FR2993152A1 - Accessoire destine a etre accroche sur une sangle, comprenant deux languettes susceptibles d'exercer un effet de pincement - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un accessoire destiné à être accroché sur une sangle, telle que celle d'un ceinturon, comprenant une partie centrale destinée à être placée en travers de la sangle et à partir de laquelle s'étend transversalement au moins une zone de retenue supérieure (20) et moins une zone de retenue inférieure (30), caractérisé en ce que ladite partie centrale comprend deux languettes (2), (3) dans le prolongement l'une de l'autre et dont l'une au moins est élastiquement déformable, l'une s'étendant à partir de la zone de retenue supérieure (20) et l'autre à partir de la zone de retenue inférieure (30), lesdites languettes (2), (3) présentant une portion (200) dans laquelle elles sont en contact l'une contre l'autre et par l'intermédiaire de laquelle elles sont susceptibles d'exercer un effet de pincement.

Description

Accessoire destiné à être accroché sur une sangle, comprenant deux languettes susceptibles d'exercer un effet de pincement. Le domaine de l'invention est celui de la conception et de la 5 fabrication des accessoires vestimentaires. Plus précisément, l'invention concerne un accessoire destiné à être accroché sur une sangle, telle que celle d'un ceinturon, en vue de porter un objet en ceinture. Dans le domaine de l'invention, plusieurs techniques ont été proposées par l'art antérieur pour porter un objet en ceinture, par 10 exemple un téléphone, un trousseau de clés, une gourde, un outil de bricolage... Parmi ces techniques, on connait notamment : des accessoires de type mousquetons, susceptibles d'être placés en suspension directement sur un passant d'un 15 vêtement ; des accessoires incluant leur(s) propre(s) passant(s), donc prévus pour être enfilés sur un ceinturon ; des accessoires de type « pince-cavalier », prévus pour être montés à chevauchement sur le rebord supérieur d'un 20 ceinturon, avec un léger effet de pincement. Les mousquetons sont en général particulièrement inesthétiques. De plus, fonctionnellement, ils autorisent un débattement de l'objet porté, qui a donc tendance à balancer en fonction des mouvements de l'utilisateur, ce qui peut s'avérer gênant. Les mousquetons sont 25 généralement utilisés dans un cadre de loisir ou sportif. Les « pinces-cavaliers » peuvent quant à elles assurer un meilleur maintien de l'objet contre la taille de l'utilisateur. En revanche, certains mouvements de l'utilisateur peuvent provoquer une remontée de la pince-cavalier au point de dégager celle-ci du ceinturon (par exemple 30 lorsque l'utilisateur passe d'une position debout à une position assise).

Les accessoires incluant un ou plusieurs passants permettant le passage du ceinturon constituent bien entendu un meilleur compromis, s'agissant de leur aptitude à : rester en place sur le ceinturon en toutes situations et ; éviter les balancements, ou autres déplacements, de l'objet porté. En revanche, il s'avère en pratique relativement contraignant à installer ou à désinstaller. En effet, pour installer un tel accessoire à un ceinturon, l'utilisateur doit déboucler le ceinturon et le dégager d'un ou de plusieurs passants du vêtement de façon à pouvoir faire glisser l'accessoire jusqu'à la position souhaitée. Le ceinturon est ensuite normalement enfilé dans le ou les passants du vêtement, puis bouclé. Pour désinstaller l'accessoire, il procède manière inverse, c'est-à-dire en débouclant le ceinturon et en dégageant celui-ci des passants du vêtement jusqu'à pouvoir faire glisser l'accessoire du ceinturon en vue de retirer celui-ci. On comprend que l'installation et la désinstallation d'un tel accessoire ne s'effectue pas de façon très rapide. En outre, certains utilisateurs peuvent être gêné de devoir effectuer de telles opérations 20 dans un lieu public. L'invention a notamment pour objectif de pallier les inconvénients de l'art antérieur. Plus précisément, l'invention a pour objectif de proposer un accessoire destiné à être accroché à une sangle et en particulier à un 25 ceinturon, qui soit très rapide à installer et à désinstaller, tout en garantissant un maintien fiable et relativement ferme d'un objet qu'il est susceptible de porter. L'invention a également pour objectif de fournir un tel accessoire qui puisse être aisément décliné en différentes versions d'un point de vue 30 esthétique. L'invention a aussi pour objectif de fournir un tel accessoire qui puisse être décliné en différentes versions d'un point de vue fonctionnel, s'agissant de son intégration ou de sa coopération dans ou avec un autre élément. L'invention a également pour objectif de fournir un tel accessoire qui puisse être fabriqué aisément et de façon peu coûteuse.

