FR2957752A1 - Procede et systeme de nutrition d'un animal tel qu'un cheval - Google Patents

Abstract

L'invention a pour objet un procédé de nutrition d'un animal tel qu'un cheval comprenant les étapes de : - mesurer une activité physique de l'animal ; - déduire de l'activité physique mesurée une dépense énergétique ; - calculer un besoin alimentaire de l'animal en fonction de ladite dépense énergétique.

Description

Procédé et système de nutrition d'un animal tel qu'un cheval. Le domaine de l'invention est celui de la conception et de la fabrication des équipements équestres. Plus précisément, l'invention concerne une technique de nutrition d'un animal, et en particulier d'un cheval, ayant une activité physique plus ou moins intense. Les chevaux de course sont entraînés comme des athlètes, selon des méthodes devenues très précises. Outre le soin apporté à l'entraînement physique de ces chevaux, il est bien entendu apporté également un grand soin à leur nutrition.

En effet, l'alimentation doit être adaptée à l'entraînement, ou de manière générale à l'activité physique de l'animal, de telle sorte que celui-ci présente un poids et, par conséquent, une masse musculaire optimaux au moment des courses auxquelles il participe. Or, dans certains cas, les chevaux évoluent en liberté dans des enclos qui peuvent s'étendre sur des surfaces relativement importantes. Le ou les chevaux peuvent alors connaître une activité physique plus ou moins intense dans ces enclos. Le propriétaire et/ou l'entraîneur du ou des chevaux en question peuvent alors ne pas prendre toute la mesure de l'activité physique du cheval ou des chevaux. Dans certains cas, la quantité d'aliments donnés à l'animal peut ne pas être parfaitement en phase avec l'activité physique qu'a connu l'animal. Une résultante peut être une perte de poids de l'animal et la question se pose du bon état de santé de l'animal. Différentes solutions ont été proposées par l'état de la technique antérieure pour évaluer l'état de santé d'un cheval.

On connaît notamment le dispositif décrit par le document de brevet publié sous le numéro FR-2 867 055, permettant de mesurer les capacités physiologiques d'un cheval, comportant un moyen de localisation tel qu'un GPS et un moyen de mesure de la fréquence cardiaque. Un tel dispositif peut aussi comporter un moyen de stockage de traitement des données, en temps réel ou en différé, afin d'associer le parcours et la fréquence cardiaque du cheval pour en déduire une information sur l'état de santé physiologique de l'animal. On connaît également un appareil décrit par le document de brevet publié sous le numéro WO-2004 08462, permettant de déterminer l'état de santé ou la forme physique d'un cheval, et comprenant au moins un détecteur muni d'électrodes placées sous une couverture de selle et fournissant des données physiologiques (rythme respiratoire, cardiaque, pression artérielle...), et un module GPS fournissant les données de positions occupées par le cheval. Le document de brevet publié sous le numéro WO-2009 030939 décrit quant à lui un appareil pour identifier les performances d'un cheval de course, comprenant un accéléromètre pour mesurer l'allure, la démarche ou la fréquence des foulées de l'animal, des moyens pour mesurer sa vitesse, notamment un GPS, et des moyens pour traiter les données de façon à identifier une condition physiologique prédéterminée de l'animal.

On comprend que ces solutions de l'art antérieur visent à évaluer l'état de santé d'un cheval, essentiellement en vue d'adapter son entraînement et/ou son activité physique à venir en vue de l'amener dans un état de forme optimal au moment de sa participation à une course par exemple. Toutefois, ces solutions ne fournissent pas d'assistance, pour les propriétaires et/ou les entraîneurs, dans la façon de corréler les dépenses d'énergie des animaux avec l'apport en énergie lié à leur alimentation. L'invention vise donc un tel objectif, à savoir mettre en relation l'activité physique qu'a connu un cheval avec les apports alimentaires à lui fournir. Cet objectif, ainsi que d'autres qui apparaîtront par la suite sont atteints grâce l'invention qui a pour objet un procédé de nutrition d'un animal tel qu'un cheval comprenant les étapes de : mesurer une activité physique de l'animal ; déduire de l'activité physique mesurée une dépense énergétique ; calculer un besoin alimentaire de l'animal en fonction de ladite dépense énergétique.

