FR2857634A1 - Dispositif de reglage longitudinal et de verrouillage en position predeterminee d'un equipement de vehicule - Google Patents

Abstract

La présente invention est relative à un dispositif de réglage longitudinal et de verrouillage en position prédéterminée d'un équipement de véhicule, tel qu'un siège, par rapport à deux rails parallèles (3) à section en "C" et à ouverture (O) dirigée vers le haut qui équipent le plancher horizontal dudit véhicule, cet équipement comportant deux paires de pattes disposées longitudinalement, symétriquement de part et d'autre de son axe médian longitudinal, chaque paire étant apte à être rendue solidaire d'un coulisseau (4) engagé dans le rail (3) correspondant, ce coulisseau (4) portant un curseur de verrouillage (5) adapté pour occuper deux positions extrêmes, à savoir :- une première position de réglage longitudinal dans laquelle il est escamoté dans l'espace intérieur (E) dudit rail et autorise le déplacement dudit coulisseau (4) à l'intérieur de ce dernier ;- une seconde position dite de verrouillage, dans laquelle il ressort partiellement dudit rail (3), par ladite ouverture (O), et coopère avec des moyens d'arrêt (321) portés par les ailes horizontales (32) du rail (3) qui bordent cette ouverture (O),Il se caractérise essentiellement par le fait que dans la face supérieure (40) dudit coulisseau (4) est prévue une réservation (400) dans laquelle est engagé ledit curseur (5), et qu'il comporte des moyens de guidage (7) aptes à autoriser le déplacement de ce curseur (5), entre lesdites positions extrêmes, selon un mouvement de translation.

Description

La présente invention se rapporte à un dispositif de réglage longitudinal

et de verrouillage en position prédéterminée d'un équipement de

véhicule, tel qu'un siège.

Les véhicules automobiles actuellement sur le marché sont 5 traditionnellement équipés de sièges avant montés coulissants par rapport au plancher, de manière à pouvoir régler longitudinalement leur position, c'est-à-dire selon la direction de déplacement dudit véhicule.

Avec le développement des véhicules dits monospaces et plus généralement des véhicules de loisirs, les sièges arrière sont très souvent prévus 10 indépendants les uns des autres.

Pour des raisons de confort et/ou d'agencement de l'espace intérieur, on souhaite pouvoir choisir l'emplacement des sièges dans la direction longitudinale.

Ainsi, on connaît des véhicules dont le plancher comporte, implantés 15 d'origine, des axes transversaux, sur lesquels on vient positionner et verrouiller les sièges. Il est prévu un nombre suffisant d'axes pour qu'un même siège puisse occuper deux, voire un nombre supérieur, de positions différentes.

Cette solution est pratique mais présente le désavantage de ne permettre le positionnement des sièges que dans certaines zones prédéterminées.

On connaît par ailleurs un système dans lequel des rails parallèles sont implantés longitudinalement dans le plancher. La position des sièges est réglable en translation par rapport à ces rails, de sorte que lorsqu'une position adéquate a été trouvée, on bloque le siège longitudinalement.

L'état de la technique en la matière est constitué par le document 25 DEA-19 924 579.

On y décrit en effet un système du genre précité qui comprend un coulisseau sur lequel vient se positionner un siège. A ce coulisseau est associé un curseur de verrouillage qui est fixé, grâce à un axe transversal, au coulisseau. Par un mouvement en arc de cercle centré sur cet axe, le curseur peut venir sélectivement 30 s'engager dans des échancrures prévues dans les ailes en regard dudit rail. Dans cette dernière position, le coulisseau se trouve bloqué, ce qui immobilise le siège.

Par contre, dès lors que le curseur est poussé vers l'intérieur du rail de manière à ne plus coopérer avec les échancrures, alors on peut déplacer comme on le souhaite le coulisseau et le siège associé.

Le fait que le curseur subisse un mouvement en arc de cercle fait que ce dernier risque de se bloquer, lorsque l'on souhaite qu'il coopère avec les 5 échancrures. C'est pourquoi on donne au coulisseau une longueur relativement importante, de manière à ce que le bras de levier du curseur soit également important et que toutes les tentatives de coopération avec les échancrures réussissent.

