FR2804339A1 - Dispositif de retenue d'une chaussure sur une planche de glisse destinee a la pratique du surf sur neige - Google Patents

Abstract

Dispositif de retenue (1) d'une chaussure sur une planche de glisse destinée à la pratique du surf sur neige. Le dispositif (1) comprend une embase (2), des moyens de frottement de la chaussure sur l'embase (2), et un élément d'appui arrière (15), ce dernier présentant au moins une patte latérale (17, 51, 61).Le dispositif (1) est caractérisé par le fait qu'il présente au moins une plaque de frottement (24, 50, 60) qui fait saillie en partie au moins par rapport à une face interne (18, 56, 63) de la patte, la plaque de frottement présentant des moyens de frottement prévus pour s'opposer à un éloignement de la tige par rapport à une face frontale (16) de l'élément d'appui arrière (15).

Description

<B><U>Dispositif de retenue d'une chaussure sur une planche de glisse</U></B> <B><U>destinée à la</U></B> pratique <B><U>du surf sur neige</U></B> L'invention se rapporte au domaine des dispositifs de retenue d'une chaussure sur une planche de glisse destinée à la pratique du surf sur neige, ou snowboard.

Pour pratiquer le snowboard, un utilisateur a les deux pieds retenus à une planche, les pieds étant orientés sensiblement selon une direction transversale de la planche.

Certains dispositifs sont prévus pour retenir des chaussures souples, alors que d'autres sont prévus pour retenir des chaussures rigides.

Dans le cas des chaussures souples, un dispositif est généralement muni d'un élément d'appui arrière, de façon que l'utilisateur puisse transmettre des efforts à la planche avec l'arrière du bas de jambe.

Certains dispositifs présentent également une patte latérale associée à l'élément d'appui arrière. La patte latérale présente une face interne qui s'étend le long de la tige de la chaussure, au niveau d'un côté du bas de jambe. La patte est prévue pour que l'utilisateur puisse transmettre des efforts à la planche, selon une direction sensiblement longitudinale de la planche.

C'est par exemple le cas lorsque l'utilisateur décale le centre de gravité de son corps vers une extrémité de la planche.

La patte est également prévue pour transmettre à l'utilisateur certaines réactions du sol sur la planche. Cela est particulièrement utile pour négocier une courbe à grand rayon de courbure à haute vitesse.

Les dispositifs munis de pattes apportent une amélioration dans la précision et le contrôle de la conduite de la planche, par rapport à des dispositifs dépourvus de pattes.

Il est toutefois apparu que l'amélioration n'est pas permanente. En effet, il arrive que la tige de la chaussure ne reste pas en contact avec la patte quand l'utilisateur appuie pour transmettre un effort, ou bien quand la planche restitue une réaction du sol. L'invention a notamment pour but de faire en sorte que la tige de la chaussure reste en contact avec la patte, quand l'utilisateur appuie pour transmettre un effort selon une direction sensiblement longitudinale de la planche, ou bien quand la planche restitue les réactions du sol.

Un dispositif de retenue d'une chaussure sur une planche de glisse destinée à la pratique du surf sur neige, selon l'invention, comprend une embase prévue pour recevoir en partie au moins la semelle de la chaussure, des moyens prévus pour retenir la chaussure sur l'embase, et un élément d'appui arrière prévu pour recevoir la tige de la chaussure au niveau de l'arrière du bas de jambe d'un utilisateur, par contact avec une face frontale de l'élément d'appui arrière, l'élément d'appui arrière présentant au moins une patte latérale, la patte latérale présentant une face interne prévue pour s'étendre le long de la tige de la chaussure au niveau d'un côté du bas de jambe de l'utilisateur.

Le dispositif selon l'invention est caractérisé par le fait qu'il présente au moins une plaque de frottement qui fait saillie en partie au moins par rapport à la face interne de la patte, la plaque de frottement présentant des moyens de frottement prévus au moins pour s'opposer à un éloignement de la tige par rapport à la face frontale de l'élément d'appui arrière.

