FR2949272A1

FR2949272A1 - Assemblage d'une maquette tridimensionnelle sur un socle

Info

Publication number: FR2949272A1
Application number: FR0955726A
Authority: FR
Inventors: Jean-Yves Blaise; Iwona Dudek-Blaise
Original assignee: Centre National de la Recherche Scientifique CNRS
Current assignee: Centre National de la Recherche Scientifique CNRS
Priority date: 2009-08-21
Filing date: 2009-08-21
Publication date: 2011-02-25
Anticipated expiration: 2029-08-21
Also published as: FR2949272B1

Abstract

Assemblage d'une maquette tridimensionnelle (10) sur un socle (40) où : - la maquette tridimensionnelle (10) comprend une base (15) destinée à être disposée sur le socle (40) où ladite base (15) de maquette comprend une surface sensiblement plane sur laquelle sont disposés en relief un indicateur bidirectionnel (24) et un indicateur de référence (20) disposé sur la base (15) selon une règle d'orientation ; - le socle (40) comprend des cavités (31, 34) aptes à recevoir avec un jeu limité l'indicateur bidirectionnel (24) et l'indicateur de référence (20).

Description

ASSEMBLAGE D'UNE MAQUETTE TRIDIMENSIONNELLE SUR UN SOCLE La présente invention concerne l'assemblage d'une maquette tridimensionnelle sur un socle. On entend par maquette tridimensionnelle un modèle réduit en volume, par exemple d'un bâtiment, d'un ensemble architectural, d'un décor. L'invention trouve particulièrement des applications dans la présentation de maquettes architecturales où l'on souhaite disposer des maquettes de bâtiments sur un socle représentant par exemple un sol ou un terrain. Un exemple de maquette d'ensemble d'architecture est connu sous l'appellation plan-relief permettant de visualiser des projets ou des réalisations d'aménagements urbains. Les maquettes tridimensionnelles sont en général fixées sur un socle, sur lequel elles sont en général collées. On peut dans certains cas souhaiter que les maquettes soient amovibles, par exemple pour présenter sur un même socle des états d'un même bâtiment ou aménagement urbain à différentes périodes. Ce mode de réalisation est particulièrement intéressant pour permettre par exemple de comprendre 25 l'évolution historique d'un quartier ou d'une ville. On peut, de manière pédagogique, souhaiter faire manipuler et disposer différentes maquettes sur un même socle par des visiteurs qui peuvent ainsi prendre conscience de la composition spatiale en fonction de divers 30 paramètres, notamment en fonction du temps.

En outre, il convient d'envisager que les visiteurs peuvent être des personnes malvoyantes. Un but de la présente invention est de proposer un assemblage d'une maquette tridimensionnelle sur un socle susceptible d'être appréhendé par des personnes malvoyantes ou amblyopes. L'invention propose ainsi un assemblage d'une maquette tridimensionnelle sur un socle où : - la maquette tridimensionnelle comprend une base destinée à être disposée sur le socle où ladite base de maquette comprend une surface sensiblement plane sur laquelle sont disposés en relief un indicateur bidirectionnel et un indicateur de référence disposé sur la base selon une règle d'orientation ; - le socle comprend des cavités aptes à recevoir avec un jeu limité l'indicateur bidirectionnel et l'indicateur de référence. Grâce à la présence d'indicateurs en relief sur la base de la maquette, une personne malvoyante peut saisir la pièce et repérer par toucher la face contenant des informations susceptibles de l'aider à positionner la maquette sur le socle. La combinaison d'un indicateur bidirectionnel et d'un indicateur de référence permet de repérer l'orientation de la maquette par rapport au socle, puis de la disposer à la juste place. On entend par indicateur bidirectionnel une forme en relief par rapport à la base de la maquette qui permet de servir de référence pour la lecture tactile de l'indicateur de référence.

