FR2954304A1

FR2954304A1 - Renes pour betes de selle ou attelees, pourvues de poignees

Info

Publication number: FR2954304A1
Application number: FR0959153A
Authority: FR
Inventors: Loic Wulleman
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 2009-12-17
Filing date: 2009-12-17
Publication date: 2011-06-24
Anticipated expiration: 2029-12-17
Also published as: FR2954304B1

Abstract

L'invention concerne des rênes comportant des moyens de fixation (2) au harnais de tête ou au mors d'une bête de selle ou attelée, se caractérisant par le fait que lesdites rênes sont pourvues de poignées (3) pour leur maniement.

Description

RENES POUR BÊTES DE SELLE OU ATTELEES, POURVUES DE POIGNEES.

Description Domaine technique de l'invention.

L'invention concerne des rênes destinées à être fixées au harnais de tête ou au mors d'une bête de selle ou attelées et comportant des poignées.

L'invention se rapporte au domaine technique des équipements pour bêtes de selle ou attelées (chevaux, poneys, ânes...) et plus particulièrement les rênes permettant de les diriger.

État de la technique.

On connait les rênes pour bêtes de selle ou attelées se présentant sous la forme d'une lanière à un ou deux brins et comportant des moyens de fixation au harnais de tête ou au mors de la bête. Les rênes fonctionnent généralement par paire, une rêne droite et une rêne gauche. Ainsi pour diriger la bête vers la droite (respectivement vers la gauche) le cavalier, ou monteur, tire sur la rêne droite (respectivement sur la rêne gauche).

Pour diriger efficacement la bête, il existe une position optimale des mains sur les rênes qui diffère suivant la taille de la bête et celle du monteur. En effet, lorsque les mains sont trop près du harnais ou du mors, les rênes tirent sur la tête de la bête qui devient nerveuse et ne répond plus ou mal aux ordres 2954304 -2

qui lui sont donnés. De même, lorsque les mains sont placées trop loin du harnais ou du mors, les rênes ne sont pas suffisamment tendues et les ordres ne sont pas perçus par la bête.

5 Or, les monteurs débutants rencontrent beaucoup de difficultés pour le placement de leurs mains qui peuvent glisser le long de la lanière au cours du montage et nécessite donc un repositionnement permanent des mains sur les rênes. En outre, le glissement des mains le long des rênes provoque à l'usage des lésions telles que plaies, callosités ou autres. 10 Pour palier ces inconvénients, les rênes proposées par le document FR 2 744 997 (DECATHLON) permettent de placer les mains dans une position adéquate et de bloquer les mains sur les rênes dans cette position. Ces rênes sont remarquables en ce qu'elles comprennent des moyens de blocage en 15 translation, permettant à la fois le positionnement des mains en amont dudit moyen de blocage, et à la fois le maintien des mains dans cette position, ledit moyen de blocage s'opposant à la translation des mains le long des rênes. En pratique, ces moyens de blocage sont constitués d'au moins une butée en saillie sur les rênes. 20 Néanmoins, lors d'une accélération de la bête, le monteur peut être projeté en arrière, les mains glissent sur la portion de rêne en amont du moyen de blocage jusqu'à entrer violemment en contact avec ledit moyen de blocage. Outre le choc pouvant blesser les mains, celles-ci peuvent également se 25 coincer entre la lanière et l'obstacle et être fortement pincées, ou encore déraper contre le moyen de blocage et être écorchées. Sous l'effet de la douleur, il arrive que le monteur lâche les rênes et perde alors tout contrôle de sa monture.

30 De plus, le fait de tenir la portion de lanière serrée fermement entre les doigts entraine une dureté de la main, une contraction de l'avant-bras, un 2954304 -3

blocage du coude et un manque de mobilité de l'épaule du monteur. Cette raideur entraine un inconfort qui se transmet à la bête qui réagit notamment en contractant ses maxillaires. Le monteur et la bête sont ainsi crispés et peuvent ressentir des contractures et des douleurs musculaires. Face à cet état de fait, l'invention a pour principal objectif de fournir des rênes permettant un placement rapide, simple et ergonomique des mains du monteur, de manière à éviter toute blessure ou crispation du monteur et de la bête 10 L'invention a également pour objectif de fournir des rênes permettant un maniement facile de la bête, de conception simple et peu onéreuse.

