FR2968922A1 - Procede et appareil pour traiter des signaux analogiques electromagnetiques emis par un corps humain ou animal. - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un procédé de traitement de signaux analogiques électromagnétiques émis par un corps humain ou animal, comprenant les étapes suivantes : a) détection, en deux points du corps, de signaux analogiques électromagnétiques émis par ledit corps, b) traitement des signaux obtenus à l'étape a), pour ne garder que leurs composantes communes, c) inversion de la phase des signaux (Q) obtenus à l'étape b), d) application alternée des signaux (Q) obtenus à l'étape b) et des signaux inversés (Q) obtenus à l'étape c), en deux autres points du corps.

Description

PROCEDE ET APPAREIL POUR TRAITER DES SIGNAUX ANALOGIQUES ELECTROMAGNETIQUES EMIS PAR UN CORPS HUMAIN OU ANIMAL Description Domaine technique de l'invention. 10 L'invention a pour objet un procédé de traitement de signaux analogiques électromagnétiques émis par un corps humain ou animal permettant d'atténuer des perturbations fréquentielles parasites auxquelles est soumis ledit corps. Elle a également pour objet un appareil pour la mise en 15 oeuvre de ce procédé.

L'invention est notamment utilisée pour le traitement non thérapeutique du corps humain ou animal. État de la technique. D'un point de vue biophysique, les cellules des êtres vivants échangent constamment des informations qui assurent la coordination et la gestion des 25 fonctions génétiques et métaboliques. Ces informations cellulaires sont échangées par des moyens chimiques (médiateurs, neurotransmetteurs, ...) et au moyen de signaux analogiques électromagnétiques (fréquences).

Il est maintenant établi que lorsque les cellules sont soumises à des 30 champs électromagnétiques parasites (micro-ondes, téléphones portables, 20 - 2

réseaux wifi, antennes relais, ...), les fréquences de transmission de ces informations cellulaires peuvent être modifiées. Aux fréquences fondamentales d'échange, se superposent d'autres fréquences nouvelles et étrangères. Les cellules impliquées sont alors incapables de maintenir une relation de résonnance avec les autres cellules : il y a donc une perturbation de la transmission des informations cellulaires et un désordre fréquentiel qui peut se traduire par une sensation de fatigue ou de mal-être chez l'individu.

II apparaît donc bénéfique de pouvoir replacer les cellules dans une bonne cohérence vibratoire de façon à ce que les informations cellulaires puissent continuer à être correctement échangées.

Le corps humain émet naturellement des signaux analogiques électromagnétiques traduisant les informations cellulaires échangées. Soumis à des champs électromagnétiques parasites, la forme de ces signaux évolue. Les techniques permettant de mesurer, inhiber ou promouvoir ces signaux sont connues de l'art antérieur et par exemple décrites dans les documents brevets suivants : - le document WO 2005084753 (LEWIS) concerne un appareil utilisé pour la thérapie électromagnétique pulsée de champ. Cet appareil contient : un moyen pour détecter un rayonnement infrarouge provenant d'un corps humain ou animal, un moyen pour détecter des caractéristiques électromagnétiques dudit corps, et un moyen pour générer des formes d'ondes magnétiques pulsées. Cet appareil permet de localiser une zone corporelle appropriée au traitement (par exemple une zone malade ou traumatisée), et de générer des ondes électromagnétiques pulsées dont la forme dépend des caractéristiques thermiques et/ou électromagnétiques détectées au niveau de la zone à traiter. - le document WO 02098343 (BURJAK) concerne la thérapie par activation, et le traitement des préparations médicamenteuses et des organismes vivants au moyen d'un champ électromagnétique. L'appareil décrit dans ce document est pourvu d'un circuit d'oscillation et comprend les éléments - 3

