FR2802593A1 - Embrayage a friction a piece porteuse portant le stator d'une machine electrique, notamment pour vehicule automobile - Google Patents

Embrayage a friction a piece porteuse portant le stator d'une machine electrique, notamment pour vehicule automobile Download PDF

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Roger Abadia
Michel Graton
Fabrice Tauvron
Pierre Faverolle
Antoine Dokou Akemakou
Gilles Lebas
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Abstract

Le Dispositif d'embrayage à friction comporte, d'une part, un volant d'entraînement en rotation (13) présentant une extrémité avant destinée à être fixée à un arbre menant (11) et une extrémité arrière en forme de plateau de réaction (4) avec une face de friction (37), et d'autre part, un disque de friction (20), comprenant à sa périphérie externe au moins une garniture de friction (16) pour contact avec la face de friction (37) du plateau de réaction (4), ladite garniture de friction (16) étant solidaire d'un support (21) accouplé à un moyeu (15) central destiné à être solidarisé en rotation à un arbre mené (12). Le volant d'entraînement (13) porte, d'une part, entre ses extrémités avant et arrière le rotor (6) d'une machine électrique tournante (2) comprenant un stator fixe (5) et, d'autre part, des moyens de palier (132) interposés radialement entre ledit volant (13) et une pièce porteuse (134) solidaire du stator (5) pour définition d'un entrefer précis entre le stator (5) et le rotor (6). Application véhicule automobile.

Description

L'invention se rapporte<B>à</B> un dispositif d'embrayage<B>à</B> friction muni d'un volant d'entraînement en rotation.
L'invention<B>à</B> plus particulièrement pour> but, dans un véhicule automobile, de permettre l'arrêt et la remise en route automatique du moteur<B>à</B> combustion interne, lorsque le véhicule est<B>à</B> l'arrêt pour une faible durée<B>-</B> véhicule en attente<B>'</B> un feu rouge par exemple<B>-</B> de façon<B>à</B> économiser le carburant.
Un tel dispositif d'embrayage est connu de par le document FR-A 604<B>229.</B>
Dans celui-ci, le dispositif d'embrayage se compose essentiellement d'un embrayage<B>à</B> friction classique et un embrayage auxiliaire<B>à</B> couplage électromagnétique, agencé entre un elément solidaire en rotation du plateau de réaction de l'embrayage<B>à</B> friction et un volant d'inertie monté tournant coaxialement <B>à</B> larbre menant, au moyen d'un roulement<B>à</B> billes monté sur une entretoise axiale intercalé entre le vilebrequin du moteur du véhicule et le plateau de réaction.
En se rapportant<B>à</B> la<B>f</B> igure <B>1</B> de ce document, on voit que ce dispositif d'embrayage est encombrant axialement <B>à</B> cause notamment de la courroie entraînée par un moteur électrique éloigné radialement de l'embrayage<B>à</B> friction en sorte que le dispositif est également encombrant radialement.
En outre, l'embrayage électromagnétique fait appel<B>à</B> une plaque solidaire en rotation du plateau de réaction tout en étant mobile axialement par rapport<B>à</B> celui-ci.
La présente invention a donc pour objet de réduire lFencombrement axial et radial du dispositif d'embrayage tout en s'affranchissant de la présence d'un embrayage électromagnétique <B>à</B> plaque.
Selon l'invention, un dispositif d'embrayage sus-indiqué, comportant d'une part, un volant d'entraînement présentant<B>à</B> une extrémité avant pour sa fixation<B>à</B> un arbre menant et, une extrémité arrière en forme de plateau de réaction de forme creuse avec un évidement central délimité extérieurement par une face de friction, et d'autre part, un disque de friction comprenant au moins une garniture de friction pour contact avec la face de friction du plateau de réaction, ladite garniture étant solidaire d'un support accouplé de manière élastique, par l'intermédiaire d'un amortisseur de torsion, un moyeu central destiné<B>à</B> être solidarisé en rotation<B>à</B> un arbre mené et caractérisé en ce que l'amortisseur de torsion pénètre dans l'évidement central du plateau de réaction et en ce que le volant d'entraînement porte entre ses extrémités avant et arrière le rotor d'une machine électrique tournante comprenant un stator fixe coaxial au rotor.
Grâce<B>à</B> l'invention, on réduit l'encombrement radial de l'ensemble machine électrique<B>-</B> embrayage<B>à</B> friction car la machine électrique est adjacente au plateau de réaction et est portée en partie par le volant d'entraînement.
Grâce<B>à</B> l'invention, la machine électrique est adjacente au bloc moteur tandis que le plateau de réaction et le reste de l'embrayage sont logés de manière habituelle<B>à</B> l'intérieur de la cloche d'embrayage. Cette disposition permet de modifier le moins possible le bloc moteur et la cloche d'embrayage d'un véhicule automobile classique tout en ayant un encombrement radial réduit du fait que la machine électrique est décalée axialement par rapport au disque de friction. Le reste de <B>1</B> embrayage, notamment le mécanisme d'embrayage, reste inchangé.
L'arbre d'entrée de la boîte de transmission peut être inchangé par rapport<B>à</B> celui d'un véhicule classique.
En variante, on peut allonger cet arbre afin de le centrer l'intermédiaire du vilebrequin.
Grâce<B>à</B> l'invention le volant d'entraînement porte le rotor d'une machine électrique ce qui permet de s'affranchir de la présenced'un embrayage électromagnétique<B>à</B> plaques et on réduit l'encombrement axial et radial, du fait notamment de l'absence d'une courroie de transmission.
La machine électrique est conformée pour former un démarreur pour le moteur<B>à</B> combustion interne ainsi qu'un alternateur.
Le volant d'entraînement, dit volant moteur, présente une tres grande inertie. On peut couper le moteur<B>à</B> combustion interne, ou moteur thermique, du véhicule au feu rouge par exemple. Le volant, et donc le moteur thermique peut être remis en route facilement et rapidement par la machine électrique jouant alors le rôle d'un démarreur. On peut ainsi économiser du carburant. La machine électrique forme donc un alterno- démarreur. Elle permet également de filtrer les vibrations et d'éviter un calage du moteur 'thermique en fonctionnant en tant que moteur électrique.
Pour plus de précision sur une telle machine, on se reportera au document WO <B>98/05882.</B>
Dans une forme de réalisation, le support de la garniture de friction est accouplé manière élastique au moyeu par l'intermédiaire d'un amortisseur de torsion qui comporte une première rondelle de guidage solidaire du support et d'une deuxième rondelle de guidage.
Un voile lié en rotation, éventuellement après rattrapage d'un jeu est intercalé entre les deux rondelles de guidage. La deuxième rondelle de guidage est implantée dans l'évidement central du plateau de réaction.
Le support peut être distinct de la première rondelle de guidage en étant solidaire de celle-ci par exemple par des colonnettes reliant entre elles les deux rondelles de guidage en sorte que le support est accolé<B>à</B> la première rondelle de guidage.
En variante, le support est d'un seul tenant avec la première rondelle de guidage.
Dans une forme de réalisation, le dispositif de débrayage de l'embrayage est du type concentrique pour réduire l'encombrement axial entre l'embrayage le fond d'une cloche entourant l'embrayage<B>à</B> friction.
Avantageusement, des moyens de palier supplémentaires sont interposés entre le volant moteur et une pièce porteuse solidaire de l'entretoise portant de manière fixe le stator. Il en résulte la possibilité garantir un entrefer précis et petit entre le stator et rotor.
Ces moyens de palier peuvent consister en un palier lisse ou en un roulement<B>à</B> billes<B>'</B> moins une rangée de billes. Ce roulement<B>à</B> billes peut etre instrumenté pour mesurer notamment la vitesse de rotation volant d'entraînement et donc du vilebrequin.
Cette pièce porteuse enveloppe en partie le stator et le rotor et forme donc avantageusement un bouclier évitant toute pollution dans la machine électrique. Cette pièce est d'un seul tenant ou est rapportée d'un seul tenant sur l'entretoise.
Le volant d'entraînement peut être monobloc avec le plateau de réaction pour des raisons de coût.
En variante, volant d'entraÎnement est en plusieurs pièces ou parties comporte, outre le plateau de réaction, un tube ou un socle un arbre pour sa fixation sur l'arbre menant. Ainsi, les deux Pièces du volant peuvent être de deux matières différentes pour ajuster l'inertie du volant.
En outre, on peut facilement équilibrer dynamiquement le volant, par exemple en enlevant de la matière<B>à</B> la périphérie externe du plateau réaction.
De plus, les poussières engendrées par le frottement d'au moins une des garnitures de friction que comporte le dispositif d'embrayage<B>à</B> friction, ne risquent pas de polluer la machine électrique puisque celle-ci est située<B>à</B> l'avant du plateau de réaction.
De préférence plateau de réaction présente une Jupe a sa périphérie externe sur laquelle se fixe le couvercle d'un embrayage<B>à</B> friction.
Grâce<B>à</B> cette disposition, aucune poussière venant des garnitures de friction, ne viendra souiller la machine électrique.
Ce résultat peut être obtenu également avec la pièce porteuse lorsque celle-ci est adjacente au plateau de réaction et enveloppe en partie le rotor et le stator.
Cette pièce constitue un écran thermique ménageant ainsi la machine électrique.
on appréciera que la localisation de la deuxième rondelle de guidage, d'une maniere générale de l'amortisseur de friction, dans<B>l'</B> évidement plateau de réaction déplace le centre de gravité de l'ensemble constitué par la machine électrique et l'embrayage<B>à</B> friction vers l'arbre menant et donc vers la machine électrique Grâce<B>à</B> cette disposition, des moyens de paliers peuvent être montés sur le volant d'entraînement et porter le stator de la machine par l'intermédiaire d'une pièce porteuse. Ainsi, moyens de palier seront proches du centre de gravité de l'ensemble et donc ménagés. L'équilibrage de l'ensemble peut être réalisé aisément en ajoutant ou en enlevant de la matière sur le plateau de réaction très proche du centre de gravité. appréciera que l'amortisseur de torsion peut avoir la configuration souhaitée pour amortir les vibrations. Il peut être plus épais et comporter, outre le voile et deux rondelles de guidage, des voiles auxiliaires pour augmenter le débattement angulaire entre le moyeu et la ou les garnitures de friction.
embrayage<B>à</B> friction peut atteindre en service des températures élevées en sorte qu'il<B>y</B> a lieu de prévoir des moyens de refroidissement pour ménager le dispositif d'embrayage <B>à</B> friction dans son ensemble et augmenter ainsi sa durée vie.
Ainsi avantageusement, le volant moteur porte des moyens de refroidissement de la machine électrique tels que des ailettes portées par le plateau de réaction.
Dans une autre forme de réalisation, des moyens de refroidissement sont prévus pour refroidir le stator de la machine électrique afin d'améliorer la durée de vie les performances de celle-ci. On peut ainsi refroidir directement le stator<B>à</B> l'aide de perçages réalisés dans celui-ci.
Avantageusement, les perçages sont réalisés dans un ensemble monobloc entretoise<B>-</B> stator ce qui permet de conserver la résistance mécanique du stator.
Ainsi, en variante l'entretoise est d'un seul tenant avec le stator et l'ensemble constitué par deux séries de paquets de tôles, dont l'une forme entretoise.
En variante, on peut refroidir le stator par l'intermédiaire de entretoise externe.
Bien entendu, on peut combiner entre eux ces divers moyens de refroidissement par exemple, un fluide de refroidissement dans une forme de réalisation, traverse des perçages réalisés dans les tôles du stator pour pénétrer dans une chambre de refroidissement aménagée dans l'épaisseur de l'entretoise en combinaison avec des ailettes portée par le volant moteur.
Des moyens de vidange de la chambre de refroidissement de l'entretoise sont implantés au point bas de celle-ci. préférence, lesdits moyens de vidange sont implantés point le plus bas de ladite chambre permettant ainsi de vidanger le circuit de refroidissement complet du moteur<B>à</B> combustion interne du véhicule.
Dans une forme de réalisation la pièce porteuse du stator présente des évidements dans lesquels pénètrent des saillies bloc moteur pour réduire l'encombrement.
entretoise, notamment lorsqu'elle est constituée par deux séries de paquet de tÔles, permet de refroidir la machine électrique en portant un conduit d'entrée et de sortie permettant une circulation d'air<B>à</B> l'intérieur de la machine électrique et ce, entre le conduit d'entrée et de sortie.
L'un des conduits peut être équipé d'un ensemble moteur électrique<B>-</B> roue de turbine permettant une circulation forcee d'air.
L'entretoise n'a pas besoin d'être centrée par rapport bloc moteur lorsque cette entretoise est solidaire d'une pièce porteuse servant<B>à</B> supporter les moyens de palier précités. Dans ce cas, la cloche d'embrayage est centrée par l'entretoise, par exemple, au moyen d'une bague de centrage traversant l'entretoise et portée par le bloc moteur.
On voit qu'il est possible de refroidir la machine électrique sans toucher<B>à</B> la cloche d'embrayage ou au bloc moteur, notamment lorsque l'entretoise porte un conduit d'entrée et sortie.
volant d'entraînement permet également de rajouter de la matière aisément et donc d'équilibrer le balourd du vilebrequin, notamment lorsque le moteur thermique est<B>à</B> trois cylindres.
L'entretoise permet donc de réaliser un grand nombre de fonctions supplémentaires. On peut réduire également l'encombrement axial en dotant l'embrayage<B>à</B> friction d'un mécanisme<B>à</B> rattrapage d'usure.
La description qui va suivre illustre l'invention en regard des dessins annexés dans lesquels: <B>-</B> la figure<B>1</B> est une vue en coupe axiale d'un ensemble machine électrique-embrayage <B>à</B> friction selon l'invention.
