FR2887120A1 - Toile et son utilisation dans un dispositif pour deposer ou prendre des objets, notamment dans un four de boulangerie - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif de maintien d'une toile et la toile utilisée avec le dispositif.Le dispositif de maintien de la toile longitudinale et de réglage de sa longueur par ses extrémités libres, ladite toile étant destinée à passer sur et sous un châssis, caractérisé en ce qu'il comprend :un profilé 20 dont l'axe est perpendiculaire à l'axe XX longitudinal de la toile, ledit profilé étant mobile en rotation autour de son axe XX et solidaire de la première extrémité libre 11 de la toile, le réglage de la longueur se faisant par rotation dudit profilé 20 autour de son axe ; etun moyen de maintien 21, 22 de la deuxième extrémité libre de la toile avec ladite première extrémité libre après réglage de ladite longueur.Application en boulangerie.

Description

TOILE ET SON UTILISATION DANS UN DISPOSITIF POUR DEPOSER

OU PRENDRE DES OBJETS, NOTAMMENT DANS UN FOUR DE

BOULANGERIE

La présente invention concerne une toile pour l'utilisation dans un four de boulangerie comme tapis enfourneur et un système pour son blocage. Elle s'applique de la même façon à tout dispositif fonctionnant sur le même principe.

On connaît des enfourneurs utilisés en boulangerie pour introduire de la pâte à pain dans un four et pour retirer le pain après cuisson. Ces enfourneurs sont constitués d'un châssis mobile entouré d'une toile se bloquant en un point fixe pour déposer et prendre les pains. La toile doit être fixée sur le châssis pour pouvoir être entraînée en rotation par celui- ci. A cet effet, on bloque la toile dans un cran grâce à une barre qui traverse la toile et en est solidaire. Cet accrochage est souvent bilatéral avec une barre plus longue que la largeur de la toile. La barre peut être introduite dans un fourreau réalisé à une extrémité de la toile. On peut fermer la toile de plusieurs manières.

Sur la figure 1, on a représenté schématiquement le premier type de fermeture de la toile, ce type de fermeture étant connu par l'homme du métier et faisant partie de la technique antérieure.

La toile 1 est une bande de tissu longitudinale en matière naturelle ou synthétique de qualité alimentaire, par exemple de la laine ou du coton.

Ses bords longitudinaux peuvent être fermés par des ourlets comportant une couture 2. Une extrémité de la bande 1 comporte un fourreau 3 fermé par une ou deux coutures 4. Ce fourreau 3 est destiné à réceptionner une barre plate 5 dont la longueur est supérieure à la largeur de la bande 1. Les extrémités de la barre plate 5 viennent d'enclencher dans un cran en dehors du châssis (non représenté) sur lequel la toile est posée.

Pour relier les deux extrémités de la toile 1, selon un type de fermeture connu, on prévoit une première série d'oeillets 6 placée le long d'un bord transversal de la toile, parallèle à celui-ci, et une seconde série d'oeillets 7 placée le long du bord transversal opposé de la toile, parallèle à celui-ci. Les oeillets sont en principe en une matière métallique. On fait ensuite passer un lacet 8 dans les oeillets, de manière à réunir les extrémités de la toile pour former une toile sans fin qui peut être entraînée en rotation par le châssis grâce à la barre 5 bloquée à l'extérieur du châssis.

Un tel dispositif présente de nombreux inconvénients: Les oeillets métalliques, les ourlets, ainsi que le lacet forment un relief au-dessus de la toile et donc des points plus durs que la toile, ce qui gêne le mouvement en rotation de la toile et rend sa manipulation plus difficile; Il existe des risques importants de rupture du lacet et d'arrachage des oeillets sur lesquels se concentrent les efforts; Il est difficile de maintenir la toile plane dans la zone de laçage, car elle a tendance à se plisser entre les oeillets; La barre et le lacet occupent une partie du châssis d'environ 150 à 250 mm et donc une longueur de châssis est perdue; Enfin la manipulation de la toile est faite par le côté pour sa fixation, de qui est moins confortable qu'une traction centrale arrière.