Ainsi, grâce à l'invention, on peut alimenter un animal, en particulier un cheval, de façon optimisée par rapport à l'activité physique qu'il a connue, et donc à sa dépense énergétique, en vue de compenser celle-ci par une alimentation appropriée.

Il est donc possible d'adapter quantitativement et qualitativement les apports nutritionnels à l'animal, de façon à éviter une perte de poids (se traduisant généralement par une diminution de la masse musculaire), ou, à l'inverse, une prise de poids excessive susceptible de nuire à ses performances. Préférentiellement, le procédé comprend une étape de dosage d'une portion alimentaire adaptée auxdits besoins alimentaires calculés, et une étape de délivrance de ladite portion audit animal. Cette phase du procédé peut être accomplie de façon automatisée, en termes de sélection d'aliments, de dosage des aliments, et de délivrance des aliments à un animal déterminé. De cette façon, le procédé permet non seulement de déterminer le besoin alimentaire d'un animal, mais en plus de délivrer de façon fiable la portion alimentaire adaptée à l'animal en fonction de l'activité physique qu'il a connue. Selon une solution préférée, le procédé comprend une étape de vérification de la consommation, par l'animal, de ladite portion délivrée.

Ainsi, on s'assure que la portion alimentaire calculée et délivrée pour un animal déterminé, est consommée par l'animal en question. Aussi, dans le cas où les portions alimentaires délivrées sont systématiquement consommées par un animal, le propriétaire et/ou l'entraîneur pourra déduire que si l'état de santé de l'animal se dégrade, il faut rechercher les causes de cette situation ailleurs que dans l'alimentation de l'animal. L'invention concerne également un système pour la mise en oeuvre d'un procédé de nutrition d'un animal tel qu'un cheval, comprenant : des moyens de mesure de l'activité physique de l'animal ; des moyens d'estimation de la dépense énergétique correspondante à l'activité physique mesurée ; des moyens de calcul d'un besoin alimentaire en fonction de ladite dépense énergétique. Selon une solution avantageuse, le système comprend un équipement mobile porté par ledit animal et un équipement fixe destiné à communiquer avec ledit équipement mobile. Dans ce cas, ledit équipement mobile comprend préférentiellement : ù un dispositif de positionnement global par satellite ; ù un accéléromètre ; - des moyens d'alimentation électrique autonomes.

Préférentiellement, ledit équipement mobile comprend en outre des moyens de stockage de données procurés par ledit dispositif de positionnement global par satellite et par ledit accéléromètre. Selon une solution avantageuse, ledit équipement comprend des moyens de communication de données destinés à coopérer avec ledit équipement fixe.

Selon un mode de réalisation préféré, ledit équipement mobile comprend des moyens d'identification dudit animal. De cette façon, le système peut être prévu pour plusieurs animaux, chacun étant susceptible d'être identifié et donc répertorié par le système, quant à son activité physique et à ses besoins spécifiques en alimentation.

Selon une solution préférée, le système comprend une installation de distribution automatique d'aliments apte à délivrer une portion alimentaire adaptée auxdits besoins alimentaires calculés. De cette façon, on propose un système complètement automatisé allant du suivi de la mesure de l'activité physique de l'animal jusqu'à la délivrance d'une portion alimentaire calculée en fonction de l'activité physique mesurée. D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante de deux modes de réalisation préférentiels de l'invention, donnés à titre de simples exemples illustratifs et non limitatifs, et des dessins annexés parmi lesquels : la figure 1 illustre de façon schématique un capteur destiné à être porté par un animal dans un système selon l'invention ; la figure 2 est une représentation schématique d'un système selon un premier mode de réalisation de l'invention ; la figure 3 est une représentation schématique d'un système selon un deuxième mode de réalisation de l'invention.

