FR3016378A1 - Procede de fabrication d'element de coffrage et element de coffrage. - Google Patents

Procede de fabrication d'element de coffrage et element de coffrage. Download PDF

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Abstract

Procédé de fabrication d'un coffrage pour le bâtiment: - on fournit une première sous-unité de coffrage (20), qui comprend une paroi (5) dotée d'un premier système raidisseur (168), - on fournit une deuxième sous-unité de coffrage (21), qui présente une armature (158) comprenant une deuxième série d'éléments raidisseurs (24) distants les uns des autres, - on dispose en regard la première sous-unité de coffrage (20) et la deuxième sous-unité de coffrage (21), on assemble la première sous-unité de coffrage (20) et la deuxième sous-unité de coffrage (21) l'une à l'autre, de manière à ce que le premier système raidisseur (158) et des éléments raidisseurs (24) de la deuxième série d'éléments raidisseurs viennent en reprise mécanique directement par appui les uns sur les autres.

Description

L'invention concerne le domaine des éléments de coffrages pour le bâtiment, et de leur procédé de fabrication. Plus précisément, l'invention concerne le domaine des procédés de fabrication d'éléments de coffrage (ou banches) pour le bâtiment. Dans les années 1990, les banches étaient réalisées sous la forme d'une peau présentant une surface de coffrage plane assemblée à une structure rigide.
FR 2 715 683 décrit une banche à peau interchangeable. Cette banche comprend une peau coffrante fixée par boulonnage sur un cadre métallique. La raideur faible initiale de la peau coffrante est augmentée par augmentation d'épaisseur. Ultérieurement, il a été développé une banche à structure en caisson. C'est-à-dire qu'à la structure sus-décrite, on est venu rapporter un panneau additionnel arrière plan. Cette réalisation permet une plus grande raideur de la banche assemblée, améliorant ainsi la qualité du processus de coulage du béton, mais en complexifiant la réalisation de la banche. EP 2 400 080 décrit un procédé, dit optimal, de fabrication d'un coffrage pour le bâtiment dans lequel on soude des raidisseurs intermédiaires horizontaux sur la face arrière d'une tôle coffrante. Puis, on emboîte des raidisseurs intermédiaires verticaux dans les raidisseurs intermédiaires horizontaux. On soude les raidisseurs intermédiaires verticaux également à la tôle coffrante. Puis, on réalise des soudures d'angle entre les raidisseurs intermédiaires horizontaux et les raidisseurs intermédiaires verticaux. Ensuite, on soude des raidisseurs d'extrémité sur la tôle coffrante. Enfin, on dispose une tôle arrière contre les raidisseurs intermédiaires et d'extrémité, et on la soude à ceux-ci. Cette réalisation souffre toutefois du fait qu'il est nécessaire de réaliser de nombreuses opérations de soudure sur des éléments de grande taille, ce qui est difficile et potentiellement dangereux.
FR 2 989 402 décrit un exemple similaire au précédent, dans lequel on remplace les raidisseurs intermédiaires soudés par un module de rigidification composite collé. Le module de rigidification est collé premièrement à la peau coffrante, puis deuxièmement au panneau arrière. Toutefois, le collage pose généralement des difficultés, notamment une fois la banche installée sur un chantier, dans des conditions très variables de température et d'humidité, d'un chantier à l'autre, voire sur un même chantier. De plus, ce dernier procédé nécessite la manipulation de trois éléments 2D de grande taille. Il existe par conséquent le besoin de simplifier les procédés de fabrication de coffrages pour le bâtiment.
Selon un premier aspect, l'invention a pour objet un procédé de fabrication d'un coffrage pour le bâtiment, caractérisé en ce que : on fournit une première sous-unité de coffrage, la première sous unité comprenant une paroi dotée d'une face avant coffrante et d'une face arrière, opposée à la face avant, la face avant coffrante étant sensiblement plane et destinée à délimiter une zone de coulage de béton, la face arrière étant dotée d'un premier système raidisseur, on fournit une deuxième sous-unité de coffrage, distincte et séparée de la première sous-unité de coffrage, la deuxième sous-unité de coffrage étant de dimensions similaires à la première sous-unité de coffrage dans un plan normal à la direction axiale avant-arrière, la deuxième sous-unité de coffrage présentant une armature comprenant une deuxième série d'éléments raidisseurs distants les uns des autres, on dispose en regard la première sous-unité de coffrage et la deuxième sous-unité de coffrage avec l'armature sensiblement orientée par rapport à la paroi de la première sous-unité de coffrage, on assemble la première sous-unité de coffrage et la deuxième sous-unité de coffrage l'une à l'autre, de manière à ce que le premier système raidisseur et des éléments raidisseurs de la deuxième série d'éléments raidisseurs viennent en reprise mécanique directement les uns sur les autres, l'extrémité arrière (159) de la deuxième sous-unité de coffrage (21)s'étendant parallèlement à la face arrière de la paroi de la première sous- unité de coffrage, et à distance de celle-ci selon la direction axiale avant-arrière. Grâce à ces dispositions, on fournit une banche rigide avec un minimum d'opérations. La première sous-unité comprend un système raidisseur, ce qui permet de la manutentionner sans risque de voilage ou détérioration de la face coffrante. La raideur nécessaire pendant l'opération de coulage du béton est essentiellement assurée par la deuxième sous-unité. Ainsi, les fonctions de raideur pour manutention et raideur pour coulage du béton sont décorrélées. Selon une réalisation, on fournit la deuxième sous-unité de coffrage avec un ensemble de plaque arrière, la deuxième série d'éléments raidisseurs projetant vers l'avant depuis l'ensemble de plaque arrière, lorsqu'on dispose, on présente l'ensemble de plaque arrière parallèlement à la face avant coffrante et, lorsqu'on assemble, la plaque arrière s'étendant parallèlement à la face arrière de la paroi de la première sous-unité de coffrage, et à distance de celle-ci selon la direction axiale avant-arrière, la plaque arrière et la face arrière de la paroi de la première sous-unité de coffrage définissant entre elles un caisson essentiellement creux.
Selon une réalisation, lorsqu'on assemble, des premier et deuxième systèmes de guidage complémentaires l'un de l'autre, respectivement portés par la première sous-unité de coffrage et la deuxième sous-unité de coffrage, guident les première et deuxième sous-unités de coffrage l'une par rapport à l'autre, respectivement, selon au moins une direction d'ajustement dans un plan normal à la direction axiale avant-arrière.
Selon une réalisation, les premier et deuxième systèmes de guidage guident les première et deuxième sous-unités de coffrage l'une par rapport à l'autre, respectivement, selon deux directions d'ajustement distinctes dans le plan normal à la direction axiale avant-arrière.
Selon une réalisation, lorsqu'on assemble, des premier et deuxième systèmes de calage complémentaires l'un de l'autre, respectivement portés par la première sous-unité de coffrage et la deuxième sous-unité de coffrage, interagissent pour définir une position relative des première et deuxième sous-unités de coffrage selon la direction axiale avant-arrière.
Selon une réalisation, lorsqu'on assemble, ou avant l'étape où on assemble, on règle les premier et deuxième systèmes de calage pour définir la position relative des première et deuxième sous-unités de coffrage selon la direction axiale avant-arrière. Selon une réalisation, lorsqu'on assemble, on visse ensemble les première et deuxième sous-unités de coffrage en une pluralité de points.
Selon une réalisation, on visse ensemble les première et deuxième sous-unités de coffrage en une pluralité de points depuis la face coffrante. Selon une réalisation, on visse ensemble les première et deuxième sous-unités de coffrage en une pluralité de points depuis la deuxième sous-unité de coffrage. Selon une réalisation, lorsqu'on assemble, on fixe ensemble les première et deuxième sous-unités de coffrage en une pluralité de points comprenant une série de points périphériques proches du bord périphérique de la face avant coffrante.
Selon une réalisation, lorsqu'on fournit une deuxième sous-unité de coffrage, on assemble à l'armature un moyen fonctionnel comprenant une base et un organe fonctionnel mobile par rapport à cette base selon au moins un degré de liberté, dans lequel on assemble à l'armature un moyen moteur apte à entrainer le moyen fonctionnel, et on raccorde le moyen moteur à une alimentation débouchant hors de la deuxième sous-unité de coffrage, et dans lequel, lorsqu'on assemble, on fait passer l'alimentation entre les points d'appui du premier système raidisseur et des éléments raidisseurs l'un sur l'autre. Selon un autre aspect, l'invention se rapporte à un procédé de maintenance d'un coffrage pour le bâtiment dans lequel on fournit un coffrage pour le bâtiment, et on désassemble les première et deuxième sous-unités de coffrage. Selon une réalisation, - on fournit une première sous-unité de coffrage ultérieure, la première sous-unité ultérieure comprenant une paroi dotée d'une face avant coffrante et d'une face arrière, opposée à la face avant, la face avant coffrante étant sensiblement plane et destinée à délimiter une zone de coulage de béton, la face arrière étant dotée d'une première série d'éléments raidisseurs, on dispose en regard la première sous-unité de coffrage ultérieure et la deuxième sous-unité de coffrage avec la deuxième sous-unité de coffrage sensiblement orientée par rapport à la paroi de la première sous-unité de coffrage ultérieure, - on assemble la première sous-unité de coffrage ultérieure et la deuxième sous-unité de coffrage l'une à l'autre, de manière à ce que le premier système raidisseur et des éléments raidisseurs de la deuxième série d'éléments raidisseurs viennent en reprise mécanique directement par appui les uns sur les autres, une plaque arrière de la deuxième sous-unité de coffrage s'étendant parallèlement à la face arrière de la paroi de la première sous-unité de coffrage ultérieure, et à distance de celle-ci selon la direction axiale avant-arrière, la plaque arrière et la face arrière de la paroi de la première sous-unité de coffrage définissant entre elles un caisson essentiellement creux. Selon un autre aspect, l'invention se rapporte à un élément de coffrage pour le bâtiment, caractérisé en ce qu'il comprend : - une première sous-unité de coffrage, la première sous-unité comprenant une paroi dotée d'une face avant coffrante et d'une face arrière, opposée à la face avant, la face avant coffrante étant sensiblement plane et destinée à délimiter une zone de coulage de béton, la face arrière étant dotée d'un premier système raidisseur (168), - une deuxième sous-unité de coffrage, distincte et séparée de la première sous-unité de coffrage, la deuxième sous-unité de coffrage étant de dimensions similaires à la première sous-unité de coffrage dans un plan normal à la direction axiale avant-arrière, la deuxième sous-unité de coffrage présentant une armature comprenant une deuxième série d'éléments raidisseurs distants les uns des autres, la première sous-unité de coffrage et la deuxième sous-unité de coffrage étant disposées en regard avec la deuxième sous-unité de coffrage sensiblement orientée par rapport à la paroi de la première sous-unité de coffrage, la première sous-unité de coffrage et la deuxième sous-unité de coffrage étant assemblées l'une à l'autre, le premier système raidisseur et des éléments raidisseurs de la deuxième série d'éléments raidisseurs venant en reprise mécanique directement par appui les uns sur les autres.
