant à éclairer les tests est fixée sur le corps sauf pour l'éclairage des tests au « Repos ». Pour l'éclairage des tests au « Repos » la lampe est fixée sur la rallonge)
Cela présente un avantage immédiat : Le corps et la rallonge ont à peu près la même longueur, soit un peu plus de la moitié de la longueur totale formée par le corps et la rallonge assemblés. Cela est plus facile à ranger, plus facile à transporter.
La chambre noire du corps est ajourée de façon à éclairer les tests mais aussi pour éviter les impressions d'enfermement pouvant gêner les personnes claustrophobes. Cela pennet aussi une aération qui évite que la respiration fasse de la buée sur les lunettes. Cela présente l'avantage secondaire de diminuer le poids total.
La chambre noire n'étant plus nécessaire après le filtre du « repos », U était possible de concevoir la rallonge comme une forme parallélépipédique réduite à ses arrêtes, mais non carrée pour économiser du poids, de la matière et de la place. L'avantage principal est une réduction importante du poids. Peu lourde, elle est facile à manier, moins onéreuse à expédier. Elle a aussi l'avantage de ne pas envoyer le centre de gravité de l'ensemble [corps+raUoi^e] loin du pied qui supportera l'ensemble dès un Sème prototype.
Plusieurs solutions de connexion rapide de la rallonge sur le coips ont été trouvées. C'est un point qui était difficile à résoudre car il fallait que le geste de montage et de démontage soit très facile pour un néophyte. Il fallait également que le centrage se fasse de façon automatique, précis, et stable. Plusieurs solutions ont été essayées, plus ou moins satisfaisantes, et finalement celle qui s'est imposée est celle décrite dans ce brevet.
Pour assurer la rigidité de la rallonge, des plaques de bois relient les arrêtes entre elles et assurent le contreventement de la structure. Les deux plaques parallèles qui servent à fixer la rallonge sur le corps servent aussi à éviter le voilement de la structure autour de son axe. Ainsi on est sûr que la plaque porte-test est positionnée confomément aux exigences géométriques théoriques. Finalement on obtient un prototype intégrant les 4 appareils en un seul.
Le problème des banettes s'est posé dès le premier prototype. En effet, il était impossible de réutiliser le système de Marguerite Quertant car la main qui doit les manipuler ne rentre pas dans la chambre noire. Une nouvelle recherche mathématique a permis de calculer la position et la taille théoriques des barrettes (annexe 1). Cette recherche a également peraiis de découvrir que les deux barrettes utilisées sur les appareils de Marguerite Quertant à 1 '« effort moyen » et à la « haute tension » sont inutiles et de surcroît mal placées : une seule barrette suffit. Le calcul montre aussi que pour l'appareil breveté la barrette du « grand effort » peut être utilisée sans aucune modification et dans le même emplacement pour la « haute tension ». Il suffit donc de fabriquer 3 barrettes : une pour le « repos », une pour 1' « effort moyen », une pour le « grand effort » et la « haute tension ». Celles du « repos » et de 1' « effort moyen » pourait d'ailleurs être la même.
Dans un premier temps, les barrettes étaient de simples languettes en aluminium. Chacune était enfilée par le haut dans un trou oblong découpé sur mesure dans le plafond du corps. Elle traversait la chambre noire et s'emboîtait en bas dans un trou oblong découpé sur mesure dans le plancher du corps et obturé en sortie pour éviter la chute de la barette. La bonne position verticale était ainsi imposée à la barette.
Le problème était de viser juste car le trou oblong du bas était difficile à atteindre du premier coup. Un guidage a alors été imaginé mais c'était trop compliqué. Finalement, en rajoutant deux petites ailes en haut de la languette, à la perpendiculaire, une de chaque côté de ceUe-ci, et en raccourcissant la longueur de la languette de façon qu’elle ne touche plus du tout le plancher de la chambre noire qu'elle traverse, on obtenait la forme définitive de la barrette. La position verticale s'obtenait automatiquement du fait des forces de gravité exercées sur la barette. Il a suffit ensuite de peindre en noir la barette comme les filtres et le reste de la chambre noire.
Mais il restait encore des solutions à inventer : L'éclairage des tests et un pied permettant le réglage en hauteur. L'éclairage est réalisé avec une petite ampoule diode pour éviter la surchauffe du bois. EUe se trouve facilement dans le commerce. Elle peut donc être changée facilement et à bon marché en cas de casse. Un variateur peut servir d'interrupteur et permettre de régler la luminosité suivant la sensibilité de l'utilisateur. Fixer l'ampoule était difficile. Accrocher une ampoule au plafond, qui était la solution adoptée en premier essai, est d'une part moins commode d'un point de vue équilibrée de l'appareil - en plus le fil peut gêner - d'autre part moins discret. Il a fallu inventer un système qui permet de fixer la lampe facilement dans le plancher de l'appareil. Ce système est décrit en détail lus loia
Le pied, enfin, devait pennettre non seulement la fixation de l'appareil posé sur une table, mais aussi le réglage en hauteur pour s'adapter à toutes les tailles d'utilisateurs. Avec la triple contrainte habituelle d'une utilisation très simple, fiable aussi, à un coût moindre.