Tel qu'indiqué précédemment, l'invention réside dans le fait de proposer une technique permettant de mesurer l'activité physique d'un animal, en particulier d'un cheval, de déduire une dépense énergétique de l'activité physique mesurée et de calculer un besoin alimentaire correspondant à ladite dépense énergétique calculée.

En référence à la figure 1, un système selon l'invention met en oeuvre un capteur destiné à être porté par un animal, et en particulier par un cheval, comprenant : ù un dispositif de positionnement global par satellite 1 (GPS), à faible consommation électrique, destiné à procurer des données relatives aux distances parcourues par l'animal et à la vitesse de déplacement de l'animal ; ù un accéléromètre 2, destiné notamment à fournir une information de changement d'état de l'animal, s'agissant de passer d'un état immobile à un état en mouvement ; une alimentation électrique, sous forme d'une batterie rechargeable 6, reliée à l'ensemble des composants du capteur ; une mémoire 3, destinée à l'enregistrement des données procurées par le GPS et l'accéléromètre ; un micro contrôleur 4 (intelligence locale) ; 25 30 des moyens de communication 5 de données, destinés à coopérer avec un équipement externe au capteur, tel qu'un équipement fixe décrit plus en détails par la suite. Un tel capteur se présente sous la forme d'un boîtier destiné à être inséré dans un licol (s'agissant d'un système dédié aux chevaux). Le capteur est conçu de façon à présenter une autonomie, en termes d'alimentation électrique, relativement importante (autonomie de minimum une semaine). La fonction principale d'un système selon l'invention est d'estimer l'activité du cheval au fil du temps afin de pouvoir adapter au mieux son alimentation. Le capteur décrit précédemment permet d'évaluer les distances parcourues, ceci grâce aux informations procurées par le GPS. La posture et des informations complémentaires peuvent être extraites de l'accéléromètre. En particulier, l'accéléromètre peut être utilisé dans la gestion de l'autonomie électrique du capteur : lorsque l'animal est immobile, l'accéléromètre fournit une information correspondante ce qui permet, par l'intermédiaire du micro contrôleur 4 du capteur, de mettre en veille le dispositif GPS, ce qui permet d'économiser la batterie du capteur. Lorsque l'animal commence à se déplacer, l'accéléromètre fournit une information correspondante au micro contrôleur qui désactive la mise en veille du dispositif GPS. Le capteur peut être intégré à un licol spécifique, ou sur un licol existant par ajout d'un holster. Le licol est, dans l'un ou l'autre cas, adapté de façon à répondre aux caractéristiques suivantes : insertion et extraction aisées du capteur ; fixation fiable et rapide, tout en limitant les risques d'éjection sous l'effet des mouvements de l'animal ; - protection du capteur, vis-à-vis des contacts physiques avec l'animal ; - protection du capteur vis-à-vis des conditions climatiques (pluie, soleil, température...). Le boîtier du capteur assurera également des fonctions de protection vis-à-vis de la poussière, de l'humidité et des éventuelles projections d'eau.

La matière du boîtier du capteur est choisie de façon à : - limiter les variations de température, en vue de protéger les différents composants, en particulier la batterie ; autoriser une communication radio ; autoriser une réception GPS sans antenne externe.

