CA3220844A1 - Dispositif pour la prehension, la tenue en main et le maniement d'appareils de saisie-visualisation - Google Patents
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Abstract
L'invention concerne un dispositif (1), à tiges non colinéaires, permettant de prendre d'une seule main, que ce soit la gauche ou la droite, qu'elle soit grande ou petite, un appareil de saisie-visualisation à un ou deux volets. Il est constitué, pour sa partie visible lorsqu'il est en position (verticale) d'utilisation, de deux tiges obliques (4) fixées au dos (2) et autour du plan sagittal (26) du boîtier (3) dans le cas d'un appareil à un seul volet, de manière à permettre de glisser les doigts sous ces tiges obliques (4) et de serrer les doigts de part et d'autre de la base du dispositif (1), ce qui a pour effet de solidariser la main et le boîtier (3) et donc de le tenir et de le manier sans effort. Le dispositif selon l'invention est particulièrement destiné à l'utilisation des tablettes, livres électroniques et ordinateurs portables.
Description
Description Titre de l'invention : Dispositif pour la préhension, la tenue en main et le maniement d'appareils de saisie-visualisation [0001] La présente invention concerne un dispositif facilitant la préhension, la tenue en main et le maniement de petits objets manufacturés, particulièrement ceux se présentant sous forme de boîtiers et utilisés pour la visualisation et/ou la saisie d'information.
[0002] Le maniement de ces boîtiers est, traditionnellement, amélioré par l'adjonction d'un dispositif fixé au dos de ces boîtiers pour en permettre la prise (particuliè-rement lorsqu'ils ne tiennent pas dans le creux de la main, qui ne peut donc pas les entourer de doigts les agrippant par leurs deux tranches verticales, autre-ment dit par les faces étroites du boîtier lorsqu'il est suffisamment petit, comme celui d'un téléphone portable). Ainsi boîtier et main sont-ils solidarisés, celle-ci se trouvant emprisonnée, d'un côté par le dos dudit boîtier sur lequel la paume est plaquée et, de l'autre, par la partie haute (cf infra) du dispositif venant, elle-même, s'appliquer sur le dos de la main. Ces dispositifs ont, généralement, leur partie visible (comprenant une partie haute et une partie basse ) en forme, plus ou moins approximative, de T (dont une variante présente l'as-pect d'un champignon, la partie haute étant alors la barre horizontale du T dans un cas et, le chapeau , dans l'autre et, la partie basse , la barre verticale du T et le pied du champignon, respectivement), en forme de U
inversé (un portique donc, parfois accompagné d'une potence , un L
inversé lui aussi, le portique servant pour les doigts proprement dits et, la potence, pour le pouce), ou encore en forme de o (un anneau dans lequel on passe le doigt)... Lorsque la partie visible du dispositif se présente sous la forme d'un T ou d'un L inversé, la partie haute du dispositif est un segment sup-posé avoir l'horizontalité de la barre du T (horizontalité censée être aussi celle du dos du boîtier dans tout le texte qui suit, sauf indication contraire, expli-cite ou implicite), la partie basse du dispositif étant alors un segment vertical puisqu'il se trouve implanté perpendiculairement au dos (supposé horizontal, cf supra) du boîtier. Cette partie basse, verticale donc, est prévue pour que la main vienne l'entourer dans l'un de ses espaces interdigitaux ; elle peut alors consti-tuer un axe autour duquel risque de se produire une malencontreuse rotation du boîtier. Dans certaines façons de saisir le dispositif la partie haute, horizontale, peut constituer, elle-même, un axe de rotation, non moins dommageable à un bon maintien du boîtier.
inversé (un portique donc, parfois accompagné d'une potence , un L
inversé lui aussi, le portique servant pour les doigts proprement dits et, la potence, pour le pouce), ou encore en forme de o (un anneau dans lequel on passe le doigt)... Lorsque la partie visible du dispositif se présente sous la forme d'un T ou d'un L inversé, la partie haute du dispositif est un segment sup-posé avoir l'horizontalité de la barre du T (horizontalité censée être aussi celle du dos du boîtier dans tout le texte qui suit, sauf indication contraire, expli-cite ou implicite), la partie basse du dispositif étant alors un segment vertical puisqu'il se trouve implanté perpendiculairement au dos (supposé horizontal, cf supra) du boîtier. Cette partie basse, verticale donc, est prévue pour que la main vienne l'entourer dans l'un de ses espaces interdigitaux ; elle peut alors consti-tuer un axe autour duquel risque de se produire une malencontreuse rotation du boîtier. Dans certaines façons de saisir le dispositif la partie haute, horizontale, peut constituer, elle-même, un axe de rotation, non moins dommageable à un bon maintien du boîtier.
[0003] Il y a aussi manque de maîtrise pour d'autres raisons et pour d'autres types de dispositifs, tout d'abord parce qu'ils ne sont pas à la taille précise des doigts de celui qui manie le boîtier, d'où un jeu entraînant une prise flottante. C'est évident pour le dispositif en anneau, à moins d'avoir un anneau à la mesure de tous les doigts possibles... et qu'il faudrait changer chaque fois que le doigt sollicité est trop fatigué. Pour le dispositif à portique et potence, il y a, outre la hauteur non adaptable à la dimension des doigts, la distance entre l'anneau et la potence qui ne correspond qu'à une seule taille (largeur) de main. Une solution a été
celle où
le dispositif a unc formc reprenant étroitement celle du T , un T cn trois dimensions bien évidemment, les barres de la lettre se trouvant remplacées par des cylindres. La partie verticale du dispositif est alors composée de tronçons, en nombres et longueurs variables, servant à en moduler la longueur pour l'ajus-ter au diamètre des doigts. Mais cette longueur ne peut être adaptée que grossiè-rement (typiquement : par des pas de deux millimètres), les tronçons à
utiliser étant déterminés et montés pour constituer, à la longueur voulue, la partie verti-cale du dispositif, montage qui n'est guère opéré qu'une et une seule fois, lors de la première utilisation du dispositif, les tronçons étant choisis pour mettre cette partie verticale à la taille des doigts du premier et supposé unique, ou peu s'en faut, utilisateur de l'appareil. Mais, et c'est une autre raison d'une mauvaise maîtrise du boîtier, les diamètres des doigts de la main sont tous différents et le réglage qui convient à la dimension de l'un ne convient pas à celle du doigt voi-sin. Et ce qui est adapté à l'un des espaces interdigitaux (et aux deux doigts con-cernés) est, nécessairement, inadapté aux autres (et aux deux doigts impliqués ces autres fois). Le problème est encore plus compliqué puisque les diamètres des doigts sont différents entre la main droite et la main gauche, la progression du diamètre des doigts se faisant, au surplus, en sens inverse en changeant la main mobilisée pour le maniement du boîtier. Changer la main manipulant le boîtier est, en effet, une facilitation bienvenue mais, avant même cela, il y a la nécessité de changer l'espace interdigital dans lequel s'insère la partie verticale du dispositif, et encore l'obligation de ne pas tenir la main trop longtemps dans la même position, doigts tendus, constamment plaquée contre le dos du boîtier...
Ainsi est-on contraint par la prise en compte des réalités physiologiques obli-geant à lutter contre la fatigue, l'ankylose, la transpiration... de la main.
celle où
le dispositif a unc formc reprenant étroitement celle du T , un T cn trois dimensions bien évidemment, les barres de la lettre se trouvant remplacées par des cylindres. La partie verticale du dispositif est alors composée de tronçons, en nombres et longueurs variables, servant à en moduler la longueur pour l'ajus-ter au diamètre des doigts. Mais cette longueur ne peut être adaptée que grossiè-rement (typiquement : par des pas de deux millimètres), les tronçons à
utiliser étant déterminés et montés pour constituer, à la longueur voulue, la partie verti-cale du dispositif, montage qui n'est guère opéré qu'une et une seule fois, lors de la première utilisation du dispositif, les tronçons étant choisis pour mettre cette partie verticale à la taille des doigts du premier et supposé unique, ou peu s'en faut, utilisateur de l'appareil. Mais, et c'est une autre raison d'une mauvaise maîtrise du boîtier, les diamètres des doigts de la main sont tous différents et le réglage qui convient à la dimension de l'un ne convient pas à celle du doigt voi-sin. Et ce qui est adapté à l'un des espaces interdigitaux (et aux deux doigts con-cernés) est, nécessairement, inadapté aux autres (et aux deux doigts impliqués ces autres fois). Le problème est encore plus compliqué puisque les diamètres des doigts sont différents entre la main droite et la main gauche, la progression du diamètre des doigts se faisant, au surplus, en sens inverse en changeant la main mobilisée pour le maniement du boîtier. Changer la main manipulant le boîtier est, en effet, une facilitation bienvenue mais, avant même cela, il y a la nécessité de changer l'espace interdigital dans lequel s'insère la partie verticale du dispositif, et encore l'obligation de ne pas tenir la main trop longtemps dans la même position, doigts tendus, constamment plaquée contre le dos du boîtier...
Ainsi est-on contraint par la prise en compte des réalités physiologiques obli-geant à lutter contre la fatigue, l'ankylose, la transpiration... de la main.
[0004] La fatigue est encore celle, toute particulière, inhérente au maniement de grands boîtiers ou d'appareils à deux volets, allant avec le poids ce qui exigerait l'ins-tallation de deux dispositifs à proximité l'un de l'autre, mais installation inenvi-sageable pour la raison de fixité de la dimension supportée des doigts qui vient d'être dite, ainsi que celle de leur écartement, variant avec la dimension des mains.
[0005] D'autre part, lorsque le dispositif doit être replié, grâce à un mécanisme adéquat, dans un logement aménagé au dos du boîtier (c ' est la partie non visible du dis-positif), ce logement doit être suffisamment grand pour convenir à toutes les di-mensions du dispositif, sa largeur restant certes fixe (définie par la dimension de la partie haute horizontale du dispositif (la barre horizontale du T . ) mais sa longueur variant pour convenir à toutes les longueurs possibles de la partie basse verticale, modulée par le nombre de tronçons prévus et leur combinaison sup-portée (en effet, mobiliser, pour la même configuration de la partie verticale, la totalité dcs tronçons fournis par 1c fabricant, pcut ne pas avoir dc scns). Cc qui implique un logement de dimension maximale restant, au surplus, largement vide (il est occupé par le dispositif dans sa longueur définie par le montage pré-ludant à la première utilisation (cf. supra), le reste du logement demeurant vide jusqu'à un éventuel autre réglage qui viendrait en occuper une autre partie).
Cet excès d'encombrement se double donc d'une présence d'aspérités, celle des arêtes de la partie du logement restant inoccupée après que la partie visible du dispositif y a été repliée.
Cet excès d'encombrement se double donc d'une présence d'aspérités, celle des arêtes de la partie du logement restant inoccupée après que la partie visible du dispositif y a été repliée.
[0006] Le dispositif selon l'invention permet de remédier à ces inconvénients (ainsi tels qu'ils apparaissent dans le dispositif en forme de r de la demande Nu FR1904609 / Numéro de publication FR3095359). Il comporte, en effet, selon une première caractéristique, une partie visible, contenue dans un plan vertical à
celui du dos du boîtier de saisie-visualisation sur lequel il est installé, se présen-tant sous la forme d'un V majuscule en trois dimensions. Les deux tiges obliques de la lettre sont donc deux cylindres. Ils sont arrondis à l'une de leurs extrémités et se rejoignent par l'autre, en bas de la lettre, cette partie visible du dispositif étant prolongée par une partie invisible, enfouie à l'intérieur du boîtier.
