FR2883610A1 - Procede pour faire fonctionner un vehicule automobile ou pour accroitre sa capacite de fonctionnement - Google Patents

Procede pour faire fonctionner un vehicule automobile ou pour accroitre sa capacite de fonctionnement Download PDF

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Alfons Wagner
Reinhard Berger
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Abstract

L'invention concerne un procédé pour accroître la capacité d'utilisation et/ou la capacité de fonctionnement d'un véhicule automobile et/ou pour détecter et/ou empêcher l'apparition d'erreurs de commande et/ou de fonctionnement dans le véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile qui comporte par exemple une unité de gestion électronique de l'embrayage.

Description

L'invention concerne un procédé pour augmenter la capacité de
fonctionnement d'un véhicule automobile comportant un dispositif de mémoire ou pour faire fonctionner un véhicule automobile comportant un dispositif
de mémoire, ainsi qu'un véhicule automobile comportant un dispositif de mémoire.
Sous l'expression "dispositif de mémoire" au sens de la présente invention, il faut comprendre qu'il s'agit d'un dispositif permettant de mémoriser au moins temporairement des données, telles que par exemple des données de fonctionnement du véhicule automobile, de manière que les données puissent être à nouveau lues lors d'une opération de lecture suivante. Le type de mémorisation n'est pas limité à un principe déterminé de mémoire et peut englober tous les types de dispositifs de mémoire électriques, électroniques, électromagnétiques, optiques et également des dispositifs de mémoire travaillant selon d'autres principes.
On connaît déjà des véhicules automobiles 20 comportant un dispositif de mémoire.
Par exemple on connaît un véhicule automobile, qui comporte un dispositif de commande ainsi qu'un dispositif de mémoire. Lors du fonctionnement du véhicule automobile, différentes données servant à faire fonctionner le véhicule automobile sont traitées dans le dispositif de commande. Ces données sont en partie constantes pendant l'ensemble de la durée de vie et prennent des valeurs variables en partie pendant la durée de vie. Après l'arrêt du moteur, les valeurs sont introduites dans le dispositif de mémoire. A cet effet une valeur de paramètre est introduite à une adresse respective. Lors d'un nouveau démarrage du moteur, ces données mémorisées sont à nouveau lues du dispositif de mémoire et à nouveau introduites dans le dispositif de commande.
Ce véhicule automobile connu ou ce procédé connu pour faire fonctionner un véhicule automobile ou pour traiter les données, qui sont nécessaires pour le fonctionnement d'un véhicule automobile, présentent des caractéristiques très positives dans des conditions idéales. Mais en général les conditions réelles diffèrent des conditions idéales. Dans des conditions réelles, il existe par exemple le risque qu'une cellule du dispositif de mémoire soit endommagée à un instant quelconque ou que, lors de la mémorisation, l'alimentation en courant nécessaire à cet effet soit interrompue.
Dans de tels cas, au moins une lecture des données à partir des dispositifs de mémoire ne serait pas possible lors du redémarrage, dans le dispositif décrit connu. Dans un cas extrême, le véhicule automobile présenterait par conséquent un défaut, qui empêcherait complètement son fonctionnement.
Un autre procédé connu pour faire fonctionner un véhicule automobile comportant un dispositif de mémoire comprend un dispositif de commande servant à commander un dispositif de réglage pour un embrayage. Une course de déplacement de consigne est fixée par avance pour un régulateur. En outre un signal, qui doit provoquer une course réelle de déplacement du régulateur, est appliqué. Ce signal correspond notamment au signal de course de consigne ou à un signal de signal de course de consigne transformé. Dans la mesure où la course réelle, qui s'établit par conséquent, n'a pas encore atteint la course de déplacement de consigne, mais que le gradient de la course réelle est cependant nul, le régulateur se débranche ou bien une entrée d'erreur est exécutée.
Sur la base du débranchement ou de l'entrée d'erreur, on en conclut qu'il existe une perturbation déterminée dans le système.
D'une part ce véhicule automobile connu fournit 35 une protection contre une surcharge, et d'autre part il permet d'identifier le fait que des perturbations sont présentes dans le véhicule automobile ou dans le dispositif d'embrayage.
C'est pourquoi l'invention a pour but de créer un véhicule automobile comportant un dispositif de commande ainsi qu'un dispositif de mémoire, qui peut être fabriqué à bon marché et d'une manière simple du point de vue construction, garantit une sécurité élevée des données et une précision fiable des données et en outre fournit de bonnes possibilités de diagnostic dans le cadre d'une sécurité élevée de fonctionnement, lors de l'apparition de perturbations.
Selon un premier aspect, le problème est résolu à l'aide d'un procédé pour faire fonctionner un véhicule automobile, qui comporte notamment un dispositif d'embrayage à commande électronique et notamment un dispositif d'embrayage automatique, du type connu par exemple sous la désignation EKM (c'est-à-dire une unité de gestion électronique d'embrayage), caractérisé en ce qu'il comprend les étapes consistant à : mémoriser au moins une valeur (valeur de mémoire) pour un paramètre, comme par exemple un paramètre adaptatif (première mémorisation) dans au moins un dispositif de mémoire; - mémoriser au moins une valeur de contrôle dans au moins un dispositif de mémoire, la ou les valeurs de contrôle permettant, conformément à une caractéristique de contrôle prédéterminée, un contrôle déterminant si la valeur a été correctement 30 mémorisée.
Selon un autre aspect, ce problème est résolu conformément à l'invention à l'aide d'un procédé pour accroître la capacité d'utilisation et/ou la capacité de fonctionnement d'un véhicule automobile et/ou pour détecter et/ou empêcher l'apparition d'erreurs de commande et/ou de fonctionnement dans le véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile qui comporte par exemple une unité de gestion électronique de l'embrayage, caractérisé en ce qu'il comporte les étapes consistant à : - prédéterminer une variation dans le temps de la course de déplacement de consigne (rampe de la course de déplacement de consigne) pour un composant de référence, tel qu'un régulateur; - appliquer directement et/ou indirectement un signal de réglage au composant de référence et/ou à un élément couplé à composant de référence, pour régler le composant de référence conformément à la prédétermination de la rampe de la course de déplacement de consigne, de manière qu'il s'établisse une variation dans le temps de la course de déplacement réelle (rampe de la course de déplacement réelle); - comparer au moins un paramètre prédéterminé de la rampe de la course de déplacement réelle à au moins un paramètre prédéterminé de la rampe de la course de déplacement de consigne pendant un créneau temporel prédéterminé et/ou à un instant prédéterminé; - transmettre au moins une première entrée d'erreur à un dispositif servant à recevoir des entrées d'erreur, 25 et/ou déterminer qu'au moins une perturbation est présente lorsqu'un écart entre les paramètres satisfait aux critères d'une première caractéristique d'entrée d'erreur; - transmettre au moins une j-ème entrée d'erreur à un dispositif pour la réception d'entrées d'erreur et/ou déterminer qu'au moins une j-ème perturbation est présente lorsqu'un écart entre les paramètres satisfait aux critères d'une j-ème caractéristique d'entrée d'erreurs, avec j (N> 2), le ou les composants de référence étant contenus au moins en partie dans un dispositif de transmission de couple, tel qu'un embrayage, et/ou dans le dispositif d'actionnement servant à actionner le dispositif de transmission de couple.
Un véhicule automobile conforme à l'invention comportant au moins un dispositif de détection et au moins un dispositif de mémoire, caractérisé en ce que dans des situations prédéterminées, des données peuvent être transmises du dispositif de commande à dispositif de mémoire et que des données peuvent être transmises du dispositif de mémoire à dispositif de commande, au moins une partie de ces données pouvant être mémorisées au moins en deux fois, par exemple trois fois, au moins partiellement dans le dispositif de mémoire.
Conformément à l'invention il est par conséquent prévu, par exemple pour accroître la capacité d'utilisation ou la capacité de fonctionnement d'un véhicule automobile pour détecter ou éviter des erreurs dans Les données de commande dans un véhicule automobile ou pour faire fonctionner un véhicule automobile, qui comporte par exemple un dispositif d'embrayage de commande électronique et notamment un dispositif d'embrayage automatique, du type commercialisé par exemple par le déposant sous la désignation EKM (unité de gestion électronique d'embrayage), de mémoriser des données à des instants prédéterminés et de lire à nouveau ces données à des instants prédéterminés à partir du dispositif de mémoire, au moins une partie de ces données mémorisées (valeurs de mémoire) étant protégée par une grandeur de contrôle. Les grandeurs ou paramètres, qui sont protégées au moyen d'une grandeur de contrôle, sont de préférence des paramètres adaptatifs.
Il faut marquer que dans le cadre de la présente 35 invention, notamment par exemple chaque valeur, qui est introduite dans une mémoire, est désignée comme étant une valeur de mémoire. Cependant la valeur est par exemple également désignée par le terme "mémorisation". Sous le terme mémorisation il faut comprendre qu'il s'agit notamment également d'une grandeur respectivement mémorisée. On notera en outre que sous l'expression "première mémorisation" dans le cadre de la présente invention, il faut comprendre qu'il s'agit aussi bien du fait qu'une valeur correspondante est mémorisée tout d'abord - c'est-à-dire avant d'autres valeurs correspondantes notamment de la même grandeur - que de la mémorisation proprement dite d'une grandeur d'origine, qui est mémorisée plusieurs fois - éventuellement sous forme modifiée. Dans ce contexte on notera que ces variantes ne doivent pas être présentes d'une manière cumulative.
La grandeur de contrôle également mémorisée est conformément à l'invention par exemple une seconde mémorisation (= première redondance), une troisième mémorisation (deuxième redondance) ou une j-ème mémorisation avec i E N. Le nombre, avec lequel la même valeur ou la même grandeur est mémorisée de façon multiple, n'est fondamentalement pas limité conformément à l'invention. Il est notamment préférable de prévoir une mémorisation triple.
Il est également préférable que la mémorisation originale ou la première mémorisation mémorise une valeur ayant une précision de 100 %, alors qu'au moins une partie des mémorisations redondantes mémorise cette valeur par exemple sous forme abrégée. Cependant il est préférable de prévoir - même si des valeurs sont mémorisées sous la forme de valeurs abrégées - une possibilité permettant de lire à nouveau d'une manière essentiellement précise la valeur initiale.
