FR2855060A1 - Appareil de soins medicaux anti-douleurs utilisant un magnetisme pulse qualifie - Google Patents

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Abstract

Dispositif pour associer, à des fins médicales anti-douleur, différentes qualités actives à la force d'induction bioélectromotrice des impulsions magnétiques pulsées à extra-basse fréquence. Il est caractérisé en ce qu'il comporte notamment: •1/ une source solaire d'alimentation externe primaire 1 avec régulateur 3, batterie 4 et filtrage, •2/ une pulsation magnétique émise selon la forme d'une onde amortie biologiquement compatible, par mise en circuit accordé d'un condensateur 8 et d'une bobine 12, •3/un dispositif de production de cette forme de pulsation par validation-inhibition d'un ensemble de transistors Mos-Fet, •4/ un mécanisme naturel de vibration audio émise par la bobine 12 au rythme de l'impulsion, •5/ un biocondensateur à la cire d'abeille 9 connecté à la bobine 12, •6/une forme et une biosubstance organiquement orientée des constituants physiques de la bobine 12, •7/ un modèle de base avec une fréquence "neurale" 2-22 Hz d'occurence des impulsions, dont les trains sont découpés par une onde vers 1Hz, •8/ une variante d'appareil avec une programmation alternant deux gammes de fréquences 2-22 et 32-40 Hz.

Description

i
La présente invention concerne un appareil de soins médicaux antidouleurs utilisant le magnétisme pulsé. Le dispositif comprend trois parties: *1/ une source d'alimentation électrique solaire à Haute Qualité Energétique, *2/ un boitier générateur d'impulsions et.3/ une (ou deux) bobine(s) émettrice(s) des impulsions magnétiques. 5 A partir de la force électromotrice d'induction E = AD/At, cet appareil suscite des courants de Foucault dans les tissus biologiques exposés à ses pulsations magnétiques.
Ces courants, souvent alternatifs, avec ou sans polarité marquée, sont nommés "courants faradiques" (par contraste avec les artificiels "courants galvaniques" de la stimulation par impulsions électriques.) Leurs forces sont supposées avoir une action sur l'ionisation en 10 milieu cellulaire organique, (notamment sur les ions Na+, K+, Ca+ +,) ainsi que sur les potentiels électro-cellulaires et sur les "portes" spécifiques de l'influx douloureux. La porosité biochimique du mur cellulaire est également redevable, selon un inventeur tel qu'Arthur Pilla 1990, à un mécanisme physiologique de biocybernétique, c'est-à-dire à un processus d'information au sens de Ludwig Boltzmann 1870 et des physiciens suivants 15 tels que Norbert Wiener 1948. Le magnétisme pulsé est supposé ainsi déplacer des ions organiques avec effet anti-douleur, soit par un effet de courant induit, activant le moment magnétique et la résonance propre à chaque type d'ion, (comme il ressort par exemple des brevets de Dr Fisher AG 1991,) soit par un effet d'information. Ainsi qu'il est évident dans son comportement entier à l'échelle grandeur, l'organisme vivant sensori-moteur réagit aussi à la fois à des forces quantitatives et à la fois à des formes et qualités associées à ces forces, à l'échelle tissulaire. Sachant que ce qui est optimal pour les appareils anti-douleurs est d'arriver à accroître les rémissions, en remontant vers les causes de la douleur en plus de la calmer pour un temps, il apparaît valable d'associer aux forces trois qualités pouvant améliorer l'efficacité du magnétisme pulsé anti-douleur: 25 Le but de l'invention est de mettre en oeuvre plusieurs qualités (à information active) associées à la quantité variable de force à extra basse fréquence des impulsions magnétothérapeutiques. Ces trois qualités sont notamment: *1/ la qualité de la source d'alimentation en énergie de l'appareil, (au sens de l'information, statistique ou probabiliste, qui peut être ainsi apportée à l'organisme vivant global,) *2/ la qualité de 30 la forme du signal magnétique pulsé proprement efficace vis-à-vis d'une maladie tissulaire dégénérative comme le rhumatisme, et enfin, *3/ la qualité biophysique des constituants de la bobine, ou applicateur d'ondes, posée ou enfilée sur l'organisme, et observée dans son retentissement psychophysique accumulatif.
Les dispositifs selon l'art antérieur sont presque toujours alimentés par le courant du secteur, ou encore sur piles pour les petits appareils portables. L'intérêt biologique éventuel de l'alimentation à énergie solaire n'est pas pris en compte. Psychologiquement, l'expérience hospitalière expérimentale montre pourtant que les patients consultants ont 5 presque toujours une adhésion positive en voyant les panneaux solaires à partir desquels ils seront soignés. (Symboliquement, le soleil est le père archétype des formes de vie et il est également le père du dieu de la médecine.) Physiologiquement, le courant d'origine solaire est un courant électrique porteur d'information, à condition que cette qualité en soit extraite. Dans le cas o les photopiles exposées au soleil sont faites d'un seul cristal, 10 le frémissement du photo-courant est maximal; ses variations, et ses vibrations portées, pourraient correspondre à la tonicité réputée comme étant contenue dans les incessantes variations de la lumière naturelle. Sur le plan technique les pulsions de suractivité de la lumière solaire suscitent nombre de surtensions électriques rapides, susceptibles de corroder l'électronique. Mais cette probabilité de corrosion indique précisément la présence d'un parasitage actif et venant du soleil. En le filtrant, une bio-information utile peut donc se trouver transmise vers l'organisme, à travers les impulsions émises par l'appareil de soins. Le filtrage biologiquement utile peut être réalisé en se basant sur l'archétype harmoniseur de la cire d'abeille et sur les travaux de Marcel Violet relatifs au filtrage biologiquement actif par les condensateurs à la cire d'abeille. (Les condensateurs 20 industriels d'antiparasitage utilisent généralement du papier métallisé.) Selon l'invention, le potentiel d'information biologique associée à la source d'alimentation d'un appareil de soins, est holistiquement maximal dans le cas d'une alimentation solaire à photopiles de qualité monocristalline, judicieusement suivie, au niveau de l'émetteur d'impulsions, par un condensateur filtrant ayant de la cire d'abeille pour diélectrique. 25 L'art antérieur montre qu'il y a deux modes praticables d'intensité de l'impulsion magnétique, pour atteindre des fenêtres d'efficacité thérapeutique. Soit on pratique la voie de la force quantitative d'induction, ce qui limite vite la montée en fréquence; soit on pratique la voie des hautes fréquences proches des radio-fréquences, ce qui limite très vite la force d'induction possible. La voie selon l'invention est celle de la force d'induction pure, selon une densité de flux de 50 à 500 Gauss, soit de 100 à 1000 fois l'intensité totale du géomagnétisme naturel. Cette induction est martelée à extra basse fréquence et elle est directement perceptible en vibrations mécaniques ou sonores par l'organisme. Une telle voie a pour avantage d'être propre et sans aucun danger connu par rapport à la force d'induction. La fréquence des impulsions ne peut que rester très basse, parce que pour obtenir la bonne forme de chaque impulsion, il est nécessaire de prendre du temps pour charger un condensateur 8. Ce temps de charge limite la périodicité possible des impulsions, notemment lorsque la forme d'impulsion choisie est celle de l'onde amortie efficace. Cette forme est en effet celle qu'on obtient très classiquement en déchargeant un condensateur dans une bobine. Elle implique un temps de charge lente suivi d'un temps rapide de décharge. Ces décharges pulsantes d'un condensateur dans une bobine adviennent en se suivant en cadence selon un train d'impulsions.
L'art antérieur utilise fréquemment un découpage des trains d'impulsions selon un 10 rythme à extra-basse-fréquence, entre 1 et 20 Hertz. Il est ainsi possible de se rapprocher de l'une des cinq sortes d'ondes du cerveau, ( 6 de 1,5 à 3,5 Hz, 0 de 4,5 à 7, ca de 8 à 12, 15 de 14 à 18, y de 20 à 30 Hz,) dites ici 'fréquences neurales". Selon Alsthom Int., N EP89870199, les ondes vers 2,6 Hz sont anti- inflammatoires, celles de 0 à 10 Hz sont antalgiques et vasodilatatrices, etc. De la sorte les appareils selon l'art antérieur proposent généralement des dispositifs de réglage de la fréquence, de la largeur, du timbre (c'est-à-dire du degré d'harmoniques simultanées) et de la forme de l'impulsion.