Un premier essai a consisté à fabriquer une tour de forme parallélépipédique dans laquelle coulissait un plateau horizontal servant de table. La solution était assez satisfaisante avec le corps seul. Mais elle n'était pas satisfaisante lorsqu'on rajoutait la rallonge car l'appareil était déséquilibré vers l'avant et piquait du nez jusqu'à tomber.
En second essai il a été rajouté un plateau supérieur, coulissant lui aussi, qui permettrait de prendre en sandwich le corps, spécialement quand il était équipé de la rallonge. Mais cela était i difficile à régler et de plus, cette fois-ci, c'est l'ensemble [corps+rallonge+pied] qui piquait du nez vers l'avant. L'embase du pied a donc été rallongée du double de sa longueur initiale vers l'avant de façon à éviter le basculement.
Le maniement des plateaux était encore un peu compliqué. Alors les deux plateaux coulissants dans le pied ont été éliminés. Deux plaques latérales en bois ont été ajoutées au corps, une de chaque côté. Ces plaques coulissent dans le pied emmenant avec elles le corps. Le nombre d'écrous de fixation, servant aussi d'axes pour le coulissage dans les fentes usinées de chaque côté du pied, est alors passé de 8 à 4. C'était plus simple et plus facile à manier. Cela restait insatisfaisant car les boulons frottaient le long des fentes qui servaient à les guider. Et le frottement a encore beaucoup augmenté lorsque l'appareil en bois a été peint : la peinture du pied avait tendance à adhérer sur la peinture des plaques qui coulissent. Et les boulons frottaient de façon désagréable sur les fentes en bois. De plus, au cours de rutilisation, les écrous allaient finir par usiner les fentes en bois dans lesquelles ils coulissaient. Le jeu serait allé en s'amplifiant jusqu'à être trop important et à entraver le bon fonctionnement.
Des essais avec des coulisses de tiroir ont été décevants car trop difficiles à monter et posant des problèmes apparamment insolubles de blocage à la hauteur de chaque utilisateur.
La fabrication d'un axe lisse en bois a alors été envisagé avec un excentrique en bout pour bloquer et débloquer le déplacement dans le pied. Or cette solution existe toute faite, et bon marché, chez les marchands de vélos. Il s'agit du système de blocage rapide des tubes de selles. Cet article a l'avantage également d'être construit en fonte d'aluminium esthétique et léger (l'axe est métallique). Pour régler la fluidité du déplacement, et pour annuler l'usure du métal sur le bois, il a été ajouté un profilé aluminium en forme de L coUé sur chaque bord des fentes de façon à fabriquer une piste lisse. Le résultat était encore pire. En effet si l'excentrique est en fonte d'aluminium, l'axe lui est en acier. Il a tendance, en frottant contre eux, à usiner les profilés d'aluminium qui servent de piste lisse.
La solution qui a été trouvée consiste à enfiler sur chaque axe en acier un petit roulement qui permet de supprimer les fiottements. Mais les fentes de guidée, usinées initialement verticales sur chaque flanc du pied, étaient soit trop fines avec un jeu insuffisant - voir négatif, et le roulement ne logeait plus dedans ou frottait trop -, soit trop laige avec un jeu trop important et le [corps+rallonge] piquait du nez et n'était plus horizontal. La solution qui a été trouvée est d'usiner une piste de guidage avec une épaisseur de fente de guidage franchement plus grande que le roulement - introduisant ainsi un jeu important entre la fente de guidage et le roulement - et oblique de façon à rattraper le jeu créé qui provoque le basculement du [corps+rallonge]. L'angle donné à la contre-pente des deux fentes de guidage par rapport à la verticale est exactement le même que celui pris par le [corps + rallonge] par rapport à l'hoiizontale du fait du jeu important entre les roulements et les flans de la fente de guidage servant de piste de roulement. Ainsi le guidage est fiuide et le [corps+raUonge] reste horizontal.
Enfin, pour mémoire, les premiers prototypes on été fabriqués à l'aide de 4 carrelets en bois, matérialisant les 4 arrêtes de l'appareil, sur lesquels étaient fixés les plaques en bois qui les reliaient entre eux. Cela faisait beaucoup de pièces à fabriquer et elles étaient difficile à réaliser et à assembler. Une solution techniquement plus simple est depuis utilisée pour réaliser le corps et la rallonge. Elle consiste à fabriquer 4 panneaux assemblés à la perpendiculaire deux à deux. Pour la fixation des panneaux perpendiculaires deux à deux on peut utiliser un carrelet qui renforce l'angle. Sinon il faut utiliser un panneau un peu plus épais et prendre appui sur la tranche du panneau. Cette dernière solution demande une découpe de panneaux très propre avec un champ parfaitement perpendiculaire à la face.
Pour des raisons de stabilité, le pied est fabriqué préférentiellement avec des planches plus épaisses. Elles sont plus rigides et en conséquence le guidage est meilleur.