<B>-</B> les<B>f</B>igures 2 et<B>3</B> sont des vues analogues<B>à</B> la<B>f</B> igure <B>1</B> pour 2 autres exemples de réalisation. <B>-</B> les<B>f</B>igures 4<B>à 6</B> sont des vues analogues<B>à</B> la<B>f</B> igure <B>1</B> sans partie centrale du disque de friction pour respectivement un quatrième, un cinquième et un sixième exemple de réalisation. figure<B>7</B> est une -vue partielle d'un dispositif de refroidissement du stator.
<B>-</B> la<B>f</B> igure <B>8</B> est une vue analogue<B>à</B> la<B>f</B> igure <B>7</B> dans un autre exemple de réalisation.
<B>-</B> figure<B>9</B> est une vue en coupe axiale d'un volant moteur analogue a celui de la figure<B>1</B> équipée<B>d'</B> platine amovible de montage.
figure<B>10</B> est une demie vue schématique du dispositif de débrayage de type concentrique équipé<B>d'</B> capteur d'effort.
<B>-</B> la figure<B>Il</B> est une vue de la courbe caractéristique du diaphragme ramené au niveau de la butée de debrayage.
<B>-</B> la figure 12 est une vue analogue<B>à</B> la figure<B>6</B> dans un autre exemple de réalisation.
<B>-</B> la<B>f</B> igure <B>13</B> est une vue en coupe analogue<B>à</B> la<B>f</B>igure<B>1,</B> selon la ligne C-C de la figure 14 pour encore un autre exemple de réalisation.
<B>-</B> la figure 14 est une vue en coupe selon la ligne A-A de la figure<B>13.</B>
<B>-</B> la figure<B>15</B> est une vue en coupe selon la ligne B-B de la figure 14.
<B>-</B> les figures<B>16</B> et<B>17</B> sont des vues analogues<B>à</B> la figure<B>1</B> pour encore deux autres exemples de réalisation.
<B>-</B> la figure<B>18</B> est une vue en perspective de l'ensemble machine électrique<B>-</B> embrayage sans le rotor et le stator de la machine électrique.
<B>-</B> la figure<B>19</B> est une vue en perspective du volant seul de la figure<B>18.</B>
<B>-</B> la figure 20 est une vue en perspective, avec arrachement local, montrant le mécanisme d'embrayage de la figure<B>17.</B>
<B>-</B> la figure 21 est une vue en perspective d'une entretoise monobloc avec les tôles du stator pour encore un autre exemple de réalisation.
<B>-</B> la figure 22 est une vue selon la flèche 22 de la figure <B>23</B> du flasque de support seul. <B>-</B> la<B>f</B> igure est une vue analogue<B>à</B> la<B>f</B> igure <B>1</B> pour encore un autre exemple de réalisation.
<B>-</B> la figure est une vue en perspective d'un volant seul de l'ensemble machine électrique<B>-</B> embrayage<B>à</B> friction et équipé d'une roue codeuse formant cible pour moyen de détection.
<B>-</B> la figure<B>25</B> est une vue en perspective du volant de la figure 24 équipé de son entretoise.
<B>-</B> la figure<B>26</B> est une vue analogue<B>à</B> la figure<B>1</B> avec des vis de fixation entre cuir et chair pour la fixation du stator et du rotor.
<B>-</B> la figure est une vue analogue<B>à</B> la figure<B>1</B> avec des entrées et sorties d'air pour la ventilation.
<B>-</B> la figure est une vue analogue<B>à</B> la figure<B>27</B> dans un autre mode de réalisation.
<B>-</B> la<B>f</B> igure est une vue analogue<B>à</B> la figure<B>27</B> dans encore un autre mode de réalisation.
<B>-</B> les figures<B>29, 30, 31, 32</B> et<B>33</B> sont des vues en perspective des conduits d'entrée et de sortie d'air.
<B>-</B> la figure une vue en coupe selon la ligne A-A de la figure<B>13</B> dans un autre mode de réalisation.
<B>-</B> la figure une vue analogue<B>à</B> la figure<B>27</B> dans encore un autre mode de réalisation.
<B>-</B> la figure est une vue analogue<B>à</B> la figure 34 dans encore un autre mode de réalisation.
<B>-</B> la figure est une vue analogue<B>à</B> la figure<B>23</B> dans encore un autre mode de réalisation.
<B>-</B> la figure<B>38</B> une vue en coupe d'un mode de fixation de l'entretoise.
Dans les figures, les éléments communs seront affectés des mêmes numéros de référence.
Dans ces figures, est représenté un ensemble<B>1</B> de coupure et de démarrage d'un moteur<B>à</B> combustion interne.
Cet ensemble<B>1</B> comporte une machine électrique tournante 2 et un embrayage<B>à</B> friction<B>3</B> comportant un plateau de réaction 4 en matière moulable ici de la fonte.
En variante, plateau de réaction est en matière moulable <B>à</B> base d'aluminium et présente un revêtement pour coopérer avec une garniture de friction<B>16</B> décrite ci-après. La machine électrique 2 comporte un stator<B>5</B> et un rotor<B>6</B> montés de manières coaxiales, et radialement l'un au dessus de l'autre avec formation d'un entrefer<B>7</B> entre le stator<B>5</B> et le rotor<B>6.</B>
Dans les figures, le stator<B>5</B> entoure le rotor<B>6,</B> mais bien entendu, en variante, le rotor<B>6</B> peut entourer le stator<B>5</B> doté d'enroulements de fils électriques dont on voit en<B>8</B> les extrémites appelés chignons.
Le rotor<B>6</B> et le stator<B>5</B> présentent chacun un paquet de tôles respectivement<B>9</B> et<B>10,</B> ici en fer doux.
En outre, le rotor<B>6</B> est doté d'une cage d'ecureuil <B>60</B> en cuivre en aluminium en sorte que la machine électrique est du type asynchrone.
Les tôles sont de forme annulaire et sont par exemple isolées par oxydation au contact les unes avec autres. En variante, des isolants séparent les tôles les unes des autres.
Les paquets de tôles<B>9</B> et<B>10</B> forment une couronne d'orientation axiale.
De manière connue, les tôles du stator<B>5</B> présentent des encoches pour le passage des enroulements ou bobinages précités. Ces enroulements sont reliés via un connecteur<B>63 à</B> un bloc ou boîtier électronique de commande et de puissance piloté par un calculateur recevant des informations provenant de capteurs mesurant notamment les vitesses de rotation d'un arbre menant <B>11,</B> constitué par l'arbre de sortie, dit vilebrequin, d'un moteur de combustion interne et d'un arbre mené 12 formant l'arbre d'entrée d'un boite de transmission de mouvement, ainsi que d'un capteur de déplacement, mesurant par exemple le déplacement de la butée d'embrayage décrite ci-après.
L'ensemble<B>1</B> est interposé entre les arbres<B>11</B> et 12. L'embrayage<B>3</B> constitue un organe de coupure et de démarrage. Lorsque l'embrayage est engagé (embrayé), le couple moteur est transmis de l'arbre menant<B>Il à</B> l'arbre mené 12. Lorsque l'embrayage est désengagé (débrayé), il se produit une coupure en sorte que l'arbre mené 12 n'est plus entraîné par l'arbre menant<B>il.</B> Le plateau de réaction 4 constitue l'extrémité arrière d'un volant d'entraînement<B>13</B> de forme annulaire, présentant<B>à</B> l'avant, une face avant fixee sur l'extrémité de l'arbre menant<B>Il.</B>
Suivant une caractéristique, le volant<B>13,</B> appelé usuellement volant moteur, porte le rotor<B>6</B> de la machine électrique 2 entre ses extrémités avant et arrière.
L' ensemble volant<B>13 -</B> rotor<B>6 -</B> embrayage<B>3</B> constitue un dispositif d'embrayage<B>à</B> friction; le volant<B>13</B> constituant l'élément d'entrée de l'embrayage<B>3</B> et le support du rotor<B>6</B> de la machine électrique 2.
La machine électrique 2 permet ici de démarrer le moteur<B>à</B> combustion interne. Pour cela, on fait passer dans le bobinage du stator un courant électrique asservi de fréquence et d'intensité déterminées par un contrôle électronique par le calculateur recevant des informations sur la condition de demarrage du véhicule. Dans ce cas, la machine électrique 2 tourne plus vite qu'un démarreur classique.
La machine électrique 2 constitue également un alternateur lorsque le moteur<B>à</B> combustion interne tourne. Cette machine ici type asynchrone formant moteur électrique. Elle peut etre de tout type,<B>à</B> savoir par exemple,<B>à</B> flux radial ou axial, asynchrone, synchrone<B>à</B> aimants dans l'entrefer ou enterrés,<B>à</B> commutation de flux<B>à</B> aimants seuls ou hybrides<B>-</B> désexcitation par bobinage au stator<B>- à</B> griffes sans balais,<B>à</B> réluctance variable,<B>à</B> simple et double excitation,<B>à</B> flux transversal<B>à</B> effet Vernier. La machine permet de filtrer les vibrations engendrées par ledit moteur<B>à</B> combustion interne. Elle permet d'accélérer le moteur thermique et d'éviter que celui-ci ne cale. Elle permet de freiner le moteur et de délivrer une puissance plus importante que les alternateurs conventionnels.
La machine électrique 2 permet également de faciliter le changement de vitesse par synchronisation des arbres<B>11</B> et 12, la machine freinant ou accélérant l'arbre<B>11.</B>
Suivant une autre caractéristique, la machine 2 permet d'arrêter le moteur<B>à</B> combustion interne au feu rouge et de le redémarrer ensuite en économisant du carburant du fait de la grande inertie du volant<B>13</B> équipé du rotor<B>6.</B> Par exemple, le point mort étant engagé et clé de contact en position véhicule roulant on coupe le moteur après deux secondes et on remet en route dès que l'on change de rapport.
Pour plus de précision sur une telle machine, on se reportera au document WO <B>98/05882.</B>
Ainsi,<B>à</B> la figure<B>1,</B> on voit en 40, une couronne dentée aménagée<B>à</B> la périphérie externe du plateau de réaction 4 et associée<B>à</B> un capteur radial, non visible sur toutes les figures pour notamment capter la vitesse de rotation de la machine électrique 2. Ici, s'agissant d'une application pour véhicule automobile, l'arbre menant<B>Il</B> est le vilebrequin du moteur a combustion interne du véhicule, tandis que l'arbre mené 12 est l'arbre d'entrée de la boite de vitesse solidaire d'une cloche d'embrayage 14, également appelée carter d'embrayage, formant carter fixe. L'arbre d'entrée 12 traverse le fond de la cloche 14 entourant en majeure partie l'embrayage monté rotatif autour d'un axe X-X aligné avec celui des arbres<B>Il</B> et 12. Le rotor<B>6</B> est plus épais que le plateau de réaction 4 formant avec le volant<B>13</B> l'élément d'entrée de l'embrayage<B>à</B> friction, et donc du dispositif d'embrayage<B>à</B> friction. L'élément de sortie de cet embrayage est constitué par moins un moyeu central<B>15</B> cannelé intérieurement pour sa liaison en rotation avec l'arbre mené 12 cannelé extérieurement pour se faire<B>à</B> son extrémité. Le moyeu<B>15</B> est accouplé de manière rigide ou élastique avec au moins une garniture de friction<B>16</B> destinée<B>à</B> être serrée entre le plateau de réaction et un plateau de pression<B>17</B> sous l'action de moyens embrayeurs<B>18 à</B> action axiale agissant sur le plateau de pression<B>17</B> et prenant appui sur un couvercle<B>19</B> solidaire du plateau de réaction 4, ici par vissage.
La garniture de friction<B>16</B> et le moyeu<B>15</B> appartiennent respectivement<B>à</B> la périphérie externe et<B>à</B> la périphérie interne d'un disque de friction 20 comportant au moins un support 21 portant la garniture de friction<B>16</B> et accouplé au moyeu<B>15.</B> Le support 21 peut être noyé dans la garniture<B>16.</B>
De préférence, deux garnitures de friction<B>16</B> sont prévues en étant fixées de part et d'autre du support 21 axialement élastiques au niveau des garnitures<B>16</B> pour serrage progressif des garnitures<B>16</B> entre les plateaux 4,<B>17</B> et créer une assistance lors du désengagement de l'embrayage.
Un tel support est décrit par exemple dans le document FR-A- 2 <B>693 778.</B> La fixation des garnitures<B>16</B> peut donc être réalisée par rivetage<B>;</B> en variante, les garnitures sont fixées par collage sur la zone centrale de portée d'une pale tripode ce qui permet de réduire l'épaisseur des garnitures de friction et donc l'encombrement axial.
Cela permet également de diminuer l'inertie du disque 20 et d'user plus les garnitures<B>16.</B>
Les faces de friction de ou des garnitures<B>16</B> sont donc normalement serrées entre les plateaux 4,<B>17</B> en sorte que l'embrayage est normalement engagé. Pour désengager l'embrayage, il faut donc prévoir des moyens débrayeurs 22 pour contrecarrer <B>à</B> volonté l'action des moyens embrayeurs<B>18</B> afin de libérer la ou les garnitures de friction<B>16</B> et désengager l'embrayage. Ces moyens débrayeurs 22 sont commandés par une butée de débrayage <B>23</B> agissant en poussée ou par traction sur l'extrémité interne des moyens débrayeurs 22. La butée appartient<B>à</B> un dispositif de débrayage 24. L'embrayage<B>à</B> friction<B>3</B> comporte donc un plateau de réaction 4, éventuellement en 2 parties pour formation dun volant amortisseur ou d'un volant flexible, qui est calé en rotation sur le vilebrequin<B>11</B> et qui supporte<B>à</B> sa périphérie externe, ici par des vis, un couvercle<B>19</B> auquel est attaché, avec mobilité axiale, au moins un plateau de pression<B>17;</B> plusieurs plateaux<B>17</B> et plusieurs disques de friction 20 pouvant être prévu comme visible par exemple<B>à</B> la figure 4 du document FR <B>A 1 280</B> 746.
