FR3044286A1 - Velo comportant un cadre evolutif apte a etre modifie en hauteur et/ou en longueur - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un vélo (1) comportant un cadre (2) s'étendant selon une longueur L et une hauteur H, le cadre étant destiné à établir une liaison fixe entre des organes (3) du vélo, les organes comprenant au moins une selle (30), un pédalier (31), au moins une roue arrière (32), un ensemble comportant un guidon (33) et au moins une roue avant (34), caractérisé en ce que le cadre (2) comporte : - au moins deux pièces de cadre (4) susceptibles d'être couplées ensemble, chaque pièce de cadre étant destinée à porter au moins un organe du vélo ; - au moins un module de cadre (5) susceptible d'être couplé entre au moins deux pièces de cadre de manière à modifier la hauteur H et/ou la longueur L du cadre.

Description

Vélo comportant un cadre évolutif apte à être modifié en hauteur et/ou en longueur.

Le domaine de l’invention est celui de la conception et de la fabrication de vélos. Plus précisément, l’invention concerne un vélo évolutif permettant de modifier les dimensions du vélo et les activités permises par le vélo.

Quand un enfant très jeune apprend à faire du vélo, il a besoin d’avoir un vélo à sa taille. Ainsi, au fur et à mesure que cet enfant grandit, ce qu’un vélo permet à cet enfant de réaliser ainsi que la taille de ce vélo deviennent inadaptés.

Par exemple, au niveau de la taille du vélo, un vélo adapté à un enfant de quatre ans n’est pas adapté à un adolescent de quatorze ans. Il est ainsi nécessaire que la taille du vélo soit adaptée à la taille de l’enfant qui l’utilise.

Pour adapter un vélo à la taille d’un enfant, on connaît les solutions impliquant des selles et des guidons réglables. Ces solutions connaissent cependant des limites résidant dans le fait qu’elles n’ont qu’une portée limitée et ne peuvent, à terme, empêcher le rachat d’un nouveau vélo. En effet, une selle comportant une tige réglable ne peut pas être indéfiniment écartée d’un cadre de vélo. Ainsi, si un vélo d’enfant peut être partiellement adapté quand l’enfant grandit, ce vélo ne pourra pas être adapté à la carrure d’un adolescent. A contrario, un vélo d’adolescent ne pourra jamais être adapté à un très jeune enfant.

Selon un autre exemple, un enfant ou un adolescent peut avoir envie de pratiquer des activités de cyclisme qui requièrent des types particuliers de vélo (BMX, VTT, vélo de course, ...).

Ainsi, tel qu’on peut le comprendre, la croissance en taille d’un enfant et l’évolution de ses envies impliquent l’achat de nouveaux vélos si on souhaite que l’enfant puisse réaliser ces activités et/ou continuer à faire du vélo.

Cette nécessité de changement de vélo représente ainsi un inconvénient majeur inhérent aux vélos proposés par l’art antérieur. L’invention a notamment pour objectif de pallier cet inconvénient de l’art antérieur.

Plus précisément, l’invention a pour objectif de proposer un vélo qui peut être adapté à la taille d’un enfant pendant toute son enfance, pendant son adolescence, voire adapté à sa taille adulte. L’invention a également pour objectif de proposer un tel vélo qui puisse être adapté selon l’activité qu’un enfant souhaite réaliser avec ce vélo. L’invention a encore pour objectif de proposer un tel vélo qui puisse être personnalisé de manière plus importante que ce que permettent les vélos proposés par l’art antérieur.

Ces objectifs, ainsi que d’autres qui apparaîtront par la suite, sont atteints grâce à l’invention qui a pour objet un vélo comportant un cadre s’étendant selon une longueur L et une hauteur H, le cadre étant destiné à établir une liaison fixe entre des organes du vélo, les organes comprenant au moins : - une selle ; - un pédalier ; - au moins une roue arrière ; - un ensemble comportant un guidon et au moins une roue avant, caractérisé en ce que le cadre comporte : - au moins deux pièces de cadre susceptibles d’être couplées ensemble, chaque pièce de cadre étant destinée à porter au moins un organe du vélo ; - au moins un module de cadre susceptible d’être couplé entre au moins deux pièces de cadre de manière à modifier la hauteur H et/ou la longueur L du cadre.