Il est préférable que des valeurs puissent être à nouveau lues en étant arrondies.
Il est également préférable que la grandeur de commande soit un chiffre de contrôle. Conformément à l'invention il est prévu par exemple de pouvoir déterminer, sur la base de la grandeur de contrôle ou d'une caractéristique de contrôle prédéterminée, si une valeur a été mémorisée correctement. En particulier on peut déterminer si la valeur, qui a été lue dans un dispositif de mémoire à la fin d'un cycle de fonctionnement du véhicule automobile, est présente ou peut être lue sous une forme essentiellement non modifiée, dans le dispositif de mémoire au début d'un cycle de fonctionnement suivant.
Il est également préférable que l'on puisse déterminer, sur la base de la grandeur de contrôle ou de la caractéristique de détection prédéterminée, quelle valeur aurait dû être mémorisée dans le cas d'une mémorisation défectueuse.
L'invention est avantageuse dans la mesure où, dans le cas de perturbations dans le dispositif de mémoire et/ou dans la transmission de données, ces perturbations peuvent être identifiées. Par conséquent, conformément à l'invention il n'existe plus aucun risque de travailler avec des données fausses. En outre une grandeur de contrôle permet la détermination de la valeur de la grandeur, qui devrait être effectivement mémorisée. En outre l'invention permet que, dans des cas où des perturbations externes apparaissent, des grandeurs d'urgence soient mémorisées pour la sécurité de manière qu'un fonctionnement soit toujours possible.
Conformément à une forme de réalisation préférée d'un procédé selon l'invention, au moins une partie des données protégées par l'intermédiaire d'au moins une grandeur de contrôle, est formée par un ou plusieurs paramètres de fonctionnement du véhicule automobile. Ces paramètres de fonctionnement sont de préférence des paramètres adaptatifs, dont la grandeur est variable pendant le fonctionnement. D'une manière particulièrement préférée, ces grandeurs peuvent être optimisées pour le fonctionnement, au moins en partie dans des processus adaptatifs qui sont déclenchés de préférence dans un dispositif de commande.
Un véhicule automobile particulièrement préféré selon l'invention comporte un dispositif de commande, qui commande la mémorisation et la lecture de données à partir du dispositif de commande ou du dispositif de mémoire.
Conformément à une forme de réalisation préférée de l'invention, l'étape de mémorisation d'au moins un paramètre ou d'au moins une grandeur correspond à l'état de lecture de cette grandeur ou de ce paramètre ou de la valeur correspondante à partir du dispositif de mémoire.
De préférence on réalise tout d'abord une première mémorisation, dans laquelle cette valeur est mémorisée simplement dans le dispositif de mémoire. Le dispositif de mémoire est de préférence une mémoire EEPROM ou comporte une mémoire EEPROM.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée, après exécution de la première mémorisation, qui d'une manière particulièrement préférée est mémorisée après "arrêt de l'allumage" pendant la phase d'asservissement de l'appareil de commande, dans le dispositif de mémoire ou dans la mémoire EEPROM, de réaliser des mémorisations redondantes. Ces mémorisations redondantes sont d'une manière particulièrement préférable identiques au moins partiellement à la première mémorisa- tion.
Conformément une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, au moins une partie des redondances est mémorisée dans un autre format de données que dans le cas de la première mémorisation.
Il faut remarquer que dans le cadre de l'inven- tion, on parle de façon multiple de mémorisation et de redondances. Il faut comprendre par là notamment qu'à une première mémorisation sont associées des redondances respectives, qui se rapportent à la même grandeur à mémoriser ou au même paramètre à mémoriser. Conformément à l'invention il est prévu de préférence qu'il existe, pour une multiplicité de grandeurs ou de paramètres, comme des paramètres de travail, respectivement une première mémorisation ainsi qu'une ou plusieurs redondances, c'est- à-dire une seconde, une troisième, etc. mémorisations.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, la première mémorisation et/ou au moins une redondance ou toutes les redondances sont mémorisées sous la forme d'un code binaire.
Il est particulièrement préférable que la première mémorisation et/ou au moins une redondance soient mémorisées dans le format à 16 bits, par exemple dans le format de nombres entiers, de préférence dans le format de mots.
Il est en outre préférable que la première mémorisation et/ou au moins une redondance soient mémorisées dans le format à 8 bits, comme dans le format d'octets.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, m bits sont positionnés pour la mémorisation d'une valeur de mémoire ou pour une première mémorisation ou une redondance dans une adresse à n bits. On a m n, avec n et m e N. D'une manière particulièrement préférable, deux octets sont utilisés respectivement pour la mémorisation d'une valeur, dans une adresse de mot.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, par exemple une 35 première redondance d'une première "première mémorisation" est mémorisée dans une première partie d'une adresse de mot, alors que dans la seconde partie de cette adresse de mot est mémorisée une seconde redondance possédant une seconde "première mémorisation".
En particulier il est en outre préférable de décaler à une ou plusieurs reprises une valeur, qui est présente dans un premier format de données, avant sa mémorisation. Ainsi par exemple il est prévu qu'une valeur présente en tant que format de mot, est décalée conformément à une caractéristique de décalage, qui est par exemple un tableau ou une liste, de telle sorte que les bits supérieurs sont mémorisés dans un second format, comme par exemple un format d'octet, tandis que les bits inférieurs sont "tronqués".
Ainsi par exemple pour la mémorisation d'une valeur qui se situe en principe dans une gamme comprise entre 0 et 2000 - et par conséquent est représentée sous la forme d'un maximum de 11 bits - il se produit un décalage triple ou une troncature des trois bits inférieurs.
On notera que Conformément à l'invention, il est naturellement également prévu une troncature des bits supérieurs. Les bits qui sont éliminés respectivement par troncature, dépendent du but recherché. Si par exemple on doit représenter une valeur qui est soumise à des variations aussi bien dans la partie inférieure que dans la partie supérieure, cette valeur est seulement légèrement modifiée au moyen d'une troncature des bits inférieurs (mode d'observation relatif). Si au contraire il faut représenter une valeur qui ne varie pas fondamentalement dans la gamme supérieure des bits, mais est soumise à des variations uniquement dans la gamme inférieure des bits, il peut être plus approprié de tronquer les bits supérieurs ou de les déplacer en cet endroit et de représenter de façon exacte les bits inférieurs.
L'invention n'est à cet égard limitée en aucune manière.
On notera qu'à un tel décalage ou à une telle troncature peut être associée une erreur d'arrondi (envisa- gée), mais ceci n'est pas impératif. C'est le cas lorsque, conformément à une forme de réalisation préférée de l'invention, lors d'une lecture ultérieure des valeurs décalées, les bits non mémorisés ont été positionnés sur des valeurs quelconques prédéterminées, qui ne correspondent pas à celles de la première mémorisation.
Par exemple sous l'effet du transfert de bits, qui ne sont pas mémorisés lors de la mémorisation redondante et proviennent de la première mémorisation, il est également prévu de préférence, conformément à l'invention, qu'il n'apparaisse aucune erreur d'arrondi.
De ce fait une précision élevée des valeurs lues est associée, et ce avec une grande sécurité des données, à un faible besoin de mémoire.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, on détermine tout d'abord avec quelle précision une valeur déterminée doit être mémorisée. Cette étape peut inclure par exemple également l'étape de détermination de la gamme d'une valeur (par exemple gamme supérieure ou gamme inférieure) qui est importante après détermination de cette valeur.
En fonction de ce résultat et en fonction de la grandeur de la valeur, on détermine ensuite avec quelle fréquence la valeur considérée est décalée. Le décalage correspondant et la mémorisation correspondante sont alors exécutés.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, les valeurs, qui concernent la position neutre, au moins une voie de déplacement, au moins une valeur de repos et au moins un coefficient de frottement, sont mémorisées trois fois, les seconde et troisième mémorisations (première et seconde 15 redondances) étant décalées respectivement deux fois avant la mise en mémoire et étant mémorisées ensuite sous la forme d'octets. De préférence, pour l'enregistrement de cet octet, il est prévu une adresse dans le format de mot.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée, la valeur d'un point d'attaque est décalée trois fois avant la seconde et la troisième mémorisation.
Il est également préférable que des paramètres adaptatifs soient mémorisés trois fois, la première mémorisation s'effectuant à une première adresse de mot, tandis que la seconde mémorisation s'effectue dans un premier octet d'une seconde adresse de mot, et que la troisième mémorisation s'effectue dans un premier octet d'une troisième adresse de mot. Il est particulièrement préférable que la seconde adresse et la troisième adresse soient des adresses successives.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, au moins une partie des adresses ou les adresses sont occupées au moins partiellement avant la mémorisation, par un code de perturbation tel que "FFFF" ou "11111111" ou "1111111111111111".
Ce code de perturbation sert par exemple d'indi- cateur pour une mémorisation exécutée d'une manière non ordonnée lorsque certaines perturbations se produisent avant, pendant ou après la mémorisation.
Lors de la mémorisation, la valeur mémorisée est enregistrée en surinscription sur ce code de perturbation.
Si la mémorisation ne s'effectue pas d'une manière ordonnée, cet enregistrement en surinscription ne se produit pas de sorte que le code de perturbation reste mémorisé. Une mémorisation non ordonnée est par conséquent identifiée immédiatement.
Conformément à une forme de réalisation 1 3 particulièrement préférée de l'invention, les redondances sont toujours mémorisées après la première mémorisation.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, des chiffres de contrôle ou des codes de contrôle sont utilisés à titre de remplacement ou sinon pour une mémorisation multiple.
Ces chiffres de contrôle ou codes de contrôle sont délivrés par exemple avant, pendant ou après la mémorisation d'une valeur; de préférence des chiffres de contrôle et codes de contrôle ne forment pas la valeur à 100 %, au contraire représentent uniquement certains critères individuels.
Par exemple, un chiffre de contrôle est détecté en tant que somme des bits occupés et/ou en tant que somme des occupations individuelles de bits ou des bits positionnés.