On entend par indicateur de référence une forme en relief par rapport à la base de la maquette qui est une caractéristique spécifique de ladite maquette et qui correspond de manière univoque à une position sur le socle. On entend par règle d'orientation une disposition entre l'indicateur de référence et l'indicateur bidirectionnel établie selon une règle géométrique. A titre d'exemple de règle d'orientation, on peut citer les configurations suivantes où l'indicateur bidirectionnel occupe une surface de la base et présente un repère géométrique par rapport auquel est disposé un repère géométrique de l'indicateur de référence, les deux repères étant distants d'une valeur donnée, ou orientés l'un par rapport à l'autre d'un angle donné. Les deux repères peuvent être de même épaisseur ou d'épaisseur différente. A titre d'exemples, les repères sont constitués par un bord de chacun des indicateurs, notamment par un bord rectiligne. On peut ainsi aisément décider de disposer ces bords l'un par rapport à l'autre selon une distance ou une orientation prédéterminée. On peut donner des formes variées à l'indicateur bidirectionnel, par exemple une forme parallélépipédique, trapézoïdale, en chevron, formés de portions de courbes non droites. La forme choisie est susceptible de constituer un repère bidirectionnel dans un plan sensiblement parallèle à la base de la maquette. On peut également donner des formes variées à l'indicateur de référence. Selon différents modes de réalisation qui peuvent être combinés entre eux selon toutes les combinaisons possibles : - l'indicateur bidirectionnel est sensiblement un 30 parallélépipède rectangle ; - l'indicateur bidirectionnel comprend des parties en creux ; il peut ainsi être simple pour un malvoyant de différencier l'indicateur bidirectionnel de l'indicateur de référence qui serait constitué d'une forme ou d'une pluralité de formes pleines ; - l'indicateur de référence est composé d'une ou d'une pluralité de parties en relief disposée selon un motif orienté par rapport à l'indicateur bidirectionnel, constituant ainsi une règle d'orientation ; cette configuration est notamment avantageuse quand on veut différencier une pluralité de maquettes tridimensionnelles destinées à être disposées sur un même socle ; il est ainsi possible de composer une pluralité d'indicateurs de référence où les parties en relief peuvent être par exemple de formes différentes, en nombre différent, disposées de manière différente sur le même motif orienté afin de permettre une identification spécifique pour chaque maquette ; selon un mode de réalisation, l'indicateur bidirectionnel est sensiblement un parallélépipède rectangle et le motif est un damier carré ou rectangulaire dont un des côtés est parallèle à un des côtés principaux du parallélépipède rectangle de l'indicateur bidirectionnel ; à titre d'exemple les parties en relief sont des cylindres pleins ; - la base de la maquette comprend en outre un ou des indicateurs de statut disposés selon une règle de disposition par rapport à ladite base de la maquette ; on entend par indicateur de statut une forme en relief par rapport à la base de la maquette qui permet de servir pour identifier une caractéristique de la maquette, indépendamment de sa position sur le socle ; à titre d'exemple, un indicateur de statut peut être relatif à une information chronologique, à une référence parmi une série de maquettes ; il va de soi que quand un indicateur de statut est prévu sur la base d'une maquette, la zone du socle appelée à recevoir cette maquette comprend des cavités aptes à recevoir avec un jeu limité la forme en relief correspondante ; on entend par règle de disposition , une disposition de l'indicateur de statut sur la base de la maquette établie selon une règle géométrique ; à titre d'exemple la règle de disposition consiste à placer les indicateurs de statut en bord de la base de la maquette, notamment au(x) coin(s) de cette base ; il est également possible de définir des règles de disposition en relation avec l'indicateur bidirectionnel et/ou avec l'indicateur de référence. L'invention vise également un dispositif de présentation de maquettes tridimensionnelles qui comprend une pluralité d'assemblages de maquettes tridimensionnelles sur un même socle où les maquettes destinées à être situées dans des endroits différents du socle comprennent des indicateurs de référence distincts. Selon différents modes de réalisation de ce dispositif de présentation, qui peuvent être combinés selon toutes les 20 combinaisons possibles : - les indicateurs bidirectionnels de chacune des maquettes ont la même forme ; - l'indicateur de référence de chaque assemblage est composé d'une ou d'une pluralité de parties en relief 25 disposée(s) selon un motif orienté par rapport à l'indicateur bidirectionnel, identique pour chaque assemblage et où les parties en relief ont toutes la même forme, par exemple une forme de cylindre plein ; - la base des maquettes comprend un ou des indicateurs 30 de statut et le dispositif de présentation comprend une pluralité de maquettes tridimensionnelles destinée à être située au même endroit du socle, et ces maquettes comprennent des indicateurs de référence identiques et des indicateurs de statut distincts. Selon un mode de réalisation de l'assemblage ou du dispositif de présentation de maquette tridimensionnelle de l'invention, la ou les maquettes représentent des éléments d'architecture. Selon un mode de réalisation, ces maquettes comprennent des indicateurs de statut relatifs à la période de construction de l'élément d'architecture correspondant ou à sa place dans une série d'éléments d'architecture correspondant à des évolutions d'un même bâtiment. D'autres particularités et avantages de la présente invention apparaîtront dans la description ci-après d'exemples de réalisation non limitatifs, en référence aux dessins annexés dans lesquels : - la figure 1 est une vue d'une pluralité de maquettes ; - la figure 2 est une vue partielle des indicateurs d'une maquette et d'un socle constituant un assemblage selon l'invention ; - les figures 3 à 5 sont des vues détaillées des indicateurs de la maquette de la figure 2 ; - la figure 6 est une vue détaillée du socle de la figure 2 ; - les figures 7 et 8 sont des vues détaillées de 25 l'assemblage de la figure 2 ; --- les figures 9 et IQ sont des vues d'une maquette et d'un socle de l'assemblage de la figure 2. Pour des raisons de clarté, les dimensions des différents éléments représentés sur ces figures ne sont pas 30 nécessairement en proportion avec leurs dimensions réelles.

