FR2947518A1

FR2947518A1 - Dispositif de controle de l'acces a un equipement implante dans une zone encombree d'un vehicule

Info

Publication number: FR2947518A1
Application number: FR0954523A
Authority: FR
Inventors: Celine Manent
Original assignee: Peugeot Citroen Automobiles SA
Current assignee: PSA Automobiles SA
Priority date: 2009-07-01
Filing date: 2009-07-01
Publication date: 2011-01-07

Abstract

Un dispositif (D) est dédié au contrôle de l'accès à une partie (BN) d'au moins un premier équipement (BO) qui est logé dans une zone (CM) d'un véhicule (V) et dont l'accès est rendu difficile par la présence d'au moins un second équipement (BA). Ce dispositif (D) comprend, d'une part, une embase (EM) propre à être solidarisée fixement à la structure du véhicule (V) sous au moins le second équipement (BA) et munie de premiers moyens de déplacement, et ii) un support (S) propre à recevoir et à maintenir fixement au moins le second équipement (BA) et muni de seconds moyens de déplacement agencés pour coopérer avec les premiers moyens de déplacement afin de déplacer le support (S) par rapport à l'embase (EM) et ainsi changer la position du second équipement (BA) pour faciliter l'accès à la partie (BN) du premier équipement (BO).