suivants connectés en série : un amplificateur connecté aux sorties d'un circuit d'oscillation ; un dispositif de filtrage ; un commutateur ; un inverseur de phases et un émetteur d'oscillations. - les documents WO 9015571 (AYERS) et US 5024235 (AYERS) décrivent une technique servant à afficher et à inhiber ou promouvoir des fréquences bioélectriques sélectionnées émises par un organisme vivant. La technique comprend la détection d'un signal bioélectrique analogique, la conversion du signal en des signaux numériques discrets et l'analyse numérique des signaux numériques afin de déterminer les différentes fréquences bioélectriques émises par l'organisme. Une rétroaction auditive ou visuelle peut apprendre à inhiber ou à promouvoir la fréquence bioélectrique associée à un signal numérique sélectionné. - Le document US 5458142 (FARMER) décrit un instrument utilisé dans le traitement des organismes vivants. II comprend un capteur pour détecter des champs magnétiques émanant de l'organisme vivant, un amplificateur et un filtre. On peut ainsi détecter des anomalies dans le champ magnétique émanant de l'organisme, indicatif de l'état de l'organisme. - Le document WO 9635371 (ACKERMANN) divulgue un appareil servant à effectuer des mesures exactes dans la plage des charges de faible intensité intervenant au niveau du corps humain. II comporte un point de contact avec la peau pour mesurer et indiquer la tension électrique alternative exacte directement au niveau du corps humain. On peut ainsi détecter avec exactitude l'effet et le rapport des champs électromagnétiques alternatifs, ainsi que des ondes électromagnétiques, afin d'élaborer une stratégie visant à réduire les effets perturbateurs de l'électrosmog.

Aucune des solutions techniques proposées dans ces documents ne permet de replacer de manière satisfaisante les cellules dans une cohérence vibratoire correcte. 2968922 -4

Face à cet état des choses, le principal objectif de l'invention est de pouvoir rapidement et efficacement « nettoyer » les signaux analogiques électromagnétiques émis par un corps humain ou animal soumis à des perturbations fréquentielles parasites, de façon à ce que les informations 5 cellulaires puissent continuer à être échangées à des fréquences de bases fondamentales.

Divulgation de l'invention. 10 La solution proposée par l'invention est un procédé de traitement de signaux analogiques électromagnétiques émis par un corps humain ou animal, comprenant les étapes suivantes : a) détection, en deux points du corps, de signaux analogiques 15 électromagnétiques émis par ledit corps, b) traitement des signaux obtenus à l'étape a), pour ne garder que leurs composantes communes, c) inversion de la phase des signaux obtenus à l'étape b), d) application alternée des signaux obtenus à l'étape b) et des signaux 20 inversés obtenus à l'étape c), en deux autres points du corps.

Ce procédé est fondé sur l'exploitation des signaux analogiques électromagnétiques de faible intensité, à différents niveaux de fréquences. II permet de traiter des signaux analogiques électromagnétiques émis par le 25 corps d'un individu, sur toutes leurs bandes de fréquence, sans aucun filtrage, ni aucune transformation desdits signaux analogiques en signaux numériques. Les signaux ne sont donc nullement dénaturés et ne subissent aucune perte d'information. Le demandeur s'est aperçu de manière surprenante que l'application alternée de deux signaux analogiques électromagnétiques 30 identiques, mais dont les phases sont inversées, tendait à replacer les cellules - 5

dans une cohérence vibratoire, en atténuant les effets des fréquences parasites auxquelles elles pouvaient être soumises.

Un autre aspect de l'invention est un appareil pour la mise en oeuvre du procédé, comprenant : - un moyen pour détecter des signaux analogiques électromagnétiques émis par deux points du corps, - un moyen de traitement dont l'entrée est connectée à la sortie du moyen de détection, ledit moyen de traitement étant configuré pour ne garder que les composantes communes des signaux détectés, - un inverseur dont l'entrée est connecté à la sortie du moyen de traitement, ledit inverseur étant configuré pour inverser la phase des signaux traités, - un dispositif d'application dont l'entrée est connectée d'une part à la sortie du moyen de traitement et d'autre part à la sortie de l'inverseur, ledit dispositif étant configuré pour appliquer de manière alternée les signaux issus dudit moyen de traitement et les signaux inversés issus dudit inverseur, en deux autres points du corps.

