FR3045157B1 - Controle qualite d'un contact electrique - Google Patents

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Abstract

Procédé de contrôle de la qualité d'un contact électrique, disposé dans une carte plastique mince et rendu accessible par usinage de ladite carte, comprenant les étapes suivantes : acquisition d'une image (5) du contact électrique, tri des pixels (6) de l'image (5), selon au moins deux catégories (11), par comparaison de leur teinte avec des teintes de références (7), et comptage pour déterminer un nombre de pixels (12) par catégorie (11), la qualité du contact électrique étant satisfaisante si, dans une zone utile, les nombres de pixels (12) vérifient une propriété donnée.

Description

La présente invention concerne un procédé de contrôle de la qualité d'un contact électrique.
Un tel contact électrique est typiquement réalisé en noyant une pièce conductrice, tel un morceau de cuivre, dans une carte plastique mince, et en usinant ensuite, dans son épaisseur, la carte plastique mince jusqu'à atteindre la pièce conductrice afin de la rendre apparente et accessible et ainsi former un contact électrique. Une telle carte plastique mince est par exemple conforme à la norme ISO 7810 et présente une épaisseur de l'ordre de 0,76 mm.
La pièce conductrice noyée présente une épaisseur faible typiquement de l'ordre de 0,1 mm. De plus la tolérance de sa cote de positionnement dans l'épaisseur de la carte est typiquement de +/-0,04 mm. Aussi, la profondeur d'usinage doit être précise. La profondeur d'usinage doit être suffisamment importante pour supprimer le plastique situé au-dessus et mettre à jour la pièce conductrice, mais ne doit cependant pas être trop importante afin de ne pas risquer un arrachement de tout ou partie de la pièce conductrice. Il est encore avantageux d'usiner superficiellement la pièce conductrice afin de former une surface plane, supprimer d'éventuels oxydes présents en périphérie de la pièce conductrice et, le cas échéant, réaliser un état de surface particulier.
Compte tenu des épaisseurs ci-dessus, en relation avec la tolérance de la profondeur d'usinage, typiquement de l'ordre de 40 pm, l'opération d'usinage est délicate à maîtriser. Aussi un procédé de contrôle de la qualité d'un tel contact électrique ainsi réalisé est avantageux pour gérer une production.
Il est connu, pour contrôler la qualité d'un contact électrique ainsi réalisé par usinage, d'utiliser la propriété de brillance du cuivre usiné. Pour cela le contact électrique est fortement éclairé pendant qu'une image monochrome est acquise. Si la pièce conductrice est correctement usinée, la surface usinée réfléchit la lumière. La quantité de cette lumière peut être mesurée par l'intensité de l'image. Si la profondeur d'usinage est insuffisante, la persistance de plastique et/ou d'oxydes, au-dessus de la pièce conductrice, va limiter la réflexion de la lumière. De même, si la profondeur d'usinage est trop importante, un arrachement de la pièce conductrice, laissant apparaître le plastique en-dessous, limite aussi la réflexion de la lumière. Aussi la quantité de lumière réfléchie est un indicateur de la qualité du contact électrique.
Un tel principe trouve cependant ses limites en ce que la pièce conductrice n'est pas nécessairement brillante après usinage. Ceci est le cas notamment lorsque la pièce conductrice n'est pas réalisée en métal. Ceci est encore le cas avec une pièce conductrice en cuivre présentant un état de surface volontairement grossier. Un tel état de surface peut être obtenu par un traitement comprenant une attaque chimique et/ou un brossage mécanique et/ou un usinage spécifique afin de créer des stries. Un tel traitement est avantageux en ce qu'il améliore la transmission de courant et/ou la tenue d'un adhésif d'interface. Il nécessite cependant de réaliser un contrôle qualité selon un principe alternatif, tel que celui proposé par l'invention. L'invention a pour objet un procédé de contrôle de la qualité d'un contact électrique, disposé dans une carte plastique mince et rendu accessible par usinage de ladite carte, comprenant les étapes suivantes : acquisition d'une image du contact électrique, tri des pixels de l'image, selon au moins deux catégories, par comparaison de leur teinte avec des teintes de références, et comptage pour déterminer un nombre de pixels par catégorie, la qualité du contact électrique étant satisfaisante si, dans une zone utile, les nombres de pixels vérifient une propriété donnée.