15 Divulgation de l'invention. La solution proposée par l'invention sont des rênes comportant des moyens de fixation au harnais de tête ou au mors d'une bête de selle ou attelées. Ces rênes sont remarquables par le fait que lesdites rênes sont 20 pourvues de poignées pour leur maniement. Ainsi, lors d'une accélération de la bête, le monteur se raccroche aux poignées, les mains ne glissent alors plus, et le monteur ne tombe plus. Ce type de poignées peut également prendre diverses formes adaptées aux mains de manière à rendre la tenue des rênes plus souple et éviter un serrage et une crispation trop importante desdites 25 mains sur les rênes.

Selon une caractéristique avantageuse de l'invention, chaque poignée est agencée transversalement à un axe s'étendant des moyens de fixation vers ladite poignée. De la sorte, lors d'une accélération de la bête, les poignées ainsi 30 agencées s'opposent au recul du monteur, les mains ne glissent plus, et le monteur ne tombe plus. 5 2954304 -4 Selon une caractéristique avantageuse de l'invention permettant de faciliter la prise en mains des poignées, les poignées sont des poignées annulaires ou des manettes. Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant de relier simplement et facilement les moyens de fixation aux poignées, les rênes sont formées de deux lanières indépendantes chacune équipée d'un moyen de fixation au harnais de tête ou au mors, et d'une poignée. 10 Selon encore une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant d'assouplir la conduite de la bête au moyen de rênes de type Allemandes comportant deux brins, lesdites rênes sont formées de deux lanières indépendantes chacune équipée de deux brins, d'un moyen de fixation 15 au harnais de tête ou au mors, et d'une poignée reliée aux deux dits brins.

Selon encore une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant de retenir les poignées sur le dos de la bête lorsque les rênes ne sont pas tenues par le monteur, lesdites rênes sont formées d'une seule lanière 20 équipée des moyens de fixation au harnais de tête ou au mors, et des poignées.

Selon encore une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant d'adapter les rênes à la taille de la bête et du monteur, les poignées 25 sont équipées de moyens pour régler leur position par rapport aux moyens de fixation.

Selon encore une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant d'effectuer simplement et rapidement le réglage des rênes, les 30 poignées sont pourvues d'une boucle d'attache coulissant sur lesdites rênes au cours du réglage. 5 2954304 -5 Selon encore une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant un réglage équilibré entre une poignée droite et une poignée gauche, lesdites rênes comportent des repères permettant un réglage précis de 5 la position des poignées.

Selon encore une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant d'assouplir la conduite de la bête, lesdites rênes comportent des moyens d'amortissement disposés le long desdites rênes, entre les poignées et 10 les moyens de fixation.

Selon encore une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant de réaliser simplement ces moyens d'amortissements, ces derniers sont des éléments élastiques fixés en deux points desdites rênes, la longueur 15 desdites rênes séparant ces deux points étant plus grande que la longueur des éléments élastiques lorsqu'ils ne sont pas sollicités en traction.

Selon encore une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant de rapidement prendre en mains les rênes, les poignées sont de 20 couleurs différentes ou ont une forme spécifique permettant de distinguer la poignée droite de la poignée gauche.

Description des figures. D'autres avantages et caractéristiques de l'invention apparaîtront mieux à la lecture de la description d'un mode de réalisation préféré qui va suivre, en référence aux dessins annexés, réalisés à titre d'exemples indicatifs et non limitatifs et sur lesquels : 25 - 6 - la figure 1 représente schématiquement en vue de face un premier exemple de réalisation des rênes objets de l'invention comportant une seule lanière, - La figure 2 représente schématiquement en vue de côté les rênes de l'exemple de réalisation représenté sur la figure 1, - la figure 3 représente schématiquement en vue de face un deuxième exemple de réalisation des rênes objets de l'invention comportant une seule lanière, - La figure 4 représente schématiquement en vue de côté les rênes de l'exemple de réalisation représenté sur la figure 3. Modes de réalisation de l'invention.