Selon une réalisation, la deuxième sous-unité de coffrage comprend un ensemble de plaque arrière s'étendant parallèlement à la face arrière de la paroi de la première sous-unité de coffrage, et à distance de celle-ci selon la direction axiale avant-arrière, la plaque arrière et la face arrière de la paroi de la première sous-unité de coffrage définissant entre elles un caisson essentiellement creux.
Selon une réalisation, l'élément de coffrage comprend un moyen fonctionnel assemblé à l'armature, le moyen fonctionnel comprenant une base et un organe fonctionnel mobile par rapport à cette base selon au moins un degré de liberté, l'élément de coffrage comprenant en outre un moyen moteur assemblé à l'armature et apte à entrainer le moyen fonctionnel, et une alimentation raccordée au moyen moteur et débouchant hors de la deuxième sous-unité de coffrage, l'alimentation passant entre les points d'appui l'un sur l'autre des éléments raidisseurs. Selon une réalisation, le premier système raidisseur comprend une première série d'éléments raidisseurs s'étendant parallèlement les uns des autres selon une première direction, et espacés les uns des autres selon une deuxième direction transversale à la première direction. Selon une réalisation, les éléments raidisseurs de la deuxième série d'éléments raidisseurs s'étendent selon la deuxième direction, et sont espacés les uns des autres selon la première direction. On décrit maintenant brièvement les figures des dessins. La figure 1 est un schéma en perspective de l'arrière d'une banche selon un mode de réalisation de l'invention. La figure 2 est une vue plane de l'avant du caisson de la banche de la figure 1, de laquelle on a retiré la paroi coffrante. La figure 3 est une vue plane de l'arrière du caisson de la banche de la figure 2, de laquelle on a en outre retiré la plaque arrière. La figure 4 est une vue partielle de détail de la figure 3. 40 La figure 5 est une vue partielle de détail de la figure 4, en perspective. La figure 6 est une vue partielle de détail de la figure 2, de laquelle on a en outre retiré la plaque arrière. 45 La figure 7 est une vue partielle de détail de la figure 3, en perspective. 30 35 La figure 8 est une vue plane de l'arrière de la paroi coffrante. La figure 9 est une vue partielle de détail de la figure 8, en perspective.
La figure 10 est une vue partielle de détail selon la même orientation que la figure 9 d'une banche selon la figure 1, de laquelle on a retiré la plaque arrière. La figure 11 est une vue partielle en coupe transversale du caisson assemblé, selon la ligne XI-XI indiquée sur la figure 9.
La figure 12 est une vue partielle de détail de l'arrière du caisson. La figure 13 est une vue arrière en perspective pour un deuxième mode de réalisation.
La figure 14 est une vue de l'arrière du caisson de la figure 13, après retrait de la plaque arrière. Les figures 15 à 18 sont des vues en perspective d'un mécanisme de liaison en vis-à-vis dans différentes configurations.
La figure 19 est une vue en coupe selon la ligne XIX-XIX de la figure 16. La figure 20 est une vue arrière d'un moyen fonctionnel de tenue d'accessoire. La figure 21 est une vue arrière d'un moyen fonctionnel de liaison latérale.
Ci-après un exposé détaillé de plusieurs modes de réalisation de l'invention assorti d'exemples et de référence aux dessins. Dans ce qui suit, par « fixation », on fait alternativement référence à une fixation permanente ou amovible. Une fixation amovible est réalisable par exemple par vissage, s'il est possible de défaire la fixation par des moyens accessibles à l'opérateur, par exemple par dévissage. Une fixation par vissage peut également être une fixation permanente, s'il n'est pas possible, ou simplement pas prévu, de démonter cette fixation au cours de l'installation, de l'utilisation ou de la maintenance de la banche. Une fixation permanente peut être alternativement réalisée par soudure.
Par « installation », on fait référence à la mise en place d'un coffrage impliquant une ou plusieurs banches, le cas échéant reliées entre elles. Par « utilisation », on fait référence à une étape, ultérieure à l'installation, où le béton est coulé dans un coffrage défini par au moins deux banches face à face puis sèche et durcit à l'intérieur de ce coffrage. Par « maintenance », on fait référence à une étape de contrôle et/ou de remplacement d'un ou plusieurs éléments constitutifs d'une banche, survenant généralement après une installation, ou après une utilisation. On se réfère plus spécialement à la figure 1 qui montre un coffrage pour le bâtiment, comprenant un élément de coffrage, encore appelé banche, typiquement destiné à réaliser les murs d'un bâtiment par coulage de béton, ou béton banché. Un tel élément de coffrage 1 est destiné à être placé en vis-à-vis et face-à-face d'un autre élément de coffrage 1', représenté schématiquement sur la figure 1, avec interposition d'un espace vide entre les éléments de coffrage 1 et 1'. Du béton est destiné à être coulé dans l'espace vide pour former un mur de bâtiment. Un tel élément de coffrage 1 a peut être disposé côte à côte avec un autre élément de coffrage 1 b (représenté schématiquement sur la figure 2), de sorte à disposer d'un ensemble de deux tels éléments de coffrages 1 a + 1 b. Sauf lorsque le sens ne l'impose d'évidence pas, l'indice a et l'indice b suivant une référence numérique visent respectivement les mêmes parties des deux éléments de coffrage côte à côte devant être rapprochés et disposés pour affleurer. La référence numérique sans indice a ou b désigne la partie en question de façon générale.
Un tel élément de coffrage 1, est du type comportant un caisson 2 supportant des moyens d'accès et de circulation 3. Le caisson 2 comprend une paroi arrière 4 et une paroi principale 5, opposée à la paroi arrière 4, et ici de contour général rectangulaire. La paroi principale définit une face coffrante 6, électriquement conductrice (par exemple métallique). La paroi arrière 4 présente une face arrière 7, opposée à la face coffrante 6.
Par « avant », on désigne une position proche de l'espace de coulage de béton, et par « arrière » une position éloignée de l'espace de coulage de béton. On définit ainsi une direction avant-arrière horizontal Y. Cette définition est donc valable pour une banche donnée, étant donné que pour la banche en vis-à-vis, le sens avant-arrière est opposé. Le plan normal à la direction avant-arrière est le plan X-Z, la direction Z désignant la verticale, et la direction X la direction latérale horizontale. Bien que ce ne soit pas représenté sur les figures, on peut aussi assembler des banches de coffrage 1 superposées selon la direction Z, notamment pour réaliser des murs plus hauts. Ici, l'élément de coffrage 1 et la paroi principale 5 sont disposés verticalement. Un tel élément de coffrage 1 peut avoir une hauteur importante correspondant à celle d'un mur à réaliser, par exemple de l'ordre de, au minimum, 2,80 m. L'élément de coffrage 1 comporte également différents équipements associés à la paroi principale 5, incluant, sans que la liste soit exhaustive et limitative, un poste de travail, une ou des protections, un dispositif de préhension141, un dispositif de maintien et de réglage, un dispositif de stabilisation, ....
Le caisson 2 d'un élément de coffrage 1 a comporte à sa périphérie des rives 8, notamment une rive 8a sur le ou chacun des bords 9a devant être disposé côte à côte d'un bord 9b d'une rive 8b d'un autre élément de coffrage 1 b disposé côte à côte. Ici, les bords 9 sont par exemple les bords verticaux des éléments de coffrages 1 a et 1 b. Le caisson 2 comporte également une rive 8a horizontale inférieure sur le bord 9a inférieur de l'élément de coffrage 1 a, et une rive 8a horizontale supérieure sur le bord 9a supérieur de l'élément de coffrage 1 a. Les rives 8a s'étendent entre les parois principale 5 et arrière 4, et sont reliées physiquement à chacune d'entre elles. La paroi principale 5, la paroi arrière 4, et les rives 8 définissent ensemble un caisson 2 délimitant un espace intérieur 143. Le caisson 2 est substantiellement fermé, moyennant des ouvertures fonctionnelles, tel qu'expliqué ci-après. La paroi principale, la paroi arrière et les parois de rive périphériques ensemble sont appelées ci-après la paroi périphérique du caisson 2.
Les réalisations qui viennent d'être décrites ne sont qu'exemplatives et nullement limitatives. Comme cela est visible sur la Figure 1, selon un exemple, l'élément de coffrage 1 comporte des moyens d'accès et de circulation 3. Les moyens d'accès et de circulation 3 sont sensiblement essentiellement fournis à l'arrière du caisson 2. Les moyens d'accès et de circulation 3 comprennent une plate-forme 11 située au niveau de la rive horizontale supérieure 8 du caisson 2. La plate-forme 11 comporte un sol 12 pouvant supporter un opérateur. La plate-forme 11 peut également porter un garde-corps 13 par exemple sous la forme d'une barrière verticale s'étendant depuis le sol 12 de la plate-forme 11 verticalement vers le haut, et disposée pour protéger un occupant de la plate-forme 11 contre toute chute de la plate-forme 11. Le garde-corps 13 entoure sensiblement le sol 12. Les moyens d'accès et de circulation 3 comprennent également un escalier 14 permettant à un occupant d'accéder à la plate-forme 11 depuis un niveau inférieur, notamment depuis le niveau où se trouve la rive horizontale inférieure 8. L'escalier 14 est incliné par rapport à l'horizontale d'un angle compris entre 45° et 70° environ, et s'étend sensiblement parallèlement à une diagonale de la face arrière 7 du caisson 2. Les moyens d'accès et de circulation 3 comprennent également une structure 15 qui supporte la plate-forme 11.
Par exemple, la structure 15 comprend deux poteaux verticaux 16 parallèles reliés entre eux par des traverses 17. Les poteaux verticaux 16 et les traverses 17 s'étendent, dans la configuration présentée, dans un plan parallèle au plan général du caisson 2. L'escalier 14 comporte un garde-corps 18. Dans l'exemple présenté, la structure 15 s'étend entre l'escalier 14 et le caisson 2. La structure 15 peut alors former une partie du garde-corps 18 pour l'escalier 14. Une barrière 19 peut former garde-corps du côté de l'escalier opposé à la structure 15. En variante, les moyens d'accès et de circulation 3 peuvent comprendre, au lieu d'un escalier 14, une échelle (non représentée) sensiblement verticale ou, du moins, pas inclinée selon la direction de la largeur du caisson 2.
Une telle échelle est destinée à être disposée entre la structure 15 et le caisson 2. Dans un tel cas, les moyens d'accès et de circulation 3 comprennent également une trappe d'accès communiquant avec l'échelle, et fournie dans le sol 12 de la plate-forme 11. Dans la suite de la description, et en particulier sur les figures 2 à 21, on n'a pas représenté les moyens d'accès et de circulation 3, à des fins de clarté. Le caisson 2 est, dans les exemples présentés, réalisé en deux parties associées de façon rigide : une partie de coffrage 20 comprenant la paroi principale 5, dite également paroi frontale de coffrage, et une partie de tenue rigide 21.