Selon une autre caractéristique, la propriété est définie par au moins une inégalité sur les nombres de pixels.
Selon une caractéristique alternative, la propriété est qu'une note, combinaison linéaire de nombres de pixels, est au moins égale à un seuil.
Selon une autre caractéristique, les catégories comprennent : une catégorie acceptable, une catégorie neutre et une catégorie non acceptable.
Selon une autre caractéristique, les teintes de référence sont déterminées par apprentissage pour les teintes de la catégorie acceptable et de la catégorie non acceptable, la catégorie neutre comprenant toutes les teintes non contenues dans les deux autres catégories.
Selon une autre caractéristique, l'image est en couleur.
Selon une autre caractéristique, la comparaison de teinte est réalisée avec un seuil de distance sur la (ou les) composante(s), préférentiellement égal à +/-20.
Selon une autre caractéristique, la zone utile comprend une zone nominale où doit se trouver le contact électrique.
Selon une autre caractéristique, la zone utile comprend une zone d'interface où le contact électrique doit venir en contact avec un contact homologue.
Selon une autre caractéristique, le contact électrique est conformé en une plaque surfacique continue, et la propriété est définie par au moins 7 0% de pixels dans la catégorie acceptable.
Selon une caractéristique alternative, le contact électrique est conformé en un serpentin linéaire, et la propriété est définie par une proportion de pixels dans la catégorie acceptable, fonction de la section du serpentin et de sa longueur dans la zone utile.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend encore une étape d'analyse de continuité du serpentin, la qualité du contact électrique ne pouvant être satisfaisante que si une longueur continue dépasse un seuil de longueur, préférentiellement égal à 75mm.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend encore une étape de détection de boucle dans le serpentin, la qualité du contact électrique ne pouvant être satisfaisante qu'en l'absence de boucle. L'invention concerne encore un procédé de réglage de la profondeur d'usinage, comprenant les étapes suivantes : usinage dans une carte plastique mince, calcul d'une note selon le procédé de contrôle précédent, correction de la profondeur d'usinage si la note baisse, passage à une carte suivante, reprise à l'étape d'usinage. L'invention concerne encore un procédé de suivi de l'usure d'un outil d'usinage, comprenant les étapes suivantes : usinage dans une carte plastique mince, calcul d'une note selon le procédé de contrôle précédent, une note inférieure à un seuil étant interprétée comme un besoin de changement d'outil. D'autres caractéristiques, détails et avantages de l'invention ressortiront plus clairement de la description détaillée donnée ci-après à titre indicatif en relation avec des dessins sur lesquels : - la figure 1 présente, en vue de profil, une section A-A d'une carte plastique, - la figure 2, présente, en vue de face, la même carte plastique, - la figure 3, présente, en vue de face, un mode de réalisation alternatif, - la figure 4 est un schéma synoptique de l'étape de tri.
Le procédé objet de l'invention vise à contrôler la qualité d'un contact électrique, dont un exemple est illustré aux figures 1,2, et plus particulièrement réalisé de la manière suivante.
Au cours d'une première étape une pièce conductrice 2 est mise en place au cœur d'une carte 1 plastique mince. Une telle carte 1 plastique est typiquement sensiblement plane et est mince en ce que son épaisseur est faible devant ses dimensions dans le plan. Une telle carte 1 est par exemple conforme à la norme ISO 7810. La mise en place de la pièce conductrice 2 dans la carte 1 est réalisée de manière connue par moulage ou par laminage entre plusieurs couches constituantes. A l'issue de la mise en place la pièce conductrice 2 se trouve noyée dans la matière plastique, tel que plus particulièrement visible à la figure 1. Au cours d'une deuxième étape, il est procédé à un usinage, typiquement dans l'épaisseur de la carte 1, afin de faire apparaître et de rendre accessible au moins une partie de la pièce conductrice 2.
Selon un mode de réalisation illustré aux figures 1 et 2, l'usinage peut prendre la forme d'un premier lamage 3. Ledit usinage est réalisé au droit de la pièce conductrice 2 et jusqu'à atteindre une surface, ici la surface supérieure, de la pièce conductrice 2.
Selon l'exemple illustré, le premier lamage 3 est tel qu'il met à jour deux pièces conductrices 2, et réalise ainsi simultanément deux contacts électriques, qui affleurent au fond du premier lamage 3.
