FR2815833A1 - Modeles de rouge a levres utilisables d'une seule main - Google Patents

Abstract

Dispositif permettant de se servir d'un rouge à lèvres d'une main. Cette invention permet d'extraire et de rentrer le raisin d'une seule main de façon aisée sans jamais l'abîmer, conditionnement du raisin idem aux modèles actuels, mécanisme fiable, simple et inchangé, utilisation facile et sure, coût modéré de l'ensemble, esthétique égale ou supérieure aux modèles existants, nombreux designs différents. Un mécanisme normal (AB) avec un filetage (a) sur A et un filetage (e) sur B, un rideau (b) muni d'un anneau (j) avec en son centre un téton (c) encliqueté dans le filetage (a); un téton (d) provenant de la coque (f) encliqueté dans le filetage (e); 2 coques (f et g) ajourées tenant l'ensemble. Ce descriptif est la première des 4 solutions. Quand on commence à tourner le mécanisme à travers les jours, le rideau recule et libère l'orifice (filetage a), puis une partie du mécanisme sort filetage e), (A) et se désolidarisent puis le raisin sort (filetage a). Pour la fermeture, même processus en sens inverse.

Description

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Le rouge à lèvres, tel qu'il se conçoit couramment, est constitué de deux pièces distinctes qui sont : - une base comprenant le pied, le mécanisme et le raisin - Un capot composé de une ou deux pièces L'utilisation normale d'un rouge à lèvres consiste en un premier temps à retirer le capot, puis à actionner le mécanisme pour faire sortir le raisin de la longueur souhaitée permettant ainsi à l'utilisateur de se maquiller les lèvres ; L'opération terminée, il ne reste plus qu'à repositionner le capot sur le mécanisme.

Toute cette manipulation aura nécessité que l'utilisateur utilise en permanence ses deux mains tant pour ouvrir, pour fermer que pour faire monter et descendre le mécanisme.

Le domaine technique de cette invention consiste à permettre de ne se servir que d'une seule main pour l'utilisation de son rouge à lèvres.

Cette invention répond aux critères suivants : - esthétique égale ou supérieure aux modèles existants permettant de faire de nombreux designs différents.

- utilisation facile et sûre.

- mécanisme fiable, simple et inchangé par rapport à l'existant.

- coût modéré de l'ensemble.

- conditionnement et pose du raisin sur le même principe que les rouges à lèvres actuels.

- Impossibilité de détériorer le raisin tant à l'ouverture qu'à la fermeture.

En partant d'un même principe technique, nous présentons plusieurs possibilités différentes.

L'idée de départ est donc un rouge à lèvres en une seule pièce permettant donc son utilisation avec une seule main tant pour l'ouvrir, en faire sortir le raisin, l'utiliser et que le fermer.

Pour se faire, nous étudions la première version qui correspond aux figures 1,2, 3,4 et 5.

Le bloc de mécanisme (A) et (B) est conservé sans pièces supplémentaires ; la seule modification concerne un filetage (a) sur (A) et un filetage. (e) sur (B), fig 1 et fig 3. Ce filetage (a) a pour but d'entraîner un rideau (b) ayant pour objet d'obstruer ou de dégager l'ouverture de l'étui pour le passage du raisin. Ce rideau est en

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plastique souple avec cependant une légère rigidité ; à environ 2/3 de ce rideau un anneau (j) ayant en son centre un petit téton (c) venant s'encliqueter dans le filetage (a), le positionnement de l'anneau (j) par rapport au rideau dépendant Ou design de l'ensemble.

A l'arrière de ce mécanisme, une partie semi-mobile (B) présentant également un filetage (e) dans lequel coulisse un téton (d) (fig 3) provenant de la coque (i). Dans un premier temps, les parties (A) et (B) sont clippées et forment un ensemble solidaire.

Les 1/2 coques fig 4 et fig 5 laissent apparaître un jour soit sur les deux faces pour la fig 4, soit sur uniquement une face pour la fig 5 Grâce à ces jours, le consommateur peut aisément faire tourner le mécanisme (comme il le ferait avec un rouge à lèvres normal).

Quand le consommateur commence à faire tourner le mécanisme (A), le rideau (b) (qui en position fermée obstrue le passage du rouge à lèvres) est attiré vers l'arrière permettant de libérer l'ouverture de l'étui et donc le futur passage du raisin ; l'ensemble se déplace en translation, les deux parties étant cliquées entre elles ; La partie mobile, tournant en même temps que la partie semi-mobile arrière n'a pas bougé à l'intérieur de l'étui en translation ; cette première manipulation se produit en une portion de cercle la plus courte possible, % de tour maxi.