Description

DISPOSITIF DE CONTRÔLE DE L'ACCÈS À UN ÉQUIPEMENT IMPLANTÉ DANS UNE ZONE ENCOMBRÉE D'UN VÉHICULE L'invention concerne les véhicules, éventuellement de type automobile, et plus précisément le contrôle de l'accès à un équipement qui est logé dans une zone encombrée d'un véhicule. Comme le sait l'homme de l'art, certaines zones de certains véhicules sont parfois très encombrées, si bien qu'il devient difficile d'accéder à certains Zo équipements qui s'y trouvent implantés. C'est par exemple et non limitativement le cas de certains blocs optiques qui sont implantés dans les compartiments moteur des véhicules automobiles. En effet, la partie arrière de ces blocs optiques (logée dans le compartiment moteur et comprenant une trappe d'accès (ou bonnette )) 15 est parfois située à proximité immédiate d'au moins un autre équipement comme par exemple une batterie et/ou un filtre à air et/ou un dispositif de gestion électronique de l'allumage et de l'extinction du moteur et/ou une butée de capot. Il devient alors (très) difficile d'accéder à la trappe d'accès lorsque l'on veut remplacer une source de lumière qui est située derrière elle (comme 20 par exemple une ampoule). Dans certains cas, on peut être contraint de démonter le pare-choc (ou bouclier) avant, puis le bloc optique concerné afin de pouvoir remplacer une source de lumière qu'il contient. Or, non seulement cela nécessite l'intervention d'un technicien spécialisé, mais encore cela entraîne une 25 importante perte de temps. En outre, cela peut être contraire à certaines réglementations nationales ou internationales qui imposent un libre accès rapide. L'invention a pour but d'améliorer la situation. Elle propose à cet effet un dispositif, dédié au contrôle de l'accès à 30 une partie d'au moins un premier équipement qui est logé dans une zone d'un véhicule, éventuellement de type automobile, et dont l'accès est rendu difficile par la présence d'au moins un second équipement, et comprenant : - une embase propre à être solidarisée fixement à la structure du véhicule automobile sous au moins le second équipement et munie de premiers moyens de déplacement, et - un support propre à recevoir et à maintenir fixement au moins le second équipement et muni de seconds moyens de déplacement agencés pour coopérer avec les premiers moyens de déplacement afin de déplacer le support par rapport à l'embase et ainsi changer la position du second équipement pour faciliter l'accès à la partie du premier équipement. Le dispositif de contrôle d'accès selon l'invention peut comporter 1 o d'autres caractéristiques qui peuvent être prises séparément ou en combinaison, et notamment : - il peut comprendre des moyens de verrouillage agencés de manière à prendre une première position, dans laquelle ils solidarisent fixement le support par rapport à l'embase, et une seconde position, dans laquelle ils 15 autorisent le déplacement du support par rapport à l'embase ; - les moyens de verrouillage peuvent comprendre i) une lame flexible qui comporte une première extrémité, solidarisée fixement au support, une seconde extrémité, libre et propre à être entraînée manuellement entre une position rabattue et une position redressée, et une partie 20 intermédiaire, munie sur une face inférieure d'un cran (ou protubérance) de verrouillage, et ii) un logement défini dans l'embase et agencé de manière à loger le cran de verrouillage lorsque la lame flexible est placée dans sa position rabattue correspondant à la première position ; - ses premiers moyens de déplacement peuvent être des premiers moyens 25 de coulissement définis sur l'embase, et ses seconds moyens de déplacement peuvent être des seconds moyens de coulissement agencés pour coopérer avec les premiers moyens de coulissement afin de permettre le coulissement du support par rapport à l'embase suivant une direction choisie, en vue de faciliter l'accès à la partie du premier 30 équipement ; - les premiers moyens de coulissement peuvent comprendre deux rainures parallèles entre elles et à la direction choisie, et les seconds moyens de coulissement peuvent comprendre deux nervures parallèles entre elles et à la direction choisie et agencées de manière à être logées respectivement dans les rainures de manière à pouvoir coulisser dedans ; - dans une première variante, les premiers moyens de coulissement peuvent comprendre deux nervures parallèles entre elles et à la direction choisie, et les seconds moyens de coulissement peuvent comprendre deux rainures parallèles entre elles et à la direction choisie et agencées de manière à loger à coulissement respectivement les nervures ; - dans une deuxième variante, les premiers moyens de coulissement peuvent comprendre une rainure définie dans une partie centrale de l'embase parallèlement à la direction choisie, et les seconds moyens de coulissement peuvent comprendre une nervure définie dans une partie centrale du support parallèlement à la direction choisie et agencée de manière à être logée dans la rainure de manière à pouvoir coulisser dedans ; - dans une troisième variante, les premiers moyens de coulissement peuvent comprendre une nervure définie dans une partie centrale de l'embase parallèlement à la direction choisie, et les seconds moyens de coulissement peuvent comprendre une rainure définie dans une partie centrale du support parallèlement à la direction choisie et agencée de manière à loger à coulissement la nervure ; - chaque rainure et chaque nervure correspondante peuvent être rectilignes ou bien curvilignes ; - le support peut être propre à recevoir au moins un second équipement qui est choisi parmi (au moins) une batterie, un filtre à air et un dispositif de gestion électronique de l'allumage et de l'extinction du moteur ; - il peut être agencé pour contrôler l'accès à une partie d'au moins un premier équipement qui constitue un bloc optique.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à l'examen de la description détaillée ci-après, et des dessins annexés, sur lesquels : - la figure 1 illustre schématiquement, dans une vue du dessus, une partie d'un compartiment moteur de véhicule automobile équipé d'un dispositif de contrôle d'accès selon l'invention, - la figure 2 illustre schématiquement, dans une vue en perspective, un premier exemple de réalisation de dispositif de contrôle d'accès selon l'invention, avant sa solidarisation à la structure d'un véhicule et à une batterie de ce dernier, - la figure 3 illustre schématiquement, dans une vue en coupe selon l'axe III-III de la figure 2, le dispositif de contrôle d'accès de la figure 2, une fois solidarisé à la structure d'un véhicule et à une batterie de ce dernier, - la figure 4 illustre schématiquement, dans une vue en coupe selon un axe similaire à l'axe III-III de la figure 2, un second exemple de réalisation de dispositif de contrôle d'accès selon l'invention, une fois solidarisé à la structure d'un véhicule et à une batterie de ce dernier, - la figure 5 illustre schématiquement, dans une vue en coupe selon l'axe V- V de la figure 2, les moyens de verrouillage du dispositif de contrôle d'accès de la figure 2, placés dans leur première position (de verrouillage), et - la figure 6 illustre schématiquement, dans une vue en coupe selon l'axe V- V de la figure 2, les moyens de verrouillage du dispositif de contrôle d'accès de la figure 2, placés dans leur seconde position (de déverrouillage). Les dessins annexés pourront non seulement servir à compléter l'invention, mais aussi contribuer à sa définition, le cas échéant.