De préférence conformément à l'invention des chiffres de contrôle peuvent être délivrés au moyen d'adresses différentes.
Il est préférable que les chiffres de contrôle ou les codes de contrôle soient mémorisés à une adresse différente de l'adresse protégée. Il est également préférable que les chiffres de contrôle ou les codes de contrôle soient mémorisés à la même adresse.
De préférence, il est prévu conformément à l'invention une caractéristique d'association de chiffres de contrôle, qui établit dans quelle relation les chiffres de contrôle se trouvent avec quelle valeur.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, le dispositif de mémoire comprend une mémoire EEPROM ou est inclus dans une mémoire EEPROM. Une telle mémoire EEPROM comporte par exemple 128 mots et possède par conséquent un format de 128 x 16. De même on peut utiliser des mémoires EEPROM qui possèdent un format 64*16 ou 256*16. De même on peut utiliser d'autres formats donnés.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, dans la mémoire EEPROM on peut mémoriser des valeurs qui varient au moins temporairement pendant le fonctionnement du véhicule automobile, comme par exemple des valeurs adaptatives, ainsi que des valeurs qui sont toujours constantes pendant le fonctionnement du véhicule automobile.
D'une manière particulièrement préférable, une 10 mémoire EEPROM comporte en outre une zone pourvue d'adresses, qui servent de mémoire d'erreurs.
En outre il est préférable qu'il existe, dans un dispositif de mémoire, une zone, dans laquelle un mot de remplacement introduit préalablement est mémorisé pour au moins une grandeur adaptative. On peut intervenir par exemple sur une telle valeur de remplacement lorsqu'il s'avère que la mémorisation ne s'effectue pas correctement et qu'en raison des valeurs de mémoire elles-mêmes, une reconstitution du paramètre lu à l'origine à partir du dispositif de commande ne soit pas possible.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, dans le dispositif de mémoire il est prévu au moins une zone de mémoire dans laquelle sont mémorisées des valeurs, sur la base desquelles les valeurs des paramètres adaptatifs ou les valeurs, qui sont échangées entre le dispositif de commande et le dispositif de mémorisation, peuvent être contrôlées.
Par exemple des limites, qui indiquent une zone à l'intérieur de laquelle doit se situer la valeur décalée entre le dispositif de mémoire et le dispositif de commande, sont introduites dans le dispositif de mémoire. De cette manière on peut trouver des valeurs qui ont été mémorisées par exemple de façon incorrecte et ont pris de ce fait une valeur trop élevée ou trop faible.
Il est également préférable que des valeurs d'étalonnage soient mémorisées. Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, la caractéristique de décalage, telle que la liste ou le tableau, est mémorisée séparément. De préférence ceci est valable également pour une caractéristique de masquage, qui est utilisée lors de la lecture des valeurs décalées.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, le dispositif de commande est ramené à l'état initial à des instants déterminés. Un tel instant peut se présenter par exemple lorsque le véhicule automobile passe à l'état "allumage branché" ou à l'état "réveil".
Il est également préférable que les paramètres adaptatifs mémorisés, qui sont à nouveau lus à des instants déterminés, soient transformés avant, pendant ou après la lecture, c'est-à-dire soient transférés dans un autre format de données. Ceci est valable notamment lorsque les valeurs correspondantes ont déjà été transformées lors de la mémorisation dans le dispositif de mémoire. Dans de tels cas, il se produit de préférence une sorte de transformation inverse. Il est préférable par exemple que les valeurs mémorisées dans le format d'octet (voir plus haut) soient transformées à nouveau dans un format de mot.
Il est particulièrement préférable que les octets "tronqués" soient réalisés conformément à une caractéristique prédéterminée. Une telle caractéristique peut être par exemple une association en permanence prédéterminée de valeurs, qui est mémorisée par exemple de façon fixe. Il est en outre préférable que la première mémorisation soit mémorisée sous la forme d'un format de mot, tandis que les deuxième et troisième mémorisations sont mémorisées sous la forme d'octets. Lors de la transformation des redondances mémorisées en tant qu'octets, les bits "manquants" respectifs des redondances provenant de l'adresse de format de mot associée sont transférés à la première mémorisation.
Il est préférable que les bits transférés de cette manière aient une importance secondaire par rapport aux autres bits. De préférence les redondances mémorisées sous la forme d'octets sont par
conséquent à nouveau décalées avant, pendant ou après la lecture ou la transformation.
De préférence, conformément à l'invention, il est prévu une caractéristique de décalage inverse, qui est essentiellement une caractéristique de décalage inverse. C'est-à-dire que de préférence le décalage réalisé lors de la mémorisation est à nouveau rendu "à nouveau annulé". Par conséquent par exemple les valeurs mémorisées en tant qu'octets sont transformées selon une transformation inverse à un degré assez important. De préférence au moins une partie des valeurs lues sont masquées avant, pendant ou après la lecture ou la transformation ou le décalage.
En particulier il est préférable que les bits séparés soient annexés à nouveau aux mémorisations redondantes, par exemple conformément à la prédétermination de la première mémorisation. Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, les mémorisations, qui concernent la même valeur adaptative ou la même grandeur mémorisée, sont comparées ultérieurement.
Par exemple les mémorisations redondantes sont comparées entre elles ou la première mémorisation est comparée aux mémorisations redondantes. Il est au moins préférable qu'au moins une partie de la première mémorisation soit comparée au moins à une mémorisation redondante ou inversement. Par exemple les bits d'une mémorisation redondante mémorisée en tant qu'octet sont comparés aux bits correspondants - en tenant compte de leurs caractéristiques de décalage -d'une première mémorisation, qui est mémorisée dans le format de mot. On notera que les comparaisons possibles ne sont pas limitées par ces indications données à titre d'exemples. Le spécialiste connait une multiplicité d'autres possibilités de comparaison. Conformément à l'invention il est prévu que la comparaison intervienne avant des transformations ou analogues. Il est également préférable que les comparaisons s'effectuent après des transformations ou analogues.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, une valeur conformément à une caractéristique de sélection est sélectionnée en tant que valeur de travail et/ou en tant que valeur de travail préliminaire pour au moins une variable de travail ou pour toutes les variables de travail, de préférence à partir des valeurs mémorisées.
Cette valeur sélectionnée peut être introduite sous la forme sélectionnée directement ou indirectement dans le contrôleur Y ou dans un dispositif de mémoire quelconque. Il est également préférable que la valeur sélectionnée soit en outre modifié avant son introduction.
La valeur sélectionnée en tant que valeur de travail préliminaire est par exemple une première mémorisation ou une mémorisation redondante ou une mémorisation redondante transformée ou une mémorisation massive ou une valeur de comparaison. Sous l'expression valeur de comparaison il faut comprendre notamment qu'il s'agit d'une valeur qui a été comparée -de préférence au préalable - à d'autres valeurs.
Il est préférable de sélectionner une telle valeur de mémoire ou de comparaison, Conformément à une caractéristique prédéterminée, en tant que valeur de travail ou en tant que valeur de travail préliminaire, qui est l'une d'au moins deux valeurs de comparaison, qui diffèrent l'une de l'autre d'un écart inférieur à un écart maximum prédéterminé de la valeur de comparaison. De préférence, un tel écart de maximum par rapport à la valeur de comparaison est une valeur constante. Il est également préférable que l'écart maximum par rapport à la valeur de comparaison décrive une fonction ou une relation. Ceci peut dépendre par exemple de la grandeur des valeurs mémorisées.
De façon particulièrement préférable, on sélectionne une valeur en tant que valeur de travail ou en tant que valeur préliminaire, lorsque cette valeur est sensiblement identique à une seconde valeur de comparaison. D'une manière particulièrement préférable, une première mémorisation est considérée comme identique à une redondance lorsque dans la mémorisation redondante tous les bits de la première mémorisation n'ont pas été transférés mais que les bits transférés sont cependant identiques.
Il est également préférable de sélectionner la valeur de mémoire, qui, du point de vue grandeur, apparaît le plus fréquemment parmi toutes les valeurs de mémoire qui concernent la même variable de travail ou la même grandeur. Par exemple dans le cas de trois mémorisations pour chaque variable de travail, la valeur transférée est celle qui apparaît deux fois lorsque la valeur de la troisième mémorisation diffère de cette valeur. Il est préférable que dans le cas où les trois valeurs sont identiques, la première valeur de mémoire soit transférée.
Il est particulièrement préférable que la valeur de la première mémorisation soit transférée lorsqu'une mémorisation, comme par exemple la seconde mémorisation, comporte un code de perturbation tel que "FFFF". Un tel code de perturbation est par exemple un indice du fait que l'alimentation en courant a été interrompue au moins temporairement pendant la mémorisation. Par exemple on peut, lors de la lecture, prélever un tel code de perturbation lorsque la batterie a été retirée pendant la mémorisation ultérieure.
Il est également préférable que des bandes fictives possédant une certaine largeur soient appliquées aux différentes valeurs des mémorisations, qui concernent la même variable de travail ou la même grandeur. Le nombre de ces bandes est essentiellement quelconque. De préférence le nombre de ces bandes est limité par le nombre des différentes mémorisations. Par exemple, de telles bandes sont appliquées aux valeurs de mémoire de telle sorte que chaque valeur de mémoire est située dans une bande et qu'un nombre aussi élevé que possible de valeurs sont situées dans chaque bande.
Il est préférable que la condition "chaque valeur de mémoire est située dans une bande" soit plus élevée.
Cela signifie notamment qu'il est préférable de ne pas positionner différemment une bande individuelle pour obtenir un plus grand nombre de valeurs de mémoire, si simultanément une seconde valeur tirée de la bande venait à être défaillante. Par exemple il est préférable qu'une bande soit associée à chaque valeur de mémoire et soit décalée, en rapport avec cette valeur de mémoire, de telle sorte que cette dernière soit en outre englobée par la bande et que d'autre part un nombre aussi élevé que possible d'autres valeurs de mémoire soient situées à l'intérieur de la bande.