La longueur de la toile doit être définie avec une tolérance de l'ordre de + 0 à 15 cm. Ce dernier inconvénient est particulièrement gênant. En effet, la toile doit être périodiquement changée, car elle s'use. Or, les systèmes de châssis pour tapis enfourneurs ont une multiplicité de formes et de dimensions. L'utilisateur de ce dispositif doit donc fournir des cotes précises, ou un réparateur doit se déplacer pour relever les dimensions puis pour changer la toile. Il en résulte une perte de temps et un coût non négligeable.

Un second type connu de fermeture de la toile comprend une barre plate double, une des moitiés de barre comprend une série de vis qui coopèrent avec des oeillets correspondants formés dans la toile. Pour adapter la longueur et la tension de la toile aux variations de dimensions du tissu et aux imprécisions de fabrication de la toile, on prévoit plusieurs rangées d'oeillets.

Ce second dispositif de fermeture de la toile présente également de nombreux inconvénients: Du fait de la présence des oeillets, le mouvement de la toile présente des points durs à l'enroulement; Il existe des risques importants d'arrachage des oeillets sur lesquels se concentrent les efforts; La barre et les oeillets occupent une partie du châssis d'environ 100 à 150 mm et donc une longueur de châssis est perdue; La longueur de la toile doit être définie avec une tolérance de l'ordre de+ 40à 40 cm; La position des oeillets dans la toile doit correspondre avec précision aux vis ou autres fixations prévues sur les barres, ce qui rend plus difficile la définition et la fabrication de la toile; Enfin la manipulation de la toile est faite par le côté pour sa fixation, de qui est moins confortable qu'une traction centrale arrière.

Un troisième type connu de fermeture de la toile comprend des sangles. Seule la partie utile comprend une toile, et le tour du châssis est complété par des sangles maintenues par des boucles métalliques.

Ce troisième dispositif de fermeture de la toile présente lui aussi de nombreux inconvénients: Le mouvement présente des points durs à l'enroulement des zones avec des surépaisseurs dues aux sangles et aux boucles; Le dessous du châssis doit permettre le passage des surépaisseurs, ce qui nécessite parfois des châssis plus hauts; La tenue des sangles dans les boucles n'est pas aisée et les toiles se détendent souvent; Il est difficile de maintenir la toile non plissée et plate dans les zones de traction des sangles; D'autres dispositifs connus de maintien des toiles consistent à pincer les extrémités de la toile ente deux barres, ou d'insérer une barre à chaque extrémité de la toile et de les relier entre elles.

Les inconvénients de tous ces dispositifs sont les suivants: L'existence de points durs; L'obligation de définir avec précision la forme et les dimensions de la toile à remplacer; Les zones perdues; Les toiles plissées, des zones de concentration d'efforts (présence d'oeillets, de sangles) ce qui entraîne un déchirure facile des toiles; Les formes des toiles sont un peu compliquées, ce qui entraîne des coûts de fabrication; Les barres sont glissées dans un fourreau et la toile frotte directement sur le châssis en provoquant l'usure puis la déchirure de la zone inférieure; Les toiles se détériorent souvent par la fusion des fils d'ourlets longitudinaux par contact avec le four ou par action de la chaleur ou par usure par frottement de ces fils d'ourlet.

La présente invention a donc pour but de remédier aux inconvénients des dispositifs connus de maintien d'une toile sur un châssis utilisés comme tapis enfourneurs en boulangerie.

Un but de l'invention est de supprimer les oeillets, ou dans une fonction identique les sangles, et les lacets et donc d'éviter les points de rupture, les tensions trop fortes ou trop faibles de la toile.

Un autre but de la présente invention est de supprimer les points durs et de réduire la zone perdue due aux oeillets et aux lacets.

Encore un autre but de la présente invention est de réduire les points d'usure de la toile et donc d'améliorer la durée de vie de celle-ci.