De ce fait, la partie de la tige située au niveau d'un côté du bas de jambe reste plus souvent en contact avec la patte quand l'utilisateur appuie pour transmettre un effort dans le sens de la longueur de la planche, ou bien quand la planche restitue une réaction du sol également selon le sens de la longueur.

Il s'ensuit avantageusement que la précision et le contrôle de la conduite sont meilleurs.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention seront mieux compris à l'aide de la description qui va suivre, en regard du dessin annexé illustrant, par des exemples non limitatifs comment l'invention peut être réalisée, et dans lequel - la figure 1 est une vue en perspective d'un premier exemple de dispositif de retenue selon l'invention, - la figure 2 est une vue de côté du dispositif de la figure 1, - la figure 3 est une coupe selon III-III de la figure 2, - la figure 4 est une coupe selon IV-IV de la figure 2, - la figure 5 est une coupe similaire à celle de la figure 3, pour un deuxième exemple de réalisation de l'invention, - la figure 6 est une coupe similaire à celle de la figure 3, pour un troisième exemple de réalisation de l'invention.

Le premier exemple est décrit ci-après à l'aide des figures 1 à 4.

Un dispositif de retenue 1 d'une chaussure sur une planche est montré en perspective à la figure 1.

Pour des raisons de commodité, la chaussure n'est pas représentée.

De manière connue, le dispositif 1 comprend une embase 2 prévue pour recevoir en partie au moins la semelle de la chaussure. L'embase 2 présente une extrémité avant 3 et une extrémité arrière 4 qui délimitent sa longueur, selon une direction longitudinale L du dispositif 1. L'embase 2 présente une face supérieure 5 prévue pour être en vis à vis de la semelle, ainsi qu'une face inférieure 6 prévue pour être en vis à vis de la planche, les faces supérieure 5 et inférieure 6 étant opposées par rapport à l'épaisseur de l'embase 2.

Bien entendu, la direction longitudinale L du dispositif 1 est la même que celle de la chaussure quand cette dernière est retenue sur le dispositif 1.

De manière préférée, l'embase 2 est munie d'un coussin avant 7 et d'un coussin arrière 8 qui font respectivement saillie par rapport à la face supérieure 5. Chaque coussin 7, 8 est solidarisé à l'embase par un moyen tel qu'un emboîtement, un collage ou autre. Les coussins sont prévus pour accueillir la semelle de la chaussure.

Le dispositif 1 présente également un côté extérieur qui contient un bord latéral extérieur 9, et un côté intérieur qui contient un bord latéral intérieur 10. Chacun des bords 9, 10 est en saillie par rapport à la face supérieure 5. Les bords 9, 10 sont orientés sensiblement selon la direction longitudinale L. I1 doit être compris que le bord latéral intérieur 10 est un bord situé du côté de l'intérieur du pied de l'utilisateur, quand ce dernier a le pied retenu par le dispositif. De ce fait, les bords latéraux intérieurs de deux dispositifs solidarisés à la même planche sont côte à côte.

Bien entendu, le bord latéral extérieur 9 est situé du côté de l'extérieur du pied quand l'utilisateur a le pied retenu par le dispositif.

Un arceau 11 relie l'un à l'autre les bords latéraux 9, 10 du côté de l'extrémité arrière 4 de l'embase 2. L'arceau 11 présente une face frontale 12 prévue pour recevoir le talon de la chaussure. Des moyens de retenue, représentés sous la forme de liens 13, 14, sont prévus pour retenir la chaussure sur le dispositif 1 de façon amovible. Les liens 13, 14, qui peuvent être ouverts ou fermés par l'utilisateur, relient respectivement les bords latéraux 9, 10.

Un élément d'appui arrière 15 est solidarisé à l'embase 2 comme suit.

L'élément d'appui arrière 15 est articulé par tout moyen connu sur les bords latéraux 9, 10, selon un axe transversal W du dispositif 1.