Ces objectifs, ainsi que d'autres qui apparaîtront par la suite, sont atteints grâce à l'invention qui a pour objet un accessoire destiné à être accroché sur une sangle, telle que celle d'un ceinturon, comprenant une partie centrale destinée à être placée en travers de la sangle et à partir de laquelle s'étend transversalement au moins une zone de retenue supérieure et moins une zone de retenue inférieure, caractérisé en ce que ladite partie centrale comprend deux languettes dans le prolongement l'une de l'autre et dont l'une au moins est élastiquement déformable, l'une s'étendant à partir de la zone de retenue supérieure et l'autre à partir de la zone de retenue inférieure, lesdites languettes présentant une portion dans laquelle elles sont en contact l'une contre l'autre et par l'intermédiaire de laquelle elles sont susceptibles d'exercer un effet de pincement. Ainsi, grâce à l'invention, on obtient un accessoire qui regroupe les avantages suivants : il peut être installé sur un ceinturon ou désinstallé à partir du ceinturon de façon rapide, sans qu'il soit nécessaire de déboucler le ceinturon ; il permet d'assurer un maintien ferme de l'objet porté, ceci par une liaison relativement serrée sur la sangle de ceinturon ; il permet d'être monté sur la sangle de ceinturon en supprimant le risque d'un retrait inopiné à partir de la sangle du ceinturon. Selon un mode de réalisation préféré, l'accessoire comprend un 30 pourtour à l'intérieur duquel s'inscrit la partie centrale. Une telle configuration de l'accessoire contribue à assurer un portage en ceinturon qui soit optimal en termes de maintien.

Dans ce cas, ledit pourtour présente une forme appartenant au groupe suivant : rectangulaire ; carrée ; circulaire ; ovoïde. Il apparaît donc clairement qu'un accessoire selon l'invention peut être aisément décliné selon différentes présentations d'un point de vue esthétique.

A ce titre, on note qu'il est même envisageable d'en faire un accessoire ornemental, voire un accessoire de luxe. Selon un mode de réalisation particulier, l'accessoire est réalisé en matière plastique. Selon une solution avantageuse, l'accessoire est réalisé par 15 moulage. Selon un mode de réalisation préférentiel, l'accessoire comprend deux parties plaquées l'une contre l'autre et fixées entre elles, l'une comprenant la zone de retenue supérieure à partir de laquelle s'étend une languette, et l'autre comprenant la zone de retenue inférieure à partir 20 de laquelle s'étend l'autre languette. De cette façon, l'accessoire peut être obtenu de façon peu coûteuse, en particulier par moulage et, le cas échéant, avec un seul moule. Pour obtenir cela, lesdites parties sont préférentiellement reliées 25 par une articulation. De cette façon, en sortie du moule (unique pour l'ensemble de l'accessoire), les deux parties forment un ensemble plat, en étant disposées l'une à côté de l'autre et reliées par ladite articulation, l'accessoire étant finalisé par un repliement des deux parties l'une contre 30 l'autre, les deux languettes étant amenées de façon à présenter une portion dans laquelle elles sont en contact l'une contre l'autre selon le principe de l'invention.

Bien entendu, il est également possible de réaliser, par exemple par moulage, les deux parties séparément l'une de l'autre, puis de réaliser ensuite leur assemblage de façon à obtenir l'accessoires selon l'invention.