Selon une application particulière, un tel premier lamage 3, avantageusement complété par un deuxième lamage 4, est apte à accueillir un module comprenant un microcircuit. Les deux contacts électriques sont connectés respectivement aux deux extrémités d'une antenne disposée dans la carte 1. Les deux contacts électriques sont destinés à permettre de réaliser deux connexions avec deux contacts électriques homologues, disposés en regard sur ledit module, afin de relier électriquement l'antenne avec le microcircuit, lorsque le module est mis en place dans la cavité formée par les deux lamages 3,4.
Comme décrit précédemment, la profondeur d'usinage doit être suffisamment importante pour supprimer le plastique situé au-dessus et mettre à jour la pièce conductrice 2. La profondeur d'usinage ne doit cependant pas être trop importante afin de ne pas risquer un arrachement de tout ou partie de la pièce conductrice 2. L'étape d'usinage est avantageusement mise à profit pour usiner superficiellement la pièce conductrice 2. Plusieurs objectifs sont ici recherchés : former une surface plane afin de préparer une zone de contact électrique et supprimer d'éventuels oxydes pouvant être présents en surface de la pièce conductrice 2, à l'interface avec la carte 1. Il a été observé récemment qu'un état de surface grossier était avantageux pour la réalisation d'un contact. Aussi l'étape d'usinage peut, le cas échéant, réaliser ledit état de surface particulier. Ceci peut être réalisé directement, en une unique passe, conjointement avec la réalisation du premier lamage 3, typiquement réalisée avec une fraise, ou encore au cours, d'une passe ultérieure, par exemple de brossage. L'objet de l'invention est de fournir une indication de qualité du contact électrique ainsi réalisé. Cette indication peut être tout ou rien en vue d'un contrôle qualité d'acceptation en fabrication. Cette indication peut encore être proportionnelle afin de permettre de piloter un processus de fabrication.
Le procédé de contrôle de la qualité d'un tel contact électrique, schématisé à la figure 4, comprend les étapes suivantes. Au cours d'une première étape, une image 5 du contact électrique est acquise. Au cours d'une deuxième étape, il est procédé à un tri des pixels 6 de ladite image 5, afin de répartir les pixels 6 en au moins deux catégories 11. Ce tri est réalisé par comparaison de la teinte de chaque pixel 6 avec des teintes de références 7 associées aux catégories 11. A l'issue du tri, un comptage est réalisé qui détermine, pour chaque catégorie 11, un nombre de pixels 12 contenu dans la catégorie 11. Il est alors possible de construire une propriété basée sur tout ou partie de ces nombres de pixels 12. Il est ainsi possible de déterminer qu'un contact électrique est satisfaisant, si et seulement si les nombres de pixels 12 vérifient ladite propriété. Avantageusement, une propriété est définie pour une zone utile 8 de l'image 5.
Selon un premier mode de réalisation, la propriété est définie par au moins une inégalité entre nombres de pixels 12 et/ou entre nombres de pixels 12 et des seuils, préférentiellement constants. Ainsi selon un premier exemple, la propriété est que le nombre de pixels 12 d'une catégorie est supérieur aux nombres de pixels des autres catégories. Selon un autre exemple la propriété est que le nombre de pixels 12 d'une catégorie donnée est supérieur à un seuil (en nombre de pixels) ou à une proportion donnée (en nombre de pixels relativement au total), telle 50%. Selon un autre exemple, la propriété est que le nombre de pixels 12 d'une première catégorie est supérieur à un premier seuil ou proportion Xl%, et le nombre de pixels 12 d'une deuxième catégorie est inférieur à un deuxième seuil ou proportion X2%.
Ainsi dans ce dernier exemple la première catégorie peut être une catégorie acceptable, tandis que la deuxième catégorie peut être une catégorie non acceptable. La propriété s'interprète alors : le contact électrique présente une qualité satisfaisante si son image 1 comprend, dans une zone utile 8, au moins Xl% de pixels acceptables, sans que la proportion de pixels non acceptables ne dépasse X2%.
Selon un autre mode de réalisation, la propriété est construite sur une note, obtenue par combinaison linéaire de tout ou partie des nombres de pixels 12.