Enfin les accessoires, c'est-à-dire le jeu de filtres, le jeu de bouche-trous, le jeu de tests sur leurs porte-tests, la lampe, les trois barrettes, le manuel d'utilisation, sont rangés dans une caisse fabriquée sur mesure. Pour des raisons esthétiques, cette caisse est fabriquée avec les mêmes matériaux et pour des raisons de facilité de rangement et de transport avec des dimensions comparables à celles du corps, de la rallonge, et du pied. Cette caisse de rangement a été conçue de façon à répondre à 6 contraintes qui sont : la facilité de rangement et d'utilisation, la stabilité, le faible coût, l'esthétique cohérente, la solidité, le poids. Le plan n'est pas présenté dans ce brevet car ne présentant aucune nouveauté technique.
Voici maintenant présentés les calculs et formules mathématiques qui sous-tendent la fabrication de l'appareil breveté. (FIG.l) : cas où les images coïncident sur le test
Rappel des abréviations données pour désigner les différentes parties de l'appareil: F : Filtre PT : Porte-Test T : Test od : œil droit og : œil gauche —^ : axe de symétrie
Rappel de la formule mathématique fondamentale du dioloscopeavec : 2y : écartement entre les 2 yeux 1 : demi-écartement intérieur des 2 trous les plus rapprochés de l'axe de symétrie verticale du filtre L ; demi-écartement extérieur des 2 trous les plus rapprochés de l’axe de s)miétrie verticale du filtre : diamàre d'un trou du filtre (tous les trous ont le même diamètre) (f : diamètre du rond image vu par un œil sur le test à travers un trou du filtre D : distance de travail des yeux (D=d+d') d : distance [yeux-filtre] d': distance [filtre-test]
soit encore :
avec : distance entre les 2 trous les plus rapprochés de l'axe de symétrie verticale du filtre
Cas particulier de l'appareü breveté :
D'où:
Cela signifie que pour une distance de travail donnée D, les deux s«des variables influaites pour la position du test et du filtre (et donc pour la fabrication de l'appareil breveté) sont: 2y : écartement entre les deux yeux (entre les cmtres des yeux) mesurable chez un spécialiste des yeux ^ : diamètre des trous du filtre choisi pour fabriquer le filtre (f une fois mesuré l’écartement des yeux 2y et fixé le diamètre des trous du filtre on obtient par calcul les deux distances d et d'qui po-mettent la fabrication de l'appareil breveté.
Quand
(FIG.2) à travers les deux trous du filtre (F) chaque œil voit deux ronds sur le test (T). Mais, au centre, le rond observé par l'oeil droit (od) et celui observé par l'oeil gauche (og) se confondent. Ce rond est appelé point d'appui car l'observateur peut s'appuyer sur ce point, en focalisant sur lui avec les deux yeux, pour observer le test.
Quand
(FIG.3) il n'y a plus de point d'appui. L'utilisateur doit voir quatre ronds distincts. Deux sont vus par l'oeil droit (od) et deux par l'oeil gauche (og).
En combinant ces deux cas de figures sur trois lignes horizontales différentes on obtient toutes les configmations utilisées dans la méthodes PNV au « Rq>os » (que l'on appelera aussi « 120 cm » ou plus simplement « 120 »), à 1' « Effort Moyen » (que Ton appellera aussi « 60 cm » ou plus simplement « 60 ») et au « Grand Effort » (que l'on appellera aussi « 30cm » ou plus simplement « 30 »),
La (FIG.4) représente toutes ces configurations possibles NB ; La forme des trous pratiquées dans les filtres (F) peut être à priori quelconque. Initialement elle est obtenue en perçant le filtre (F) avec un foret de diamètre <f , Ainsi s'impose la forme ronde. Dans un filtre en carton, par exemple, on peut fabriquer facilement des formes carrées par découpage avec une lame. Mais l'expérience montre que la forme carrée est moins agréable à l'utilisation que la forme ronde. De suraoît, la forme la plus neutre directionnellement, c'est à dire celle qui donne le moins d'informations à traiter au cerveau quant à la répartition de la forme du trou suivant l'axe vertical et l'axe horizontal (ou suivant tout autre rqière directionnel) est le rond.
Cas particulier de la « Haute-Tension » (appelée aussi « 30cm Haute-Taision » ou plus simplement « 30-HT ») : voir la (FIG.5) Φ est le diamètre des trous du filtre « Haute-Tension »
HT
Le filtre « Haute-Tension » est composé d'une colonne de 3 trous répétée quatre fois.
Entre la première et la seconde colonne, comme entre la troisième et la quatrième colonne, il existe une distance
Entre la seconde et la troisième colonne il existe une distance + tt où est le diamètre du trou du filtre « Grand Effort » C'est seulement à ces conditions que les rails de guidages utilisés pour le « Grand effort » peuvent être utilisées également pour la « Haute-Tension ». En effet la condition à réaliser est : d' [Haute-Tension]=d'[Grand Effort] soit :
mais d'où d’où or
La (FIG.6) représente sur un même schémas tous les filtres utilisés et les observations de tests qui en résultent
Voici maintaiant présenté les calculs permettant de fabriqua' les barrettes.
