FR3001812A1 - Utilisation, conjointe d'un dispositif et d'un procede, permettant de liberer les articulations des doigts et de relever leurs actions sur un ecran interactif afin d'en optimiser leurs utilisabilites - Google Patents

Utilisation, conjointe d'un dispositif et d'un procede, permettant de liberer les articulations des doigts et de relever leurs actions sur un ecran interactif afin d'en optimiser leurs utilisabilites Download PDF

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Abstract

Utilisation conjointe d'un dispositif préhenseur et d'un procédé relevant la surface balayée par le pouce. L'utilisation d'un dispositif préhenseur, libérant les articulations du pouce, installé sur un appareil équipé d'un écran tactile. Et utilisé, conjointement, avec un programme informatique relevant la surface balayée par les doigts puis générant une liste de données représentative de cette surface balayée. Cette « liste de données » est accessible aux applications utilisant l'affichage, dans le but qu'elles organisent les composants d'interface graphique (widgets) sur l'écran. Le dispositif-préhenseur (22) est installé sur la face arrière de l'appareil et est accroché sur un doigt. Ce qui permet à la surface (44) du pouce, en contact avec l'écran tactile, de balayer une fraction de la « totalité de la surface balayable » (24). Cette utilisation conjointe selon l'invention est adaptée aux smartphones, tablettes... Ce qui permet à leurs applications d'optimiser l'interaction du pouce avec leur écran tactile.

Description

- La présente invention concerne l'utilisation conjointe, sur un écran tactile, d'un dispositif de préhension et d'un procédé relevant l'action du (des) doigt(s) ainsi que du programme informatique. Cette utilisation est destinée à optimiser l'interaction du (des) doigt(s), plus particulièrement des pouces, avec des objets équipés d'un écran tactile.
Avant la technologie était telle que les objets interactifs devaient être posés sur une table ou tenus fermement avec une main pour interagir avec eux. Le pouce de la main était nécessaire pour tenir ces objets et l'indexe de l'autre main agissait sur eux. Actuellement (l'état de l'art) la réduction du poids et de la taille de ces objets permettent une utilisation nouvelle qui privilégie le (les) pouce(s) comme moyen d'action sur eux. Ainsi pour interagir avec des objets munis d'écran tactile, comme par exemple les téléphones portables intelligents (smartphone), les tablettes(...), on les saisit d'une main. Puis on peut se servir du pouce de cette même main pour appuyer sur l'écran tactile mais le pouce n'assure plus la fonction de préhension (ce qui n'est pas aisé et peut provoquer la chute de l'appareil). Ou on peut utiliser l'indexe de l'autre main (ce qui monopolise les deux mains et n'élimine pas les risques de chute). De plus utiliser l'indexe de l'autre main dans, par exemple, les transports en commun génère des fautes de frappe (car la liaison mécanique entre l'appareil et l'indexe est très longue, elle passe par un bras puis par les épaules puis par l'autre bras). Enfin occuper les deux mains, dans des manipulations, lors de déplacement à pied est très gênant car un bras doit servir de balancier afin de faciliter la marche. Il existe divers dispositifs de fixation pour téléphone portable mais ils ne facilitent pas une interactivité de l'écran avec le pouce. Avec ces dispositifs certaines parties de ces appareils restent difficilement accessibles avec un pouce. En conséquence ils contraignent l'utilisateur à prendre des positions inconfortables avec la main ou contraignent l'utilisateur à utiliser sa deuxième main pour atteindre les composants d'interface graphique (widgets,...) placés à l'opposé du pouce. Il existe divers applications permettant de contrôler les dits widgets que ce soit sous forme d'applications tiers ou intégrées dans le système d'exploitation. Mais ces applications ne sont pas conçues pour être utilisées avec un système de préhension libérant les articulations, et/ou, ne prennent pas en compte la mobilité réel du (des) doigt(s). Donc certains widgets restent inaccessibles ou mal agencés sur l'écran. Ce manque de synergie entre les dispositifs de préhension et les applications génère des pertes de temps et une utilisation inconfortable lors des interactions du (des) doigt(s) avec les divers types de widgets affichés par les applications ou par le système d'exploitation. L'utilisation d'un dispositif-préhenseur, installé sur le dit objet et assurant la fonction de libérer les articulations du pouce (et des doigts) tout en gardant une préhension sûre (ainsi que de positionner le dit objet dans la surface de la main où l'action du pouce est la plus ergonomique). Et l'utilisation, conjointe au dispositif, d'un programme informatique chargé de relever la surface balayée (les actions possibles) par le (les) doigt(s) sur le dit objet puis de générer une liste de données représentative (base de données, ...) de ces dites « actions possibles ». Cette dite « liste de données » est accessible à l'ensemble des moyens, utilisant l'affichage du dit objet, dans le but que -2- l'ensemble de ces dits « moyens utilisant l'affichage » puissent organiser tous les types de composants d'interface graphique (widgets, ...) sur l'écran ainsi que tous les éléments devant être affichés, avec un maximum d'utilisabilité pour l'utilisateur. Le