Le plateau de pression<B>17</B> est solidaire en rotation du couvercle<B>19</B> et donc du plateau de réaction 4, tout en pouvant se déplacer par rapport<B>à</B> celui-ci par l'intermédiaire de languettes axialement élastiques<B>25,</B> ici tangentielles, mieux visibles dans le document FR <B>A 1 280</B> 746 et<B>à</B> la figure<B>18.</B>
Des moyens embrayeurs<B>18</B> agissent entre le fond du couvercle <B>19,</B> ici de forme creuse, et le plateau de pression<B>17.</B> Ces moyens embrayeurs prennent appui sur le fond du couvercle<B>19</B> et sur bossage non référencé du plateau de pression pour serrer les garnitures de friction<B>16</B> entre les plateaux 4 et<B>17.</B>
Les moyens débrayeurs 22 peuvent consister en des leviers de débrayage associés<B>à</B> des ressorts hélicoïdaux comme décrits dans le document FR <B>A 1 280</B> 746. En variante, il peut s'agir de deux rondelles Belleville montées en séries et soumises l'action de leviers de débrayage formant les moyens débrayeurs.
Dans les figures représentées, les moyens embrayeurs<B>18</B> et débrayeurs 22 appartiennent<B>à</B> une même pièce de forme annulaire appelee diaphragme, présentant une partie périphérique de forme annulaire<B>18</B> formant rondelle Belleville prolongée par une partie centrale fragmentée en doigts radiaux 22 par des fentes borgnes, non visibles sur les figures, dont les fonds forment des orifices élargis<B>à</B> la périphérie interne de la rondelle Belleville <B>18</B> du diaphragme.
Dans les figures, le diaphragme<B>18,</B> 22, est monté de manière pivotante<B>à</B> la périphérie interne de sa rondelle Belleville <B>18 à</B> l'aide d'un appui primaire<B>26</B> porté par le fond du couvercle<B>19</B> et d'un appui secondaire<B>27</B> porté par des moyens d'assemblage<B>28</B> traversant les orifices élargis du diaphragme. Ici l'appui primaire<B>26</B> est formé par emboutissage du fond du couvercle tandis que l'appui secondaire<B>27</B> appartient<B>à</B> une couronne jonc porté par des pattes<B>28</B> traversant les orifices élargis du diaphragme<B>18,</B> 22 et formant les moyens d'assemblages précités, comme décrits dans le document FR <B>A</B> 2<B>585</B> 424 auquel on se reportera pour plus de précision.
En variante, les moyens d'assemblage peuvent comporter des pattes ou des colonnettes comme décrits dans les figures<B>7 à 15</B> du document FR <B>A</B> 2 456<B>877.</B>
Ainsi, en position embrayage engagé, le diaphragme prend appui sur l'appui primaire<B>26</B> et sur le bossage, que présente dorsalement le plateau de pression<B>17.</B> Pour désengager l'embrayage, on agit<B>à</B> l'aide de la butée d'embrayage<B>23,</B> dans les figures représentées en poussant, sur les extrémités internes des doigts du diaphragme pour faire pivoter celui-ci, qui prend alors appui sur l'appui secondaire<B>27</B> formé<B>à</B> la périphérie externe de la couronne jonc. Lors de cette opération, la charge exercée par le diaphragme <B>18,</B> 22 sur le plateau de pression<B>17</B> diminue, puis s'annule, les languettes<B>25</B> exerçant une action de rappel du plateau en direction du fond du couvercle<B>19</B> de forme creuse afin de libérer les garnitures de friction<B>16.</B>
Dans ces figures, la périphérie externe de la rondelle Belleville <B>18</B> prend appui sur le bossage du plateau de pression. En variante, on inverse les structures en sorte que la périphérie externe de la rondelle Belleville <B>18</B> prend appui sur le couvercle<B>19,</B> tandis que la périphérie interne de la rondelle Belleville <B>18</B> prend appui sur le bossage du plateau de pression <B>17,</B> comme visible par exemple dans le document FR-A 2<B>606 477,</B> l'embrayage étant alors du type tiré, la butée<B>23</B> agissant alors en tirant sur l'embrayage pour désengager celui-ci.
<B>A</B> la lumière de ce dernier document, on voit que l'embrayage <B>3</B> peut être équipé dun dispositif de rattrapage d'usure pour compenser lusure des garnitures de friction<B>16.</B> Le plateau de pression<B>17,</B> grâce aux languettes<B>25,</B> forme de manière unitaire un sous-ensemble avec le couvercle<B>19</B> et le diaphragme<B>18,</B> 22. Ce sous-ensemble est appelé mécanisme d'embrayage et est destiné <B>à</B> etre fixé ici par vissage sur le plateau de réaction 4 comme visible dans les figures<B>;</B> le couvercle<B>19</B> ayant globalement la forme d'une assiette creuse avec un rebord radial externe fixation au plateau 4 et un fond troué centralement.
Le disque de friction 20 est dans les figures du type élastique c'est-à-dire, que le support 21 est accouplé de manière élastique au moyeu<B>15</B> par l'intermédiaire d'un amortisseur de torsion 20a ici<B>à</B> organes élastiques<B>35, 36</B> action circonférentielle sous forme de ressorts<B>à</B> boudins. Plus precisément, le support 21 est accolé<B>à</B> une première rondelle de guidage<B>29</B> solidaire d'une deuxième rondelle de guidage<B>30</B> par des colonnettes<B>31.</B> Ces colonnettes<B>31</B> servent également ici<B>à</B> la fixation du support 21 en forme de disque par exemple du type de celui décrit dans le document FR-A 2<B>693 778.</B> Les colonnettes <B>31</B> traversent axialement des ouvertures<B>32</B> formées dans un voile <B>3q.</B> La première<B>29</B> et la deuxième rondelle de guidage<B>30</B> sont disposées de part et d'autre du voile 34 solidaire en rotation du moyeu<B>15,</B> ici après rattrapage d'un jeu angulaire. Ce jeu angulaire est déterminé par des moyens. d'engrènement<B>à</B> jeu intervenant entre la périphérie du voile interne 34 et la périphérie externe du moyeu<B>15,</B> des dents du voile 34 pénétrant <B>à</B> jeu dans des échancrures du moyeu<B>15</B> et vis-versa.
Les ressorts<B>35, à</B> action circonférentielle sont montés dans des fenêtres non référencées pratiquées en vis<B>à</B> vis dans le voile 34 et les deux rondelles de guidage<B>29, 30.</B> Des ressorts <B>36,</B> de plus faible raideur que les ressorts<B>35,</B> accouplent élastiquement le voile 34 au moyeu<B>15</B> comme décrit dans le document FR-A 2<B>726 618</B> auquel on se reportera pour plus de precision. Ce document décrit également les moyens élastiques<B>à</B> action axiale et les moyen de frottement intervenant entre la première rondelle de guidage<B>29</B> et le voile 34.
Entre le voile 34 et la deuxième rondelle de guidage<B>30,</B> il prévu un palier intervenant entre le moyeu<B>15</B> et la deuxième rondelle de guidage<B>30,</B> ledit palier étant solidaire en rotation du voile 34 et servant de logement au ressort<B>36.</B> Bien entendu, le disque 20 peut avoir une autre forme, par exemple celle décrite dans les figures<B>1 à</B> 4 du document FR-A-2693778. Le voile 34 peut être solidaire du moyeu<B>15.</B>
Ainsi qu'il ressort<B>à</B> l'évidence de la description, le plateau de réaction 4 présente dorsalement une face de friction <B>37</B> pour contact avec la garniture<B>16</B> adjacente du disque de friction 20. Les garnitures de friction<B>16</B> sont destinées être serrées entre cette face de friction<B>37</B> et celle que présente en vis<B>à</B> vis le plateau de pression<B>17</B> Cette face de friction<B>37</B> délimite intérieurement un évidement central<B>39</B> en sorte que le volant<B>13</B> est centralement de forme creuse. Suivant une caractéristique, la deuxième rondelle de guidage<B>30</B> pénetre <B>à</B> l'intérieur de cet évidemment<B>39 ,</B> radialement en dessous de la face<B>37,</B> pour réduction de l'encombrement axial. Ainsi, la deuxième rondelle de guidage<B>30</B> est plus éloignée du plateau de pression<B>17</B> et du couvercle<B>19</B> que ne l'est la première rondelle de guidage<B>29.</B> Cette rondelle<B>30</B> est implantée dans l'évidement central<B>39</B> décalé axialement par rapport<B>à</B> la face de friction <B>37</B> en direction de la face avant du volant<B>13.</B>
Le disque de friction 20 présente donc<B>à</B> sa périphérie externe au moins une garniture de friction<B>16</B> solidaire d'un support 21 accouplée elastiquement par un amortisseur de torsion 20a<B>à</B> un moyeu central<B>15.</B> L'amortisseur 20a pénètre dans l'évidement<B>39</B> délimité extérieurement par la face de friction <B>37.</B>
Il en résulte la face de friction<B>37</B> est décalée axialement par rapport au rotor<B>6</B> Dans le mode de réalisation de la figure<B>1,</B> le dispositif de débrayage 24 comporte une fourchette de débrayage<B>50</B> montée de manière pivotante sur le fond de la cloche 14<B>à</B> l'aide d'une rotule<B>51</B> solidaire de la cloche 14. L'extrémité supérieure de la fourchette est conformée pour réception de l'extrémité d'un câble relié<B>à</B> la pédale de débrayage. La commande de la butée de débrayage<B>23</B> est ainsi du type manuel, cette buté de débrayage<B>23</B> comportant, de manière connue, un roulement<B>à</B> billes dont l'une des bagues est tournante et est conformée pour contact local avec les extrémités internes des doigts 22 du diaphragme<B>18,</B> 22. L'autre bague du roulement est fixe et est en appui contre le flasque que présente un manchon<B>53</B> soumis<B>à</B> l'action des doigts internes de la fourchette de débrayage<B>50.</B> Le manchon<B>53</B> coulisse le long d'un tube guide<B>52</B> solidaire de la cloche 14. Le tube guide<B>52</B> est traversé par<B>l'</B> arbre 12 venant en prise avec le moyeu<B>15.</B> Dans cette<B>f</B> igure on voit les différentes inclinaisons de la fourchette<B>50</B> lors de l'opération de débrayage, le diaphragme visible<B>18,</B> 22 étant globalement plan en position embrayage engagé. Dans la partie haute de la figure<B>1,</B> l'embrayage est engagé, tandis que dans la partie basse, l'embrayage est désengagé. Ici, la bague interne du roulement de la butée<B>23</B> est tournante tandis que la bague externe dudit roulement est fixe et présente un rebord radial au contact avec le flasque transversal du manchon<B>53</B> sous l'action d'une rondelle élastique<B>à</B> action axiale sollicitant le rebord de la bague externe au contact dudit flasque. La butée peut ainsi se déplacer radialement par rapport au flasque et est du type auto-centreuse, un jeu radial existant entre le rebord radial de la bague externe et le manchon<B>53.</B>
Grâce<B>à</B> l'invention, la butée<B>23</B> peut venir au plus près de la première rondelle de guidage<B>29</B> ce qui permet de réduire l'encombrement axial. évidement<B>39</B> de la figure<B>1</B> est étagé intérieurement en <B>f</B> orme d'escalier. Ainsi, cet évidement est délimité extérieurement par une première portion annulaire d'orientation axiale<B>38</B> se raccordant<B>à</B> l'arrière<B>à</B> la face de friction<B>37</B> et <B>à</B> l'avant<B>à</B> un épaulement annulaire<B>d'</B> orientation radiale 41 Une deuxième portion annulaire d'orientation axiale 42 se raccorde<B>à</B> l'arrière au dit épaulement 41 et<B>à</B> l'avant<B>à</B> la face arriere transversale d'une douille de fixation 43 dont périphérie interne est en contact intime avec la périphérie externe du vilebrequin<B>11.</B> La deuxième portion 42 a donc diametre inférieur<B>à</B> celui de la première portion<B>38.</B> Le volant <B>13</B> monobloc et présente donc<B>à</B> l'avant<B>à</B> sa périphérie interne la douille 43 dotée de trous 44 pour le passage de vis de fixation 45 du volant<B>13</B> au vilebrequin<B>11.</B> La face avant de la douille 43 est en contact avec le vilebrequin<B>11.</B> L'extrémité avant du volant<B>13</B> est donc destinée<B>à</B> être fixée<B>à</B> l'arbre<B>11.</B>
Les vis 45 sont logées<B>à</B> l'intérieur de la deuxième portion 42. Radialement au dessus de la douille de fixation 43, le volant<B>13</B> est épaissi pour formation d'un manchon 46 d'orientation axiale. Ce manchon est délimité intérieurement par la portion 42 et la douille 43 et extérieurement par une portée cylindrique 47 servant au montage du paquet de tôles<B>9</B> du rotor <B>6.</B> Ainsi le plateau de réaction 4 s'étend en saillie radiale par rapport<B>à</B> la périphérie interne du rotor<B>6</B> et est décalée axialement par rapport au rotor<B>6.</B>
L'ensemble douille 43<B>-</B> manchon 46 a en section une forme d'équerre, la douille 43 s'étendant radialement vers laxe X-X et constituant le fond troué centralement délimitant l'évidemment <B>39.</B> La portée de montage 47 est délimitée<B>à</B> l'arrière par un épaulement 48. Radialement, au delà du manchon 46, le volant d'entraînement<B>13</B> est prolongé par le plateau de réaction 4 doté <B>à</B> sa périphérie de la couronne dentée 40. Ce plateau de réaction 4 est d'épaisseur décroissante en allant de sa périphérie interne<B>à</B> sa périphérie externe en sorte qu'un jeu axial existe entre la cage d'écureuil<B>60</B> et le plateau de réaction 4 ainsi qu'entre les chignons<B>8</B> et le plateau de réaction 4. L'épaisseur décroissante du plateau de réaction 4 est déterminée pour éviter toute interférence avec le rotor<B>5</B> et le stator<B>6.</B> Le plateau 4 est donc doté d'une échancrure de dégagement pour les chignons <B>8.</B> Le paquet de tôles<B>9</B> du rotor<B>6</B> est monté par frettage sur la portée de montage 47 d'orientation axiale jusqu'à venir en butée contre<B>1 1</B> épaulement Ainsi on chauffe le paquet de tôles<B>9</B> qui, se refroidissent ultérieurement pour fixation sur la portée 47.