Ainsi, soit Ni le nombre de pixels 12 de la ième catégorie 11, la note de qualité Q s'exprime par la combinaison linéaire suivante :
Avec a± un coefficient scalaire ou poids associé à Ni. La valeur d'un poids ai est déterminée en fonction de l'apport d'un pixel 6 de la catégorie i à la qualité. Ainsi un poids est positif et d'autant plus grand en valeur absolue que la catégorie associée améliore la note Q. Au contraire un poids est négatif et d'autant plus grand en valeur absolue que la catégorie associée réduit la note Q. Un poids peut être nul pour une catégorie associée non pertinente au regard de la note.
La note Q est un indicateur proportionnel, permettant de quantifier la qualité du contact. Si un indicateur de satisfaction tout ou rien est souhaité, ladite note est comparée à un seuil ou note minimale.
Selon une autre caractéristique, les catégories comprennent : une catégorie acceptable, une catégorie neutre
et une catégorie non acceptable.
Une catégorie acceptable comprend typiquement les pixels 6 dont les teintes correspondent au résultat souhaité. Ainsi cette catégorie comprend avantageusement toutes les teintes nominales pouvant être obtenues lorsqu'une pièce conductrice 2 a été correctement usinée.
Une catégorie non acceptable comprend typiquement les pixels 6 dont les teintes correspondent à des matériaux et/ou évènements non souhaités. Ainsi cette catégorie comprend avantageusement toutes les teintes de plastique formant la carte 1 et que l'on ne doit normalement pas trouver dans la zone utile 8 du contact électrique, en ce qu'elles sont indicatives d'un usinage trop ou trop peu profond. Cette catégorie non acceptable peut encore comprendre les teintes correspondant à une opération non ou mal réalisée, tel que des teintes d'oxyde ou des teintes de la pièce conductrice 2 lorsqu'elle n'a pas ou mal reçue un traitement de surface.
Au moins une catégorie neutre est avantageuse en ce qu'elle permet de sortir d'une dualité (Ok/NOk) et d'introduire d'autres paramètres/teintes dans la propriété et ainsi de nuancer la décision qualité.
Les teintes de référence 7 utilisées pour caractériser les catégories 11 peuvent être déterminées par toute méthode théorique ou pratique. Selon une autre caractéristique, les teintes de référence 7 sont déterminées par apprentissage. Ainsi un opérateur peut pointer dans une image 5, au moins un pixel 6 et lui associer une catégorie 11, la teinte dudit pixel 6 devenant alors une teinte de référence 7 pour ladite catégorie 11.
Avantageusement, l'opérateur connaissant le processus et sachant déterminer si un contact électrique est satisfaisant, est capable de dire dans une image 5, si un pixel 6 présente une teinte acceptable ou une teinte non acceptable et ainsi apprendre au système une ou plusieurs teinte de référence 7 en la pointant dans l'image 5 et en lui associant une catégorie 11. Ceci est avantageusement applicable afin de définir une ou plusieurs teintes de la catégorie acceptable et/ou de la catégorie non acceptable.
Afin de ne pas devoir ainsi sélectionner toutes les teintes de la palette de teinte, la catégorie neutre est avantageusement une catégorie supplémentaire comprenant toutes les teintes restantes, soit les teintes non associées à la catégorie acceptable et non associées à la catégorie non acceptable. Ceci peut être généralisé, pour un nombre n quelconque de catégories 11 avec une n+lème catégorie neutre supplémentaire comprenant les teintes non associées à l'une des n catégories.
En référence à la figure 4 présentant une image 5, simplifiée pour l'illustration, le procédé peut être décrit. L'image 5 comprend ici 9x10 pixels et 4 teintes différentes : « blanche », « hachurée », « quadrillée » et « vaguelette ». Trois catégories 11 sont considérées. Une première catégorie 11 est définie par une unique teinte de référence 7 : « blanche ». Une deuxième catégorie 11 est définie par deux teintes de référence 7 : « hachurée » et « quadrillée ». Une troisième catégorie 11 est définie par défaut, en ce qu'elle reçoit toutes les autres teintes. Une catégorie neutre ne comporte pas de teinte de référence 7. En suivant les flèches, la teinte de chaque pixel 6 de l'image 5 est comparée avec les teintes de référence 7 d'une première catégorie 11. Soit pour la première catégorie, la teinte d'un pixel 6 est comparée avec la teinte de référence « blanche ». Si cette comparaison est positive, ledit pixel 6 est versé à la première catégorie 11. Si cette comparaison est négative, le procédé se poursuit, pour la deuxième catégorie 11, en comparant la teinte du pixel 6 avec les teintes de référence 7 « hachurée » et « quadrillée ». Si cette comparaison est positive, ledit pixel 6 appartient à la deuxième catégorie 11. Si cette comparaison est négative le pixel 6 appartient à la dernière catégorie 11. Chaque fois qu'un pixel 6 est versé à une catégorie 11, le nombre de pixels 12 de cette catégorie est incrémenté de 1. Le traitement de tous les pixels 6, avec ces 3 catégories, conduit à des nombres de pixels 12 respectivement égaux à 18 pour la première catégorie, 54 pour la deuxième catégorie et 20 pour la troisième catégorie. Ces nombres de pixels 12 ainsi déterminés peuvent être utilisés dans toute propriété.