dispositif-préhenseur autant que le programme sont deux intermédiaires entre l'utilisateur et le dit objet. Il faut remarquer que l'utilisation du préhenseur sans le programme augmente l'utilisabilité du dit objet. Et, identiquement, le programme utilisé sans le préhenseur augmente l'utilisabilité du dit objet. Mais l'utilisation conjointe du dispositif et du procédé augmentent davantage l'utilisabilité que la somme des deux utilisabilités. Plus précisément le dit objet sur lequel s'applique « l'utilisation conjointe qui maximise l'utilisabilité » peut être une quelconque surface activable avec un (des) 10 doigt(s) (par exemple :cran tactile, interactif, bouton,...) de technologie quelconque (par exemple:capacitif, senSitif, mécanique,...), ou l'appareil (par exemple : téléphone intelligent, tablette,...) équipé d'une dite « surface activable », ou une enveloppe (par exemple : coque de protection,...) recouvrant l'appareil équipé de la dite surface activable ou un (des) quelconque(s) moyen(s) (par exemple : liaison(s) mécanique(s)) entre le préhenseur et la dite « surface 15 activable ». Donc le dit objet peut-être de nature, de forme ou d'autres attributs différents. Plus précisément l'invention à protéger est une utilisation d'une modalité du dispositif associée à une modalité, entière ou en partie, du programme. Et l'utilisation d'une modalité du dispositif sans ou avec un autre programme. Et l'utilisation d'une modalité du programme, entière ou en partie, sans ou avec un autre dispositif Et l'utilisation de la liste de données (générée par le programme) 20 représentative des dites « actions possibles » du (des) doigt(s) sur la dite « surface activable ». Plus précisément le dit « ensemble des moyens utilisant l'affichage » peut être l'ensemble des applications agissant sur l'affichage du dit objet (par exemple : celles voulant afficher des widgets,...), ou le système d'exploitation affichant des widgets, ou un intermédiaire (une ressource) entre les applications ou le système d'exploitation avec l'affichage, (par exemple : les 25 interfaces graphiques ou G.U.I., les librairies d'affichage, les widgets toolkit, look and feel, aspect et convivialité, un processeur dédié au contrôle de l'affichage, ...). Plus précisément la dite « liste de données » représente l'ensemble, ou une partie, de la totalité des coordonnées que le (les) doigt(s) peuve(nt) atteindre sur la dite « surface activable ». Cette dite « liste de données » peut être mémorisée sous forme d'une base de données structurée contenant, par exemple, les dites 30 « coordonnées que les doigts peuvent atteindre », la position de l'appareil dans la (les) main(s), l'inclinaison de l'appareil, l'utilisation d'une ou des deux mains, l'utilisation de plusieurs doigts, la précision et la mobilité de chaque doigt sur la surface activable, les coordonnées de gestes interactifs, (...). Plus précisément l'utilisabilité est la mesure de quatre paramètres. Premièrement l'efficacité, qui est la comparaison entre le résultat prévu et le résultat obtenu. Le résultat étant le 35 but que l'utilisateur cherche à atteindre en utilisant le dit objet. Plus les résultats, prévus et obtenus, sont proches alors plus l'utilisabilité augmente. L'efficacité est, par exemple, propre à chaque dits « moyens utilisant l'affichage » ou propre au niveau de connaissance de l'utilisateur. -3- L'invention n'agit pas directement sur l'efficacité, mais elle fournit aux dits « moyens utilisant l'affichage » les informations nécessaires pour optimiser leur efficacité. Deuxièmement l'effort, qui est le nombre de manipulation pour obtenir le résultat. Plus ce nombre est réduit alors plus l'utilisabilité augmente: L'invention permet de réduire ce nombre car les dits « moyens utilisant l'affichage » organisent l'affichage en fonction des possibilités de l'utilisateur et l'utilisateur fait un effort de préhension minimum (le dit objet tient de lui même à la main et les articulations des doigts sont libres) . Troisièmement le délai pour obtenir le résultat. Plus le délai est réduit alors plus l'utilisabilité aughtente. L'invention permet de réduire les délais de manipulation pour les mêmes raisons qu'au deuxièmement car les dits « moyens utilisant l'affichage » placent les 10 widgets à la porté des doigts. Quatrièmement le confort, qui est un paramètre objectif et subjectif (sensation de l'utilisateur). Plus le confort s'améliore alors plus l'utilisabilité augmente. L'invention permet d'améliorer le confort car l'utilisateur positionne le dit objet où il le désire dans la surface de sa main, c'est l'invention qui s'adapte à l'utilisateur. Car elle récolte les dites « actions possibles » et les transmets aux dits « moyens utilisant l'affichage ». Lesquels adaptent leurs 15 affichages pour un confort maximum de l'utilisateur. Cette utilisation conjointe qui maximise l'utilisabilité et qui génère une dite « liste de données» permet, selon l'invention, de remédier à tous les inconvénients de l'état de l'art. Les dessins aimexés illustrent l'invention : -La figure 1 représente le dispositif, en vue de trois-quart droite, selon le premier mode 20 explicité en exemple l'Our réaliser l'invention. -La figure 2 représente un agrandissement en coupe partiel de la figure 1. -La figure 3 représente le support (3) du dispositif, en vue face, avec le trait de coupe générant la figure 2. -La