De façon générale, un procédé et un système selon l'invention peuvent être utilisés selon différents modes, allant de la mesure d'activité avec détermination des besoins alimentaires, jusqu'à la distribution automatique de portions alimentaires dosées. En outre, deux modes de fonctionnement peuvent être envisagés : le mode « temps réel » et le « mode différé », décrits ci-après. En référence à la figure 2, on décrit un système dédié au mode « temps réel ». Un tel système peut être utilisé pour un animal ou pour plusieurs animaux. En tout état de cause, l'animal ou chaque animal porte un capteur tel que celui décrit précédemment. Un tel système fonctionnant selon le mode « temps réel » permet de connaître en permanence, sur un ordinateur central 20, tous les paramètres enregistrés par chaque capteur porté par un animal. La communication des données enregistrées dans le capteur s'effectue par une communication radio par l'intermédiaire de routeurs 22, 23, 24. Chaque routeur joue le rôle de relais et permet d'augmenter la distance de liaison entre le capteur et l'ordinateur central 20. Bien entendu, chaque routeur doit être alimenté électriquement en permanence. Un concentrateur 21 constitue un élément de liaison entre les routeurs et l'ordinateur central 20. Un tel concentrateur constitue une interface destinée à concentrer toutes les données provenant des capteurs par communication directe ou par l'intermédiaire d'un ou plusieurs routeurs. On comprend qu'un tel système est constitué : - d'un équipement mobile, comprenant le ou les capteurs portés par le ou les animaux ; - un équipement fixe, comprenant l'ordinateur central et, selon le présent mode de réalisation, le concentrateur et les routeurs. Dans ce mode de fonctionnement, l'ordinateur central 20 dispose en permanence et en temps réel de toutes les données concernant chaque animal. On note que, pour ce faire, chaque capteur comprend des moyens d'identification 7 (figure 1), par exemple sous forme d'une puce RFID, permettant d'identifier l'animal portant le capteur et, au niveau de l'ordinateur central, d'enregistrer les données dans une table de données dédiée à l'animal en question. Le système peut en outre comprendre une installation de distribution automatique d'alignement 25, apte à délivrer une portion alimentaire adaptée à un besoin alimentaire calculé pour un animal donné. On note que l'ordinateur central dispose d'un programme permettant d'utiliser les données procurées par le GPS de chaque capteur, et éventuellement celles procurées par l'accéléromètre, pour déterminer une mesure d'activité physique de l'animal concerné, le programme déterminant à partir de cette mesure une dépense énergétique. Le programme calcule ensuite un besoin alimentaire de l'animal en fonction de la dépense énergétique calculée.

L'ordinateur central 20 du système peut alors piloter l'installation desdites solutions automatiques, de façon à faire réaliser par celles-ci un dosage d'une portion alimentaire adaptée aux besoins alimentaires calculés, et à faire exécuter une opération de délivrance de la portion alimentaire, par exemple lorsque l'animal est détecté (par tout moyen approprié) à l'approche d'un poste de délivrance de l'installation de distribution automatique.

On note que l'installation comprend en outre, selon un mode de réalisation préférentiel, des moyens de vérification de la consommation par l'animal de la portion délivrée. Bien entendu, l'installation et les moyens de vérification sont également prévus pour, respectivement, fournir de l'eau à l'animal et vérifier (en relation avec l'ordinateur central) si l'animal boit suffisamment (ou trop). Dans ce cas, les moyens de vérification sont bien entendu reliés à l'ordinateur central pour fournir une information sur la quantité d'aliments consommée par l'animal. On note par ailleurs que, dans le cas où l'installation de distribution automatique d'aliments comprend un poste unique de délivrance, les moyens d'identification intégrés au capteur porté par l'animal permettent de gérer la distribution d'aliments animal par animal. Le fonctionnement d'un système tel que décrit précédemment implique donc de disposer d'un réseau de bornes ou de routeurs alimentés en permanence et d'un ordinateur fonctionnant en permanence. De plus, la consommation électrique du capteur est relativement importante dans la mesure où chaque nouvelle acquisition de données implique une transmission radio, ce qui se traduit par une réduction de l'autonomie des capteurs. Bien entendu, le système inclut des moyens de rechargement de la batterie des capteurs : chaque capteur peut être placé sur un socle de rechargement et l'ordinateur reçoit de chaque capteur une information relative à l'état de charge de la batterie, ce qui permet de fournir une indication au gestionnaire du système lorsque le niveau de batterie devient faible. En revanche, la mise à disposition des données en temps réel constitue un avantage certain. Toute la capacité de calcul de l'ordinateur peut être utilisée pour analyser le flux de données et extraire les informations utiles. En référence à la figure 3, on décrit un système selon l'invention fonctionnant selon un mode « différé ». Selon le mode de réalisation illustré par la figure 3, ce système en mode « différé » se distingue du système fonctionnant en mode « temps réel » en ce que les données traitées par le capteur ne sont pas transmises en temps réel par une communication radio à l'ordinateur central 20. Au contraire, chaque capteur 10 porté par chaque animal nécessite, selon ce mode « différé », le transfert de données régulier via l'ordinateur central 20, et le rechargement des batteries des capteurs. On note que ces deux opérations peuvent être couplées, mais dans le cas de l'utilisation de l'autonomie maximum des batteries, les données peuvent être transférées à intervalles réguliers sans attendre que les batteries nécessitent un rechargement.