Il est particulièrement préféré de sélectionner ensuite une valeur tirée de la bande, dans laquelle des valeurs de mémoire sont situées plus fréquemment, en tant que valeur pour la poursuite du traitement et pour le fonctionnement du véhicule automobile. Cette valeur sélectionnée peut être par exemple la valeur d'une mémorisation ou bien une valeur quelconque tirée de la bande correspondante ou de l'intervalle correspondant, qui a été sélectionné ou dans lequel les mémorisations se situent le plus fréquemment.
Il est également préférable de sélectionner une valeur de remplacement pour le traitement suivant ou pour le fonctionnement du véhicule automobile, lorsqu'aucune des valeurs de comparaison n'a été considérée comme appropriée pour le fonctionnement du véhicule automobile ou bien lorsque l'incertitude concernant le fait que cette valeur ait été mémorisée correctement, est trop élevée. Une telle valeur de remplacement peut être formée par exemple. Il est également préférable de mémoriser une telle valeur de remplacement dans des tableaux ou des listes, à partir desquels elle est appelée. Cette mémorisation est exécutée de préférence en référence à des paramètres particuliers, comme par exemple des paramètres de travail.
Il est également préférable de sélectionner la valeur de remplacement lorsque le rapport des valeurs de comparaison, qui sont différentes, ou des mémorisations, dont les valeurs sont différentes, au nombre de ces valeurs de comparaison ou de ces mémorisations soit supérieur à un rapport prédéterminé.
Il est également préférable d'utiliser une valeur de remplacement en tant que variable de travail lorsque toutes les mémorisations sont différentes. Il est particulièrement préférable de prévoir trois mémorisations, à savoir une première mémorisation ainsi que deux mémorisations redondantes, une valeur de remplacement étant utilisée lorsque la première mémorisation est différente de la première ou de la seconde mémorisation redondante et que la première mémorisation redondante est différente de la seconde mémorisation redondante.
Il est particulièrement préférable que la valeur de remplacement alors utilisée soit appelée d'un tableau mémorisé ou d'une caractéristique d'association mémorisée et soit insérée dans le contrôleur Y ou dans un appareil de commande. Il est particulièrement préférable que les valeurs de remplacement mémorisées de cette manière soient choisies par avance de telle sorte que d'une part un fonctionnement du véhicule automobile soit possible avec les valeurs de remplacement, et de préférence soit possible de façon sûre, et que d'autre part ces valeurs de remplacement soient accordées sur l'appareil de commande de telle sorte que lors d'adaptations, réalisées par l'appareil de commande pendant le fonctionnement du véhicule automobile, des variables de travail, il n'existe pas le risque que les paramètres de travail prennent une valeur inadmissible.
Il est également préférable qu'une valeur de remplacement soit utilisée uniquement lorsque toutes les mémorisations sont différentes et qu'aucune de ces mémorisation ne possède un code de perturbation.
Cependant conformément à l'invention il est également prévu de sélectionner une valeur de remplacement précisément lorsqu'une mémorisation possède un code de perturbation.
Il est en outre préférable - dans la mesure où la valeur de remplacement est déterminée - de déterminer la valeur de remplacement en fonction des grandeurs des valeurs de comparaison ou des mémorisations.
Par exemple, on forme une valeur de remplacement conformément à une caractéristique déterminée, la caractéristique dépendant des mémorisations ou des parties marginales, que possède la bande déjà considérée plus haut, avec un enroulement maximum de valeurs de mémoire.
Il est également préférable que les valeurs de remplacement soient mémorisées dans une zone de mémoire, qui soit découplée essentiellement, du point de vue fonctionnel, des zones de mémoire pour les première à ième mémorisations. Cela signifie que dans le cas d'une défaillance du dispositif de mémoire, dans laquelle les première à i-ème mémorisations sont mémorisées, on puisse cependant intervenir sur la valeur de remplacement.
Il est également particulièrement préférable de mettre en oeuvre une stratégie de déplacement de secours lorsqu'une erreur concernant le seuil de changement de vitesse est identifiée. Par exemple on introduit une stratégie de déplacement d'urgence lorsqu'une valeur de remplacement pour le seuil de changement de vitesse est fixée ou si une telle valeur devait être fixée. Ceci est valable par exemple dans le cas où toutes les valeurs de comparaison sont différentes. Il est préférable de fixer une valeur peu vraisemblable pour le seuil de changement de vitesse. Une valeur peu vraisemblable est fondamentalement une valeur qui en propre se situe à l'extérieur d'une gamme admissible de valeurs. La sélection d'une valeur peu vraisemblable pour les seuils de changement de vitesse est préférable lorsque l'on n'est pas assuré par ailleurs que les perturbations ne sont pas si élevée que l'on ne puisse calculer aucune valeur de remplacement garantissant une fonction de changement de vitesse sûre. Dans la mesure où une fonction de changement de vitesse sûr est garantie - ce qui est également prévu conformément à l'invention -, il est également préférable que les seuils de changement de vitesse soient réglés sur des valeurs de remplacement vraisemblable. Il est également préférable que lors de la lecture des valeurs mémorisées, une vérification soit faite sur la base du chiffre de contrôle ou du code du chiffre de contrôle pour déterminer si la valeur mémorisée a été mémorisée correctement.
L'utilisation de chiffres de contrôle peut être réalisée à titre de complément d'une mémorisation multiple.
Il est également préférable que ceci soit exécuté à la place d'une mémorisation multiple. Il est préférable que, dans le cas où seule une mémorisation a été réalisée et où au moins un code de chiffre de contrôle ou au moins un chiffre de contrôle a été utilisé, la valeur mémorisée soit utilisée comme variable de travail lorsque le chiffre de contrôle ou le code du chiffre de contrôle concorde avec la valeur mémorisée.
Il en va de même pour l'utilisation de plusieurs codes de chiffres de contrôle ou de plusieurs chiffres de 35 contrôle.
Dans le cas de l'utilisation de codes de chiffres de contrôle ou de chiffres de contrôle en liaison avec les mémorisations multiples il est également préférable de contrôler, en référence aux chiffres de contrôle ou aux codes de chiffres de contrôle, si une i-ème mémorisation a été mémorisée correctement conformément au code de chiffre de contrôle. Dans la mesure où la réponse est affirmative, la mémorisation correspondante est prise en compte dans un autre mécanisme de sélection visant à sélectionner une valeur pour la variable de travail. Sinon, la valeur correspondante ou la mémorisation correspondante n'est pas prise en compte. Il est également préférable de remplacer les valeurs non concordantes, par des valeurs de remplacement. Ceci est préférable par exemple dans le cas d'une mémorisation simple, mais également dans le cas d'une mémorisation multiple.
Il est également préférable que des valeurs de remplacement soient utilisées lorsque la probabilité qu'une valeur mémorisée ou sélectionnée, qui a été lue dans l'appareil de commande lors de la mémorisation, est inférieure à une probabilité prédéterminée.
Il est préférable qu'une valeur sélectionnée ou sélectionnée de façon préliminaire soit transférée dans le dispositif de commande.
Il est particulièrement préféré que la vraisemblance de la valeur sélectionnée ou sélectionnée de façon préliminaire soit contrôlée dans le dispositif de commande ou bien déjà avant l'introduction dans le dispositif de commande. En ce qui concerne cette valeur il peut s'agir par exemple d'une première mémorisation ou d'une mémorisation redondante ou bien d'une mémorisation redondante transformée ou d'une mémorisation masquée ou d'une valeur de comparaison.
Par exemple dans le cadre du contrôle de 35 vraisemblance, on vérifie si la valeur sélectionnée se situe à l'intérieur d'une bande prédéterminée. Cette bande est mémorisée de préférence, par exemple par indication de limites d'intervalle, dans le ou un dispositif de mémoire. De préférence ces limites d'intervalle sont choisies de manière que soit garanti le fait que la limite supérieure de la gamme pour le paramètre alternatif considéré ne soit pas dépassée par valeur supérieure lors d'adaptations exécutées dans le cadre de la commande du véhicule automobile et que la limite inférieure de la gamme ne soit pas dépassée par valeurs inférieures lors d'adaptations correspondantes.
Il est préférable de sélectionner une valeur de remplacement lorsque la valeur sélectionnée auparavant n'est pas vraisemblable. Une valeur de remplacement peut être par exemple 10 mm pour le point d'attaque, 0,27 pour le coefficient de frottement, 0 pour le code du véhicule ou 900C pour la température de l'embrayage.
Il est également préférable que pour une valeur peu vraisemblable identifiée, on choisisse une valeur située dans un nouveau cycle en boucle. Ce cycle en boucle est exécuté de préférence en négligeant la valeur identifiée comme peu vraisemblable.
Conformément à une forme de réalisation particu- lièrement préférée de l'invention, on positionne des codes d'erreurs déterminés, tels que des bits d'erreurs, lorsque des erreurs prédéterminées ont été détectées ou qu'une combinaison d'erreurs prédéterminées a été détectée. Il est préférable par exemple de positionner un bit d'erreur lorsque la première mémorisation ne coïncide pas avec toutes les redondances associées à la première mémorisation ou bien lorsque les valeurs de comparaison ne concordent pas. Il est également préférable de positionner un bit d'erreur lorsqu'une mémorisation, telle que la seconde mémorisation, possède un code de perturbation tel que "FFFF". Il est particulièrement préférable de positionner un bit d'erreur lorsque toutes les valeurs de comparaison sont différentes et que par conséquent une valeur de remplacement a été sélectionnée. Il est également préférable de positionner un bit d'erreur dans le cas d'une erreur identifiée concernant le seuil de changement de vitesse. Conformément a une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, on positionne en outre un bit d'erreur lorsque, lors du contrôle de vraisemblance, une valeur a été identifiée comme peu vraisemblable et se situe par exemple à l'extérieur d'une gamme admissible.
Il est en outre préférable de transférer une valeur corrigée pour un paramètre de travail lorsqu'un bit d'erreur ou un code d'erreur a été positionné pour ce paramètre de travail.
Il est en outre préférable que dans le cas du positionnement de codes déterminés d'erreurs, on exécute une entrée dans la mémoire d'erreurs.
Par exemple, il est prévu conformément à l'inven- tion d'effectuer une entrée dans la mémoire d'erreurs lors-qu'un bit d'erreur a été positionné en raison du fait que toutes les mémorisations ou toutes les valeurs de comparaison sont différentes.