Selon différents modes de réalisation envisageables, lesdites deux parties son fixées entre elles par une technique appartenant au groupe suivant : collage ; thermo-soudage ; encliquetage. Selon un premier mode de réalisation de l'accessoire, celui-ci présente un organe d'accrochage destiné à supporter un objet. Selon une deuxième mode de réalisation envisageable, l'accessoire fait partie d'un ensemble comprenant un emballage, ledit 15 accessoire étant porté par une paroi de l'emballage. D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante d'un mode de réalisation préférentiel de l'invention, donné à titre de simple exemple illustratif et non limitatif, et des dessins annexés parmi lesquels : 20 la figure 1 est une vue en perspective d'un accessoire selon un mode de réalisation de l'invention ; la figure 2 est une vue de face d'un accessoire selon un mode de réalisation de l'invention ; la figure 3 est une vue de côté d'un accessoire selon un 25 mode de réalisation de l'invention ; la figure 4 est une vue d'un accessoire selon un mode de réalisation de l'invention, en sortie de moulage ; la figure 5 est une vue de détails d'un organe d'accrochage d'un accessoire selon un mode de réalisation de 30 l'invention ; les figures 6 à 11 sont des figures illustrant des étapes de mise en place d'un accessoire selon l'invention sur une sangle. En référence aux figures 1 à 3, on décrit ci-après un accessoire vestimentaire destiné à être accroché sur une sangle de façon générale, et en particulier sur celle d'un ceinturon, du type comprenant une partie centrale destinée à être placée en travers de la sangle, et à partir de laquelle s'étend transversalement au moins une zone de retenue supérieure et au moins une zone de retenue inférieure.

Tel que cela apparaît sur les figures 1 à 3, l'accessoire comprend : un bord supérieur 11 et un bord inférieur 12, une partie centrale constituée par deux languettes 2, 3 s'étendant entre les bords supérieur et inférieur, selon une direction transversale aux bords supérieur et inférieur.

Une zone de retenue supérieure 20 est constituée de part et d'autre de la languette 2. En effet, lorsque l'accessoire est monté sur la sangle de telle sorte qu'elle passe d'une première face à l'autre face de l'accessoire puis en étant ramené sur la première face en enlaçant la languette 2, le bord supérieur de la sangle vient en butée contre l'arête inférieure du bord supérieur 11. Il en résulte que l'accessoire est retenu sur la sangle dans la direction allant du bord supérieur vers le bord inférieur. De façon similaire, des zones de retenue supérieures 30 sont obtenues de part et d'autre de la languette 3. En effet, une fois que l'accessoire est monté sur la sangle tel que décrit précédemment, le bord inférieur de la sangle vient en butée contre l'arête supérieure du bord inférieur 12. Il en résulte que l'accessoire est retenu sur la sangle selon une direction allant du bord inférieur vers le bord supérieur. Selon le principe de l'invention, les deux languettes 2, 3 s'étendent 30 dans le prolongement l'une de l'autre, la languette 2 s'étend donc à partir de la zone de retenue supérieure et la languette 3 s'étendant à partir de la zone retenue inférieure. De plus, la partie centrale est conçue de telle sorte que : l'une au moins des languettes 2, 3 est élastiquement déformable ; les languettes 2, 3 présentent une portion 200 dans laquelle elles sont en contact l'une contre l'autre. Ainsi, les languettes sont susceptibles d'exercer un effet de pincement au niveau de la portion 200. En effet, la languette élastiquement déformable peut être écartée de l'autre languette, donc par déformation. En relâchant la languette, l'élasticité de celle-ci tend à la ramener au contact de l'autre languette, en exerçant le cas échéant un effet de pincement. Préférentiellement, les deux languettes sont élastiquement déformables.