En variante le paquet tôles<B>9</B> est fixé par un dispositif de rainurage et de clavettes sur la portée 47.
En variante la fixation paquet de tôles<B>9</B> est réalisé par des cannelures intervenant entre le paquet de tôles<B>9</B> et la portée 47.
En variante, le paquet tôles est soudé sur la portée 47. En variante, la fixation du paquet de tôles<B>9</B> est réalisé au moyen de vis traversant le paquet de tôles<B>9</B> et l'épaulement 48 pour se visser dans le plateau de réaction 4, les têtes de vis prenant appui sur une bague de fixation en contact avec l'extrémité avant du paquet de tôles avant.
En variante, le manchon 46 présente<B>à</B> sa périphérie externe une portée tronconique tandis que le paquet de tôles<B>9</B> présente <B>à</B> sa périphérie interne une portée complémentaire. La fixation du paquet de tôles<B>9 à</B> donc lieu par emmanchement conique.
En variante le paquet de tôles<B>9</B> est monté sur la portée 47 et est en contact<B>à</B> l'une de ses extrémités avec l'épaulement 48.<B>A</B> son autre extrémité, ce paquet est fixé par des vis montées entre cuir et chair (figure<B>26)</B> entre la portée 47 et la périphérie interne du paquet de tôles<B>9.</B>
Dans tous les cas, le rotor<B>6</B> est solidaire, tant axialement qu'en rotation, du volant d'un seul tenant<B>à</B> la figure<B>1;</B> ledit volant<B>13</B> étant obtenu par moulage ici de fonte en sorte que ce volant<B>13</B> avec son rotor<B>6</B> présente une grande inertie. En outre, on peut réaliser indexage angulaire du rotor<B>6</B> par rapport au volant<B>13.</B>
L'extrémité arrière du volant<B>13</B> est constituée par le plateau de réaction 4 délimité par la face de friction<B>37.</B> Le stator<B>5</B> est<B>f</B> ixé de manière analogue au rotor<B>6</B> sur une entretoise<B>61.</B> Par exemple la périphérie externe du rotor<B>5</B> est fixée sur la périphérie interne de l'entretoise<B>61</B> par frettage en variante par des cannelures, en variante par soudage, en variante par des vis montées entre cuir et chair de la même manière que le paquet de tôles<B>9,</B> etc <B>...</B> ce de manière indexee angulairement. Pour plus de précisions le montage<B>à</B> vis entre cuir et chair, on se reportera<B>à</B> la figure<B>26</B> où on voit<B>160</B> et<B>161</B> les vis.
L'entretoise<B>61</B> a une forme annulaire et est échancrée pour passage du connecteur<B>63</B> relié aux extrémités des enroulements. Un autre dispositif de connexion venant dispositif de commande précité, formant également dispositif puissance, se branche sur le connecteur<B>63,</B> mieux visible<B>à</B> la figure<B>25,</B> pour alimenter les enroulements du rotor<B>5.</B>
L'entretoise<B>61</B> est interposée entre l'extremité libre de la cloche 14 et le bloc moteur<B>62.</B> La cloche présente<B>à</B> son extrémité libre un rebord radial pour appui têtes de vis de fixation 64 traversant l'entretoise<B>61</B> pour fixer sur le bloc moteur<B>62.</B>
L'entretoise<B>61</B> est dotée d'ailettes de refroidissement mieux visibles en<B>183</B> dans les figures 21 et 22.
on notera qu'à la figure<B>1</B> la deuxième rondelle de guidage <B>30</B> est logée dans l'espace délimité par tronçon<B>38</B> et l'épaulement 41, seul l'extrémité interne de seconde rondelle de guidage<B>30</B> pénètre un peu plus profondément<B>à</B> l'intérieur de l'évidement étagé<B>39.</B>
Bien entendu, en variante comme représenté dans la figure 2, le volant d'entraînement<B>13</B> est en plusieurs pièces ou parties, <B>à</B> savoir, un plateau de réaction 4 de forme creuse et une entretoise annulaire<B>130, 131,</B> 46 globalement<B>à</B> section en forme de<B>U.</B> Cette entretoise est interposée entre le plateau 4 et le vilebrequin<B>il</B> en étant centré par ledit vilebrequin. LI entretoise<B>130, 131,</B> 46 centre<B>à</B> son extrémité arrière le plateau de réaction 4. Pour se faire, l'entretoise est évidée<B>à</B> l'arrière. La première branche du<B>U, à</B> savoir branche interne ou inférieure la plus proche de l'axe X-X, globalement une forme de tube interne<B>131</B> doté de perçages pour le passage d'une première série de vis 145 de fixation, dont les tetes prennent appui sur le plateau de réaction et dont le corps traverse le plateau réaction 4 et le tube interne<B>131</B> pour visser dans le vilebrequin.
Le tube interne<B>131</B> présente une deuxième série de perçage de diamètre plus petit que celui de la première série de perçage pour vissage d'une deuxième série de vis 245 fixant le plateau de réaction 4<B>à</B> l'entretoise<B>130.</B>
La branche externe 46 ou supérieure de l'entretoise<B>130,</B> <B>131,</B> 46 constituée par le manchon 46 servant montage du rotor<B>6</B> de la même manière qu'à la figure<B>1.</B>
Le manchon est donc délimité par un épaulement 248 qui est ici tourné vers le plateau de réaction 4. Le fond<B>130</B> du<B>U</B> de l'entretoise<B>130, 131,</B> 46 s'étend globalement transversalement et relie entre elles les deux branches 46,<B>131</B> de forme annulaire et d'orientation axiale.
L'entretoise<B>130, 131,</B> 46 comporte une branche supérieure de support de rotor et une branche inférieure de fixation constituant l'entretoise proprement dite.
Le tube interne<B>131</B> porte<B>à</B> sa périphérie externe des moyens de palier<B>132.</B> Ces moyens de palier consistent par exemple en un roulement<B>à</B> billes en une rangée de billes en variante<B>à</B> deux rangées de billes.
En variante les moyens de paliers<B>132</B> comportent deux roulements<B>à</B> billes.
La bague interne du ou des roulements<B>à</B> billes est donc emmanchée sur la périphérie interne du tube interne<B>131</B> tandis que la bague externe du ou des roulements<B>à</B> billes<B>132</B> est emmanchée<B>à</B> l'intérieur d'une jupe annulaire<B>133</B> appartenant<B>à</B> la péripherie d'une pièce porteuse 134 portant<B>à</B> sa périphérie externe entretoise<B>61</B> sur laquelle se fixe le stator<B>5</B> de la machine électrique 2 de la même manière qu'à la figure<B>1.</B>
La pièce porteuse 134 épouse globalement la forme du plateau de réaction 4 en étant<B>à</B> distance de celui-ci de manière adjacente. Cette pièce<B>à</B> une forme tortueuse<B>à</B> cause de la présence des chignons<B>8.</B>
La jupe<B>133,</B> d'orientation axiale pénètre dans la cavité délimitée par les branches 46,<B>131</B> de l'entretoise<B>130, 131,</B> 46. La pièce porteuse 134 est d'un seul tenant avec la jupe<B>133</B> et l'entretoise<B>131</B> en étant venue de moulage avec celle-ci. Cette pièce 134 est par exemple<B>à</B> base d'aluminium. Il en est de même de l'entretoise<B>130, 131,</B> 46.
La pièce porteuse 134 enveloppe en partie le stator<B>6</B> et le rotor et forme donc un masque en forme de bouclier évitant toute pollution de la machine électrique 2. La pièce 134 est ici d'un seul tenant avec l'entretoise<B>61.</B>
Le plateau de réaction 4 est en fonte comme<B>à</B> la figure<B>1</B> Ainsi, on peut modifier l'inertie du volant d'entraînement attendu que l'entretoise<B>130, 131,</B> 46 est plus légère qu' pièce fonte. Bien entendu, si désiré, cette entretoise peut être en fonte. Le plateau de réaction présente comme<B>à</B> la figure <B>1</B> une face de friction<B>37</B> délimitée intérieurement par première portion annulaire d'orientation axiale<B>38.</B>
Le plateau de réaction 4 présente<B>à</B> sa périphérie interne un anneau 140 globalement d'orientation axiale raccordé par une portion inclinée intérieurement de forme tronconique 142 au plateau de réaction 4 proprement dit. Les séries de vis 145, 245 présentent des têtes prenant appui sur l'anneau 140. Grâce<B>à</B> la portion tronconique 142 on peut loger la deuxième rondelle de guidage<B>30</B> de l'amortisseur de torsion 20a<B>à</B> l'intérieur de l'évidement central du plateau de réaction 4 délimité par l'anneau 140 et les portions 142,<B>38.</B>
Grâce<B>à</B> la portion inclinée 142 on évite toute interférence entre disque de friction 20 et les têtes des vis 145, 245.
on appréciera que par rapport<B>à</B> la figure<B>1,</B> on a un entrefer<B>7</B> précis et petit grâce aux moyens de palier<B>132</B> et la pièce porteuse 134.
Ainsi, l'entrefer entre le rotor et le stator demeure indépendant et insensible<B>à</B> toutes les perturbations liées fonctionnement du moteur thermique: battement, vibrations,<B>j</B> l'hyperstatisme est trop important, on privilégiera solution exposée<B>à</B> la figure<B>5</B> ou dans les figures<B>23, 37</B> et<B>38.</B> Grâce aux moyens de palier<B>132,</B> l'entretoise est centrée par le vilebrequin<B>11</B> en sorte que la présence de pions de centrage entre le bloc moteur du véhicule et l'entretoise n'est pas indispensable; des moyens de centrage existant entre la cloche 14 et l'entretoise<B>61.</B>
Grâce aux deux séries de vis 145, 245, on peut fabriquer dans un premier lieu de fabrication la machine 2 équipée de l'entretoise<B>130, 131,</B> 46. Puis, fixer le plateau de réaction<B>à</B> l'aide des vis 145 et fixer en final le volant<B>13</B> sur le vilebrequin<B>à</B> l'aide des vis 145. Ensuite, après insertion du disque 20, on fixe le mécanisme d'embrayage<B>17, 25, 19, 18,</B> 24.
En variante, et afin d'augmenter l'inertie du mécanisme d'embrayage<B>17, 18, 19,</B> 24,<B>25,</B> on pourra utiliser un couvercle <B>19</B> en fonte.
Bien entendu, comme représenté dans la figure<B>3,</B> on peut encore réduire l'encombrement axial en supprimant la fourchette de débrayage<B>50.</B> Dans ce cas, le dispositif de débrayage 24 est du type concentrique car il est traversé centralement par l'arbre mené 12. Le dispositif de débrayage 24 peut être du type de commande<B>à</B> câble comme décrit dans US-5,141,091. Dans ce cas, la butée débrayage<B>23</B> est portée par une pièce menée fixe en rotation et mobile en translation par exemple au moyens de languettes élastiques reliant un flasque de la pièce menée<B>à</B> un boîtier solidaire de la cloche 14. La pièce menée est en relation de vis-écrou avec une pièce menante fixe en translation et mobile en rotation par exemple par l'intermédiaire d'un roulement<B>à</B> billes intervenant entre le boîtier fixe et la pièce menante qui porte<B>à</B> sa périphérie une poulie pour l'enroulement du câble de commande manoeuvré par la pédale d'embrayage.
En variante comme représentée<B>à</B> la figure<B>3,</B> le dispositif de débrayage 24 est du type hydraulique comme décrit dans le document FR-A-2,730,532. Dans ce cas, la butée de débrayage<B>23</B> est portée par un piston 241 mobile axialement par rapport au tube guide<B>52</B> solidaire par exemple par sertissage d'un corps extérieur 242 fixé sur la cloche d'embrayage 14 par exemple<B>à</B> l'aide d'oreilles comme décrit dans le document FR-A-2,730,532. Le corps extérieur 242 entoure le tube guide et définit avec celui-ci une cavité annulaire borgne 243 d'orientation axiale, dont le fond est constitué par un rebord radial que présente le tube guide<B>à</B> son extrémité arrière. Ce rebord radial est par exemple fixé par sertissage sur le corps extérieur 242 doté <B>dl</B> entrée d'alimentation de fluide de commande, tel que de l'huile, reliée<B>à</B> un perçage non visible débouchant dans la cavité 243 au niveau de son fond. L'entrée d'alimentation est mieux visible dans les figures<B>16</B> et<B>17</B> et présente un canal débouchant. Le piston 241 pénètre dans la cavité 243 et délimite de manière étanche avec celle-ci une chambre volume variable. Un ressort de précharge 244 agit entre le corps 242 et l'extrémité avant du piston 241 pour maintenir la butée<B>23</B> en appui constant contre les extrémités des doigts 22 du diaphragme <B>18, .</B> Il est également prévu un soufflet de protection 246 entourant le ressort 244. Par rapport<B>à</B> la figure<B>1,</B> la bague extérieure<B>23</B> du roulement est tournante tandis que la bague interieure du roulement est fixe. Pour plus de précision on se reportera au document FR-A-2,730,532. On voit que la distance entre le fond de la cloche 14 et le couvercle<B>19</B> est réduite du fait de l'absence fourchette<B>50.</B> En effet, dans les figures<B>1</B> et 2 est nécessaire de prévoir un espace supplémentaire pour les débattements angulaires de la fourchette. Le dispositif de débrayage 24 forme ainsi le récepteur hydraulique d'une commande hydraulique dont lémetteur est actionné soit manuellement par la pédale de débrayage soit de manière semi-automatique par un actionneur<B>à</B> moteur électrique commandé selon des programmes prédéterminés de changement- de rapport de vitesse par un calculateur électronique recevant des informations notamment de capteurs mesurant la vitesse de rotation des arbres<B>11</B> et 12, ainsi que le déplacement de la butée de débrayage<B>23</B> du plateau <B>17.</B>
Ces capteurs peuvent être utilisés pour commander la machine électrique 2. Bien entendu en variante, le plateau de réaction 4 présente une couronne 40 comme<B>à</B> la figure<B>1</B> permettant<B>à</B> un capteur de mesurer la vitesse de rotation de l'arbre menant<B>11.</B> Le capteur peut être du type optique pour ne pas être perturbé par les phénomènes magnétiques.