Cette obliquité des tiges du dispositif permet d'ajuster, par le fait même d'obli-quité, ses dimensions à celles du diamètre des doigts de la main manipulant le boîtier. En effet, les doigts trouvent la place convenant à leur diamètre en s'écar-tant ou en se rapprochant de l'axe de symétrie du dispositif, tout en se maintenant au contact des tiges obliques. Puisque les doigts se trouvent toujours en contact avec les tiges obliques qui les surplombent et les contraignent, eux mais aussi toute la main dont ils sont solidaires, à appuyer sur le dos du boîtier, celui-ci s'en trouve stabilisé, translation et rotation inopportunes empêchées. Confortable pour cette adaptation à toutes les dimensions de main, la gauche comme la droite, le dispositif autorise aussi la prise selon des modalités variées (ainsi par celle d'une main dont la paume est repliée partiellement ( en dôme , cf. infra, ce qui permet l'évaporation de la transpiration et, là encore, assure une prise stabilisée) ou totalement (le dispositif est alors enserré dans le poing fermé, cf.
infra). Il évite la rotation accidentelle du boîtier, par la mobilisation de trois doigts pour sa prise et aussi parce que sa partie haute est constituée de deux tiges obliques ne pouvant constituer un axe de rotation (comme dans le cas d'un dispositif dont la partie visible est celle d'un T ). Il n'entraîne pas d'encombrement inutile, emplissant en totalité le volume de son logement de rangement et laissant, par conséquent, le dos du boîtier exempt d'aspérités.
celui du dos du boîtier de saisie-visualisation sur lequel il est installé, se présen-tant sous la forme d'un V majuscule en trois dimensions. Les deux tiges obliques de la lettre sont donc deux cylindres. Ils sont arrondis à l'une de leurs extrémités et se rejoignent par l'autre, en bas de la lettre, cette partie visible du dispositif étant prolongée par une partie invisible, enfouie à l'intérieur du boîtier.
Cette obliquité des tiges du dispositif permet d'ajuster, par le fait même d'obli-quité, ses dimensions à celles du diamètre des doigts de la main manipulant le boîtier. En effet, les doigts trouvent la place convenant à leur diamètre en s'écar-tant ou en se rapprochant de l'axe de symétrie du dispositif, tout en se maintenant au contact des tiges obliques. Puisque les doigts se trouvent toujours en contact avec les tiges obliques qui les surplombent et les contraignent, eux mais aussi toute la main dont ils sont solidaires, à appuyer sur le dos du boîtier, celui-ci s'en trouve stabilisé, translation et rotation inopportunes empêchées. Confortable pour cette adaptation à toutes les dimensions de main, la gauche comme la droite, le dispositif autorise aussi la prise selon des modalités variées (ainsi par celle d'une main dont la paume est repliée partiellement ( en dôme , cf. infra, ce qui permet l'évaporation de la transpiration et, là encore, assure une prise stabilisée) ou totalement (le dispositif est alors enserré dans le poing fermé, cf.
infra). Il évite la rotation accidentelle du boîtier, par la mobilisation de trois doigts pour sa prise et aussi parce que sa partie haute est constituée de deux tiges obliques ne pouvant constituer un axe de rotation (comme dans le cas d'un dispositif dont la partie visible est celle d'un T ). Il n'entraîne pas d'encombrement inutile, emplissant en totalité le volume de son logement de rangement et laissant, par conséquent, le dos du boîtier exempt d'aspérités.
[0007] Un objet de la présente invention concerne un dispositif pour la préhension, la tenue en main et le maniement d'appareils de saisie-visualisation caractérisé
en ce qu'il se compose, pour sa partie visible lorsqu'il est dans sa position verticale d'utilisation, de deux tiges non colinéaires, deux tiges obliques cylindriques fixées à la verticale sur le dos du boîtier, présentant l'aspect de la lettre V , tiges obliques sous lesquelles les doigts sc glissent dc sorte à cc que la main se trouve prise en sandwich, le dos contre le bas des tiges obliques et, la paume, contre le dos du boîtier, ce qui a pour effet de solidariser la main avec le boîtier, la prise se trouvant renforcée par le mouvement naturel portant les doigts à
se serrer les uns contre les autres et donc à se serrer aussi sur la base du dispositif où se rejoignent les deux tiges obliques, ce qui a pour résultat de maintenir le boîtier solidaire de la main, le dispositif étant libéré et, avec lui, le boîtier, dès qu'un effort est exercé pour écarter les doigts enserrant la base du dispositif.
en ce qu'il se compose, pour sa partie visible lorsqu'il est dans sa position verticale d'utilisation, de deux tiges non colinéaires, deux tiges obliques cylindriques fixées à la verticale sur le dos du boîtier, présentant l'aspect de la lettre V , tiges obliques sous lesquelles les doigts sc glissent dc sorte à cc que la main se trouve prise en sandwich, le dos contre le bas des tiges obliques et, la paume, contre le dos du boîtier, ce qui a pour effet de solidariser la main avec le boîtier, la prise se trouvant renforcée par le mouvement naturel portant les doigts à
se serrer les uns contre les autres et donc à se serrer aussi sur la base du dispositif où se rejoignent les deux tiges obliques, ce qui a pour résultat de maintenir le boîtier solidaire de la main, le dispositif étant libéré et, avec lui, le boîtier, dès qu'un effort est exercé pour écarter les doigts enserrant la base du dispositif.
[0008] Selon des modes particuliers de réalisation :
- les tiges du dispositif installé au dos de boîtiers d'appareils de saisie-visua-lisation, non colinéaires et donnant l'image symétrique de la lettre V , peuvent être suffisamment longues et/ou inclinées pour être adaptées à toutes les tailles de doigts, les doigts trouvant la place leur convenant en s'éloignant de l'axe de symétrie du dispositif au fur et à mesure que s'accroît leur dia-mètre.
- la jonction des deux tiges obliques, en bas de l'axe de symétrie du V , peut se prolonger par une tige verticale, donnant alors au dispositif l'aspect d'un Y .
- les deux tiges obliques peuvent former un papillon destiné à être tourné
au-tour de l'axe de symétrie du dispositif pour assurer une meilleure prise du boîtier.
- le bas du dispositif peut se prolonger en une partie invisible lorsque ledit dispositif est dans sa position verticale d'utilisation, partie invisible compor-tant, perpendiculaire à l'axe de symétrie du dispositif, un axe de rotation au-tour duquel il peut tourner pour quitter sa position verticale d'utilisation, pour celle de rangement, à plat et à l'horizontale, dissimulé par escamotage dans un logement aménagé au dos du boîtier, la forme de ce logement pou-vant être celle d'un Y .
- deux languettes horizontales et deux languettes verticales sont respectivement découpées sur des parois latérales du logement opposées l'une à l'autre, les deux languettes horizontales étant disposées en vis-à-vis l'une de l'autre et les deux languettes verticales étant disposées en vis-à-vis l'une de l'autre, les languettes horizontales étant configurées pour être en saillie et en contact avec la partie invisible lorsque le dispositif est dans sa position verticale d'utilisation de manière à stabiliser le dispositif dans la position verticale d'utilisation, les languettes verticales étant configurées pour être en saillie et en contact avec la partie visible lorsque le dispositif est dans sa position horizontale d'escamotage et de rangement de manière à
stabiliser le dispositif dans la position horizontale d'escamotage et de rangement, les languettes horizontales et les languettes verticales étant en outre configurées pour permettre une rotation du dispositif de la position verticale d'utilisation à la position horizontale d'escamotage et de rangement, et inversement, lorsqu'une force permettant de vaincre la stabilisation exercée par les languettes est appliquée sur ledit dispositif.
- les parois latérales du logement d'escamotage peuvent être, à l'endroit où
elles encadrent la partie invisible du dispositif, munies de languettes hori-zontales, de préférence rectangulaires, découpées sur trois de leurs côtés afin de pouvoir rentrer dans ces parois lorsque la partie invisible du dispositif les y pousse pour accéder à sa position verticale d'utilisation, avant d'en ressor-tir, dès que cette position verticale est atteinte, et alors de stabiliser le dispo-sitif dans cette position verticale jusqu'à ce qu'une force suffisante soit ap-pliquée au dispositif pour l'amener à sa position d'escamotage et de range-ment, mouvement de rotation qui fait de nouveau rentrer les languettes hori-zontales dans la paroi du logement afin de permettre le passage du dispositif pour l'accès à la position horizontale d'escamotage et de rangement, position qui, pour être atteinte, fait rentrer des languettes verticales, dc préférence rectangulaires, découpées, sur trois de leurs côtés, de part et d'autre des pa-rois latérales de la partie du logement contenant la tige verticale ou décou-pées, sur trois de leurs côtés, de part et d'autre des parois latérales de la partie du logement contenant les tiges obliques, languettes verticales qui ressortent des parois latérales du logement sitôt la position horizontale atteinte par le dispositif, qu'elles bloquent alors dans cette position escamotée de range-ment jusqu'à ce qu'une force soit appliquée pour l'en sortir afin de le faire accéder à la position verticale d'utilisation.
- la partie invisible présente la forme d'un cylindre avec un axe de révolution correspondant à un axe de symétrie du dispositif, la partie invisible comportant un demi-cylindre avant et un demi-cylindre arrière, le bas du demi-cylindre avant étant rogné pour prendre l'aspect d'un quart de sphère encadré par deux surfaces de butée formées par deux premiers triangles rectangles isocèles à hypoténuse curviligne mobiles, le bas du demi-cylindre arrière étant rogné de manière à présenter une surface de contact toujours tangente à l'intérieur de la face arrière du logement lors de la rotation du dispositif, le logement comprenant en outre une partie formée par deux seconds triangles rectangles isocèles à hypoténuse curviligne fixes de butée, destinés à entrer en contact avec les deux surfaces de butée (33) antagonistes, lorsque le dispositif, en rotation, arrive à sa position verticale d'utilisation, empêchant le dispositif d'effectuer une rotation le menant au-delà de sa position verticale d'utilisation.
- Le bas de la partie invisible du dispositif peut être, par défaut (par retrait de matière), arrondi pour présenter un quart de sphère pour sa partie avant et, pour sa partie arrière, bombé pour présenter un triangle bi-curviligne gauche sur surface de cylindre horizontal, de façon à être toujours en contact, lors de sa rotation le menant de la position escamotée horizontale à celle, verticale, d'utilisation et inversement, toujours en contact avec la paroi intérieure de l'arrière du logement d'escamotage dont l'encombrement est ainsi réduit.
L'arrondi de la partie avant est configuré pour permettre la rotation du dis-positif le plus près possible de la face inférieure du logement d'escamotage, de manière à pouvoir réduire la profondeur du logement d'escamotage. La partie invisible et le logement peuvent en outre être configurés pour présenter des surfaces de butées destinées à coopérer pour empêcher une sur-rotation du dispositif au-delà d'un angle d'environ 90 correspondant à la position verticale d'utilisation du dispositif, les surfaces de butées du logement étant en outre configurées pour permettre le passage de la partie en quart de sphère présente sur le demi-cylindre avant lors de la rotation du dispositif entre les deux positions.
- la partie invisible du dispositif est d'un diamètre supérieur à un diamètre de référence de la partie visible du dispositif, le diamètre de référence correspondant, soit au diamètre d'une tige verticale se situant sous une jonction des deux tiges obliques, soit au diamètre des deux tiges obliques, en l'absence de tige verticale sous la jonction des deux tiges obliques.