Un vélo selon l’invention possède ainsi un cadre évolutif pouvant être complètement adapté et optimisé aux besoins et à la carrure d’un enfant, d’un adolescent et/ou d’un adulte.

En effet, il suffit d’ajouter ou de supprimer des modules de cadre pour modifier la hauteur H et/ou la longueur L du cadre. En procédant ainsi, le vélo selon l’invention peut être adapté pendant plusieurs années pour optimiser la taille du cadre à la taille d’un enfant qui grandit puis à la taille d’un adolescent et enfin à celle d’un adulte.

Selon le même principe, le même vélo peut être adapté pour permettre de réaliser des activités différentes. En effet, en enlevant, en rajoutant et/ou en déplaçant des modules de cadre, le cadre peut prendre différentes formes. Par exemple, un cadre peut prendre une forme de cadre classique de VTT, une forme de cadre classique de BMX ou encore une forme de cadre classique de vélo de ville.

Selon un autre exemple, par l’intermédiaire des modules de cadre, le cadre peut être étendu et des pièces de cadre portant une deuxième selle et un deuxième pédalier peuvent être rajoutées. Ainsi, le vélo peut prendre la forme d’un tandem.

La capacité d’adaptation d’un vélo selon l’invention est ainsi particulièrement élevée comparée à celle des vélos classiques selon l’art antérieur. Cette capacité d’adaptation dépend notamment de l’imagination de son utilisateur et des modules de cadre et des pièces de cadre qu’il a à sa disposition.

Un vélo selon l’invention permet aussi à son utilisateur de réaliser une personnalisation très marquée sans que cette personnalisation ne demande d’important moyen pour la réaliser. En effet, par la nature même du cadre évolutif, le vélo se prête aisément à un exercice de personnalisation. Ainsi, pour personnaliser son vélo, un utilisateur n’a pas besoin de mettre en œuvre des moyens coûteux et chronophages (achat de pièces spécifiques adaptées, opération de découpe du cadre, opération de soudage, etc.).

Enfin, un vélo selon l’invention offre une interactivité particulièrement intéressante pour des enfants. En effet, des enfants qui possèdent des vélos selon l’invention peuvent se réunir, partager leur propre conception de leur cadre et participer ensemble à la réalisation ou la modification de leur vélo.

Selon une solution avantageuse, le au moins un module de cadre prend une forme de polygone régulier, plusieurs modules de cadre identiques étant susceptibles d’être couplés ensemble de manière à former une répétition de motifs.

La forme de polygone régulier (triangle équilatéral, carré, etc.) permet de créer aisément et de manière certaine une liaison fixe entre des organes du vélo. En effet, l’assemblage de plusieurs modules identiques de cette nature tend à être instinctif (technique de pavage périodique) et fournit un motif résistant aux déformations.

Le cadre ainsi conçu s’assemble pièce par pièce à la manière d’un jeu de construction. Il permet de tester de manière empirique différentes combinaisons d’assemblage à partir d’une structure de base qui aurait été jugée convenable.

Par exemple, si l’utilisateur du cadre juge qu’un premier assemblage de pièces et de modules de cadre connectant le pédalier et le guidon est convenable mais que la selle pourrait être mieux couplée à ce premier assemblage, il peut alors modifier uniquement le nombre et la disposition des modules de cadre et de la pièce de cadre permettant de coupler la selle au premier assemblage.

Selon un mode de réalisation préférentiel, le au moins un module de cadre prend une forme d’hexagone régulier.