Sur toutes les figures, des références identiques correspondent à des éléments identiques. La figure 1 illustre une série de maquettes 10 de bâtiments 11, 12, 13, 14 correspondant aux formes successives prises au cours du temps par un élément architectural disposé en un même lieu d'une ville. La maquette 11 correspond à la forme la plus ancienne de cette série de bâtiments, suivie dans le temps par les maquettes 12, 13, et 14. Ces maquettes peuvent être réalisées par exemple en polymère, en bois ou tout autre matériau susceptible d'être façonné aisément. Les maquettes de la figure 1 sont vues en perspective et sont destinées à être disposées sur un socle 40 représentant par exemple un quartier d'une ville.

La partie située au-dessus du niveau du socle correspond à la forme du bâtiment à présenter et à assembler avec le socle. Selon l'invention, une maquette 10 comprend une base 15 destinée à être disposée sur le socle 40, où ladite base de la maquette comprend des indicateurs disposés en relief par rapport à cette base. Les figures 2 à 10 illustrent des exemples d'indicateurs choisis pour être disposés sur la base 15 de la maquette et susceptibles de former un assemblage avec le socle 40 qui comprend des cavités aptes à recevoir avec un jeu limité les indicateurs disposés sur la base 15 de la maquette 10. L'assemblage représenté est dit polysensoriel car il permet d'exploiter conjointement ou alternativement la vue et le toucher. Il est dit univoque car il permet d'assembler une maquette ou un ensemble de maquettes sur une position spécifique et univoque sur le socle.

Selon l'exemple d'assemblage d'une maquette tridimensionnelle avec un socle, représenté sur ces figures 2 à 10, la base de la maquette comprend trois types d'indicateurs . - un indicateur bidirectionnel 24 ; - un indicateur de référence 20, constitué d'une pluralité de parties 21, 22, 23 ; - un indicateur de statut 26 constitué d'une pluralité de parties.

On représente en figure 2 une vue en perspective du socle 40 avec les parties 30, 34, 36 aptes à recevoir les différents indicateurs qui sont figurés sous la forme des parties en relief disposées sous la base 15 de la maquette sans que celle-ci ne soit représentée.

On représente en figure 3 une vue en perspective par le dessous de la maquette où l'on peut voir les indicateurs bidirectionnel et de référence disposés sous la base 15 de la maquette 10. On représente en figures 4 et 5 des vues de détail en 20 perspective de parties en relief disposées sous la base 15 de la maquette 10 sans que celle-ci ne soit représentée. On représente en figure 6 une vue en perspective d'une partie du socle 40 apte à recevoir les indicateurs bidirectionnels et de référence. 25 On représente en figure 7 une vue de détail en perspective de l'assemblage entre les parties en relief disposées sous la base 15 de la maquette et la partie du socle apte à les recevoir. On représente en figure 8 une vue en perspective vue 30 par le dessous de l'assemblage de la maquette 10 avec une partie du socle 40.