Il est en outre préférable d'effectuer une entrée dans la mémoire d'erreurs lorsqu'un bit d'erreur, qui indique qu'une valeur a été identifiée comme non vraisemblable, a été positionné.
Le problème est en outre résolu à l'aide d'un procédé pour accroître la capacité d'utilisation et/ou la capacité de fonctionnement d'un véhicule automobile et/ou pour détecter et/ou empêcher l'apparition d'erreurs de commande et/ou de fonctionnement dans le véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile qui comporte par exemple une unité de gestion électronique de l'embrayage, caractérisé en comporte les étapes consistant à : prédéterminer une variation dans le temps de de déplacement de consigne (rampe de la déplacement de consigne) pour un composant de tel qu'un régulateur; appliquer directement et/ou indirectement un réglage au composant de référence et/ou à couplé à composant de référence, pour composant de référence conformément à la prédétermination de la rampe de la course de déplacement de consigne, de manière qu'il s'établisse une variation dans le temps de la course de déplacement réelle (rampe de la course de déplacement réelle); - comparer au moins un paramètre prédéterminé de la rampe de la course de déplacement réelle à au moins un paramètre prédéterminé de la rampe de la course de déplacement de consigne pendant un créneau temporel prédéterminé et/ou à un instant prédéterminé; - transmettre au moins une première entrée d'erreur à un dispositif servant à recevoir des entrées d'erreur, et/ou déterminer qu'au moins une perturbation est présente ce qu'il la course course de référence, signal de un élément régler le lorsqu'un écart critères d'une d'erreur; transmettre au dispositif pour entre les paramètres satisfait aux première caractéristique d'entrée moins une j-ème entrée d'erreur à un la réception d'entrées d'erreur et/ou déterminer qu'au moins une j-ème perturbation est présente lorsqu'un écart entre les paramètres satisfait aux critères d'une j-ème caractéristique d'entrée d'erreurs, avec j (N>2), le ou les composants de référence étant contenus au moins en partie dans un dispositif de transmission de couple, tel qu'un embrayage, et/ou dans le dispositif d'actionnement 2883610 27 servant à actionner le dispositif de transmission de couple.
Conformément à l'invention il est prévu d'agencer un procédé pour accroître la capacité de l'utilisation et/ou l'aptitude au fonctionnement d'un véhicule automobile, et/ou détecter et/ou éviter des erreurs de commande et/ou des erreurs de fonctionnement dans un véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile avec une unité de gestion électronique de l'embrayage, de telle sorte que les variations de la course de déplacement de consigne et les variations de la course de déplacement de consigne et les variations de la course de déplacement réelle d'un composant de référence comme par exemple un régulateur, soient détectés et prédéterminés et que les introductions d'erreurs soient exécutées ou que des erreurs soient déterminées lorsque des écarts déterminés sont présents entre les paramètres de ces variations.
Conformément à l'invention il est prévu que dans le cas de la présence de perturbations, des subdivisions plus précises sont réalisées et qu'une entrée d'erreur est exécutée dans un cas, non seulement comme cela est proposé dans l'état de la technique.
S'il est prévu par exemple conformément à l'invention qu'une entrée d'erreur ou une désactivation du régulateur s'effectue lorsque le gradient de course réelle est essentiellement nul, mais également lorsqu'un écart déterminé existe entre le gradient de la course réelle ou le gradient de la course de consigne. Il est préférable d'effectuer une distinction entre le fait que le gradient de la course de déplacement de consigne est nettement supérieur au gradient de la course réelle et que le gradient de la course réelle de déplacement est nul.
Une telle distinction entre différentes 25 conditions de paramètres des courbes de la course réelle de déplacement et de la course de déplacement de consigne permet une évaluation plus détaillée de perturbation dans un véhicule automobile comportant un dispositif d'embrayage que cela n'était possible dans l'état de la technique. En particulier on peut obtenir conformément à l'invention des résultats indiquant qu'un étranglement indésirable ou un frottement accru est présent, ce qui serait le cas par exemple si le gradient de course réelle était nettement inférieur au gradient de course de consigne. Par exemple, on peut établir que le régulateur est appliqué contre une butée ou qu'il existe un coincement lorsque le gradient de course réelle est égal à zéro lors d'une surcharge du régulateur.
D'une manière particulièrement préférable, le procédé selon l'invention peut être exécuté par un dispositif d'actionnement d'un dispositif de transmission de couple tel qu'un embrayage.
De façon particulièrement appropriée, un tel dispositif d'actionnement comporte un dispositif cinétique.
Par exemple le dispositif d'actionnement possède un dispositif hydraulique. Il est en outre préférable que le dispositif d'actionnement possède au moins un maître- cylindre, dans lequel un piston du maîtrecylindre est déplaçable. Le piston du maître-cylindre comporte notamment de préférence une tige de piston. En outre de façon correspondante le cylindre récepteur est de préférence entouré par le dispositif d'actionnement, dans lequel le cylindre récepteur est monté de manière à être déplaçable.
Il est particulièrement préférable que le piston du cylindre récepteur possède une tige de piston. Les extrémités du piston, qui sont situées à l'opposé de ces deux tiges de piston, forment un système de préférence moyennant la présence d'une canalisation de liaison qui s'étend entre les deux cylindres. Il est particulièrement préférable qu'un liquide hydraulique soit présent au moins par instants à l'intérieur de ce système. Conformément à une forme de réalisation préférée de l'invention, il est en outre prévu dans le piston du maître-cylindre un perçage de reniflage, qui est relié au récipient du renifleur. Ce récipient de reniflage contient de préférence un milieu, dont la pression est sensiblement indépendante de la quantité de remplissage du récipient.
Il est particulièrement préférable que la quantité de remplissage du système ou sa pression ou sa composition soit maintenue essentiellement constante par l'intermédiaire de ce dispositif constitué par le récipient et le perçage formant renifleur.
Il est particulièrement préférable que la tige du piston récepteur soit connectée à un dispositif de réglage. L'embrayage peut être actionné par l'intermédiaire de ce dispositif de réglage.
Un dispositif de commande servant à commander le piston du maîtrecylindre ou sa tige de piston possède par exemple un actionneur ou un dispositif de commande hydraulique. Le dispositif de commande hydraulique fait par exemple partie d'un circuit hydraulique présent dans un véhicule automobile.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, une perturbation est déterminée ou une entrée d'erreurs est réalisée lorsqu'à un instant déterminé à l'intérieur d'un créneau temporel déterminé, la rampe de la course de consigne s'écarte de la rampe de la course réelle d'un écart supérieur à un écart maximum prédéterminé.
Une telle entrée d'erreur ou une telle détermination d'une perturbation est également exécutée de préférence lorsque pendant le créneau temporel déterminé ou à un instant prédéterminé, le gradient de la rampe de la course de déplacement de consigne (gradient de la course de consigne) diffère du gradient de la rampe de course de déplacement réelle (gradient de course de déplacement réelle), d'un écart supérieur à un écart maximum prédéterminé de gradient.
Il est également préférable d'effectuer une entrée d'une erreur lorsque pendant un créneau temporel prédéterminé ou à un instant prédéterminé, la rampe de la course de déplacement de consigne diffère de la rampe de la course de déplacement réelle, d'un écart supérieur à un écart de course de déplacement maximum prédéterminé et que le gradient de course de déplacement réelle présente simultanément, à cet instant, un écart inférieur à un gradient minimum prédéterminé de course de déplacement réelle.
Il est particulièrement préférable que les différentes entrées d'erreurs permettent d'identifier le type de perturbation.
Par exemple, on peut identifier une première entrée d'erreur lorsque le gradient de course de déplacement réelle se situe dans une zone déterminée. Une seconde entrée d'erreur permet d'identifier par exemple le moment où le gradient de course de déplacement réelle était nul.
De préférence, il est par conséquent également 25 prévu que le gradient minimum de course réelle soit supérieur à zéro.
L'écart de la course maximum ou l'écart de gradient maximum ou le gradient minimum de la course de déplacement réelle est par exemple une valeur constante prédéterminée.
Mais il est également préférable que l'écart de course maximum et/oul'écart de gradient maximum et/ou le gradient minimum de la course de déplacement réelle de la course de déplacement de consigne ou de la course réelle dépendent du gradient de la course de déplacement de consigne ou du gradient de la course de déplacement réelle ou analogue.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, une différence de course de déplacement de consigne est prédéterminée et ensuite l'intervalle de temps, dont on mesure le composant de référence pour vaincre cette différence prédéterminée de course de déplacement de consigne, est déterminé.
De préférence, on détermine sur la base d'une caractéristique d'association intervalle de temps - perturbation ou sur la base de l'intervalle de temps, quelle perturbation est présente.
Il est en outre préférable d'établir une distinction entre deux cas d'obtention de la course de consigne: par exemple il est prévu que seule est détectée la durée qui est nécessaire au composant de référence pour franchir une section de la course de déplacement prédéterminée.
Mais par exemple il est également prévu de détecter l'intervalle de temps dont a besoin le composant prédéterminé pour le réglage d'une position de consigne déterminée. C'est-à-dire que par exemple le composant dépasse tout d'abord la position recherchée, change ensuite de direction et dépasse la position de consigne dans la direction opposée, avant de modifier à nouveau sa direction, etc. Ce processus s'arrête lorsque la position de consigne est effectivement atteinte. De même des combinaisons des deux dernières possibilités sont prévues conformément à l'invention.
Il est préférable que la rampe prédéterminée de la course de consigne soit une rampe qui soit utilisée ou prévue lors du fonctionnement du véhicule.
Il est également préférable de prévoir, à des fins de diagnostic dans le fonctionnement en usine, des rampes prédéterminées de course de déplacement de consigne pour le fonctionnement de diagnostic. D'une manière particulièrement préférable, ces rampes de diagnostic sont spécialement adaptées au contrôle de perturbations particulières.
Il est en outre particulièrement préférable que, lorsque lors du fonctionnement normal du véhicule automobile, des différences course de déplacement de consigne - course de déplacement réelle et/ou des différences entre le gradient de la course de déplacement de consigne et le gradient de la course de déplacement réelle ou analogue soient détectées et exploitées. Ceci permet déjà l'affichage ou l'apparition d'une perturbation en cours de fonctionnement.