En se référant aux figures 1 à 4, les rênes (1) objet de l'invention permettent la conduite d'une bête de selle ou d'une bête attelées (par exemple à une calèche) par un monteur. On distingue généralement deux rênes (1), une rêne droite permettant d'effecteur des virages à droite et une rêne gauche permettant d'effectuer des virages à gauche.

Les rênes (1) comportent des moyens de fixation (2) au harnais de tête ou au mors de la bête. Ces moyens de fixation (2), préférentiellement amovibles, peuvent se présenter sous la forme de mousquetons, de boucles, de portions de sangle ou de cordes nouées, de clips, de rivets, de coutures, ou tout autre moyen de fixation convenant à l'homme du métier.

Conformément à l'invention, les rênes (1) sont également pourvues de poignées (3) pour leur maniement. En pratique, deux poignées sont utilisées, une poignée droite et une poignée gauche. Le cas échéant, un nombre supérieur de poignées peut être prévu. Chaque poignée (3) est agencée transversalement à un axe s'étendant des moyens de fixation (2) vers ladite 2954304 -7

poignée. En particulier, chaque poignée (3) présente au moins une portion destinée à être saisie par les mains du monteur, cette portion étant agencée transversalement à l'axe s'étendant des moyens de fixation (2) vers ladite poignée. Les poignées (3) peuvent par exemple être des poignées annulaires 5 comme représentées sur les figures 1 à 4, ou des manettes, ou être de toute autre forme convenant à l'homme du métier. Elles peuvent être réalisées au moyen de matériaux permettant une bonne tenue, comme par exemple de la corde, du caoutchouc, du cuir, ou autres. Les poignées (3) ont une épaisseur pouvant varier de 0,5 cm à 3 cm. Elles peuvent être de couleurs différentes ou 10 avoir une forme spécifique permettant de distinguer la poignée droite de la poignée gauche.

En pratique, les rênes (1) sont constituées d'une ou plusieurs lanières (4) reliant les moyens de fixation (2) aux poignées (3). La ou les lanières (4) se 15 présentent sous la forme d'une bande souple, résistante à la traction. Elles peuvent présenter un unique brin, mais peuvent également présenter plusieurs brins. Ces derniers peuvent être indépendants ou reliés entre eux à l'une ou à leurs deux extrémités. Les brins peuvent avoir une section carrée, rectangulaire, triangulaire, cylindrique, ovale, ou autres, et être réalisés en tissu, 20 en cuir, en corde, etc. Les brins ont une épaisseur et une largeur pouvant varier de 2 mm à 5 cm. Ils ont une longueur pouvant varier de 80 cm à 4 m. Les moyens de fixation (2) et les poignées (3) peuvent être fixés aux lanières (4) par rivetage, clipsage, couture, nouage, etc.

25 Selon un premier exemple de réalisation représenté sur les figures 3 et 4, les rênes (1) sont formées de deux lanières (4) indépendantes chacune équipée d'un moyen de fixation (2), et d'une poignée (3). La lanière peut être formée d'un ou plusieurs brins et notamment de deux brins pour les rênes allemandes. Chaque ensemble lanière (4) + moyen de fixation (2) + poignée (3) 30 constitue respectivement la rêne droite et la rêne gauche. Pour chacune des rênes (1), le moyen de fixation (2) est généralement agencé à une première 2954304 -8