On représente en figure 9, une vue de dessus partielle du socle 40, sur lequel on a disposé une maquette 10 retournée afin de faire apparaitre en vue de dessus les indicateurs bidirectionnel 24, de référence 20, de statut 26, ainsi que les cavités dans le socle, aptes à les recevoir, respectivement 34, 30, 36. On note que selon la représentation de la figure 9, un second emplacement pour une seconde maquette (non représentée) est prévu à gauche de l'emplacement prévu dans le socle de la maquette 10. On représente en figure 10 un vue détaillée de ce même assemblage où la maquette 10 et placée sur un de ses cotés, et où apparaissent en perspective les indicateurs bidirectionnel 24, de référence 20, de statut 26, ainsi que les cavités dans le socle, aptes à les recevoir, respectivement 34, 30, 36. L'indicateur bidirectionnel L'indicateur bidirectionnel 24 est un parallélépipède rectangle de longueur L, de largeur 1 et de hauteur h, où selon l'exemple représenté L égale 3a, t égale a/2 et h égale a/2. Il comprend deux parties 25 en creux, sous forme de rainures en V sur sa largeur, où la pointe du V est disposée à a et 2a d'un bord perpendiculaire à la longueur. La profondeur du V égale 3a/16 et la plus grande largeur de ces rainures égale 5 a/16.

Selon un mode de réalisation, l'indicateur bidirectionnel 24 est le même pour l'ensemble des maquettes d'une même série, et pour l'ensemble des séries de maquettes si plusieurs maquettes sont prévues pour être disposées sur un même socle. Il sert, notamment pour une personne malvoyante de repère pour indiquer un sens de lecture de l'indicateur de référence. Son repérage est facilité par la présence des parties en creux 25.

L'indicateur de référence 20 occupe une position que l'on définit comme située derrière l'indicateur bidirectionnel 24. Selon l'exemple représenté, les informations relatives à l'indicateur bidirectionnel sont portées par la présence et la disposition de parties en relief 21 ayant la forme de cylindres pleins. Le nombre et la disposition de ces parties en relief est défini pour être un moyen d'identification tactile univoque d'une maquette, ou d'une pluralité de maquettes d'une même série destinées à être assemblées au socle en un même endroit. Il va de soi que des maquettes destinées à être assemblées au socle en des endroits différents ont des indicateurs de référence qui diffèrent, notamment par le nombre et/ou la disposition des parties en relief.

Selon le mode de réalisation représenté, l'indicateur de référence 20 occupe une surface carrée de 3a x 3a dont un côté est disposé parallèlement à un bord longitudinal de l'indicateur bidirectionnel à une distance de a/4. Ce carré apparaît en figure 3 comme délimité par les bords externes des formes plates 22 et les pointillés qui les rejoignent. Ce carré constitue un motif orienté formant une trame en damier de neuf carrés de a x a. Selon la référence choisie, on dispose ou pas un cylindre 21 dans un carré, où l'axe de ce cylindre passe par le centre dudit carré. Dans l'exemple représenté, le diamètre d'un cylindre 21 égale 5a/8 et sa hauteur égale a/2. Il est ainsi possible de donner une référence différente à un très grand nombre de maquettes qu'il est aisé de différencier par le toucher. Dans le mode de réalisation illustré, des parties 22, 23 en forme de méplats, en légère saillie, sont disposées dans les carrés dépourvus de cylindre 21. Selon cet exemple, la partie 22 occupe un carré et la partie 23 occupe cinq carrés. L'épaisseur de ces parties est de a/8.

Il est ainsi plus facile de délimiter la zone de l'indicateur de référence où une personne malvoyante cherche à localiser les parties en relief de forme cylindrique 21 en vue d'identifier une maquette par toucher. Ainsi, une personne malvoyante va sentir par toucher la surface de la base d'une maquette, distinguer l'indicateur bidirectionnel de l'indicateur de référence grâce à la connaissance de leur règle d'orientation, identifier la référence de la maquette et chercher à localiser puis à positionner la partie du socle apte à la recevoir. Dans l'exemple représenté, le socle 40 comprend une zone 30 apte à recevoir avec un jeu limité l'indicateur de référence 20 et une zone 34 apte à recevoir avec un jeu limité l'indicateur bidirectionnel 24. Les zones carrées (de dimensions a x a) autour des cavités cylindriques 31 sont en léger relief par rapport au socle afin de faciliter l'identification pour une personne malvoyante. Ces cavités cylindriques 31 sont aptes à recevoir les parties en relief de forme cylindrique 21. Le diamètre de ces cavités cylindriques 31 est légèrement supérieur à celui des cylindres pleins 21 et égale 5a/8 + 2 A, où A vaut a/16. Leur profondeur vaut 5a/8. Les zones 32 et 33 sont respectivement aptes à 25 recevoir les parties 22 et 23 de l'indicateur de référence. La zone 34 apte à recevoir l'indicateur bidirectionnel 24 est une cavité parallélépipédique rectangle de longueur égale à 3a, de largeur égale à a et de profondeur égale à a/2.