Les capteurs peuvent être placés en tout endroit approprié et servent donc<B>à</B> la fois<B>à</B> la commande de la machine électrique 2 et<B>à</B> la commande de l'actionneur<B>à</B> moteur électrique précité, le calculateur électronique étant commun<B>à</B> la machine électrique 2 et<B>à</B> l'actionneur <B>à</B> moteur électrique. Il ressort<B>à</B> l'évidence que la machine electrique permet ainsi synchroniser les vitesses de rotations des arbres<B>11</B> et 12 en accélérant ou en freinant l'arbre<B>11,</B> sorte qu'il est possible d'utiliser des boites de vitesses sans dispositif de synchronisation avec un dispositif de crabotage déplaçable avec un faible effort. Il en résulte que la boite de vitesses peut être commandée par des actionneurs<B>à</B> faible effort pour le passage et/ou la sélection des rapports.
changement de rapport de vitesse est ainsi plus aisé et plus rapide car la vitesse des deux arbres est synchronisée.
Le véhicule étant arrêté au feu rouge, point-mort engagé, le déplacement de la butée, ainsi que le changement de rapport de vitesses fournissent, via des capteurs, des informations pour redémarrer le moteur thermique.
Bien entendu, comme visible<B>à</B> la figure 4 manchon 46 peut être d'un seul tenant avec le plateau de réaction 4 et s'étendre axialement en direction du vilebrequin<B>11.</B> Les moyens de palier <B>132</B> interviennent entre la périphérie interne du manchon 46 et la périphérie externe de la jupe<B>133</B> de la pièce porteuse 134 portant le stator<B>5</B> tandis que le moyeu 46 porte<B>à</B> sa périphérie externe de manière précitée le rotor<B>6.</B> On voit que par rapport <B>à</B> la figure<B>3,</B> on a inversé les structures, la pièce porteuse 134 étant retournée pour s'étendre au voisinage du carter<B>62</B> du moteur thermique.
On notera que dans les<B>f</B> igures 2<B>à</B> 4, les moyens de paliers <B>132</B> s'étendent au dessus des vis de fixation 145. Dans cette figure 4 l'entretoise<B>230</B> consiste en un arbre traversant l'ouverture centrale de l'anneau 140 par un nez de centrage,<B>à</B> l'avant, l'arbre<B>230</B> est évidé en<B>231</B> pour son centrage par le vilebrequin<B>11.</B> Comme<B>à</B> la figure<B>3,</B> la deuxième rondelle de guidage, non représentée, pénètre dans l'évidement central du plateau de pression délimité par l'anneau 140 et les portions 142,<B>38</B> On notera que la portion<B>38</B> est plus courte que dans les figures 2 et<B>3</B> tandis que la portion 142 est plus inclinée. Dans figures 2 et<B>3,</B> la pièce porteuse 134 fait cache- poussières et écran thermique car elle s'étend au voisinage immédiat du plateau de réaction 4 et enveloppe le rotor et le stator. Ainsi, les particules notamment métalliques provenant des garnitures de friction<B>16</B> du disque de friction 20 ne risquent pas de polluer la machine électrique 2, garantissant ainsi un bon rendement.
L'évidement central<B>39</B> volant<B>13</B> est donc constitué par l'évidement central du plateau de réaction 4 délimité extérieurement par la face friction<B>37</B> de contact avec la garniture<B>16.</B>
<B>A</B> la figure 4, le plateau de réaction présente<B>à</B> sa périphérie externe une jupe annulaire d'orientation axiale 144 entourant les garnitures friction<B>16</B> en sorte que les poussières des garnitures ne viendront pas polluer la machine électrique 2.
En outre, il est prévu gorge 148<B>à</B> la périphérie interne de la jupe 144 pour recueillir les poussières. Cette gorge se raccorde<B>à</B> la face de friction<B>37</B> du plateau de réaction par un flanc vertical et présente en section un fond en arc de cercle prolongé par un flanc incline. Bien entendu, la gorge 148 peut avoir tout autre forme. Néanmoins on appréciera que le flanc incliné dirige les impuretés vers le plateau de pression<B>17.</B> Les impuretés sont centrifugées dans la gorge 148 constituant une gorge anti-pollution.
Bien entendu,<B>à</B> la figure<B>1,</B> le plateau 4 peut être doté d'une telle jupe 144<B>à</B> gorge Toutes les combinaisons sont possibles. on notera qu'à la figure 4 l'entretoise<B>61</B> est distincte de la pièce porteuse 134. La pièce porteuse<B>131</B> est fixée directement sur le bloc moteur<B>62 à</B> l'aide de vis de fixation 164 traversant<B>à</B> jeu radial des perçages<B>165</B> réalisés dans des oreilles<B>166</B> que présente la pièce porteuse au delà de sa périphérie externe, du fait de la présence des moyens de palier<B>132.</B>
L'entretoise<B>61</B> est distincte de la pièce porteuse qui porte <B>à</B> sa périphérie externe une jupe annulaire<B>261</B> pour le montage du stator<B>5,</B> par exemple par frettage de manière décrite ci- dessus.
L'entretoise<B>61</B> est évidee pour le passage des oreilles<B>166</B> réparties par exemple de manière régulière<B>à</B> 120 degrés. Le nombre des oreilles dépend applications. Bien entendu, les moyens de palier<B>132</B> peuvent être implantés sur la même circonférence que les vis de fixation 245 comme visible<B>à</B> la figure<B>5.</B> Dans ce cas, le manchon 46 appartient toujours au plateau de réaction dont l'anneau interne 140 est élargi<B>à</B> sa base pour présenter des cannelures et engrener avec un arbre<B>330</B> présentant des oreilles<B>331</B> pour sa fixation l' aide des vis 245 le vilebrequin<B>11.</B> L'extrémité arrière de l'arbre est cannelée pour coopérer avec les cannelures de l'anneau 140. Ainsi, le plateau de reaction 4 est lié en rotation<B>à</B> l'arbre<B>330.</B> L'anneau 140 est calé axialement par une rondelle<B>333</B> fixée par des vis 334 en bout de l'arbre <B>330.</B> De l'autre coté, l'anneau 140 est calé axialement par la bague interne du roulement<B>à</B> billes constituant moyens de palier<B>132.</B> Ce roulement est intercalé axialement entre l'anneau 140 et les tètes des vis 245. La pièce porteuse 134 du stator<B>5</B> porte des entretoises<B>61</B> et a une forme beaucoup plus droite que dans la figure 4. On notera dans les figures 4 et<B>5</B> que l'on peut nervurer les pièces porteuses 134 pour rigidifier celles-ci ce qui n'est pas aisé dans les figures 2 et<B>3. A</B> la figure<B>5,</B> les nervures sont d'amplitudes plus importantes qu' la figure 4 On notera que les organes de fixation 64 sont montés de manière élastique dans les trous de passage 461 de l'entretoise<B>61,</B> pour éviter l'hyperstatisme lors des débattements du vilebrequin, plus précisément, les organes de fixation 64 sont entourés par une goupille fendue 462 elle-même entourée par deux coussinets épaulés 463, par exemple en élastomère tel que du caoutchouc, placés aux extrémités des trous de passage 461. Un certain degré de liberté existe donc entre les organes de fixation 64, ici en forme de goujon et la semelle<B>61</B> en sorte que la pièce porteuse n'est pas bridée et est centrée sur l'arbre<B>330</B> par le roulement <B>à</B> billes<B>132</B> avec création d'un entrefer petit et précis. Bien entendu, ce type de montage élastique est applicable dans les figures<B>1 à 3.</B>
Bien entendu, on notera que l'évidement central du plateau de réaction 4 dans lequel se loge la deuxième rondelle de guidage<B>30</B> du disque de friction 20 est délimitée ici par l'anneau 140 et la portion annulaire d'orientation axiale<B>38.</B> Ainsi, l'amortisseur de torsion 20a peut être plus épais. on peut même monter deux amortisseurs de torsion en parallèle comme décrit par exemple dans le document US-A-3 <B>101 600.</B> On peut ainsi obtenir de grands débattements angulaires.
Dans la figure<B>6</B> dans laquelle on a inversé les structure par rapport<B>à</B> la structure de la<B>f</B> igure <B>5</B> en sorte que la liaison cannelure est située<B>à Il</B> avant et non l'arrière, plus précisément, dans cette réalisation, l'anneau 140 s'étend radialement un peu plus radialement vers l'intérieur en direction de l'axe X-X pour présenter centralement un arbre 430 dont l'extrémité avant est cannelée pour venir en prise avec des cannelures que présente intérieurement un socle de fixation 431 fixé par des vis 345 au vilebrequin<B>11</B> du moteur. La pièce porteuse 134 est solidaire des entretoises<B>61</B> comme<B>à</B> la figure <B>5</B> avec un montage élastique entre les entretoises et les organes de fixation 64. Les moyens de palier<B>132</B> sont implantés axialement entre l'anneau 140 et le socle 431 et consistent en deux roulements<B>à</B> billes. La pièce porteuse 134 présente une douille 432<B>à</B> sa périphérie interne par laquelle elle est montée sur les bagues externes des roulements<B>132</B> avec une collerette intermédiaire 433 pour séparer les deux roulements<B>à</B> billes<B>132.</B> La douille 432 est dotée de perçages 545 radialement au dessus des roulement<B>132</B> pour accès<B>à</B> l'aide d'outils aux têtes des vis de fixations 345. Ainsi, les outils de fixation des vis traversent la pièce porteuse 134 et l'anneau 140. Bien entendu, comme décrit dans le document FR-A 2<B>718 208,</B> les outils de fixation peuvent traverser également le disque de friction. Pour ce faire, il suffit de doter le disque de friction d'un pré- amortisseur surélevé. on notera que dans les figures 2 et<B>3,</B> le pré-amortisseur de torsion est du type de celui décrit dans le document FR <B>A</B> 2<B>718 208.</B> Ce pré-amortisseur comporte donc un voile fixé sur le moyeu<B>15</B> et deux rondelles de guidage disposées de part et d'autre du voile et assemblées ensemble par clipsage <B>à</B> l'aide de pattes servant<B>à</B> l'entraînement en rotation du pré-amortisseur avec le voile 34.
Bien entendu, par rapport<B>à</B> ce document FR-A2718208, il faut monter la deuxième rondelle de guidage dans l'évidement du plateau de réaction, c'est<B>à</B> dire réaliser un retournement du disque de friction 20.
Dans ce cas, il faut bien entendu prévoir des trous de passage dans le diaphragme pour le passage de ou des outils de fixation des vis, sachant que les dits outils de fixation peuvent appartenir<B>à</B> une visseuse <B>ou</B> être des outils individuels.
Les vis ou d'autres organes de fixation peuvent être montés de manière imperdable dans la machine. Pour ce faire, les têtes de vis de fixation peuvent avoir un diamètre supérieur<B>à</B> celui des trous de passage précités dans le diaphragme, dans le disque de friction Dans ce cas, on peut former un module comprenant le plateau de réaction 4, le disque de friction 20 et le mécanisme d'embrayage comprenant de manière unitaire le plateau<B>17,</B> le diaphragme 22 et le couvercle<B>19.</B>
Ce module unitaire peut être équilibré aisément, c'est la raison pour laquelle on voit en<B>1000 à</B> la figure<B>6</B> un chanfrein d'équilibrage réalisé<B>à</B> la périphérie externe du plateau de réaction 4. Ainsi, on peut enlever plus ou moins de matière aux endroits voulus pour équilibrer dynamiquement ici l'ensemble embrayage<B>'</B> friction-machine électrique car,<B>'</B> la figure<B>6,</B> on peut réaliser l'ensemble machine électrique 2<B>-</B> embrayage<B>à</B> friction<B>3,</B> socle 431 puis visser en final<B>à</B> aide des vis 345 l'ensemble sur le vilebrequin<B>11.</B>
Bien entendu, le ou les outils de fixation des vis 345 peuvent ne pas traverser la friction le mécanisme d'embrayage. Dans ce cas, on peut réaliser un sous-ensemble volant d'entraînement<B>13 -</B> machine électrique 2 et socle 431 que l'on peut équilibrer dynamiquement puis monter sur le vilebrequin<B>11 à</B> l'aide des vis 345. Ensuite, met en place le disque de friction 20 puis on fixe le mécanisme d'embrayage sachant que celui-ci peut être équilibré dynamiquement de manière connue, par exemple en perçant aux endroits voulus le plateau de pression<B>17</B> et ou ajouter des rivets d'équilibrages fixés par exemple sur le rebord périphérique couvercle.