extrémité de la lanière (4), la poignée (3) étant agencée entre les deux extrémités de ladite lanière. Une fois fixée à la tête de la bête, la lanière (4) s'entend alors d'un premier point d'attache situé sur le harnais ou le mors à un deuxième point situé derrière la nuque de ladite bête. 5 Selon un deuxième exemple de réalisation représenté sur les figures 1 et 2, les rênes (1) sont formées d'une seule lanière (4) équipée des moyens de fixation (2) au harnais de tête ou au mors, et des poignées (3). Dans une telle configuration, les moyens de fixation (2) sont généralement agencés aux deux 10 extrémités de la lanière (4). Une fois fixée à la tête de la bête, la lanière (4) s'entend alors d'un premier point d'attache situé sur le côté droit du harnais ou du mors à un deuxième point d'attache situé sur le côté gauche dudit harnais ou dudit mors, en passant derrière la nuque de ladite bête. Les poignées sont agencées entre les deux extrémités de cette lanière (4). 15 En se rapportant à la figure 2, les poignées (3) sont avantageusement équipées de moyens (5) pour régler leur position par rapport aux moyens de fixation (2). Ces moyens (5) de réglage peuvent se présenter sous la forme d'un élément mâle équipant la poignée (3) et s'insérant dans un élément femelle 20 parmi plusieurs agencés à différents endroits de la lanière (4). Ils peuvent également se présenter sous la forme d'un mousqueton équipant la poignée et s'engageant dans un oeillet ou dans un anneau parmi plusieurs agencés à différents endroits de la lanière (4). Selon l'exemple de réalisation représenté sur les figures 1 à 4, chaque moyen de réglage consiste en une boucle 25 d'attache coulissant sur les rênes (1) au cours du réglage. Les moyens (5) de réglage peuvent être réalisés en métal, en tissu, en cuir, en matière plastique, etc.

Les rênes (1) peuvent aussi comporter des repères (6) permettant un 30 réglage précis de la position des poignées (3). Dans l'exemple de réalisation de la figure 2, lorsque le moyen (6) de réglage est du type à boucle d'attache, les 2954304 -9

repères (6) peuvent se présenter sous la forme de traits, de graduations, de numéros, ou autres, et être sérigraphiés, imprimés, pyrogravés, ou autres, sur la lanière (4).

5 Préférentiellement, les rênes (1) comportent des moyens d'amortissement (7) disposés le long desdites rênes, entre les poignées (3) et les moyens de fixation (2). En se rapportant aux figures annexées, ces moyens d'amortissement (7) se présentent sous la forme d'éléments élastiques fixés en deux points des rênes (1). Pour obtenir un amortissement efficace, la longueur 10 des rênes (1) séparant ces deux points de fixation est plus grande que la longueur des éléments élastiques lorsqu'ils ne sont pas sollicités en traction. Les éléments élastiques peuvent se présenter sous la forme d'une bande de tissu élastique, d'une bande de caoutchouc, ou autres. Leur longueur peut varier de 5 cm à 40 cm. De manière équivalente, les éléments élastiques 15 pourraient être remplacés par des ressorts, des amortisseurs pneumatiques ou tout autre moyen d'amortissement similaire. Les moyens d'amortissement (7) sont en général fixés sur les lanières. Ils peuvent être fixés de manière amovible au moyen de boutons poussoirs, de mousquetons, ou autres, ou être fixés de manière définitive par rivetage, couture, collage, etc. 20 Une méthode ludique et pédagogique d'utilisation de ces rênes (1) permettant l'apprentissage de l'équitation à des enfants dès 3 ans va maintenant être décrite.

25 De manière générale, les bêtes n'apprécient guère les coups donnés par les monteurs qui tirent sur les rênes connus de l'art antérieur pour tourner, les à-coups transmis par lesdites rênes lorsque celles-ci, tenues trop lâches, se tendent et se détendent, ainsi que la différence de longueur des rênes leur tordant l'encolure. 30 2954304 - 10-

Or les jeunes monteurs rencontrent des problèmes à la fois dans la tenue des rênes traditionnelles par défaut de positionnement et d'ajustement des mains sur lesdites rênes, ou par glissement des mains sur lesdites rênes, et à la fois dans l'utilisation des rênes par défaut de latéralisation et 5 d'équilibrage en tirant sur des rênes de longueur différente.

Les rênes (1) objet de l'invention permettent de résoudre ces problèmes.

Les poignées (3) de ces rênes (1) sont présentées comme des petits 10 poissons magiques servant à diriger la bête. De manière à faciliter leur repérage, ils sont nommés « pomme » pour la poignée gauche et « fraise » pour la poignée droite. « Pomme » est le poisson vert et « fraise » le poisson rouge. « Pomme » et « fraise » sont des bébés poissons, ils sont donc fragiles, les enfants sont ainsi sensibilisés à une manipulation délicate des poignées (3) 15 et donc des rênes (1) reliées au harnais ou au mors de la bête. Cette manipulation plus délicate aura pour conséquence une conduite plus souple de la bête.