Un quatrième but de l'invention est de supprimer la nécessité de définir avec précision les dimensions de la toile et donc d'effectuer une simplification de sa fabrication, de supprimer le déplacement d'un réparateur lors de son remplacement et enfin de permettre l'adaptation d'une toile de dimensions uniques à plusieurs modèles de châssis de formes et de dimensions diverses.

A cet effet, l'invention concerne un dispositif de maintien d'une toile longitudinale et de réglage de sa longueur par ses extrémités libres, ladite toile étant destinée à passer sur et sous un châssis, caractérisé en ce qu'il comprend: un profilé dont l'axe est perpendiculaire à l'axe longitudinal de la toile, ledit profilé étant mobile en rotation autour de son axe et solidaire de la première extrémité libre de la toile, le réglage de la longueur se faisant par rotation dudit profilé autour de son axe et donc l'enroulement de la toile se faisant autour du profilé ; et un moyen de maintien de la deuxième extrémité libre de la toile avec ladite première extrémité libre après réglage de ladite longueur.

Selon un mode de réalisation de la présente invention, le profilé peut être un cylindre creux et comporter une fente longitudinale et la première extrémité de la toile est plus épaisse que l'épaisseur normale de la toile, la première extrémité pouvant être introduite par la fente longitudinale à l'intérieur du profilé ; La toile peut comporter à sa première extrémité une gaine transversale conférant la surépaisseur à ladite première extrémité : La gaine transversale peut comprendre une première barre la traversant; Ladite première barre peut être plate ou ronde; Ladite deuxième extrémité peut être plus épaisse que l'épaisseur normale de la toile; Ladite deuxième extrémité peut comporter une gaine transversale conférant la surépaisseur à ladite deuxième extrémité : Ladite gaine transversale de la deuxième extrémité peut comprendre une seconde barre la traversant; Ladite deuxième barre peut être plate; Au moins une desdites barres peut comporter une surépaisseur en son centre sur presque toute sa longueur; Ledit moyen de maintien de la première extrémité avec la deuxième extrémité peut être constitué par deux coquilles latérales dans lesquelles les deux extrémités sont introduites et chaque coquille comporte des moyens de serrage desdites extrémités.

Selon un mode de réalisation, le cylindre peut comporter un tube externe partiellement ou totalement sur sa longueur pour servir de poignée pour la manipulation de la toile.

La toile peut comporter une sangle longitudinale au centre.

La deuxième barre peut comporter un patin de glissement pour empêcher le contact de la toile avec le châssis.

La toile peut comporter des ourlets longitudinaux réalisés à l'aide de fils de matière alimentaire résistante à la température et à l'usure, par

exemple du Téflon.

Le profilé mobile en rotation comportant une fente et cité plus haut peut être remplacé par un profilé introduit à l'intérieur d'une gaine transversale réalisée dans la première extrémité de la toile ladite gaine ayant des dimensions externes légèrement inférieures aux dimensions externes du profilé.

Les coquilles maintenant le profilé mobile et la barre de la deuxième extrémité libre peuvent être solidaires du profilé mobile.

La toile peut comporter à la première extrémité de la toile plusieurs gaines permettant l'introduction du profilé mobile, ces gaines étant perpendiculaires à l'axe longitudinal de la toile et distantes les unes des autres.

La présente invention concerne en outre un kit comportant une toile telle que caractérisée ci-dessus et les éléments tels que caractérisés cidessus permettant son maintien.

D'autres avantages de la présente invention apparaîtront clairement à la lecture de la description suivante, en regard des dessins annexés à titre d'exemples non limitatifs, dans lesquels: La figure 1 est une vue schématique d'un dispositif connu dans la technique antérieure de maintien d'une toile sur un châssis; La figure 2 est une vue schématique d'un mode de réalisation préféré de la toile selon la présente invention; La figure 3 est une vue schématique du moyen de maintien de la première extrémité de la toile avec la deuxième extrémité ; La figure 4 est une vue schématique du profilé utilisé pour la première extrémité muni du moyen de maintien de la deuxième extrémité avec la première extrémité.

La figure 1 représente un système de fixation connu d'une toile et a été expliquée précédemment.

