FR2817821A1 - Vehicule leger repliable a inertie individuelle - Google Patents

Abstract

Véhicule léger portable individuel à inertie physique. A la figure de l'abrégé (1) est le siège, (2) la tige de support qui glisse dans le tube (17) fixé sur la cassette (5) qui retient par un axe (6) amovible un tube (8) retenu à la base par un axe (12) dans une cassette (14), les axes (7 et 10) permettant le pliage du dispositif. Le tube repère (20) retient l'essieu oscillant (21 et 22). Il est fixé dans la cassette (5) par les axes (18 et 19). Les repères (15, 16, 3, 4) forment le guidon et la direction. L'invention est un jouet et peu devenir utilitaire.

Description

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Véhicule léger repliable à inertie individuelle La présente invention comprend un dispositif destiné au déplacement individuel. Cette invention entre dans la catégorie des trottinettes et dans celle des rollers dont l'utilisation fait fureur à l'aube du troisième millénaire par ce que l'on ne trouve rien d'autres pour se déplacer vite individuellement.

Le dispositif de l'invention a la propriété d'être plus confortable que tout ce qui existe dans le domaine des appareils légers, pliables et peu encombrants.

En effet, il comprend un système d'amortisseur et il est doté d'une selle bien agréable pour le confort de l'utilisateur en plus d'un guidon à portée de main.

Le problème du déplacement individuel est de plus en plus grave en agglomération.

Concrètement les transports en commun de tous ordres déferlent chaque jour leurs flots de voyageurs au niveau des gares routières et SNCF.

C'est là que commence le problème du voyageur. Il vient de quitter un moyen de transport et son problème consiste à se rendre à destination rapidement.

La difficulté du voyageur consiste à parcourir la distance qui le sépare de l'arrêt du transport en commun ou du parking à son lieu de rendez-vous ou à celui de son travail et souvent plusieurs fois par jour.

Toute les fois que le voyageur utilise son véhicule en agglomération il est confronté aux graves problèmes des bouchons aux heures de pointes en plus de contribuer gravement à la pollution.

Marcher beaucoup, c'est se maintenir en bonne santé mais de préférences aux heures de loisir et en plein air. Cela peu devenir très pénible lors d'un parcours obligatoire ou pour visiter une exposition ou dans les grandes surfaces.

Pour se déplacer en ville laisser le plus possible sa voiture au garage c'est être écologiste.

Alors utiliser au maximum le dispositif pliable et léger de l'invention avec un bon sac à dos pour les bagages permet d'être davantage ponctuel, de limiter la pollution et de faire un peu de sport sans contrainte physique enjoignant l'utile à l'agréable.

Le dispositif de l'invention roule sur les trottoirs entre autres pistes... mais également dans les locaux tels que les halls d'exposition etc... etc.... sans provoquer de gêne.

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Un autre problème existe au niveau des grandes surfaces et à cause de l'immensité des parkings ce qui impose de se garer loin de la destination.

Les pouvoirs publics parfaitement conscient du problème de déplacement en ville augmentent visiblement les moyens de transport en commun.

Cette solution n'est pas individuelle et implique d'atteindre sa destination en temps voulu.

Une remarque importante avant de clore cette analyse : le déplacement individuel est un problème qui augment de plus en plus en agglomération.

La trottinette extrêmement légère tente d'apporter une solution à ces problèmes mais pose un handicap de la fatigue pour l'utilisateur à telle enseigne que ce dispositif déçoit beaucoup plus qu'il ne vient en aide.

Par ce moyen mirifique qui n'est qu'un leurre les fabricants ont tenté de répondre au problème du déplacement individuel tout spécialement en agglomération.

Le dispositif de l'invention prend en compte toutes ces difficultés : celles d'un déplacement rapide individuel, du confort de l'utilisateur et du faible encombrement de cet ensemble. Son poids mort extrêmement faible ajouté à son pliage facile et à ses composants en matériaux légers en font un appareil extrêmement agréable.

A l'attention de certains sportifs ou utilisateurs en très bonne condition physique voir expérimentés mais surtout doté d'un équipement coûteux qui leurs donnent l'apparence d'un scaphandrier : le roller est un moyen de déplacement pratique bien que fatiguant et dangereux pour les autres sur les trottoirs.

La présente invention prend en compte la position de l'utilisateur et le place dans une situation favorable qui retient trois critères principaux.