La présente invention a pour but de pallier cet inconvénient en 10 proposant un dispositif du même genre qui soit plus compact et dont la structure est simplifiée.

Il s'agit donc d'un dispositif de réglage longitudinal et de blocage en position prédéterminée d'un équipement du véhicule, tel qu'un siège, par rapport à deux rails parallèles à section en "C" et à ouverture dirigée vers le haut qui équipent 15 le plancher horizontal dudit véhicule, cet équipement comportant deux paires de pattes disposées longitudinalement, symétriquement de part et d'autre de son axe médian longitudinal, chaque paire étant apte à être rendue solidaire d'un coulisseau engagé dans le rail correspondant, ce coulisseau portant un curseur de verrouillage adapté pour occuper deux positions extrêmes, à savoir: -une première position de réglage longitudinal dans laquelle il est escamoté dans l'espace intérieur dudit rail et autorise le déplacement dudit coulisseau; - une seconde position dite de blocage, dans laquelle il ressort partiellement dudit rail, par ladite ouverture, et coopère avec des moyens d'arrêt 25 portés par les ailes horizontales du rail qui bordent cette ouverture.

Ce dispositif se caractérise essentiellement par le fait que dans la face supérieure dudit coulisseau est prévu une réservation dans laquelle est engagé ledit curseur, et qu'il comporte des moyens de guidage aptes à autoriser le déplacement de ce curseur, entre lesdites positions extrêmes, selon un mouvement de translation. 30 Selon d'autres caractéristiques avantageuses mais non limitatives de ce dispositif: - les moyens de guidage consistent d'une part en les parois latérales de ladite réservation, et d'autre part en au moins un doigt vertical, solidaire du fond de la réservation, et sur lequel est engagé, à coulissement, ledit curseur; - un ressort, emmanché sur ledit doigt, est intercalé entre le coulisseau et le curseur, de manière à constamment amener celui-ci en position de blocage; - la face supérieure du curseur comporte, dans les régions situées à 5 l'aplomb des ailes horizontales dudit rail, au moins une saillie apte à venir s'engager dans au moins une ouverture complémentaire prévue dans lesdites ailes, pour assurer ladite position de blocage; -ladite face supérieure présente une zone axiale et longitudinale formant surépaisseur, dont les bords longitudinaux présente un profil dentelé, 10 préférentiellement crénelé, tandis que le bord libre des dites ailes comporte des échancrures de forme complémentaires; - ledit équipement est pourvu de moyens d'actionnement du curseur entre lesdites positions extrêmes, tels qu'un levier actionnant une came apte à venir sélectivement en appui contre ledit curseur; - chaque coulisseau porte deux axes transversaux pour la fixation de chacune des paires de pattes; les pattes arrière, en prenant pour référence la direction d'avancement du véhicule, consistent en un crochet; - les pattes avant, en prenant pour référence la direction d'avancement 20 du véhicule, consistent en une pince à crochet fixe et à mâchoire mobile; -ledit équipement porte au moins une roue adaptée pour venir reposer et rouler au voisinage d'un rail, sur le plancher du véhicule; - ledit équipement consiste en un siège et en l'absence d'engagement de ladite pince sur l'axe correspondant, ledit siège occupe une position telle que le 25 bord avant de son assise est surélevé par rapport au bord arrière opposé.

D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtront à la lecture de la description détaillée qui va suivre, de certains modes de réalisation préférentielle. Cette description sera faite en référence aux dessins annexés dans lesquels: - la figure 1 est un schéma de principe montrant l'implantation d'un équipement de véhicule tel qu'un siège par rapport à deux rails longitudinaux et parallèles; - la figure 2 est une vue partielle en perspective d'un de ces rails et du coulisseau qui l'équipe; -les figures 3 et 4 sont des vues en coupe selon le plan P de la figure 2 du rail et de son coulisseau, le curseur de verrouillage occupant respectivement deux positions extrêmes à savoir une première position de réglage longitudinal et une seconde position de blocage; - la figure 5 est une vue de dessus d'une partie du rail et du curseur, destinée à illustrer leurs moyens de coopération mutuels; - la figure 6 est une vue similaire à la figure 4, montrant en plus une roue qui équipe le dessous du siège; -la figure 7 est une coupe partielle et longitudinale du coulisseau, destinée à illustrer la manière dont on agit sur le curseur pour lui faire occuper l'une ou l'autre des positions extrêmes; - la figure 8 est une vue de détail des moyens arrière de fixation du siège au rail; -la figure 9 est une vue partielle des moyens qui permettent la fixation de ce siège au niveau de sa partie avant sur le rail.