On note que selon le mode de réalisation illustré par les figures 1 et 2, les languettes 2, 3 présentent sensiblement les mêmes dimensions en hauteur et en largeur. Cette configuration peut varier autant que de besoin. En particulier, l'une des languettes peut présenter une hauteur notablement supérieure à celle de l'autre, ce qui peut contribuer à faciliter la mise en place de l'accessoire sur la sangle comme cela va être expliqué plus en détails par la suite. Tel qu'illustré par les figures 1 à 3, l'accessoire vestimentaire selon le présent mode de réalisation présente un pourtour 1 à l'intérieur duquel s'inscrit la partie centrale constituée par les languettes 2, 3. Ce pourtour comprend le bord supérieur 11 et le bord inférieur 12 reliés à chacune de leur extrémité par un bord latéral 10. Tel que cela apparaît sur les figures 1 et 2, les deux bords latéraux s'étendent parallèlement aux languettes 2, 3. Toutefois, les languettes peuvent aussi, selon une variante 30 envisageable, s'étendre en oblique, voire en diagonale à l'intérieur du pourtour, ce qui permet d'offrir une longueur de languette supérieure à la hauteur du pourtour (correspondant a priori à la largeur de la sangle et en tout état de cause à la largeur maximale de la sangle susceptible d'accueillir l'accessoire). Une telle configuration peut contribuer à faciliter la mise en place de l'accessoire, ceci avec une première phase de pise en place en oblique puis en redressant l'accessoire de façon à la présenter droit sur la sangle. Le pourtour 1 illustré présente ici une forme essentiellement rectangulaire. Toutefois, il pourra présenter d'autres formes tel que : une forme carrée ; - une forme circulaire ; - une forme ovoïde ; - une forme triangulaire ; une forme constituée par une combinaison de plusieurs des formes citées ci-dessus. Par ailleurs, selon un mode de réalisation avantageux, l'accessoire 15 selon l'invention est réalisé en une matière plastique. A titre indicatif, l'accessoire est réalisé en polycarbonate amorphe ou en polyamide non chargé. De plus, l'accessoire est préférentiellement réalisé par une technique de moulage. Bien entendu, d'autres techniques peuvent être 20 utilisées sans sortir du cadre de l'invention. Dans le cadre d'une fabrication d'un accessoire selon l'invention par moulage, l'accessoire est réalisé préférentiellement en deux parties 5, 6 articulées entre elles par l'intermédiaire d'une articulation 50 constitué en l'occurrence par une zone pliable. 25 L'une des parties 5 inclut la languette supérieure tandis que l'autre partie 6 inclut la languette inférieure. Tel que cela apparaît sur la figure 4, chacune des parties 5, 6 présente un pourtour 1 dans lequel s'inscrit la languette inférieure 3 s'agissant de la partie 5, et la languette supérieure 2, s'agissant de la 30 partie 6. En d'autres termes, la partie 6 comprend la zone de retenue supérieure à partir de laquelle s'étend la languette supérieure et la partie comprend la zone de retenue inférieure à partir de laquelle s'étend la languette inférieure. Pour finaliser la fabrication de l'accessoire selon l'invention avec les parties 5 et 6, on replie, autour de la zone pliable, les parties 5 et 6 5 entre elles et on les fixe l'une sur l'autre. Une fois les parties 5 et 6 plaquées l'une contre l'autre, les deux languettes 2, 3 sont disposées de façon à présenter une portion dans laquelle elles sont en contact l'une contre l'autre selon le principe de l'invention.

La fixation des parties 5 et 6 entre elles peut être obtenue par toute technique appropriée, et notamment : par collage ; par thermo-soudage ; par encliquetage.

Un accessoire tel que celui qui vient d'être décrit peut donc être monté sur une sangle, en particulier celle d'un ceinturon de telle sorte que les languettes 2 et 3 prennent place de part et d'autre de la ceinture en pinçant cette dernière en elles (limitant alors le montage à la situation illustrée par la figure 6).

On note que dans une telle configuration, seules les zones de retenue supérieures 20 sont mises à contribution. Ainsi, avantageusement, l'accessoire peut être monté de telle sorte que la sangle s'étende de façon à traverser l'accessoire avec les languettes 2, 3 en contact sur l'une des faces de la sangle, tandis que les 25 bords latéraux 10 sont en contact sur l'autre face de la sangle. Ainsi monté, si l'on regarde l'accessoire sur la sangle, on a d'un côté de la sangle S le pourtour 1 de l'accessoire apparent (figure 10) et, de l'autre côté de la sangle, la partie centrale et les deux bords supérieur et inférieur de l'accessoire (figure 11). 30 L'effet de pince des languettes agit alors de façon à garantir la « fermeture » de l'accessoire autour de la sangle.