La partie de tenue rigide 21 est illustrée à la figure 2, vue de l'avant. La partie de tenue rigide 21 comporte une paroi arrière 22. La paroi arrière 22 présente sensiblement la forme d'une plaque 160 sensiblement plane (le cas échéant réalisée en plusieurs morceaux assemblés, on peut donc l'appeler ensemble de plaque arrière) parallèlement au plan général du caisson 2. La paroi arrière 22 présente une face avant 23, visible sur la figure 2, et une face arrière opposée constituant sensiblement la face arrière 7 du caisson. La face arrière de la paroi arrière 22 forme l'extrémité arrière 159 de la partie de tenue rigide 21. La forme générale de la paroi arrière n'a qu'une faible incidence sur l'invention. Elle peut être sensiblement plane car c'est facile à réaliser, ça permet de fixer des éléments continus allongés sur sa face avant, et ça génère un encombrement minimal à l'arrière du caisson. Toutefois, des motifs localisés ou une forme générale non plane peut être envisagée. La paroi arrière 22 de la partie de tenue rigide forme donc la paroi arrière 4 du caisson 2. La partie de tenue rigide 21 comporte également les rives 8. Les rives 8 se présentent ici sous la forme de plaques métalliques rigides fines assemblées rigidement les unes aux autres et à la paroi arrière 22. Les rives 8 s'étendent orthogonalement à la paroi arrière 22, en direction de la paroi frontale de coffrage 5. Les rives 8 sont généralement destinées à être mises en correspondance avec des rives de banches adjacentes, à côté, au- dessus ou en-dessous. Par conséquent, les rives 8 présentent une forme permettant cette mise en correspondance. La face extérieure d'une rive va être généralement complémentaire de la face extérieure de la rive opposée. Des faces extérieures planes se prêtent bien à une telle configuration. La partie de tenue rigide 21 comprend une armature 158 rigide. L'armature rigide comprend une structure apte à encaisser les efforts appliqués à l'élément de coffrage 1 lors du coulage du béton, en garantissant la planéité de la face coffrante. Dans le cas présent, l'armature rigide comprend une série d'éléments raidisseurs 24 portés par la paroi arrière 22. Les éléments raidisseurs 24 sont par exemple une pluralité de poutres. Les poutres s'étendent par exemple parallèlement les unes aux autres. Dans l'exemple présenté, les poutres s'étendent verticalement de haut en bas, c'est-à-dire du niveau de la rive horizontale supérieure 8 au niveau de la rive horizontale inférieure 8.
Les poutres s'étendent également selon la direction avant-arrière depuis la paroi arrière 22 jusqu'à un bord libre dans la direction arrière-avant. Les bords libres des différents éléments raidisseurs sont sensiblement coplanaires entre eux. Le caisson 2 présente de nombreuses poutres, dans l'exemple présenté, mais ceci est bien entendu il lustratif.
La partie de tenue rigide 21 comporte également des équerres 25. Une équerre 25 est par exemple présentée en relation avec la figure 7 pour le coin supérieur gauche de la partie de tenue rigide 21, mais des équerres identiques ou similaires peuvent être prévues dans les trois autres coins. L'équerre 25 se présente sous la forme d'une plaque métallique fine comprenant une première tranche 26 fixée à la rive latérale 8 et une deuxième tranche 27 fixée à la rive supérieure horizontale 8. L'équerre 25 comporte une fente 28 oblongue selon une première direction. Comme on peut le constater par exemple sur la figure 2, deux équerres 25 présentent chacune une fente oblongue selon une première direction (dans le cas présent, les deux équerres supérieures), et deux autres équerres 25 présentent chacune une fente oblongue selon une deuxième direction, transversale à la première direction (dans le cas présent, les deux équerres inférieures). Par exemple, les première et deuxième directions sont, respectivement, les directions horizontale et verticale d'un même plan. Les fentes 28 forment une première partie d'un système de guidage et d'ajustement de la partie de tenue rigide et de la partie de coffrage. Dans l'exemple présenté, elles sont fournies dans les équerres 25, c'est-à-dire aussi éloignées que possible les unes des autres, ce qui permet de guider au mieux la partie de coffrage. Mais, en variante, elles pourraient être placées à tout endroit adapté. L'armature rigide comprend également une traverse supérieure 30 et une traverse inférieure 31. Dans l'exemple représenté, les traverses supérieure 30 et inférieure 31 sont similaires l'une à l'autre, par conséquent, seule la traverse supérieure 30 sera décrite, les caractéristiques de la traverse inférieure 31 se déduisant de celles de la traverse supérieure 30. La traverse supérieure 30 est visible notamment sur la figure 6. Elle s'étend sur la quasi-totalité de la largeur de la partie de tenue rigide 21, et présente une tranche 32 fixée à la rive 8 horizontale supérieure. Elle est également fixée à une pluralité d'éléments raidisseurs 24, notamment au moins deux poutres. La traverse supérieure 30 comprend plusieurs ouvertures traversantes 33. Les ouvertures traversantes 33 sont chacune disposées entre deux poutres adjacentes. Les ouvertures traversantes 33 forment une première partie d'un système de fixation de la partie de tenue rigide et de la partie de coffrage. Dans l'exemple présenté, elles sont fournies dans les traverses 30, 31. Elles sont réparties sur la périphérie de la partie de tenue rigide, ce qui permet d'améliorer la fixation de la partie de tenue rigide et de la partie coffrante. En complément ou en alternative, on pourrait en prévoir d'autres dans d'autres emplacements.
L'élément de coffrage 1 comporte un certain nombre de moyens fonctionnels. Par exemple, l'élément de coffrage 1 comporte des moyens fonctionnels de support, des moyens fonctionnels de positionnement, des moyens fonctionnels de liaison, des moyens fonctionnels de tenue d'accessoire, en plus des moyens fonctionnels d'accès et de circulation dont un exemple a déjà été décrit. L'élément de coffrage 1 présente par exemple des moyens fonctionnels de support 34. Les moyens fonctionnels de support 34 comportent un pied 35 par l'intermédiaire duquel l'élément de coffrage 1 repose sur une surface sous-jacente. Dans le cas présent, les moyens fonctionnels de support 34 comportent deux pieds 35 symétriques l'un de l'autre par rapport à un plan vertical transverse médian du caisson 2. Un seul pied 35 sera décrit ci-après, la même description pouvant s'appliquer à l'autre pied. On fait notamment référence aux figures 4 et 5. Comme on peut le voir, le pied 35 est sensiblement reçu dans un élément raidisseur 24. Le pied 35 est fourni à l'extrémité inférieure du piston 41 d'un vérin 161. Le vérin 161 constitue un moyen moteur pour le pied. C'est-à-dire qu'un élément raidisseur 24 comprend deux traverses reliées entre elles pour former une poutre, réalisée par exemple à partir d'une pièce métallique mise en forme, et présentant une section sensiblement en forme de U transversalement à la direction longitudinale de la poutre (dans le cas présent, la direction verticale). Localement, la poutre peut départir de sa forme générale profilée à section en U, pour des raisons de poids ou fonctionnelles, si ceci n'impacte pas négativement la résistance structurelle du caisson. On peut par exemple prévoir des ouvertures localisées dans la poutre, pour laisser passer des fils ou des conduites, ou pour autoriser un accès à un équipement pour un opérateur. En variante, la poutre peut être réalisée par plusieurs pièces assemblées ensemble.
Ainsi, la poutre présente une base 36 à partir de laquelle s'étendent deux ailes 37, 38 latérales symétriques (par exemple parallèle l'une à l'autre). Ainsi, la base 36 s'étend dans un plan sensiblement parallèle à la face coffrante, alors que les ailes 37 et 38 s'étendent verticalement et transversalement à ce plan. Les deux ailes 37 et 38 présentent chacune une extrémité libre, fixée à la paroi arrière 4. Une telle poutre, une fois assemblée à la paroi arrière 4, présente une capacité de résistance à la compression importante pour des compressions appliquées sur la face avant de la base 36. Un logement 39 est de plus défini entre les deux ailes 37, 38, la base 36 et la paroi arrière 4. Le pied 35 est reçu dans le logement 39. Plus précisément, le pied 35 est solidaire de l'extrémité du piston 41 coulissant dans la base 40 du vérin 161. Le piston 41 est mobile par rapport à la base 40 selon un degré de liberté. Dans le cas présent, l'organe mobile 41 est mobile selon un unique degré de liberté par rapport à la base 40. Ce degré de liberté est une translation selon une direction verticale. La base 40 est portée par un élément raidisseur 24 au moins et, par conséquent, par la partie de tenue rigide 21. La base 40 comprend un corps de vérin hydraulique assemblé entre une entretoise supérieure 42 et une entretoise inférieure 43. Ce corps forme une portion de montage 157 de la base 40. L'entretoise supérieure 42 est boulonnée à deux éléments raidisseurs 24 adjacents par des boulons 44 assemblés à chaque aile 37, 38 de l'élément raidisseur. L'organe mobile 41 comprend un piston monté coulissant dans le corps de vérin hydraulique, et dont l'extrémité inférieure est destinée à être assemblée solidaire d'une surface d'appui sur une surface inférieure. Il existe de nombreuses façons de monter un moyen moteur sur un ou plusieurs éléments raidisseurs. De manière générale, une portion de montage du moyen moteur est fixée sur un ou plusieurs éléments raidisseurs par tout moyen approprié, tel que par l'utilisation d'un support de réception du moyen boulonné à l'élément raidisseur, par exemple. Comme cela est visible en particulier sur la figure 5, la rive inférieure horizontale 8 comporte une ouverture fonctionnelle 45 dimensionnée pour le passage de l'extrémité inférieure de l'organe mobile 41. C'est-à-dire que l'ouverture fonctionnelle 45 est suffisamment étendue pour laisser passer à travers elle une portion inférieure de l'organe mobile 41 sans interférer avec elle, mais est suffisamment restreinte pour n'être pas sensiblement plus étendue que l'ouverture nécessaire à la fonction ci-dessus. L'organe mobile 41 peut donc être déplacé par rapport à la base 40 selon le degré de liberté à travers l'ouverture 45 depuis une position rétractée à une position étendue dans laquelle l'organe mobile 41 projette sensiblement hors du caisson 2. Le moyen fonctionnel de support 34 est dit escamotable en tout ou partie à l'intérieur du caisson 2. Dans le cas présent, on observe que l'extrémité inférieure de l'organe mobile 41 est de section supérieure à l'ouverture 45. Dans la position rétractée, l'extrémité inférieure de l'organe mobile 41 s'étend en dehors du caisson 2, et obture l'ouverture 45. Dans le présent exemple, le moyen fonctionnel de support 34 est donc dit escamotable seulement en partie à l'intérieur du caisson. En variante toutefois, l'ouverture 45 pourrait être de section supérieure à celle de l'extrémité inférieure de l'organe mobile 41, permettant un escamotage total du moyen fonctionnel de supprot 34 à l'intérieur du caisson 2. Ainsi, une partie 153 du pied 35 s'étend en dehors du caisson 2, alors qu'une autre partie 154 s'étend dans l'espace intérieur du caisson 2, au moins dans la position étendue, et également dans la position rétractée dans le présent exemple.
Le moyen fonctionnel est apte à être verrouillé au moins dans une de ces positions. Par verrouillé, on entend que, dans son état verrouillé, le moyen fonctionnel est apte à remplir sa fonction lors de l'installation et/ou l'utilisation du coffrage 1. Par exemple, pour le moyen fonctionnel de support, celui-ci est apte à supporter le caisson dans une position verticale donnée. Cette fonction est le cas échéant distribuée sur les autres pieds 45 voire, dans le cas présent, sur la structure 15. Le cas échéant, une pluralité de positions verrouillables sont définies le long du degré de liberté. Cela permet de s'adapter à l'éventuelle non-planéité du support sous-jacent, notamment du sol de chantier, tout en garantissant une horizontalité de la surface de référence horizontale du caisson (rive horizontale inférieure par exemple) selon la largeur de celui-ci.