- la partie invisible du dispositif peut être agrandie, homothétiquement, et ses propriétés mécanique améliorées, tout en restant à affleurer du logement. La partie du logement contenant cette partie invisible agrandie est, elle-même, agrandie en conséquence. La partie invisible agrandie reste en contact avec la paroi intérieure de la face arrière du logement, tandis que la partie visible du dispositif en position verticale d'utilisation demeure d'aplomb avec l'ar-rière du logement. Du fait de son agrandissement, cette partie dite invisible car dissimulée par le logement devient partiellement visible dans la vue de dessus lorsque le dispositif est en position verticale d'utilisation.
- dans le cas des appareils à boîtier lourd ou à deux volets, le dispositif peut se fixer en double exemplaire sur l'un ou sur l'un et l'autre des deux volets, de façon à continuer à être utilisé, l'un et/ou l'autre, l'un et/ou l'autre pris dans son (leur) espace interdigital, ou encore comme constituant un seul dispositif utilisé par des doigts éloignés, et même par le pouce et l'auriculaire appliqués sur les deux dispositifs comme s'ils l'étaient sur un troisième, virtuel et dont le diamètre de la base formée par la tige verticale serait égal à la somme de ceux des bases, i.e. des tiges verticales, des dispositifs, augmentée de la distance séparant les deux dispositifs.
- les tiges du dispositif installé au dos de boîtiers d'appareils de saisie-visua-lisation, non colinéaires et donnant l'image symétrique de la lettre V , peuvent être suffisamment longues et/ou inclinées pour être adaptées à toutes les tailles de doigts, les doigts trouvant la place leur convenant en s'éloignant de l'axe de symétrie du dispositif au fur et à mesure que s'accroît leur dia-mètre.
- la jonction des deux tiges obliques, en bas de l'axe de symétrie du V , peut se prolonger par une tige verticale, donnant alors au dispositif l'aspect d'un Y .
- les deux tiges obliques peuvent former un papillon destiné à être tourné
au-tour de l'axe de symétrie du dispositif pour assurer une meilleure prise du boîtier.
- le bas du dispositif peut se prolonger en une partie invisible lorsque ledit dispositif est dans sa position verticale d'utilisation, partie invisible compor-tant, perpendiculaire à l'axe de symétrie du dispositif, un axe de rotation au-tour duquel il peut tourner pour quitter sa position verticale d'utilisation, pour celle de rangement, à plat et à l'horizontale, dissimulé par escamotage dans un logement aménagé au dos du boîtier, la forme de ce logement pou-vant être celle d'un Y .
- deux languettes horizontales et deux languettes verticales sont respectivement découpées sur des parois latérales du logement opposées l'une à l'autre, les deux languettes horizontales étant disposées en vis-à-vis l'une de l'autre et les deux languettes verticales étant disposées en vis-à-vis l'une de l'autre, les languettes horizontales étant configurées pour être en saillie et en contact avec la partie invisible lorsque le dispositif est dans sa position verticale d'utilisation de manière à stabiliser le dispositif dans la position verticale d'utilisation, les languettes verticales étant configurées pour être en saillie et en contact avec la partie visible lorsque le dispositif est dans sa position horizontale d'escamotage et de rangement de manière à
stabiliser le dispositif dans la position horizontale d'escamotage et de rangement, les languettes horizontales et les languettes verticales étant en outre configurées pour permettre une rotation du dispositif de la position verticale d'utilisation à la position horizontale d'escamotage et de rangement, et inversement, lorsqu'une force permettant de vaincre la stabilisation exercée par les languettes est appliquée sur ledit dispositif.
- les parois latérales du logement d'escamotage peuvent être, à l'endroit où
elles encadrent la partie invisible du dispositif, munies de languettes hori-zontales, de préférence rectangulaires, découpées sur trois de leurs côtés afin de pouvoir rentrer dans ces parois lorsque la partie invisible du dispositif les y pousse pour accéder à sa position verticale d'utilisation, avant d'en ressor-tir, dès que cette position verticale est atteinte, et alors de stabiliser le dispo-sitif dans cette position verticale jusqu'à ce qu'une force suffisante soit ap-pliquée au dispositif pour l'amener à sa position d'escamotage et de range-ment, mouvement de rotation qui fait de nouveau rentrer les languettes hori-zontales dans la paroi du logement afin de permettre le passage du dispositif pour l'accès à la position horizontale d'escamotage et de rangement, position qui, pour être atteinte, fait rentrer des languettes verticales, dc préférence rectangulaires, découpées, sur trois de leurs côtés, de part et d'autre des pa-rois latérales de la partie du logement contenant la tige verticale ou décou-pées, sur trois de leurs côtés, de part et d'autre des parois latérales de la partie du logement contenant les tiges obliques, languettes verticales qui ressortent des parois latérales du logement sitôt la position horizontale atteinte par le dispositif, qu'elles bloquent alors dans cette position escamotée de range-ment jusqu'à ce qu'une force soit appliquée pour l'en sortir afin de le faire accéder à la position verticale d'utilisation.
- la partie invisible présente la forme d'un cylindre avec un axe de révolution correspondant à un axe de symétrie du dispositif, la partie invisible comportant un demi-cylindre avant et un demi-cylindre arrière, le bas du demi-cylindre avant étant rogné pour prendre l'aspect d'un quart de sphère encadré par deux surfaces de butée formées par deux premiers triangles rectangles isocèles à hypoténuse curviligne mobiles, le bas du demi-cylindre arrière étant rogné de manière à présenter une surface de contact toujours tangente à l'intérieur de la face arrière du logement lors de la rotation du dispositif, le logement comprenant en outre une partie formée par deux seconds triangles rectangles isocèles à hypoténuse curviligne fixes de butée, destinés à entrer en contact avec les deux surfaces de butée (33) antagonistes, lorsque le dispositif, en rotation, arrive à sa position verticale d'utilisation, empêchant le dispositif d'effectuer une rotation le menant au-delà de sa position verticale d'utilisation.
- Le bas de la partie invisible du dispositif peut être, par défaut (par retrait de matière), arrondi pour présenter un quart de sphère pour sa partie avant et, pour sa partie arrière, bombé pour présenter un triangle bi-curviligne gauche sur surface de cylindre horizontal, de façon à être toujours en contact, lors de sa rotation le menant de la position escamotée horizontale à celle, verticale, d'utilisation et inversement, toujours en contact avec la paroi intérieure de l'arrière du logement d'escamotage dont l'encombrement est ainsi réduit.
L'arrondi de la partie avant est configuré pour permettre la rotation du dis-positif le plus près possible de la face inférieure du logement d'escamotage, de manière à pouvoir réduire la profondeur du logement d'escamotage. La partie invisible et le logement peuvent en outre être configurés pour présenter des surfaces de butées destinées à coopérer pour empêcher une sur-rotation du dispositif au-delà d'un angle d'environ 90 correspondant à la position verticale d'utilisation du dispositif, les surfaces de butées du logement étant en outre configurées pour permettre le passage de la partie en quart de sphère présente sur le demi-cylindre avant lors de la rotation du dispositif entre les deux positions.
- la partie invisible du dispositif est d'un diamètre supérieur à un diamètre de référence de la partie visible du dispositif, le diamètre de référence correspondant, soit au diamètre d'une tige verticale se situant sous une jonction des deux tiges obliques, soit au diamètre des deux tiges obliques, en l'absence de tige verticale sous la jonction des deux tiges obliques.
- la partie invisible du dispositif peut être agrandie, homothétiquement, et ses propriétés mécanique améliorées, tout en restant à affleurer du logement. La partie du logement contenant cette partie invisible agrandie est, elle-même, agrandie en conséquence. La partie invisible agrandie reste en contact avec la paroi intérieure de la face arrière du logement, tandis que la partie visible du dispositif en position verticale d'utilisation demeure d'aplomb avec l'ar-rière du logement. Du fait de son agrandissement, cette partie dite invisible car dissimulée par le logement devient partiellement visible dans la vue de dessus lorsque le dispositif est en position verticale d'utilisation.
- dans le cas des appareils à boîtier lourd ou à deux volets, le dispositif peut se fixer en double exemplaire sur l'un ou sur l'un et l'autre des deux volets, de façon à continuer à être utilisé, l'un et/ou l'autre, l'un et/ou l'autre pris dans son (leur) espace interdigital, ou encore comme constituant un seul dispositif utilisé par des doigts éloignés, et même par le pouce et l'auriculaire appliqués sur les deux dispositifs comme s'ils l'étaient sur un troisième, virtuel et dont le diamètre de la base formée par la tige verticale serait égal à la somme de ceux des bases, i.e. des tiges verticales, des dispositifs, augmentée de la distance séparant les deux dispositifs.
[0009] Les dessins annexés illustrent l'invention :
[0010] [Fig. 1] représente le dispositif de l'invention, ses deux tiges réunies en faune de V installées sur le dos d'un boîtier d'appareil de saisie-visualisation.
[0011] [Fig. 2] représente l'utilisation du dispositif avec trois doigts.
[0012] [Fig. 3] représente une variante, en forme de Y , de ce dispositif.
[0013] [Fig. 4] représente la façon dont l'utilisation de la place sous les tiges obliques du dispositif est optimisée.
[0014] Fig. 51 représente une main à l'approche du dispositif avant l'insertion de celui-ci dans un espace interdigital
[0015] [Fig. 6] représente le dispositif inséré dans l'espace interdigital d'une main à plat.
[0016] [Fig. 7] représente l'utilisation du dispositif à l'aide de trois doigts.
[0017] [Fig. 8] représente l'utilisation du dispositif à l'aide d'une main mise en dôme pour éliminer une transpiration, évacuer une fatigue éventuelle par un change-ment de prise...
[0018] [Fig. 9] représente l'utilisation du dispositif à l'aide d'une main fermée, la tige verticale du dispositif entre les phalanges médianes.
[0019] [Fig. 10] représente l'utilisation du dispositif à l'aide d'une main fermée, la tige verticale du dispositif entre le pouce et l'index.
[0020] [Fig. 11] représente l'utilisation de deux dispositifs en V
installés sur un dos de boîtier d'appareil à deux volets à articulation horizontale muni de deux loge-ments dans lesquels les dispositifs sont escamotés pour être rangés (à
l'horizon-tale) lorsqu'ils ne sont pas utilisés (à la verticale).
installés sur un dos de boîtier d'appareil à deux volets à articulation horizontale muni de deux loge-ments dans lesquels les dispositifs sont escamotés pour être rangés (à
l'horizon-tale) lorsqu'ils ne sont pas utilisés (à la verticale).
[0021] [Fig. 12] représente l'utilisation de deux dispositifs en Y
installés sur deux dos de boîtiers d'appareil à deux volets à articulation verticale muni de deux logements dans lesquels les dispositifs sont escamotés pour être rangés (à
l'ho-rizontale) lorsqu'ils ne sont pas utilisés (à la verticale).
installés sur deux dos de boîtiers d'appareil à deux volets à articulation verticale muni de deux logements dans lesquels les dispositifs sont escamotés pour être rangés (à
l'ho-rizontale) lorsqu'ils ne sont pas utilisés (à la verticale).
[0022] [Fig. 13] représente, vue de dessus, une variante du dispositif en position hori-zontale dans le logement d'escamotage.
[0023] [Fig. 14] représente, vu en perspective, le dispositif de la figure 13 en position verticale d'utilisation, avec la partie invisible dans le logement d'escamotage.