D'une manière particulièrement préférable il est prévu que, dans des situations dans lesquelles une perturbation est établie ou une entrée d'erreurs est exécutée, le régulateur soit débranché. Il est en outre particulièrement préférable de réaliser des corrections particulières de la variation de la course de déplacement de consigne.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, une rampe pour l'examen de la dynamique du système est prédéterminée en tant que rampe de course de déplacement de consigne.
Conformément à une forme de réalisation particulièrement préférée de l'invention, différentes rampes de course de déplacement de consigne sont prédéterminées et les rampes de course réelle sont détectées.
En référence à la combinaison de différentes réactions à différentes rampes de course de déplacement de consigne on peut obtenir d'autres résultats de diagnostic.
Par exemple conformément à l'invention, il est prévu une prédétermination d'une rampe de valeurs de consigne à montée essentiellement lente. Il est particuliè- rement préférée de prévoir en outre la prédétermination d'une rampe de course de déplacement de consigne à montée essentiellement rapide.
Il est particulièrement préférable de prédéterminer successivement une rampe de la course de déplacement de consigne à montée rapide et une rampe de la course de déplacement de consigne à montée lente. A titre d'exemple, on pourrait indiquer une possibilité de l'exploitation d'une telle succession de rampes de course de déplacement de consigne. Lorsqu'une entrée d'erreurs a été effectuée uniquement dans le cas d'une rampe de consigne à montée essentiellement rapide, c'est-à-dire qu'aucune entrée d'erreur n'a été effectuée dans le cas d'une rampe de la course de déplacement de consigne à montée essentiellement lente, on peut en conclure par exemple à un étranglement hydraulique indésirable.
Lorsque par exemple dans les deux rampes d'erreur indiquées précédemment, une entrée d'erreur a été effectuée, on peut en conclure par exemple à la présence d'un frottement indésirable.
Le problème est en outre résolu à l'aide d'un procédé caractérisé en ce que le code d'erreur est un bit d'erreur.
Selon une autre caractéristique, le procédé 25 comprend l'étape consistant à positionner un code d'erreur, tel qu'un bit d'erreur, lorsque - la première mémorisation ne coïncide pas avec toutes les redondances associées à la première mémorisation et/ou que les valeurs de comparaison ne coïncident pas toutes; et/ou - au moins une mémorisation, telle que la première redondance, comporte un code de perturbation, tel que "FFFF", et/ou la mémorisation et toutes les redondances et/ou toutes 35 les valeurs de comparaison sont différentes et une valeur de remplacement a été sélectionnée, et/ou - une erreur de seuil de changement de vitesse a été détectée, et/ou - lors du contrôle de vraisemblance, une valeur a été 5 identifiée comme peu vraisemblable.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend l'étape consistant à mémoriser au moins une valeur corrigée et/ou sélectionnée pour un paramètre de travail, lorsqu'au moins un code d'erreur pour ce paramètre de fonctionnement a été positionné.
Selon une autre caractéristique, le procédé comporte l'étape consistant à effectuer au moins une entrée dans la mémoire d'erreurs, lorsqu'au moins un code d'erreur prédéterminé a été positionné et/ou une combinaison prédéterminée de codes d'erreurs a été positionnée.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend l'étape consistant à effectuer une entrée dans la mémoire d'erreurs lorsqu'un code d'erreur a été positionné, code qui indique que la première mémorisation et toutes les redondances et/ou toutes les valeurs de comparaison sont différentes et qu'une valeur de remplacement a été sélectionnée.
Selon une autre caractéristique, le procédé comporte l'étape consistant à effectuer une entrée dans la mémoire d'erreurs lorsqu'un code d'erreur a été positionné, code qui indique qu'une valeur a été identifiée, lors du contrôle de vraisemblance, comme étant peu vraisemblable.
L'invention est en outre résolue à l'aide d'un procédé pour accroître la capacité d'utilisation et/ou la capacité de fonctionnement d'un véhicule automobile et/ou pour détecter et/ou empêcher l'apparition d'erreurs de commande et/ou de fonctionnement dans le véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile qui comporte par exemple une unité de gestion électronique de l'embrayage, caractérisé en ce qu'il comporte les étapes consistant à : - prédéterminer une variation dans le temps de la course de déplacement de consigne (rampe de la course de déplacement de consigne) pour un composant de référence, tel qu'un régulateur; -appliquer directement et/ou indirectement un signal de réglage au composant de référence et/ou à un élément couplé à composant de référence, pour régler le composant de référence conformément à la prédétermination de la rampe de la course de déplacement de consigne, de manière qu'il s'établisse une variation dans le temps de la course de déplacement réelle (rampe de la course de déplacement réelle); - comparer au moins un paramètre prédéterminé de la rampe de la course de déplacement réelle à au moins un paramètre prédéterminé de la rampe de la course de déplacement de consigne pendant un créneau temporel prédéterminé et/ou à un instant prédéterminé; - transmettre au moins une première entrée d'erreur à un dispositif servant à recevoir des entrées d'erreur, et/ou déterminer qu'au moins une perturbation est présente lorsqu'un écart entre les paramètres satisfait aux critères d'une première caractéristique d'entrée d'erreur; transmettre au moins une j-ème entrée d'erreur à un dispositif pour la réception d'entrées d'erreur et/ou déterminer qu'au moins une j- ème perturbation est présente lorsqu'un écart entre les paramètres satisfait aux critères d'une j-ème caractéristique d'entrée d'erreurs, avec j E {N>2}, le ou les composants de référence étant contenus au moins en partie dans un dispositif de transmission de couple, tel qu'un embrayage, et/ou dans le dispositif d'actionnement servant à actionner le dispositif de transmission de couple.
Selon une autre caractéristique, le dispositif d'actionnement comporte au moins un dispositif cinétique.
Selon une autre caractéristique, le dispositif d'actionnement comporte au moins un dispositif hydraulique.
Selon une autre caractéristique, le dispositif d'actionnement comporte au moins un piston de maître-cylindre, disposé de manière à être mobile dans un maître-cylindre et comportant une tige de piston; -au moins un piston de cylindre récepteur, disposé de manière à être déplaçable dans un cylindre récepteur et comportant une tige de piston, -au moins une canalisation de liaison hydraulique, qui est disposée entre le maîtrecylindre et le cylindre récepteur, - au moins un dispositif de réglage, qui est disposé entre la tige de piston du cylindre récepteur et l'embrayage, et - au moins un dispositif de commande pour la commande du piston du maître-cylindre et/ou de la tige de piston du maître-cylindre.
Selon une autre caractéristique, le dispositif de 25 commande comporte au moins un actionneur.
Selon une autre caractéristique, le dispositif de commande est au moins partiellement un dispositif de commande hydraulique.
Selon une autre caractéristique, le dispositif de 30 commande agencé au moins partiellement sous forme hydraulique comprend au moins une partie du circuit hydraulique du véhicule automobile.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend l'étape consistant à effectuer une entrée d'erreur dans au moins une mémoire d'erreurs et/ou déterminer qu'une perturbation est présente lorsque pendant un créneau temporel prédéterminé et/ou à un instant prédéterminé, la rampe du déplacement de consigne s'écarte de la rampe de la distance réelle, de plus d'un écart maximum prédéterminé de déplacement.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend l'étape consistant à effectuer une entrée d'erreur dans au moins une mémoire d'erreurs et/ou déterminer qu'une perturbation est présente lorsque, pendant un créneau temporel prédéterminé et/ou un instant prédéterminé, le gradient de la rampe de la course de déplacement de consigne (gradient de la course de déplacement de consigne) diffère du gradient de la rampe de la course réelle de déplacement (gradient de course réelle de déplacement) de plus d'un écart maximum prédéterminé.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend l'étape consistant à effectuer une entrée d'erreur dans au moins une mémoire d'erreurs et/ou à déterminer qu'une perturbation est présente lorsque pendant un créneau temporel prédéterminé et/ou un instant prédéterminé, la rampe de la course de déplacement de consigne diffère de la rampe de la course réelle de déplacement de plus d'un écart maximum prédéterminé et que le gradient de la course réelle de déplacement est à cet instant d'apparition de l'écart, inférieur ou égal à un gradient minimum prédéterminé de la course réelle de déplacement.
Selon une autre caractéristique, un premier gradient minimum prédéterminé de la course réelle de déplacement est égal à zéro.
Selon une autre caractéristique, au moins un second gradient minimum prédéterminé de distance réelle est supérieur à zéro.
Selon une autre caractéristique, l'écart maximum de course de déplacement et/ou l'écart maximum de gradient et/ou le gradient minimum de course réelle de déplacement a une valeur constante prédéterminée.
Selon une autre caractéristique, l'écart de la course de déplacement maximum et/ou l'écart de gradient maximum et/ou le gradient minimum de la course de déplacement réelle dépend de la distance de consigne et/ou de la course de déplacement réelle et/ou du gradient de la course de déplacement de consigne et/ou du gradient de la course de déplacement réelle.
Selon une autre caractéristique, le procédé 10 comprend l'étape consistant à : - fixer par avance au moins une différence prédéterminée de distance de consigne et/ou au moins une position prédéterminée de consigne, déterminer l'intervalle de temps, qui est nécessaire pour le composant de référence surmonte la différence prédéterminée de la course de déplacement de consigne et/ou atteigne la position de consigne, - déterminer, sur la base de l'intervalle de temps et d'une caractéristique d'association intervalle de temps 20 - perturbation, si et/ou quelle perturbation est présente.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend les étapes consistant à : - fixer par avance au moins une différence prédéterminée 25 de distance de consigne et/ou au moins une position prédéterminée de consigne, - déterminer l'intervalle de temps, qui est nécessaire à composant de référence pour éliminer par réglage la différence prédéterminée de distances de consigne et/ou pour compenser par réglage la position de consigne, - déterminer, sur la base de l'intervalle de temps et d'une caractéristique d'association intervalle de temps - perturbation, si et/ou quelle perturbation est présente.