Il a été décrit jusqu'ici des teintes. Une teinte s'entend, dans la présente, comme un terme générique désignant un niveau de gris pour une image en niveau de gris, et une couleur pour une image en couleur. Une teinte peut être monochrome, en niveau de gris, pour une image 5 acquise en monochrome. L'invention est applicable en monochrome.
Cependant, selon une caractéristique avantageuse l'image 5 peut être en couleur. Dans ce cas, une teinte est une couleur et tant l'acquisition de l'image 5, que son traitement, sont alors réalisés en couleur.
Une teinte monochrome est typiquement définie par une composante ou intensité. Ainsi, par exemple avec 8 bits, une intensité est définie entre 0 et 28-l, soit entre 0 (intensité min) et 255 (intensité max).
Une teinte couleur est typiquement définie par 3 composantes. Chacune de ces trois composantes présente, par exemple avec 8 bits, une étendue définie entre 0 et 255. Une composante peut être une intensité dans une couleur de base. Ainsi pour une base RGB (Rouge, Vert, Bleu) la première composante définit l'intensité de rouge, la deuxième composante définit l'intensité de vert et la troisième composante définit l'intensité de bleu. Une autre base peut être CMY (Cyan, Magenta, Jaune). Selon une autre modélisation, une teinte peut être décomposée en HSV (Teinte, Saturation, Brillance) ou HLS (Teinte, Luminosité, Saturation).
Aussi le fait de passer du monochrome à la couleur augmente très nettement la précision de définition d'une teinte qui passe typiquement de 256 valeurs à 2563=16777216 valeurs.
Mais surtout, quel que soit le système de codage/modélisation retenu, on passe d'un système à une dimension à un système à trois dimensions. Un système monochrome ne voit qu'une intensité, et peut être leurré par des niveaux de gris similaires alors que provenant de couleurs différentes. Avantageusement, un système couleur peut faire la différence.
Ceci est particulièrement le cas dans le contexte de l'invention, où un plastique lisse et/ou poli peut apparaître aussi ou plus brillant qu'une surface métallique au contraire dépolie pour rechercher un état de surface grossier. Ainsi un système monochrome peut être leurré et confondre une surface plastique plus lisse avec une surface métallique moins lisse, en ce qu'elles peuvent produire dans l'image 5 des niveaux de gris identiques.
Aussi dans le contexte particulier de l'invention, la couleur peut permettre de distinguer nettement, une surface métallique, par exemple de cuivre, qui présente des teintes particulières, principalement situées dans le jaune et l'orange, d'une surface plastique, qui présente des teintes principalement blanches.
Afin, pour caractériser une catégorie 11 par des teintes de références 7, de ne pas multiplier lesdites teintes de référence, une teinte de référence 7 est considérée inclure toutes les teintes proches, soit toutes les teintes situées à une distance donnée. En considérant un seuil S de distance, par exemple sur les trois composantes, sont incluses dans la même catégorie 11, toutes les teintes dont chacune des composantes diffère au plus de +/- S de la composante correspondante de la teinte de référence 7. Ceci permet de définir un domaine de teintes pour une catégorie 11 avec un nombre plus réduit de teintes de référence 7. Préférentiellement, pour des composantes définies entre 0 et 255, un tel seuil S est avantageusement pris égal à 20. D'autres distances et/ou d'autres systèmes de codage des teintes sont encore utilisables ici afin de définir un voisinage pour une teinte de référence 7.