On notera qu'à la figure<B>6,</B> le socle 431 est calé axialement, d'une part,<B>à</B> l'arrière sur l'arbre 430 par le roulement billes<B>132</B> le plus éloigné de l'anneau 140 et<B>,</B> d'autre part,<B>à</B> l'avant, sur l'arbre 430, par une rondelle 434 maintenue en place par un circlips 435 engagé dans l'extrémité libre de l'arbre 430.
D'une manière générale,<B>à</B> la figure<B>6,</B> on peut réaliser au moins un sous-ensemble machine électrique<I>2</I><B>-</B> volant d'entraînement<B>13-</B> socle 431 que l'on monte en une seule fois sur le vilebrequin. Ce sous-ensemble en variante pouvant comprendre de manière précitée l'embrayage<B>à</B> friction<B>3.</B>
Dans toutes les figures, on peut réaliser des équilibrages de l'ensemble machine électrique 2<B>-</B> volant d'entraînement<B>13</B> par enlèvement de matière par exemple sur le plateau de réaction, ou sur l'entretoise<B>130, 131,</B> 46 ou sur l'arbre<B>330</B> ou d'une manière générale, sur tout autre pièce tournante autour de l'axe X-X et solidaire en rotation de l'un des arbres<B>11</B> et 12, par exemple, on peut enlever de la matière sur le plateau de pression<B>17.</B>
Bien entendu, on peut réaliser l'inverse, c'est<B>à</B> dire ajouter de la matière aux endroits désirés sur toute pièce tournante autour de l'axe X-X est solidaire en rotation de l'un des arbres<B>11</B> ou 12. On peut par exemple, rajouter des rivets d'équilibrage sur le couvercle<B>19,</B> sur le plateau de réaction 4, sur l'entretoise<B>130, 131</B> et 46, sur le manchon 46.
L'équilibrage se fait donc par ajout ou enlèvement de masse sur le volant<B>13</B> ou sur le mécanisme d'embrayage<B>1 18,</B> 22,<B>19</B> et on peut corriger le balourd du moteur thermique, notamment pour les trois cylindres en enlevant ou en rajoutant de la matière.
L'équilibrage peut donc conduire<B>à</B> la présence d'un balourd sur l'ensemble machine électrique 2<B>-</B> embrayage friction<B>3</B> pour corriger le balourd du moteur thermique. L'ensemble moteur thermique<B>-</B> dispositif d'embrayage<B>à</B> friction 2,<B>3</B> doté de la machine électrique est donc équilibré.
D'une manière générale, on notera que les moyens de paliers <B>132</B> des figures 2<B>à 6</B> sont agencés pour être rapproché du centre de gravité des parties tournantes c'est<B>à</B> dire de l'ensemble<B>1.</B> Ainsi,<B>à</B> la figure<B>6,</B> les moyens de palier constitués par les deux roulements<B>à</B> billes, sont implantés radialement en dessous du rotor<B>6</B> et du stator<B>5,</B> et ce, de manière globalement symétrique par rapport<B>à</B> l'axe de symétrie radiale du rotor et du stator. Dans cette figure, ces moyens de palier sont implantés radialement en dessous de la face de friction<B>37</B> du plateau de réaction 4.
on notera que dans cette figure<B>6,</B> le rotor<B>6</B> est fixé<B>à</B> sa périphérie interne radialement en dessous des garnitures de friction.
Il en est de meme dans les autres figures. Bien entendu en variante, le rotor<B>6</B> peut être fixé radialement au niveau des garnitures<B>16,</B> entre la périphérie interne et externe de celle- ci. Il suffit<B>à</B> la figure 2 par exemple d'augmenter la taille radiale du fond<B>130</B> Dans les figures 2 et<B>3,</B> les moyens de paliers<B>132</B> sont implantés radialement en dessous du rotor<B>5</B> et du stator<B>6</B> en étant décalé axialement vers le plateau de réaction par rapport <B>à</B> l'axe de symétrie radial du rotor<B>6</B> et du stator<B>5.</B>
<B>A</B> la figure les moyens de palier<B>132</B> sont toujours implantés radialement en dessous du rotor<B>6</B> et du stator<B>5</B> en étant décalé axialement en direction opposée au plateau de réaction 4 par rapport<B>à</B> l'axe de symétrie radiale du rotor<B>6</B> et du stator<B>5.</B>
Il en est de meme <B>à</B> la figure<B>5</B> dans laquelle ce décalage est plus marqué, moyens de paliers<B>132</B> étant globalement décalés axialement par rapport au rotor<B>6</B> et ce, en direction opposée au plateau de réaction 4.
Tout ceci dépend de la forme de l'évidement central du volant<B>13</B> et donc du plateau de réaction 4.
on appréciera que la localisation de la deuxième rondelle de guidage<B>30 à</B> l'intérieur de l'évidement central du plateau de réaction 4 décale le centre de gravité de l'ensemble<B>1</B> en direction des moyens de palier<B>132</B> La forme creuse du plateau de réaction 4 est bénéfique car la périphérie interne du plateau de réaction 4 est plus proche du rotor<B>6</B> que ne l'est la face de friction<B>37</B> dudit plateau en sorte que l'un déplace le centre de gravité de l'ensemble en direction de la machine électrique. Bien entendu, on peut enlever de la matière au niveau de la face avant du plateau de réaction 4 tournée vers les chignons<B>8.</B> C'est pour cette raison que le plateau de réaction 4 des figure <B>1</B> et 4 présente une épaisseur variable<B>à</B> sa périphérie externe et ce regard des chignons<B>8.</B>
Ainsi, les chignons pénètrent dans une échancrure ou évidemment du volant moteur. En variante, on peut prévoir des évidements dans le carter<B>62</B> du moteur thermique.
Bien entendu, le volant<B>13</B> peut être conforme pour repérer la vitesse et ou la position du rotor<B>6 à</B> l'aide de un ou plusieurs capteurs. Par exemple, la couronne dentée 40 peut être associée<B>à</B> deux capteurs, l'un radial, l'autre, d'orientation axial pour repérer la vitesse et ou la position du rotor.
capteurs peuvent être portés par la cloche 14. En variante, au moins un de ces capteurs est porté par le stator<B>5</B> ou la pièce porteuse 134. L'un de ces capteurs, par exemple d'orientation radiale, sert au contrôle d'injection du moteur<B>à</B> combustion interne et l'autre, par exemple d'orientation axiale, sert au contrôle de la machine électrique qui peut être de tout type.
En variante, le capteur d'informations appartient aux moyens de palier<B>132.</B> Ces moyens de palier consistent alors avantageusement en un ou des roulements<B>à</B> billes instrumentés pour formation d'un capteur de vitesse de rotation du volant d'entraînement. Les fils de ces capteurs<B>à</B> roulement<B>à</B> billes instrumentés sont alors avantageusement supportés par la pièce porteuse 134 pour rejoindre le connecteur<B>63</B> de la machine électrique 2.
Le roulement<B>à</B> billes peut être du type de celui décrit dans le document FR-A <B>2,599,794</B> et comporter un capteur de champ magnétique porté par la bague fixe du roulement au moins un anneau aimanté multi-pôles porté par la bague tournante avec présence d'un entrefer.
Il est donc avantageux que ces capteurs soient portés par la partie fixe de la machine électrique 2.
Bien entendu, suivant les machines électriques, les capteurs peuvent aussi être utilisés pour la mesure de la vitesse ou de la position du rotor. Bien entendu, on peut prévoir des dispositions pour refroidir la machine électrique 2.
Par exemple,<B>à</B> la figure<B>5,</B> on prévoit des ailettes 1200 sur la face frontale du plateau de réaction 4 et ce, en vis<B>à</B> vis rotor<B>6.</B> Ces ailettes sont implantées en dessus des chignons en étant avantageusement inclinés<B>à</B> la manière des ailettes d' ventilateur Bien entendu, en variante, comme visible en 1201<B>à</B> la figure <B>5,</B> les ailettes sont issues de la portion<B>38.</B> Avantageusement, des trous sont réalisés dans la pièce porteuse et dans l'anneau 140 et dans la portion<B>38</B> du plateau de réaction 4 pour réaliser une circulation d'air comme visible en pointillés<B>à</B> la figure<B>5.</B>
En variante, l'arbre porte des ailettes référencées en<B>1203.</B> Bien entendu, les ailettes peuvent être réalisées<B>à</B> la périphérie externe 431 du socle 430 comme représenté<B>à</B> la figure <B>6.</B> Dans figures 2 et<B>3,</B> les ailettes pourraient être issues du fond<B>130</B> de l'entretoise<B>130,</B> 131,46. Les ailettes peuvent être formées aux extrémitées du paquet de tôles<B>9.</B>
Les ailettes peuvent être sur le carter de la machine. Le refroidissement, s'il se fait par air, peut être forcé (reflux d'air de l'extérieur dans la machine ou inversement) ou par ventilation interne, ou par convection naturelle.
En variante, comme visible dans les figures<B>7</B> et<B>8,</B> on peut refroidir le stator<B>8 à</B> l'aide d'un fluide caloporteur.
Ainsi,<B>à</B> la figure<B>7,</B> les tôles<B>10</B> du stator<B>6</B> sont percées. Le paquet de tôles<B>10</B> percées est alors délimité avantageusement par deux flasques 10a, l0b ayant une forme permettant de véhiculer le fluide caloporteur d'une face<B>à</B> l'autre du stator en passant par les trous réalisés dans le stator.
En variante comme représenté<B>à</B> la figure<B>8,</B> les flasques d'extrémité sont supprimées et remplacées, par exemple, par des tuyaux coudés 10c surmoulés, d'aluminium par exemple.
Avantageusement, l'entretoise est du type de celle de figure 21, le même paquet de tôles faisant entretoise. Dans cas, on prévoit deux séries de tôles identiques<B>à</B> leur périphérie interne, les perçages étant réalisés dans la série tôles la plus externe. Avantageusement, les chignons sont aussi surmoulés protégeant leurs vernis par le badigeonnage d'une résine chargée d'éléments caloporteurs.
Bien entendu, pour commander la plupart des machines électriques, il faut indexer la position du rotor par rapport stator ainsi que la position des capteurs par rapport au rotor.
Dans la figure<B>9,</B> on a représenté le volant<B>13</B> de la figure <B>1</B> forme un sous-ensemble avec la machine 2. Ce sous-ensemble livré tel que représenté<B>à</B> la figure<B>9.</B>
Lorsque la machine électrique 2 travaille en mode moteur, notamment en mode démarreur de manière précitée, il faut connaître la position et/ou la vitesse du rotor par rapport stator.
Ainsi, il est fait appel<B>à</B> une platine amovible<B>3000</B> portant au moins une pige<B>3001,</B> saillante axialement et pénétrant<B>à</B> centrage dans un trou<B>3002</B> réalisé dans le paquet de tôle<B>10</B> du stator<B>6</B> au delà des chignons<B>8.</B> La platine est fixée sur le plateau de réaction 4<B>à</B> l'aide de vis<B>3003</B> se vissant chacune dans un taraudage 3004 du plateau de réaction 4 et prenant appui par leur tête sur la face arrière de la platine<B>3000.</B>
Grâce<B>à</B> la pige<B>3001,</B> on indexe en rotation le stator<B>6</B> par rapport au rotor<B>5</B> sachant que la platine<B>3000</B> se visse<B>à</B> l'aide de vis<B>3005</B> dans des trous taraudés<B>3006</B> que présente l'entretoise<B>61</B> portant de manière précitée le paquet de tôles <B>10</B> stator<B>6.</B>
outre, la platine<B>3000</B> porte des cales<B>3007</B> fixées sur la face arrière de la platine<B>3000 à</B> l'aide de vis<B>3008.</B> Les cales <B>3007</B> traversent un passage<B>3009</B> de la platine et un passage<B>3010</B> du plateau de réaction 4 pour venir s'interposer entre la périphérie interne du stator<B>5</B> et la périphérie externe du rotor <B>6.</B>
Ainsi, on maintient de manière rigide l'entrefer<B>7</B> tout en ayant indexage du rotor<B>6</B> par rapport au stator<B>5.</B> L'entrefer ainsi obtenu est constant et dépend de l'épaisseur des cales <B>3007.</B> Ainsi, on monte le sous-ensemble sur le carter<B>62</B> du bloc moteur l'aide des vis 45 et des goujons 64 remplaçant les vis 64 de la figure<B>1.</B> Ensuite, on dévisse les vis<B>3003</B> et<B>3005</B> pour enlever la platine équipée de la pige<B>3001</B> et des cales<B>3007.</B> Puis, on loge le disque de friction 20 dans llevidement central du plateau de réaction et enfin, on fixe le mécanisme d'embrayage sur le plateau de réaction 4. on notera que dans toutes les figures, le moyeu<B>15</B> s'étend en majeure partie dans l'évidement central<B>39</B> du volant<B>13.</B>
Après montage, la platine<B>3000</B> avec les piges<B>3001</B> et les cales<B>3007</B> est récupérée par le fabricant de la machine. Cette solution présente de nombreux avantages, car en plus de la garantie de l'entrefer constant, on facilite aussi le transport de l'ensemble rotor/stator, permettant ainsi livraison de la machine d'un seul tenant.
En variante, on s'affranchit de l'utilisation de la platine <B>3000</B> en réalisant un entrefer constant par calage optique réalisé au moyen de vérins agissant radialement par exemple sur la portion 42 du plateau de réaction 4.
On notera que dans la figure<B>9,</B> le plateau de réaction 4 présente une portion inclinée 142 raccordant entre elles les portions 42 et<B>38.</B> Ainsi, l'évidement central du volant<B>13</B> peut avoir toute les formes appropriées résultant des différentes figures.