figure 4 représente un autre mode possible du dispositif, en vue de droite, avec une forme 25 (6) possible adaptée aux doigts (7) (8). -La figure 5 représente un autre mode possible du dispositif, en vue de trois-quart droite avec un préhenseur (1) solidaire du doigt et décrochable du dit objet (5). -La figure 6 représente, un dit objet, en dite « position idéale » (21), dans la main droite. -La figure 7 représente une modalité dans les procédés et le programme où l'on a une 30 interaction de plusieurs doigts sur la dit « surface interactive ». -La figure 8 représente la comparaison d'un « point de repos » (31) et d'un « tracé simple » (35) en « position initiale » avec un « point de repos » (29) et d'un « tracé simple » (30) en « position actuelle » lors des étapes de la deuxième modalité du procédé. -La figure 9 représente le calcul du dit « point fixe de la main » (70) (76) lors des étapes 35 d'initialisations et des étapes en utilisation dans la troisième modalité du procédé. -La figure 10 représente, en vue de face, la dite « totalité de la surface balayable » (24) par le pouce sur le plat de la main et, en vue de dessus, les détails des articulations du pouce. Avec les -4- articulations principales utilisées pour effectuer les tracés sur la dite « surface activable ». Ces articulations sont complètement libre grâce à l'utilisation du dispositif-préhenseur (22). -La figure 11 représente plusieurs emplacements d'un dit objet de petite taille (par exemple : smartphone,...). L'ensemble de ces emplacements permettent de recouvrir la majeur partie de la dite « totalité de la surface balayable » (24). -La figure 12 représente un dit objet de grande taille (par exemple : tablette,...) dans la main droite. Dans ce cas la majeur partie de la dite « totalité de la surface balayable » (24) est incluse sur la dite « surface activable ». En référence à ces dessins, l'invention, comprends : 10 -Le dispositif est donné à titre d'exemple afin de réaliser une des modalités de l'invention (se reporter aux figure 1, 2 et 3 en annexe). Il comporte selon la première caractéristique un anneau-préhenseur (1), par lequel passe une tige (2). Cette tige est reliée à un support (3) pouvant être collé (4) sur la face arrière du dit objet (5). Le support est placé de telle manière, sur le dit objet (5), que lorsque l'anneau (1) est sur le doigt alors le pouce au repos est placé haut dessus et proche 15 du milieu de l'écran du dit objet. Le support (3) est de forme quelconque mais sa surface de contact avec le dit objet ou un intermédiaire quelconque est parfaite. Ce support est muni d'un trou (10) supérieur en diamètre à la tige (2), ce qui permet une libre rotation des deux pièces, il est muni aussi d'un dégagement (9) qui permet de laisser libre la tête (12) de la tige. Selon ce mode de réalisation l'anneau (1), par l'introduction d'un doigt, assure la préhension à la main. Les deux 20 liaisons pivots, unilatérales et opposées, de l'anneau (1) avec la tête (13) de la tige et de la tige (2) avec le support (3) assurent une libre rotation du dit objet (5) dans la main. -L' emplacement du dispositif-préhenseur est donné à titre d'exemple afin de réaliser une des modalités de l'invention. Son emplacement est fonction des caractéristiques propres au dit objet et propres à l'utilisateur. Le préhenseur est muni d'un moyen de rotation permettant le 25 positionnement du dit objet, horizontal ou vertical. Le préhenseur est placé (22) (se reporter à la figure 6 en annexe) sur un doigt proche du centre de gravité et sur la face arrière du dit objet. En utilisation, l'interaction avec le dit objet doit être non-fatigante pour l'ensemble du bras, permettre une vision aisée de l'écran et libérer la mobilité du pouce (78) et des doigts (28) (27) (26) (80). L'emplacement idéal (21) du dit objet dans la main droite (23), en utilisation, est décrit ci-dessous. 30 Lorsque l'utilisateur interagit avec le dit objet il le place face à lui dans une position confortable (effort minimum et interactivité maximum). Le bras est au repos (orienté vers le bas), l'avant bras fait un angle d'environ 45° avec le bras et d'environ 45° avec la surface du ventre (en direction du bras opposé). Donc la main se trouve dans le plan de symétrie du corps et en contre bas du regard. Si la main est au repos et que l'avant bras fait une rotation pour positionner la surface des 35 phalanges (pouce exclus) du plat de la main vers le regard. Et que le dit objet soit placé sur la surface des phalanges (47) (se reporter à la figure 10). Alors le pouce au repos se trouve au dessus de la dite « surface activable ». Et les articulations métacarpo phalangienne (46) du pouce et carpo -5- métacarpienne (48) de l'utilisateur sont libre ce qui favorisent la mobilité du pouce (78) sur la dite « surface activable » . Dans cette position les articulations métacarpo phalangienne (49) des doigts (28) (27) (26) (80) font un angle d'environ 135° (cette angle varie d'environ 90° en flexion, alors le pouce peut atteindre ,la surface hachurée descendante (60), à 1800 en extension, alors le pouce peut atteindre la surface hachurée montante (59)). Dans ce dit « emplacement idéal » la surface que peut recouvrir le pouce est appelée « totalité de la surface balayable » (24) (réunion des deux surfaces, hachurée montante et hachurée descendante). -La description, de cette première modalité, du