Selon une autre caractéristique, au moins une rampe de la course de déplacement de consigne est une rampe, qui est utilisée lors du fonctionnement du véhicule automobile.
Selon une autre caractéristique, au moins une 5 rampe de la course de déplacement de consigne est une rampe qui est utilisée essentiellement uniquement pour le diagnostic.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend l'étape consistant à évaluer les différences valeur de consigne - valeur réelle et/ou la différence entre le gradient de la course de déplacement de consigne et le gradient de la course de déplacement réelle lors du fonctionnement du véhicule automobile.
Selon une autre caractéristique, au moins une 15 rampe de la distance de consigne est une rampe servant à examiner la dynamique du système.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend les étapes consistant à : - comparer au moins un paramètre prédéterminé d'une pre- mière rampe de la course de déplacement de consigne à au moins un paramètre prédéterminé de la rampe associée de la course de déplacement réelle conformément aux étapes selon au moins l'une des revendications 107 à 126, de manière à obtenir un premier résultat individuel, -comparer au moins un paramètre prédéterminé d'au moins une seconde rampe de la course de déplacement de consigne à au moins un paramètre prédéterminé de la rampe associée de la course de déplacement réelle conformément à pas selon au moins l'une des revendications 107 à 126 pour obtenir au moins un second résultat individuel, et comparer et/ou évaluer au moins une partie des résultats individuels pour produire un résultat global, comme par exemple un diagnostic d'ensemble.
Selon une autre caractéristique, au moins une rampe de distance de consigne est une rampe essentiellement lente.
Selon une autre caractéristique, au moins une rampe de distance de consigne est une rampe essentiellement 5 rapide.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend l'étape consistant à établir que dans le système il existe un étranglement hydraulique indésirable lorsque, dans le cas de la rampe de la course de déplacement de consigne essentiellement rapide, une entrée d'erreur dans au moins une mémoire d'erreur a été effectuée et/ou qu'une perturbation a été établie et que, dans le cas de la rampe de la course de déplacement de consigne essentiellement lente, aucune introduction d'erreur n'a été faite dans la mémoire d'erreurs et/ou aucune perturbation n'a été déterminée.
Selon une autre caractéristique, le procédé comprend les étapes consistant à établir que, dans le système, un frottement indésirable est présent lorsque, dans le cas de la rampe de la course de déplacement de consigne essentiellement rapide et dans le cas de la rampe de la course de déplacement de consigne essentiellement lente, une entrée d'erreur a été effectuée dans au moins une mémoire d'erreurs et/ou qu'une perturbation a été détectée.
En outre l'invention est résolue dans un véhicule automobile comportant au moins un dispositif pour la mise en oeuvre du procédé.
Un tel véhicule automobile comporte par exemple 30 un dispositif de commande pour la mise en oeuvre d'un procédé du type indiqué précédemment.
On indique que l'on peut mettre en oeuvre les différentes caractéristiques selon l'invention selon n'importe quelle combinaison. En particulier on peut prévoir des combinaisons de caractéristiques incluant la totalité ou plusieurs des caractéristiques. De même les procédés selon l'invention peuvent être utilisés de préférence en combinaison.
Il faut en outre indiquer que les formes de réalisation concernant tous les dispositifs connus, qui ne se rapportent pas à des documents déterminés, sont connus en premier lieu du demandeur / de l'inventeur de sorte que l'inventeur conserve tous ses droits concernant ces documents dans la mesure où ils ne sont pas connus du public.
On notera que dans le cas des combinaisons caractéristiques introduites par le terme "ou", ce "ou" doit être considéré d'une part en tant que "ou" mathématique et d'autre part en tant que "ou" excluant une autre possibilité.
On notera en outre que le terme de "commande" ainsi que des termes qui en sont dérivés doivent être considérés au sens large dans le cadre de l'invention. Ce concept inclut notamment une régulation et/ou une commande au sens de la norme allemande DIN.
Pour le spécialiste il est visible qu'au-delà des exemples de réalisation de l'invention représentés ici, on peut imaginer une multiplicité d'autres modifications et variantes et réalisations, qui entrent dans le cadre de l'invention. L'invention n'est notamment pas limitée aux formes de réalisation représentées ici.
D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention ressortiront de la description donnée ci-après prise en référence aux dessins annexés, sur lesquels: - la figure 1 illustre le déroulement, donné à titre d'exemple, d'un procédé selon l'invention; - la figure 2 représente une première courbe course de déplacement réelle - course de déplacement de consigne, qui est réglée sur la base d'une perturbation du système et qui peut être détectée à l'aide d'un procédé selon l'invention; et - la figure 3 représente une seconde variation course de consigne course réelle, qui s'établit sur la base d'une perturbation du système, qui peut être détectée à l'aide d'un procédé selon l'invention.
La figure 1 illustre le déroulement, à titre d'exemple, d'un procédé selon l'invention.
On a représenté ici notamment les étapes opératoires qui sont mises en oeuvre dans un procédé selon l'invention, pris à titre d'exemple, lorsque des données mémorisées d'une manière multiple sont transmises en retour dans le dispositif de commandé ou dans le contrôleur y.
Tout d'abord, le dispositif de commande est remise à l'état initial lors du pas 10. Ensuite les trois valeurs de mémoire (respectivement des grandeurs adaptatives), c'est-à-dire la première redondance et deux redondances, sont lues à partir de la mémoire EEPROM (pas 12).
Les deux redondances, qui sont mémorisées respectivement en tant qu'octets et à des adresses différentes, sont étendues respectivement à un mot (pas 14).
Les seconde et troisième mémorisations sont 25 masquées et comparées l'une à l'autre ou à la première mémorisation (pas 7).
Dans la mesure où ces trois valeurs comparées (valeurs de comparaison) sont identiques, la grandeur adaptative est formée par la valeur de la première mémorisation. Dans la mesure où deux valeurs sont identiques et où la troisième valeur diffère des précédentes, on règle la valeur adaptative sur la valeur de la première mémorisation dans le cas où la première mémorisation est l'une de ces deux valeurs. Mais dans la mesure où la première mémorisation n'est pas l'une des deux valeurs identiques, la grandeur adaptative est réglée sur la valeur de la première redondance.
Dans la mesure où - notamment dans le second mot ou dans la seconde mémorisation ou dans la première mémorisation redondante - un code d'erreur est établi, la grandeur adaptative est réglée sur la valeur de la première mémorisation. Si la seconde mémorisation n'est pas occupée avec le code de perturbation, la grandeur adaptative est positionnée sur une valeur de remplacement (pas 28). Dans la mesure où les pas 20 ou 22 ou 26 ou 28 ont été exécutés, les valeurs correspondantes sont mémorisées dans la mémoire EEPROM. Dans le cas du pas 18, un contrôle de vraisemblance de la grandeur adaptative ou de sa valeur est exécuté. Ce pas est également exécuté lorsque le pas 30 a été exécuté après les pas 20 ou 22 ou 26.
Dans la mesure où, lors du pas 32, une valeur vraisemblable est détectée, une partie de la procédure est terminée dans une certaine mesure, et le fonctionnement du véhicule automobile peut commencer. Mais s'il est établi que la ou les grandeurs adaptatives ou ces valeurs ne sont pas vraisemblables, la grandeur adaptative est fixée à une valeur de remplacement. En outre une entrée dans la mémoire d'erreurs est exécutée. Dans la mesure où une erreur est présente au niveau des seuils de changement de vitesse, une stratégie de déplacement de secours est déclenchée (pas 36).
Après exécution des pas 28 et 30, un bit d'erreur est positionné ou une entrée est exécutée dans la mémoire d'erreurs (pas 38).
Dans la mesure où une erreur de seuil de changement de vitesse a été détectée, une stratégie de déplacement de secours est déclenchée lors du pas 40.
La figure 2 représente une première courbe de variation course de déplacement de consigne É- course réelle de déplacement prise à titre d'exemple et qui peut être détectée et peut être qualifiée à l'aide d'un procédé selon l'invention.
La figure 2 représente une rampe de la course de déplacement de consigne 50, qui augmente ici à une valeur de - par exemple - 15 mm. La rampe de la course de déplace-ment de consigne 54, dont le gradient correspond essentiellement à celui de la rampe de course de consigne 50, s'arrête à environ 6 mm et maintient essentiellement constante la course de déplacement réelle de déplacement à partir de 6 mm. Etant donné qu'ici la course réelle n'a cependant pas encore atteint la course de déplacement de consigne, comme cela est indiqué par la flèche double 52, la course de déplacement de consigne est adaptée à la course réelle de déplacement. Cette disposition convient pour éviter d'au- tres dommages ou endommagements dans le système. Cependant une perturbation n'est pas décelable de ce simple fait.
Pour la détection et l'exploitation de la perturbation il faut établir ici que le gradient de la rampe de course réelle de déplacement 54 correspond essentiellement au gradient de la rampe de course de déplacement de consigne 50, tandis que la course réelle de déplacement diffère nettement de la course de consigne. Ces paramètres peuvent être utilisés pour l'exploitation.
La figure 3 représente une seconde variation course de déplacement de consigne - course réelle de déplacement à titre d'exemple, qui indique une perturbation dans l'ensemble du système.
La rampe de course de déplacement de consigne 60 monte à nouveau jusqu'à une valeur d'environ 15 mm. La course de déplacement de consigne s'élève seulement sur une distance qui est comprise entre 6 et 15 mm.
La différence entre la course de déplacement de consigne et la course réelle de déplacement n'est ici pas dimensionnée à une valeur aussi élevée que dans la représentation de la figure 2. D'une manière générale ici les gradients de la rampe 60 de la course de déplacement de consigne ainsi que de la rampe de la course réelle de déplacement 62 diffèrent très nettement. Ces données sont utilisées par le système pour l'exploitation. L'écart net entre les gradients indique une perturbation.
L'invention n'est pas limitée aux exemples de réalisation indiqués dans la description et au contraire de nombreux changements et modifications peuvent y être apportés.