La forme d’hexagone régulier permet une optimisation importante des assemblages possibles par l’intermédiaire des modules de cadre tout en offrant une résistance permettant d’assurer la liaison fixe entre les organes du vélo. En effet, la forme d’hexagone régulier est connue pour offrir de telles propriétés et on peut notamment la retrouver dans la nature, par exemple dans l’architecture des ruches d’abeilles.

Avantageusement, le au moins un module de cadre est du type monobloc

Les modules de cadre peuvent ainsi faire l’objet d’une production économique en série.

Préférentiellement, le au moins un module de cadre est évidé et comporte une pluralité de côtés lui conférant sa forme, les côtés ayant une section présentant un plat situé vers l’extérieur du module de cadre.

Cette forme de module de cadre permet d’optimiser son poids et ainsi d’optimiser le poids total du cadre d’un vélo selon l’invention.

Selon une solution avantageuse, le cadre comporte des moyens de couplage et de verrouillage du couplage qui prennent la forme de bagues, une bague étant susceptible d’être clipsée sur des côtés juxtaposés de deux modules de cadre.

De telles bagues sont simples et instinctives à mettre en oeuvre lors de l’assemblage du cadre d’un vélo selon l’invention. En effet, et tel qu’expliqué précédemment, le cadre s’assemble pièce par pièce à la manière d’un jeu de construction ou d’un puzzle. Ainsi, les bagues sont utilisées à chaque fois qu’un composant du cadre est positionné pour pouvoir le coupler en position et verrouiller son couplage. L’utilisateur du vélo peut ainsi continuer d’assembler son cadre sans se soucier de la tenue en position des composants déjà couplés.

Selon une solution préférée, les côtés des modules de cadre présentent : - une gorge complémentaire des bagues ; - une mortaise débouchant sur le plat et susceptible de communiquer avec la mortaise d’un côté juxtaposé d’un autre module de cadre ; et les bagues comportent chacune un tenon susceptible de s’assembler avec les mortaises de deux côtés juxtaposés.

Les côtés des modules et les bagues ainsi conçus permettent d’optimiser l’intégration des moyens de couplage et de verrouillage du couple dans l’assemblage du cadre. De plus, les gorges et les mortaises permettent d’assurer le maintien en position des bagues en l’absence d’action volontaire pour les désolidariser.

Selon une caractéristique avantageuse, les pièces de cadre présentent au moins une partie identique aux côtés du au moins un module de cadre.

Grâce à cette caractéristique, les pièces de cadre peuvent être assemblées avec des modules de cadre de la même façon que les modules de cadre peuvent être assemblés ensemble. Ainsi, pour coupler et verrouiller le couplage des composants d’un cadre de vélo selon l’invention, l’utilisateur a seulement besoin d’avoir un stock de bagues. D’autres caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante d’un mode de réalisation préférentiel de l’invention, donné à titre d’exemple illustratif et non limitatif, et des dessins annexés parmi lesquels : - les figures 1 et 2 sont des représentations schématique d’un même vélo selon l’invention dont le cadre est modifié pour prendre deux formes différentes ; - la figure 3 est une représentation schématique de deux modules de cadre d’un vélo selon l’invention, les deux modules de cadre étant couplés ensemble ; - la figure 4 est une représentation schématique d’une bague d’un vélo selon l’invention.

Tel qu’illustré par les figures 1 et 2, un vélo 1 selon l’invention comporte un cadre 2 qui peut prendre plusieurs formes.

Le cadre 2 s’étend selon une longueur L et une hauteur H et permet d’établir une liaison fixe entre des organes 3 du vélo. Ces organes 3 sont notamment : - une selle 30 ; - un pédalier 31 ; - au moins une roue arrière 32 ; - un ensemble comportant un guidon 33 et au moins une roue avant 34.

Le cadre selon l’invention comporte des pièces de cadre 4 et au moins un module de cadre 5.