[0024] [Fig. 15] représente, en deux coupes suivant un plan tangent à la face supérieure des languettes rectangulaires horizontales, le dispositif dans son logement, en position oblique approchant de la verticale pour la première coupe, et en position de verticale d'utilisation atteinte dans la seconde coupe.
[0025] [Fig. 16] représente, en deux coupes suivant un plan tangent à la face avant des languettes rectangulaires verticales, le dispositif dans son logement, en position oblique approchant de l'horizontale pour la première coupe, et en position hori-zontale de rangement atteinte dans la seconde coupe.
[0026] [Fig. 17] représente une vue de droite centrée sur la partie invisible du dispositif.
[0027] [Fig. 18] représente le dispositif, dans une vue centrée sur l'avant de la partie invisible.
[0028] [Fig. 19] représente le dispositif, dans une vue centrée sur l'arrière de la partie invisible.
[0029] [Fig. 20] représente une variante du dispositif de la figure 14 en position verticale d'utilisation, cn coupc suivant un plan horizontal situé à l'interface cntrc la partic visible et la partie invisible du dispositif.
[0030] [Fig. 21] représente le dispositif de la figure 20, dans son logement d'escamotage, en vue de droite.
[0031] [Fig. 22] représente un éclaté du dispositif et du logement d'escamotage de la figure 14.
[0032] En référence à ces dessins, le dispositif (1) comporte deux tiges obliques (4) de forme cylindrique (des branches ) lui donnant l'aspect de la lettre majuscule symétrique V (dans tout ce qui suit et par convention, les références pointent en entrant à l'intérieur des tiges obliques (4) et de la tige verticale (5) lorsqu'il est question du dispositif (1) que lesdites tiges obliques (4) et tige verticale (5) constituent, mais elles pointent en restant sur un bord de tige oblique (4) ou sur le bord de la tige verticale (5), sans y pénétrer, lorsqu'il n'est question que des-dites tiges obliques (4) ou tige verticale (5). D'autre part, lorsque ces références se rapportent à une partie invisible dans les figures qui suivent, elles sont accom-pagnées d'une flèche coudée.). Le dispositif (1) est fixé sur le dos (2) du boîtier (3) d'un appareil de saisie-visualisation. Deux doigts voisins se placent, de part et d'autre du plan sagittal (26) du dispositif (1), à l'endroit où leur section (6) (située dans le plan frontal de symétrie (27) du dispositif (1), plan frontal de symétrie (27) représenté fig. 5) fait qu'ils sont en contact, à la fois, avec le des-sous des tiges obliques (4) et avec le dos (2) du boîtier (3). Le doigt de section (8) de la valeur minimale prise en compte pour l'utilisation du boîtier (3) consi-déré et donc du dispositif (1) envisagé, définit un segment de minimum (7), ad-jacent à cette section (8), et un autre segment de minimum (7) symétrique par rapport à l'axe de symétrie (25) du dispositif (1). Les segments de minimum (7), le dessous des tiges obliques (4) et le dos (2) du boîtier (3) délimitent une zone vide (11), de hauteur trop faible pour pouvoir être occupée par un doigt quel-conque du public du genre et de l'âge envisagés pour l'utilisation du dispositif (1) dimensionné pour être installé sur ce boîtier (3) particulier. Sous la partie visible du dispositif (1), que constituent les deux tiges obliques (4), se trouve une partie invisible (24) enfouie dans le boîtier (3) lorsque le dispositif (1) est en utilisation, à la verticale et au-dessus d'un dos (2) de boîtier (3). La partie invi-sible (24) du dispositif (1) sert à garantir la fixation du dispositif (1) au boîtier (3) ainsi qu'à assurer la rotation faisant pivoter le dispositif (1), depuis sa posi-tion verticale d'utilisation jusqu'à sa position horizontale d'escamotage et de rangement sous le dos (2) et dans le boîtier (3) (cf. infra, fig. 11 et fig.
12). La partie invisible (24) du dispositif (1) assure aussi la rotation en sens inverse fai-sant sortir le dispositif (1) de sa position horizontale d'escamotage et de range-ment pour son utilisation, en position verticale.
12). La partie invisible (24) du dispositif (1) assure aussi la rotation en sens inverse fai-sant sortir le dispositif (1) de sa position horizontale d'escamotage et de range-ment pour son utilisation, en position verticale.
[0033] Dans la forme de réalisation selon la figure 2, le dispositif (1) est utilisé avec un troisième doigt de section (6), le doigt et sa phalange n'important pas, troisième doigt dc scction (6) place dans la zonc surplombante (10) située au-dessus dc la jonction des tiges obliques (4) du dispositif (1), le long du plan sagittal (26). Le dispositif (1), adapté aux doigts de diamètres les plus faibles, et les moins réa-listes (ainsi le diamètre de valeur nulle), est, en revanche, dimensionné
unique-ment et au maximum, à la section (9) de doigt définie par le fait qu'elle est celle qui est en contact, à la fois, avec l'extrémité haute de la tige oblique (4) sous laquelle elle se situe et avec le dos (2) du boîtier (3). A cette section (9) maximale est associé le segment de maximum (28). Il s'ensuit que seule la partie de chaque tige oblique (4) surplombant l'espace entre le segment de maximum (28) et le segment de minimum (7) est utilisée, car seule à pouvoir entrer en contact avec un doigt posé sur le dos (2) du boîtier (3).
unique-ment et au maximum, à la section (9) de doigt définie par le fait qu'elle est celle qui est en contact, à la fois, avec l'extrémité haute de la tige oblique (4) sous laquelle elle se situe et avec le dos (2) du boîtier (3). A cette section (9) maximale est associé le segment de maximum (28). Il s'ensuit que seule la partie de chaque tige oblique (4) surplombant l'espace entre le segment de maximum (28) et le segment de minimum (7) est utilisée, car seule à pouvoir entrer en contact avec un doigt posé sur le dos (2) du boîtier (3).
[0034] Dans la forme de réalisation selon la figure 3, il vient s'ajouter aux deux tiges obliques (4) du dispositif (1), une tige verticale (5) de forme cylindrique (un tronc ) venant se placer sous la jonction des deux tiges obliques (4) et au-dessus de la partie invisible (24) ( racine ) du dispositif (1), donnant à
cette variante du dispositif (1) l'aspect de la lettre majuscule symétrique Y .
Cette variante du dispositif (1) en Y est, elle aussi, utilisable avec un troisième doigt placé dans la zone surplombante (10) située au-dessus de la jonction des tiges obliques (4) du dispositif (1), le long du plan sagittal (26).
cette variante du dispositif (1) l'aspect de la lettre majuscule symétrique Y .
Cette variante du dispositif (1) en Y est, elle aussi, utilisable avec un troisième doigt placé dans la zone surplombante (10) située au-dessus de la jonction des tiges obliques (4) du dispositif (1), le long du plan sagittal (26).
[0035] Dans la forme de réalisation selon la figure 4, le dispositif (1) est adapté, pour la plus faible d'entre elles, à la section (8) de doigt définie par le fait qu'elle est celle qui est en contact, à la fois, avec une tige oblique (4), avec la tige verticale (5) et avec le dos (2) du boîtier (3). A cette section (8) minimale est associé le segment de minimum (7) Le dispositif (1) est encore dimensionné, pour la plus forte d'entre elles, à la section (9) de doigt définie par le fait qu'elle est celle qui est en contact, à la fois, avec l'extrémité haute de la tige oblique (4) sous laquelle elle se situe et avec le dos (2) du boîtier (3). A cette section (9) maximale est associé le segment de maximum (28). Comme les deux mains peuvent utiliser, tour à tour, le dispositif (1), que les espaces interdigitaux mobilisables ont des orientations différentes, il convient de changer aussi l'orientation du dispositif (1) afin que les tiges obliques (4) dudit dispositif (1) restent perpendiculaires à
l'espace interdigital séparant les doigts se trouvant sous les tiges obliques (4) à
l'instant considéré. Pour cela, lesdites tiges obliques (4) ont une base forment un papillon (29), à rotation sans translation dans la tige verticale (5).
l'espace interdigital séparant les doigts se trouvant sous les tiges obliques (4) à
l'instant considéré. Pour cela, lesdites tiges obliques (4) ont une base forment un papillon (29), à rotation sans translation dans la tige verticale (5).
[0036] Dans la forme de réalisation selon la figure 5, la main se glisse le long du dos (2) du boîtier (3) pour venir enserrer le dispositif (1) à l'intérieur de l'espace inter-digital (12) et entre les phalanges (13) voulus.
[0037] Dans la forme de réalisation selon la figure 6, le dispositif (1), implanté sur le dos (2) du boîtier (3) selon l'axe de symétrie longitudinale du boîtier (3) pour en permettre l'utilisation à l'aide de la main droite tout autant que de la main gauche, et implanté au-dessus du centre de gravité du boîtier (3) pour raisons de stabilité, cst enserré dans un cspacc interdigital (12) choisi, entre les phalanges (13) vou-lues. Le papillon (29) formé par les tiges obliques (4) du dispositif (1) est orienté
perpendiculairement à l'espace interdigital (12) utilisé.
perpendiculairement à l'espace interdigital (12) utilisé.
[0038] Dans la forme de réalisation selon la figure 7, un doigt intermédiaire (15) vient se poser au-dessus et entre les deux tiges obliques (4) du dispositif (1), entre le doigt (14) et le doigt (16) qui, eux, se trouvent sous les tiges obliques (4), soula-geant la main d'une prise précédente qui aurait été trop longtemps maintenue, et interdisant toujours la rotation intempestive du boîtier (3) puisque les tiges obliques (4) exercent un appui sur le doigt (14) et sur le doigt (16) encadrant le doigt intermédiaire (15), plaquant ainsi la main sur le dos (2) du boîtier (3) et en assurant la stabilité anti-rotation.
[0039] Dans la forme de réalisation selon la figure 8, la région centrale (17) de la main, reliant le métacarpe et les phalanges proximales, est détachée du dos (2) du boî-tier (3), de sorte à former un dôme laissant circuler l'air et faisant s'évaporer la transpiration, ce qui améliore le confort et évite à la main de glisser et au boîtier (3) de tourner. Le dispositif (1) utilise alors les phalanges adaptées, autres que les proximales, qui ont été surélevées pour participer à la formation du dôme de la main.
[0040] Dans la forme de réalisation selon la figure 9, il apparaît que le dispositif (1) peut être saisi, par une main fermée, entre les phalanges médianes (18), La tige verti-cale (5), dont apparaît la section entre les phalanges médianes (18), ne peut pas constituer un axe de rotation puisque y font obstacle les tiges obliques (4) se trouvant enserrées entre les doigts et la paume de la main et qu'y empêche le contact entre le dessus des phalanges médianes (18) et le dos (2) du boîtier (3) contre lequel les phalanges médianes (18) sont plaquées.
[0041] Dans la forme de réalisation selon la figure 10, c'est encore un autre type de prise dans laquelle le dispositif (1) est enserré entre le pouce (19), l'index (20) et le majeur (21). Cette fois encore, il ne peut pas y avoir rotation autour de la tige verticale (5) (vue en section) puisque les tiges obliques (4) ne forment pas de plan pouvant coïncider avec celui de l'espace interdigital séparant l'index (20) et le majeur (21), tiges obliques (4) ne formant pas de plan perpendiculaire à
la tige verticale (5) du fait de la non-colinéarité desdites tiges obliques (4), et que s'oppose à la rotation le contact du pouce (19) et de l'index (20) avec le dos (2) du boîtier (3) contre lequel dos (2) une partie du pouce (19) et une partie de l'index (20) sont appliqués.
la tige verticale (5) du fait de la non-colinéarité desdites tiges obliques (4), et que s'oppose à la rotation le contact du pouce (19) et de l'index (20) avec le dos (2) du boîtier (3) contre lequel dos (2) une partie du pouce (19) et une partie de l'index (20) sont appliqués.