Il a été vu que la propriété est contrôlée/vérifiée sur une zone utile 8 de l'image 5.
Ainsi, par exemple pour vérifier qu'une surface minimale de la pièce conductrice 2 a bien été mise à jour par l'usinage, il peut être défini une catégorie acceptable comprenant les teintes normalement prises par la pièce conductrice 2 lorsqu'elle est correctement usinée et le cas échéant traitée en surface. Une catégorie non acceptable peut être définie comprenant les teintes du plastique et/ou les teintes de la pièce conductrice 2 n'ayant pas reçu le traitement de surface. Une catégorie neutre peut encore être définie de manière complémentaire.
Une propriété peut alors être définie par une condition de présence d'une proportion minimale de pixels 6 dans la catégorie acceptable. La propriété peut encore être avantageusement complétée en ajoutant une condition de présence d'une proportion maximale de pixels 6 dans la catégorie non acceptable. La propriété peut encore être robustifiée en ajoutant une condition de présence d'une proportion maximale de pixels 6 dans la catégorie neutre.
La propriété et ses proportions sont dimensionnées en fonction du contenu de la zone utile 8. A titre illustratif, il est supposé que la zone utile 8, avantageusement sensiblement centrée sur la pièce conductrice 2 formant le contact électrique, est occupée à 80% de sa surface par ledit contact lorsque ce dernier est satisfaisant, les 20% restant étant du plastique l'entourant. Le tri des pixels doit normalement conduire à 80% dans la catégorie acceptable, 20% dans la catégorie non acceptable et 0% dans la catégorie neutre.
Aussi, en incluant une tolérance de 10%, une proportion d'au moins 70% dans la catégorie acceptable permet de s'assurer qu'une surface minimale suffisante de contact électrique est présente. Une proportion d'au plus 30% dans la catégorie non acceptable permet de s'assurer que la surface de plastique résiduel reste limitée et ainsi renforcer le test qualité. De plus, une proportion d'au plus, par exemple 10%, dans la catégorie neutre peut permettre de robustifier le procédé en détectant toute autre teinte, qui peut être indicative, par exemple, de la présence d'un corps étranger.
La zone utile 8 est importante de manière à déterminer la propriété. La zone utile 8 comprend avantageusement une zone nominale 9, définie comme une surface où doit nominalement se trouver le contact électrique. Elle peut avantageusement être plus grande afin de prendre en compte un possible déplacement.
La zone utile 8 peut avantageusement être plus petite afin de réduire le traitement. A minima, afin que la fonction contact soit assurée, la zone utile 8 comprend avantageusement une zone d'interface 10, définie comme une surface où le contact électrique doit venir en contact avec un contact homologue, typiquement disposé sur le module qui vient en regard.
Selon un mode de réalisation, plus particulièrement illustré à la figure 2, la pièce conductrice 2 qui forme le contact électrique est conformée en une plaque surfacique continue.
Selon un mode de réalisation alternatif, plus particulièrement illustré à la figure 3, la pièce conductrice 2 qui forme le contact électrique est conformée en un serpentin linéaire, typiquement réalisé au moyen d'un fil conducteur. Il en résulte que la densité de la pièce conductrice 2, relativement au plastique, est nettement plus faible que pour une plaque surfacique continue. Aussi la proportion de pixels dans la catégorie acceptable de la propriété doit être plus faible. Cette proportion peut être estimée en fonction de la section du serpentin et de sa longueur dans la zone utile 8. La surface de serpentin est égale au produit de la section par la longueur.
Dans le cas d'un serpentin, sa section plus faible le rend plus sujet à une détérioration au cours de l'étape d'usinage. Une telle détérioration peut prendre la forme d'une coupure ou discontinuité, ou encore consister en un arrachement de tout ou partie. Aussi le procédé de contrôle de la qualité, inclut avantageusement des étapes de contrôle supplémentaires correspondant à ces deux détériorations.
Ainsi le procédé peut encore comprendre une étape d'analyse de continuité du serpentin. La continuité est typiquement constatée lorsqu'une suite ininterrompue de pixels de même teinte, ou de même catégorie, est détectée. Cette étape crée un test complémentaire qui s'ajoute au test principal précédent lié à la propriété. Il est, par exemple, déterminé une longueur continue maximale de serpentin. Le test complémentaire stipule que ladite longueur continue maximale de serpentin est au moins égale à un seuil de longueur, préférentiellement égal à 75mm. La qualité du contact électrique est satisfaisante si le test complémentaire de continuité est validé et qu'en plus la propriété du test principal est vérifiée.