Calcul de la barrette au « Repos ». à 1' « Effort Moven ». au « Grand Effort » : (FIG.7)a(FIG.8) la béirrette sat à bloqua les axes optiques extrêmes. Dans les deux cas de figures:
: sur le test, seul le rond du milieu est observé. Il est observé par les deux yeux de la même manière.
: sur le test, soils les daix ronds les plus au centre sont observés. Le rond de gauche sur le test est observé par l'oeil droit. Le rond de droite sur le test est observé par l’oeil gauche.
Il s'agit de trouver la largeur B de la barrette et sa distance A en amont du filtre (F).
Calcul de A:
Calcul de B :
La barrette (B) ne doit pas être trop large sinon elle gêne les rayons optiques qui définissent le (ou les deux) rond obsavé au centre du test.
La condition limite est : Bm» = 2 B. On choisit B = 3/2 Bm„.
On vérifie ensuite par le dessin que la barrette fonctionne pour les 2y extrêmes.
Donc :
Calcul de la barrette pour b Haute-Tension ; (FIG.9) et (FIG. 10)
Calcul de A : en posant une variable intermédiaire : et en se souvenant que pour la Haute-Tension : alors la variable intermédiaire X s'écrit : on revient alors au calcul de la barrette pour le « Repos », 1' « Effort Moyen » et le « Grand Effort » soit :
Calcul de B : (FIG.lla) et (FIG.llb)
Application numérique pour « 30 » : y = 31 mm ; cf =7 mm ; d = 23,226 cm A = 5,876 cm et Bconsimcaon = 7,84 mm Bmax = 10,45 mm
Application numérique pour « 30 Haute tension » : y = 31 mm ; = 6 mm ; d = 23,226 cm A = 5,876 cm et Bconstrucuon = 9,71 mm ( >7,84 mm mais <10,45 mm )
On constate donc au'il est possible dans la pratique d'utiliser la même barrette pour le «30 » et pour le «30 Haute-Tension»
Autres données utilisées pour les calculs nécessaires à la fabrication de l'appareil breveté : a/ La distance D est la distance entre le foyer de l'oeil et le test observé. Le diamètre moyen d'un œil est de 2,4 cm ± 0,2 cul Aussi, dans la pratique, si l'appareil est en butée sur le haut de l'arrête du nez (racine du nez), il est admis que la distance de fabrication Dfabticaüon de l'appareil entre le test et la butée de nez vaut D&amp;biication = D - 2,4 cm b/ Pour fabriquer un appareil à peu près universel (utilisateur ayant 8ans et plus) il est admis que la valeur de l'écartement entre les deux yeux, 2y, est comprise le lus souvent entre 56 mm et 70 mm (Les valeurs extrêmes étant 52 mm et 75 mm). Il existe souvent une dissymétrie entre les deux yeux par rapport au plan médian pouvant atteindre plusieurs mm. Cette différence est automatiquement corrigée sur l'appareU breveté par translation du nez le tong de l'arrête de la butée de nez (BN). Enfin, l'écartement des yeux diminue en moyenne de 1,5 mm quand la focalisation des yeux passe du « 120 » au « 60 », et encore d'environ 1,5 mm quand elle passe du « 60 » au « 30 ». Pour l’appareil breveté, les valeurs d'écartement des yeux choisies sont : 2y = 65 mm pour la focalisation des yeux sur le « 120 » (« Repos ») 2y = 63 mm pour la focalisation des yeux sur le « 60 » (« Effort Moyen ») 2y = 62 mm pour la focalisation des yeux sur le « 30 » (« Grand Effort » et « Haute-Tension ») d De façon graphique on obtient la définition des tests. En effet, pour chaque distance (30, 60,120) et pour 2y fixé comme indiqué en b/, le calcul inçose une géométrie très précise à chaque test (Théorème de Thalès). Cette géométrie est dessinée sur un papier. Ensuite, le calcul est fait pour les 2y extrêmes (en choisissant la même valeur pour d et d'puisque filtres et portes-tests ne sont pas bougés lorsqu’on change d'utilisateur). Les deux dessins correspondants sont surinçosés sur la figure. On choisit alors d'inscrire lettres et symboles dans l'intersection commune aux trois cercles dessinés et centrés sur le cercle du milieu. De la même manière, on définit les limites entre les couleurs.
Les dessins ci-joints sont donnés à titre d'exemple indicatif et non limitatif. Ils représentent un mode de réalisation préféré selon l'invention. Ils permettent de comprendre les éléments de l'invention.
La (FIG.12) est une vue schématique du banc d'optique mettant en évidence les éléments essentiels constituant le dit banc optique, soit : le coips (1), la rallonge (2), le pied (3).
La (FIG.13) montre une vue en perspective du mode de fabrication du corps (1).
La (FIG.14) montre une vue de profil du plafond du corps (PdC).
La (FIG.15) montre une vue de dessus du plafond du corps (PdC).
La (FIG.16) montre une vue de profil d'un paimeau latéral du corps (PLC).
La (FIG.17) montre une vue de côté d'un paimeau latéral du corps (PLC).
La (FIG.18) montre une vue de profil du plancher du corps (PrC).