Mais la possibilité pratique d'une fréquence harmonique naturelle utilisable directement contre les rhumatismes arthritiques, n'est pas spécifiée. On sait que la fréquence neurale naturelle de relaxation alfa est en rapport avec la fréquence moyenne d'oscillation du 20 condensateur terre-ionosphère, lequel oscille avec une valeur autour de 7,8 Hz, dotée d'harmoniques. Il semble qu'une harmonique seconde de la fréquence naturelle de relaxation alfa, applicable aux tissus dégénératifs, puisse être vécue selon une fréquence autour de 35 Hertz, ainsi dans la plage entre 32 et 40, telle qu'on la trouve au coeur du spectre du ronronnement des félins. Selon l'art antérieur, la fréquence 35 Hz, ou encore 25 34 à 36, ne figure au mieux que pour le découpage des trains d'impulsions et non pas comme fréquence propre des impulsions. Il en est typiquement ainsi dans le brevet de K Chari, de Toronto, N WO 9901178, destiné à améliorer le système immunitaire.
En contraste, l'appareil selon l'invention offre trois réglages de fréquences. L'un est pour le découpage des trains, selon le rythme cardia, donc autour de 1,1 Hertz, (vers 30 69 par minute;) le second est pour les trains de fréquences neurales (entre 3 et 20 Hertz,) et le troisième est pour les trains d'impulsions de fréquence selon le ronron félin (soit entre 32 et 40 Hertz.) Un programmateur à minuterie et tempo réglables permet de passer automatiquement des fréquences neurales (qui, en réglage alfa, sont relaxantes et vasodilatatrices,) aux fréquences ron-ron (qu'on croit tissulairement plus efficaces.) Ce programmateur contrôle en particulier le nombre actif de condensateurs de décharge. En effet, en fréquence ron-ron, le temps possible de charge ne dépasse pas 25 ms, soit 4 fois moins qu'en fréquence neurale alfa; ceci réduit d'autant la quantité d'énergie chargeable, 5 ce qui impose de réduire alors par environ 4 fois la taille des condensateurs de décharge.
Les brevets selon l'art antérieur font état de dispositifs vibratoires et audibles qui sont ajoutés pour contribuer à la résonance dans les tissus. L'appareil selon l'invention obtient ce résultat de manière naturelle à partir du phénomène dit de "constriction magnétique"; celui-ci suscite un mouvement du fil conducteur, (par pression circulaire 10 vis-àvis de l'ensemble du fil d'une bobine parcouru par un courant rythmé.) On l'entend à la simple condition que les tours de fil ne soient pas trop bien serrés, ni en ordre trop parfait les uns avec les autres. En ne serrant pas trop les tours de fil et en ne coulant pas de vernis dans le bobinage, la bobine selon l'invention offre un mouvement de vibration sonore, d'amplitude contenue par l'élasticité du cuir de finition. Ainsi le patient peut entendre, et ressentir parfois directement dans ses os à l'intérieur de soi, le clac-clac des impulsions.
Selon l'art antérieur observé par le brevet européen de Inoué, N 81. 301791.0, il y a supériorité biologique anti-douleur des impulsions qui ont une forme d'oscillations amorties, correspondant à la décharge d'un condensateur dans une bobine. La difficulté 20 de réalisation fait la différence avec les appareils simplifiés à trains d'ondes entretenues qui attaquent directement une bobine. En effet le principe n'est pas toujours aisément mis en oeuvre, en raison de la nature des dispositifs utilisés pour brancher et débrancher le condensateur sur la bobine. Ainsi le système Inoue utilise un thyristor, ce qui impose à l'impulsion la forme d'onde du thyristor-triac et non une bonne forme biologique.
A partir d'une utilisation particulière de transistors Mos-Fet, de canaux N et P, les divers modèles d'appareils selon l'invention produisent des oscillations amorties.
Celles-ci ont alors quatre propriétés caractéristiques: *I/une pure forme d'oscillation amortie, correspondant à la fois à la décharge d'un condensateur dans une bobine au sens de Nikola Tesla, et correspondant à la fois à la forme du signal cardiaque, o2/un 30 effet d'induction marqué, doté d'une polarité magnétique, quoique alternant, *3/ une faculté de résonance tissulaire à partir des durées d'impulsion (soit ici autour de 100 Hz, ainsi qu'autour de 10 kHz) et enfin, .4/unfacteur d'amortissement. (En électricité, le facteur d'amortissement a d'une bobine de valeur L et de résistance R est a = R/2L. Cet amortissement fait décroitre la tension selon ô = a/N = R/2LN, tout en décalant la fréquence propre N du circuit résonant L, C, basiquement telle que N2 = 1/ 47r2LC, selon N' telle que: N'2 = (N2 - a2/47[2) . Cefacteur d'amortissement réduit ici l'incertitude: Il offre l'équivalent d'un exposant de Lyapounov, c'est-à- dire d'un exposant qui est crucial si on raisonne l'évolution possible d'un-système organique naturel en termes d'attracteurs de la physique probabiliste du chaos... On note par ailleurs que dans l'espace des phases o cette physique s'étudie, l'attracteur le plus commun est un tore, le tore de Poincaré.) L'impulsion magnétique pulsée est émise vers l'organisme à partir d'une bobine.
Selon les appareils de l'art antérieur il s'agit soit d'une bobine de type circuit imprimé, 10 soit un électro-aimant, soit une bobine cylindrique classique ou encore un anneau-tore.
Le dispositif selon l'invention suppose qu'il y a un particularisme "psycho-ergonomique" à utiliser une forme en tore réalisée à partir de mandrins toriques en bois cintré. Ces mandrins forment la base d'anneauxtores dont le diamètre intérieur libre est de 17 à 22 cm. (Ce diamètre qui permet de passer le bras ou la jambe, se trouve à la limite extrême 15 de ce que peut réaliser en frêne l'industrie du bois cintré.) Le bois cintré de frêne possède des fibres apparentes qui, par le cintrage, peuvent être mises à tourner dans le même sens et de manière semblable aux fils de cuivre. De la sorte l'apparence de la bobine porte naturellement une face Nord, celle dont les fibres tournent de la racine vers la cime dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, et une face Sud, dans le bon 20 sens. (Ce choix des faces magnétiques Nord et Sud est suivant le choix des physiciens.) Un terme psychophysique de base, celui de l'identification, peut alors jouer plus aisément. Chaque mieux- être, chaque sensation de moindre douleur, sinon état de douce euphorie, qu'apporte au patient le traitement, peut dès lors faire l'objet d'une identification avec l'anneau de bois poli et orienté qui est porté contre le corps ou dans 25 lequel le membre est enfilé. Cette identification permet une mémorisation accumulative dans l'esprit, et elle reste associée à l'objet. Dans ces conditions, le principe est que symboliquement la bobine se "rode" et amplifie peu à peu ses capacités curatives. On a ainsi, en essais hospitaliers de longue durée, des patients qui deviennent "addicts". Tout se passe comme si la bobine devenait pour eux une drogue très douce qui les libère de 30 plus en plus agréablement de leurs douleurs tissulaires dégénératives. L'effet va dans le sens contraire de l'accoutumance érosive à une drogue. L'éventuelle accumulation paisible de la capacité curative est donc vécue de mieux en mieux au fil des séances par le patient, sans le moindre risque d'effets secondaires préjudiciables.
Une variante de l'appareil permet de plus l'utilisation de deux bobines synchrones.
Ainsi qu'il est connu depuis Nikola Tesla, un principe "d'immersion magnétique" (en accord avec les lois de l'induction mutuelle des bobinages) peut s'appliquer dans la zone d'espace située entre deux bobines toriques de diamètre moyen D, séparées environ d'une distance A = D. Les bobines selon l'invention ayant un diamètre moyen actif de 26 cm, (de 20 à 30 cm,) il est possible d'obtenir une bonne immersion locale de la partie de l'organisme située entre les deux bobines séparées de 20 à 30 cm et plus, l'une de l'autre, (ce qui correspond à l'épaisseur moyenne du thorax humain.) Le modèle à deux bobines permet donc soit de poser les bobines à plat, une dessus la poitrine, une dessous, soit 10 d'enfiler les deux bobines sur un même bras ou jambe, en cernant la zone douloureuse, soit encore de traiter par enfilage les deux épaules ensemble, toujours avec les faces de polarités magnétiques inverses s'attirant etre elles.