A la figure 1 est représenté en traits interrompus sous la référence 1, 15 un équipement de véhicule tel qu'un siège susceptible de pouvoir coulisser d'avant en arrière le long d'une paire de rails parallèles 3.

Dans d'autres formes de réalisation non représentées ici, ledit équipement consiste en une tablette, un mini-bar, un bac formant glacière, etc. L'avant du véhicule est référencé AV, tandis que l'arrière du 20 véhicule est référencé AR. Les rails 3 sont intégrés au plancher R du véhicule.

Le mouvement de coulissement du siège est symbolisé par la double flèche f.

Ce siège comporte deux paires de pattes référencées 2, qui sont disposées longitudinalement et symétriquement de part et d'autre de son axe médian 25 longitudinal XX'.

Les deux rails sont identiques. L'un d'entre eux est notamment visible aux figures 2 à 4.

Il s'agit d'un rail métallique à section en forme de C, qui comprend une paroi de fond 30, deux ailes parallèles et verticales 31, dites intermédiaires, 30 ainsi que deux ailes horizontales d'extrémité 32 qui se font face et qui sont séparées par une ouverture longitudinale O d'accès à l'espace intérieur E du rail.

Comme on le voit particulièrement à la figure 2, le bord libre 320 de ces ailes 32 comporte des échancrures 321 en forme de créneaux, dont on expliquera plus loin la fonction.

En utilisation, et comme le montrent les figures 3 et 4, le rail est destiné à être recouvert par une paire de profilés 8 en forme générale de < T .

La patte verticale 80 de ces profilés s'appuie contre les ailes intermédiaires 31 du rail, tandis que leur branche transversale 81 prend appui sur les ailes d'extrémité 32.

La branche transversale 81 se prolonge, du côté intérieur du rail, par 5 une tête 82 qui reçoit une garniture formant brosse 83. Ainsi, l'ouverture O du rail est isolée de l'extérieur par la paire de garnitures 83. Cela permet de l'isoler par rapport à des pollutions extérieures qui seraient amenées à rentrer dans le rail, tout en permettant, par écartement des poils de la garniture, de venir insérer, comme on le verra plus loin, les pattes 2 de l'équipement 1.

Dans le rail 3 est logé un coulisseau 4 qui présente une forme allongée, avec un corps central 41 généralement parallélépipédique, qui se prolonge, à chacune de ses extrémités, par deux branches longitudinales 42, séparées par un intervalle 43. Cela donne à ces extrémités la forme générale d'un étrier. Dans ledit intervalle 43 est monté un axe transversal 6 qui est solidaire de 15 chacune des branches 42.

Dans la face supérieure 40 de la partie centrale du corps 41 du coulisseau est prévue une réservation 400 qui s'inscrit dans une forme parallélépipédique et allongée longitudinalement.

Du fond de ce coulisseau et traversant verticalement la réservation 20 400 sont prévus deux doigts verticaux 7, par exemple cylindriques, décalés longitudinalement l'un par rapport à l'autre. Ces doigts présentent une hauteur telle qu'ils s'étendent jusqu'au niveau de l'ouverture O qui sépare les ailes 32 du rail 3.

Dans la réservation 400 est monté un curseur de verrouillage référencé 5. Sa partie inférieure présente une forme sensiblement complémentaire 25 de celle de la réservation 400.

Il est traversé, depuis son fond en direction de sa face supérieure par deux ouvertures 510 relativement larges qui se prolongent par un canal 511 plus étroit. Ces ouvertures sont destinées à permettre l'engagement de ce curseur sur les deux doigts 7.

Le diamètre des canaux 511 est légèrement supérieur à celui des doigts 7. Les ouvertures 510 sont cependant prévues suffisamment larges pour recevoir un ressort de compression 70, en appui d'une part contre le fond du coulisseau 4 et, d'autre part, contre le fond desdites ouvertures 510.

Ainsi que le montrent les figures 2 à 4, la face supérieure 50 du 35 curseur présente une zone axiale et longitudinale qui forme une surépaisseur 500.