Tel que cela apparaît sur la figure 3, le concentrateur relié à l'ordinateur central 20 est du type de celui déjà décrit précédemment en référence au premier mode de fonctionnement, il comprend de plus des moyens de réception des capteurs 10 permettant le rechargement électrique des batteries des capteurs. Le fait de ne disposer des données que de façon différée et le fait de ne pas connaître le niveau de batterie peuvent constituer des inconvénients de ce mode de fonctionnement. Toutefois, ce mode présente l'avantage de ne pas nécessiter d'équipement supplémentaire à installer, tels que les routeurs, ce qui permet en outre aux animaux de se déplacer librement sans limite de distance. Par ailleurs, il est envisageable de concevoir un mode « mixte », utilisant une architecture et un fonctionnement similaire au mode « temps réel », pouvant basculer temporairement en mode « pseudo-différé », lorsque la communication radio du système n'est pas possible. Pendant cette période, les données sont enregistrées localement dans une mémoire sauvegardée et, dès le rétablissement de la communication, les informations mémorisées sont envoyées automatiquement à l'ordinateur central.

Claims (10)

1. REVENDICATIONS1. Procédé de nutrition d'un animal tel qu'un cheval comprenant les étapes de : mesurer une activité physique de l'animal ; déduire de l'activité physique mesurée une dépense énergétique ; calculer un besoin alimentaire de l'animal en fonction de ladite dépense énergétique.
2. 2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend une étape de dosage d'une portion alimentaire adaptée audit besoin alimentaire calculé, et une étape de délivrance de ladite portion audit animal.
3. 3. Procédé selon la revendication 2, caractérisé en ce qu'il comprend une étape de vérification de la consommation, par l'animal, de ladite portion délivrée.
4. 4. Système pour la mise en oeuvre d'un procédé de nutrition d'un animal tel qu'un cheval, comprenant : des moyens de mesure de l'activité physique de l'animal ; des moyens d'estimation de la dépense énergétique correspondante à l'activité physique mesurée ; des moyens de calcul d'un besoin alimentaire en fonction de ladite dépense énergétique.
5. 5. Système selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'il comprend un équipement mobile porté par ledit animal et un équipement fixe destiné à communiquer avec ledit équipement mobile.
6. 6. Système selon la revendication 5, caractérisé en ce que ledit équipement mobile comprend : un dispositif de positionnement global par satellite ; un accéléromètre ; des moyens d'alimentation électrique autonome.
7. 7. Système selon la revendication 6, caractérisé en ce que ledit équipement mobile comprend en outre des moyens de stockage de données procurées par ledit dispositif de positionnement global par satellite et par ledit accéléromètre.
8. 8. Système selon l'une quelconque des revendications 5 à 7, caractérisé en ce que ledit équipement comprend des moyens de communication de données destinés à coopérer avec ledit équipement fixe.
9. 9. Système selon l'une quelconque des revendications 5 à 8, caractérisé en ce que ledit équipement mobile comprend des moyens d'identification dudit animal.
10. 10. Système selon l'une quelconque des revendications 4 à 9, caractérisé en ce qu'il comprend une installation de distribution automatique d'aliments apte à délivrer une portion alimentaire adaptée audit besoin alimentaire calculé.15