Claims (26)

REVENDICATIONS
1. Procédé pour accroître la capacité d'utilisation et/au la capacité de fonctionnement d'un véhicule automobile et/ou pour détecter et/ou empêcher l'apparition d'erreurs de commande et/ou de fonctionnement dans le véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile et/ou pour faire fonctionner un véhicule automobile qui comporte par exemple une unité de gestion électronique de l'embrayage, caractérisé en ce qu'il comporte les étapes consistant à : -prédéterminer une variation dans le temps de la course de déplacement de consigne (rampe de la course de déplacement de consigne) pour un composant de référence, tel qu'un régulateur; - appliquer directement et/ou indirectement un signal de réglage au composant de référence et/ou à un élément couplé à composant de référence, pour régler le composant de référence conformément à la prédétermination de la rampe de la course de déplacement de consigne, de manière qu'il s'établisse une variation dans le temps de la course de déplacement réelle (rampe de la course de déplacement réelle); comparer au moins un paramètre prédéterminé de la rampe de la course de déplacement réelle à au moins un paramètre prédéterminé de la rampe de la course de déplacement de consigne pendant un créneau temporel prédéterminé et/ou à un instant prédéterminé; - transmettre au moins une première entrée d'erreur à un 30 dispositif servant à recevoir des entrées d'erreur, et/ou déterminer qu'au moins une perturbation est présente lorsqu'un écart entre les paramètres satisfait aux critères d'une première caractéristique d'entrée d'erreur; transmettre au moins une j-ème entrée d'erreur à un dispositif pour la réception d'entrées d'erreur et/ou déterminer qu'au moins une j-ème perturbation est présente lorsqu'un écart entre les paramètres satisfait aux critères d'une j-ème caractéristique d'entrée d'erreurs, avec j e {N>2}, le ou les composants de référence étant contenus au moins en partie dans un dispositif de transmission de couple, tel qu'un embrayage, et/ou dans le dispositif d'actionnement servant à actionner le dispositif de transmission de couple.
2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que le dispcsitif d'actionnement comporte au moins un dispositif cinétique.
3. Procédé selon l'une des revendications 1 à 2, caractérisé en ce que le dispositif d'actionnement comporte au moins un dispositif hydraulique.
4. Procédé selon l'une des revendications 1 à 2,
caractérisé en ce que le dispositif d'actionnement comporte au moins un piston de maître-cylindre, disposé de manière à être mobile dans un maître-cylindre et comportant une tige de piston; au moins un piston de cylindre récepteur, disposé de manière à être déplaçable dans un cylindre récepteur et comportant une tige de piston, au moins une canalisation de liaison hydraulique, qui est disposée entre le maître-cylindre et le cylindre récepteur, - au moins un dispositif de réglage, qui est disposé entre la tige de piston du cylindre récepteur et l'embrayage, et au moins un dispositif de commande pour la commande du piston du maître-cylindre et/ou de la tige de piston du maître-cylindre.
5. Procédé selon la revendication 4, caractérisé en ce que le dispositif de commande comporte au moins un actionneur.
6. Procédé selon l'une ou l'autre des revendications 4 et 5, caractérisé en ce que le dispositif de commande est au moins partiellement un dispositif de commande hydraulique.
7. Procédé selon la revendication 6, caractérisé en ce que le dispositif de commande agencé au moins partiellement sous forme hydraulique comprend au moins une partie du circuit hydraulique du véhicule automobile.
8. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce qu'il comprend l'étape consistant à effectuer une entrée d'erreur dans au moins une mémoire d'erreurs et/ou déterminer qu'une perturbation est présente lorsque pendant un créneau temporel prédéterminé et/ou à un instant prédéterminé, la rampe du déplacement de consigne s'écarte de la rampe de la distance réelle, de plus d'un écart maximum prédéterminé de déplacement.
9. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce qu'il comprend l'étape consistant à effectuer une entrée d'erreur dans au moins une mémoire d'erreurs et/ou déterminer qu'une perturbation est présente lorsque, pendant un créneau temporel prédéterminé et/ou un instant prédéterminé, le gradient de la rampe de la course de déplacement de consigne (gradient de la course de déplacement de consigne) diffère du gradient de la rampe de la course réelle de déplacement (gradient de course réelle de déplacement) de plus d'un écart maximum prédéterminé.
10. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce qu'il comprend l'étape consistant à effectuer une entrée d'erreur dans au moins une mémoire d'erreurs et/ou à déterminer qu'une perturbation est présente lorsque pendant un créneau temporel prédéterminé et/ou un instant prédéterminé, la rampe de la course de déplacement de consigne diffère de la rampe de la course réelle de déplacement de plus d'un écart maximum prédéterminé et que le gradient de la course réelle de déplacement est à cet instant d'apparition de l'écart, inférieur ou égal à un gradient minimum prédéterminé de la course réelle de déplacement.
11. Procédé selon la revendication 10, caractérisé en ce qu'un premier gradient minimum prédéterminé de la course réelle de déplacement est égal à zéro.
12. Procédé selon l'une ou l'autre des revendications 10 et 11, caractérisé en ce qu'au moins un second gradient minimum prédéterminé de distance réelle est supérieur à zéro.
13. Procédé selon l'une quelconque des revendications 8 à 12, caractérisé en ce que l'écart maximum de course de déplacement et/ou l'écart maximum de gradient et/ou le gradient minimum de course réelle de déplacement a une valeur constante prédéterminée.
14. Procédé selon l'une quelconque des revendications 8 à 12, caractérisé en ce que l'écart de la course de déplacement maximum et/ou l'écart de gradient maximum et/ou le gradient minimum de la course de déplacement réelle dépend de la distance de consigne et/ou de la distance réelle et/ou du gradient de la course de déplacement de consigne et/ou du gradient de la course de déplacement réelle.
15. Procédé selon l'une quelconque des 30 revendications à 14, caractérisé en ce qu'il comprend l'étape consistant à : - fixer par avance au moins une différence prédéterminée de distance de consigne et/ou au moins une position prédéterminée de consigne, - déterminer l'intervalle de temps, qui est nécessaire C) pour le composant de référence surmonte la différence prédéterminée de la course de déplacement de consigne et/ou atteigne la position de consigne, déterminer, sur la base de l'intervalle de temps et d'une caractéristique d'association intervalle de temps perturbation, si et/ou quelle perturbation est présente.
16. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 14, caractérisé en ce qu'il comprend les 10 étapes consistant à fixer par avance au moins une différence prédéterminée de distance de consigne et/ou au moins une position prédéterminée de consigne, déterminer l'intervalle de temps, qui est nécessaire à composant de référence pour éliminer par réglage la différence prédéterminée de distances de consigne et/ou pour compenser par réglage la position de consigne, déterminer, sur la base de l'intervalle de temps et d'une caractéristique d'association intervalle de temps perturbation, si présente.
17. Procédé revendications 1 à 16, rampe de la course de rampe, qui est utilisée automobile.
18. Procédé revendications 1 à 17,
et/ou quelle perturbation est selon l'une quelconque des caractérisé en ce qu'au moins une déplacement de consigne est une lors du fonctionnement du véhicule selon l'une quelconque des caractérisé en ce qu'au moins une rampe de la course de déplacement de consigne est une rampe uniquement pour le selon l'une quelconque des caractérisé en ce qu'il comprend l'étape consistant à évaluer les différences valeur de 35 consigne valeur réelle et/ou la différence entre le qui est utilisée essentiellement diagnostic.
19. Procédé revendications 1 à 18,
gradient de la course de déplacement de consigne et le gradient de la course de déplacement réelle lors du fonctionnement du véhicule automobile.
20. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1. à 19, caractérisé en ce qu'au moins une rampe de la distance de consigne est une rampe servant à examiner la dynamique du système.
21. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1. à 20, caractérisé en ce qu'il comprend les 10 étapes consistant à : comparer au moins un paramètre prédéterminé d'une première rampe de la course de déplacement de consigne à au moins un paramètre prédéterminé de la rampe associée de la course de déplacement réelle conformément aux étapes selon au moins l'une des revendications 1 à 20, de manière à obtenir un premier résultat individuel, comparer au moins un paramètre prédéterminé d'au moins une seconde rampe de la course de déplacement de consigne à au moins un paramètre prédéterminé de la rampe associée de la course de déplacement réelle conformément à pas selon au moins l'une des revendications 1 à 2C pour obtenir au moins un second résultat individuel, et comparer et/ou évaluer au moins une partie des résultats 25 individuels pour produire un résultat global, comme par exemple un diagnostic d'ensemble.
22. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 21, caractérisé en ce qu'au moins une rampe de la course de déplacement de consigne est une rampe essentiellement lente.
23. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 22, caractérisé en ce qu'au moins une rampe de la course de déplacement de consigne est une rampe essentiellement rapide.
24. Procédé selon les revendications 21 à 23
prises dans leur ensemble, caractérisé en ce qu'il comprend l'étape consistant à établir que dans le système il existe un étranglement hydraulique indésirable lorsque, dans le cas de la rampe de la course de déplacement de consigne essentiellement rapide, une entrée d'erreur dans au moins une mémoire d'erreur a été effectuée et/ou qu'une perturbation a été établie et que, dans le cas de la rampe de la course de déplacement de consigne essentiellement lente, aucune introduction d'erreur n'a été faite dans la mémoire d'erreurs et/ou aucune perturbation n'a été déterminée.
25. Procédé selon l'une quelconque des revendications 2-_ à 24 prises dans leur ensemble, caractérisé en ce qu'il comprend les étapes consistant à établir que, dans le système, un frottement indésirable est présent lorsque, dans le cas de la rampe de la course de déplacement de consigne essentiellement rapide et dans le cas de la rampe de la course de déplacement de consigne essentiellement lente, une entrée d'erreur a été effectuée dans au moins une mémoire d'erreurs et/ou qu'une perturbation a été détectée.
26. Véhicule automobile comportant au moins un dispositif de détection et au moins un dispositif de mémoire, pour la mise en uvre d'un procédé selon l'une des revendications 1 à 25, caractérisé en ce que dans des situations prédéterminées, des données peuvent être transmises du dispositif de commande au dispositif de mémoire et que des données peuvent être transmises du dispositif de mémoire au dispositif de commande, au moins une partie de ces données pouvant être mémorisées au moins en deux fois, par exemple trois fois, au moins partiellement dans le dispositif de mémoire.
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