Les bords longitudinaux de cette surépaisseur présentent un profil dentelé 501, en l'occurrence crénelé. La répartition de ces créneaux est telle qu'ils sont prévus pour venir se placer dans les échancrures 321 de forme complémentaire que présente dans le bord d'extrémité 320 des ailes 32.

La figure 3 représente une première position extrême du curseur de 5 verrouillage dans laquelle il est complètement escamoté dans l'espace intérieur E du rail et logé dans la réservation 400 du coulisseau. Dans ces conditions, ce coulisseau peut librement être déplacé selon l'axe longitudinal du rail (c'est-à-dire dans un plan perpendiculaire à celui du dessin).

Une autre position extrême du curseur est représentée à la figure 4. 10 Ici, les ressorts 70 (un seul est visible sur la figure) tendent à faire sortir le curseur de la réservation 400. Toutefois, il ne ressort que partiellement du rail 3, du fait qu'il est bloqué dans le sens vertical par les ailes 32 du rail 3. Dans cette situation, les bords longitudinaux à profil crénelé 501 du curseur coopèrent avec les échancrures complémentaires 321 du rail. En conséquence, le curseur 5 immobilise 15 le coulisseau 4 en direction longitudinale.

Grâce à cette structure, le curseur 5 ne peut se mouvoir entre les positions extrêmes que selon un mouvement purement translatif. De ce fait, les dimensions du coulisseau peuvent être réduites longitudinalement.

En se reportant à la figure 7, on constate que le siège 1 est pourvu 20 d'un axe transversal et horizontal 52 aux extrémités desquelles sont calées des poignées d'actionnement 53. Ces dernières sont par exemple accessibles de part et autre de l'assise du siège.

Sur l'axe 52 sont calées deux cames 54 (une seule est visible sur la figure 7) dont la forme est adaptée de manière à ce que, par basculement de la 25 poignée 53 autour de l'axe 52, elles viennent sélectivement s'appuyer contre le curseur 5 qui équipe le rail, pour lui impartir un mouvement translatif vertical, selon la double flèche g.

On comprend que dès lors que la poignée est déplacée pour engager le curseur dans le coulisseau, alors un déplacement longitudinal de ce dernier, dans 30 le sens de la double flèche f, est rendu possible. De cette manière on peut régler longitudinalement la position du siège.

Lorsqu'une position adéquate est atteinte, il suffit de relâcher la poignée pour que la came ne vienne plus s'appuyer contre le curseur. On se situe alors dans la position de la figure 7, le siège étant alors immobilisé.

Nous allons expliquer ci-après la manière dont on fixe le siège 1 sur les coulisseaux des deux rails parallèles 3.

Afin de ne pas impartir à ces coulisseaux l'ensemble du poids du siège, il est prévu sous l'embase de ce dernier deux paires de roues 9 placées de manière à venir reposer et rouler au voisinage de chacun des rails 3 sur le plancher du véhicule. Plus précisément et comme le montre la figure 6, les roues s'appuient sur la branche transversale 81 des profilés 8 précités.

En référence à la figure 8, les roues arrière du siège sont solidaires des pattes de montage 2, lesquelles sont adaptées pour venir coopérer avec le coulisseau 4, et plus particulièrement avec les axes 6 qui l'équipent. La partie inférieure 20 de cette patte est conformée en crochet 21, dont l'ouverture 22 est 10 horizontale et tournée vers l'avant. Par conséquent, pour engager ce crochet sur l'axe 6 du coulisseau, il suffit de lui impartir un mouvement longitudinal d'arrière en avant.

Les pattes 2 qui équipent l'avant du siège ont la forme d'une pince, comme montré à la figure 9. Cette pince comporte un premier élément à crochet 15 fixe 21, d'ouverture 22 dirigée verticalement.

La pince comporte également une mâchoire mobile 23 articulée sur le crochet fixe autour d'un axe horizontal et transversal 24. Cette mâchoire est déplacée au moyen d'une poignée 230 accessible par le côté du siège. A cette mâchoire est associé un ressort bistable 92, prévu pour lui conférer des positions 20 stables d'ouverture et de fermeture.