Le procédé selon l'invention, à dessein d'associer, à des fins antidouleur, différentes qualités actives au pouvoir quantitatif des impulsions magnétiques à extra-basse fréquence, se caractérise ainsi par plusieurs aspects techniques. Les aspects caractéristiques de l'invention comprennent notamment: *1/ la source solaire d'alimentation primaire et son traitement, *2/ la forme d'impulsion selon une onde amortie (dotée d'une bonne similitude avec l'onde cardia biologique et dotée aussi d'une capacité de résonance tissulaire dans les graves et les aigus,) .3/le dispositif de production de la forme d'impulsion, .4/les dispositifs de réglage et de programmation de l'impulsion, *5/le mécanisme de vibration audible de l'impulsion dans la bobine, *6/ la forme et la substance organique orientée des constituants de la bobine.
L'invention est maintenant décrite plus en détails au moyen d'exemples de réalisation non limitatifs, en référence aux planches de dessins annexés, comportant 25 plusieurs figures.
La figure 1 est un synoptique de l'appareil, montrant les trois parties de l'appareil, l'alimentation, le boitier générateur, l'émetteur. La figure 2 montre la forme d'onde caractéristique de la pulsation magnétique selon l'invention. La figure 3 montre une utilisation type, ainsi qu'un schéma de réalisation, de la bobine 12. La figure 4 est un schéma synoptique détaillé du modèle à double gamme de fréquences, double bobine et programmateur. La figure 5 compare l'induction à distance d'un aimant permanent, par rapport à l'induction produite par une bobine 12. La figure 6 présente un exemple de réalisation électronique détaillée du modèle "120W' à simple gamme et à simple bobine.
Selon le synoptique représenté par la figure 1, l'appareil selon l'invention comporte trois sous-ensembles qui sont: l'alimentation, le générateur d'impulsions et l'émetteur d'impulsions. Le sous-ensemble "alimentation" comporte un panneau photovoltaïque à photopiles monocristallines 1, disposé en extérieur, face à la course solaire. Ce panneau est relié au sous-ensemble alimentation de l'appareil par une câblerie de descente 2. Cette câblerie comporte typiquement 3 fils de cuivre de section S généreuse, c'est-à-dire assurant autant ou moins de 2 Ampères/mm2; (Par exemple S = 4 mm2 pour un panneau débitant 5 Ampères, valide 1,25 A/mm2 maximum et 4,4 Ohms au kilomètre.) L'un des trois fils sert à relier le chassis métallique de montage du panneau solaire à la terre, ce qui facilite un premier filtrage du bruit électromagnétique ambiant, lequel est aujourd'hui très actif entre 100 MHz et 1 GHz. On sait qu'en raison de l'effet de peau à la surface du conducteur, la résistance du fil électrique en Haute Fréquence est bien plus grande qu'en continu. (Ainsi le fil de S = 4 mm2 de section va-t-il offrir une résistance de 400 Ohms par kilomètre en 100 MHz, et environ 1400 15 Q/km, soit 1,4 Q/m, en 1 GigaHertz.) Ceci fait que pour drainer à la terre 1 seul mA de pollution EM, il reste préférable d'avoir un conducteur de section S = 4 mm2, ou plus.
La câblerie de descente 2 aboutit dans le sous-ensemble alimentation proprement dit de l'appareil. Celui-ci comprend essentiellement un régulateur de charge 3 doté d'un indicateur lumineux, et une batterie 4. Il s'y ajoute, selon les modèles, des galvanomètres 20 indicateurs de courant 5 et de tension 6, ainsi que des interrupteurs et des connecteurs.
Les deux types de batterie, au plomb avec chargeur à tension constante, ou au nickel avec chargeur à courant constant, peuvent se présenter selon les variantes de l'appareil.
Le principe est que le panneau solaire 1, tant qu'il fait grand jour, émet en permanence un "ronflement" dans le circuit de l"appareil en fonctionnement. Le régulateur 3 doit donc 25 ne jamais shunter le panneau solaire pendant le fonctionnement. Ceci exclut les modèles de régulateur "plomb" qui shuntent à 13,8 Volts et qui réamorcent à 12,6 V. Le régulateur "plomb" selon l'invention coupe vers 13,80 V et réamorce vers 12,90 V, sachant que la tension de la batterie, de type "gel", formée, pleine et à vide, va se reposer vers 13,10 V (à 25 C.) Le tirage de démar:rage effectué sur la batterie fait passer régulièrement cette 30 tension sous 12,9 V et ainsi le régulateur 3 réamorce et laisse passer tout le photocourant pendant la marche de l'appareil. De la sorte, des ondes et sur-tensions parasites venant de la source solaire brute, auxquels s'ajoutent des effets de "retours de manivelle" dus à la self-induction depuis la bobine 12, vont parcourir l'appareillage électronique. Aussi pour protéger les composants électroniques et en assurer la bonne marche sans heurts, le sous-ensemble alimentation va se trouver complété, à l'intérieur du boitier "génération de l'impulsion" par un système de filtrage classique, à étages, plus ou moins élaboré selon les modèles. Le condensateur à la cire d'abeilles 9 qui clôt l'aspect qualitatif élevé de l'alimentation "solaire", avec la-prétention àen harmoniser et filtrer les ondes biologiques utiles, ne se trouve pas dans le sous-ensemble alimentation; il se trouve en fait placé vers la sortie "bobine", dans le boitier qui correspond au bloc "génération de l'impulsion".
Le sous-ensemble "génération de l'impulsion" occupe le boitier principal de l'appareil selon l'invention. Il comprend basiquement un jeu de condensateurs de charge-décharge 8 qui sont généralement de type "démarrage," non polarisés, mais qui peuvent, dans la variante simplifiée, se réduire à un seul condensateur électro-chimique aluminium polarisé, d'une valeur par exemple de 220 guF; sous 450 Volts maximum. Ce jeu 8 est chargé en Haute Tension "HT", par un dispositif de charge 7, selon une plage de l'ordre de 150 à 400 Volts. Il est suivi bien entendu d'un dispositif de décharge commandée 10 (établissant le circuit à travers la bobine.) La commande provient du dispositif 11, "ctrl", de contrôle, réglage et de mise en forme de l'impulsion. Le dispositif 11 commande essentiellement la charge, la décharge, et le nombre de condensateurs en service. (Ceci étant, le boitier "génération de l'impulsion", tel qu'il inclue le dispositif 11, peut comprendre en tout jusqu'à sept parties, ainsi qu'il apparaît sur la figure 4.) 20 Selon le principe classique de la production d'ondes amorties, le jeu 8 de condensateurs en parallèle est mis brusquement à décharger de manière oscillante dans une bobine 12. Par ailleurs la bobine est elle-même montée avec le condensateur cire d'abeille 9 selon un système vibratoire, système réputé biologiquement filtrant selon les principes de l'ingénieur Marcel Violet. A sa suite, la ou les, bobine(s) 12 constituent, 25 avec leur câblerie de liaison, le sous-ensemble "émission de l'impulsion".
Avec une inductance L de 10 à 12 mH et un condensateur de 220 /F, l'onde pure aura une période T. La formule de Thomson, T2 = 47r2LC, permet de calculer T. Mais la période réelle T' du circuit est l'onde amortie par le facteur a = R/2L, qui se calcule alors selon la formule 1/T'2 = 1/T2 cc2/4n2. Alors, de T à T', on a ici 2,5 % de plus: Avec une 30 résistance interne R = 3,5 n et L = 12 mH, on a a2/472 = 0,05.104, et 1/T2 = 1,04. 104; d'o 1/T'2 = 0,99.104. La période T' réelle est donc ici de l'ordre de 10 millisecondes.
En fonction de l'impulsion selon l'invention, la question qui se pose est de savoir si cette période de 10 ms est la durée qui est optimale pour favoriser l'antalgie et le soin organique. La réponse est qu'avec la forme d'onde selon l'invention, pour laquelle l'impulsion de commande X dure les 2/3 de la période T', il est biologiquement valable d'allonger la durée de l'impulsion T, notamment en gamme de fréquence "ron-ron", pour laquelle le condensateur 8 mis en service vaut 65 j/F et donc implique T" = 5,3 ms.