30 L'exemple de maquettes représenté comprend également un indicateur de statut sous la forme de plots 26 disposés à des coins de la base 15 de maquette. Dans cet exemple, le nombre de plots 26 indique la position de la maquette dans une série en fonction des états successifs de construction. Il convient de noter que l'invention ne se limite pas aux modes de réalisation exemplifiés et doit être interprétée de façon non limitative, et englobant tout mode de réalisation équivalent. A titre d'exemple les indicateurs bidirectionnel, de référence et de statut peuvent prendre de nombreuses formes, différentes de celles exemplifiées.10

Claims

REVENDICATIONS1. Assemblage d'une maquette tridimensionnelle (10) 5 sur un socle (40) caractérisé en ce que : - la maquette tridimensionnelle (10) comprend une base (15) destinée à être disposée sur le socle (40) où ladite base (15) de maquette comprend une surface sensiblement plane sur laquelle sont disposés en relief un indicateur 10 bidirectionnel (24) et un indicateur de référence (20) disposé sur la base (15) selon une règle d'orientation ; - le socle (40) comprend des cavités (31, 34) aptes à recevoir avec un jeu limité l'indicateur bidirectionnel (24) et l'indicateur de référence (20). 15
2. Assemblage selon la revendication précédente caractérisé en ce que l'indicateur bidirectionnel (24) est sensiblement un parallélépipède rectangle.
3. Assemblage selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que 20 l'indicateur bidirectionnel (24) comprend des parties en creux (25).
4. Assemblage selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que l'indicateur de référence (20) est composé d'une ou d'une 25 pluralité de parties en relief (21) disposée selon un motif orienté par rapport à l'indicateur bidirectionnel (24), constituant ainsi une règle d'orientation.
5. Assemblage selon la revendication précédente combinée à la revendication 2 caractérisé en ce que le 30 motif est un damier carré (3a x 3a) ou rectangulaire dontun des côtés est parallèle à un des côtés principaux du parallélépipède rectangle de l'indicateur bidirectionnel.
6. Assemblage selon l'une quelconque des revendications 4 ou 5 caractérisé en ce que les parties en 5 relief (21) sont des cylindres pleins.
7. Assemblage selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la base (15) de la maquette comprend en outre un ou des indicateurs de statut (26) disposés selon une règle de disposition par 10 rapport à ladite base de la maquette.
8. Assemblage selon la revendication précédente caractérisé en ce que la règle de disposition consiste à placer les indicateurs de statut (26) en bord de la base de la maquette, notamment au(x) coin(s) de cette base. 15
9. Dispositif de présentation de maquettes tridimensionnelles caractérisé en ce qu'il comprend une pluralité d'assemblages de maquettes tridimensionnelles (10, 11, 12, 13, 14) sur un même socle (40) où les maquettes destinées à être situées dans des endroits 20 différents du socle (40) comprennent des indicateurs de référence (20) distincts.
10. Dispositif selon la revendication précédente, caractérisé en ce que les indicateurs bidirectionnels (24) de chacune des maquettes ont la même forme. 25
11. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 9 à 10 caractérisé en ce que les assemblages comprennent les caractéristiques d'une des revendications 4 à 6 où le motif est identique pour chaque assemblage et où les parties en relief (21) ont toutes la même forme. 30
12. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 9 à 11, caractérisé en ce que lesassemblages comprennent les caractéristiques de la revendication 7 ou de la revendication 8 et où une pluralité de maquettes tridimensionnelles est destinée à être située au même endroit du socle (40), et ces maquettes comprennent des indicateurs de référence (20) identiques et des indicateurs de statuts (26) distincts.
13. Assemblage d'une maquette tridimensionnelle (10) sur un socle (40) selon l'une quelconque des revendications 1 à 8 ou dispositif de présentation de maquette tridimensionnelle selon l'une quelconque des revendications 9 à 12 caractérisé en ce que la (ou les) maquette(s) (10) représente(nt) un (des) élément(s) d'architecture.
14. Assemblage ou dispositif selon la revendication précédente caractérisé en ce que les maquettes tridimensionnelles comprennent des indicateurs de statut (26) relatifs à la période de construction de l'élément d'architecture correspondant ou à sa place dans une série d'éléments d'architecture correspondant à des évolutions d'un même bâtiment.20