procédé et du programme est donnée à titre d'exemple afin de réaliser une des modalités de l'invention (le procédé est décrit dans trois 10 modalités). Dans ce dit « emplacement idéal » (21), celui préféré par l'utilisateur pour interagir avec le dit objet, alors le programme s'exécute automatiquement (par exemple : lors de la détection de l'inclinaison du dit objet dans le dit « emplacement idéal », lors de la détection d'une attente de validation d'un widget...). Ce programme est contenu dans la mémoire du dit objet. Le programme est la traduêtion du procédé dans un langage informatique pouvant être exécuté par le 15 processeur du dit objet i Le procédé est composé de deux étapes. La première étape du procédé consiste à relever la « possible surface balayable » (surface hachurée descendante) (25) (se reporter à la figure 12 en annexe) par le pouce sur la dite « surface activable » (5). Cette dite « possible surface balayable » (25) est une fraction ou la « totalité de la surface balayable » (24) par le pouce lorsque le dit objet est dans le dit « emplacement idéal » (21) (se reporter à la figure 20 6). La forme de la dite « possible surface balayable » (25) dépend de l'emplacement du dit objet dans la mains. Le fait que cela soit une fraction ou la totalité dépend de la taille du dit objet, sur la figure 12 en annexe on voit que la « surface hachurée montante » (77) appartient à la dite « totalité de la surface balayable » mais elle est hors de la dite « surface balayable » (5). La dite « totalité de la surface bialayable » (24) est délimitée par trois tracés (19) (79) (20) (se reporter à la 25 figure 10 en annexe) et contient deux autres tracés (17) (18) et un point (16). Ces tracés sont de forme quelconque, en fonction de l'utilisateur ou du dit objet. Dans cette étape l'utilisateur place le dit objet, pour interagir avec lui, dans le dit « emplacement idéal » (21) et il effectue quatre mouvements du pouce. Un mouvement d'adduction (56) avec l'articulation carpo métacarpienne (48) du pouce jusqu'à toucher la dite « surface activable ». Ce qui donne le « point de repos du 30 pouce » (16). Puis deux autres mouvements avec le pousse (78) en contact (44) sur la dite « surface activable ». Un mouvement de flexion (57) et d'extension (55) de l'articulation carpo métacarpienne (48) du pouce. Ce qui donne le « tracé simple du pouce » (17). Une combinaison de mouvements du pouce, flexion-extension de l'articulation interphalangienne (45) et de l'articulation métacarpo phalangienne avec adduction (56) et abduction (58) de l'articulation carpo 35 métacarpienne, ces mouvements du pouce sont combinés avec des mouvements des autres doigts, flexion-extension des articulations métacarpo phalangienne (49). Ce qui donne le « tracé transversal du pouce » (18). Puis un mouvement de circumduction (54) du pouce sur la dite -6- « surface activable », cè mouvement doit être le plus ample possible pour obtenir la surface la plus grande. Ce qui donne le pourtour de la dite « totalité de la surface balayable » (24) défini par la réunion des tracés (19) (20) (79). Bien sûr l'ensemble de ces tracés n'est ni circulaire, ni droit. Leurs descriptions, ci-avant, sont simplifiées et ne font intervenir que les mouvements des principales articulations concernées pour faire chaque tracés. Pendant l'exécution de ces mouvements le procédés enregistre les coordonnées du dit « point de repos du pouce » (16), les coordonnées des listes de points des deux dit tracés (17) (18) et les coordonnées de la liste de points du dit pourtour dans la dite « liste de données ». La deuxième étape du procédé maintient disponible, la dite « liste de données » pour l'ensemble des dits « moyens utilisant l'affichage ».
Lesquels utilisent, sur les dits widgets, cette dite « liste de données » pour agir, par exemple, sur leurs emplacements à l'écran ou sur leurs tailles ; afin d'optimiser tous les éléments devant être affichés à l'intention de l'utilisateur. Et que ces dits widgets, ainsi que tous les éléments devant être affichés, soient facilement manipulables avec le (les) doigt(s). Selon des modes particuliers de réalisation de l'invention : -Le moyen de préhension (1) (se reporter à la figure 1 en annexe) et l'axe (2) ,et/ou, l'axe (2) et le support (3) ,et/ou, l'axe (2) et le dit objet (5) ,et/ou, l'axe (2) et un quelconque intermédiaires (4) ,et/ou, le moyen de préhension (1) et le dit objet (5), et/ou, le moyen de préhension (1) et un quelconque intermédiaires sont une même pièce. -La tige est fixée directement sur la carcasse du dit objet ou sur une coque adaptée au dit objet. -L'anneau (préhensenr) peut-être remplacé par une forme adaptée (6) qui s'accroche au(x) doigt(s) (7) (8). (Se repprter à la figure 4 en annexe). -L'anneau (préhenseur) peut-être remplacé par un (des) capuchon(s) enveloppant le (les) doigt(s). -L'anneau (préhenseur) (1) (se reporter à la figure 5 en annexe) peut-être détachable du support (3) ou du dit objet (5), donc le préhenseur est solidaire du doigt (non pas du dit objet). Alors l'anneau est muni par exemple d'un aimant (14) (ou d'une rotule clipsable), et le support d'un logement (15) (ou inversement) permettant une solidarisation-dessolidarisation aisée du préhenseur (1) avec le dit objet (5). -Dans une deuxième modalité, le procédé ne s'exécute pas entièrement à chaque prise en main par l'utilisateur. Le proeédé est composé