L'axe transversal W est contenu dans un plan sensiblement parallèle à la face inférieure 6 de l'embase 2, et orienté dans une direction transversale sensiblement perpendiculaire à la direction longitudinale L.

L'élément d'appui arrière 15 présente une face frontale 16, dont la forme incurvée est prévue pour entourer la tige de la chaussure au niveau de l'arrière du bas de jambe de l'utilisateur.

Une patte latérale 17, qui prolonge l'élément d'appui arrière 15 du côté du bord extérieur du dispositif 1, présente une face interne 18 prévue pour s'étendre le long de la tige de la chaussure au niveau d'un côté du bas de jambe de l'utilisateur. De préférence, la patte latérale 17 et l'élément d'appui arrière 15 forment une pièce monobloc.

De ce fait, la patte latérale 17 présente un périmètre délimité par une bande supérieure 19, une bande avant 20, une bande inférieure 21, et une portion de l'élément d'appui arrière 15.

La figure 2 montre des aspects supplémentaires du dispositif 1. Une butée 22, solidarisée de façon réglable par tout moyen à l'élément d'appui arrière 15, limite une rotation de ce dernier selon l'axe transversal W. Lorsque la butée 22 est en appui sur l'arceau 11, une extrémité supérieure 23 de l'élément d'appui arrière 15 ne peut plus s'éloigner de l'extrémité avant 3 de l'embase 2.

Dans ce cas l'utilisateur peut prendre des appuis arrière avec le bas de jambe, en appuyant sur la face frontale 16 selon la direction longitudinale L.

Selon l'invention une plaque de frottement 24 fait saillie, en partie au moins, par rapport à la face interne 18 de la patte 17. La plaque 24 présente des moyens de frottement prévus pour s'opposer à un éloignement de la tige de la chaussure par rapport à la face frontale 16 de l'élément d'appui arrière 15, comme il sera expliqué après.

De manière préférée comme on le comprend mieux à l'aide des figures 3 et 4, la plaque de frottement 24 est une pièce solidarisée à la patte latérale 17.

Une face de solidarisation 25 de la plaque de frottement 24 prend appui sur la face interne 18 de la patte 17. Des nervures 26, 27, 28 de la plaque de frottement 24, en saillie par rapport à la face de solidarisation 25, sont logées dans des cavités 29, 30, 31 de la patte 17. De préférence les formes des nervures et des cavités sont complémentaires.

Le moyen de solidarisation de la plaque de frottement 24 à la patte latérale 17 est réalisé par exemple par collage de la face de solidarisation 25 sur la face interne 18, par montage serré des nervures 26, 27, 28 de la plaque de frottement 24 dans les cavités 29, 30, 31 de la patte 17, ou par une combinaison de ces moyens.

Le périmètre de la plaque de frottement 24 est délimité par une bande supérieure 32, une bande avant 33, une bande inférieure 34, et une bande arrière 35.

Les moyens de frottement, prévus pour s'opposer à un éloignement de la tige de la chaussure par rapport à la face frontale 16 de l'élément d'appui arrière 15, sont réalisés par une alternance de saillies et de creux disposés sur une face de frottement 36 de la plaque 24.

Bien entendu, la face de solidarisation 25 est opposée à la face de frottement 36 par rapport à l'épaisseur de la plaque 24.

De manière préférée, chaque saillie est formée par une dent 37, qui parcourt la face 36 sensiblement de la bande supérieure 32 à la bande inférieure 34.

La face 36 comprend ainsi une suite de plusieurs dents 37 entre la bande avant 33 et la bande arrière 35. Les dents sont séparées par des rainures 38.

Les dents 37 sont prévues pour coopérer avec la tige de la chaussure comme suit, lorsque la tige est en appui sur la face de frottement 36 de la plaque 24.

La forme des dents permet un glissement de la tige vers la face frontale 16 de l'élément d'appui arrière 15, mais s'oppose à un éloignement de la tige par rapport à la face frontale 16, à la manière des écailles d'un poisson par rapport à l'eau.