[0042] Dans la forme de réalisation selon la figure 11, ce sont deux dispositifs (1) en V (mais rien n'empêche l'utilisation de la variante en Y , utilisation non illustrée ici) qui sont installés sur le dos (2) du boîtier (3) supérieur d'un appareil à deux volets, selon une direction parallèle à celle de l'articulation les deux vo-lets ici perpendiculaire à la verticale (30), deux dispositifs (1) qui sont installés côte à côte et de façon à laisser entre eux, dispositifs (1), l'espace nécessaire à
l'insertion d'au moins un doigt dc la plus grandc dcs tailles dc la gammc des-quelles tailles les dispositifs (1) sont prévus. Il apparaît, adjacents à
chacun des deux dispositifs (1), les logements (22) dans lesquels ces dispositifs (1) sont es-camotés et rangés après utilisation. Chacun des logements (22) est dimensionné
pour accueillir également la partie invisible (24) du dispositif (1), partie invisible (24) qui se trouve enfouie lorsque le dispositif (1) est en utilisation, et donc ins-tallé à la verticale, au-dessus d'un dos (2) de boîtier (3). La partie invisible (24) du dispositif (1), servant à garantir la fixation du dispositif (1) au boîtier (3) et aussi assurant la rotation faisant pivoter le dispositif (1) depuis sa position verti-cale d'utilisation jusqu'à sa position horizontale d'escamotage et de rangement dans le logement (22), apparaît lorsque le dispositif (1) est escamoté dans le boî-tier (3) et que ledit boîtier (3) est vu de dessus, la limite, entre la partie du loge-ment (22) recevant la partie visible du dispositif (1) et la partie du logement (22) recevant la partie invisible (24) du dispositif (1), matérialisée ici par une ligne fictive (23). Les mains viennent s'appliquer sur les dispositifs (1) et mettre à
profit toutes les possibilités offertes par les tiges obliques (4) pour la préhension, le maintien et la manipulation des boîtiers (3). Les angles (positifs et différents) que font les espaces interdigitaux avec la verticale (30) entraînent le fait que les papillons (29) des dispositifs (1) doivent être tournés des mêmes angles (positifs et différents) pour se retrouver perpendiculaires, l'un et l'autre, à l'espace inter-digital le concernant, afin d'assurer l'utilisation optimale des dispositifs (1). Le fait d'avoir deux dispositifs (1) en permet des utilisations simultanées ou parti-culières à cette dualité, de la même façon que le pouce peut se servir de l'espace interdigital entre sa phalange proximale et le métacarpe mais aussi de sa pha-lange distale et de sa proximale qui permettent, à elles seules, d'enserrer presque entièrement la base d'un dispositif (1).
l'insertion d'au moins un doigt dc la plus grandc dcs tailles dc la gammc des-quelles tailles les dispositifs (1) sont prévus. Il apparaît, adjacents à
chacun des deux dispositifs (1), les logements (22) dans lesquels ces dispositifs (1) sont es-camotés et rangés après utilisation. Chacun des logements (22) est dimensionné
pour accueillir également la partie invisible (24) du dispositif (1), partie invisible (24) qui se trouve enfouie lorsque le dispositif (1) est en utilisation, et donc ins-tallé à la verticale, au-dessus d'un dos (2) de boîtier (3). La partie invisible (24) du dispositif (1), servant à garantir la fixation du dispositif (1) au boîtier (3) et aussi assurant la rotation faisant pivoter le dispositif (1) depuis sa position verti-cale d'utilisation jusqu'à sa position horizontale d'escamotage et de rangement dans le logement (22), apparaît lorsque le dispositif (1) est escamoté dans le boî-tier (3) et que ledit boîtier (3) est vu de dessus, la limite, entre la partie du loge-ment (22) recevant la partie visible du dispositif (1) et la partie du logement (22) recevant la partie invisible (24) du dispositif (1), matérialisée ici par une ligne fictive (23). Les mains viennent s'appliquer sur les dispositifs (1) et mettre à
profit toutes les possibilités offertes par les tiges obliques (4) pour la préhension, le maintien et la manipulation des boîtiers (3). Les angles (positifs et différents) que font les espaces interdigitaux avec la verticale (30) entraînent le fait que les papillons (29) des dispositifs (1) doivent être tournés des mêmes angles (positifs et différents) pour se retrouver perpendiculaires, l'un et l'autre, à l'espace inter-digital le concernant, afin d'assurer l'utilisation optimale des dispositifs (1). Le fait d'avoir deux dispositifs (1) en permet des utilisations simultanées ou parti-culières à cette dualité, de la même façon que le pouce peut se servir de l'espace interdigital entre sa phalange proximale et le métacarpe mais aussi de sa pha-lange distale et de sa proximale qui permettent, à elles seules, d'enserrer presque entièrement la base d'un dispositif (1).
[0043] Dans la forme de réalisation selon la figure 12, ce sont deux dispositifs (1) en Y (mais rien n'empêche l'utilisation de la variante en V , utilisation non illustrée ici) qui sont installés sur un appareil à deux volets, selon une ligne ho-rizontale située au-dessus du centre de gravité de l'ensemble pour une raison de stabilité, dispositifs (1) installés sur le dos (2) des deux boîtiers (3), de part et d'autre de l'articulation des deux volets ici alignée avec la verticale (30), deux dispositifs (1) installés côte à côte et de façon à laisser entre eux, dispositifs (1), l'espace nécessaire à l'insertion d'au moins un doigt de la plus grande des tailles de la gamme desquelles tailles les dispositifs (1) sont prévus. Il apparaît, adja-cents à chacun des deux dispositifs (1), les logements (22) dans lesquels ces dis-positifs (1) sont escamotés et rangés après utilisation. Chacun des logements (22) est dimensionné pour accueillir également la partie invisible (24) du dispositif (1), partie invisible (24) qui se trouve enfouie lorsque le dispositif (1) est en utilisation, et donc installé à la verticale, au-dessus d'un dos (2) de boîtier (3).
La partie invisible (24) du dispositif (1), servant à garantir la fixation du dispo-sitif (1) au boîtier (3) ct aussi assurant la rotation faisant pivoter le dispositif (1) depuis sa position verticale d'utilisation jusqu'à sa position horizontale d'esca-motage et de rangement dans le logement (22), apparaît lorsque le dispositif (1) est escamoté dans le boîtier (3) et que ledit boîtier (3) est vu de dessus, la limite, entre la partie du logement (22) recevant la partie visible du dispositif (1) et la partie du logement (22) recevant la partie invisible (24) du dispositif (1), maté-rialisée ici par une ligne fictive (23). Les mains viennent s'appliquer sur les dis-positifs (1) et mettre à profit toutes les possibilités offertes par les tiges obliques (4) et les tiges verticales (5) pour la préhension, le maintien et la manipulation des boîtiers (3). Les angles (négatifs et différents) que font les espaces interdigi-taux avec la verticale (30) entraînent le fait que les papillons (29) des dispositifs (1) doivent être tournés des mêmes angles (négatifs et différents) pour se retrou-ver perpendiculaires, l'un et l'autre, à l'espace interdigital le concernant, afin d'assurer l'utilisation optimale des dispositifs (1). Le fait d'avoir deux dispositifs (1) en permet des utilisations simultanées ou particulières à cette dualité, de la même façon que le pouce peut se servir de l'espace interdigital entre sa phalange proximale et le métacarpe mais aussi de sa phalange distale et de sa proximale qui permettent, à elles seules, d'enserrer presque entièrement la base d'un dis-positif (1), l'utilisation des phalanges distale et proximale du pouce se faisant aussi avec la mobilisation de l'un quelconque des quatre doigts qui doit alors s'appliquer sur le second dispositif (1).
La partie invisible (24) du dispositif (1), servant à garantir la fixation du dispo-sitif (1) au boîtier (3) ct aussi assurant la rotation faisant pivoter le dispositif (1) depuis sa position verticale d'utilisation jusqu'à sa position horizontale d'esca-motage et de rangement dans le logement (22), apparaît lorsque le dispositif (1) est escamoté dans le boîtier (3) et que ledit boîtier (3) est vu de dessus, la limite, entre la partie du logement (22) recevant la partie visible du dispositif (1) et la partie du logement (22) recevant la partie invisible (24) du dispositif (1), maté-rialisée ici par une ligne fictive (23). Les mains viennent s'appliquer sur les dis-positifs (1) et mettre à profit toutes les possibilités offertes par les tiges obliques (4) et les tiges verticales (5) pour la préhension, le maintien et la manipulation des boîtiers (3). Les angles (négatifs et différents) que font les espaces interdigi-taux avec la verticale (30) entraînent le fait que les papillons (29) des dispositifs (1) doivent être tournés des mêmes angles (négatifs et différents) pour se retrou-ver perpendiculaires, l'un et l'autre, à l'espace interdigital le concernant, afin d'assurer l'utilisation optimale des dispositifs (1). Le fait d'avoir deux dispositifs (1) en permet des utilisations simultanées ou particulières à cette dualité, de la même façon que le pouce peut se servir de l'espace interdigital entre sa phalange proximale et le métacarpe mais aussi de sa phalange distale et de sa proximale qui permettent, à elles seules, d'enserrer presque entièrement la base d'un dis-positif (1), l'utilisation des phalanges distale et proximale du pouce se faisant aussi avec la mobilisation de l'un quelconque des quatre doigts qui doit alors s'appliquer sur le second dispositif (1).
[0044] Dans la variante de réalisation selon la figure 14, le dispositif (1) et son logement (22) sont présentés sous forme modulaire, c'est-à-dire avec un logement destiné
à être intégré ultérieurement dans une cavité de forme complémentaire prévue à
cet effet dans le dos du boîtier. Dans la variante décrite ici, les deux parois laté-rales (23) du logement (22) contenant la partie invisible (24), comportent deux languettes en vis-à-vis, ici deux languettes rectangulaires horizontales (40), con-figurées pour stabiliser le dispositif (1) dans la position verticale d'utilisation.
Le logement (22) comporte aussi deux autres languettes en vis-à-vis, ici des lan-guettes rectangulaires verticales (41), configurées pour stabiliser le dispositif (1) dans le logement (22) dans la position horizontale d'escamotage et de rangement.
Dans la forme de réalisation décrite ici, les deux languettes rectangulaires verti-cales (41) se situent dans des parois latérales (43) du logement (22) contenant la tige verticale (5) opposées l'une à l'autre mais les languettes rectangulaires ver-ticales (41) pourraient aussi bien se situer dans des parois latérales (43) opposées l'une à l'autre contenant l'une ou l'autre des tiges obliques (4). Les deux lan-guettes rectangulaires verticales (41) et les deux languettes rectangulaires hori-zontales (40) sont découpées sur trois de leurs côtés dans la paroi latérale (43) qu'elles occupent. Avantageusement, on notera que le dispositif (1), en position verticale d'utilisation, est, par sa partie invisible (24), en contact avec l'intérieur de la face arrière (39) du logement (22).