Premier critère : la position assise, deuxième critère : les pieds placés sur des stabilisateurs dont la fixation place le passager dans une position confortable. Le troisième critère passe par la position du guidon réglable dans sa hauteur afin que le passager soit maintenu dans une situation agréable.

Dans une application de l'invention : le moyen d'inertie utilisé pour les trottinettes est pris en compte.

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Concrètement les techniques de pointe au niveau des roulettes qui équipent les trottinettes et les rollers donnent une inertie surprenante et très appréciable à ces dispositifs.

A propos d'inertie le moyen utilisé pour la trottinette donne des excellents résultats grâce aux mouvements de jambe.

Ce résultat découle de la grande légèreté de la trottinette et de ses dispositifs de roulement qui équipe les axes des roulettes.

L'invention prend en compte ce moyen d'inertie en positionnant l'utilisateur confortablement sur la selle, les mains posées sur le guidon de telle sorte qu'il occupe une position agréable destinée à faciliter ses mouvements de jambe.

Un autre moyen d'inertie est utilisé dans le dispositif de l'invention pour le rendre parfaitement autonome soit en actionnant un bras de levier dont le va et vient consiste à tracter un câble préalablement enroulé sur une poulie à cliquet dotée d'un ressort de rappel ou par un système de manivelle compatible en application d'une technique déjà répandue dans l'industrie.

Un autre avantage de l'invention réside dans son faible encombrement en ce sens qu'il est repliable et que ses bras de force se referment selon le principe du piston.

La présente invention prend généralement la forme d'un compas dont le sommet est doté d'une charnière destinée à son ouverture pour son utilisation et à sa fermeture après usage en plus de permettre le mécanisme d'une suspension.

Tous les composants du dispositif de l'invention sont très répandus dans l'industrie.

De plus, la simplicité de sa conception débouche sur un coût de fabrication attrayant et n'implique pas en principe une technicité de pointe du fait que sa forme s'apparente à celle d'un compas.

Dans une des applications de l'invention le dispositif est doté d'un frein d'inertie logé de préférence sur la roue arrière et qui prend la forme d'un piston destiné à frotter sur la roulette chaque fois que l'on exerce une pression sur l'organe de commande.

Généralement le dispositif de l'invention reçoit un avertisseur sonore fonctionnant à pile ou manuellement à l'exemple de ceux utilisés sur la bicyclette.

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L'expression véhicule se dit de toute sorte de machine qui sert à conduire d'un lieu à un autre ou de toute espèce de moyen de transport (voiturette, brouette, chariot, train, navire, aéronef, vélocipède etc...).

L'idée de se transporter à l'aide d'une machine actionnée par le voyageur lui-même remonte au XVI, siècle. En 1639, l'on vit à Paris un véhicule à quatre roues actionnés par deux pédales inventé par Richard médecin à la Rochelle.

Plusieurs essais suivirent mais il faut arriver à 1816 pour trouver avec la draisienne du baron Drais, la première machine de laquelle est sorti la bicyclette actuelle.

La draisienne comprenait une planchette horizontale montée sur deux roues l'une derrière l'autre. La roue avant était directrice et l'on propulsait l'appareil en prenant appui sur le sol avec les pieds.

Cette machine était à l'évidence l'avant garde de la trottinette destinée aux enfants mais convoitée à l'aube du 21 ère siècle par les adultes.

En 1855, l'on adapta des pédales à la roue avant qui devint par conséquent motrice et directrice.

Le vélocipède moderne était né et il se perfectionna de plus en plus : la route motrice s'allégera et prit un diamètre très grand par rapport à la roue arrière.

En 1880, c'est la roue arrière que l'on rendit motrice au moyen d'une chaîne et d'un pédalier multiplicateur, la roue avant demeurant directrice.

Le siège fût placé en arrière ce qui assura plus de stabilité à l'appareil roulant.

L'invention des pneumatiques et celle des jantes légères en plus de divers accessoires a permis de déboucher sur la bicyclette actuelle.

La bicyclette à succédé au bicycle à roues inégales construit en France dès 1855 par l'ouvrier Michaux inventeur de la pédale et perfectionné par l'ingénieur Truffaut qui eut l'idée de la jante creuse.

La première bicyclette avec roue arrière motrice a été construite en Grande Bretagne en 1880.

La bicyclette a roue libre a fait son apparition au début du XXème siècle pour déboucher rapidement sur la vulgarisation du vélo standard.

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Le rappel de ces nouveautés dans leurs chronologies et des inventeurs respectifs place l'observateur devant une certitude : l'invention de la bicyclette depuis son ancêtre ne représente rien de génial, mais débouche sur un dépannage.