Dans l'exemple présenté, le pied 25 est un pied hydraulique. A titre purement illustratif, on prévoit une ligne hydraulique supérieure 46 et une ligne hydraulique inférieure 47 débouchant respectivement de part et d'autre de la tête du piston à l'intérieur du corps du vérin. Les deux lignes 46 et 47 sont reliées toutes deux à un moyen 48 hydraulique. Le moyen hydraulique 48 est également reçu à l'intérieur du logement 39, à proximité du pied 25, et est fixé rigidement à la poutre 24, notamment aux deux ailes parallèles 37, 38. Le moyen hydraulique 48 est par exemple une pompe actionnable pour commander l'écoulement de fluide hydraulique dans un sens donné dans la ligne 46 ou dans la ligne 47. Le moyen 48 hydraulique est lui-même raccordé à un moyen d'alimentation 152 hydraulique débouchant hors du caisson 2. Ainsi, le moyen 48 hydraulique comprend deux lignes 49, 50 hydrauliques s'étendant jusqu'à un connecteur 51 hydraulique du caisson 2.
On prévoit également un moyen de commande 52 du moyen 48 hydraulique. Dans le cas présent, le moyen de commande 52 peut être un boîtier électronique comportant un ou plusieurs boutons de commande 53 du moyen 48 hydraulique. Chaque bouton de commande 53 est actionnable par un opérateur pour actionner le moyen 48 hydraulique et, par ce biais, commander le déplacement de l'organe mobile 41 par rapport à la base 40 selon le degré de liberté dans un sens ou un autre. Le cas échéant, les boutons de commande 53 porteront des labels explicites, comme une flèche directionnelle par exemple.
Par exemple, le moyen de commande 52 peut être porté par le moyen 48 hydraulique, comme dans l'exemple représenté. Comme visible sur la figure 12, la paroi arrière 22 offre une face arrière sensiblement plane. Des ouvertures fonctionnelles 45 sont fournies dans la paroi arrière 22. On a déjà décrit ci-dessus un exemple d'ouverture fonctionnelle 45 pour le pied 35. Dans le cas présent, on prévoit par exemple une ouverture fonctionnelle 45 pour le moyen de commande 52. C'est-à-dire que le moyen de commande 52 est accessible à un opérateur à travers la paroi arrière 22 via l'ouverture fonctionnelle 45. Le moyen de commande 52 est assemblé de manière à obturer l'ouverture fonctionnelle 45 de l'intérieur. Ceci s'applique également aux autres ouvertures fonctionnelles 45, sauf si le contexte montre que ce n'est pas le cas. On prévoit également dans la paroi arrière 22 une ouverture fonctionnelle 45 destinée à recevoir un connecteur électrique 54. C'est-à-dire qu'un connecteur électrique 54, relié électriquement à un appareil électrique à l'intérieur du caisson 2 (par exemple le moyen moteur 48), est accessible à un opérateur pour qu'y soit branché un appareil électrique externe, par exemple une alimentation électrique externe, à travers la paroi arrière 22 via l'ouverture fonctionnelle 45. Ainsi, les moyens d'alimentation 152 du moyen moteur comprennent au moins un connecteur électrique, hydraulique ou pneumatique débouchant à l'extérieur du caisson, et adapté à être relié à une conduite d'amenée électrique, hydraulique ou pneumatique externe, respectivement, et au moins une ligne électrique, hydraulique ou pneumatique, respectivement, interne, s'étendant depuis le connecteur jusqu'au moyen moteur. L'invention a été décrite ci-dessus par référence à un moyen fonctionnel de support.
Les pieds étant également utilisés pour positionner la banche de coffrage 1, notamment verticalement, l'invention a donc également été décrite pour un exemple d'un moyen fonctionnel de positionnement 145. En variante, l'invention trouve une application dans un mode de réalisation présentant un moyen fonctionnel de liaison. En particulier, il s'agit d'un moyen fonctionnel de liaison de deux banches de coffrage 1 et 1' face à face (ou en vis-à-vis). Chaque banche de coffrage 1 peut présenter un ou plusieurs (dans le cas présent, quatre) moyens fonctionnels de liaison face-à-face 79. Ceux-ci sont ici répartis aux coins d'un rectangle dans un plan parallèle à la face coffrante.
L'un des moyens fonctionnels de liaison face à face 79 va être décrit ci-après, par référence avec la figure 15, sachant que les autres moyens fonctionnels de liaison face à face peuvent être identiques. Le moyen fonctionnel de liaison face-à-face 79 comprend une base 80 solidaire du caisson 2, et un boîtier 81 mobile par rapport à la base selon une direction de translation avant-arrière Y. Il existe de nombreuses façons de monter un moyen fonctionnel sur un ou plusieurs éléments raidisseurs. De manière générale, une portion de montage du moyen fonctionnel est fixée sur un ou plusieurs éléments raidisseurs par tout moyen approprié, tel que par l'utilisation d'un support de réception du moyen boulonné à l'élément raidisseur, par exemple.
Le boîtier 81 peut faire saillie de la face arrière du caisson 2 au travers une ouverture fonctionnelle 45. Comme visible sur la figure 19, la base 80 peut former une glissière guidant le déplacement du boîtier 81 selon la direction de translation avant-arrière Y. La glissière présente en section transversale par rapport à la direction Y une forme complémentaire de celle du boîtier. La base 80 présente également une butée avant 82 définissant une position extrême avant pour le boîtier 81 par rapport à la base 80. Des moyens de retenue arrière peuvent également être prévus pour empêcher le boîtier de sortir entièrement du caisson 2 à travers l'ouverture fonctionnelle 45. Le boîtier 81 comporte une ouverture traversante 83 alignée avec une ouverture traversante 84 ménagée dans la paroi principale 5. Le boîtier porte en outre un système de serrage 85 adapté pour serrer une tige 86 sur le boîtier 81. La tige 86 est destinée à s'étendre de la banche de coffrage 1 considérée jusqu'à la banche de coffrage en vis-à-vis. Le système de serrage 85 est un système articulé comprenant deux demie-parties 87a, 87b liées ensemble l'une à l'autre par une connexion pivot. Le système de serrage 85 peut ainsi prendre alternativement une configuration ouverte, dans laquelle la tige 86 peut être translatée (mouvement de translation sans vissage) par rapport au boîtier 81 selon la direction avant-arrière, et une configuration fermée, dans laquelle il est apte à maintenir la tige 86 rigidement sur le boîtier 81. Dans l'exemple présenté, le système de serrage 85 comprend un disque 89 centré sur la direction avant-arrière et portant un écrou 90. Le disque 89 est maintenu solidaire en translation du boîtier 81, mais est monté rotatif par rapport au boîtier 81 autour de la direction avant-arrière. L'écrou 90 comprend un premier et un deuxième demi- écrous 90a, 90b, faisant respectivement partie d'une demie-partie 87a, 87b du système de serrage. Ainsi, les deux demi-écrous 90a, 90b sont montés mobiles l'un par rapport à l'autre entre une configuration ouverte (Figure 15) et une configuration fermée (figure 16). Dans la configuration fermée des deux demi- écrous, ceux-ci présentent ensemble un filetage intérieur continu 91 complémentaire d'un filetage porté par la tige 86.
Comme visible sur la figure 16, le système de serrage 85 comprend également un système de verrouillage 92. Le système de verrouillage 92 est adapté pour prendre alternativement un état verrouillé, dans lequel il empêche le système de serrage 85 d'être placé, depuis sa configuration fermée, dans sa configuration ouverte, et un état déverrouillé, dans lequel il autorise le système de serrage 85 à être placé, depuis sa configuration fermée, vers sa configuration ouverte. Sur la figure 16, on a représenté le système de serrage 85 dans sa configuration fermée et le système de verrouillage 92 dans son état verrouillé. Comme visible, le système de verrouillage 92 comprend un élément de verrouillage 93 mobile par rapport au boîtier 81 selon un degré de liberté, par exemple selon une translation transverse à la direction avant-arrière (dans le cas présent, illustratif, selon la direction verticale). Ce déplacement est par exemple guidé par l'intermédiaire d'une fente 94 continue de l'élément de verrouillage selon la direction transverse coopérant avec un téton 95 du boîtier. L'élément de verrouillage 93 comporte une surface de butée 96 en regard d'une surface de butée 97 complémentaire du demi-écrou 87b. Ainsi, lorsqu'on tente de déplacer le demi-écrou 87b, depuis la configuration fermée, en direction de la configuration ouverte, dans l'état verrouillé du système de verrouillage 92, les surfaces de butée 96 et 97 butent les unes contre les autres pour empêcher ce déplacement. Dans l'état déverrouillé du système de verrouillage, comme représenté sur la figure 15, les surfaces de butée 96 de l'élément de verrouillage 93 ont été décalées à distance de celles 97 du demi- écrou 87b, autorisant ainsi ce déplacement. En complément, comme on peut le voir sur la figure 15, dans l'état déverrouillé, le système de verrouillage interdit au système de serrage d'être placé, depuis sa configuration ouverte, vers sa configuration fermée. Pour cela, on prévoit que le demi-écrou 87b comporte des surfaces de butée 98, et que l'élément de verrouillage 93 comprennent des surfaces de butée 99 complémentaires des surfaces de butée 98. Ainsi, lorsqu'on tente de déplacer le demi-écrou 87b, depuis la configuration ouverte, en direction de la configuration fermée, dans l'état déverrouillé du système de verrouillage 92, les surfaces de butée 98 et 99 butent les unes contre les autres pour empêcher ce déplacement. On peut mettre en oeuvre cette fonction, par exemple en autorisant une position d'effacement pour l'élément de verrouillage 93, la position déverrouillée étant intermédiaire entre la position verrouillée et la position d'effacement le long de la direction transverse de mouvement de l'élément de verrouillage par rapport au boîtier 81. Le système de verrouillage 92 est également adapté pour, dans l'état verrouillé, empêcher une rotation de l'écrou 90 par rapport au boîtier 81 autour de la direction avant-arrière et, dans l'état déverrouillé, autoriser une rotation de l'écrou 90 par rapport au boîtier 81 autour de la direction avant-arrière. Pour cela, on prévoit que le demi-écrou 87b comporte des surfaces de butée 100, 101, et que l'élément de verrouillage 93 comprennent des surfaces de butée 102, 103 complémentaires respectivement des surfaces de butée 100, 101. Ainsi, lorsqu'on tente de tourner le demi-écrou 87b, dans sa configuration fermée, autour de l'axe avant-arrière, dans l'état verrouillé du système de verrouillage 92, dans un premier sens de rotation, les surfaces de butée 100 et 102 butent les unes contre les autres pour empêcher ce déplacement. Lorsqu'on tente de tourner le demi-écrou 87b, dans sa configuration fermée, autour de l'axe avant-arrière, dans l'état verrouillé du système de verrouillage 92, dans un deuxième sens de rotation opposé au premier sens de rotation, les surfaces de butée 101 et 103 butent les unes contre les autres pour empêcher ce déplacement.