à être intégré ultérieurement dans une cavité de forme complémentaire prévue à
cet effet dans le dos du boîtier. Dans la variante décrite ici, les deux parois laté-rales (23) du logement (22) contenant la partie invisible (24), comportent deux languettes en vis-à-vis, ici deux languettes rectangulaires horizontales (40), con-figurées pour stabiliser le dispositif (1) dans la position verticale d'utilisation.
Le logement (22) comporte aussi deux autres languettes en vis-à-vis, ici des lan-guettes rectangulaires verticales (41), configurées pour stabiliser le dispositif (1) dans le logement (22) dans la position horizontale d'escamotage et de rangement.
Dans la forme de réalisation décrite ici, les deux languettes rectangulaires verti-cales (41) se situent dans des parois latérales (43) du logement (22) contenant la tige verticale (5) opposées l'une à l'autre mais les languettes rectangulaires ver-ticales (41) pourraient aussi bien se situer dans des parois latérales (43) opposées l'une à l'autre contenant l'une ou l'autre des tiges obliques (4). Les deux lan-guettes rectangulaires verticales (41) et les deux languettes rectangulaires hori-zontales (40) sont découpées sur trois de leurs côtés dans la paroi latérale (43) qu'elles occupent. Avantageusement, on notera que le dispositif (1), en position verticale d'utilisation, est, par sa partie invisible (24), en contact avec l'intérieur de la face arrière (39) du logement (22).
[0045] Lorsque le dispositif cst cn position verticale d'utilisation, lc dispositif (1) cst situé trop loin d'elles pour que les languettes rectangulaires verticales (41) puis-sent exercer une action quelconque sur ledit dispositif (1). Au contraire, les lan-guettes rectangulaires horizontales (40), sont saillantes hors des parois latérales (43) du logement (22) et en contact avec la partie invisible (24) du dispositif (1).
Les languettes rectangulaires horizontales (40), appliquent al ors une force main-tenant le dispositif (1) dans sa position verticale d'utilisation tant qu'une force supérieure s'exerçant en sens inverse ne vient pas contraindre le dispositif (1) à
regagner sa position horizontale d'escamotage et de rangement.
Les languettes rectangulaires horizontales (40), appliquent al ors une force main-tenant le dispositif (1) dans sa position verticale d'utilisation tant qu'une force supérieure s'exerçant en sens inverse ne vient pas contraindre le dispositif (1) à
regagner sa position horizontale d'escamotage et de rangement.
[0046] Dans la figure 13, le dispositif (1) de la figure 14 est représenté vue de dessus en position horizontale d'escamotage et de rangement dans le logement (22) et fait apparaître, séparée du reste du dispositif (1) par la ligne fictive (23), la partie invisible (24), enfouie dans le logement (22) et donc ultérieurement dans le boi-tier (3). La partie invisible (24) se présente, dans la variante décrite ici, comme une mini-tige verticale prolongeant la tige verticale (5). On notera que la ligne fictive de délimitation tiretée (31) isole deux petits triangles bi-curvilignes gauches (38) encadrant un grand triangle bi-curviligne gauche (37). Ici aussi, la partie invisible (24) est en contact avec l'intérieur de la face arrière (39) du lo-gement (22) comme explicité plus en détail ultérieurement. Ici, les deux lan-guettes rectangulaires horizontales (40), sont installées trop haut pour avoir un contact avec ladite partie invisible (24) dans cette position escamotée du dispo-sitif (1). En revanche, les languettes rectangulaires verticales (41) sont en contact avec le dispositif (1) et exercent sur ledit dispositif (1) une force le contraignant à rester dans cette position horizontale escamotée jusqu'à ce qu'une force anta-goniste supérieure vienne sortir le dispositif (1) du logement (22) pour la rotation le menant en position verticale d'utilisation.
[0047] Dans la figure 15, la coupe supérieure, opérée suivant un plan tangent à la face supérieure des languettes rectangulaires horizontales (40), fait apparaître la par-tie invisible (24), toujours en contact, par le grand triangle bi-curviligne gauche (37) avec l'intérieur de la face arrière (39) du logement (22), contraignant une languette rectangulaire horizontale (40) à rentrer dans une paroi latérale (43) du logement (22) correspondant à la partie invisible (24) du dispositif (1), de façon à pouvoir passer pour atteindre la position verticale d'utilisation.
[0048] Dans la coupe inférieure de la figure 15, la partie invisible (24) ayant atteint la position verticale d'utilisation, en contact avec l'intérieur de la face arrière (39) du logement (22) par le biais du grand triangle bi-curviligne gauche (37), la lan-guette rectangulaire horizontale (40) peut alors ressortir de la paroi latérale (43) du logement (22) correspondant à la partie invisible (24) du dispositif (1) et sta-biliser la partie invisible (24) et, partant, le dispositif (1), en position verticale d'utilisation.
[0049] Dans la figure 16, la coupe de gauche, opérée suivant un plan tangent à
la face avant dcs languettes rectangulaires verticales (41), fait apparaître la tigc verticale (5) presque parvenue à la position horizontale de rangement dans le logement (22), contraignant une languette rectangulaire verticale (41), découpée dans la partie du logement (22) correspondant à ladite tige verticale (5), à rentrer dans la paroi latérale (43) du logement (22) correspondant à ladite tige verticale (5).
Dans d'autres formes de réalisation précédemment évoquées, la tige oblique (4) peut contraindre une languette rectangulaire verticale (41) découpée dans la par-tie du logement (22) correspondant à la tige oblique (4) à rentrer dans la paroi latérale (43) du logement (22) correspondant à ladite tige oblique (4)), de façon à laisser passer le dispositif (1) pour atteindre sa position horizontale de range-ment.
la face avant dcs languettes rectangulaires verticales (41), fait apparaître la tigc verticale (5) presque parvenue à la position horizontale de rangement dans le logement (22), contraignant une languette rectangulaire verticale (41), découpée dans la partie du logement (22) correspondant à ladite tige verticale (5), à rentrer dans la paroi latérale (43) du logement (22) correspondant à ladite tige verticale (5).
Dans d'autres formes de réalisation précédemment évoquées, la tige oblique (4) peut contraindre une languette rectangulaire verticale (41) découpée dans la par-tie du logement (22) correspondant à la tige oblique (4) à rentrer dans la paroi latérale (43) du logement (22) correspondant à ladite tige oblique (4)), de façon à laisser passer le dispositif (1) pour atteindre sa position horizontale de range-ment.
[0050] Dans la coupe de droite de la figure 16, le dispositif (1), ayant atteint sa position horizontale de rangement dans le logement (22), la languette rectangulaire ver-ticale (41) peut alors ressortir de la paroi latérale (43) du logement (22) et stabi-liser le dispositif (1) en position horizontale de rangement.
[0051] Dans la figure 17, le dispositif (1), sorti de son logement (22) et vu de droite, fait apparaître, sous la ligne fictive (23), la partie invisible (24), non encore percée du trou cylindrique (44) dont la fonction est explicitée ultérieurement (le trou cylindrique (44) étant non encore percé il est, pour cette raison, représenté
en trait tireté). Dans la forme de réalisation décrite ici, ladite partie invisible (24) présente le même diamètre que celui des tiges du dispositif (1) et aussi une hau-teur égale à ce diamètre. Elle est traversée, en son milieu et verticalement, par le plan frontal de symétrie (27) et traversée encore, en son milieu, par le plan hori-zontal milieu (50). L'intersection du plan frontal de symétrie (27) et du plan ho-rizontal milieu (50), définit l'axe de rotation du dispositif (1). Comme explicité
précédemment, il est prévu de percer un trou cylindrique (44) ayant comme axe de révolution l'axe de rotation (35) du dispositif. Le trou cylindrique (44) est destiné à accueillir un moyeu (36) destiné à permettre la rotation du dispositif (1) de sa position verticale d'utilisation à sa position horizontale d'escamotage et de rangement. Le troisième quadrant (45) et le quatrième quadrant (46) figurent les faces de droite, respectivement, d'un parallélépipède de quadrant trois (47) et d'un parallélépipède de quadrant quatre (48) dont l'arête centrale commune de parallélépipèdes (49), de longueur égale au diamètre de la partie invisible (24) soit le double de la longueur des arêtes des faces carrées du parallélépipède de quadrant trois (47) et le double de la longueur des arêtes des faces carrées du parallélépipède de quadrant quatre (48), est située sur l'axe de rotation (35) (au trait en tirets indiquant le caractère fictif, comme sont fictifs les parallélépipèdes de quadrants). Les hachures croisées indiquent que de la matière composant la partie invisible (24) contenue dans le parallélépipède de quadrant trois (47) et de la matière de la partie invisible (24) contenue dans le parallélépipède de quadrant quatre (48), sera retirée de façon à rogner le demi-cylindre avant et le demi-cylindre arrière dc la partic invisible (24), le rognagc dc dcmi-cylindrc avant ct le rognage de demi-cylindre arrière laissant apparaître, sur la figure, respective-ment, un arc de quart de cercle de quadrant trois (51) et un arc de quart de cercle de quadrant quatre (52) (le rognage, non encore effectuée, fait que l'arc de cercle de quadrant trois (51) et l'arc de cercle de quadrant quatre (52) sont représentés en traits tiretés). Les hachures simples indiquent un retrait partiel de matière composant le demi-cylindre avant de la partie invisible (24) contenue dans le parallélépipède de quadrant trois (47).
en trait tireté). Dans la forme de réalisation décrite ici, ladite partie invisible (24) présente le même diamètre que celui des tiges du dispositif (1) et aussi une hau-teur égale à ce diamètre. Elle est traversée, en son milieu et verticalement, par le plan frontal de symétrie (27) et traversée encore, en son milieu, par le plan hori-zontal milieu (50). L'intersection du plan frontal de symétrie (27) et du plan ho-rizontal milieu (50), définit l'axe de rotation du dispositif (1). Comme explicité
précédemment, il est prévu de percer un trou cylindrique (44) ayant comme axe de révolution l'axe de rotation (35) du dispositif. Le trou cylindrique (44) est destiné à accueillir un moyeu (36) destiné à permettre la rotation du dispositif (1) de sa position verticale d'utilisation à sa position horizontale d'escamotage et de rangement. Le troisième quadrant (45) et le quatrième quadrant (46) figurent les faces de droite, respectivement, d'un parallélépipède de quadrant trois (47) et d'un parallélépipède de quadrant quatre (48) dont l'arête centrale commune de parallélépipèdes (49), de longueur égale au diamètre de la partie invisible (24) soit le double de la longueur des arêtes des faces carrées du parallélépipède de quadrant trois (47) et le double de la longueur des arêtes des faces carrées du parallélépipède de quadrant quatre (48), est située sur l'axe de rotation (35) (au trait en tirets indiquant le caractère fictif, comme sont fictifs les parallélépipèdes de quadrants). Les hachures croisées indiquent que de la matière composant la partie invisible (24) contenue dans le parallélépipède de quadrant trois (47) et de la matière de la partie invisible (24) contenue dans le parallélépipède de quadrant quatre (48), sera retirée de façon à rogner le demi-cylindre avant et le demi-cylindre arrière dc la partic invisible (24), le rognagc dc dcmi-cylindrc avant ct le rognage de demi-cylindre arrière laissant apparaître, sur la figure, respective-ment, un arc de quart de cercle de quadrant trois (51) et un arc de quart de cercle de quadrant quatre (52) (le rognage, non encore effectuée, fait que l'arc de cercle de quadrant trois (51) et l'arc de cercle de quadrant quatre (52) sont représentés en traits tiretés). Les hachures simples indiquent un retrait partiel de matière composant le demi-cylindre avant de la partie invisible (24) contenue dans le parallélépipède de quadrant trois (47).