de deux étapes d'initialisations qui sont effectuées à la première utilisation de J'invention ou sur demande de l'utilisateur (par exemple : lors d'un changement d'utilisateur). Cette initialisation permet à l'invention de relever, une seule fois, la dite « possible surface balayable » (25) (se reporter à la figure 12 en annexe). La première étape de cette initialisation est identique à la première étape du procédé décrit en exemple pour réaliser l'invention. Laquelle permettait de relever la dite « possible surface balayable » (25) par le pouce sur la dite « surface activable » (37) (se reporter à la figure 8 en annexe) lorsque le dit objet (5) est positionné sur un doigts par l'intermédiaire du dispositif (22). La deuxième étape de cette -7- initialisation est un peu différente à la deuxième étape du procédé décrit en exemple pour réaliser l'invention. Cette deuxième étape permet de mémoriser une dite « liste de données » initiale qui contient les coordonnées des trois tracés (19) (20) (79) du pourtour, les coordonnées des deux tracées (dit « tracé simple » (17) et dit « tracé transversal » (18) ) et les coordonnées du dit « point de repos » (16) de la dite « possible surface balayable » (25) dans une « position initiale ». De plus le procédé est composé de deux autres étapes en utilisation qui sont effectuées, par exemple, sur demande d'un dit « 'moyen utilisant l'affichage » (ou de l'utilisateur). La première étape, en utilisation, calcule la « position actuelle ». Cette dite « position actuelle » peut-être différente de la dite « position initiale i> par contre la dite « possible surface balayable » par le pouce ne varie pas beaucoup, pour un mêMe utilisateur, si l'emplacement du dit objet dans la main reste sensiblement le même. Cette premièie étape se déroule ainsi : L'utilisateur prend le dit objet puis fait deux mouvements, l'un pour obtenir le dit « point de repos » actuel du pouce (29) (se reporter à la figure 8 en annexe) et l'autre pour obtenir le dit « tracé simple » actuel du pouce (30). La deuxième étape, s'effectuant en quatre temps, à pour but la comparaison des coordonnées de la dite « position actuelle » avec les coordonnées de la dite « position initiale » (Se reporter à la figure 8 en annexe), qui ont été mémorisées dans la première étape de l'initialisation de cette modalité, puis d'appliquer à l'ensemble des coordonnées des « tracés initiaux » le résultat de cette comparaison afin de transformer les « tracés initiaux » en « tracés actuels », correspondant aux actions possibles du doigt sur le dit objet dans la « position actuelle » du dit objet dans la main.
D'abord, dans un premer temps, cette comparaison s'effectue par une transformation géométrique composée de deux tranOations (Se reporter à la figure 8 en annexe). Ces deux translations font correspondre le dit « piont de repos » initial (31) avec le dit « point de repos » actuel (29). Pour obtenir la translation ayant comme direction l'axe (Oy) (32), il faut soustraire la coordonnée (Oy) appartenant au dit « point de repos » initial (31) à la coordonnée (Oy) appartenant au dit « point de repos » actuel (29). Pour obtenir la translation ayant comme direction l'axe (Ox) (33), il faut soustraire la coordonne (Ox) appartenant au dit « point de repos » initial (31) à la coordonnée (Ox) appartenant au dit ,« point de repos » actuel (29). Puis, dans un deuxième temps, ces deux translations sont appliquées à l'ensemble des coordonnées du dit « tracé simple » initial (35), ce qui donne comme résultat que le dit « tracé simple » initial translaté (36) devient sécant avec le dit « tracé simple » actuel (30) au niveau du dit « point de repos » actuel (29). Ensuite, dans un troisième temps, cette comparaison s'effectue par une transformation géométrique composée d'une rotation (34). Cette rotation fait superposer le dit « tracé simple » init}ial translaté (36) avec le dit « tracé simple » actuel (30). Pour obtenir cette rotation (34) autour de l'axe (Oz) ayant comme centre le « point de repos » actuel (29), il faut soustraire l'angle de la droite tangente (81) au « tracé simple » initial translaté (36) (ayant comme point tangent le « point de repos » actuel (29)) à l'angle de la droite tangente (82) du dit « tracé simple » actuel (30) (ayant comme point tangent le « point de repos » actuel (29)). Enfin, dans un -8- quatrième temps, cette deuxième étape effectue ces mêmes transformations géométriques à l'ensemble des coordonnées de la dite « liste de données initiale » afin d'obtenir la « liste de données actuelle ». Celle-ci représente la « surface possible balayable » par le pouce dans la « position actuelle » du; dit objet dans la main par l'intermédiaire du dispositif (22). La troisième étape mémorise cette dite « liste de données actuelles » représentative de la dite « possible surface balayable ». Puis, cette troisième étape, maintient cette liste disponible pour l'ensemble des dits « moyens utilisant l'affichage ». Lesquels utilisent cette « liste de données» pour agir sur les dits widgets (par exemple :;leurs emplacements à l'écran, leurs tailles, ...). Afin que ces dits widgets, ainsi que ces dits « élément devant être affichés », soient facilement manipulables avec le pouce. -Dans une troisième modalité, le procédé ne s'exécute pas entièrement à chaque prise en main par l'utilisateur. Le procédé est composé de trois étapes