La (FIG.19) montre une vue de dessus du plancher du corps (PrC).
La (FIG.20) montre une vue en perspective de la rallor^e (2).
La (FIG.21) montre une vue de côté de la rallonge (2).
La (FIG.22) montre une vue de dessus de la rallor^e (2).
La (FIG.23) montre une vue de face de la première pièce du système de fixation (Gl) de la rallonge (2) sur le corps (1).
La (FIG.24) montre une vue de face de la deuxième pièce du système de fixation (G2) de de la rallonge (2) sur le corps (1).
La (FIG.25) montre une vue en perspective du pied (3).
La (FIG.26) montre une vue de face du système de coulisse du corps (1) dans le pied (3). La (FIG.27) montre en coupe le système de coulisse et de blocage du corps (1) dans le pied (3).
La (FIG.28) montre la butée de nez (BN) et un système possible de fixation sur le plafond (PdC) du corps (1).
La (FIG.29) montre en perspeaive le système de coulisse d'un porte-test (PT) dans son rail de guidage.
La (FIG.30) montre en perspective un test (T).
La (FIG.31) montre en perspective un porte-test (PT).
La (FIG.32) montre en vue de face un filtre (F).
La (FIG .33) montre en vue de face un bouche-trous (BT).
La (FIG.34) montre en vue de face un exen^le de supeiposition d'un filtre (F) et d'un bouche-trou (BT).
La (FIG.35) montre en we de face un autre exen^le de superposition d'un filtre (F) et d'un bouche-trou (BT).
La (FIG.36) montre en perspective la façon dont un test (T) et un bouche-trous (BT) coulissent dans le raü double.
La (FIG.37) montre en vue de coupe un porte-test (PT) dans son raiL
La (FIG.38) montre en vue de dessus un porte-test (PT) dans son raE
La (FIG.39) montre en vue de coupe un filtre (F) et un bouche-trous (BT) dans leur rail double.
La (FIG.40) montre en vue de dessus un filtre (F) et un bouche-trous (BT) dans leiur rail double.
La (FIG.41) montre en perspeaive le système des barrettes (B).
La (FIG.42) montre en vue de coupe une barrette (B) en position dans le corps (1).
La (FIG.43) montre en vue de côté l'antpoule qui est monté sur le corps de la lampe (L) .
La (FIG.44) montre en coupe le corps de la lampe (L).
La (FIG.45) montre en vue de dessus le corps de la lanpe (L).
La (FIG.46) montre en vue de coupe l'ampoule en position dans le corps de la lanpe (L).
La (FIG.47) montre en vue de dessus l'empreinte des trous (LLl) (LL2) (LL3) dans le plancher (PrC) du corps (1), l'enpreinte du trou (LL4) dans le plancher (PrR) de la rallonge (2) et l'empreinte (LL5) dans la rallonge de lampe (RL) pouvant se fixer sin la rallonge (2). La (FIG.48) montre en vue éclatée l'anpoule et les pièces du corps de la lampe (L).
La (FIG.49) montre en vue de perspective comment la lanφe (L) est mise en place dans les planchers (PrC) ou (PrR) ou (RL).
La (FIG.50) montre en vue de dessus le plancher (PrR) de la rallonge (2) avec l’en^lacement (LL) pour la lampe (L),
La (FIG.51) montre en vue de côté la rallonge (2) avec la rallonge de la lan^e (RL) permettant de fixer la lampe (L) derrière le test (T) du "repos".
La (FIG.52) montre une vue de dessus de la rallonge de Ιβηφβ (RL).
Le banc d’optique représenté sur la (FIG.12) et suivante est constitué principalement d'im corps (1) d'une rallonge (2) et d’un pied (3). Il s’agit d’un banc d’optique théorique mettant en évidence les différents éléments permettant de reproduire l'appareU.
Pour simplifier : les barrettes sont rq>résentées par la lettre (B) les plaques fUtre, nommés plus simplement filtres, par la lettre (F)
Les plaques de bouche-trous, nommés plus simplement bouche-trous, par les lettres (BT)
Les plaques porte-tests, appelée aussi plus siπφlement porte-tests, par les lettres (PT)
Les tests par la lettre (T)
La lampe par la lettre (L)
La butée de nez par les lettres (BN)
La planche 12/23 présaite l'aspect global du banc d’optique breveté. Le banc d’optique est constitué d’un corps (1) ajouré et équipé de rails de façon à parmettre la coulisse des porte-tests (PT) et des filtres (F). L’intérieur du corps est sombre (couleur noire de préférence) de façon à créer une chambre noire suffisamment sombre pour permettre l’utilisation de l'appareil breveté dans une pièce éclairée normalement à faiblement ( volets femés si possible).