Le moyen fonctionnel de liaison face-à-face 79 qui vient d'être décrit fonctionne comme suit. Initialement, le système de verrouillage est dans son état verrouillé, et le système de serrage dans sa configuration fermée. On place le système de verrouillage dans son état déverrouillé, et le système de serrage dans sa configuration ouverte, comme décrit à la figure 15. Le système de verrouillage empêche alors le système de verrouillage de reprendre son état fermé. On insère une tige 86 à travers le système de serrage, notamment via les ouvertures traversantes 83 et 84 jusqu'à ce que la tige 86 atteigne la surface de coffrage de la banche en vis-à-vis. Une telle insertion est possible par simple translation selon la direction avant-arrière à travers les ouvertures traversantes. On visse alors la tige 86 dans le système de serrage de la banche opposée (si la banche opposée est une banche identique à celle actuellement décrite, elle aura été livrée avec son système de serrage en configuration fermée, permettant d'y visser la tige 86). Une fois la tige 86 en position, on déplace l'élément de verrouillage 93 dans sa position escamotée, comme représenté sur la figure 17, et on place le système de serrage dans sa configuration fermée. Dans cette position escamotée de l'élément de verrouillage 93, celui-ci autorise une rotation de l'écrou 90 par rapport au boîtier 81 autour de la direction avant-arrière. Dans cette configuration, l'écrou présente alors un filetage intérieur continu. On peut donc visser l'écrou 90 sur la tige 86 fixe (maintenue dans la banche en vis-à-vis), générant un déplacement du boîtier, jusqu'à ce que le boîtier 81 vienne en butée sur la butée avant 82.
Comme représenté sur la figure 18, on peut alors placer le système de verrouillage 92 dans son état verrouillé. Puis, on procède à la mise en tension de la tige 86. Pour procéder à cette mise en tension, on déplace le boîtier 81 vers l'arrière par rapport à la base 80 selon la direction avant-arrière.
On peut par exemple avoir recours à un moyen moteur 104 (figure 2), porté par la partie de tenue rigide 21, pour déplacer l'organe du moyen fonctionnel, à savoir le boîtier 81, par rapport à la base 80, selon la direction avant- arrière. Le moyen moteur 104 est porté par une poutre 24 par l'intermédiaire d'un support 142 portant le moyen moteur 104 et fixé à la poutre 24. On utilise le cas échéant un moyen de commande 105, porté par une poutre 24 adjacente, à la poutre 24 portant le moyen moteur, et apte à commander la mise en oeuvre du moyen moteur 104. Le moyen de commande 105 est fixé à la poutre 24 de toute manière appropriée, notamment par exemple celles décrites plus haut pour fixer d'autres composants fonctionnels à des poutres. Son interface peut être accessible à l'opérateur par l'intermédiaire d'une ouverture fonctionnelle ménagée dans la paroi arrière 22 comme précédemment décrit. On utilise par exemple un système de renvoi d'angle pour qu'un actionnement du moyen moteur entraîne le déplacement du boîtier 81 selon la direction avant-arrière. Par exemple, on utilise un système de coin. En variante, comme représenté, on utilise un engrenage à renvoi d'angle comprenant une vis sans fin 106 montée rotative par rapport au boîtier 81 autour de l'axe avant-arrière, le moyen moteur 104 comprenant une base 156 fixe entrainant une vis 114 orientée selon la direction latérale en rotation autour de cette direction latérale, la vis 114 engrainant avec la vis sans fin 106.
Une commande du moyen moteur 104 permet alors de déplacer le boîtier 81 selon la direction avant-arrière dans le sens voulu. Notamment, après coulage du béton, des contraintes fortes sur l'écrou 90 peuvent gêner le retrait de la tige 86.
La motorisation du boîtier 81 permet de relâcher les contraintes subies par la liaison tige/écrou du fait du coulage de béton, ce qui permet ensuite de placer le système de serrage dans sa configuration ouverte. Bien que l'invention ait été décrite, dans ce mode de réalisation, pour un exemple particulier de boîtier permettant une insertion rapide de la tige, on pourra en variante utiliser d'autres mécanismes fonctionnels de liaison face-à- face dans le cadre de l'invention. Les particularités de cet exemple comprennent : - la direction d'actionnement par le moyen moteur est transversale à la direction des poutres 24, - la direction de déplacement de l'organe fonctionnel est transversale au plan de la surface coffrante, - la direction d'actionnement par le moyen moteur est transversale à la direction de déplacement de l'organe fonctionnel.
Comme visible sur la figure 20, selon un autre mode de réalisation, le moyen fonctionnel est un moyen fonctionnel de tenue d'accessoire 148. On prévoit notamment, à titre d'organe fonctionnel, un bras 107 pouvant se déplacer par rapport à un fourreau 108 solidaire du caisson 2 selon une direction latérale. A ce titre, la mise en oeuvre de l'invention dans ce mode de réalisation est similaire à celle décrite initialement pour les pieds (c'est-à- dire que la direction de déplacement de l'organe fonctionnel est parallèle au plan de la face coffrante), si ce n'est que l'actionnement a lieu selon une direction transversale à celle des poutres 24. On ne peut alors pas loger le moyen de commande 109, le moyen moteur 110 et le fourreau 108 dans une même poutre 24, mais ceux-ci seront fixés à des poutres 24 adjacentes les unes aux autres. Le cas échéant, des ouvertures localisées seront réalisées dans les poutres 24, sans affecter notablement leur raideur, pour permettre de transmettre les commandes (conduites 111, 112 entre le moyen de commande 109 et le moyen moteur 110) ou les efforts (vérin 113 coulissant dans le cylindre 155 entre le moyen moteur 110 et le bras 107) selon la direction latérale (Cette description est également valable pour le mode de réalisation de moyen fonctionnel de liaison face-à-face décrit plus haut).
Le bras 107 peut être utilisé pour fixer un accessoire tel qu'un outil d'about. L'outil d'about comprend une face coffrante destinée à être disposée en continuité de la face coffrante de la banche de coffrage, mais présente une largeur bien inférieure à une banche. De tels outils d'about permettent de couler une longueur de mur ne correspondant pas à un nombre multiple entier de fois la largeur d'une banche. Selon un autre mode de réalisation, représenté sur la figure 21, le moyen fonctionnel est un moyen fonctionnel de liaison latérale 146 avec une banche de coffrage adjacente. On décrit ici un système permettant de placer deux banches de coffrage 1a, 1b adjacentes en situation d'affleurement. Le système de liaison latérale comprend un premier mécanisme, dit mâle, porté par une première banche de coffrage 1 a, et un deuxième mécanisme, dit femelle, porté par la deuxième banche de coffrage adjacente. Le mode de réalisation décrit la motorisation du mécanisme mâle mais, en variante, on pourrait prévoir la motorisation du mécanisme femelle.
Le moyen moteur 128 comprend un vérin orienté selon la direction latérale. Le vérin comprend un corps 129 et un piston (caché sur la figure 21) mobile par rapport au corps 129 selon la direction latérale. Le piston, représenté rétracté sur la figure 21, peut s'étendre dans un sens latéral extérieur-intérieur, c'est-à-dire en s'éloignant de la rive 8. Le moyen moteur 128 est porté par la rive 8 par l'intermédiaire d'un support 130 et de l'aile 37 d'une poutre 24, dans une ouverture ménagée à cet effet de celle-ci. Le vérin est solidaire d'un organe fonctionnel de liaison 131. L'organe fonctionnel 131 est guidé en translation selon la direction latérale par des fentes ménagées dans les ailes 37 et 38 de la poutre 24. L'organe fonctionnel 131 est un crochet de capture 133 monté mobile par rapport à un corps de base 132. Plus exactement, le crochet de capture peut être soumis, par rapport au corps de base 132, à deux mouvements indépendamment l'un de l'autre. Un premier mouvement est une translation selon la direction latérale, entre une position étendue (représentée) et une position rétractée. Un deuxième mouvement est une rotation relative autour de la direction avant-arrière. Selon un exemple de réalisation, le corps de base 132 présente une fente centrale 134, allongée selon la direction latérale. Le crochet 133 présente une portion d'actionnement interne 135 et une portion de capture 136 externe solidaire l'une de l'autre. La portion de capture 136 comporte une fente 137 allongée selon la direction latérale. Un axe 138 du corps de base 132 s'étend selon la direction avant-arrière dans la fente 137 allongée. Dans certaines positions relatives du corps de base 132 et du crochet de capture 133, le crochet de capture 133 peut pivoter autour de l'axe 138, c'est-à-dire autour de l'axe avant-arrière. La portion d'actionnement interne 135 est en regard d'une surface d'actionnement 139 du corps de base 132, pour qu'un déplacement vers l'intérieur du corps de base 132 selon la direction latérale entraîne le crochet de capture 133.
Le moyen de commande 165 est visible sur la figure 3. Pour procéder au rapprochement de deux banches de coffrage adjacentes, on place le crochet de capture 133 en position étendue, comme représenté sur la figure 21. On peut ajuster manuellement la position du crochet de capture, en translation selon la direction latérale, et/ou en rotation autour de l'axe avant-arrière, jusque dans une position d'assemblage où le crochet de capture est dans une position idoine pour être mis en relation avec le mécanisme femelle 140. On commande alors l'actionnement du moyen moteur 128, qui génère une extension du piston, et par là même une translation du corps de base vers l'intérieur selon la direction latérale. Après avoir rattrapé l'éventuel jeu entre la surface d'actionnement 139 et la portion d'actionnement interne 135, la surface d'actionnement 139 entraîne avec elle le crochet 133 et la banche adjacente. La surface d'actionnement 139 a une forme tendant à faire prendre au crochet 133 une position horizontale. Par exemple, dans l'exemple représenté, la surface d'actionnement a une forme en arc de cercle centré sur un centre situé sur une ligne horizontale passant le centre de pivot de l'axe 135. Ainsi, le crochet 133 tend à prendre une position horizontale. Ce système permet d'aligner les banches latéralement en rattrapant un décalage initial de hauteur entre le mécanisme mâle et le mécanisme femelle de la banche adjacente. Pour cela, on profite de la facilité de rotation offerte initialement au crochet 133 pour rattraper cette différence de hauteur, puis on actionne le moyen fonctionnel pour déplacer la banche adjacente latéralement et en hauteur. Bien qu'on est décrit l'implémentation de l'invention dans un mode de réalisation particulier de moyen fonctionnel de liaison latérale, on pourrait en variante utiliser tout autre type de moyen fonctionnel de liaison latérale ou verticale. Pour la liaison verticale de deux banches superposées, on peut utiliser un moyen fonctionnel de liaison verticale 147. On peut utiliser à ce titre tout mécanisme approprié. On peut par exemple, dans un exemple de réalisation, utiliser les pieds 35, ainsi qu'un organe femelle 148 coopérant avec le pied d'une banche superposé. L'organe femelle 148 est par exemple supporté par la partie de tenue rigide en haut de banche, à proximité de la paroi de rive 8 supérieure, et est apte à s'étendre à travers une ouverture fonctionnelle 45 ménagée dans la rive 8 supérieure. L'organe femelle 148 est apte à être solidarisé avec le pied 35, de sorte qu'un déplacement du pied 34 de sa position étendue à sa position rétractée génère un mouvement de rapprochement des deux banches superposées selon la direction verticale. La particularité de l'exemple qui vient d'être décrit est le sens de déploiement du moyen moteur opposé au sens de déploiement de l'organe fonctionnel. Ainsi, la position étendue du moyen moteur correspond à la position rétractée du moyen fonctionnel, et inversement. Dans le mode de réalisation décrit précédemment pour les pieds, la position étendue du moyen moteur correspond à la position étendue du moyen fonctionnel, et la position rétractée du moyen moteur correspond à la position rétractée du moyen fonctionnel. On a décrit ci-dessus divers exemples de moyens fonctionnels implémentables dans le cadre de l'invention, sachant qu'il peut y en avoir d'autres, tel que par exemples des moyens fonctionnels d'accès et de circulation.