d'initialisations qui sont effectuées à la première utilisation de J'invention ou lors d'une demande, ultérieure, de l'utilisateur (par exemple : lors d'un changement d'utilisateur,...). Cette initialisation permet à l'invention de relever, une seule fois, la dite « possible surface balayable » afin de ne pas la redemander à chaque interactions comme dans le procédê décrit en exemple pour réaliser l'invention. La première étape de cette initialisation est un peu: différente de la première étape du procédé décrit en exemple pour réaliser l'invention. Cette première étape relève la dite « totalité de la surface balayable » (24) (en demandant à l'utilisateur d'effectuer les dits tracés), par morceaux, en modifiant l'emplacement (65) (64) (63) (61) du dit objet dans la main (62) (Se reporter à la figure 11 en annexe), sauf si celui-ci est assez grand, pour contenir la dite « totalité de la surface balayable » (24) (Se reporter à la figure 12 en annexe), La deuxième étape de cette initialisation est un peu différente à la deuxième étape du procédé décrit en exemple pour réaliser l'invention. La deuxième étape de cette initialisation calcule les « positions initiales » (65) (64) (63) (61) du dit objet par rapport à la main (62) pour chaque emplacements de la première étape. Lorsque le dit objet est dans le dit « emplacement idéal » alors la relation entre le dit objet et la main peut-être considéré comme un appui plan immobile (appui plan de référence). Ce plan étant le contact de la surface arrière du dit objet avec la surface dès phalanges (47) (pouces exclus) du plat de la main. Pour immobiliser le dit « appui plan de référence » il faut immobiliser ses trois degrés de liberté (deux translations sur le plan et une rotation utour de l'axe perpendiculaire au plan). Pour immobiliser les trois degrés de liberté on définit, par exemple, les coordonnées de trois points fixes (commun au deux plans, face arrière du dit objet et surface des phalanges), un point fixe sur la main plus un point fixe sur le dit objet enfin un point fixe commun à la main et au dit objet. Donc les coordonnées de la position initiale du dit objet par rapport à la main sont définies par ces trois points fixes. Le point fixe commun à la main et au dit objet, est connu, c'est, par exemple, le centre de la tige du dispositif-préhenseur (22). Le point fixe sur le dit objet, est connu, c'est, par exemple, le point d'origine du repère (23) du dit objet (ce point d'origine est le centre du système de repère du dit objet, de coordonnées (0,0,0) ). Par contre le point fixe sur la main, n'est pas connu, il est calculé -9- comme suit : Ce calcul est effectué eip prenant trois points sur le « tracé simple du pouce » (17) (si le « tracé simple du pouce » (17)i ne passe pas par la dite « surface activable » alors c'est le tracé (19) (ou 79) qui est pris, comme c'est le cas dans le « quatrième emplacement » (61) (Se reporter à la figure 11 en annexe). Pûis en résolvant le système à trois équations cartésiennes suivantes : (X1-X)"2 + (Y1-Y)"2 r^2 (X2-X)"2 + (Y2-Y)"2 r^2 (X3-X)"2 + (Y3-Y)^2 r^2 Où les trois inconnus sont X, Y et r.
10 Les coordonnées (X,Y) repèrent l'articulation carpo métacarpienne (70) (se reporter à la figure 9 en annexe), c'est le point fixe sur la main. Bien sûr le tracé « simple du pouce » (66) est de forme quelconque car il est fonction de l'état des articulations de l'utilisateur. Donc le point de l'axe de coordonnées (X, Y) est une régression du centre du « tracé simple du pouce » (66), car le vrai centre est un nuage de point. r (71) est la longueur entre l'articulation carpo métacarpienne (70) et 15 le point, du pouce, en contact avec la dite « surface activable » (5). Ce point génère le dit « tracé simple du pouce » (66), ce tracé est de forme quelconque. Où les données sont trois points (67) (68) (69) quelconques, de coordonnées (X1,Y1) , (X2,Y2) et (X3,Y3), appartenant au dit « tracé simple » du pouce (66). Où la notation « A2» signifie «élevé à la puissance cané» 20 (Le système à trois équations cartésiennes peuvent-être remplacées par trois équations paramétriques équivalentes ou par l'intersection de deux droites qui sont perpendiculaires au tracé (66)). (Les trois points fixes, permettant de définir l'appui plan de référence, peuvent être remplacés par deux points fixes communs à la main et au dit objet ou par quatre points fixes deux points fixes 25 sur le dit objet et deux points fixes sur la mains). Enfin la troisième étape de cette initialisation permet de mémoriser une dite « liste de données » initiale à chaque emplaèement de la première étape et de mémoriser, dans les mêmes listes, les coordonnées des dites <k positions initiales » (65) (64) (63) (61). Au final on a plusieurs listes de données à chaque emplàcement du dit objet, chacune des listes contenant les coordonnées des 30 tracés de leur « possible surface balayable » (l'emboitement de ces surfaces correspond à la dite « totalité de la surface balayable ») avec les coordonnées des dits « trois points fixes » (point commun (22) à la main et au dit objet, point (23) sur le dit objet et point (70) sur la main) qui caractérisent cet emplacement. Donc quelque soit un futur emplacement du dit objet par rapport à la main, on sera en meure de connaître l'emplacement du périmètre de la dite « surface 35 activable » (37) sur l'emplacement de la dite « totalité de la