Description des figures.

D'autres avantages et caractéristiques de l'invention apparaîtront mieux à la lecture de la description d'un mode de réalisation préféré qui va suivre, en référence aux dessins annexés, réalisés à titre d'exemples indicatifs et non limitatifs et sur lesquels : - la figure 1 est un bloc-diagramme illustrant les différentes étapes du procédé objet de l'invention, - la figure 2 montre un exemple de schéma électronique susceptible de mettre en oeuvre les différentes étapes du procédé objet de l'invention, - 6

- les figures 3a et 3b schématisent respectivement une vue de dessus et une vue de dessous d'un boîtier formant l'appareil objet de l'invention, - les figures 4a, 4b, 4c et 4d sont des courbes obtenues par un analyseur de spectre, sur lesquelles sont représentées en abscisse des fréquences en Hz, et en ordonnées une amplitude en mVolt ; ces courbes 4a, 4b, 4c et 4d montrent des exemples de signaux relevés respectivement : à la sortie du moyen de détection en début d'utilisation de l'appareil objet de l'invention, à la sortie du moyen de traitement, à la sortie de l'inverseur, et de nouveau à la sortie dudit moyen de détection, mais après quelques minutes d'utilisation dudit appareil. - la figure 5 montre différentes courbes schématisant la forme des signaux susceptibles d'être obtenues à la sortie du moyen de détection, à la sortie du moyen de traitement, et à la sortie de l'inverseur ; sont représentées en abscisses le temps, et en ordonnées l'amplitude des signaux.

Modes de réalisation de l'invention.

L'invention permet un traitement non thérapeutique susceptible d'améliorer le bien être d'un individu, humain ou animal, soumis à des perturbations fréquentielles parasitant les échanges d'informations intercellulaires. Ces fréquences parasites peuvent être réparties en deux groupes : les fréquences basses inférieures à 50 KHz et les fréquences élevées de 50 KHz à 4 GHz. Leurs origines très diverses traduisent l'augmentation de la pression électromagnétique de l'environnement sur l'individu : ondes géobiologiques, champs générés par le transport du courant alternatif 50 Hz, exposition aux champs 50 Hz pendant le sommeil, téléphonie intérieur DECT, télécommande diverses, environnement de travail soumis aux fréquences de transport de signaux informatiques, bureaux et structures métalliques relayant les pollutions électromagnétiques, réseaux Wifi, antennes relais, téléphonie mobile, technologie micro-ondes sur les aliments, etc. 2968922 -7 Conformément à l'invention, des signaux analogiques électromagnétiques émis par le corps de l'individu sont traités puis appliqués en retour dans ledit corps. Les signaux réinjectés permettent d'atténuer, voire 5 supprimer, les fréquences parasites susceptibles de perturber les échanges intercellulaires, tout en sollicitant les cellules avec des fréquences de base fondamentales les plaçant en harmonie vibratoire.

En se rapportant à la figure 1, la première étape a) du procédé objet de 10 l'invention consiste à détecter des signaux électromagnétiques émis par le corps de l'individu. Cette détection est réalisée en deux points du corps de l'individu de façon à obtenir un point de référence des signaux par comparaison. La figure 4a montre la forme des signaux obtenus par un analyseur de spectre, au niveau des points de détection, au début de la mise en 15 oeuvre du procédé. En pratique, pour un être humain, la détection des signaux est réalisée au niveau d'un des doigts de la main droite et au niveau d'un des doigts de la main gauche et plus généralement en deux points relativement éloignés l'un de l'autre afin d'éviter d'altérer la qualité des signaux détectés. Si les points de 20 détection sont trop proches l'un de l'autre, les signaux détectés se brouillent et se superposent en de trop nombreuses fréquences, les rendant difficilement exploitables. En se rapportant à la figure 2, le moyen de détection préférentiellement utilisé comprend deux plaques métalliques El, E2, par exemple en laiton, sur 25 lesquelles sont destinés à venir en contact, respectivement un des doigts de la main droite et un des doigts de la main gauche, dans le cas d'un humain. Les deux plaques de détection sont isolées électriquement l'une de l'autre de façon à pouvoir obtenir, par comparaison, un point de référence des signaux. D'autres moyens de détection, tels que des électrodes ou des sondes magnétiques, 30 peuvent être utilisés, notamment en fonction du type d'individu et des points de 2968922 -8

détection choisis. Pour un animal, la détection pourra par exemple être réalisée en utilisant une sonde magnétique.