Pour allonger l'impulsion t, il est possible d'augmenter L et donc la longueur A de fil bobiné dessus. D'après Nagaoka, l'inductance L d'une bobine vaut L = k,.A2/e. Pour la bobine de diamètre D et d'épaisseur e, la valeur du coefficient ki varie selon le rapport i = D/e. On a k9 t 0, 16.10'7, pour un rapport D/e de l'ordre de 8 à 10; et k5 = 2kg pour D/e = 5. On peut donc songer à réduire D ou augmenter e, pour allonger t. Mais ceci implique une modification de la forme qui passerait de tore-bobine vers cylindre-bobine; cela ferait donc perdre l'ergonomie enfilable et la symbolique de l'anneau. Il serait enfin également possible d'accroltre la capacité C du condensateur 8. Mais ceci implique de réaliser une alimentation, et un système de charge, de plus en plus importants; et cela n'est pas aisément compatible avec le principe de haute qualité solaire de la source. 15 La bobine12, émettrice du magnétisme pulsé selon l'invention, ne peut donc qu'avoir typiquement une longueur A de fil bobiné comprise entre 100 et 200 mètres.
Cette longueur assure que pour l'anneau-tore de rapport D/e compris entre 8 et 12, on aura une inductance L de valeur comprise entre entre 9 et 22 mH. Cette plage de valeurs de L est celle qui permet de produire, selon les valeurs de C possibles, des ondes amorties commandées par des durées d'impulsions adéquates aux soins selon l'invention; la durée est entre 4 ms et 7,5 ms. Avec 100 m de fil sur un diamètre D moyen de 20 cm, le nombre de tours est de l'ordre de 145. Pour 200 m sur un diamètre D moyen de 23 cm, le nombre atteint les 265 tours. De la sorte le nombre type de tours de fil enroulés sur une bobine torique selon l'invention est de 145 à 265 tours. Ceci implique, 25 avec du fil émaillé rond de diamètre d = 1, 2 mm, permettant de passer de l'ordre de 55 fois par cm2 de section, que le mandrin offre une section à bobiner de 2,5 à 5 cm2.
Il est caractéristique de la bobine en anneau-tore selon l'invention que la section bobinable soit de 2,5 à 5 cm2. De la sorte l'épaisseur e moyenne de la bobine vaut de 1,5 à 2,5 cm. Avec un entourage sur 3,5 côtés réalisé par du bois massif de 0, 6 cm d'épaisseur, la section apparente externe de l'anneau-bobine se tient dans un cadre de l'ordre de 3x3 cm; son pied repose sur un cercle de diamètre intérieur vide 20 cm.
L'ergonomie enfilable fait préférer pour les soins une section externe ronde, pseudo-circulaire; à l'opposé la fabrication requiert une section à base rectangulaire. La réalisation de l'anneau-bobine selon l'invention présente donc de manière caractéristique une section en carré aux angles bien arrondis par un rayon de courbure r valant de 3 à 6 mm. L'aspect de trois des côtés, ou faces, montre un même jeu de veines et fils du bois massif cintré. De manière typique mais non exhaustive, le côté le plus externe offre en plus une bande de cuir de finition, ainsi qu'un habillage en cuir de la jonction avec le cable de liaison. Les faces latérales, magnétiques Nord et Sud, sont repérées et fléchées selon le sens du bois, les fibres de bois tournant des racines vers la cime dans le sens des aiguilles d'une montre sur la face Sud, - et tournant dans le sens inverse sur la face Nord.
La figure 4 montre un plan synoptique détaillé du contenu du boitier du "générateur d'impulsions" à double gamme de fréquences. Les six sousensembles sont ici: 1/l'alimentation, -2/le programmateur, .3/l'impulsion (mise en forme et contrôle), *4/ la charge (du jeu de condensateurs 8), o5/leur mise en décharge (en relation avec la, ou les, bobines,) 6/ le jeu variable de condensateurs 8, auquel s'ajoute le fonctionnement du condensateur à la cire d'abeille 9. L'ensemble aboutit à la connexion vers les bobines. 15 Le sous-ensemble "alimentation" du boitier continue et complète l'alimentation externe dotée de son panneau solaire 1. Selon les modèles, le boitier comprend ou non une batterie interne 13, classiquement associée à un régulateur de charge 14. Dans ce cas le panneau arrière du boitier comporte un inverseur 15 permettant de choisir entre la source externe normale et la batterie interne. La source choisie va à un interrupteur 20 général 16, Arrêt-Marche, disposé en face avant du boitier. Vient ensuite un fusible non représenté, puis un filtrage technique des ondes parasites circulant dans la ligne "12 Volts Brut." Dans l'exemple, le filtre est à deux degrés, réalisé avec masse commune. Il débute par une bobine d'arrêt 17, de 4 mH, montée en série et classiquement couplée à un condensateur polarisé 18 de 4800 /F. On a de lasorte une source "12 Volts Pré-filtré" 25 utilisable pour alimenter les voyants, bobine de relais, ventilateur et buzzer musical. Elle est suivie par un classique filtre à diode, résistance et capacité, associé à une diode Transil écrétant sous 15 Volts. Ce filtre est doté d'une constante de temps de type t = RC, soit ici 13 millisecondes. Cette constante de temps s'avère suffisante pour contrer le choc retour des impulsions de durée quelque 4 à 7 ms, dont le débit maximal se fait selon une périodicité supérieure à 25 ms. On dispose de la sorte d'une source "12 Volts Filtré". Dotée d'une impédance de plus de 30 Q, elle est de débit modeste. Sous 30 mA, sa chute de tension est de l'ordre de iVolt. Elle alimente donc les circuits électroniques sensibles et peu consommateurs de courant. (Les montages de ces circuits intégrés CMos sont ici généralement découplés avec des classiques 100 nF, tandis que la réalisation selon l'invention s'est efforcée aussi de limiter la consommation de leurs composants annexes.) Un indicateur de la tension brute disponible figure également en face avant du boitier. Dans l'exemple il est basé sur un galvanomètre 19, de 30 pA, plagé de 9 à 15 Volts à l'aide d'une diode zéner de 9,1 Volts, suivie d'une résistance ajustée à 200 k .
Le sous-ensemble "programmateur" sert essentiellement à passer automatiquement d'une gamme de fréquences à une autre, selon un tempo choisi et une durée choisis. Ceci est du à ce que les pulsations de la gamme neurale, notamment en alfa, (de 8 àl 1 Hz)sont certes relaxantes et vasodilatatrices; mais elles peuvent être moins efficaces, 10 pour susciter localement une antalgie et une restauration tissulaire, que les impulsions de la gamme ron-ron, (32 à 40 Hz). En alternant d'une gamme à l'autre, selon un tempo adéquat, réglé par l'inverseur 20, on obtient à la fois un traitement anti-rhumatismal plus actif et une bonne relaxation vasodilatatrice anti-tension. L'alternance entre gammes fait intervenir le programmateur sur quatre points: - sur les fréquences d'impulsions, sur la durée d'impulsion, - sur la dimension du jeu de condensateurs 8, (qui devient plus réduit en fréquence "ron-ron",) ainsi que - sur des moments d'inhibition que la technique requiert lors des alternances.
Le sous-ensemble '"programmateur" est initié en pressant un bouton 21, qui agit sur l'entrée d'horloge d'une bascule anti-rebond 22, ce qui en fait basculer la sortie ainsi 20 que le voyant 25 éclaire et que le diviseur 23 commence à compter; ceci advient selon une oscillation de période réglable par le potentiomètre 24, suivie d'un classique jeu de division par 2 affectant d'une durée les sorties Q. La sortie Q10, ou Q12, sélectionnée par l'inverseur de tempo rapide ou lent, 20, s'associe à la sortie Q14 pour marquer la fin du programme et pour agir sur une double logique d'inhibition, côté charge comme côté 25 impulsion. Les sorties Qi agissent aussi sur une logique assurant l'alternance entre les gammes neurale et ron-ron, selon trois commandes liées. La fin du programme est signalée par la mise en route du buzzer musical 54, lequel prévient de la nécessité d'appuyer sur le bouton 66 pour que le programme s'arrête. Le faire provoque la remise à zéro de la bascule 22; de la sorte le voyant vert 25, témoin d'une programmation en marche, s'éteint. Il reste possible, par action sur l'inverseur "gamme" à trois positions, 26, d'affecter la logique de commandes 55. Deux des trois positions inhibent le programme en forçant l'une ou l'autre des gammes de fréquences. La position médiane de l'inverseur 26 valide le fonctionnement du programmateur et permet l'automatisme alternant.