La planche 13/23 détaiUe le corps (1). Le corps (1) est formé d’un panneau supériair appelé plafond du corps (PdC), d’un panneau inférieur appelé plancha- du corps (PrC), et de deux panneaux lata-aux S5onétriques appelés (PLC). Une butée de nez (BN) est fixée au bout du plafond I du corps (PdC), du côté de l’utilisateur. Elle pa-met d’imposa: la distance entre les yeux et le test observé conformément aux calculs théoriques qui régulent le fonctionnement de l’appareil (démonstrations mathématiques). L’appui de la butée de nez (BN) sur le nez se fait suivant une arête (Ar). Elle permet, en faisant coulissa- la racine du nez le long de l’arête (Ar) jusqu’à obtenir l’image correct^ de rattrapa la diss3nnétrie entre oeil droit et œil gauche par rapport au plan médian vertical de l’appareU (cette diss5miétrie peut mesura plusieurs mm). Cette airête de butée de nez (Ar) se situe très légèrement au-dessous du plan médian horizontal de l’appareU ( de l’ordre du mm) de façon à compensa le jeu entre le haut des porte-tests (PT) a leur raU supérieur (8) (11) (12), a le haut des filtres (F) a leur raU supérieur (7) (9) (10). Ce jeu (de l’ordre du mm) pamet une coulisse fluide des plaques porte-tests (PT), des filtres (F) a des bouche-trous (BT) dans leur I rail de guidage (7) (8) (9) (10) (11) (12) (13) (14) (15) (16) (17) (18).
Le corps (1) est pacé sur son plancha (PrC) de lumières (LLl) (LL2) (LL3) pamettant la fixation de la lampe (L). Les panneaux latéraux (PLC) sont ajourés de façon à pamettre le passage des p(Hte-test (PT) et des filtres (F) et de façon à éclairer les tests (T) avec la lumià'e naturelle de la pièce pendant la phase d'installation des porte-tests (PT) des filtres (F) et des bouche-trous (BT). Deux joues (J) sont fixées de façon symétrique sur les façades latérales du corps de façon à permettre le guidage du corps (1) dans le pied (3). Le plafond du corps (PdC) est percé de trois lumières (4) ( 5) (6) permettant le passage des barrettes (Bl) (B2) (B3).
Sur le plafond du corps (PdC) sont fixées les rails (7) (8) (9) (10) (11) . Sur le plancher du corps (PrC) sont fixés de façon symétrique les rails (13) (14) (15) (16) (17). Ces rails permettent la coulisse des différents porte-tests (PT) et des différents filtres (F) ainsi que des différents bouche-trous (BT). Le « repos » utilise les rails (12) et (18) fixés sur la rallonge (2) dans lesquels coulissent les porte-test (PT) du « r^os » sur lesquels sont fixés les tests (T) du « repos », et utilise les rails (10) et (16) fixés sur le corps (1) dans lesquels coulissent le filtres (F) et les bouche-trous (BT) du « rqpos ». L' « effmrt moyen » utilise les rails (11) et (17) fixœ sur le cwps (1) dans lesquels coulissent les porte-teste (PT) de 1' « effort moyen » sur lesquels sont fixés les tests (T) de 1' « effort moyen », et utilise les rails (9) et (15) fixés sur le corps (1) dans lesquels coulissent le filtres (F) et les bouche-trous (BT) de 1' « effort moyen ». Le « grand effort » utilise les rails (8) et (14) fixés sur le corps (1) dans lesquels coulissent les porte-tests (PT) du « grand effort » sur lesquels sont fixœ les tests (T) du « grand effort », et utilise les rîuls (7) et (13) fixés sur le corps (1) dans lesquels coulissent le filtres (F) et les bouche-trous (BT) du « grand effort ». La « haute tension » utilise les rails (8) et (14) du « grand effort » fixés sur le corps (1) dans lesquels coulissent les porte-tests (PT) de la « haute tension » sur lesquels sont fixés les tests (T) de la « haute tension », et utilise les rails (7) et (13) du « grand effort » fixés sur le corps (1) dans lesquels coulissent le filtres (F) et les bouche-trous (BT) de la « haute tension ».
La planche 14/23 décrit une rallonge (2), démontable ou non, qui peut être solidarisée au corps (1), permettant de fixer le portetest (PT) du « repos ». Si la rallonge n'est pas démontable, cela revient à fabriquer un corps unique qui permet les mêmes fonctions que celles décrites ici avec un système composé d'un corps (1) auquel est rajouté une rallonge (2). Cette rallonge démontable (2) et formée, à l'instar du corps (1), d'un panneau supérieur appelé plafond de rallonge (PdR), d'un panneau inférieur appelé plancher de rallonge (PrR), et de deux panneaux latéraux symétriques (PLR). La rallonge (2) est équipée d'un rail supérieur (12) et d'un rail inférieur (18) pa-mettant le passage d'un porte-tests (PT) « repos » suivant un système analogue à celui de la figure (FIG. 18) et de la figure (FIG. 19) ainsi que de la figure (FIG.29)
Le raccord de la rallonge (2) sur le corps (1) est possible grâce à deux plaques en forme de L (Gl) (G2). Les arrêtes (arl) de la plaque (Gl) et (ar2) de la plaque (G2) permettent le positionnement latéal de la rallonge (2) sur le corps (1). Les arrêtes (ar3) de la plaque (Gl) et (ar4) de la plaque (G2) permettent le positionnement horizontal de la rallonge (2) sur le corps (1). La goige (19) réalisée dans le plancha: (PrC) du corps (1) permet d'empêcher la rotation de la rallonge autoiu* d'un axe vertical et permet également de fixer la rallonge (2) à sa boime position sur le corps (1), c'est-à-dire quand le test (T) du « repos » se situe à la bonne distance des yeux de l'utilisateur (environ 120 cm sachant que la distance exacte est obtenue par calcul suivant les calculs théoriques fournis précédemment). La position des yeux est elle-mrâne fixée lorsque la racine du nez est en butée sur l'arrête (Ar) de la butée de nez (BN) fixée sur l'autre extrémité de l’ensemble [corps (1) + ralloi^e (2)].