L'invention a pour but d'offrir un dispositif (D) permettant de contrôler l'accès à une partie (BN) d'au moins un premier équipement (BO) qui est logé dans une zone (CM) d'un véhicule (V), éventuellement de type automobile, et dont l'accès est rendu difficile par la présence d'au moins un second équipement (BA, FA).

Dans ce qui suit, on considère, à titre d'exemple non limitatif, que le véhicule est de type automobile, comme par exemple une voiture. Mais, l'invention n'est pas limitée à ce type de véhicule. Elle concerne en effet tout type de véhicule comportant au moins une zone où se trouve implanté au moins un premier équipement dont l'accès est rendu (très) difficile par la présence d'au moins un second équipement voisin. Par ailleurs, et comme illustré sur la figure 1, on considère dans ce qui suit, à titre d'exemple non limitatif, que la zone CM du véhicule V est le compartiment moteur, que le premier équipement est un bloc optique BO de type projecteur (ou phare avant), et que le second équipement est une batterie BA. Mais, l'invention n'est pas limitée à cet exemple d'application. Comme indiqué ci-avant, on a schématiquement représenté sur la figure 1 un exemple de compartiment moteur CM de véhicule automobile V (ici une voiture). Un tel compartiment moteur CM comprend notamment un moteur MV, deux blocs optiques (ou projecteurs ou encore phares avant) BO, une batterie BA et un filtre à air FA. Chaque bloc optique BO (ou premier équipement) comprend une partie avant qui est orientée vers l'extérieur et une partie arrière (orientée vers le compartiment moteur CM) et comportant une trappe d'accès (ou bonnette )) BN amovible de manière à permettre l'accès à la partie interne en vue du remplacement d'au moins une source de lumière (comme par exemple une ampoule ou des diodes électroluminescentes).

Dans l'exemple non limitatif illustré, une partie de la batterie BA se trouve située à proximité immédiate de la trappe d'accès (ou bonnette) BN, et donc rend difficile, voire impossible, le libre accès à cette dernière (BN). Afin de permettre ce libre accès, l'invention propose d'implanter un dispositif de contrôle d'accès D dans le compartiment moteur CM, au moins sous la batterie BA (ou second équipement). Plus précisément, et comme illustré non limitativement sur les figures 2 à 4, un dispositif de contrôle d'accès D, selon l'invention, comprend au moins une embase EM et un support S. L'embase EM est une pièce qui est destinée à être solidarisée fixement à la structure (ou caisse) SV du véhicule V sous au moins un second équipement BA. En fait, dans l'exemple de réalisation qui est illustré sur la figure 1, l'embase EM est située à la fois sous la batterie BA et sous le filtre à air FA, car ce dernier est situé très près de la batterie BA et par conséquent limite fortement ses possibilités de déplacement. Comme illustré sur les figures 3 et 4, la solidarisation de l'embase EM à la structure SV peut par exemple se faire au moyen de vis VS dont les extrémités filetées sont introduites au travers de trous traversants TT (ici au nombre de trois, non limitativement) définis dans l'embase EM et dans le support S et vissées dans des filetages internes de la structure (ou caisse) SV. Cette embase EM est en outre munie de premiers moyens de déplacement MC1 dont on comprendra l'utilité plus loin. Le support S est une autre pièce qui est destinée à recevoir et à maintenir fixement au moins le second équipement (en fait ici à la fois la batterie BA et le filtre à air FA). Comme illustré non limitativement sur les figures 2 à 4, ce maintien peut par exemple se faire au moyen de pattes de fixation (ou clips) PF qui sont définis sur la surface supérieure du support S (laquelle est opposée à l'embase EM). De telles pattes de fixation PF (ici au nombre de trois, non limitativement) sont de préférence rigides tout en étant légèrement flexibles pour faciliter l'installation de chaque second équipement BA, FA. Ce support S est en outre muni de seconds moyens de déplacement MC2 qui sont agencés de manière à coopérer avec les premiers moyens de déplacement MC1 pour permettre le déplacement du support S par rapport à l'embase EM (et donc par rapport au bloc optique BO) et ainsi changer la position de chaque second équipement BA, FA pour faciliter l'accès à la partie BN (ici une trappe d'accès) du bloc optique BO. Il est important de noter que tout type de déplacement peut être ici envisagé. Il pourra notamment s'agir d'une simple translation (rectiligne ou curviligne), ou d'une simple rotation, ou encore d'une combinaison de translation(s) et de rotation(s). On considère dans ce qui suit, à titre d'exemple non limitatif, que le déplacement est une simple translation rectiligne (suivant la direction qui est matérialisée par la flèche à double sens F sur la figure 1). Dans ce cas, les premiers moyens de déplacement MC1 sont agencés sous la forme de premiers moyens de coulissement qui sont définis sur l'embase EM, et les seconds moyens de déplacement MC2 sont agencés sous la forme de seconds moyens de coulissement qui sont définis sur le support S. On comprendra que les premiers MC1 et seconds MC2 moyens de coulissement sont agencés de manière à coopérer ensemble pour permettre le coulissement (ici rectiligne) du support S par rapport à l'embase EM suivant la direction choisie F, en vue de faciliter l'accès à la trappe d'accès BN du bloc optique BO. On comprendra qu'en position de fonctionnement du véhicule V (illustrée sur la figure 1), une partie de la batterie BA est située à proximité immédiate de la trappe d'accès BN, et lorsqu'une personne souhaite accéder à l'intérieur du bloc optique BO, elle déplace manuellement le support S (ici vers la droite suivant la flèche F) afin d'écarter la batterie BA (et le filtre à air FA) de la trappe d'accès BN pour accéder librement à cette dernière. Puis, une fois l'intervention terminée à l'intérieur du bloc optique BO, la personne referme la trappe d'accès BN puis déplace manuellement le support S (ici vers la gauche suivant la flèche F) afin de replacer la batterie BA (et le filtre à air FA) dans sa (leur) position d'origine (c'est-à-dire à proximité immédiate de la trappe d'accès BN). Plusieurs modes de réalisation peuvent être envisagés pour les premiers MC1 et seconds MC2 moyens de coulissement.