Comme montré à l'aide de la figure 4 par exemple pour la dent 37 la plus proche de la bande avant 33, chaque dent présente une géométrie particulière. Une dent 37 présente une première face 39 sensiblement perpendiculaire à la direction longitudinale L, ainsi qu'une deuxième face 40 qui forme avec la première face 39 un angle compris entre 10 et 80 degrés.

Bien entendu pour une dent donnée, la deuxième face 40 est plus éloignée de la bande arrière 35 que ne l'est la première face 39. Cela revient à dire que la deuxième face 40 est plus éloignée de la face frontale 16 de l'élément d'appui arrière 15 que ne l'est la première face 39.

Le sommet de chaque dent, matérialisé par l'arête issue de l'intersection de la première face 39 avec la deuxième face 40, tend à s'enfoncer dans la tige de la chaussure quand l'utilisateur appuie sur la patte 17. Etant donné que la direction transversale du dispositif correspond sensiblement à la direction longitudinale de la planche quand le dispositif est solidarisé sur celle-ci, l'utilisateur peut facilement transmettre des appuis vers une extrémité de la planche en appuyant sur la patte 17. La tige tend à rester en contact avec la patte.

Comme on le comprend à l'aide des figures 1 et 3, les dents 37 et les rainures 38 présentent une forme ondulée entre la bande supérieure 32 et la bande inférieure 34. Cela signifie que l'arête d'une dent s'approche et s'éloigne alternativement de la bande avant 33 ou de la bande arrière 35, quand on parcourt la plaque de frottement 24 de la bande supérieure 32 à la bande inférieure 34. Cette structure permet d'augmenter les forces de frottement entre la tige de la chaussure et la plaque de frottement 24, dans une direction qui va de la bande inférieure 34 à la bande supérieure 32. Il s'ensuit avantageusement que l'utilisateur contrôle mieux les appuis latéraux exercés sur la patte 17.

Le dispositif 1 peut être réalisé selon toutes les techniques connues de l'homme du métier.

En particulier, l'embase 2, les bords extérieur 9 et intérieur 10, et l'arceau 11 forment de préférence une pièce monobloc réalisée par exemple à partir d'une matière plastique rigide.

L'ensemble constitué par l'élément d'appui arrière 15 et la patte 17 est également réalisé de préférence à partir d'une matière plastique rigide.

La plaque de frottement 24 peut être réalisée avec une matière plastique souple telle qu'un polyuréthanne, un silicone, ou du caoutchouc. Elle peut également être faite avec une matière plastique plus rigide.

De préférence, la plaque de frottement 24 est réalisée avec un matériau qui présente une rigidité inférieure à la rigidité du matériau constitutif de la patte 17.

Les deux autres exemples de réalisation de l'invention sont présentés ci-après à l'aide des figures 5 et 6. Etant donné qu'ils ne diffèrent chacun que très peu du premier exemple, seules les différences sont mises en évidence.

Le deuxième exemple est présenté à l'aide de la figure 5.

La différence, par rapport au premier exemple, réside dans les moyens de solidarisation d'une plaque de frottement 50 à une patte latérale 51 d'un dispositif de retenue. Des cavités 52, 53, 54, 55 de la patte 51 présentent des contre-dépouilles, par exemple en forme de queue d'aronde. La plaque 50 est surmoulée sur la face interne 56 de la patte 51, de façon que les cavités soient remplies par la matière constitutive de la plaque.

Cette méthode de réalisation évite des opérations d'assemblage et de collage.

Le troisième exemple est présenté à l'aide de la figure 6. La différence, par rapport au premier exemple, réside dans la structure d'une plaque de frottement 60 solidarisée à une patte latérale 61.

La plaque de frottement 60 est réalisée par superposition d'au moins deux couches de matériaux. Une couche interne 62 est solidarisée à la patte 61, du côté de la face interne 63 de la patte. Une couche externe 64 est solidarisée à la couche interne 62, par exemple par un moyen de collage, de façon à contacter la tige de la chaussure. La couche 64 est une couche de frottement qui agit de préférence dans toute direction parallèle à la face interne 63 de la patte 61. La couche externe 64 peut être faite en une seule ou plusieurs parties. De préférence, les couches interne 62 et externe 64 sont faites chacune avec un matériau de rigidité différente.