[0052] Dans la figure 18, la partie invisible (24), séparée du reste du dispositif (1) par la ligne fictive (23) est, pour la partie de son demi-cylindre avant contenue dans le parallélépipède de quadrant trois (47), taillée pour prendre l'aspect d'un quart de sphère (32) encadré par deux triangles rectangles isocèles mono-curvilignes mobiles (33), correspondant à des triangles rectangle isocèles à hypoténuse cur-viligne, situés à l'interface entre les demi-cylindres avant et arrière de la partie invisible (24). On notera que les deux triangles rectangles isocèles mono-curvi-lignes mobiles (33) appartiennent au plan frontal de symétrie (27) de la partie visible du dispositif
[0053] Dans la figure 19, le même dispositif (1), vu de trois-quarts arrière, apparaît sé-paré, par la ligne fictive (23), de sa partie invisible (24) traversée par le trou cylindrique (44) aménagé dans le but de permettre la rotation assurant le range-ment et le déploiement dudit dispositif (1). On rappelle ici que l'axe de révolu-tion du trou cylindrique (44) correspond à l'axe de rotation (35) du dispositif (1) permettant le rangement et le déploiement de celui-ci. Les deux triangles rec-tangles isocèles mono-curvilignes mobiles (33) encadrent le quart de sphère (32) de la même façon. Un quart de cylindre horizontal (34), partie d'un cylindre dont l'axe de révolution est constitué par l'arête centrale commune de parallélé-pipèdes (49) et dont le diamètre est égal à celui partie invisible (24), est contenu dans le parallélépipède de quadrant quatre (48) (son trait pointillé indique le ca-ractère fictif). La partie du demi-cylindre arrière de la partie invisible (24) con-tenue dans le parallélépipède de quadrant quatre (48) et extérieure au quart de cylindre horizontal (34), est rognée, laissant apparaître, sur le demi-cylindre ar-rière de la partie invisible (24), à l'intersection avec le quart de cylindre horizon-tal (34), un grand triangle bi -curvili gn e gauche (37), encadré par deux petits triangles bi-curvilignes gauches. On notera que les petits triangles bi-curvilignes gauches (38) sont signalés par la ligne fictive de délimitation tiretée (31) leur faisant leur troisième côté. Le rognage du demi-cylindre arrière de la partie in-visible pour obtenir un grand triangle bi-curviligne gauche (37) permet de ré-duire les dimensions de la partie du logement encadrant la partie invisible en rapprochant la face arrière (39) du logement (22) de la partie invisible, de sorte que la face arrière (39) du logement (22) soit toujours adjacente au grand triangle bi-curviligne gauche (37) lors de la rotation. En l'absence de rognage du bas du demi-cylindre arrière dc la partic invisible (24), la face arrièrc(39) du logement serait plus éloignée de l'arrière de la partie invisible (24), ce qui augmente l'en-combrement et présente le risque de pouvoir contenir des saletés pouvant empê-cher la rotation du dispositif. Le grand triangle bi-curviligne gauche (37) résul-tant du rognage est ainsi, quelleque soit la position de rotation entre la position verticale d'utilisation et la position horizontale d'escamotage et de rangement, toujours tangent à l'intérieur de la face arrière (39) du logement (22).
Ainsi, le grand triangle bi-curviligne gauche (37) définit une surface dite de contact dont au moins une partie est tangente avec l'intérieur de la face arrière (39) du loge-ment (22) lors de la rotation du dispositif (1).
Ainsi, le grand triangle bi-curviligne gauche (37) définit une surface dite de contact dont au moins une partie est tangente avec l'intérieur de la face arrière (39) du loge-ment (22) lors de la rotation du dispositif (1).
[0054] La figure 22 est une vue éclatée partielle montrant le dispositif (1) dans la va-riante en Y , une tige oblique (4), la tige verticale (5), la partie invisible (24) percée du trou cylindrique (44) devant recevoir un moyeu (36) de façon à
assurer la rotation du dispositif autour de l'axe de rotation (35) entre la position verticale d'utilisation et la position horizontale d'escamotage et de rangement. Le moyeu (36) est également utilisé pour solidariser le dispositif (1) avec le logement (22) en positionnant le dispositif (1) à la verticale pour son utilisation tandis qu'il est maintenu dans cette position verticale tant par le double contact d'une part de l'arrière de la partie invisible (24) via le grand triangle bi-curviligne gauche (37) avec l'intérieur de la face arrière(39) du logement (22) et, de l'autre, des deux triangles rectangles isocèles mono-curvilignes mobiles (33) de la partie invisible (24), appliqués contre les deux triangles rectangles isocèles mono-curvilignes fixes (42) du logement (22), que par la pression des languettes horizontales (40) en saillie hors des parois latérales (43) du logement (22) dans lesquelles elles ont été aménagées. Le moyeu (36) solidarise aussi le dispositif (1) avec le logement (22), en position d'escamotage et de rangement, à l'horizontale, le maintenant, dans cette position escamotée, grâce, d'une part, au contact du fond du logement (22) et, d'autre part, à la pression des languettes verticales (41) sortant des parois latérales (43) du logement (22) dans lesquelles elles ont été créées. On notera que la rotation du dispositif entre la position d'escamotage et de rangement et la position verticale d'utilisation est rendue possible par la présence du quart de sphère (32) sur le demi-cylindre avant dont la forme est adaptée pour passer au-dessus des deux triangles rectangles isocèles mono-curvilignes fixes (42) de bu-tée du logement lors de la rotation. On notera que les deux triangles rectangles isocèles mono-curvilignes fixes (42) correspondent à des triangles rectangles isocèles à hypoténuse curviligne disposés de telle sorte que les côtés à angle droit soient parallèles à la paroi de fond et aux parois latérales du logement (22).
Par ailleurs, les deux hypoténuses mises bout à bout formant un demi-cercle adapté
pour accueillir la partie en quart de sphère (32) lors de la rotation du dispositif.
assurer la rotation du dispositif autour de l'axe de rotation (35) entre la position verticale d'utilisation et la position horizontale d'escamotage et de rangement. Le moyeu (36) est également utilisé pour solidariser le dispositif (1) avec le logement (22) en positionnant le dispositif (1) à la verticale pour son utilisation tandis qu'il est maintenu dans cette position verticale tant par le double contact d'une part de l'arrière de la partie invisible (24) via le grand triangle bi-curviligne gauche (37) avec l'intérieur de la face arrière(39) du logement (22) et, de l'autre, des deux triangles rectangles isocèles mono-curvilignes mobiles (33) de la partie invisible (24), appliqués contre les deux triangles rectangles isocèles mono-curvilignes fixes (42) du logement (22), que par la pression des languettes horizontales (40) en saillie hors des parois latérales (43) du logement (22) dans lesquelles elles ont été aménagées. Le moyeu (36) solidarise aussi le dispositif (1) avec le logement (22), en position d'escamotage et de rangement, à l'horizontale, le maintenant, dans cette position escamotée, grâce, d'une part, au contact du fond du logement (22) et, d'autre part, à la pression des languettes verticales (41) sortant des parois latérales (43) du logement (22) dans lesquelles elles ont été créées. On notera que la rotation du dispositif entre la position d'escamotage et de rangement et la position verticale d'utilisation est rendue possible par la présence du quart de sphère (32) sur le demi-cylindre avant dont la forme est adaptée pour passer au-dessus des deux triangles rectangles isocèles mono-curvilignes fixes (42) de bu-tée du logement lors de la rotation. On notera que les deux triangles rectangles isocèles mono-curvilignes fixes (42) correspondent à des triangles rectangles isocèles à hypoténuse curviligne disposés de telle sorte que les côtés à angle droit soient parallèles à la paroi de fond et aux parois latérales du logement (22).
Par ailleurs, les deux hypoténuses mises bout à bout formant un demi-cercle adapté
pour accueillir la partie en quart de sphère (32) lors de la rotation du dispositif.
[0055] La figure 20 est une coupe d'une vue de dessus du dispositif (1) en position verticale d'utilisation, coupc opérée suivant un plan horizontal situé à
l'interface entre la partie invisible (24) et la partie visible du dispositif (1). Dans cette va-riante de réalisation, la section de la partie invisible (24) et de la partie du loge-ment (22) contenant la partie invisible (24) sont de dimensions supérieures à
celles décrites précédemment en référence aux figures 13 à 19. Ces dimensions sont agrandies pour, autant que de besoin, en accroître la solidité et, partant, la solidité de la fixation du dispositif (1) au boîtier (3). Ainsi, dans cette variante de réalisation, le diamètre de la partie invisible (24) est supérieur au diamètre de la tige verticale (4). On notera que, dans ce cas, la partie invisible (24) du dispo-sitif(1) est agrandie homothétiquement par rapport à la partie invisible (24) dé-crite en référence aux figures 13 à 19 tout en restant à affleurer du logement (22), en conséquence duquel agrandissement de la partie invisible (24) du dispositif (1), est agrandie la partie du logement (22) contenant cette partie invisible (24), agrandissement de la partie invisible (24) maintenant la partie visible du dispo-sitif(1) en position verticale d'utilisation inchangée d'aplomb avec l'arrière du logement (22). Par conséquent, cette partie invisible (24) n'est plus dissimulée, en vue de dessus, par la partie visible du dispositif (1) en position verticale.
l'interface entre la partie invisible (24) et la partie visible du dispositif (1). Dans cette va-riante de réalisation, la section de la partie invisible (24) et de la partie du loge-ment (22) contenant la partie invisible (24) sont de dimensions supérieures à
celles décrites précédemment en référence aux figures 13 à 19. Ces dimensions sont agrandies pour, autant que de besoin, en accroître la solidité et, partant, la solidité de la fixation du dispositif (1) au boîtier (3). Ainsi, dans cette variante de réalisation, le diamètre de la partie invisible (24) est supérieur au diamètre de la tige verticale (4). On notera que, dans ce cas, la partie invisible (24) du dispo-sitif(1) est agrandie homothétiquement par rapport à la partie invisible (24) dé-crite en référence aux figures 13 à 19 tout en restant à affleurer du logement (22), en conséquence duquel agrandissement de la partie invisible (24) du dispositif (1), est agrandie la partie du logement (22) contenant cette partie invisible (24), agrandissement de la partie invisible (24) maintenant la partie visible du dispo-sitif(1) en position verticale d'utilisation inchangée d'aplomb avec l'arrière du logement (22). Par conséquent, cette partie invisible (24) n'est plus dissimulée, en vue de dessus, par la partie visible du dispositif (1) en position verticale.
[0056] On notera que dans le cas d'un dispositif en V ne comprenant pas de tige verti-cale dans sa partie visible (voir figure 1), la partie invisible (24) présente égale-ment la forme d'un cylindre avec un axe de révolution correspondant à un axe de symétrie (26) du dispositif (1) se trouvant sous la jonction avec les deux tiges obliques (4). Le diamètre peut alors être choisi supérieur au diamètre des tiges obliques (4) afin d'en accroître la solidité et, partant, la solidité de la fixation du dispositif (1) au boîtier (3). On notera que la partie visible du dispositif (1) est définie pour convenir à différentes tailles de doigts prédéfinies en ajustant la longueur et la disposition des tiges obliques (angle et longueur des tiges obliques, hauteur de la tige verticale pour les dispositifs en Y ). Par ailleurs, la partie visible du dispositif, et plus particulièrement le diamètre de la tige verticale, peut également être définie en fonction des espaces interdigitaux entre les doigts des-tinés à utiliser le dispositif.