En effet, tous les chercheurs ont oublié que les jambes du cycliste forment le moteur le plus anti-mécanique qu'il soit.

Exemple, un moteur thermique fonctionnant avec une ou plusieurs bielles doit sa motricité à un régime élevé dont le minimum se situe aux environs de mille tours/minutes.

Malgré ses hautes performances l'homme pédale à très faible allure par rapport à un régime moteur sans bénéficier de l'inertie compensatoire d'un volant moteur en raison du poids mort.

La vitesse du cycliste dépend de sa force physique et de sa résistance mais il doit surmonter la position la plus inconfortable qui soit celle qui consiste à faire reposer tout son poids sur une sorte de support tranchant une selle situé entre ses deux jambes.

Enfin la pression exercée sur la pédale n'existe réellement que sur trente degrés de rotation à titre d'exemple le parcours des aiguilles d'une montre de quatorze heures à dix-sept heures.

Le dérailleur lui-même est également anti-mécanique au possible par le simple fait de déplacer une chaîne sur un pignon en rotation mais bien utile pour son phénomène de surmultiplication.

L'inventeur de la draisienne simplifié ce problème. Hélas à cette époque l'on ne connaissait pas les techniques actuelles dans l'utilisation des roulements à billes sur les axes des roues ajouté à l'extraordinaire souplesse des roulettes en matière plastique.

Autre avantage énorme, celui de bénéficier de chaussées et de trottoirs parfaitement lisses en agglomération.

Dans l'invention, l'utilisation de roulettes modernes de faible diamètre a permis de réaliser un châssis de très faible encombrement et d'une géométrie variable permettant la modification de la hauteur de selle ainsi que la suspension souple.

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La présente invention prend en compte les moyens d'inertie du patin à roulette des rollers de la trottinette et ceux du patineur.

La structure de l'invention prend la forme d'un Y renversé dont les bras retiennent des roulettes les unes avantageusement directrices et les autres plus spécialement porteuses du fardeau.

Le sommet du Y renversé recevant la selle à hauteur réglable.

Un guidon télescopique avantageusement vertical permet à l'utilisateur de prendre une attitude favorable en plus d'orienter le dispositif.

Cet ensemble d'ossature formé généralement avec des tubes ronds en aluminium ou en PVC pour contribuer à la légèreté représente une structure d'un très faible encombrement car la charge repose sur un polygone de sustentation formé par les trois extrémités du Y renversé.

Cette structure donne à l'utilisateur la position la plus favorable pour effectuer des mouvements de jambes destinés à l'inertie du dispositif.

Ce mouvement de jambe prend exemple sur celui des patineurs qui à l'évidence sont parfaitement à l'aise sur une patinoire et ne semblent pas se fatiguer beaucoup malgré des mouvements qui donnent l'impression du contraire.

Le dispositif de l'invention place l'utilisateur sur une selle qui s'apparente davantage à un fauteuil en vue de reposer le buste comme sur une chaise.

Cette attitude économise les forces physiques au bénéfice du mouvement de jambes tandis que la souplesse des roulettes sur une chaussée plane s'apparente à l'équipement d'un patineur.

La différence avec le précité résulte du fait que l'utilisateur se repose plus qu'il ne se dépense.

L'inventeur de la draisienne dans son dispositif qui s'apparente à un U renversé a oublié le confort de l'utilisateur lui posant le problème supplémentaire de l'orientation en raison des grandes roues.

En complément de cette analyse, l'invention place l'utilisateur dans des conditions favorables de déplacement pour vitesse réduite à la différence du vélo qui implique chaque fois un mouvement de bielle.

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Dans une des applications de l'invention à titre indicatif et non limitatif et à la Fig. 1, le dispositif prend la forme d'un U dont un bras reçoit le guidon de direction et l'autre bras retient la selle.

Cette nouveauté s'adapte sur la trottinette traditionnelle.

A la Fig. 2, dans le dispositif de l'invention : le mécanisme du siège est replié sur la platine destinée à reposer les pieds et le guidon est rabattu sur cet ensemble.

A la Fig. 3, l'ensemble mécanique formé par un triangle de sustentation surmonté par une tige télescopique qui retient un siège prend la forme d'un accessoire qui s'adapte rapidement sur une trottinette.

A la Fig. 4, le dispositif de l'invention prend la forme d'un Y renversé dont un bras est doté d'une roue directrice.