Les pièces de cadre 4 sont destinées à porter des organes 3 du vélo 1. Ces pièces de cadre 4 sont notamment susceptibles d’être couplée à d’autres pièces de cadre. Tel qu’on peut l’observer sur les figures 1 et 2, les pièces de cadre 4 portant la selle 30 et la roue arrière 32 (partiellement) sont couplées l’une à l’autre.

Un module de cadre 5 est susceptible d’être couplé entre au moins deux pièces de cadre 4 de manière à modifier la hauteur H et/ou la longueur L du cadre.

Les organes 3 sont bien entendu conçus pour s’adapter aux modifications de la hauteur H et/la longueur L du cadre. Par exemple, la roue arrière 32 et le pédalier 31 sont couplés sur le cadre 2 par l’intermédiaire de deux tubes supérieurs, de deux tubes inférieurs, et de deux pièces de cadre 4. Aussi, les tubes ont un angle variable entre eux selon la position de leur fixation sur le cadre. Cela permet d'obtenir une partie arrière adaptable à la forme du cadre malgré la longueur invariable des tubes, et ainsi d'avoir une plus grande liberté sur la construction géométrique du cadre.

Tel qu’on peut l’observer sur les figures 1 à 3, les modules de cadre 5 prennent chacun une forme de polygone régulier et notamment d’hexagone régulier. Ainsi, plusieurs modules cadre identique peuvent être couplés ensemble de manière à former une répétition de motifs.

Tel qu’illustré par la figure 3, les modules de cadre 5 sont du type monobloc.

Plus précisément, les modules de cadre 5 sont évidés en leur centre et comportent une pluralité de côtés 50 leur conférant leur forme.

Les côtés 50 ont une section présentant un plat 500 situé vers l’extérieur du module de cadre. Ce plat est notamment destiné à venir en contact avec le plat d’un autre module de cadre si on souhaite coupler ces deux modules. Selon l’assemblage illustré par la figure 3, deux modules de cadre 5 sont couplés l’un à l’autre et le plat des deux côtés 50 juxtaposés sont en contact.

Selon le présent mode de réalisation, chaque côté 50 des modules de cadre présente une gorge 51 et une mortaise 52 débouchant sur le plat 500.

Pour chaque côté 50, la mortaise 52 qu’elle présente est centrée sur le plat 500, inclinée de 30 degrés par rapport à ce plat, dans le plan milieu du module de cadre, et dans la direction opposée de celle de ses côtés adjacents, de manière à pouvoir communiquer avec la mortaise d'un côté complémentaire juxtaposé d'un autre module de cadre et selon toute disposition d’assemblage de plusieurs modules de cadre voulue.

Cette géométrie permet une résistance optimale à un arrachement non volontaire entre deux modules de cadre lorsque la bague est enclenchée (notamment suite à des efforts, chocs et vibrations lors de l’utilisation du vélo).Tel qu’illustré par les figures 3 et 4, le cadre comporte des moyens de couplage et de verrouillage du couplage qui prennent la forme de bagues. En effet, tel qu’on peut l’observer sur la figure 3, les deux modules de cadre 5 sont couplés et verrouillés en position par l’intermédiaire d’une bague 6.

Les bagues ont chacune la forme d’une pince cylindrique et comportent chacune un tenon s’étendant vers l’intérieur en direction du centre de la pince. Ainsi, ces bagues peuvent alors être clipsées sur deux côtés juxtaposées de deux modules de cadre. En effet, la section de chaque côté 50 a une forme de demi-cercle et la réunion de deux côtés 50 permet de présenter une forme de section circulaire complémentaire de la pince cylindrique.

Tel qu’on peut l’observer sur la figure 3, les gorges 51 sont complémentaires des bagues 6 et le tenon d’une bague peut s’assembler avec les mortaises de deux côtés juxtaposés de deux modules de cadre 5. La complémentarité des gorges 51 et des bagues 6 permet de ne pas avoir de partie de la bague qui fasse saillie par rapport au corps des modules de cadre 5. Ainsi, une bague clipsée est moins susceptible à un arrachement non volontaire.