Sur le crochet fixe est articulé également, autour d'un axe 91, une patte de montage 90 d'une roue 9. Cette patte est associée à un ressort de traction 92 dont les extrémités d'accrochage sont référencées 920 et 921. L'extrémité 921 est solidaire du siège.

Grâce à ce montage, et en l'absence de connexion du siège sur les axes 6, le ressort 92 se détend et fait remonter le bord avant du siège vers le haut comme le montre la double flèche h.

Claims (11)

REVENDICATIONS

1. Dispositif de réglage longitudinal et de blocage en position prédéterminée d'un équipement (1) de véhicule, tel qu'un siège, par rapport à deux rails parallèles (3) à section en "C" et à ouverture (O) dirigée vers le haut qui équipent le plancher horizontal dudit véhicule, cet équipement comportant deux 5 paires de pattes (2) disposées longitudinalement, symétriquement de part et d'autre de son axe médian longitudinal (XX'), chaque paire étant apte à être rendue solidaire d'un coulisseau (4) engagé dans le rail (3) correspondant, ce coulisseau (4) portant un curseur (5) de verrouillage adapté pour occuper deux positions extrêmes, à savoir: - une première position de réglage longitudinal dans laquelle il est escamoté dans l'espace intérieur (E) dudit rail (3) et autorise le déplacement dudit coulisseau (4); - une seconde position dite de blocage, dans laquelle il ressort partiellement dudit rail (3), par ladite ouverture (O), et coopère avec des moyens 15 d'arrêt (321) portés par les ailes horizontales (32) du rail (3) qui bordent cette ouverture (O), caractérisé par le fait que dans la face supérieure (40) dudit coulisseau (4) est prévue une réservation (400) dans laquelle est engagé ledit curseur (5), et qu'il comporte des moyens de guidage aptes à autoriser le 20 déplacement de ce curseur (5), entre lesdites positions extrêmes, selon un mouvement de translation.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que moyens de guidage consistent, d'une part en les parois latérales de ladite réservation (400), et d'autre part, en au moins un doigt vertical (7), solidaire du fond de la 25 réservation, et sur lequel est engagé, à coulissement, ledit curseur (5).

3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé par le fait qu'un ressort (70), emmanché sur ledit doigt (7), est intercalé entre le coulisseau (4) et le curseur (5), de manière à constamment amener celuici en position de blocage.

4. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé par le 30 fait que la face supérieure (50) du curseur (5) comporte, dans les régions situées à l'aplomb des ailes horizontales (32) dudit rail (3), au moins une saillie (501) apte à venir s'engager dans au moins une ouverture complémentaire (321) prévue dans lesdites ailes (32), pour assurer ladite position de blocage.

5. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé par le fait que ladite face supérieure (50) présente une zone axiale et longitudinale formant surépaisseur (500), dont les bords longitudinaux présente un profil dentelé (501), préférentiellement crénelé, tandis que le bord libre (320) des dites ailes (32) comporte des échancrures (321) de forme complémentaire.

6. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé par le fait que ledit équipement (1) est pourvu de moyens d'actionnement du curseur (5) entre lesdites positions extrêmes, tels qu'un levier (53) actionnant une came (54) apte à venir sélectivement en appui contre ledit curseur (5).

7. Dispositif selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que chaque coulisseau (4) porte deux axes transversaux (6) pour la fixation de chacune des paires de pattes (2).

8. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé par le fait que les pattes arrière (2), en prenant pour référence la direction d'avancement du véhicule, 15 consistent en un crochet (21).

9. Dispositif selon la revendication 7 ou 8, caractérisé par le fait que les pattes avant, en prenant pour référence la direction d'avancement du véhicule, consistent en une pince à crochet fixe (21) et à mâchoire mobile (23).

10. Dispositif selon l'une des revendications précédentes, caractérisé 20 par le fait que ledit équipement porte au moins une roue (9) adaptée pour venir reposer et rouler au voisinage d'un rail (3), sur le plancher du véhicule.

11. Dispositif selon les revendications 9 et 10 prises en combinaison et dans lequel ledit équipement est un siège (1), caractérisé par le fait qu'en l'absence d'engagement de ladite pince sur l'axe (6) correspondant, ledit siège (1) 25 occupe une position telle que le bord avant de son assise est surélevé par rapport au bord arrière opposé.