En continuant à tourner l'ensemble du mécanisme, il se produit deux effets :
Le rideau (b) continue de reculer en entraînant la partie semimobile avec un pas maximum pendant une brève portion de tour pour permettre à une petite partie du mécanisme de sortir de l'étui (on peut envisager d'adjoindre un embout en alu à l'extrémité du mécanisme pour des questions d'esthétique fig 2). La partie semi-mobile arrière est alors bloquée en rotation et se désolidarise (il faut que ce déclippage soit suffisamment sonore pour être entendu) de la partie avant porte raisin en rotation (déclippage).

En continuant à tourner, le raisin sort du mécanisme (comme pour un rouge à lèvres normal) de la longueur souhaitée par l'utilisateur, la partie arrière étant toujours bloquée en rotation.

Lors de la'fermeture, c'est à dire quand l'utilisateur tourne en sens inverse le mécanisme, le même processus se reproduit mais en sens inverse, le rouge à lèvres rentre dans le mécanisme, puis la partie

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sortie du mécanisme rentre à son tour dans l'étui provoquant le reclippage de la partie avant porte raisin avec la partie semi-mobile arrière, et enfin le rideau vient obstruer l'ouverture (il est à noter que le rideau dans ses mouvements de va et vient est guidé par la ou les coques extérieurs soit naturellement, soit par la présence d'un rail de guidage).

On peut donc distinguer 3 phases principales : . ouverture du rideau . avance du mécanisme . sortie du raisin
Le principe des rampes filetées dans lesquelles viennent s'encliqueter des tétons est identique à celui du fonctionnement du mécanisme du rouge à lèvres.

Cette première version correspond donc aux figures 1,2, 3,4 et 5 avec deux types de présentation : . Soit 2 coques (fig 4) qui viennent s'encliqueter de chaque coté en enveloppant la partie mobile (A), la partie semi-mobile B ainsi que le rideau (b) ; dans ce cas, le consommateur fait fonctionner le mécanisme en le faisant tourner à travers les ouvertures situées sur les deux coques avec le pouce et l'index.

. Soit 2 coques (fig 5), une supérieure et une inférieure qui viennent également s'encliqueter comme la fig 1 mais avec une seule ouverture sur la pièce supérieure permettant de faire tourner le mécanisme d'un seul doigt.

Etude de la seconde version : figures 6,7, 8,9 et 10
Sur le même principe technique mais avec les caractéristiques suivantes :
Dans ce cas, c'est toute la partie avant (A) que l'on fait pivoter, entraînant le même processus que celui expliqué précédemment.

Le rideau (b) circule tout le long du mécanisme et est accroché par un téton (d) sur un filetage (e) (maxi % de tour) situé sur la partie semi-mobile arrière (B) ; A l'avant, le mécanisme (partie mobile A) a également un filetage (a) dans lequel vient se cliquer un téton (h) appartenant à une des deux coques.

La partie arrière étant fixe et la partie avant tournant dans le sens des aiguilles d'une montre, entraîne le rideau (b) qui lui, par l'intermédiaire de la rainure arrière (e), recule en dégageant l'ouverture par ou sort le

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raisin.

Parallèlement, la partie arrière, étant clipsée à la partie avant, tourne en même temps ; en fin de course du filetage arrière (e), la partie arrière se fixe tandis que la partie avant continue à tourner (par l'action du consommateur) ; la partie arrière se désolidarise (c) de la partie avant permettant la sortie du mécanisme d'une longueur U) ainsi que la sortie du raisin selon la longueur souhaitée.

Lors de la fermeture, le consommateur tourne la partie avant de l'étui dans le sens inverse des aiguilles d'une montre et le même processus se répète en sens inverse avec bien entendu le reclippage (fig 9) des parties avant et arrière.

Dans cette seconde version, le consommateur ouvre et ferme son rouge à lèvres en faisant tourner la partie avant entre le pouce et l'index.

Etude de la troisième version : figures 11,12, 13 et 14.

Sur le même principe technique que la première et deuxième version mais avec les caractéristiques suivantes :
L'ensemble se compose :
Un mécanisme porte-raisin (D) avec comme dans les versions précédentes 2 parties A et B pivotantes entre elles.

Un rideau (f) destiné à boucher l'orifice de sortie du raisin, ce rideau est clippé sur le mécanisme sans l'empècher de tourner librement ; 2 embouts a) L'embout arrière (a) est solidarisé à demeure en rotation et en translation avec le rideau. b) L'embout avant (b) est guidé en translation par le rideau (f) et est dirigé dans les deux mouvements par le téton (c).

Ces deux embouts sont donc toujours dans le prolongement l'un de l'autre et maintenus ensemble par clippage.