surface balayable ». Puis d'en déduire la « possible surface balayable » par le pouce. Le procédé est composé aussi de trois étapes en utilisation qui sont effeetuée, par exemple, à chaque demande d'un dit « moyen utilisant -10- , . l'affichage » (ou de l'uttlisateur). La première étape, en utilisation, calcule la « position actuelle » du dit objet par rapport; à la main. Cette dite « position actuelle » peut être différente d'une des dites « positions initialès » (de chaque emplacements calculés lors de la deuxième étape de l'initialisation de cette inodalités) par contre les coordonnées de la dite « totalité de la surface balayable » (24) par le pl ouce ne change pas pour un même utilisateur (pour une même main et pour un même doigt), la dite « totalité de la surface balayable » (24) est fixe sur la main et ces coordonnées sont connues. Cette première étape se déroule ainsi : L'utilisateur prend le dit objet puis fait un dit « tracé simple du pouce » (75) (se reporter à la figure 9 en annexe) (sur demande d'un dit « moyen utilisant l'affichage ») alors le procédé, qui était en veille, calcule les 10 coordonnées du périmètre de la dite « surface activable » à l'emplacement de la dite « position actuelle ». Ce calcul est effectué identiquement au calcul de la dite « position initiale » de la deuxième étape de l'inifialisation de cette modalité. La première étape calcule les coordonnées (X4,Y4) de l'articulation carpo métacarpienne (76), à partir de trois points (72) (73) (74) quelconques, de coordonnées (X5,Y5), (X6,Y6) et (X7,Y7) appartenant au dit « tracé simple » du 15 pouce (75). Ce qui donne, comme résultat, la connaissance des coordonnées de l'articulation carpo métacarpienne, lesquelles repèrent le troisième points fixes. Les trois points fixes sont représentatifs des coordonnées du dit périmètre. La deuxième étape place les coordonnées du périmètre de la dite « surface activable » (37) sur les coordonnées de la dite « totalité de la surface balayable » (24) et par inclusion on en déduit les coordonnées de la dite « possible surface 20 balayable » (25). La troisième étape mémorise une dite « liste de données » représentative de cette dite « possible surface balayable ». Puis, cette troisième étape maintient cette liste de données à disposition pour l'ensemble des dits « moyens utilisant l'affichage ». Lesquels utilisent cette « liste de données » pour agir ;sur les dits widgets (par exemple : leurs emplacements à l'écran, leurs tailles, ...). Afin que cés dits widgets, ainsi que les dits « éléments devant être affichés » soient 25 facilement manipulabls avec le pouce. -Le programme est contenu dans une mémoire accessible à un moyen exécutant ce programme et agissant sur le dit objet. -L'intérêt de l'utilisation d'un programme, comme moyen, est de traduire le procédé dans un langage informatique quelconque, par exemple : C, programme source, ou une représentation (par 30 exemple :organigramme, ...) pouvant être traduit en langage informatique. -L'utilisateur prend le dit objet dans une autre position que la dite « position idéale » (21). -Le programme s'exécute sur ordre de l'utilisateur. -Le système, ayant comme point d'origine (23), qui permet au dit objet de repérer l'ensemble des coordonnées dans l'espace, prend en compte la composante de l'axe (Oz). Que cela soit pour le 35 calcul du point (76) ou iautre. Cette composante est représentative de la profondeur. -Le procédé s'adapte, à la surface activée par les deux pouces de l'utilisateur sur la dite « surface activable ». Donc le procédé mémorise deux bases de données. Où l'indexe (43), le majeur (42), -11- l'annulaire (40) et l'auriculaire (39) sont le doigts de la main (41) gauche et le dit « tracé simple » (38), de forme quelconque et le dit « point de repos » (44) sont les tracés du pouce gauche. (Se reporter à la figure 7 en annexe). -Si l'utilisateur est privé de l'utilisation de ces pouces, le procédé mémorise l'action (les actions d'un ou des autre(s) doîgts. -Le procédé mémorise plusieurs bases de données, par exemple, pour chaque doigt. -Le procédé enregistre dans la (les) dite(s) « base(s) de données » d'autres informations, que les coordonnées de la dite l« possible surface balayable », qui permettent aux dits « moyens utilisant l'affichage » d'avoir un è connaissance des possibilités d'action et des limites de l'utilisateur. Ces 10 informations peuvent être, par exemple, la rapidité d'exécution d'un tracé, le délai pour atteindre une certaine portion de l'écran ou la précision (car la surface du pouce en contact avec la dite « surface activable » varie), la position du dit objet dans la (les) main(s), l'inclinaison du dit objet, l'utilisation d'une ou dein( mains, l'utilisation de plusieurs doigts, la précision et la mobilité de chaque doigt sur la surface activable, les coordonnées de gestes interactifs, (...). 