Pour monter sur la bête, les monteurs doivent se positionner du côté 20 gauche de ladite bête, du côté de « pomme » qui est vert, car pour monter il faut sauter comme une grenouille ! Qui est verte elle aussi ! Une fois en selle, le monteur doit, de manière imagée, « repêcher ses poissons qui sont dans l'eau », il attrape ainsi facilement les poignées (3) réglées préalablement par un enseignant. 25 Ce dernier est équipé d'une chambrière, une sorte de grande cravache, et peut à distance aider les monteurs à communiquer avec leur bête respective. La chambrière étant présentée comme « une canne à pêche » prête à attraper « pomme » ou « fraise » s'ils venaient à être lâchés par le monteur. 30 2954304 -11-

La prise en main aisée des rênes (1) objet de l'invention, ainsi que le réglage précis des poignées (3) effectué par l'enseignant permet une conduite quasi instinctive de la bête. En effet, les principes de conduite de la bête sont alors extrêmement simplifiés : 5 - pour avancer, on avance les « poissons » en faisant le « dos de la tortue », - pour s'arrêter on tire sur les « poissons » en faisant le « ventre de l'ours », - pour tourner, on écarte un « poisson » pendant que l'autre reste couché 10 Rapidement les enfants et les bêtes trouvent une grande aisance dans leurs mouvements tout en souplesse. 15

Claims

Revendications1. Rênes comportant des moyens de fixation (2) au harnais de tête ou au mors d'une bête de selle ou attelée, se caractérisant par le fait que lesdites rênes sont pourvues de poignées (3) pour leur maniement.
2. Rênes selon la revendication 1 dans lesquelles chaque poignée est agencée transversalement à un axe s'étendant des moyens de fixation (2) vers la poignée (3).
3. Rênes selon l'une des revendications précédentes dans lesquelles les poignées (3) sont des poignées annulaires ou des manettes.
4. Rênes selon l'une des revendications précédentes dans lesquelles lesdites rênes sont formées de deux lanières (4) indépendantes chacune équipée d'un moyen de fixation (2) au harnais de tête ou au mors, et d'une poignée (3).
5. Rênes selon l'une des revendications 1 à 3 dans lesquelles lesdites rênes sont formées de deux lanières (4) indépendantes chacune équipée de deux brins, d'un moyen de fixation (2) au harnais, et d'une poignée (3) reliée aux deux dits brins.
6. Rênes selon l'une des revendications 1 à 3 dans lesquelles lesdites rênes sont formées d'une seule lanière (4) équipée des moyens de fixation (2) au harnais de tête ou au mors, et des poignées (3).
7. Rêne selon l'une des revendications précédentes dans lesquelles les poignées (3) sont équipées de moyens (5) pour régler leur position par rapport aux moyens de fixation (2). 2954304 -13-
8. Rênes selon la revendication 7 dans lesquelles les poignées (3) sont pourvues d'une boucle d'attache (5) coulissant sur lesdites rênes au cours du réglage. 5
9. Rênes selon l'une des revendications 7 ou 8 dans lesquelles lesdites rênes comportent des repères (6) permettant un réglage précis de la position des poignées (3).
10. Rênes selon l'une des revendications précédentes dans 10 lesquelles lesdites rênes comportent des moyens d'amortissement (7) disposés le long desdites rênes, entre les poignées (3) et les moyens de fixation (2).
11. Rênes selon la revendication 10 dans lesquelles les moyens 15 d'amortissement (7) sont des éléments élastiques fixés en deux points desdites rênes, la longueur desdites rênes séparant ces deux points étant plus grande que la longueur des éléments élastiques lorsqu'ils ne sont pas sollicités en traction. 20
12. Rênes selon l'une des revendications précédentes dans lesquelles les poignées (3) sont de couleurs différentes ou ont une forme spécifique permettant de distinguer la poignée droite de la poignée gauche.