Bien entendu, l'invention n'est pas limitée aux exemples ci- avant décrits, et comprend tous les équivalents techniques pouvant entrer dans la portée des revendications qui vont suivre.

En particulier, il peut être prévu qu'un dispositif comprenne une seule patte extérieure, une seule patte intérieure, ou une patte extérieure et une patte intérieure.

Il peut également être prévu qu'une plaque de frottement soit constituée de plusieurs parties distinctes, ou qu'une même patte soit munie de plusieurs plaques de frottement.

Il peut être encore prévu qu'une patte et la plaque associée forment une pièce monobloc. Dans ce cas, si la patte et l'élément d'appui arrière sont monobloc, alors l'ensemble comprenant l'élément d'appui arrière, la patte et la plaque, est monobloc.

Les nervures d'une plaque, prévues pour se loger dans des cavités de la patte, peuvent être remplacées par des protubérances de forme quelconque. Par exemple, des plots cylindriques en saillie sur la plaque peuvent se loger dans des trous de la patte.

Les saillies et les creux, disposés sur la face de frottement d'une plaque, peuvent présenter toute forme convenable. En particulier une saillie peut être un plot cylindrique, carré, triangulaire ou de toute autre forme.

I1 peut encore être prévu que la plaque de frottement recouvre à la fois la face interne de la patte et une portion au moins de la face frontale de l'élément d'appui arrière.

Claims (1)

1. REVENDICATIONS 1- Dispositif de retenue (1) d'une chaussure sur une planche de glisse destinée à la pratique du surf sur neige, le dispositif (1) comprenant une embase (2) prévue pour recevoir en partie au moins la semelle de la chaussure, des moyens prévus pour retenir la chaussure sur l'embase (2), et un élément d'appui arrière (15) prévu pour recevoir la tige de la chaussure au niveau de l'arrière du bas de jambe d'un utilisateur, par contact avec une face frontale (16) de l'élément d'appui arrière (15), l'élément d'appui arrière (15) présentant au moins une patte latérale (17, 51, 61), la patte latérale présentant une face interne (18, 56, 63) prévue pour s'étendre le long de la tige de la chaussure au niveau d'un côté du bas de jambe de l'utilisateur, caractérisé par le fait qu'il présente au moins une plaque de frottement (24, 50, 60) qui fait saillie en partie au moins par rapport à la face interne (18, 56, 63) de la patte (17, 51, 61), la plaque de frottement présentant des moyens de frottement prévus au moins pour s'opposer à un éloignement de la tige par rapport à la face frontale (16) de l'élément d'appui arrière (15). 2- Dispositif de retenue (1) selon la revendication 1, caractérisé par le fait que les moyens de frottement sont constitués par une alternance de saillies et de creux disposés sur une face de frottement (36) de la plaque de frottement (24). 3- Dispositif de retenue (1) selon la revendication 2, caractérisé par le fait que chaque saillie est une dent (37) qui parcourt la face de frottement (36) entre une bande supérieure (32) et une bande inférieure (34) de la plaque de frottement (24), et par le fait que les creux sont des rainures (38) qui séparent les dents (37). 4- Dispositif de retenue (1) selon la revendication 3, caractérisé par le fait que les dents (37) et les rainures (38) présentent une forme ondulée entre la bande supérieure (32) et la bande inférieure (34). 5- Dispositif de retenue (1) selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que la plaque de frottement (24) présente des nervures (26, 27, 28) logées dans des cavités (29, 30, 31) de la patte (17). 6- Dispositif de retenue (1) selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé par le fait que la plaque de frottement (24) est réalisée avec un matériau qui présente une rigidité inférieure à la rigidité du matériau constitutif de la patte (17). 7- Dispositif de retenue (1) selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait que la patte (17) est située du côté extérieur du dispositif (1).