Ainsi, dans un premier mode de réalisation, illustré sur les figures 2 et 3, les premiers moyens de coulissement MC1 comprennent une unique rainure qui est définie dans une partie centrale de l'embase EM parallèlement à la direction choisie F, et les seconds moyens de coulissement MC2 comprennent une unique nervure qui est définie dans une partie centrale du support S, parallèlement à la direction choisie F et dont la forme est homologue à celle de la rainure MC1 de manière à être logée à coulissement dans cette dernière (MC1). Comme illustré, la rainure centrale MC1 peut comporter deux sous-rainures latérales opposées destinées à recevoir à coulissement deux sous- nervures latérales opposées de la nervure centrale MC2. Bien entendu la rainure centrale MC1 et la nervure centrale MC2 peuvent présenter d'autres formes coopérantes, comme par exemple des formes en queue d'aronde . Dans un deuxième mode de réalisation, non illustré, les premiers moyens de coulissement MC1 comprennent une unique nervure qui est définie dans une partie centrale de l'embase EM parallèlement à la direction choisie F, et les seconds moyens de coulissement MC2 comprennent une unique rainure qui est définie dans une partie centrale du support S, parallèlement à la direction choisie F et dont la forme est homologue à celle de la nervure MC1 de manière à la loger et à pouvoir coulisser par rapport à elle (MC1). Dans un troisième mode de réalisation, illustré sur la figure 4, les premiers moyens de coulissement MC1 comprennent deux rainures qui sont définies dans deux parties latérales de l'embase EM et parallèles entre elles et à la direction choisie F, et les seconds moyens de coulissement MC2 comprennent deux nervures qui sont définies dans deux parties latérales du support S et parallèles entre elles et à la direction choisie F et dont les formes sont homologues à celles des rainures latérales MC1 de manière à être logées à coulissement dans ces dernières (MC1). Dans un quatrième mode de réalisation, non illustré, les premiers moyens de coulissement MC1 comprennent deux nervures qui sont définies dans deux parties latérales de l'embase EM et parallèles entre elles et à la direction choisie F, et les seconds moyens de coulissement MC2 comprennent deux rainures qui sont définies dans deux parties latérales du support S et parallèles entre elles et à la direction choisie F et dont les formes sont homologues à celles des nervures latérales MC1 de manière à les loger et à pouvoir coulisser par rapport à elles (MC1). On notera que dans les exemples de réalisation décrits ci-avant et pour certains illustrés, les premiers MC1 et seconds MC2 moyens de déplacement sont adaptés à des translations rectilignes. Par conséquent, les nervure(s) et rainure(s) sont rectilignes. Mais, elles pourraient être curvilignes dans le cas d'un déplacement curvilignes. On notera également, comme illustré non limitativement sur les figures 2, 5 et 6, que le dispositif D peut avantageusement comprendre des moyens de verrouillage MV destinés à verrouiller (en fonctionnement) le support S à l'embase EM, pour éviter qu'il ne se déplace tout seul lors du roulage du véhicule V. Plus précisément, ces moyens de verrouillage MV sont agencés de manière à prendre une première position, dans laquelle ils solidarisent fixement le support S par rapport à l'embase EM (voir figure 5), et une seconde position, dans laquelle ils autorisent le déplacement du support S par rapport à l'embase EM (voir figure 6).