[0057] La figure 21 représente pour cette même variante, la partie invisible (24) et la partie du logement (22) contenant la partie invisible (24), agrandies dans les trois dimensions, la partie invisible (24) en reste à affleurer du logement (22) de façon inchangée par rapport à la situation d'avant agrandissement, tout en demeurant en contact avec l'intérieur de la face arrière (39) du logement (22), logement (22) dont la partie correspondant à la partie invisible (24) s'est approfondie d'une longueur correspondant à l'agrandissement de cette partie invisible (24).
[0058] A titre d'exemple non limitatif, le dispositif aura des dimensions de l'ordre de 2,5 cm de longueur pour chacune de ses tiges obliques (et de 1 cm pour sa tige verticale lorsqu'elle est présente) avec, pour celles-là (et pour celle-ci, s'il y a lieu) un diamètre de 0,5 cm, faisant un (deux) angle(s) de 120 degrés entre elles deux (elles trois, le cas échéant).
[0059] Le dispositif selon l'invention est particulièrement destiné à
l'utilisation des ta-blettes, des livres électroniques et des ordinateurs portables.
l'utilisation des ta-blettes, des livres électroniques et des ordinateurs portables.
Claims
Revendications [Revendication 1] Dispositif pour la préhension, la tenue en main et le maniement d'un appareil de saisie-visualisation caractérisé en ce qu'il se compose, pour sa partie visible lorsqu'il est dans sa position verticale d'utilisation, de deux tiges obliques (4) cylindriques non colinéaires fixées +à la verticale sur le dos (2) du boîtier (3) de l'appareil de visualisation, présentant l'aspect de la lettre V , tiges obliques (4) sous lesquelles les doigts d'une main se glissent de sorte à ce que la main se trouve prise en sandwich, le dos de ladite main contre le bas des tiges obliques (4) et, la paume, contre le dos (2) du boîtier (3), ce qui a pour effet de solidariser la main avec le boîtier (3), une prise se trouvant renforcée par le mouvement naturel portant les doigts à se serrer les uns contre les autres et donc à se serrer aussi sur une base du dispositif (1) où se rejoignent les deux tiges obliques (4), ce qui a pour résultat de maintenir le boîtier (3) solidaire de la main, le dispositif (1) étant libéré et, avec lui, le boîtier (3), dès qu'un effort est exercé pour écarter les doigts enserrant la base du dispositif (1).
[Revendication 2] Dispositif (1) selon la revendication 1 caractérisé en ce que, sous une jonction des deux tiges obliques (4), se situe une tige verticale (5), la partie visible du dispositif (1) se présentant alors sous la forme d'un Y .
[Revendication 3] Dispositif (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les tiges obliques (4) sont réunies dans la constitution d'un papillon (29) à rotation sans translation.
[Revendication 4] Dispositif (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'un logement (22), en forme d' Y , est aménagé
au dos (2) du boîtier (3), configure pour recevoir, dudit dispositif (1), la partie visible apparaissant au-dessus du dos (2) du boîtier (3), et pour aussi accueillir, du dispositif (1), une partie invisible (24) se trouvant enfouie dans le boîtier (3) lorsque le dispositif (1) est en position verticale au-dessus du dos (2) du boîtier (3), la partie invisible (24) étant configure pour garantir la fixation du dispositif (1) au boîtier (3) ainsi que pour assurer une rotation, faisant pivoter le dispositif (1), permettant de ranger et d'escamoter ledit dispositif (1) dans le logement (22).
[Revendication 5] Dispositif (1) selon la revendication précédente caractérisé
en ce que deux languettes horizontales (40) et deux languettes verticales (41) sont respectivement découpées sur des parois latérales (43) du logement (22) opposées l'une à l'autre, les deux languettes horizontales (40) étant disposées en vis-à-vis l'une de l'autre et les deux languettes verticales (41) étant disposées en vis-à-vis l'une de l'autre, les languettes horizontales (40) étant configurées pour être en saillie et en contact avec la partie invisible (24) lorsque le dispositif est dans sa position verticale d'utilisation de manière à stabiliser le dispositif dans la position verticale d'utilisation, les languettes verticales (41) étant configurées pour être en saillie et en contact avec la partie visible lorsque le dispositif est dans sa position horizontale d'escamotage et de rangement de manière à stabiliser le dispositif dans la position horizontale d'escamotage et de rangement, les languettes horizontales (40) et les languettes verticales (41) étant en outre configurées pour permettre une rotation du dispositif de la position verticale d'utilisation à la position horizontale d'escamotage et de rangement, et inversement, lorsqu'une force permettant de vaincre la stabilisation exercée par les languettes est appliquée sur ledit dispositif [Revendication 6] Dispositif (1) selon l'une des revendications 4 ou 5 caractérisé en ce que la partie invisible (24) présente la forme d'un cylindre avec un axe de révolution correspondant à un axe de symétrie (26) du dispositif (1), la partie invisible (24) comportant un demi-cylindre avant et un demi-cylindre arrière, le bas du demi-cylindre avant étant rogné pour prendre l'aspect d'un quart de sphère (32) encadré par deux surfacés de butée formées par deux premiers triangles rectangles isocèles à
hypoténuse curviligne mobiles (33), le bas du demi-cylindre arrière étant rogné de manière à présenter une surface (37) de contact toujours tangente à l'intérieur de la face arrière (39) du logement (22) lors de la rotation du dispositif (1), le logement (22) comprenant en outre une partie formée par deux seconds triangles rectangles isocèles à
hypoténuse curviligne fixes (42) de butée, destinés à entrer en contact avec les deux surfaces de butée (33) antagonistes, lorsque le dispositif (1), en rotation, arrive à sa position verticale d'utilisation, empêchant le dispositif (1) d'effectuer une rotation le menant au-delà de sa position verticale d'utilisation.
[Revendication 7] Dispositif (1) selon la revendication précédente caractérisé
en ce que la partie invisible (24) du dispositif (1) est d'un diamètre supérieur à
un diamètre de référence de la partie visible du dispositif, le diamètre de référence correspondant, soit au diamètre d'une tige verticale se situant sous une jonction des deux tiges obliques (4), soit au diamètre des deux tiges obliques, en l'absence de tige verticale sous la jonction des deux tiges obliques.
[Revendication 8] Système pour la préhension, la tenue en main et le maniement d'un appareil de saisie-visualisation caractérisé en ce que le système comprend deux dispositifs (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, les deux dispositifs (1) étant fixés sur le dos (2) du boîtier (3) de l'appareil de saisie-visualisation, ou étant fixés sur le dos (2) des deux boîtiers (3) de l'appareil de saisie-visualisation lorsque l'appareil de saisie-visualisation comprend deux volets, de sorte que c'est soit la base de l'un et/ou l'autre dispositif (1) qui se retrouve enserrée par des doigts voisins, soit les deux dispositifs (1) à
la fois qui sont pris, tous deux, comme s'ils ne faisaient qu'un seul dispositif (1), virtuel, par des doigts distants, ainsi un dispositif (1) par le pouce et, l'autre dispositif (1), par l'auriculaire.
[Revendication 2] Dispositif (1) selon la revendication 1 caractérisé en ce que, sous une jonction des deux tiges obliques (4), se situe une tige verticale (5), la partie visible du dispositif (1) se présentant alors sous la forme d'un Y .
[Revendication 3] Dispositif (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les tiges obliques (4) sont réunies dans la constitution d'un papillon (29) à rotation sans translation.
[Revendication 4] Dispositif (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'un logement (22), en forme d' Y , est aménagé
au dos (2) du boîtier (3), configure pour recevoir, dudit dispositif (1), la partie visible apparaissant au-dessus du dos (2) du boîtier (3), et pour aussi accueillir, du dispositif (1), une partie invisible (24) se trouvant enfouie dans le boîtier (3) lorsque le dispositif (1) est en position verticale au-dessus du dos (2) du boîtier (3), la partie invisible (24) étant configure pour garantir la fixation du dispositif (1) au boîtier (3) ainsi que pour assurer une rotation, faisant pivoter le dispositif (1), permettant de ranger et d'escamoter ledit dispositif (1) dans le logement (22).
[Revendication 5] Dispositif (1) selon la revendication précédente caractérisé
en ce que deux languettes horizontales (40) et deux languettes verticales (41) sont respectivement découpées sur des parois latérales (43) du logement (22) opposées l'une à l'autre, les deux languettes horizontales (40) étant disposées en vis-à-vis l'une de l'autre et les deux languettes verticales (41) étant disposées en vis-à-vis l'une de l'autre, les languettes horizontales (40) étant configurées pour être en saillie et en contact avec la partie invisible (24) lorsque le dispositif est dans sa position verticale d'utilisation de manière à stabiliser le dispositif dans la position verticale d'utilisation, les languettes verticales (41) étant configurées pour être en saillie et en contact avec la partie visible lorsque le dispositif est dans sa position horizontale d'escamotage et de rangement de manière à stabiliser le dispositif dans la position horizontale d'escamotage et de rangement, les languettes horizontales (40) et les languettes verticales (41) étant en outre configurées pour permettre une rotation du dispositif de la position verticale d'utilisation à la position horizontale d'escamotage et de rangement, et inversement, lorsqu'une force permettant de vaincre la stabilisation exercée par les languettes est appliquée sur ledit dispositif [Revendication 6] Dispositif (1) selon l'une des revendications 4 ou 5 caractérisé en ce que la partie invisible (24) présente la forme d'un cylindre avec un axe de révolution correspondant à un axe de symétrie (26) du dispositif (1), la partie invisible (24) comportant un demi-cylindre avant et un demi-cylindre arrière, le bas du demi-cylindre avant étant rogné pour prendre l'aspect d'un quart de sphère (32) encadré par deux surfacés de butée formées par deux premiers triangles rectangles isocèles à
hypoténuse curviligne mobiles (33), le bas du demi-cylindre arrière étant rogné de manière à présenter une surface (37) de contact toujours tangente à l'intérieur de la face arrière (39) du logement (22) lors de la rotation du dispositif (1), le logement (22) comprenant en outre une partie formée par deux seconds triangles rectangles isocèles à
hypoténuse curviligne fixes (42) de butée, destinés à entrer en contact avec les deux surfaces de butée (33) antagonistes, lorsque le dispositif (1), en rotation, arrive à sa position verticale d'utilisation, empêchant le dispositif (1) d'effectuer une rotation le menant au-delà de sa position verticale d'utilisation.
[Revendication 7] Dispositif (1) selon la revendication précédente caractérisé
en ce que la partie invisible (24) du dispositif (1) est d'un diamètre supérieur à
un diamètre de référence de la partie visible du dispositif, le diamètre de référence correspondant, soit au diamètre d'une tige verticale se situant sous une jonction des deux tiges obliques (4), soit au diamètre des deux tiges obliques, en l'absence de tige verticale sous la jonction des deux tiges obliques.
[Revendication 8] Système pour la préhension, la tenue en main et le maniement d'un appareil de saisie-visualisation caractérisé en ce que le système comprend deux dispositifs (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, les deux dispositifs (1) étant fixés sur le dos (2) du boîtier (3) de l'appareil de saisie-visualisation, ou étant fixés sur le dos (2) des deux boîtiers (3) de l'appareil de saisie-visualisation lorsque l'appareil de saisie-visualisation comprend deux volets, de sorte que c'est soit la base de l'un et/ou l'autre dispositif (1) qui se retrouve enserrée par des doigts voisins, soit les deux dispositifs (1) à
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