L'étape b) suivante consiste à traiter les signaux analogiques détectés de 5 façon à ne garder que leurs composantes communes. Toutes les composantes « parasites » des signaux (telles que le bruit de fond, les perturbations environnementales, ...) sont ainsi supprimées. Ce traitement est réalisé par l'intermédiaire d'un moyen de traitement dont l'entrée est connectée à la sortie du moyen de détection E1, E2. En se rapportant à la figure 2, on prévoit un 10 adaptateur d'impédance 10 et d'un amplificateur Opérationnel AOP1. L'amplitude des signaux détectés étant faible, l'adaptateur d'impédance permet de mettre les entrées différentielles de l'amplificateur AOP1 à un niveau d'impédance correspondant à celui des signaux détectés en E1, E2. D'autres circuits électroniques équivalents peuvent être utilisés pour le traitement des 15 signaux détectés. La figure 4b montre la forme des signaux obtenus par un analyseur de spectre, à la sortie de l'amplificateur AOP1. En comparant la figure 4b à la figure 4a, on constate qu'à la sortie du moyen de traitement, la forme globale des signaux reste inchangée mais avec certaines fréquences qui sont lissées. 20 L'étape c) suivante consiste à inverser la phase des signaux analogiques Q traités à l'étape b). L'inversion des phases est notamment illustrée par la figure 5. Cette étape est réalisée en utilisant un inverseur dont l'entrée est connectée à la sortie du moyen de traitement 10, AOP1. Dans l'exemple de la 25 figure 2, un amplificateur Opérationnel Inverseur AOP2 est connecté à la sortie de l'amplificateur Opérationnel AOP1. D'autres circuits et/ou composants électroniques permettant d'inverser la phase des signaux peuvent toutefois être employés. La figure 4c montre la forme des signaux obtenus par un analyseur de spectre, à la sortie de l'amplificateur AOP2. En comparant la figure 4c à la 30 figure 4b, on constate qu'à la sortie de l'inverseur, la forme globale des signaux reste inchangée mais avec certaines fréquences qui continuent d'être lissées. 2968922 -9 La dernière étape d) du procédé consiste à appliquer de manière alternée les signaux analogiques Q issus du moyen de traitement 10, AOP1 et les signaux analogiques inversés Q issus de l'inverseur AOP2. Le demandeur 5 s'est aperçu que l'organisme réagit mieux lorsque les signaux sont appliqués de manière alternée plutôt que de manière continue. Les signaux analogiques inversés issus de l'inverseur AOP2 permettent de modifier la réponse cellulaire en annulant les effets des fréquences parasites, sans pour autant annuler les fréquences fondamentales de l'organisme. Et les signaux analogiques issus du 10 moyen de traitement 10, AOP1 permettent de maintenir la référence des fréquences fondamentales de l'organisme durant la période d'utilisation. La figure 4c montre la forme des signaux obtenus par un analyseur de spectre, à la sortie de l'amplificateur AOP2. La figure 4d montre la forme des signaux obtenus par un analyseur de spectre, au niveau des points de détection, après 15 quelques minutes de mise en oeuvre du procédé. En comparant la figure 4d à la figure 4a, on constate que certains pics fréquentiels, correspondant à des fréquences parasites, ont disparu. L'étape d) est réalisée en deux points du corps de l'individu qui sont différents des points de détection. En pratique, pour un être humain, 20 l'application des signaux Q et Q, est réalisée au niveau d'un autre doigt de la main droite et d'un autre doigt de la main gauche et plus généralement en deux points relativement éloignés l'un de l'autre afin d'éviter d'altérer la qualité des signaux appliqués. On pourrait par exemple prévoir d'appliquer les signaux Q et Q au niveau des pieds de l'individu, tandis que la détection est réalisée au 25 niveau des doigts de ses mains. En se rapportant à la figure 2, le dispositif d'application est connecté d'une part à la sortie du moyen de traitement 10, AOP1 et d'autre part à la sortie de l'inverseur AOP2. Ce dispositif comprend préférentiellement deux plaques métalliques S1, S2, par exemple en laiton, sur lesquelles sont destinés 30 à venir en contact, respectivement un autre doigt de la main droite et un autre doigt de la main gauche de l'individu. Ces deux plaques sont électriquement 2968922 - 10-