Tel qu’illustré par les figures 1 et 2, les pièces de cadre 4 présentent des parties identiques aux côtés 50 du au moins un module de cadre 5. Les pièces de cadre peuvent ainsi être assemblées par l’intermédiaire des bagues 6 de la même façon qu’une bague 6 peut coupler deux modules de cadre 5.

Selon le principe de l’invention, le cadre peut être assemblé pièce par pièce à la manière d’un puzzle. Pour réaliser l’assemblage, il suffit à son utilisateur de positionner un module de cadre à un autre module de cadre ou à une pièce de cadre puis de les coupler ensemble à l’aide d’une bague.

Ainsi de suite, l’utilisateur peut rajouter à sa guise des modules de cadre ou des pièces de cadre pour obtenir un cadre et un vélo respectant ses besoins.

Selon un exemple de caractéristiques dimensionnelles et structurelles : - un module de cadre selon l’invention est réalisé par un procédé de compression d’un mélange de résine époxy et de fibres de verre courtes de type E, et présente des côtés de 50 mm de longueur et un diamètre de 24 mm ; - une bague selon l’invention, pour pouvoir résister aux contraintes d’assemblage et d’utilisation, est réalisée en surmoulant un plastique élastique sur une partie métallique.

Claims (8)

1. REVENDICATIONS

   1. Vélo (1) comportant un cadre (2) s’étendant selon une longueur L et une hauteur H, le cadre étant destiné à établir une liaison fixe entre des organes (3) du vélo, les organes comprenant au moins : - une selle (30) ; - un pédalier (31) ; - au moins une roue arrière (32) ; - un ensemble comportant un guidon (33) et au moins une roue avant (34), caractérisé en ce que le cadre (2) comporte : - au moins deux pièces de cadre (4) susceptibles d’être couplées ensemble, chaque pièce de cadre étant destinée à porter au moins un organe du vélo ; - au moins un module de cadre (5) susceptible d’être couplé entre au moins deux pièces de cadre de manière à modifier la hauteur H et/ou la longueur L du cadre.
2. 2. Vélo (1) selon la revendication 1, caractérisé en ce que le au moins un module de cadre (5) prend une forme de polygone régulier, plusieurs modules de cadre identiques étant susceptibles d’être couplés ensemble de manière à former une répétition de motifs.
3. 3. Vélo (1) selon la revendication 2, caractérisé en ce que le au moins un module de cadre (5) prend une forme d’hexagone régulier.
4. 4. Vélo (1) selon l’une quelconque des revendications 2 et 3, caractérisé en ce que le au moins un module de cadre (5) est du type monobloc
5. 5. Vélo (1) selon la revendication 4, caractérisé en ce que le au moins un module de cadre (5) est évidé et comporte une pluralité de côtés (50) lui conférant sa forme, les côtés ayant une section présentant un plat (500) situé vers l’extérieur du module de cadre.
6. 6. Vélo (1) selon la revendication 5, caractérisé en ce que le cadre (2) comporte des moyens de couplage et de verrouillage du couplage qui prennent la forme de bagues (6), une bague étant susceptible d’être clipsée sur des côtés (50) juxtaposés de deux modules de cadre (5).
7. 7. Vélo (1) selon la revendication 6, caractérisé en ce que les côtés (50) des modules de cadre (5) présentent : - une gorge (51 ) complémentaire des bagues ; - une mortaise (52) débouchant sur le plat (500) et susceptible de communiquer avec la mortaise d’un côté juxtaposé d’un autre module de cadre ; et en ce que les bagues (6) comportent chacune un tenon (60) susceptible de s’assembler avec les mortaises de deux côtés juxtaposés.
8. 8. Vélo (1) selon l’une quelconque des revendications 6 et 7, caractérisé en ce que les pièces de cadre (4) présentent au moins une partie identique aux côtés (50) du au moins un module de cadre (5).