Bien entendu, on peut aussi prévoir, comme représenté<B>à</B> la figure<B>11,</B> un capteur d'effort 2000, intégré au dispositif de débrayage 24 de type concentrique, comme représenté<B>à</B> la figure <B>3,</B> ou<B>à</B> tout autre élément élastique variant continûment dans la commande de déplacement, indépendamment de l'effort d'embrayage ou de freinage.
Ainsi, la position de la butée d'embrayage<B>23</B> est prise<B>à</B> l'extérieur du fluide hydraulique par la transformation de l'information d'effort du ressort de précharge 244 en une information de position relative ou absolue selon le besoin.
Ainsi, le signal numérique ou analogique délivré par le capteur d'effort 2000 est traité par un calculateur, externe ou interne au dit capteur, pour déterminer la position relative ou absolue de la butée d'embrayage<B>23.</B> Ainsi, ce capteur d'effort 2000, associé au ressort de précharge indépendant de l'effort d'embrayage ou de freinage, permet de distinguer, comme représenté<B>à</B> la figure<B>11,</B> les deux positions B et<B>C</B> que peuvent prendre la butée d'embrayage<B>23.</B>
On voit sur la figure<B>11</B> que ce capteur d'effort 2000 permet de distinguer aisément les deux points B et<B>C</B> qui représentent un même effort d'embrayage ou de freinage représenté par le point<B>A</B> de la figure<B>11</B> dans laquelle on a représenté en ordonnée les efforts d'embrayage ou de freinage et en abscisse les déplacements.
Cette courbe caractéristique est due ici<B>à</B> la courbe caractéristique bien connue du diaphragme.
Avantageusement le capteur de position 2000 est placé directement sous le ressort de précharge 244, c'est<B>à</B> dire entre l'extrémit'é arrière du ressort de précharge 244 et le corps extérieur 242.
Avantageusement une cale intermédiaire, non représentée sur la figure<B>10,</B> sera placée entre le capteur d'effort 2000 et le ressort de précharge 244.
Cette cale peut être constituée par le soufflet de protection 246 qui est ainsi immobilisé.
Bien entendu, la présente invention n'est pas limitée aux exemples de réalisation décrits, en particulier, le support 21 peut être d'un seul tenant avec la première rondelle de guidage <B>29.</B>
Une seule rondelle de guidage peut être prévue comme divulguée dans le document FR-A2390617. Dans tous les cas, le moyeu 14 pénètre en majeure partie dans l'évidement<B>39</B> et s'étend de manière dissymétrique par rapport au support 21 des garnitures<B>16.</B> L'amortisseur de torsion 20a s'étend ainsi en majeure partie<B>à</B> l'intérieur de l'évidement<B>39.</B>
D'une manière générale, le support 21 est accouplé de manière élastique au moyeu<B>15</B> par un amortisseur de torsion 20a pénétrant dans l'évidement central<B>39</B> du volant<B>13</B> et donc du plateau de réaction 4 pour réduction de l'encombrement axial du sous-ensemble<B>1.</B> Ainsi, les organes élastiques 4 peuvent consister en des ressorts spiraux intervenant entre le support et le moyeu. Les organes élastiques peuvent consister en des lames ou en des blocs en matière élastomère interposés dans ce cas, entre le moyeu et une virole solidaire du support 21.
Bien entendu, on peut inverser les structures. Ainsi, la figure 12, le socle 431 peut être remplacé par un flasque 43la présentant<B>à</B> sa périphérie externe le manchon 46 et l'épaulement 48. Ce flasque est traversé par les vis 345 comme<B>à</B> la figure<B>6.</B> La pièce 134 est dans ce cas proche du plateau de réaction 4. On a donc inversé le sens de la pièce porteuse 134.
Ici l'arbre 430a est tronconique et le flasque 43la présente centralement un moyeu 431b<B>à</B> alésage interne de forme tronconique pour montage de manière complémentaire sur la péripherie externe tronconique de l'arbre 430a. Un écrou 431c, monté sur l'extrémité de l'arbre 430a permet de verrouiller les cônes complémentaires.
Le flasque 43la est ainsi lié en rotation<B>à</B> l'arbre 430a.
On voit<B>à</B> la lumière de cette description que la pièce 134 de la figure 12 peut être remplacée par un voile issu du manchon 431b, par exemple, par moulage.
*Le manchon 46 peut être distinct du flasque 43la et être solidarisé au carter moteur<B>62,</B> les moyens de paliers<B>132</B> étant bien supprimés, ainsi que l'entretoise<B>61.</B>
Ainsi le voile porterait le rotor tandis que le manchon 48 porterait le stator en sorte que le rotor entourerait le stator. Ainsi, le rotor peut s'étendre radialement au-delà des garnitures de friction<B>16</B> sans augmentation de l'encombrement radial.
Bien entendu, on peut conserver la pièce porteuse 134 du stator et les moyens de palier<B>132,</B> ladite pièce porteuse étant alors adjacente au moteur<B>à</B> combustion interne, le rotor étant porté en surélévation par le voile. Ce voile est alors implanté axialement entre le plateau de réaction 4 et la pièce porteuse. Il a avantageusement une forme sinueuse et présente<B>à</B> sa périphérie externe un manchon épaulé 46. Avantageusement, le voile est nervuré.
On peut procéder de même dans les figures 2 et<B>3,</B> la pièce porteuse étant remplacée par un voile tandis que le manchon 46 serait fixé sur le carter moteur<B>62,</B> l'entretoise<B>61</B> étant supprimée. Le rotor peut être ainsi porté par un voile solidaire du volant moteur pour entourer le stator. Ledit voile étant globalement en forme de<B>C</B> comme celui des figures 2 et<B>3.</B>
Dans ces figures 2 et<B>3,</B> la pièce porteuse 134 est déformée localement par emboutissage pour créer un dégagement pour les chignons<B>8.</B>
Ainsi, des moyens de dégagement sont prévus pour les chignons et consistent soit en une réduction d'épaisseur du plateau de réaction 4 ou en des déformations de la pièce porteuse 134.
En variante, on peut créer une gorge dans le plateau de réaction pour réaliser un dégagement pour les chignons<B>8.</B>
De même, des moyens de refroidissement sont prévus pour refroidir la machine. Les moyens de refroidissement peuvent être portés par le stator<B>5</B> figures<B>7</B> et<B>8,</B> ou par le volant au moyen d'ailettes 1200, 1201 de la figure<B>5</B> ou d'ailettes solidaires du rotor comme décrit ci-après.
En variante, la pièce de support ou le voile font écran thermique.
On notera que les dispositions des figures 2,<B>3</B> et 12 sont avantageuses, car l'écoulement de la chaleur par conduction du plateau de réaction 4 au manchon 46 suit un long trajet ce qui est avantageux pour la machine électrique 2.
De même, le trajet d'écoulement de la chaleur par conduction entre le plateau de réaction 4 et le stator<B>5</B> est très long compte tenu de la configuration de la pièce porteuse (figures 4, <B>5, 6</B> et 12).
Les trous de passage 545 améliorent encore le refroidissement.
Bien entendu, un fluide caloporteur peut traverser avantageusement les entretoises<B>61</B> des figures<B>1 à 6, 9</B> et 12 pour refroidir le stator<B>5</B> entourant le rotor<B>6.</B>
Ce même fluide peut aussi traverser également le paquet de tôles<B>10</B> du stator<B>5</B> comme représenté dans les figures<B>7</B> et<B>8.</B> Ainsi dans le mode de réalisation des figures<B>13 à 15,</B> l'entretoise<B>61</B> a une forme annulaire et est en matière moulable ici<B>à</B> base d'aluminium. Cette entretoise<B>61</B> présente une périphérie interne cylindrique<B>6000</B> sur laquelle est frettée, comme la figure<B>1,</B> le paquet de tôles<B>10.</B> Dans la figure 14 on voit une des tôles de forme annulaire de ce paquet<B>10</B> presentant des évidements<B>à</B> sa périphérie externe pour le passage de cordons de soudure<B>6001</B> permettant de parfaire la solidarisation du paquet de tôles<B>à</B> l'entretoise<B>61</B> entourant le volant d'entraÎnement <B>13 à</B> l'exception du plateau de réaction 4 de celui-ci.
En pratique, la figure<B>13</B> ne se différencie de la figure<B>1</B> uniquement que par l'entretoise<B>61</B> de sorte que les mêmes signes de référence seront repris.
Chaque tôle annulaire du stator<B>5</B> présente<B>à</B> sa périphérie interne des encoches dédiées au bobinage du stator.
L'entretoise<B>61</B> présente dans son épaisseur deux faces en regard définissant une chambre<B>6002</B> de refroidissement recevant un fluide caloporteur, ici un liquide de refroidissement. Ce liquide permet d'évacuer rapidement la chaleur produite par le fonctionnement de la machine électrique. Dans ce procédé de refroidissement, le stator transfère sa chaleur<B>à</B> la périphérique interne<B>6000</B> de l'entretoise<B>61</B> par contact. Ensuite, cette chaleur est transmise par convection forcée, depuis la périphérique interne<B>6000</B> vers le liquide de refroidissement en mouvement, ici dans le circuit d'eau de refroidissement du moteur<B>à</B> combustion du véhicule.
La chambre<B>6002</B> de refroidissement est axialement forme oblongue, pour refroidir au maximum l'entretoise et le stator et, a circonférentiellement la forme d'un canal tortueux permettant de bien évacuer la chaleur et de contourner le passage des trous<B>6003</B> destinés aux organes de fixation 64 (ici des vis) de l'entretoise<B>61</B> au bloc moteur<B>62</B> et<B>à</B> la cloche d'embrayage 14 entre lesquels l'entretoise<B>61</B> est interposée.
La cloche d'embrayage entoure l'embrayage<B>3.</B>
En variante, la chambre<B>6002</B> a circonférentiellement la forme d'un canal cylindrique.
La périphérie externe 6004 de l'entretoise a une forme globalement ondulée avec des protubérances ou excroissances <B>6005, 6006, 6007</B> et<B>6010</B> venus de -,,moulage.
Ces protubérances permettent de réduire le poids de l'entretoise. Les excroissances<B>6005,</B> de formes semi-circulaires, sont pourvues chacune d'un trou de passage<B>6003</B> des organes de fixation 64. notera que les trous<B>6003</B> peuvent être disposés de part et d'autre de la chambre<B>6002</B> comme visible<B>à</B> la figure 14. L'excroissance<B>6006</B> en forme de bossage porte les conduits <B>6008</B> d'entrée et de sortie de la chambre<B>6002</B> du circuit de refroidissement de l'alterno-démarreur.
Ces conduits<B>6008</B> sont raccordés au circuit de refroidissement du moteur<B>à</B> combustion interne du véhicule.
Ces moyens précités de raccordement peuvent faire appel<B>à</B> des tuyaux et/ou <B>à</B> des raccords rapides étanches tel que décrit par exemple dans le document FR <B>2756608</B> en sorte que la chambre <B>6002</B> peut être préremplie.
Chaque conduit<B>6008</B> est associé<B>à</B> un orifice élargi<B>6009,</B> respectivement d'entrée et de sortie formé dans l'excroissance <B>6006.</B>
En variante, on peut supprimer les conduits<B>6008</B> d'entrée et de sortie et brancher directement les orifices<B>6009</B> sur des seconds orifices en regard formés sur le bloc moteur<B>62</B> avec intervention moyens d'étanchéité tel que des joints toriques entre le bloc moteur<B>62</B> et l'entretoise<B>61.</B>
Ces seconds orifices communiquent avec le circuit de refroidissement du moteur.
Dans tous les cas, la chambre<B>6002</B> prolonge le circuit de refroidissement du moteur du véhicule.
Bien entendu, des moyens d'indexation angulaire sont prévus entre l'entretoise et au moins le bloc moteur<B>62.</B> Ainsi, on voit en<B>6010</B> une excroissance avec de part et d'autre de la chambre <B>6002</B> un trou<B>6003</B> pour le passage d'un organe de fixation 64, et un trou<B>6011</B> pour le passage d'une pige d'indexation portée par exemple par le bloc<B>62</B> et pénétrant dans l'entretoise.
La chambre<B>6002</B> est obtenue par moulage<B>à</B> l'aide d'une matière que l'on évacue après moulage telle que du sable. Ainsi, on voit en<B>6012</B> des moyens d'évacuation du sable lors de l'opération de démoulage. Ces moyens comportent moins un trou de passage vers la périphérie externe de l'entretoise 12, ce trou étant obturé en final par un bouchon étanche Bien entendu un canal de. liaison<B>6013</B> existe entre les 2 orifices<B>6009</B> pour permettre 'opération de moulage. L'excroissance<B>6007</B> est prévue en position basse et présente intérieurement un perçage 6014, ici fileté débouchant dans la chambre<B>6012.</B>
Ce perçage 6014 permet le vissage d'une vis<B>6015</B> avec interposition d'un joint d'étanchéité<B>6016,</B> ici torique, entre la tête de la vis<B>6015</B> et le sommet de l'excroissance<B>6007.</B>
Ainsi qu'on l'a compris, en dévissant la vis<B>6015,</B> on peut vidanger la chambre<B>6002</B> de liquide de refroidissement. Avantageusement, le perçage 6014 est situé dans la partie la plus basse de la chambre<B>6002</B> Bien entendu, le positionnement du perçage 6014, dans la positon basse de la chambre<B>6002</B> permet aussi de vidanger le circuit de refroidissement moteur<B>à</B> combustion interne du véhicule ainsi que le circuit de refroidissement du radiateur principal du véhicule.
Cette possibilité de vidanger le circuit de refroidissement complet du véhicule est rendu possible par le fait que la chambre<B>6002</B> de refroidissement de 11alterno-démarreur passe par au moins un point place au<B>plus</B> bas du circuit de refroidissement du véhicule.
on peut économiser ainsi au moins le bouchon de vidange du circuit de refroidissement prévu sur le moteur<B>à</B> combustion interne.