reliées l'une à l'autre de sorte que chaque point d'application reçoive les mêmes signaux Q ou Q à un instant donné. Des électrodes ou des sondes magnétiques peuvent également être utilisées, notamment en fonction du type d'individu et des points d'application choisis. Pour un animal, l'application des 5 signaux Q et Q pourra par exemple être réalisée en utilisant une sonde magnétique. Les plaques S1, S2 sont chacune connectées à deux interrupteurs : un premier interrupteur 11 relié à la sortie du moyen de traitement 10, AOP1 et un second interrupteur 12 relié à la sortie de l'inverseur AOP2. Ces deux 10 interrupteurs sont connectés à une unité de commande UC configurée pour contrôler leur ouverture et leur fermeture de façon alternée. En pratique, l'unité de commande UC est un microprocesseur générant des instructions d'ouverture et de fermeture à destination des interrupteurs 11, 12. Les signaux sont appliqués à une fréquence comprise entre 4 Hz et 20 Hz. Le demandeur 15 s'est aperçu que des fréquences d'application comprises entre 4 Hz et 10 Hz avaient un effet relaxant (diminution des tensions), et des fréquences d'application comprises entre 10 Hz et 20 Hz avaient un effet tonifiant (stimulation de l'organisme).

20 Les différentes étapes du procédé sont mises en oeuvre pendant une période dont la valeur est prédéterminée. Le procédé peut par exemple être mis en oeuvre quotidiennement, pendant 1 min à 5 min.

Les effets du procédé ont pu être observés chez une centaine 25 d'utilisateurs. Après une semaine d'utilisation, à raison de 1 à 5 minutes d'usage quotidien, les utilisateurs ont été invités à décrire leur ressenti. Les qualificatifs revenant le plus souvent sont : sensation de légèreté et de lâcher prise, atténuation des tensions, diminution de la fatigabilité, meilleure disponibilité, sommeil réparateur efficace, meilleure humeur, esprit 30 entrepreneur, diminution de l'irritabilité. 2968922 -11-

L'appareil permettant la mise en oeuvre du procédé objet de l'invention peut être intégré dans un ordinateur portable, un téléphone mobile, etc. Un exemple préféré de réalisation est toutefois schématisé sur les figures 3a et 3b. II s'agit d'un boitier B portable, autonome, alimenté par batteries. Ce boitier a 5 par exemple une longueur d'environ 24 cm, une largeur d'environ 14 cm et une hauteur d'environ 8 cm. Un bouton b1 permet de mettre sous tension de l'appareil.

En se rapportant la figure 3a, la face supérieure du boitier B comprend 10 avantageusement un ou plusieurs des éléments suivants : - un bouton à deux positions permettant de choisir un mode « relaxation » ou un mode « tonification ». En fonction de la position choisie, l'unité de commande UC va modifier la fréquence d'alternance d'application des signaux prévue à l'étape d) ; 15 - des boutons pression b3 permettant de choisir le temps d'utilisation. L'utilisateur a par exemple le choix entre 1 min, 3 min et 5 min ; - un afficheur à LED b4 indiquant la valeur de la batterie, le temps restant d'utilisation, ... ; - un bouton pression b5 « TEST » b5 pour mettre en oeuvre le procédé 20 objet de l'invention ; - un bouton pression « STOP » b6 pour arrêter le procédé objet de l'invention.