Sur la figure 2, on a représenté un mode de réalisation de la toile 10 selon l'invention. Cette toile est longitudinale et comporte une première extrémité libre 11 et une seconde extrémité libre 12 opposée à la première. Ces extrémités doivent être fixées ensemble de manière que la toile forme un tapis circulaire. Selon le mode de réalisation représenté sur la figure 2, la toile 10 comprend une première épaisseur à son extrémité libre 11 et une seconde épaisseur à sa deuxième extrémité libre 12. De préférence la première extrémité 11 comporte un ourlet piqué par une couture 13 formant une gaine 14 dans laquelle est introduite une barre 18 et la deuxième extrémité comporte un ourlet piqué 15 formant une gaine 16 dans laquelle est introduite une barre 17.

Selon un mode de réalisation préféré, la toile comprend une sangle centrale longitudinale et sur la moitié environ de sa longueur. Cette sangle permet la manipulation de la toile.

Sur la figure 4, on a représenté très schématiquement le profilé 20 qui comprend éventuellement une fente longitudinale qui permet d'enrouler l'extrémité libre 11 de la toile. La toile est retenue dans le sens de la longueur du fait de la surépaisseur de l'extrémité libre 11 qui est donnée par la barre 18. Sur la figure 2, on a représenté les barres beaucoup plus longues que la largeur de la toile, dans un but de clarté du dessin, mais elles peuvent avoir sensiblement la longueur de la largeur de la toile.

En faisant tourner le profilé 20 autour de son axe longitudinal XX, on raccourcit la toile et on la tend entre les deux extrémités.

La toile est maintenue par un dispositif de maintien comportant deux coquilles 21, 22 placées en chaque bout du profilé 20. De préférence, le profilé 20 est un cylindre creux. A l'aide d'une vis 23, 24 placée dans chaque trou fileté d'une coquille, on serre les deux extrémités 11, 12 qui sont alors solidarisées, selon la longueur de toile voulue.

Sur la figure 3, on a représenté une coquille 21. Cette coquille comporte un orifice 25 permettant le passage de la barre 18 et une fente 26 permettant le passage de la deuxième extrémité 12 de la toile selon la flèche F. Les barres 17 et 18 reposent alors l'une sur l'autre, et au moyen de la vis 23, on serre les deux barres ensemble, de manière à solidariser les deux extrémités de la toile.

Selon encore un mode de réalisation préféré de la présente invention, le cylindre peut comporter une poignée 27 qui est un cylindre de diamètre plus grand et de longueur plus courte.

Selon un autre mode de réalisation de la présente invention, le profilé mobile en rotation, contrairement au premier mode de réalisation décrit ci-dessus, au lieu que la toile soit introduite par son extrémité dans le profilé mobile en rotation, le profilé mobile en rotation peut être introduit à l'intérieur d'une gaine transversale réalisée dans la toile. Dans ce cas, l'extrémité libre de la toile sera entraînée en rotation par le profilé mobile en rotation à condition que les dimensions de la gaine soient définies de manière que le profilé mobile frotte sur la gaine. Ainsi on peut prévoir que la gaine aura le même diamètre interne que le profilé, et plus préférablement que ce diamètre soit même légèrement inférieur aux dimensions externes du profilé, de manière que la gaine soit en extension lorsqu'elle contient le profilé et donc l'entraîne en rotation. Ce mode de réalisation est plus simple que le précédent.

Selon un autre mode de réalisation, les coquilles maintenant le profilé mobile et la barre de la deuxième extrémité libre sont solidaires du profilé mobile grâce à une ouverture 28. Le profilé comporte alors une vis en bout et l'ouverture 28 permet de fixer la vis et de s'adapter aux différentes largeurs de tissus. Ainsi, lorsqu'on enroule la toile, les coquilles permettent un enroulement correct de la toile. Ceci constitue une amélioration par rapport au mode de réalisation précédent dans lequel les coquilles ne sont pas solidaires du profilé mobile, mais vissées sur celui-ci.