Par exemple, et comme illustré non limitativement sur les figures 2, 5 et 6, les moyens de verrouillage MV peuvent comprendre une lame flexible LF solidarisée au support S et un logement LV défini dans l'embase EM. La lame flexible LF comprend par exemple une première extrémité El qui est solidarisée fixement au support S, une seconde extrémité E2 qui est libre et propre à être entraînée manuellement entre une position rabattue et une position redressée, et une partie intermédiaire PI reliant les première El et seconde E2 extrémités et munie sur une face inférieure (orientée vers l'embase EM), d'un cran (ou protubérance) de verrouillage CV destiné à être logé dans le logement LV lorsque la lame flexible LM est placée dans sa position rabattue illustrée sur les figures 2 et 5 et correspondant à la première position des moyens de verrouillage MV. On comprendra que lorsque le dispositif D comprend les moyens de verrouillage MV décrits ci-avant et qu'une personne souhaite accéder à l'intérieur du bloc optique BO, elle doit tout d'abord déverrouiller le support S afin de pouvoir le déplacer manuellement (ici vers la droite suivant la flèche F) par rapport à l'embase EM. Pour ce faire, la personne doit tirer la seconde extrémité E2 de la lame flexible LF vers le haut, afin de la redresser et ainsi de dégager le cran de verrouillage CV de son logement LV, puis elle doit déplacer manuellement le support S vers la droite. Une fois l'intervention terminée à l'intérieur du bloc optique BO, la personne referme la trappe d'accès BN puis déplace manuellement le support S (ici vers la gauche suivant la flèche F) jusqu'à ce que le cran de verrouillage CV soit de nouveau logé dans son logement LV (et donc que la lame flexible LF soit en position rabattue et que par conséquent le support S soit de nouveau verrouillé par rapport à l'embase EM). Bien entendu, d'autres moyens de verrouillage peuvent être envisagés, et notamment des vis ou des moyens électromécaniques ou magnétiques ou encore électromagnétiques.

Zo L'invention ne se limite pas aux modes de réalisation de dispositif de contrôle d'accès décrits ci-avant, seulement à titre d'exemple, mais elle englobe toutes les variantes que pourra envisager l'homme de l'art dans le cadre des revendications ci-après.