L'autre bras reçoit une ou de deux roues fixés en ligne sur un essieu oscillant ou de chaque côté d'un essieu porteur avantageusement doté d'un mécanisme oscillant pour faciliter l'utilisation au moyen d'un amortisseur dans les virages.

A la Fig. 5, le dispositif de l'invention est équipé d'un frein d'inertie logé sur l'essieu arrière.

Un des bras s'articule sur un axe en vue d'obtenir un mécanisme de suspension souple par le mouvement oscillant, de ce bras relié à l'autre par un ou deux amortisseurs.

A la Fig. 6, le dispositif de l'invention est replié pour faciliter son transport ou son rangement.

Le dispositif de l'invention est avantageusement fabriqué en matériaux léger tel que le PVC ou l'aluminium.

Ces dimensions s'apparentent à celle d'une trottinette pour tenir généralement moins de place lorsque l'appareil est replié.

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A la Fig. 1, le dispositif de l'invention prend la forme d'une trottinette dotée d'un guidon standard situé à l'avant et d'une selle à hauteur variable logée à l'arrière sous la forme d'un équipement rapporté.

Repère (1) est le siège passager logé sur un support oscillant (2) (3).

Repère (4) est le tube fileté logé dans un tube compatible (5) dont la base (7) se fixe dans un logement (8).

Une platine (15) de prédisposition est logée par un phénomène du glissement dans le châssis (16) de la trottinette après avoir enlevée la roulette (27).

Des bras de renfort repère (9,10, 11,12) adaptés sur l'axe (13) de la roulette (27) maintiennent le châssis vertical (7,4) qui retient la selle (1).

Un axe (15) verrouille l'arbre (7) et les axes (6) permettent d'orienter l'arbre (7) au moment de la fermeture du dispositif.

Les repères (24,25) forment le guidon, repère (23 et 22) l'arbre télescopique (21) permet la fermeture de l'arbre (22).

Repère (19) retient la roue (18) à travers un axe (17).

A la Fig. 2, le dispositif est en position fermeture destiné à son rangement ou à son transport.

Les repères (24,23, 19,26) sont en position horizontale grâce au pivot (20).

Le triangle de sustentation destiné à retenir le siège (1) et comprenant les tiges de renfort (9 et 10) sont repliées de même que le repère (7). Ainsi que l'axe (2) qui verrouille le siège (1).

La Fig. 3, représente l'ensemble de sustentation destiné à faire reposer sur un siège l'utilisateur d'une trottinette.

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Cet ensemble prend la forme d'un équipement ou d'un accessoire destiné à s'installer très facilement.

Afin d'y parvenir, il suffit de remplacer l'axe (13) par un axe compatible (91 et 92) et de loger l'extrémité des arbres (9 et 10) dans cet axe (91) grâce aux perçages (93) Le dispositif de prédisposition (89) est destiné dans les châssis standard (16) après avoir déboîter la roue (27).

Repères (87 et 88) retiennent la base du tube (84) maintenu par des pivots (83 et 82) pour former un triangle de sustentation surmonté d'un tube (17) réglable dans sa hauteur par un tube (78) grâce à la fixation (79).

Ce tube (78) coulisse dans le cylindre (86) dont la base retient un ressort (85).

Cette structure métallique est telle qu'elle permet l'utilisation de tubes légers peu encombrant et susceptible de supporter une charge correspondant à une personne.

Cette structure métallique dont la base repose d'une part à l'arrière du plancher (16) de la trottinette afin de ne pas gêner l'utilisateur et d'autre part sur l'axe (91) de la roue arrière (27) forme un ensemble repliable aux fins de transport ou de rangement.

Le repère (90) sert de blocage à la platine (89) de prédisposition du tube (85).

La Fig. 4, représente le dispositif de l'invention sous la forme d'un Y renversé dont le repère (56) est le sommet et les repères (49 et 60) forment les bras.

Le repère (57) représente le siège retenu par le tube (56) coulissant dans le tube (55) logé dans la cassette (54).

Les repères (53,52) fixent le bras (51) doté d'un ressort (50) destiné à coulisser dans le bras (49) dont l'extrémité reçoit un axe (48) sur lequel s'articule un essieu oscillant (47 et 46) doté deux roues en ligne (45 et 44).

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Repère (58) est un axe qui retient le bras (60) et permettant son orientation.

Repère (59) est un axe amovible qui permet l'orientation du bras (60) qui lorsqu'il est replié vient se loger dans l'axe (43).