La planche 15/23 permet de comprendre un exemple de réalisation possible du pied (3). Le pied (3) est composé d'un panneau latéral de pied gauche (PLPg) dans lequel est réalisé une fente de guidage (30) et d'un panneau latéral de pied droit (PLPd) dans lequel est réalisé une faite de guidage (31) symétrique de la fente de guidage (30), d'un plancher de pied (PrP) et d'un plafond de pied (PdP). Les joues (J) fixées sur les panneaux latéraux (PLC) du ccxps (1) sont porcées de façon à introduire les axes numéros (24) (25) (26) (27). Ces axes (24) (25) (26) (27) sont équipés d'un roulement (23) coulissant dans les fentes de guidage (30) a (31) des panneaux latéraux du pied (PLPd) et (PLPg). L'excentrique (28) pivotant autour de l'axe (29) et l'écrou (22) servent à bloquer ou débloquer le mouvement de l'axe (25) ou (24) ou (26) ou (27) équipé chacim du roulement (23) dans la fente de guidage (31) ou (30), a donc le mouvement du craps (1) dans le pied (3).
La planche 16/23 explique comment la butée de nez (BN) est fixée au plafond (PdC) du corps (1) par exemple par deux vis (31) a (32). Ces vis (31) et (32) permettent le démontage de la butée de nez (BN) pendant le transport (ce qui annule les risques de casse de la butée de nez (BN) pendant le transport)
La planche 17/23 détaille un mode de réalisation possible des pcxte-tests (PT) et des tests (T). Les porte-tests (PT) sont des plaques sur les quelles sont collés les tests (T), imprimés par exemple sur des feuilles de papia. Des lignes de mire peuvent être dessinées sur chaque test (T) et sur son porte-test (PT) pour permettre un collage précis a aisé. Ces pmte-tests (PT) coulissait dans les raUs de guidage (8) (11) (14) (17) fixées sur le corps (1) a dans les rails de guidage (12) (18) fixés sur la rallonge (2). De façon plus précise les porte-tests (PT) portant les tests (T) du «grand effort » a de la « haute tension » coulissent dans les rails (8) et (14) fixés sur le corps (1), les porte-tests (PT) de 1' « effort moyen » coulissent dans les rails (11) a (17) fixés sur le corps (1), les porte-tests (PT) du « rq)os » coulissent dans les rails (12) a (18) de la rallonge (2).
La planche 18/23 perma le faire comprendre le principe de fabrication des filtres (F). A titre d'exemple sur la figure (FIG.32), la configuration (35) a la configuration (36) permettent d'obtenir la mise en place des tests du début de la méthode PNL au « rq)os » et au « grand effort ». La figure (FIG.33) est un exemple qui pamet de faire comprendre le principe de fabrication des bouche-trous (BT). Les configurations (37) et (38) pamettent d'obtenir la mise en place des tests de fin de la méthode PNL au « repos » et au « grand effort ».
La planche 19/23, à titre d'exemple, pamet de comprendre le résultat obtenu lorsque le bouche-trous (BT) coulisse darière la plaque filtre (F).
La planche 20/23 pa'uiet de comprendre comment un porte-test (PT) coulisse dans ses rails (8) et (14) pour le « rq)os » et la « haute tension », ou (11) et (17) pour «Γ « effort moyen » ou (12) et (18) pour le « repos », et comment un filtre (F) et son bouche-trous (BT) coulissent dans leur rail double (7) et (13) pour «le « grand effort » et la « haute tension », (9) et (15) pour Γ « effort moyen », (10) et (16) pour le « repos ».
La planche 21/23 montre comment les barrettes (Bl) (B2) (B3) se positionnent dans le plafond (PdC) du corps (1).