Claims

REVENDICATIONS1. Dispositif (D) de contrôle d'accès à une partie (BN) d'au moins un premier équipement (BO) logé dans une zone (CM) d'un véhicule (V) et dont l'accès est rendu difficile par la présence d'au moins un second équipement (BA), caractérisé en ce qu'il comprend i) une embase (EM) propre à être solidarisée fixement à la structure dudit véhicule (V) sous au moins ledit second équipement (BA) et munie de premiers moyens de déplacement (MC1), et ii) un support (S) propre à recevoir et à maintenir fixement au moins ledit second équipement (BA) et muni de seconds moyens de déplacement (MC2) agencés pour coopérer avec lesdits premiers moyens de déplacement (MC1) afin de déplacer ledit support (S) par rapport à ladite embase (EM) et ainsi changer la position dudit second équipement (BA) pour faciliter l'accès à ladite partie (BN) du premier équipement (BO).
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens de verrouillage (MV) agencés de manière à prendre une première position, dans laquelle ils solidarisent fixement ledit support (S) par rapport à ladite embase (EM), et une seconde position, dans laquelle ils autorisent le déplacement dudit support (S) par rapport à ladite embase (EM).
3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que lesdits moyens de verrouillage (MV) comprennent i) une lame flexible (LF) comportant une première extrémité (El), solidarisée fixement audit support (S), une seconde extrémité (E2), libre et propre à être entraînée manuellement entre une position rabattue et une position redressée, et une partie intermédiaire (PI), munie sur une face inférieure d'un cran de verrouillage (CV), et ii) un logement (LV) défini dans ladite embase (EM) et agencé de manière à loger ledit cran de verrouillage (CV) lorsque ladite lame flexible (LM) est placée dans sa position rabattue correspondant à ladite première position.
4. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que lesdits premiers moyens de déplacement (MC1) sont des premiers moyens de coulissement définis sur ladite embase (EM), et lesdits seconds moyensde déplacement (MC2) sont des seconds moyens de coulissement agencés pour coopérer avec lesdits premiers moyens de coulissement (MC1) afin de permettre le coulissement dudit support (S) par rapport à ladite embase (EM) suivant une direction choisie, en vue de faciliter l'accès à ladite partie (BN) du premier équipement (BO).
5. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que lesdits premiers moyens de coulissement (MC1) comprennent deux rainures parallèles entre elles et à ladite direction choisie, et lesdits seconds moyens de coulissement (MC2) comprennent deux nervures parallèles entre elles et à ladite direction choisie et agencées de manière à être logées respectivement dans lesdites rainures (MC1) de manière à pouvoir coulisser dedans.
6. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que lesdits premiers moyens de coulissement (MC1) comprennent deux nervures parallèles entre elles et à ladite direction choisie, et lesdits seconds moyens de coulissement (MC2) comprennent deux rainures parallèles entre elles et à ladite direction choisie et agencées de manière à loger à coulissement respectivement lesdites nervures (MC1).
7. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que lesdits premiers moyens de coulissement (MC1) comprennent une rainure définie dans une partie centrale de ladite embase (EM) parallèlement à ladite direction choisie, et lesdits seconds moyens de coulissement (MC2) comprennent une nervure définie dans une partie centrale dudit support (S) parallèlement à ladite direction choisie et agencée de manière à être logée dans ladite rainure (MC1) de manière à pouvoir coulisser dedans.
8. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que lesdits premiers moyens de coulissement (MC1) comprennent une nervure définie dans une partie centrale de ladite embase (EM) parallèlement à ladite direction choisie, et lesdits seconds moyens de coulissement (MC2) comprennent une rainure définie dans une partie centrale dudit support (S) parallèlement à ladite direction choisie et agencée de manière à loger à coulissement ladite nervure (MC1).
9. Dispositif selon l'une des revendications 5 à 8, caractérisé en ce que chaque rainure (MC1 ; MC2) et chaque nervure (MC2 ; MC1) correspondantesont rectilignes.
10. Dispositif selon l'une des revendications 5 à 8, caractérisé en ce que chaque rainure (MC1 ; MC2) et chaque nervure (MC2 ; MC1) correspondante sont curvilignes.
11. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 10, caractérisé en ce que ledit support (S) est propre à recevoir au moins un second équipement (BA) choisi dans un groupe comprenant au moins une batterie, un filtre à air et un dispositif de gestion électronique de l'allumage et de l'extinction du moteur.
12. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 11, caractérisé en ce qu'il est agencé pour contrôler l'accès à une partie (BN) d'au moins un premier équipement (BO) constituant un bloc optique.