Repère (36) est la cassette qui retient le châssis (38) doté de la roulette (39).

Repère (37) est le dispositif de rotation qui retient l'arbre (35) qui s'articule sur un second dispositif de rotation (33 et 34).

Une extrémité du tube (35) reçoit un tube (32) dans lequel coulisse le tube (29) retenu par le dispositif (30).

Les repères (28 et 62) sont les guidons de la trottinette.

La cassette (36) reçoit deux reposes pieds tel que (65).

Repère (40) est l'axe qui retient le bras (60).

Repère (41) est l'axe amovible qui permet l'inclinaison du bidon (29 et 32) jusqu'au repère (61).

A la Fig. 5, le dispositif de l'invention est doté d'un ensemble de freins dont le patin (76) vient freiner la roue (44) grâce au bras articulé (75) dont l'extrémité (74) retient un câble (63) en provenance de la gaine (70) bloquée sur la repère (72).

Entre l'extrémité (74) du bras articulé (75) se trouve un ressort (73).

Un axe (71) retient un amortisseur (69,68 et 67) dont l'autre extrémité s'articule sur un axe (66) permettant ainsi au bras (60) de former un système d'articulation destiné à la souplesse du dispositif.

Le repère (64) s'articule sur le repose-pied (65) et permet le frein d'inertie en treuillant le câble (63).

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A la Fig. 6, le dispositif de l'invention est refermé : le bras (60) est logé dans l'axe (43) d'une part et d'autre part dans l'axe (61).

La cassette (36) est repliée ainsi que les poignées (28 et 62).

Le tube (56) est retiré pour la circonstance grâce au dispositif de fermeture (78) afin de limiter l'encombrement.

Claims (6)

REVENDICATIONS

1 : Dispositifs prenant la forme d'unités légères mobiles pour le déplacement individuel par la force physique caractérisés par le fait qu'ils comprennent plusieurs modèles dont l'un prend la forme d'un U dont l'extrémité de l'un des bras (23) reçoit un guidon (25, 24) destiné à l'orientation du système et l'autre retient un siège (1), la base de ce U étant dotée d'une part d'une roue directrice (19, 18) et d'autre part d'une roue porteuse (27) maintenue par des bras (14) au moyen d'un axe (13) retenant les renforts (10 et 9) sur lesquels s'articulent les tubes (7 et 4) porteurs du siège (1) et destiné à se replier à l'horizontale aux fins de rangement, le triange de sustentation formé par les repères (89, 10, 9, 85, 77) formant un équipement adaptable sur toutes les trottinettes existantes, un autre dispositif de l'invention prenant la forme d'un Y renversé en ce qu'il comprend un bras télescopique (58) porteur de siège (57) et un bras (50) solidaire d'une cassette (54) et d'un second bras (60) qui s'articule sur un axe (58) dans la cassette (54) et sur un axe (41) qui s'articule dans la cassette (36) au fin de repliage, l'inertie de ces dispositifs étant obtenu de préférence par le mouvement des jambes de l'utilisateur à l'exemple d'un patineur ou de celui qui utilise (les rollers).

2 : Dispositif selon la revendication 1 caractérisée par le fait que les dispositifs de l'invention reçoivent un train de roulement formé par des roulettes sans limite de diamètre fixées en ligne par un essieu oscillant (48, 47, 45, 44) ou en parallèle grâce à un axe porteur de roues dotés d'un amortisseur pour l'inclinaison résultant de l'effet cinétique.

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3 : Dispositif selon les revendications 1 et 2 caractérisé par le fait qu'il contient des piles électriques avantageusement rechargeables destinées à sa motorisation électrique et autre mécanisme conçu pour la motorisation thermique.

4 : Dispositif selon la revendication 1 caractérisé par le fait que l'ensemble de la structure (89,10, 9,85, 77,1) forme un accessoire destiné à équiper toutes les trottinettes au titre d'équipement.

5 : Dispositif selon la revendication 1 caractérisé par le fait que l'inertie de l'invention s'obtient d'une part par le mouvement des jambes à l'exemple d'un patineur et d'autre part par le mouvement de va et vient du guidon articulé pour la circonstance et destiné à entraîner une roue motrice (22,13) selon un système de cliquet avec ressort ou au moyen d'une simple manivelle d'entraînement avantageusement fixé au niveau du guidon.

6 : Dispositif selon la revendication 1 caractérisé par le fait que l'ossature de l'invention comprend des matériaux légers tels que l'aluminium, le PVC et autres composants similaires.