Ainsi, on peut prévoir d'implémenter l'invention pour déployer un moyen fonctionnel d'accès et de circulation tel qu'une plate-forme, une échelle, un escalier, un garde-corps, .... A titre d'exemple, on a présenté sur la figure 2 un moyen moteur 149 commandable pour commander le déplacement fonctionnel, tel qu'un vérin 151. Le vérin 151 comporte un cylindre 163 et un piston 150 coulissant par rapport au cylindre 163. L'extrémité du piston est solidaire d'un organe fonctionnel, pour déplacer une partie d'un garde-corps 13 entre une position rétractée et une position déployée. Ce déplacement se fait à travers une ouverture fonctionnelle de la paroi de rive 8 supérieure. L'extrémité du piston est solidaire ou articulée sur le garde-corps 13. Le moyen de commande associé est désigné par la référence 164. Pour l'ensemble des moyens fonctionnels décrits ci-dessus, une partie de l'organe fonctionnel s'étend en dehors du caisson 2, alors qu'une autre partie s'étend dans l'espace intérieur du caisson 2, au moins dans la position étendue. Pour certains d'entre eux, cette disposition s'applique également dans la position rétractée. Ci-dessus, on a décrit principalement des moyens moteurs hydrauliques. Ces moyens moteurs hydrauliques peuvent être raccordés à un système hydraulique externe au caisson, ce qui nécessite des moyens d'alimentation 152 hydrauliques du moteur. Ceci nécessite de plus des moyens d'alimentation 152 électriques du moteur. En variante, on pourrait utiliser des moyens moteurs pneumatiques, auquel cas ces moyens moteurs pneumatiques peuvent être raccordés à un système pneumatique externe au caisson, ce qui nécessite des moyens d'alimentation pneumatiques du moteur. Ceci nécessite de plus des moyens d'alimentation électrique du moteur.45 En variante, les moyens moteurs hydraulique ou pneumatique ne sont pas raccordés à des sources d'alimentation hydraulique/pneumatique externes au caisson, et nécessitent seulement des moyens d'alimentation électriques du moteur.
En variante encore, les moyens moteurs sont des moyens moteurs électriques qui nécessitent uniquement des moyens d'alimentation électriques. Le caisson 2 peut également comporter un placard de rangement 69. Le placard de rangement 69 comprend un ensemble de parois définissant un volume fermé de rangement. Le volume fermé est accessible depuis l'extérieur par l'intermédiaire d'une porte 70 ménagée dans la paroi arrière 4 du caisson 2. La porte 70 comprend un dormant 71 réalisé comme tout ou partie de la paroi arrière 4, et un battant 72 mobile par rapport au dormant entre une position ouverte où elle donne accès au volume fermé de rangement, et une position ouverte où elle donne accès au volume fermé de rangement. La mobilité du battant peut être assurée par tout moyen approprié, tel que deux charnières 73. La porte peut également comporter des moyens de verrouillage permettant son maintien en position fermée, tel qu'un moyen élastique de rappel et une butée, par exemple, ou un verrou 74 actionnable par un opérateur. Certaines parois de l'ensemble de parois définissant le volume intérieur peuvent être des éléments raidisseurs 24, et les autres parois de l'ensemble de parois, notamment des parois supérieure, inférieure, ou de fond, peuvent être rapportées sur des éléments raidisseurs.
Pour la fabrication du coffrage 1, on assemble le moyen fonctionnel, le moyen moteur et/ou le moyen de commande aux éléments raidisseurs 24 ou aux rives 8, puis on assemble les éléments raidisseurs 24 aux rives 8 et/ou à la paroi arrière 22, les organes fonctionnels et les moyens de commande étant le cas échéant accessibles à travers les ouvertures fonctionnelles 45. On réalise ainsi la partie de tenue rigide (ou sous-unité de tenue rigide).
Par référence aux figures 8 et 9, on décrit ci-après la paroi principale 5. La paroi principale 5 comprend une plaque avant 55 comportant la face coffrante 6, et une face arrière 56 opposée à la face coffrante 6. La paroi principale 5 comporte également un système raidisseur 168. Dans l'exemple présenté, le système raidisseur 168 comporte une armature 57 assemblée à la plaque avant 55, et plus particulièrement assemblée à la face arrière 56 de la plaque avant 55. Dans l'exemple présent, l'armature 57 comprend un cadre 76 périphérique et une pluralité d'éléments raidisseurs 58. Les éléments raidisseurs 58 s'étendent parallèlement les uns aux autres. La paroi principale 5, munie de son armature 57, présente une rigidité suffisante pour prévenir tout voilage ou perte de planéité de la face coffrante 6 au cours de la manutention de la paroi principale 5 avant son assemblage à la partie de tenue rigide. Toutefois, en soi, cette armature ne suffit pas à encaisse les efforts appliqués à la banche lors de son utilisation. Notamment, les éléments raidisseurs 58 s'étendent selon une direction transversale à la direction d'extension des éléments raidisseurs 24 de la partie de tenue rigide 21. La direction d'extension des éléments raidisseurs 58 et la direction d'extension des éléments raidisseurs 24 forment ensemble un plan sensiblement parallèle au plan de la face coffrante 6. Dans l'exemple présenté, on prévoit que le cadre 76 comprend un élément raidisseur 58 supérieur et un élément raidisseur 58 inférieur, ainsi que deux poutres latérales transversales 77. Les éléments raidisseurs 58 sont similaires l'un à l'autre, et un seul sera décrit ci-après, cette description étant transposable ou adaptable à l'autre élément raidisseur.
L'élément raidisseur 58 comprend une forme profilée présentant une section sensiblement en U orthogonalement à sa direction d'extension. L'élément raidisseur comprend ainsi une base 59 à partir de laquelle s'étendent deux ailes 60, 61 symétriques l'une de l'autre, voire parallèles l'une à l'autre. La base 59 s'étend sensiblement parallèlement à la face arrière 56 de la plaque 55. Un logement 62 est ainsi défini entre la face arrière 56 de la plaque 55, la base 59 et les ailes 60 et 61. Les éléments raidisseurs 58 supérieur et inférieur faisant partie du cadre 76 peuvent être spécifiquement dédiés à la fixation de la partie de coffrage sur la partie de tenue arrière 21.
Le logement 62 peut comporter une pluralité d'écrous 66 captifs accessibles chacun à travers une ouverture dédiée 63 ménagée dans la base 59. Les écrous présentent un axe appelé axe de montage. L'axe de montage est normal à la face coffrante.
La paroi principale 5 comporte également des éléments de guidage 64. Les éléments de guidage 64 s'étendent selon l'axe de montage, et présente une forme conique rétrécissante à mesure qu'ils s'éloignent de la face coffrante selon l'axe de montage. Dans l'exemple présenté, les éléments de guidage 64 sont disposés dans les coins de la paroi frontale de coffrage. En tout état de cause, ils sont disposés de manière à pouvoir coopérer avec les fentes de guidage 28.
Les éléments de guidage 64 forment une deuxième partie d'un système de guidage et d'ajustement de la partie de tenue rigide et de la partie de coffrage. Les éléments raidisseurs 58 du cadre 76 peuvent également comprendre des ouvertures 121 à travers lesquelles des cales 122 de réglage en profondeur font saillie. Les cales 122 sont prédimensionnées à la longueur adaptée pour le positionnement recherché de la banche de coffrage 1. Elles sont solidarisées directement sur la face arrière 56 de la plaque avant 55. Les cales 122 viennent directement en contact avec la face avant 123 de la traverse supérieure 30 positionnée à la bonne cotte pour la banche de coffrage 1. Des cales 122 et des traverses comme la traverse 30 peuvent être réparties par endroits sur la périphérie de la banche de coffrage 1 (notamment, la traverse 31 peut être utilisée également à cet effet, ainsi que des dispositifs similaires sur les côtés). Les premier et deuxième systèmes de calage 122, 123, complémentaires l'un de l'autre, préalablement réglés pour définir la position relative des première et deuxième sous-unités de coffrage selon la direction axiale avant- arrière, interagissent pour définir une position relative des première et deuxième sous-unités de coffrage selon la direction axiale avant-arrière. L'élément de coffrage 1 est assemblé comme suit. On fournit une partie de coffrage 20, constituant une première sous-unité, et une partie de tenue rigide 21 constituant la deuxième sous-unité, distinctes l'une de l'autre. La paroi principale 5 est alignée parallèlement à la paroi arrière 4. La paroi arrière 4 et la paroi principale 5 sont déplacées l'une vers l'autre selon la direction de montage, avec les éléments de guidage 64 qui s'insèrent dans les fentes de guidage 28. Les éléments de guidage 64 et les fentes de guidage 28 guident les première et deuxième sous-unités de coffrage l'une par rapport à l'autre, respectivement, selon au moins une direction d'ajustement dans un plan normal à la direction axiale avant-arrière.
En particulier, les éléments de guidage 64 supérieurs servent à positionner verticalement la paroi principale 5, et les éléments de guidage servent à la positionner latéralement par rapport à la paroi arrière 4. On poursuit le déplacement relatif selon la direction de montage, jusqu'à ce que les cales 122 viennent en contact avec les faces avant 123. Dans cette position, les éléments raidisseurs 58 et les éléments raidisseurs 24 entrent en contact ou sont proches de l'être. Le caisson 2 est alors assemblé. On procède par exemple à un vissage à travers les ouvertures traversantes 33 de la partie de tenue rigide et les ouvertures traversantes 63 de la partie coffrante. On peut par exemple visser depuis la face coffrante. En variante, on peut visser depuis la face arrière jusqu'à affleurer sur la face coffrante, ou jusque dans l'écrou 66 captif avant de déboucher sur la face coffrante. Les ouvertures traversantes 63 forment une deuxième partie d'un système de fixation de la partie de tenue rigide et de la partie de coffrage. Dans l'exemple présenté, elles sont fournies dans les éléments raidisseurs 58 supérieur et inférieur. Elles sont réparties sur la périphérie de la partie de tenue rigide, ce qui permet d'améliorer la fixation de la partie de tenue rigide et de la partie coffrante. En complément ou en alternative, on pourrait en prévoir d'autres dans d'autres emplacements. La paroi arrière 22, les éléments raidisseurs 58 en projetant, les éléments raidisseurs 24 projetant de la paroi avant et en appui sur ces derniers, les parois de rive 8 et les équerres 25 forment ensemble des moyens de tenue rigide 144 du caisson propres à ce qu'il encaisse les efforts appliqués à la banche lors de son utilisation. Le caisson 2 peut alors être relié aux caissons voisins, latéralement ou verticalement, en utilisant les mécanismes décrits ci-dessus, ce qui conduit à un alignement des surfaces de coffrage des différents caissons. On actionne aux besoin les moyens fonctionnels de tenue d'accessoire Le tout est alors calé en place. Si on souhaite commander un moyen fonctionnel, un opérateur utilise le moyen de commande dédié à travers la paroi arrière 4, par exemple en appuyant sur le bouton ad hoc. Cette commande génère l'actionnement du moyen moteur associé, qui lui-même commande un déplacement de l'organe fonctionnel selon le degré de liberté.