Afin de détecter un éventuel arrachement d'au moins une partie du serpentin qui peut venir se redéposer, le procédé comprend encore une étape de détection de boucle dans le serpentin. Cette détection est, par exemple réalisée par détection d'un croisement du fil constitutif du serpentin. Cette étape crée un test complémentaire, validé en l'absence de boucle, qui s'ajoute au test principal précédent lié à la propriété.
Le dispositif de mise en oeuvre du procédé de contrôle de la qualité est avantageusement implanté sur une chaîne de fabrication et permet de vérifier le résultat de l'opération d'usinage rapidement après sa réalisation. Ainsi le procédé permet de détecter rapidement un problème de fabrication dès que celui-ci impacte le contact électrique et sa qualité.
Selon un mode de réalisation, le dispositif de contrôle peut encore être utilisé par un procédé de réglage de la profondeur d'usinage. Pour cela il est préférable de disposer d'un indicateur proportionnel. Une note, telle que précédemment décrite, calculée par combinaison linéaire des nombres de pixels 12, peut avantageusement constituer un tel indicateur.
En considérant au moins une catégorie acceptable comprenant les teintes nominales de la pièce conductrice 2 correctement usinée, le nombre de pixels 12 ou la proportion de pixels de cette catégorie 11 fournit ainsi une note indicative de la qualité du contact électrique. Cette note peut encore être complétée en incluant le nombre de pixels 12 d'au moins une autre catégorie, telle une catégorie non acceptable, typiquement affecté d'un poids négatif, et/ou le nombre de pixels 12 d'une catégorie neutre.
Lorsque la profondeur d'usinage correspond à un usinage nominal, situé dans l'épaisseur de la pièce conductrice 2, la note est maximale. Lorsque la profondeur d'usinage évolue, la note ne peut que baisser. Si la profondeur augmente, l'outil retire au moins partiellement la pièce conductrice 2 dont la surface diminue, réduisant le nombre de pixels 11 de la catégorie acceptable et la note. De même, si la profondeur diminue, par exemple suite à une usure de l'outil, l'outil ne retire plus totalement le plastique du dessus ou l'oxyde de surface, qui persiste au-dessus de la pièce conductrice 2 réduisant ainsi sa surface visible, et avec elle le nombre de pixels 11 de la catégorie acceptable et la note.
Aussi une telle note peut être utilisée dans un procédé d'asservissement permettant un réglage de la profondeur d'usinage comprenant les étapes suivantes. Une première étape consiste à réaliser un premier usinage dans une carte 1 plastique mince. Une deuxième étape calcule une note, telle que précédemment décrite. Tant que ladite note reste suffisamment élevée et proche de la valeur nominale/maximale, la profondeur d'usinage n'est pas modifiée. Si l'on observe une baisse de la note, relative (la note présente une variation supérieure à un seuil relativement à la dernière valeur observée), ou absolue (la note devient inférieure à un seuil absolu), la profondeur d'usinage est corrigée.
Ceci permet avantageusement d'adapter le procédé d'usinage, au moins aux deux causes principales de variation de la profondeur d'usinage. Une première cause est une possible excursion de la cote de profondeur de la pièce conductrice 2, due aux tolérances des machines de fabrication. Une deuxième cause est une usure de l'outil d'usinage.
Selon un mode de réalisation, la profondeur d'usinage est corrigée par une augmentation. Si une amélioration de la note est constatée pour la carte suivante, la profondeur d'usinage peut encore être augmentée jusqu'à obtenir une note supérieure à un seuil donné. Si au contraire une nouvelle dégradation de la note est observée, la profondeur d'usinage est réduite. Ce procédé est itératif tant que la note n'est pas au moins égale à une valeur minimale.
Il est alternativement possible de débuter par une réduction de la profondeur d'usinage. Une modification de la profondeur d'usinage due à une usure de l'outil provoque toujours une réduction, tandis qu'une variation de la cote de profondeur de la pièce conductrice 2 est imprévisible. Aussi une correction par augmentation de la profondeur d'usinage, qui compense une telle usure, est privilégiée comme plus probable.