Le sous-ensemble "impulsion" reçoit cinq commandes depuis la logique du programmateur; elles sont toutes liées au changement de gammes de fréquences. Les deux premières assurent le changement de gamme d'oscillation et de durée d'impulsion associée. Il est mis en service, dans un même oscillateur 27, un des deux potentiomètres de réglage, "neural" 28 ou "ron-ron" 29; il est mis également en service, dans un même monostable 30, une des deux résistances de réglage de durée d'impulsion, "neurale" ou "ron-ron". Ceci est opéré à l'aide d'un inverseur électronique 31. Le monostable 30 est inhibé à mi-temps par un oscillateur à onde carré 32, ajusté par un potentiomètre "cardia" 33. L'oscillateur 32 est lui-même bloqué dès la fin du programme, par la troisième commande logique du programmateur. La quatrième commande actionne le relais 34; ce relais de forte puissance met en service l'ensemble du jeu de condensateurs 8 en cas de fréquence "neurale", ou seulement une partie du jeu 8 en cas de fréquence "ron-ron". A l'alternance, pour éviter de surcharger le relais 34, un temps d'inhibition de la charge de 8 est opéré à l'aide de la cinquième commande logique du programmateur. 15 La sortie du monostable 30 produit l'impulsion de durée T qui agit sur trois objets: Elle commande un monostable 35 actionnant un photocoupleur 36, ainsi qu'à la fin de l'impulsion T, durant le choc de courant retour et la coupure finale, le condensateur à la cire d'abeilles 9 soit mis en circuit oscillant amorti direct avec la (ou les) bobine(s) 12.
L'impulsion commande également, à travers un driver simplifié 37, le jeu de transistors 20 MosFet canal N, 38; ce jeu 38 assure alors la décharge oscillante du jeu de condensateurs 8 dans la bobine 12. Enfin, à travers une logique 39, l'impulsion commande l'éclat d'un voyant rouge 40, ainsi qu'elle suscite un double mécanisme d'inhibition de la charge des condensateurs. Pour avoir la bonne forme des ondes amorties, il est en effet nécessaire que pendant l'impulsion T le circuit Haute Tension, HT, comprenant le + bobine et le pole + des condensateurs 8, soit complètement dissocié du circuit assurant la charge HT.
Il est caractéristique de l'exemple selon l'invention que la bonne forme de l'onde magnétique curative soit obtenue en coupant la relation à la masse du pont de diodes HT, 41, à l'aide d'un transistor MosFet canal P, 42, commandé par la logique 39 assistée d'une source ponctuelle d'alimentation -12 Volts, 43. Dans d'autres variantes plus simples, le transistor 42 coupe directement l'alimention HT de charge du condensateur 8, pendant la durée de l'impulsion T. Dans tous les cas ceci est simultanément associé à une inhibition de la logique driver 44 (charge) . Cette logique driver 44 fonctionne normalement selon deux sorties à états complémentaires, alternantes au rythme d'un oscillateur 45. Ces deux sorties sont égales à zéro pendant les périodes d'inhibition.
Le niveau de tension de charge HT est réglé par un potentiomètre "puissance" 46.
Celui-ci affecte le seuil de basculement d'une logique comparée 47, recevant à travers des diodes zéners 48, l'état du voltage HT. Le basculement du comparateur entramne l'inhibition de la logique driver 44, ce qui limite ainsi la charge des condensateurs 8.
Le mécanisme de charge HT selon l'exemple est classique. L'oscillateur 45 assure, à travers la logique driver 44 commandant un couple de transistors Mos Fet canal N, 48, l'attaque alternante selon un signal carré du double secondaire d'un transformateur 49. 10 Le point milieu du secondaire reçoit l'alimentation en + 12 Volts Brut, sérieusement tamponnée par un condensateur 50, 4800 gF, 35V, prévu pour une ondulation de 8 A. L'attaque d'un transformateur par signal carré fait que la HT qu'on peut recueillir au primaire, à travers le pont de diodes 41, est au plus dans le rapport p de transformation, selon HT = p.BT: La charge ne devrait donc pas pouvoir dépasser les 230 Volts, si l'on 15 utilise un transformateur 12--230. Mais avec le montage selon l'invention d'un tel type de transformateur, la charge à vide des condensateurs 8 s'avère pouvoir monter jusqu'à 300 Volts et plus. Un autre modèle avec transformateur de rapport 9--230 permet de monter jusqu'à 400 Volts et plus, ce qui est aux limites de ce que peuvent endurer les condensateurs HT commerciaux, qu'ils soient chimiques alu, ou de type polypropylène. 20 La consommation énergétique du dispositif de charge, ainsi que la dimension du transformateur, peuvent devenir importantes et atteindre des limites. Pour charger un condensateur C sous une tension V, il faut une énergie minimale Wm = 1/2. CV2. Avec un rendement global qui n'excède pas 60 %, la consommation est Wr = 0,83.CV2. Si l'appareil doit pouvoir fournir ceci 12 fois par seconde, avec un condensateur de 220 gF, 25 la puissance requise est Pr = 2,2.10'3.V2; Comme Pr agit en permanence dans un des deux secondaires, la puissance du transformateur selon l'invention est Pt = 2.Pr- Si le plus gros modèle est fait avec Pt =300 Watts, la consommation est de 12,5 Ampères sur l'alimentation et la haute tension HT moyenne possible, enfréquence neurale 12, est alors telle que: V2m, = 300/2x2,2x10-3 = 6,82. 104; d'o V,,12 = 261 Volts. Enfréquence 9, 30 laquelle est unefréquence alfa couramment utilisée, on atteint alors: V2 9 = 348 Volts.
(Note: Le mot 'fréquence" est dans la présente description généralement employé; mais ici le mot définissant le plus correct pourrait être en fait "bps" (battement par seconde).) La décharge des condensateurs met en relief l'intérêt majeur de la valeur Vm de la Haute Tension. En effet l'induction B au coeur de la bobine 12 est à raison de l'intensité de décharge Id. Au début de l'oscillation résonante amortie Id = V,/R. R, résistance globale du circuit résonant, étant de l'ordre de 3 n, l'intensité Imxd tournant dans la bobine est de l'ordre de: Id m = 100 Ampères, si Vm = 300 Volts.
L'observation de la figure 2 montre que cette "décharge" est en fait une mise en oscillation résonante amortie. Il est caractéristique selon l'invention que la pulsation magnétique t dure alors exactement une période, alors que la durée de l'impulsion de commande X est réglée pour cesser "vers le second passage à zéro de la tension", soit vers 10 0,7 période. Le fait que l'oscillation cesse à la fin exacte de la période est du à ce que le courant de choc retour circule à travers la diode de roue libre associée aux transistors MosFet canal N, 38, commandés par l'impulsion. Quand l'impulsion T cesse, les transistors 38 bloquent, mais à ce moment le courant dans le circuit résonant est un courant retour qui circule déjà largement par la diode de roue libre. Ensuite, avec la fin 15 de la période t, ce courant retour s'annule avant de s'inverser, auquel cas il ne peut plus traverser la diode. La tension résiduelle dans la bobine 12, bobine juste mise en circuit résonant avec le condensateur à la cire d'abeille 9, à l'aide du dispositif 36, se dépense alors en alternant de manière amortie, durant environ 1 ms, dans le circuit bobinel 12-condensateur 9.
La décharge fait également osciller l'aiguille d'un galvanomètre 52 monté en Voltmètre Haute Tension, fonctionnant par exemple sur une plage de 120 à 300 Volts.
L'avantage de l'inertie moyennante du galvanomètre à aiguille sur les systèmes digitaux est évident lorsque l'on veut avoir une information sur un système fluctuant ou pulsant.
La figure 2 montre que la pulsation magnétique a deux parties "positives, " (ainsi 25 lorsque la tension V aux bornes de la bobine est positive,) de part et d'autre d'une partie "négative". De la sorte l'émission de flux magnétique par la face Sud, face généralement appliquée contre la zone de douleur, est une émission qui en fait présente bien deux moments Sud d'intensité forte, puis faible, encadrant une durée magnétique Nord d'intensité moyenne. La mesure d'intensité au Gauss-mètre montre qu'on relève à peu 30 près le double d'induction Sud que d'induction Nord à travers la face Sud. Celle-ci, face biomédicale de choix, mérite donc bien de se nommer face Sud. La pulsation magnétique selon l'invention est donc à la fois un magnétisme polarisé et à la fois un magnétisme ondoyant. La bonne ressemblance de la pulsation selon l'invention avec la forme de la pulsation cardiaque, s'observe sur la figure 2 et s'entend également en audition directe.