Les banches sont également reliées aux banches de coffrage en vis-à-vis par l'intermédiaire des tiges, selon le mécanisme décrit plus haut. Au cours de l'utilisation de l'élément de coffrage, les efforts appliqués par le béton sur la face coffrante 6 sont transmis à la partie de tenue rigide 21 par l'intermédiaire des éléments raidisseurs 58 en simple appui sur les éléments raidisseurs 24. On remarquera que, du fait de l'orientation transverse des éléments raidisseurs 58 et 24, ceux-ci sont en appui localisés les uns sur les autres en certains emplacements distribués selon une géométrie matricielle. Entre deux points d'appui successifs d'un élément raidisseur 24 sur deux éléments raidisseurs 58 adjacents, il existe un espace entre le bord libre de l'élément raidisseur 24 et la face arrière 56 de la paroi de coffrage 5. Entre deux points d'appui successifs d'un élément raidisseur 58 sur deux éléments raidisseurs 24 adjacents, il existe un espace entre le bord libre de l'élément raidisseur 58 et la face avant 23 de la paroi arrière 4. Ces espaces permettent de laisser passer une conduite ou un fil d'alimentation dans l'ensemble de l'espace intérieur au caisson 2. La figure 11 illustre ainsi schématiquement un fil 78 courant le long d'un élément raidisseur 24, puis passant de l'autre côté de l'élément raidisseur 24 via l'espace libre entre l'élément raidisseur 24 et la face arrière 56 de la paroi de coffrage 5 entre deux éléments raidisseurs 58 successifs.45 Les éléments raidisseurs 24 sont plus raides que les éléments raidisseurs 58, voire au moins deux fois plus raide. Il en résulte que la partie de tenue rigide pourra être réutilisée pour de nombreux murs. Elle supporte la majeure partie des moyens fonctionnels. Au contraire, la partie de coffrage a vocation à être régulièrement changée entre des utilisations successives.
La partie de coffrage et la partie de tenue rigide sont donc associées de façon rigide mais démontable et séparable, la paroi frontale étant associée de façon amovible à la partie de tenue rigide qui peut recevoir l'une de plusieurs parois frontales en fonction des besoins. Il suffira de démonter la partie de coffrage de la partie de tenue rigide par une suite d'opérations inverses que celles mises en oeuvre pour les fixer ensemble.
En variante, les moyens moteurs pourraient être actionnés à distance par des moyens sans fil. La figure 13 représente une variante de réalisation d'une banche selon l'invention. Alors que, sur le mode de réalisation décrit sur les figures précédentes, les moyens de commande sont distribués sur la face arrière 7 du caisson 2, chacun à proximité du moyen moteur commandé par le moyen de commande associé, on présente sur la figure 13 une banche présentant un boîtier de commande 67 centralisé. Tout comme les moyens de commande précédemment décrits, le boîtier de commande 67 est porté par la partie de tenue rigide 21. Il présente une interface de commande 68 accessible à un opérateur depuis l'extérieur par l'intermédiaire d'une ouverture fonctionnelle 45 ménagée dans la paroi arrière 4. L'interface de commande regroupe les interfaces de commande distribuées du premier mode de réalisation, afin de contrôler les différents moyens moteurs. On fournit par exemple un bouton de commande par sens d'actionnement de chaque moyen moteur individuel. Un élément de coffrage 1 tel que décrit ci-dessus (pour tout mode de réalisation) peut également comprendre divers instruments électriques autres que des moyens moteurs. On peut par exemple envisager un ou plusieurs capteurs aptes à capter une information relative à l'installation ou à l'utilisation du coffrage, et à transmettre cette information à une unité de traitement. Le ou les capteurs sont fixés à tout endroit adapté du coffrage. Par exemple, ils peuvent être fixés à un ou plusieurs éléments raidisseurs 24. Ils sont alimentés électriquement par l'intermédiaire d'une ligne reliée électriquement, directement ou indirectement, à un connecteur électrique 51. Ils sont reliés par une ligne adaptée à l'unité centrale qui peut par exemple être intégrée au boîtier de commande 67.
On prévoit par exemple un capteur de température, adapté pour déterminer la température à l'endroit où il est situé. On peut également prévoir un capteur d'orientation de la face coffrante 6. Le capteur d'orientation est adapté pour déterminer une orientation de la face coffrante 6 par rapport à un ou plusieurs plans de référence, ou par rapport à une ou plusieurs directions de référence. On peut par exemple utiliser un tel ou plusieurs tels capteurs pour déterminer une verticalité de la face coffrante 6, et une horizontalité d'une ligne de référence de la face coffrante 6. L'information d'orientation est transmise à l'unité centrale. On peut également prévoir un ou plusieurs capteurs de niveau de béton. Ces capteurs comprennent des électrodes portées par la face coffrante 6, et aptes à déterminer un changement de propriété électrique dû à la présence de béton en regard. En fournissant de telles électrodes à différentes hauteurs le long de la face coffrante, et en lisant les signaux émis par ces dernières, on peut déterminer le niveau du béton. Les électrodes sont reliées électriquement à une alimentation électrique de toute manière appropriée, et sont reliées à l'unité centrale via une ouverture fonctionnelle dans une rive 8.45 Le coffrage 1 peut également présenter un affichage 75. L'affichage 75 peut par exemple comporter un écran d'affichage adapté pour affiché des informations visibles par un opérateur. On prévoit par exemple que l'affichage 75 soit assemblé à la partie de tenue rigide 21, et que l'écran d'affichage soit visible à un opérateur à travers une ouverture fonctionnelle 45 dans la paroi arrière 4 du caisson 2. L'affichage 75 peut être alimenté électriquement de la manière décrite ci-dessus pour d'autres appareils électriques. Il peut être relié à l'unité centrale de manière à afficher certaines informations contenues dans celle-ci. Par exemple, il peut afficher, de manière variant dans le temps, des informations stockées au niveau de l'unité centrale, et obtenues à partir des capteurs. Par exemple, ces informations peuvent être la température détectée, un écart par rapport à une position de référence, ou un niveau de béton.
La figure 14 correspond sensiblement à la figure 13, de laquelle on a virtuellement retiré la plaque arrière, afin de montrer les connexions à l'intérieur du caisson 2. Le boîtier 67 est relié à un ou plusieurs connecteurs électriques 51, l'un d'entre eux étant susceptibles d'être relié à une alimentation électrique externe pour alimenter en courant le caisson 2. Le boîtier 67 transmet ensuite l'énergie électrique requise aux différents moyens moteurs, sur commande, par des câbles 124 dédiés. A titre purement illustratif, on a par exemple représenté une ligne 124' reliant le boîtier 67 à un moyen moteur de liaison latérale 108 tel que décrit ci-dessus en relation avec la figure 21. On notera également qu'on peut prévoir une ligne électrique 124" s'étendant depuis le boîtier 67 vers un connecteur électrique 51' distant, par exemple situé en haut de banche. Au besoin, un cavalier électrique 125 est prévu pour relier électriquement le connecteur électrique 51' à une banche voisine. Ceci permet de ne pas relier toutes les banches individuellement au secteur. On pourra également noter qu'une ligne 124"' relie le boîtier 67 à deux moyens moteurs. Une telle ligne peut être utilisée pour commander l'actionnement simultané de plusieurs moyens moteurs. Ceci peut être par exemple mis en oeuvre pour les moyens fonctionnels de support. On peut alors par exemple commander par une seule commande une élévation ou un abaissement de la banche de coffrage 1, plutôt que d'actionner chaque moyen moteur successivement et individuellement, ce qui pourrait risquer une mise en biais de la banche de coffrage.
On peut toutefois conserver la possibilité de commander chaque moyen moteur indépendamment, par exemple pour rattraper un défaut de planéité du sol entre différents supports d'une même banche. On peut alors prévoir au niveau du boîtier une commande unique gérant la rotation de la banche de coffrage autour de l'axe avant-arrière, le boitier 67 convertissant cette commande unique en les commandes individuelles pour chaque moyen moteur permettant de mettre en oeuvre cette commande. Pour faire tourner la banche autour de l'axe avant-arrière dans un sens de rotation donné, on commandera l'extension d'un premier pied et la rétraction du pied latéralement opposé. Ainsi, le boîtier 67 peut comprendre une électronique de commande permettant de déterminer les commandes, el cas échéant identiques ou différentes, à émettre à une pluralité de moyens moteurs en fonction d'une commande simple de l'opérateur. Ainsi, les moyens de commande peuvent être des moyens de commande groupés, soit parallèles, soit différentiels, des moyens fonctionnels.
Ci-dessus, on a décrit un boîtier 67 intégrant des fonctions d'interface utilisateur, de relai électrique et de calcul. Toutefois, ces fonctions pourraient en variante être distribuées en plusieurs dispositifs reliés entre eux et montés dans le caisson 2.
Certains mécanismes, banches ou systèmes décrits ci-dessus apparaissent originaux en soi indépendamment de l'invention initialement revendiquée dans cette demande telle que déposée, et la demanderesse se réserve le droit de déposer toute demande divisionnaire relative à une invention décrite dans les présentes indépendamment de l'invention initialement revendiquée. Ceci inclut, sans être limitatif, toute invention mise en oeuvre dans les modes de réalisation présentés des moyens fonctionnels de support et/ou de positionnement et/ou de liaison et/ou d'accès et de circulation et/ou de tenue d'accessoire, indépendamment de leur motorisation. En variante, on pourrait prévoir, pour le système raidisseur 168, une mousse structurante rigidifiée en une forme permettant de remplacer les éléments raidisseurs 58, et assemblée par exemple de manière compatible avec la plaque avant.
Selon un autre aspect, la banche de coffrage 1 comporte un système de régulation de température 166. Le système de régulation de température 166 permet de réguler la température de la banche de coffrage 1, notamment au cours du temps. Cette régulation permet d'influer sur la solidification du béton. Par exemple, on prévoit de réguler la température de la banche de coffrage 1 par circulation d'un fluide à l'intérieur du caisson 2.