Le procédé de réglage peut conduire à rejeter 1 ou 2 cartes pendant ou suite à une correction. Cependant, les cartes étant fabriquées, puis usinées, par plaques ou par lots, on bénéficie avantageusement du fait que la cote de profondeur est sensiblement constante dans une plaque ou un lot.
De manière similaire, le dispositif de contrôle peut être mis en œuvre dans un procédé de suivi de l'usure d'un outil d'usinage. Un tel procédé comprend les étapes suivantes. Un premier usinage est réalisé, et une note est calculée. Une dégradation importante de la note, en ce qu'elle devient Inférieure à un seuil donné, indicative d'une profondeur d'usinage nettement insuffisante, est interprétée comme une usure trop importante de l'outil et un besoin de procéder à son changement.

Claims (16)

  1. REVENDICATIONS
    1. Procédé de contrôle de la qualité d'un contact électrique, disposé dans une carte (1) plastique mince et rendu accessible par usinage de ladite carte (1), caxactéxise es co qa'il comprend les étapes suivantes : - acquisition d'une image (5) du contact électrique, - tri des pixels (6) de l'image (5), selon au moins deux catégories (11), par comparaison de leur teinte avec des teintes de références (7), et ~ comptage pour déterminer un nombre de pixels (12) par catégorie (11).
  2. 2. Procédé selon la revendication 1, où la qualité du contact électrique est satisfaisante si, dans une zone utile (8), les nombres de pixels (12) vérifient une propriété définie par au moins une inégalité sur les nombres de pixels (12).
  3. 3. Procédé selon la revendication 1, comprenant encore une étape de détermination d'une note, combinaison linéaire de nombres de pixels (12).
  4. 4. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, où les catégories (11) comprennent : une catégorie acceptable, une catégorie neutre et une catégorie non acceptable.
  5. 5. Procédé selon la revendication 4, où les teintes de référence (7) sont déterminées par apprentissage pour les teintes de la catégorie acceptable et de la catégorie non acceptable, la catégorie neutre comprenant toutes les teintes non contenues dans les deux autres catégories.
  6. 6. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à S, où l'image est en couleur.
  7. 7. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, où la comparaison de teinte est réalisée avec un seuil de distance sur une {ou des) composante(s) , préférentiellement égal à +/-20.
  8. 8. Procédé selon l'une quelconque des revendications 3 à 7, où la qualité du contact électrique est satisfaisante si la note est au moins égale à un seuil.
  9. 9. Procédé selon la revendication 2, où la zone utile (8) comprend une zone nominale (9) où doit se trouver le contact électrique.
  10. 10. Procédé selon la revendication 9, où la zone utile (8) comprend une zone d'interface (10) où le contact électrique doit venir en contact avec un contact homologue.
  11. 11. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 10, où le contact électrique est conformé en une plaque surfacique continue, et la qualité du contact électrique est satisfaisante si au moins 70% de pixels (6) sont dans la catégorie acceptable (11).
  12. 12. Procédé selon l'une quelconque des revendications 2 à 11, où le contact électrique est conformé en un serpentin linéaire, et la qualité du contact électrique est satisfaisante si une proportion de pixels (6) est dans la catégorie acceptable (11), ladite proportion étant fonction de la section du serpentin et de sa longueur dans la zone utile {8).
  13. 13. Procédé selon la revendication 12, comprenant encore une étape d'analyse de continuité du serpentin, la qualité du contact électrique ne pouvant être satisfaisante que si une longueur continue dépasse un seuil de longueur, préférentiellement égal à 75mm.
  14. 14. Procédé selon l'une quelconque des revendications 12 ou 13, comprenant encore une étape de détection de boucle dans le serpentin, la qualité du contact électrique ne pouvant être satisfaisante qu'en l'absence de boucle.
  15. 15. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 14, comprenant encore les étapes suivantes : - usinage dans une carte (1) plastique mince, - calcul d'une note selon l'une quelconque des revendications 3 à 7, - correction de la profondeur d'usinage si la note baisse, - passage à une carte (1) suivante, - reprise à l'étape d'usinage.
  16. 16. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 14, comprenant encore les étapes suivantes : - usinage dans une carte (1) plastique mince, - calcul d'une note selon l'une quelconque des revendications 3 a 7, une note inférieure à un seuil étant interprétée comme un besoin de changement d'outil.
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