Le sous-ensemble "condensateurs" comprend un jeu de condensateurs de charge 8 d'un montant total de l'ordre de 220 /F. Dans le cas o il y a deux gammes de fréquences, on a une partie valant environ 65 /F qui est constamment en service, et une partie valant environ 150 /F qui s'y ajoute en parallèle lorsque l'appareil fonctionne en gamme defréquences neurales; ces deux parties sont constituées dans l'exemple de réalisation par des condensateurs de démarrage, au polypropylène, tenant 440 Volts. Ces condensateurs sont choisis de qualité. Il se trouve en effet que les réparateurs d'appareils 10 ménagers ont parfois à changer les condensateurs de démarrage, ce qui montre que ces composants ne sont pas parfaitement fiables. Moins fiables encore, surtout en usage ondulant partiellement alternatif, sont les condensateurs chimiques tenant les mêmes tensions. Les chimiques ont de plus une résistance interne bien plus grande. Néanmoins les modèles selon l'invention à une seule gamme de fréquence et un seul condensateur 8 15 fonctionnent très bien avec un condensateur chimique polarisé de qualité, à la condition expresse qu'il soit équipé d'un ventilateur de refroidissement, ce qui ainsi le caractérise.
Au jeu 8 s'associe la présence d'un condensateur à la cire d'abeille 9, réalisé de manière caractéristique selon une technique de papier absorbant imprégné, métallisé à l'aluminium, à bandes roulées. Ce condensateur 9 d'une valeur de 4 à 10 nF est branché 20 d'un côté sur la ligne +HT. De l'autre il est connecté sur une résistance de charge reliée à la masse, ainsi que sur une ampoule au néon 53 et sur le photocoupleur 36, lequel permet de shunter l'ampoule et donc d'établir le circuit résonant 12--9, durant un instant, à la fin de chaque impulsion T. Le couple condensateur et ampoule au néon forme très classiquement un oscillateur à relaxation dont la fréquence dépend de la 25 résistance de charge et du voltage HT. (Vers 110 V, pour R = 100 k, le courant de charge de 75 à 100 Volt se tient entre 350 et 100 /A; vers 200 V il se tient entre 1,25 mA et I mA. Avec C = 5 nF, la fréquence de relaxation varie de 6 à 1 kHz pour lmA à 150 /A de courant de charge moyen.) Les ondes de relaxation circulent dans la bobine 12, y suscitant une part de pulsation d'onde amortie en fréquence de l'ordre de 20 kHz, ce qui 30 indique que le condensateur 9 se décharge à travers l'ampoule durant moins de 20 uS, et par conséquent le courant moyen de flash est de i = C. AV/t = 5.10-9.35/20.10' = 8 mA.
Le sous-ensemble "bobines" est en fait extérieur au "générateur d'impulsions"; il constitue plutôt, en relation avec le patient, la partie "émetteur de la pulsation magnétique". Le choix d'application selon l'invention est que la bobine soit enfilable, afin que l'induction magnétique au milieu de la bobine atteigne dans sa pleine force le coeur du tissu; il faut qu'elle puisse également être posée à plat sur la zone douloureuse. Si on veut atteindre l'articulation de l'épaule par enfilage, en laissant poser le poids de la bobine sur le dessus de l'épaule, il faut prévoir au moins 63 cm de circonférence libre, soit un diamètre intérieur libre de 20 cm, ce qui est exactement le cas des modèles en bois-cintré selon l'invention. L'approche d'Inoue 1980 revendiquait une bobine avec 15 cm de diamètre libre et donc moins de 50 cm de circonférence intérieure; ceci ne convient manifestement pas pour les soins scapulaires qui sont des soins rhumatismaux 10 types. L'intérêt de réduire le diamètre libre, est technique; il se borne à augmenter la force d'induction à puissance égale. A l'inverse les travaux de Jacobson indiquent qu'il est utile pour l'aspect holistique des soins d'accroitre la surface d'exposition de l'organisme aux pulsations magnétiques. L'approche de la bobine selon l'invention, avec un diamètre D moyen de l'ordre de 22 cm, est une approche intermédiaire qui permet de produire 15 localement un bon niveau d'induction pulsée, tout en traitant la surface organique la plus étendue possible.
L'induction pulsée maximale B peut être prédite à partir de la formule: B = 47tklO7nI/e. Avec un coefficient k9 = 0,16, n = 200 tours et e = 0,025 m, on obtient: B =1,6.10-3I, ou encore, en Gauss: B = 16.I; on devrait donc obtenir 1600 Gauss de pointe pour un courant maximal de 100 Ampères. L'expérience montre en fait qu'avec un condensateur de 220,tF de voltage V chargé aux bornes, la décharge donne, au centre des diverses bobines selon l'invention, une induction maximale B en Gauss, de valeur B = (1,2 à 1,7).V. Il est donc courant d'atteindre 280 Gauss avec 170 Volts. C'est une caractéristique de ce que produit le modèle à simple bobine de 160 tours de fil 1 25 mm2, bobiné selon un diamètre moyen D = 21 cm.
Cette force d'induction moyenne est caractéristique de ce que produit l'appareil à transformateur de 120 W selon l'invention. Elle est celle qui a fait l'objet de la plus longue évaluation médicale hospitalière. Il est ainssi possible d'affirmer que la force d'induction permettant d'étendre la plage des indications pathophysiologiques anti-douleurs est une densité de flux supérieure, par exemple de l'ordre de 500 Gauss; il s'agit d'une induction que l'appareil à transformateur de 225 W selon l'invention permet de produire si le voltage maximal aux bornes est élevé à 300 V. La figure 5 offre une comparaison de densité de flux entre les aimants permanents et les bobines selon l'invention. Le champ magnétique à distance du milieu de la surface Nord d'un aimant permanent est comparé au champ sur l'axe de la bobine. L'aimant est un bloc de 25x42x8,8 mm, en Ferram Baryum, de 2200 Oersted. Il est possible de voir qu'à une très petite distance de la surface, on ne peut mesurer guère plus de 800 Gauss. A 1 cm de la surface il y a encore 160 Gauss, et à 8 cm il reste 10 Gauss seulement. Par contre une bobine selon l'invention, avec une densité de flux magnétique de 400 Gauss juste autour du bobinage, produit la moitié sur l'axe au milieu, soit une induction de 200 Gauss. A 7 cm du milieu il reste encore 100 Gauss, et 40 Gauss à 12 cm. C'est dire qu'en 10 enfilant une simple bobine jusque sur une articulation, le coeur du tissu biologique lésé est traité avec une induction entre 100 et 200 Gauss, variant du maximum à zéro en moins de 3 millisecondes, ou encore selon une onde de pulsation O = 2rN = 650.
La densité de courant biologiquement induit Im, se prévoit car elle répond à une formule de la forme: Bm.co = R.Im. Cette formule permet de calculer R; en admettant que 15 50 Gauss, donc 50.104 Teslas, en pollution 50 Hz, suscitent 10 mA, il vient R = 150 Q. Selon l'invention on a donc Im = Bm.650/150 = 4,3.Bm. La densité de bio-courant induit selon l'invention par une induction pulsée de 150 Gauss serait donc alors de 65 mA/m2.
Sachant que la densité naturelle de bioélectricité suscitée par l'activité du cerveau, ou du coeur, est au mieux de 4 mA par m2, une densité de flux de 150 Gauss va induire un 20 bio-courant 16 fois plus fort que le courant naturel maximal. Lorsque l'induction pulsée atteint 280 Gauss, le bio-courant induit vaut 30 fois le courant naturel; dans la zone de bio-tissu o elle atteint 460 Gauss, le courant faradique vaut 50 fois le courant naturel.
Il y a manifestement stimulation par ce courant faradique induit: Divers travaux, dont ceux d'Arthur Pilla 1994, montrent qu'il pousse en avant les ions calcium du milieu 25 cellulaire organique et ainsi par exemple contribue à la cicatrisation osseuse ou encore à la reminéralisation dentaire. Mais pour des raisons qu'on verra plus loin, l'évaluation du dispositif selon l'invention est plus spécifiquement concerné par le mouvement induit des ions sodium et potassium cellulaires, ainsi qu'il s'applique à l'antalgie, ou action anti-douleur, en particulier au niveau des tissus cartilagineux des articulations osseuses. 30 Une variante simplifiée du dispositif, existe pour les cabinets médicaux privés et pour la clientèle particulière. Il est réalisé avec une seule bobine 12, une seule gamme de fréquences et une puissance moyenne, correspondant à l'utilisation à 50 % d'un transformateur 49 de 120 W. Il est représentée sur la figure 6. Le sous-ensemble "alimentation" qui comprend essentiellement le panneau solaire 1, avec ses 36 photopiles monocristallines, est toujours externe à l'appareil. Il alimente ici un régulateur 14 couplé à une batterie 13. Dans les modèles portables individuels de ce type, la batterie et son régulateur de charge sont intégrés au boitier de l'appareil. Dans les autres cas ils sont externes. La borne + batterie est reliée à un interrupteur marche/arrêt 16. Celui-ci est suivi d'une prise "12 Volts brut" ainsi que d'un filtrage-écrétage simplifié constitué d'une diode série, d'un condensateur chimique 60 et d'une diode Transil 61.