15 -Le procédé relève l'action du pouce dans un ordre différent. -Le procédé ne relève qu'une ou plusieurs actions du pouce. -Le procédé relève le pourtour de la dite « totalité de la surface balayable » par un autre mouvement que le monvement de circumduction (54) (se reporter à la figure 10 en annexe). Par exemple : Cette dite « totalité de la surface balayable » peut être délimitée aussi par trois tracé. Un 20 mouvement du pouce, ne flexion (57) et d'extension (55) de l'articulation carpo métacarpienne (48) avec les articulatinns métacarpo phalangienne (49), des doigts, en flexion. Ce qui trace la ligne (19). Un mouvenient du pouce, de flexion (57) et d'extension (55) de l'articulation carpo métacarpienne (48) avèc les articulations métacarpo phalangienne (49), des doigts, en extension. Ce qui trace la ligne (7i)). Une combinaison de mouvements du pouce, flexion-extension des 25 articulations interphalangienne (45) et métacarpo phalangienne (46), et de mouvements des doigts, extension-flexion des articulations métacarpo phalangienne (49), avec l'articulation carpo métacarpienne (48) du pouce en flexion (57). Ce qui trace la ligne (20). Bien sûr l'ensemble de ces tracés ne sont ni circulaires, ni droits. Leurs descriptions, ci-avant, sont simplifiés et ne font intervenir que les mouvements des principales articulations concernées pour faire chaque tracés. 30 -Le procédé compense les mouvements du dit objet par rapport à la main. -L'écran n'est pas baîayé dans sa totalité. Seul quelques points significatifs sont balayés. -Le procédé ne relèvé pas à chaque fois la dite « possible surface balayable ». Il la relève une fois dans la (les) position(s) préférée(s) de l'utilisateur ceci dans une étape de configuration, initialisation de l'invention. Puis les dits « moyens utilisant l'affichage » utilisent ces données pour 35 les afficher dans un but d'utilisabilité maximum. -Le procédé reconnaît la (les) position(s) préférée(s) de l'utilisateur par un geste de celui-ci sur l'écran, par exemple, pour un mouvement de flexion (57) et d'extension (55) de l'articulation carpo métacarpienne (L8) du pouce, avec le pouce en contact avec la dite « surface activable », puis par le dit calcul des dits trois points fixes (ou des dits deux ou des dits « quatre points fixes ») -Le dit « dispositif-préhenseur» est installé sur un objet quelconque (par exemple : une télécommande, ...)dans un but quelconque (par exemple : améliorer la préhension,...) et/ou n'est pas muni d'un moyen de rotation. -L'utilisateur installe; le préhenseur loin du centre de gravité du dit objet, et/ou, autre part que la face arrière. -L'utilisateur choisit !une autre position que la dite « position idéale » pour interagir avec le dit objet.
10 Cette utilisatipn conjointe dispositif-procédé, selon l'invention est particulièrement adaptée aux téléphones; portables intelligents (smartphones) et aux tablettes. Ce qui permet à leurs applications d'optimiser l'interaction, en particulier, du (des) pouce(s) avec leurs écrans tactiles. 15 20 25 30 35

Claims (10)

  1. REVENDICATIONS1) Objet équipé d'une surface activable avec les doigts, caractérisé en ce qu'il comprend : a) Une « surface activable » avec les doigts. b) Un moyen exécutant un programme et agissant sur ladite « surface activable ». c) Une mémoire contenant un programme. d) Un élément préhenseur.
  2. 2) Objet selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'élément préhenseur comprend : a) Un moyen de préhension. b) Un axe permettant une libre rotation avec le moyen de préhension et une libre rotation avec ledit objet.
  3. 3) Objet selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'une partie, ou la totalité, des pièces de l'élément préhenseur soit une même pièce ; ou que l'élément préhenseur et ledit objet soit une même pièce ; ou que l'élément préhenseur soit une même pièce avec une liaison mécanique laquelle est en contact avec ledit objet.
  4. 4) Objet selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'élément préhenseur soit détachable dudit objet ; ou que l'élément préhenseur soit détachable d'une liaison mécanique laquelle est en contact avec ledit objet.
  5. 5) Procédé optimisant l'interaction des doigts avec ledit objet caractérisé en ce qu'il comprend les étapes suivantes : a) Relever et mémoriser la possible surface balayable par le pouce (25) sur la « surface activable » (5) (figure 12). h) Maintenir disponible les coordonnées de la « possible surface balayable » dans une liste de données.
  6. 6) Procédé optimisant l'interaction des doigts avec ledit objet selon la revendication 5 caractérisé en ce qu'il comprend une étape de comparaison de plusieurs coordonnées de la « possible surface balayable » dans plusieurs positions dudit objet dans la main.
  7. 7) Procédé optimisant l'interaction des doigts avec ledit objet selon la revendication 5 caractérisé en ce qu'il comprend une étape de transformation géométrique.
  8. 8) Procédé optimisant l'interaction des doigts avec ledit objet selon la revendication 5 caractérisé en ce qu'il comprend une étape de calcul des coordonnées de la position de ladite « surface activable » par rapport à la main.
  9. 9) Procédé optimisant l'interaction des doigts avec ledit objet selon la revendication 5 caractérisé en ce qu'il comprend une étape de calcul des coordonnées de l'articulation carpo-14- métacarpienne.
  10. 10) Procédé optimisant l'interaction des doigts selon l'une des revendications de 5 à 9 précédentes, caractérisé en ce que la liste de données soit une base de données qui mémorise la rapidité d'exécution d'un tracé ou le délai pour atteindre une certaine portion de l'écran, ou l'utilisation d'une ou deux mains, ou la précision et la mobilité et l'action de chaque doigt sur la surface activable, ou les coordonnées de gestes interactifs, ou la profondeur. 15 20 25 30 35
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