En se rapportant la figure 3b, la face inférieure du boitier B comprend les 25 plaques de détection El, E2. Ces plaques sont disposées de manière opposée au niveau des bords du boitier B. La face inférieure du boitier B comprend également les plaques d'application S1, S2. Ces plaques sont disposées de manière opposée au niveau des bords du boitier B. 30

Claims (8)

1. REVENDICATIONS1. Procédé non thérapeutique de traitement de signaux analogiques électromagnétiques émis par un corps humain ou animal et détectés en deux points dudit corps, ledit procédé comprenant les étapes suivantes : a) traitement des signaux détectés, pour ne garder que leurs composantes communes, b) inversion de la phase des signaux (Q) obtenus à l'étape a), c) application alternée des signaux (Q) obtenus à l'étape a) et des signaux inversés (Q) obtenus à l'étape b), à des plaques métalliques, électrodes ou sondes magnétiques aptes à appliquer lesdits signaux (Q, Q) en deux autres points du corps.
2. 2. Procédé selon l'un des revendications précédentes, dans lequel les différentes étapes sont mises en oeuvre pendant une période dont la valeur est prédéterminée.
3. 3. Procédé selon l'un des revendications précédentes, dans lequel l'alternance de l'application prévue à l'étape c), est réalisée à une fréquence comprise entre 4 Hz et 20 Hz.
4. 4. Appareil à usage non thérapeutique de traitement de signaux analogiques électromagnétiques émis par un corps humain ou animal, comprenant : - un moyen (El, E2) pour détecter des signaux analogiques électromagnétiques émis par deux points du corps, - un moyen de traitement (10, AOP 1) dont l'entrée est connectée à la sortie du moyen de détection (El, E2), ledit moyen de traitement étant 2968922 - 13 - configuré pour ne garder que les composantes communes des signaux détectés, - un inverseur (AOP2) dont l'entrée est connectée à la sortie du moyen de traitement (10, AOP1), ledit inverseur étant configuré pour inverser la 5 phase des signaux (Q) traités, - un dispositif d'application (UC, I1, 12, SI, S2) dont l'entrée est connectée d'une part à la sortie du moyen de traitement (10, AOP1) et d'autre part à la sortie de l'inverseur(AOP2), ledit dispositif étant configuré pour appliquer de manière alternée les signaux (Q) issus dudit moyen de 10 traitement et les signaux inversés (Q) issus dudit inverseur, à des plaques métalliques, électrodes ou sondes magnétiques aptes à appliquer lesdits signaux (Q, Q) en deux autres points du corps.
5. 5. Appareil selon la revendication 4, dans lequel le moyen de 15 détection comprend deux plaques métalliques (El, E2) sur lesquelles sont destinés à venir en contact, respectivement un des doigts de la main droite et un des doigts de la main gauche d'un corps humain, les deux dites plaques étant isolées électriquement l'une de l'autre. 20
6. 6. Appareil selon l'une des revendications 4 ou 5, dans lequel le dispositif d'application (UC, I1, 12, SI, S2) comprend deux plaques métalliques (SI, S2) sur lesquelles sont destinés à venir en contact, respectivement un autre doigt de la main droite et un autre doigt de la main gauche du corps humain, les deux dites plaques étant électriquement reliées 25 l'une à l'autre.
7. 7. Appareil selon la revendication 6, dans lequel les plaques métalliques (S1, S2) sont chacune connectées à deux interrupteurs (I1, 12) : un premier interrupteur (11) étant relié à la sortie du moyen de traitement 30 (10, AOP1), un second interrupteur (12) étant relié à la sortie de l'inverseur (AOP2); les deux dits interrupteurs étant connectés à une unité- 14 - de commande (UC) configurée pour contrôler leur ouverture et leur fermeture de façon alternée.
8. 8. Appareil selon l'une des revendications 4 à 7, se présentant sous 5 la forme d'un boitier (B) portable, autonome, alimenté par batterie.