Le sous-ensemble "impulsion" comprend ici un oscillateur 32, réglable par un potentiomètre 33. Cet oscillateur produit un signal carré aux alentours de 1 Hz, nommé 10 'fréquence cardia". Ce faisant il valide durant les états hauts, donc la moitié du temps, le fonctionnement d'un monostable 30 produisant l'impulsion X ajustable. Ce monostable est déclenché par les fronts descendants issus d'un oscillateur 27, réglé par un potentiomètre 28 selon une 'fréquence neurale" carrée, comprise entre 2 et 22 Hz.
Pendant sa durée, l'impulsion agit d'une part sur une logique 39. Celleci commande trois choses: un voyant flasheur 40, une inhibition affectant la logique driver de charge 44, et une inhibition interrompant la liaison de masse du pont de diodes 41, à travers le transistor MosFet P, 42, depuis un bloc de production de tension négative 43.
L'impulsion agit également sur un "driver" de décharge 37. Celui-ci commande la mise en conduction du jeu de transistors MosFet, N, 38. La figure représente deux transistors en 20 parallèle. Les variantes de réalisations en utilisent un jeu de 1 à 4, mis en parallèle. Il est connu qu'il y en a toujours un qui déclenche en premier et qui donc encaisse à lui seul toute l'attaque, ce qui fait généralement déconseiller la mise en parallèle des transistors interrupteurs. Mais l'expérience, notamment thermique, en montre toutefois un fonctionnement possible et durable. L'oscillateur 45 produit un signal carré de fréquence 25 réglée vers 365 Hz, qui est transmis à la logique driver 44, laquelle transmet ce signal de manière (directe + inverse) au couple de transistors Mos Fet 48 de charge. La logique driver 44 est inhibée et ses deux sorties sont mises à zéro, par une inhibition qui provient soit de la logique 39, soit de la logique comparée 47. En comparant la tension issue de la Haute Tension de sortie de charge, + HT, transmise à travers un jeu de diodes 30 zéners 64, avec une tension réglée à l'aide d'un potentiomètre 46, la logique 47 limite la Haute Tension +HT; elle permet ainsi de régler à volonté la puissance de l'induction.
Dans le sous-ensemble "charge" les deux transistors MosFet 48, canal N, basse tension, font travailler alternativement, une à la fois, les deux bobines du secondaire du transformateur 49. Celles-ci sont alimentées en "+ 12 Volts brut". Il s'ensuit une forte ondulation possible de l'alimentation; celle-ci est modérée à l'aide d'un condensateur chimique, 50, choisi d'une taille apte à tenir de 3 à 5 A de courant d'ondulation.
Dans le sous-ensemble "décharge" figure essentiellement un driver 37 qui commande l'activité simultanée des transistors Haute Tension 38, ainsi que le circuit condensateur de charge 8, bobine 12 soit établi, en passant par la ligne de masse. Pour des raisons de circonstance, il figure également un galvanomètre indicateur 52 de 30 pA pleine échelle; celui-ci possède deux gammes d'indication de voltage, l'une de 120 à 270 V, l'autre de 9 à 15 V; elles sont sélectionnables par un poussoir- inverseur 63. Une voie 10 d'alimention de ce galvanomètre 52 vient, et indique l'état, de la Haute Tension +HT à travers les deux diodes zéners 64 de 62 Volts et une résistance ajustée de 4 MQ. L'autre voie vient du "+ 12Volts filtreé"' et indique l'état de la batterie d'alimentation, à travers une diode zéner de 9,1 Volt et une résistance ajustée de 200 kio.
Le sous-ensemble "condensateurs" comprend un condensateur chimique de charge haute 15 tension 8 de la meilleure qualité, monté horizontalement en association caractéristique avec un ventilateur 68 d'un diamètre un peu supérieur au diamètre du condensateur. Il figure également un condensateur à la cire d'abeilles 9, d'une valeur de 5 à 10 nF, de haute tension, monté en parallèle avec la bobine 12, sur les bornes de connection de 12.
Le sous ensemble "bobine" émetteur de l'impulsion magnétique pulsée, se réduit à 20 une bobinel2 qui présente les aspects caractéristiques suivants: 1/ L'anneau-bobine est réalisée sur un mandrin en bois cintré, assurant un diamètre libre intérieur D, de 18 à 22 cm. 2/ Il comprend typiquement de l'ordre de 160 tours de fil de cuivre de 1 mm2 de section. 3/ Le bobinage, sur un diamètre moyen D de 22 cm, correspond à une longueur de fil de l'ordre de A = 110 m. 4/ La résistance en lmm2 étant de 1,84 Q /100 25 m, la résistance typique de la bobine est de 2 Q. 5/ L'inductance valant L = kA2.107/e, avec ici le coefficient de Nagaoka k = 0,16 et l'épaisseur e = 0,02; l'inductance type calculée sera L = 9,7 mH, soit plus généralement pour ces bobines de l'ordre de 10 mH réels. 6/ Le câble de liaison, de longueur libre juste inférieure à 2 m, longueur adéquate pour atteindre toutes les parties d'un patient allongé sur un lit, est réalisé avec du cable 30 souple à deux conducteurs, en cuivre désoxygéné de 2,5 à 4mm2 de section. 7/ Le connecteur des bornes boitier et du câble est réalisé avec un matériel normé pour 30 A et moins de 20 mQ, ainsi que l'échauffement local n'y dépasse pas quelques C, après 1/2 h de marche. 8/ A titre d'exemple le boitier présente une facade de 213 mm de long, par 57 mm de haut et une profondeur de 129 mm. Sur la facade avant du boitier sont regroupés les commandes de l'interrrupteur à levier 16, de l'inverseur à poussoir 63, des boutons de potentiomètres "puissance" 46, fréquence "cardia" 33 et fréquence "neurale" 28. Il y figure également le galvanomètre 52, le voyant 40 et l'embase de connecteur du 5 câble de la bobine 12. Sur la facade arrière se trouve l'embase de l'entrée d'alimentation "solaire" externe, et le ventilateur 40x40, 68.
L'application industrielle de l'invention se situe dans la catégorie générale du développement des appareils médicaux électromagnétiques offrant des protocoles de soins non-médicamenteux. Dans le milieu médical hospitalier les centres anti-douleurs 10 sont par exemple ouverts aux thérapies non-médicamenteuses susceptibles de compléter, efficacement et sans l'obérer, la prescription médicamenteuse. La première série d'évaluation des appareils selon l'invention a mis en évidence la nécessité d'une force d'induction minimale de 300 à 400 fois le géomagnétisme pour avoir des effets réguliers, avec de là une voie pour étendre les indications. Elle a ensuite mis en évidence 15 un taux de 80 % de réussite de soulagement de la douleur pour les indications en rapport, sur une série de patients d'un nombre total modeste, mais observés sur un an.
A partir de ce qui est possible pour l'anti-douleur hospitalière, une fois parvenu à l'homologation de l'appareil pour cet usage, il est probable qu'advienne, par cette voie, une accoutumance progressive du corps médical aux dispositifs de soins à ondes 20 électromagnétiques, et en particulier donc à l'utilisation du magnétisme pulsé. Par extension, les autres indications thérapeutiques de l'appareil, cicatrisation osseuse, etc,pourront alors être évaluées et enfin utilisées de manière facturable, puis remboursable par les organismes de sécurité sociale, point qui valide alors une bonne industrialisation.
Sur cette voie, l'appareil offre une loi de causalité mécanique, propre à mieux faciliter l'acceptation par le corps médical. On sait que le langage médical courant utilise les concepts bioélectriques en rapport avec la stimulation, ceux de potentiel cellulaire et de mouvements électro-ioniques cellulaires. Selon l'équation propre aux dispositifs de champ magnétique pulsé selon l'invention, pour stimuler un organe par un courant de bioélectricité induite qui atteint une intensité de n fois le biocourant naturel maximal I 30 de l'organisme, il convient d'appliquer un magnétisme pulsé qui atteint une intensité de l'ordre de 20 n fois le géomagnétisme naturel. Par exemple, pulser 240 Gauss crête, soit environ 480 fois l'induction totale du géomagnétisme, impliquera, à travers le rapport 480/20, de stimuler selon un biocourant induit de 24 fois le courant I (bio naturel max).