La planche 22/23 montre une façon de réaliser la lampe (L). L'ampoule est introduite dans un corps de lampe composé lui-même de la superposition de trois cylindres (39) (40) (41) percés en leur centre pour permettre le passage de l'ampoule et sa fixation par collage. Le symbole (L) représente la lampe, c'est à dire l'ampoule, mais aussi, par extension, l'ampoule montée dans son corps de lampe. La figure (FIG.47) montre la forme du trou, appelée « lumière de lampe » (LL), pratiqué dans le plancher (PrC) du corps (1) pour les trous (LLl) (LL2) (LL3), dans le plancher (PrR) de la rallonge (2) pour le trou (LL4) et dans la rallonge de lampe (RL) pour le trou (LL5). Chaque lumière de lampe (LL) est réalisée suivant le tracé suivant : un premier cercle de diamètre légèrement plus grand que celui du cylindre (39) supérieur de la lampe (L) relié à un deuxième cercle de diamètre légèrement supérieur à celui du cylindre intermédiaire (41) de la lampe (L) par les deux tangentes au plus petit cercle parallèles au déplacement de la lampe (L) dans la lumià'e de lampe (LL).Ces trous (LLl) (LL2) (LL3) (LL4) (LL5) pa'mettent l'introductimi du corps de la lampe dans la partie partiellement circulaire la plus lai^e puis la mise en position par translation dans la partie partiellement circulaire la plus petite comme indiqué sur laf^ure (FIG.49). La lampe (L) en position finale est placée entre les deux paimeaux latéraux (PLC) ou (PLR) dans le plan médian. Pour cela, la partie partiellement circulaire des lumières de lampe (LL) la plus petite (position finale de la ϋηφε en salace) est placée sur l'axe médian des planchers (PrC) ou (PrR).
La planche 23/23 représente, d'une part, une solution possible pour l'éclairage par l'avant du test « repos ». Il s'agit d'un système comparable à celui décrit figures (FIG.49) et fabriqué dans le plancha- (PrR) de la ralloi^e (2). Elle rq>résente, d'autre part, une solution possible pour réalisa-l'éclairage par l'airière du test « rqpos ». Le S3^ème de fixation de la lampe (L) est toujours le même mais fabriqué dans une planchette amovible, ou non, appelée ralloi^e de lampe (RL). Cette rallonge de lampe (RL) dans l'exemple décrit est simplement encastrée si besoin dans l'extrémité du plancher (PrR) de la rallonge (2).

Claims (7)

  1. REVENDICATIONS 1) Banc d'optique pour l'étude des troubles visuels et leur normalisation pour la mise en œuvre de la méthode dite de Pédagie Neuro-Visuelle (PNV) caractérisé en ce qu’il comprend un corps (1) protor^ée d'une rallonge (2) équipés réciproquement des rails (7 à 11 et 13 à 17) et (12 et 18) permettant de faire coulisser des porte-tests (PT) portant eux-mêmes des tests (T), des filtres (F) et des bouche-trous (BT), une butée de nez (BN) étant fixée à l'extrémité du corps (1) pour positionner correctement les yeux par rapport aux tests (T) observés, et le corps (1) formant une structure auto-porteuse assimilée à une poutre creuse peinte intérieurement de couleur sombre ou noire réalisant ainsi une chambre noire incorporée au corps (1) dans laquelle ü est possible à un utilisateur d'installer les tests (T) afin de les observer.
  2. 2) Banc d'optique selon la revendication 1 caractérisé par le fait qu’une laπφe (L) est fixée de façon amovible dans des lumières (LL) pratiquées pour la recevoir dans le corps (1), dans la rallonge (2) ou sur une rallonge de lampe (RL) fixée sur l'extrémité de la rallonge (2).
  3. 3) Banc d'optique selon la revendication 2 caractérisé en ce que la lampe ( L) est construite comme étant la succession suivant un axe commun de 3 cylindres (39,40,41), celui du milieu (41) étant plus petit que les deux autres (39,40), cette lampe (L) étant percée suivant son axe de part en part de façon à réaliser la chambre qui accueille l'ampoule et chaque lumière de lanpe (LL) étant réalisée suivant le tracé suivant : un premier cercle de diamètre légèrement plus grand que celui du cylindre supérieur (39) de la lampe (L) relié à un deuxième cercle de diamètre légèrement supérieur à celui du cylindre intermédiaire (41) de la lampe (L) par les deux tangentes au plus petit cercle parallèles au déplacement de la lanpe (L) dans la lumière de lampe (LL).
  4. 4) Banc d'optique selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu’il comprend un pied (3) permettant la fixation et le réglage en hauteur du corps (1), le pied (3) utilisant un système de guidage par fente oblique (30) et (31) servant de piste de roulement à des roulements (23) montés sur des axes (24,25 ou 26,27) liés au corps (1).
  5. 5) Banc d'optique selon la revendication 4 caractérisé par le fait qu'il comprend un système de blocage et déblocage du déplacement du coips (1) dans le pied (3) obtenu par un système d'excentrique (28) pivotant autour d'un axe (29) d'un côté des axes (24) (25) ou (26) (27) ou (24) (25) (26) (27) et d'un écrou (22) de l'autre côté des axes équipés de l'excentrique.
  6. 6) Banc d'optique selon l’une quelconque des revendications précédentes caractérisé par le fait que la rallonge (2) est positionnée sur le corps (1) grâce à un guidage single formé de deux plaques (Gl) et (G2) fixées à la rallonge (2) et dont les airêtes intérieures horizontales et verticales épousent les surfaces extérieurs horizontales et verticales du corps (1) et une rainure (19) usinée dans le coips (1).
  7. 7) Banc d'optique selon la revendication 1 caractérisé par le fait que la butée de nez (BN) présente une arrête (Ar) sur laquelle peut glisser le nez
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