En effet, dans le mode de réalisation précédent, lorsque la toile s'enroule mal elle écarte les coquilles et il devient difficile de serres les coquilles à la bonne dimension de la toile.

Enfin, on peut prévoir plusieurs gaines à la première extrémité de la toile permettant l'introduction du profilé mobile, ces gaines étant perpendiculaires à l'axe longitudinal de la toile. Pour adapter la toile à de nombreux enfourneurs de longueurs différentes, il suffit de couper la toile après la gaine désirée pour adapter la longueur de la toile.

Claims (21)

REVENDICATIONS

1. Dispositif de maintien d'une toile longitudinale et de réglage de sa longueur par ses extrémités libres, ladite toile étant destinée à passer sur et sous un châssis, caractérisé en ce qu'il comprend: un profilé (20) dont l'axe est perpendiculaire à l'axe XX longitudinal de la toile, ledit profilé étant mobile en rotation autour de son axe XX et solidaire de la première extrémité libre (11) de la toile, le réglage de la longueur se faisant par rotation dudit profilé (20) autour de son axe; et un moyen de maintien (21, 22) de la deuxième extrémité libre de la toile avec ladite première extrémité libre après réglage de ladite longueur.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le profilé est creux et comporte une fente longitudinale et la première extrémité de la toile est plus épaisse que l'épaisseur normale de la toile, la première extrémité pouvant être introduite par la fente longitudinale à l'intérieur du profilé.

3. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que le profilé est un cylindre.

4. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la toile comporte à sa première extrémité une gaine transversale (14) conférant la surépaisseur à ladite première extrémité.

5. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la gaine transversale comprend une première barre (18) la traversant.

6. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que ladite première barre (14) est plate ou ronde.

7. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la ladite deuxième extrémité (12) est plus épaisse que l'épaisseur normale de la toile.

8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la ladite deuxième extrémité (12) comporte une gaine transversale (16) conférant la surépaisseur à ladite deuxième extrémité.

9. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la ladite gaine transversale (16) de la deuxième extrémité comprend une seconde barre (17) la traversant.

10. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la ladite deuxième barre est plate.

11. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'au moins une desdites barres comporte une surépaisseur en son centre sur presque toute sa longueur.

12. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que ledit moyen de maintien de la première extrémité avec la deuxième extrémité est constitué par deux coquilles latérales (21, 22) dans lesquelles les deux extrémités sont introduites et chaque coquille comporte des moyens de serrage desdites extrémités.

13. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le cylindre comporte un tube externe partiellement ou totalement sur sa longueur pour servir de poignée pour la manipulation de la toile.

14. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la toile comporte une sangle longitudinale centrale.

15. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la deuxième barre comporte un patin de glissement pour empêcher le contact de la toile avec le châssis.

16. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la toile comporte des ourlets longitudinaux réalisés à l'aide de fils de matière alimentaire résistante à la température et à l'usure, par exemple du Téflon .

17. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1, 3 à 16, caractérisé en ce que le profilé mobile en rotation est introduit à l'intérieur d'une gaine transversale réalisée dans la première extrémité de la toile ladite gaine ayant des dimensions externes légèrement inférieures aux dimensions externes du profilé.

18. Dispositif selon la revendication 17, caractérisé en ce que lesdites coquilles maintenant le profilé mobile et la barre de la deuxième extrémité libre sont solidaires du profilé mobile.

19. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1, 3 à 18, caractérisé en ce que la toile comporte à la première extrémité de la toile plusieurs gaines permettant l'introduction du profilé mobile, ces gaines étant perpendiculaires à l'axe longitudinal de la toile et distantes les unes des autres.

20. Toile destinée à être utilisée dans le dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes et comportant deux extrémités libres munies chacune d'au moins une gaine, éventuellement d'un ourlet longitudinal en matière alimentaire résistante à la température et à l'usure, et éventuellement d'une sangle longitudinale centrale.

21. Kit comportant une toile selon la revendication 20 et des éléments permettant le maintien de ses extrémités libres pour former un dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 19.