On prévoit une embouchure 167 permettant d'accéder à l'espace intérieur 143. L'embouchure 167 peut être reliée à un système externe d'injection de fluide. Le système d'injection de fluide est réglé pour influer sur la température du fluide à injecter. Le fluide en question est par exemple de l'air. L'embouchure 167 est par exemple disposée dans la paroi arrière 4. Ainsi, en cours d'utilisation, on injecte de l'air froid ou chaud pour influer sur la température de la face coffrante 6. Si on ne souhaite pas utiliser le système de régulation de température, un système d'obturation 168 permet de fermer l'embouchure 167. Le système d'obturation 168 peut comporter un bouchon insérable dans l'embouchure 167 pour obturer celle-ci, et amovible par rapport à celle-ci. Si besoin, un lien relie le bouchon au caisson 2. En variante, le système d'obturation peut comporter un volet mobile entre une position d'obturation et une position ouverte. On peut prévoir un système d'obturation pour toute ouverture du caisson.30

Claims (18)

  1. REVENDICATIONS1. Procédé de fabrication d'un élément de coffrage pour le bâtiment, caractérisé en ce que : on fournit une première sous-unité de coffrage (20), la première sous-unité comprenant une paroi (5) dotée d'une face avant coffrante (6) et d'une face arrière (56), opposée à la face avant (6), la face avant coffrante (6) étant sensiblement plane et destinée à délimiter une zone de coulage de béton, la face arrière (56) étant dotée d'un premier système raidisseur (168), on fournit une deuxième sous-unité de coffrage (21), distincte et séparée de la première sous-unité de coffrage (20), la deuxième sous-unité de coffrage (21) étant de dimensions similaires à la première sous-unité de coffrage (20) dans un plan normal à la direction axiale avant-arrière, la deuxième sous-unité de coffrage présentant une armature (158) comprenant une deuxième série d'éléments raidisseurs (24) distants les uns des autres, on dispose en regard la première sous-unité de coffrage (20) et la deuxième sous-unité de coffrage (21) avec la deuxième sous-unité de coffrage (21) sensiblement orientée par rapport à la paroi de la première sous- unité de coffrage (20), on assemble la première sous-unité de coffrage (20) et la deuxième sous-unité de coffrage (21) l'une à l'autre, de manière à ce que le premier système raidisseur (168) et des éléments raidisseurs (24) de la deuxième série d'éléments raidisseurs viennent en reprise mécanique directement par appui les uns sur les autres, l'extrémité arrière (159) de la deuxième sous-unité de coffrage (21) s'étendant parallèlement à la face arrière (56) de la paroi de la première sous-unité de coffrage (20), et à distance de celle-ci selon la direction axiale avant- arrière.
  2. 2. Procédé de fabrication selon la revendication 1, dans lequel on fournit la deuxième sous-unité de coffrage (21) avec un ensemble de plaque arrière (160), la deuxième série d'éléments raidisseurs (24) projetant vers l'avant depuis l'ensemble de plaque arrière (160), lorsqu'on dispose, on présente l'ensemble de plaque arrière (160) parallèlement à la face avant coffrante (6) et, lorsqu'on assemble, la plaque arrière (160) s'étendant parallèlement à la face arrière (56) de la paroi (5) de la première sous-unité de coffrage (20), et à distance de celle-ci selon la direction axiale avant-arrière, la plaque arrière (160) et la face arrière (56) de la paroi (5) de la première sous-unité de coffrage (20) définissant entre elles un caisson (2) essentiellement creux.
  3. 3. Procédé de fabrication selon la revendication 1 ou 2, dans lequel, lorsqu'on assemble, des premier et deuxième systèmes de guidage (28, 64) complémentaires l'un de l'autre, respectivement portés par la première sous-unité de coffrage (20) et la deuxième sous-unité de coffrage (21), guident les première et deuxième sous- unités de coffrage (20, 21) l'une par rapport à l'autre, respectivement, selon au moins une direction d'ajustement dans un plan normal à la direction axiale avant-arrière.
  4. 4. Procédé de fabrication selon la revendication 3, dans lequel les premier et deuxième systèmes de guidage (28, 64) guident les première et deuxième sous-unités de coffrage (20, 21) l'une par rapport à l'autre, respectivement, selon deux directions d'ajustement distinctes dans le plan normal à la direction axiale avant-arrière.
  5. 5. Procédé de fabrication selon l'une des revendications 1 à 4, dans lequel, lorsqu'on assemble, des premier et deuxième systèmes de calage (122, 123) complémentaires l'un de l'autre, respectivement portés par la première sous-unité de coffrage (20) et la deuxième sous-unité de coffrage (21), interagissent pour définir une position relative des première et deuxième sous-unités de coffrage (20, 21) selon la direction axiale avant-arrière.
  6. 6. Procédé de fabrication selon l'une des revendications 1 à 5, dans lequel, lorsqu'on assemble, ou avant l'étape où on assemble, on règle les premier et deuxième systèmes de calage (122, 123) pour définir la position relative des première et deuxième sous-unités de coffrage (20, 21) selon la direction axiale avant-arrière.
  7. 7. Procédé de fabrication selon l'une quelconque des revendications 1 à 6 dans lequel, lorsqu'on assemble, on visse ensemble les première et deuxième sous-unités de coffrage (20, 21) en une pluralité de points.
  8. 8. Procédé de fabrication selon la revendication 7, dans lequel on visse ensemble les première et deuxième sous-unités de coffrage (20, 21) en une pluralité de points depuis la face coffrante (6).
  9. 9. Procédé de fabrication selon la revendication 7 ou 8, dans lequel on visse ensemble les première et deuxième sous-unités de coffrage (20, 21) en une pluralité de points depuis la deuxième sous-unité de coffrage (21).
  10. 10. Procédé de fabrication selon l'une quelconque des revendications 1 à 9 dans lequel, lorsqu'on assemble, on fixe ensemble les première et deuxième sous-unités de coffrage (20, 21) en une pluralité de points comprenant une série de points périphériques proches du bord périphérique de la face avant coffrante (6).
  11. 11. Procédé de fabrication selon l'une des revendications 1 à 10, dans lequel, lorsqu'on fournit une deuxième sous-unité de coffrage (21), on assemble à l'armature un moyen fonctionnel (34, 145, 79, 146, 147, 3, 148) comprenant une base (129, 151, 155, 156) et un organe fonctionnel (35, 81, 131, 11, 13, 14, 19, 107) mobile par rapport à cette base (129, 151, 155, 156) selon au moins un degré de liberté, dans lequel on assemble à l'armature (158) un moyen moteur (161, 104, 110, 128, 149) apte à entrainer le moyen fonctionnel (34, 145, 79, 146, 147, 3, 148), et on raccorde le moyen moteur (161, 104, 110, 128, 149) à une alimentation (152) débouchant hors de la deuxième sous-unité de coffrage (21), et dans lequel, lorsqu'on assemble, on fait passer l'alimentation (152) entre les points d'appui du premier système raidisseur (168) et des éléments raidisseurs (24) l'un sur l'autre.
  12. 12. Procédé de maintenance d'un coffrage pour le bâtiment dans lequel on fournit un coffrage pour le bâtiment fabriqué par le procédé de fabrication selon l'une quelconque des revendications 1 à 11, et on désassemble les première et deuxième sous-unités de coffrage (20, 21).
  13. 13. Procédé de maintenance d'un coffrage pour le bâtiment selon la revendication 12, dans lequel on fournit une première sous-unité de coffrage (20) ultérieure, la première sous-unité (20) ultérieure comprenant une paroi (5) dotée d'une face avant coffrante (6) et d'une face arrière (56), opposée à la face avant, la face avant coffrante (6) étant sensiblement plane et destinée à délimiter une zone de coulage de béton, la face arrière (56) étant dotée d'un premier système raidisseur (168), - on dispose en regard la première sous-unité de coffrage (20) ultérieure et la deuxième sous-unité de coffrage(21) avec la deuxième sous-unité de coffrage (21) sensiblement orientée par rapport à la paroi de la première sous-unité de coffrage (20) ultérieure, on assemble la première sous-unité de coffrage (20) ultérieure et la deuxième sous-unité de coffrage (21) l'une à l'autre, de manière à ce que le premier système raidisseur (168) et des éléments raidisseurs (24) de la deuxième série d'éléments raidisseurs viennent en reprise mécanique directement par appui les uns sur les autres, une plaque arrière (156) de la deuxième sous-unité de coffrage (21) s'étendant parallèlement à la face arrière (56) de la paroi (5) de la première sous-unité de coffrage (20) ultérieure, et à distance de celle-ci selon la direction axiale avant-arrière, la plaque arrière (156) et la face arrière (56) de la paroi de la première sous-unité de coffrage (21) définissant entre elles un caisson (2) essentiellement creux.
  14. 14. Elémerrt de coffrage pour le bâtiment, caractérisé en ce qu'il comprend : - une première sous-unité de coffrage (20), la première sous-unité (20) comprenant une paroi (5) dotée d'une face avant coffrante (6) et d'une face arrière (56), opposée à la face avant (6), la face avant coffrante (6) étant sensiblement plane et destinée à délimiter une zone de coulage de béton, la face arrière (56) étant dotée d'une premier système raidisseur (168), une deuxième sous-unité de coffrage (21), distincte et séparée de la première sous-unité de coffrage (20), la deuxième sous-unité de coffrage (21) étant de dimensions similaires à la première sous-unité de coffrage (20) dans un plan normal à la direction axiale avant-amère, la deuxième sous-unité de coffrage (20) présentant une armature (158) comprenant une deuxième série d'éléments raidisseurs (24) distants les uns des autres, la première sous-unité de coffrage (20) et la deuxième sous-unité de coffrage (21) étant disposées en regard avec la deuxième sous-unité de coffrage (21) sensiblement orientée par rapport à la paroi (5) de la première sous-unité de coffrage (20), la première sous-unité de coffrage (20) et la deuxième sous-unité de coffrage (21) étant assemblées l'une à l'autre, le premier système raidisseur et des éléments raidisseurs (24) de la deuxième série d'éléments raidisseurs venant en reprise mécanique directement par appui les uns sur les autres.
  15. 15. Elément de coffrage selon la revendication 14, dans lequel la deuxième sous-unité de coffrage (21) comprend un ensemble de plaque arrière (156) s'étendant parallèlement à la face arrière (56) de la paroi (5) de la première sous-unité de coffrage (20), et à distance de celle-ci selon la direction axiale avant-arrière, la plaque arrière (156) et la face arrière (56) de la paroi (5) de la première sous-unité de coffrage (20) définissant entre elles un caisson (2) essentiellement creux.
  16. 16. Elément de coffrage selon la revendication 15, comprenant un moyen fonctionnel (34, 145, 79, 146, 147, 3, 148) assemblé à l'armature (158), le moyen fonctionnel (34, 145, 79, 146, 147, 3, 148) comprenant une base (129, 151, 155, 156) et un organe fonctionnel (35, 81, 131, 11, 13, 14, 19, 107) mobile par rapport à cette base (129, 151, 155, 156) selon au moins un degré de liberté, l'élément de coffrage comprenant en outre un moyen moteur (161, 104, 110, 128, 149) assemblé à l'armature (158) et apte à entrainer le moyen fonctionnel (34, 145, 79, 146, 147, 3, 148), et une alimentation (152) raccordée au moyen moteur (161, 104, 110, 128, 149) et débouchant hors de la deuxième sous-unité de coffrage (21), l'alimentation (152) passant entre les points d'appui l'un sur l'autre des éléments raidisseurs (24, 58).
  17. 17. Elément de coffrage selon l'une des revendications 14 à 16, dans lequel le premier système raidisseur (168) comprend une première série d'éléments raidisseurs (58) s'étendant parallèlement les uns des autres selon une première direction, et espacés les uns des autres selon une deuxième direction transversale à la première direction.
  18. 18. Elément de coffrage selon la revendication 17, dans lequel les éléments raidisseurs (24) de la deuxième série d'éléments raidisseurs s'étendent selon la deuxième direction, et sont espacés les uns des autres selon la première direction.
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