La mise en place d'un accessoire selon l'invention sur une sangle S peut par exemple s'opérer de la façon suivante : l'accessoire est amené en regard d'une des faces de la sangle S, cette face étant plutôt la face avant de la sangle (c'est-à-dire la face visible de la sangle s'agissant d'un ceinturon lorsqu'il est porté par un vêtement), ceci en passant la languette supérieure 2 au contact de la face arrière de la sangle S (la sangle S étant alors pincée entre les languettes 2 et 3) ; l'accessoire est glissé vers le bas sur la sangle, jusqu'à ce que le bord supérieur du pourtour vienne en butée contre le bord supérieur de la sangle, ou quasiment ; la languette inférieure 3 est poussée vers le bas et contre la sangle S, en écartant le bord inférieur de l'accessoire par rapport à la sangle (figure 7), jusqu'à pouvoir passer l'extrémité libre de la languette inférieure 3 sous la sangle S (figures 8 et 9) ; l'accessoire est alors « redressé » contre la sangle S, en rapprochant le bord inférieur de l'accessoire par rapport à la sangle, jusqu'à ce la languette inférieure et le pourtour de l'accessoire s'étendent sensiblement parallèlement à la sangle S. Par ailleurs, selon un premier mode de réalisation, l'accessoire présente un organe d'accrochage 4 destiné à supporter un objet.

En référence à la figure 5, cet organe d'accrochage présente un crochet principal 40, délimitant l'espace d'accrochage. L'organe comprend en outre une patte 41, élastiquement déformable, mobile entre deux positions : une position d'introduction, dans laquelle la patte 41 est recourbée vers l'intérieur de l'espace délimité par le crochet 40 ; une position de fermeture, dans laquelle la patte vient en contact avec le crochet 40 et obture le passage vers l'intérieur de l'espace délimité par le crochet. Selon un deuxième mode de réalisation envisageable, l'accessoire 5 fait partie d'un ensemble comprenant un emballage, tel qu'un sachet contenant une boisson, l'accessoire étant alors porté par une paroi de l'emballage. Pour ce faire, l'accessoire est fixé sur la paroi de l'emballage par collage, thermo-soudage, ou tout autre technique appropriée.

10 Une application de l'invention pourra par exemple être particulièrement appréciée des sportifs pratiquant notamment la course à pied, le sachet pouvant par exemple contenir une boisson.

Claims (10)

1. REVENDICATIONS1. Accessoire destiné à être accroché sur une sangle, telle que celle d'un ceinturon, comprenant une partie centrale destinée à être placée en travers de la sangle et à partir de laquelle s'étend transversalement au moins une zone de retenue supérieure (20) et moins une zone de retenue inférieure (30), caractérisé en ce que ladite partie centrale comprend deux languettes (2), (3) dans le prolongement l'une de l'autre et dont l'une au moins est élastiquement déformable, l'une s'étendant à partir de la zone de retenue supérieure (20) et l'autre à partir de la zone de retenue inférieure (30), lesdites languettes (2), (3) présentant une portion (200) dans laquelle elles sont en contact l'une contre l'autre et par l'intermédiaire de laquelle elles sont susceptibles d'exercer un effet de pincement.
2. 2. Accessoire selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend un pourtour (1) à l'intérieur duquel s'inscrit la partie centrale.
3. 3. Accessoire selon la revendication 2, caractérisé en ce que le pourtour (1) présente une forme appartenant au groupe suivant : rectangulaire ; carrée ; circulaire ; ovoïde.
4. 4. Accessoire selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce qu'il est réalisé en une matière plastique.
5. 5. Accessoire selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce qu'il est réalisé par moulage.
6. 6. Accessoire selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce qu'il comprend deux parties (5), (6) fixées entre elles, l'une comprenant la zone de retenue supérieure à partir de laquelle s'étend une languette, et l'autre comprenant la zone de retenue inférieure à partir de laquelle s'étend l'autre languette.
7. 7. Accessoire selon la revendication 6, caractérisé en ce que lesdites parties sont reliées par une articulation (50).
8. 8. Accessoire selon l'un des revendications 6 et 7, caractérisé en ce que lesdites deux parties (5), (6) sont fixées entre elles par une technique appartenant au groupe suivant : collage ; - thermo-soudage ; - encliquetage.
9. 9. Accessoire selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce qu'il présente un organe d'accrochage (4) destiné à supporter un objet.
10. 10. Accessoire selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce qu'il fait partie d'un ensemble comprenant un emballage, ledit accessoire étant porté par une paroi de l'emballage.25