Le fonctionnement se déroule de la façon suivante :
L'utilisateur pousse avec le pouce l'embout avant (b) désolidarisant par translation les deux embouts (a et b qui étaient clippés).

Le mécanisme (D) est alors apparent et peut être manipulé ; Dans la mesure du possible, il serait judicieux d'apporter un élément en élastomère à ce mécanisme pour rendre sa manipulation plus aisée.

Dans une première partie de rotation du mécanisme, celui-ci sort de l'embout de façon à extraire la partie alu de la longueur programmée par la course du filetage ; ensuite, et par un pas minimum, le raisin est

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extrait du mécanisme à la longueur désirée par le consommateur selon le procédé expliqué pour les autres versions.

La fermeture du rouge à lèvres se fait en sens inverse en se terminant par le clippage des deux embouts (a) et (b). Etude de la quatrième version : figures 15 et 16.

Sur le même principe que les versions précédentes mais avec les caractéristiques suivantes :
On pourrait l'appeler rouge à lèvres à tirettes
Le rideau est composé de la plaquette (a) qui va venir obstruer l'orifice ainsi que d'une partie (b) qui vient se clipper sur le mécanisme sans empêcher celui-ci de tourner librement ; quand le rouge à lèvres est fermé, la partie (f) obstrue l'espace (c) existant entre les deux coques (d et e) lorsque celles-ci sont assemblées.

A l'ouverture, le consommateur fait reculer la partie (b) de la plaquette (a) permettant ainsi de dégager l'orifice de sortie du rouge à lèvres et de dégager le mécanisme. La sortie et la rentrée du rouge à lèvres se déroulent exactement comme dans la troisième version.

Claims (5)

1. 

   B selon figures 1 et 3, la partie B arrière du mécanisme est semi- mobile, la partie A avant du mécanisme est mobile, les parties A et B sont clippées et forment un ensemble solidaire quand le rouge à lèvres est fermé, un rideau b selon figures 1 et 3 en plastique souple doté d'un anneau j ayant en son centre un petit téton c venant s'encliqueter dans le filetage a de la partie avant du mécanisme A, la coque f ou g comporte un téton d selon figure 3,4 et 5 venant se clipper dans le filetage e de la partie B du mécanisme, les deux coques f et g sont ajourées de chaque côté selon figure 4 permettant de faire tourner le mécanisme avec le pouce et l'index.

   REVENDICATIONS 1) Dispositif permettant à un utilisateur de se servir d'un rouge à lèvres d'une seule main caractérisé en ce qu'il comporte un bloc de mécanisme A et B avec un filetage a sur A et un filetage e sur
2. 2) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que lorsque le rouge à lèvres est fermé, l'orifice de sortie du raisin est fermé par le rideau b et les 2 pièces A et B sont clippées et solidaires.
3. 3) Dispositif selon la revendication 1 caractérise en ce que lorsque l'utilisateur commence à faire tourner le mécanisme A, le rideau b est attiré vers l'arrière en libérant l'ouverture de l'étui, l'ensemble A et B se déplace en translation en restant solidaire.

   Quand l'utilisateur continue à faire tourner le mécanisme, le rideau b continue de reculer, la partie arrière B du mécanisme se bloque en rotation et se désolidarise de la partie A sous l'effet de la sortie d'une petite partie du mécanisme de l'étui fg ; en fin de course, le raisin sort du mécanisme de la longueur souhaitée par l'utilisateur, la partie arrière B du mécanisme étant toujours bloquée en rotation.
4. 4) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que lorsque l'utilisateur actionne en sens inverse le mécanisme A, le même processus se reproduit en sens inverse, le rouge à lèvres rentre dans le mécanisme A, la partie sortie du mécanisme A rentre à son tour dans l'étui fg provoquant le reclippage des parties A et

   B du mécanisme et en fin de course, quand le raisin est rentré entièrement dans le mécanisme, le rideau b vient obstruer l'ouverture.
5. 5) Dispositif selon les revendications 1,2, 3 et 4 caractérisé en ce que cette première version peut avoir deux types de présentation : soit 2 coques ajourées f et g venant s'encliqueter de chaque côté en enveloppant la partie mobile A, la partie

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   semi-mobile B et le rideau b selon figure 4 ; soit 2 coques, une supérieure h et une inférieure j, seule la supérieure étant ajourée pour permettre de faire fonctionner le mécanisme selon figure 5. en ce que les quatre versions proposées peuvent être notoirement simplifiées si on décide de ne plus faire sortir le mécanisme de l'étui ; dans ce cas, le mécanisme n'est plus en deux pièces mais en une seule et sur celui-ci il n'y a qu'un seul filetage servant à faire avancer et reculer le rideau selon que l'on souhaite découvrir ou obstruer l'orifice de sortie du raisin.