Claims (10)

REVENDICATIONS
1) Dispositif pour associer, à des fins anti-douleur, différentes qualités actives à la force d'induction bioélectromotrice des impulsions magnétiques pulsées à extra-basse fréquence. Il est caractérisé en ce qu'il comporte notamment: *1/ une source solaire d'alimentation externe primaire 1 avec régulateur 3, batterie 4 et filtrage; *2/ une pulsation émise selon une onde amortie biologiquement compatible, par mise en circuit 10 résonant d'un condensateur 8 et d'une bobine 12; .3/un dispositif de production de cette forme d'impulsion par validationinhibition d'un ensemble de transistors Mos-Fet, 38, 42, 48; .4/ un mécanisme naturel de vibration audio au rythme de l'impulsion, émis par la bobine 12; .5/un libre réglage 46 de la puissance, c'est-à- dire de la densité de flux magnétique, des impulsions; *6/ un biocondensateur à la cire d'abeille 9 connecté à la 15 bobine 12; .7/ une forme et une biosubstance organiquement orientée des constituants physiques de la bobine 12; *8/ un modèle de base avec un réglage 28 de la biofréquence "neurale" d'occurence des impulsions, dont les trains sont découpés par une onde réglable dite "cardia"; *9/ une variante d'appareil avec une programmation alternant deux gammes de fréquences des pulsations, réglables par 28 (neurale) et 29 (ronron). 20
2) Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que le panneau solaire photovoltaïque d'alimentation primaire 1 est: .1/ fait de photopiles de qualité monocristalline; -2/ mis en situation en extérieur face à la course solaire; *3/ doté d'une surface telle que son débit maximal soit d'ordre inférieur ou égal à la consommation de l'appareil; .4/ relié à un sousensemble "alimentation" par une câblerie 2 conduisant 2 25 Ampères ou moins par mm2 de section de fil; .5/ producteur d'un photocourant qui aboutit à un régulateur de charge 3, lequel permet un réglage particulier du réamorçage, ainsi que tout le photo-courant disponible passe lorsque l'appareil fonctionne, tout en régulant convenablement aussi la charge "solaire" de la batterie 4 lorsque l'appareil est au repos; *6/producteur d'un photocourant qui, dans l'appareil en marche, passe par un 30 dispositif de filtrage-écrétage à masse commune, comprenant au minimum une diode série, un condensateur de filtrage 60 et une diode d'écrétage de type Transil, 61.
3) Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que le jeu de condensateurs de charge 8 dispose d'une capacité totale entre 65 et 250 rtF, typiquement de 220 /zF, qu'il est prévu pour accepter 450 Volts de charge ou plus, et qu'il est prévu pour pouvoir se décharger en résonance dans une bobine 12, selon une pulsation en onde amortie.
4) Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que: *1/ la durée réelle de la pulsation magnétique en onde amortie dure exactement une période, par l'effet d'une 5 diode de roue libre associée, *2/ que cette durée de pulsation est de l'ordre de 10 ms en fréquence "neurale" pour une impulsion de commande t 7 ms, *3/ qu'elle est de l'ordre de 5 ms en fréquence "ronron" pour une impulsion de commande - 4 ms, .4/ que dans les deux cas elle est suivie, durant.1 ms, d'une oscillation amortie de période de l'ordre de 50 àlOO ps, causée par le circuit résonant 9--12, . 5/ que les trois fréquences 10 obtenues de 100 Hz, 200 Hz et 10 à 20 kHz, correspondant aux périodes de 10 ms, 5 ms, et 50 à 100 its, sont susceptibles de résonance directe et donc d'une action organisante au sens de Poincaré et Prigogine, dans les tissus organiques exposés.
5) Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que la bonne forme de l'onde amortie est obtenue: *1/ par la mise en circuit durant l'impulsion du condensateur 15 8 et de la bobine 12, au moyen d'un jeu de transistors MosFet, ou encore d'IGTB, canal N, 38, puis ensuite par la diode retour de roue libre associée, *2/ par l'inhibition durant l'impulsion du fonctionnement des transistors MosFet N de charge 48, .3/ par la coupure de la liaison entre le dispositif de charge et le condensateur 8, à l'aide généralement d'un transistor Mos Fet canal P, 42.
6) Appareil selon la revendication 1, dont la bobine 12 est caractérisée par les points suivants: o1/elle possède un rapport D/e compris entre 8 et 12, *2/ elle a une forme d'anneau-tore, 3/ ceci fait qu'elle a un coefficient de Nagaoka de l'ordre de 0,16 typique; *4/ sa longueur de fil bobiné est entre 90 et 220 mètres, 5/ ce fil est bobiné selon un diamètre moyen D > Di, tel que le diamètre intérieur libre de l'anneau Di fasse 25 entre 18 et 22 cm, afin qu'on puisse aisément enfiler la bobine sur une articulation souffrante; -5/ la section bobinable du mandrin fait ente 2 et 5 cm2; -6/ dans ces conditions le nombre de tours bobinés se situe entre entre 130 et 270; .7/l'inductance L se tient de la sorte entre 8 et 22 mH.
7) Appareil selon la revendication 1, dont la bobine 12 est caractérisée par les 30 points suivants: *1/ le mandrin est réalisé en bois cintré et orienté, typiquement en bois de frêne massif sans noeud; -2/ les fibres de bois, orientées racine vers cime, tournent dans le même sens que les spires de cuivre, ainsi que leurs faces apparentes Nord (sinistrogyre) et Sud (dextrogyre) correspondent exactement aux faces magnétiques Nord et Sud selon la convention des physiciens; *3/ la section externe du mandrin a une forme apparente dont le carré a les coins ainsi arrondis d'un rayon r = 3 à 6 mm, que la forme a quelque chose d'un rond ergonomique facilitant prise en main et enfilage; *4/ le tour extérieur est recouvert d'une finition en cuir, ou équivalent de même souplesse; .5/ 5 le vernis, ou plutôt l'absence de vernis coulé entre les tours de fil, associé à la souplesse du tour extérieur, permet l'effet de constriction magnétique, effet qui est ici recherché car il assure une vibration audio et tactile se produisant au rythme des pulsations.
8) Appareil selon la revendication 1 caractérisé en ce que: *1/ il dispose de deux gammes au choix de fréquences de type "bio" à ondes carrées, l'une "neurale", entre 2 et 10 22 Hz, l'autre "ronron" entre 32 et 40 Hz, réglables par potentiomètres; *2/ leurs trains d'impulsions sont découpés par une onde carrée correspondant à une fréquence de type "cardia" (réglable par un potentiomètre 33, entre 40 et 120 par minute); . 3/ ces gammes peuvent être, à l'aide d'un inverseur 26, soit choisies et constantes, soit soumises à l'alternance; *4/le programme offre à l'aide d"un inverseur 20 un choix de tempo et il a 15 une durée réglable depuis un potentiomètre 24; -5/le programme d'alternance automatique des gammes de fréquences implique l'alternance automatique simultanée de deux valeurs d'impulsion et de deux valeurs du jeu de condensateurs 8.
9) Appareil selon la renvendication 1, caractérisé en ce qu'il dispose d'une seule gamme "neurale" de biofréquences, dont les trains d'impulsions sont découpés par une 20 onde carrée de biofréquence "cardia" (entre 40 et 120 par minute), dont chaque impulsion de commande est de l'ordre de 7 ms, pour une pulsation émise de l'ordre de ms, obtenue au moyen de la mise en circuit d'un condensateur polarisé de 220, /F (muni d'un ventilateur spécifique,) avec une bobine de l'ordre de 160 tours et 10 mH.
10) Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend un 25 condensateur à la cire d'abeille 9, réalisé selon une technique de papier absorbant imprégné, métallisé à l'aluminium, monté en bandes roulées. Ce condensateur 9 d'une valeur de 4 à 12 nF est branché d'un côté sur la ligne +HT, +bobine. De l'autre il est connecté à une résistance de charge reliée à la masse, ainsi qu'à une ampoule au néon 53 pour former très classiquement un oscillateur à relaxation dont la fréquence dépend de 30 la résistance de charge et du voltage HT. De la sorte il circule très fréquemment dans la bobine 12 une forme d'onde amortie variable de faible intensité, susceptible de propager vers l'organisme une information d'origine solaire-cosmique et biologiquement traitée.
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