Bien entendu, on peut aussi économiser le bouchon de vidange du radiateur principal de refroidissement du véhicule.
Dans tous les cas le perçage 6014 devra être placé au moins <B>plus</B> bas que la position la plus basse<B>du</B> circuit de refroidissement du moteur<B>à</B> combustion interne comprenant le radiateur principal de refroidissement.
Bien entendu, on peut remplacer la vis<B>6015</B> par tout autre organe d'obturation amovible tel qu'un bouchon fileté par exemple du type de ceux prévus généralement pour la vidange du circuit d'huile du véhicule. Le perçage 6014 peut donc être fileté en partie.
L'entretoise<B>61</B> est donc pourvue de moyens de vidanges de sa chambre En variante, l'entretoise<B>61</B> équipée de sa chambre de refroidissement<B>6002</B> et portant intérieurement le stator<B>5</B> peut être d'un seul tenant avec le bloc moteur<B>62</B> ou avec la cloche d'embrayage 14.
Bien entendu toutes les dispositions pour refroidir la machine électrique<I>2</I> sont indépendantes du fait que l'amortisseur de torsion 20a pénètre dans l'évidement central du plateau de réaction 4 ou non.
DT manière générale, de nombreuses caractéristiques décrites dans la présente demande sont indépendantes du fait que l'amortisseur de torsion 20a pénètre ou pas dans l'évidement central du plateau de réaction 4. Il en est ainsi par exemple de la présence de la pièce porteuse 134, des moyens de palier<B>132,</B> des différents capteurs, des moyens de dégagement pour les chignons, des moyens déquilibrage ou du type de machine de la machine électrique<B>....</B>
Bien entendu, en variante, l'amortisseur de torsion 20a peut pénétrer entièrement dans l'évidement central<B>39</B> pour réduire encore l'encombrement axial de l'ensemble<B>1.</B>
Ainsi dans le mode de réalisation de la figure<B>16</B> un décalage axial existe entre les périphéries externe 121 et interne 122 du support 21. Plus précisément, la périphérie interne 122 du support 21 est décalée axialement par rapport<B>à</B> la périphérie externe 121 du support 21 en direction opposée<B>à</B> la face de friction<B>37,</B> c'est<B>à</B> dire en direction des vis de fixation 45.<B>A</B> cet effet, un pli<B>123</B> relie entre elles les périphéries 121, 122. La périphérie interne 122 est fixée l'aide des colonnettes<B>31</B> sur la première rondelle de guidage <B>29,</B> qui pénètre ainsi dans l'évidement central<B>39</B> pour réduire l'encombrement axial entre la face de friction<B>37</B> et le fond du carter 14. Les rondelles de guidage<B>29, 30</B> pénètrent donc<B>à</B> l'intérieur de la première portion d'orientation axiale<B>38</B> tandis qu'un épaulement 141 relie l'épaulement transversal 41 la deuxième portion annulaire d'orientation axiale 42 de l'évidement<B>39.</B> Le chanfrein 141 est un chanfrein de dégagement qui évite une interférence entre les colonnettes<B>31</B> et l'épaulement 41, ce qui permet de réduire l'encombrement axial sans modifier de manière profonde le volant<B>13.</B> L'amortisseur de torsion 20a est identique celui de la figure<B>1</B> et est du type de celui décrit dans le document WO-96/14521 (figure<B>8).</B> Il présente ainsi un palier 124 présentant des échancrures pour le logement de ressorts<B>36</B> de faible raideur montés également dans des échancrures réalisées dans le moyeu<B>15</B> cannelé intérieurement pour liaison en rotation avec l'arbre mené 12. Les ressorts<B>36</B> appartiennent<B>à</B> un préamortisseur implanté entre la deuxième rondelle de guidage<B>30</B> et le voile 34 présentant<B>à</B> sa périphérie interne une denture femelle pour engrener avec jeu circonférentiel avec une denture mâle que présente le moyeu<B>15 à</B> sa périphérie externe. Des rondelles de frottement et des rondelles<B>à</B> élasticité axiale interviennent entre la première rondelle de guidage<B>29</B> et le voile 34. Les pièces<B>30,</B> 34,<B>29</B> sont dotées de fenêtres pour montage d'organes élastiques<B>35</B> de plus forte raideur que les ressorts<B>36.</B> Les organes élastiques <B>35</B> appartiennent ainsi<B>à</B> l'amortisseur principal. Pour plus de précisions on se reportera au susmentionné document sachant que le palier 124, ici de forme tronconique, comme<B>à</B> la figure<B>1,</B> pénètre plus profondément<B>à</B> l'intérieur de l'évidement<B>39</B> et que ce palier 24 est lié en rotation, ici<B>à</B> l'aide de pions, au voile<B>31.</B> Ici les doigts 22 du diaphragme 18,22 présentent<B>à</B> leur périphérie interne une portion<B>125</B> décalée axialement par rapport<B>à</B> la rondelle Belleville <B>18</B> du diaphragme 18,24 en sorte que l'on peut réduire l'encombrement axial, la butée de débrayage<B>23</B> pénétrant sous la partie principale des doigts du diaphragme sachant que la portion<B>125</B> se raccorde<B>à</B> la partie principale des doigts 22 par un tronçon<B>126</B> en forme de<B>S.</B> La butée<B>23</B> s'étend donc sous la portion<B>126</B> sachant que la partie principale des doigts 22 s'étend dans le même plan que la rondelle Belleville <B>18.</B> La création de la portion<B>125</B> est réalisée grâce au fait que l'amortisseur 20a pénètre plus profondément dans l'évidement central, la portion<B>125</B> étant décalée plus axialement en direction de l'amortisseur 20a sans interférer avec celui-ci lorsque l'embrayage est désengagé comme visible dans la partie haute de la figure<B>16.</B> on réduit ainsi encore l'encombrement axial de l'ensemble<B>1</B> en ayant ici un dispositif de débrayage 24 du type hydraulique comme la figure <B>3.</B> Dans cette figure<B>16,</B> on voit en<B>127</B> un conduit rigide d'alimentation pour raccordement de l'entrée d'alimentation<B>128</B> de la cavité 243<B>à</B> un émetteur pilotant le dispositif de débrayage 24 du type concentrique car traversé par l'arbre mené 12. Le conduit a une forme de L et est en deux parties s'étendant de part et d'autre d'un passage<B>129</B> réalisé dans la cloche d'embrayage 14. Plus précisément, le conduit<B>127</B> comprend une partie interne s'étendant transversalement<B>à</B> l'intérieur de la cloche 14 pour venir en prise avec la tête de l'entrée d'alimentation<B>128 à</B> canal interne de liaison avec la cavité 243 et une partie externe s'étendant<B>à</B> l'extérieur de la cloche 14 perpendiculairement<B>à</B> la partie interne. Pour plus de précision, on se reportera au document FR <B>2,753,772</B> déposé le 26-09-1996. La partie d'orientation axiale externe présente un raccord pour son raccordement<B>à</B> un tuyau provenant de l'émetteur non visible. Grâce au conduit rigide<B>127,</B> on peut également réduire l'encombrement axial du fait qu'il est plus aisé de monter par avance le conduit rigide<B>127</B> sur l'entrée d'alimentation<B>128</B> tout en ayant par la suite aucun risque d'interférence entre le conduit rigide<B>127</B> et le couvercle<B>19</B> qui peuvent être ainsi très proche l'un de l'autre. Cette disposition facilite également un raccord rapide de l'émetteur au dispositif de débrayage 24 du fait que le raccordement du tuyau venant de l'émetteur se fait<B>à</B> l'extérieur de la cloche 14. Bien entendu, le conduit<B>127</B> peut équiper le dispositif de débrayage 24 de la figure<B>3.</B>
comme visible<B>à</B> la figure<B>17,</B> le fond de la cloche 14 peut être conformé pour créer localement un dégagement<B>150</B> pour le passage de partie inte rne du tube rigide<B>127</B> en sorte que l'encombrement axial entre le fond du couvercle<B>19</B> et le fond de la cloche 14 est encore réduit, ce qui permet de diminuer également l'encombrement axial de l'ensemble<B>1.</B> Dans ce cas, l'entrée d'alimentation<B>128</B> de la cavité 243 présente un canal moins incline que celui de la figure<B>16.</B> Le reste du dispositif de débrayage est identique<B>à</B> celui de la figure<B>16</B> et il en est de même du diaphragme<B>18,</B> 22. On notera néanmoins que le tronçon en<B>S 126</B> est moins accentué. Dans cette figure<B>17,</B> l'embrayage<B>3</B> est équipé d'un dispositif dit de rattrapage d'usure<B>151</B> pour compenser l'usure des garnitures de friction<B>16</B> et dans une moindre proportion, l'usure de la face de friction<B>37</B> et l'usure de la friction en vis-à-vis du plateau de pression<B>17.</B> Ce dispositif de rattrapage d'usure, de manière connue, permet de maintenir le diaphragme<B>18,22</B> dans la même position lorsque l'embrayage<B>3</B> est engagé et ce, tout au long de la durée de vie de l'embrayage. La course du dispositif de débrayage 24 est donc constante tout au long de la durée de vie de l'embrayage, ce qui permet de réduire l'encombrement axial de l'embrayage<B>3,</B> et donc, de l'encombrement axial entre la face de friction<B>37</B> et le fond de la cloche d'embrayage 14. En position embrayage engagé, la charge exercée par le diaphragme<B>18,22</B> sur les garnitures de friction<B>16</B> est donc sensiblement constante au cours de la durée de vie de l'embrayage. Ainsi, le support 21 peut être plan. Ici le dispositif de rattrapage d'usure est du type de celui décrit dans le document FR <B>2,753,503</B> auquel on se reportera pour plus de précision. Ce dispositif de rattrapage d'usure comporte donc une cassette portée par le couvercle<B>19</B> présentant un ensemble <B>152</B> vis sans fin et roue<B>à</B> rochet. Cet ensemble<B>152</B> est implanté <B>à</B> la faveur d'une déformation locale<B>153</B> globalement en forme de <B>U</B> que présente le couvercle<B>19 à</B> sa périphérie externe. La vis sans fin engrène de manière irréversible avec une denture portée par une pièce intermédiaire 154 liée en rotation par des languettes<B>155,</B> du type des languettes<B>25, à</B> un anneau<B>à</B> rampes <B>156,</B> ledit anneau<B>à</B> rampes étant centré par le plateau de pression<B>17</B> et présentant un bourrelet fragmenté (non référencé) pour contact avec la périphérie externe de la rondelle Belleville du diaphragme<B>18,</B> 24 monté de manière pivotante sur le couvercle<B>19 à</B> l'aide de pattes<B>28</B> comme<B>à</B> la figure<B>1.</B> Le plateau de pression<B>17</B> présente des plots formant contre-rampes pour coopérer avec les rampes de l'anneau<B>à</B> rampe<B>156.</B> La pièce intermédiaire 154 est calée axialement dans un sens par des saillies non visibles solidaires du couvercle. Dans l'autre sens axial, la pièce intermédiaire 154 est calée axialement gràce aux languettes<B>155.</B> La cassette présente une languette de commande <B>157</B> propre<B>à</B> être manoeuvrée par un actionneur<B>158</B> consistant en un appendice radial que présente la rondelle Belleville <B>18</B> sa périphérie externe. La Cassette présente également un ressort de rattrapage du type ressort<B>à</B> boudin agissant sur l'ensemble<B>152.</B> En cas d'usure des garnitures de friction<B>16,</B> on bande le ressort de rattrapage, qui après un certain nombre d'opérations de débrayage et d'embrayage est amené, en se détendant,<B>à</B> déplacer la vis sans fin et<B>à</B> faire tourner l'ensemble pièce intermediaire 154, anneau<B>à</B> rampe<B>156</B> pour compenser l'usure des garnitures de friction. L'armement du ressort de rattrapage d'usure est réalisé grâce<B>à</B> la languette de commande<B>157</B> manoeuvrée par l'appendice<B>158.</B> Pour plus de précision sur le fonctionnement, on se reportera au document FR <B>2,753,503</B> précité sachant que l'anneau<B>à</B> rampe<B>156</B> peut être en variante d'un seul tenant avec la pièce intermédiaire 154 en sorte que la présence des languettes<B>155</B> n'est pas obligatoire.
Dans les figures<B>16 à 18,</B> on voit en<B>170</B> des trous borgnes réalises dans le manchon 46, en<B>171,</B> des échancrures ouvertes radialement vers l'extérieur réalisé dans le plateau de réaction 4 et en<B>172</B> des apports de matières réalisés dans le plateau de réaction 4 pour, comme mentionné ci-dessus, corriger le balourd du moteur thermique, notamment pour un véhicule<B>à</B> moteur<B>à</B> trois cylindres. On notera que les échancrures<B>171</B> peuvent être réalisées sur les deux faces du plateau de réaction comme mieux visible<B>à</B> la figure<B>19.</B> Les échancrures<B>171</B> sont réalisées de préférence<B>à</B> la périphérie externe du plateau de réaction pour être le plus efficace possible. L'apport de matière<B>172</B> est réalisé en saillie sur la face du plateau de réaction 4, ladite face tournée vers le couvercle<B>19. A</B> la figure<B>18,</B> on a repéré les axes horizontal x, vertical Y et longitudinal Z pour mieux montrer l'orientation de la figure. L'apport de matière<B>172</B> est réalisé de préférence au niveau des languettes tangentielles<B>25</B> reliant les pattes<B>173</B> du plateau de pression<B>17</B> au couvercle <B>19.</B> Ces languettes<B>25,</B> réparties en plusieurs jeux de languettes ici superposées, ont une de leurs extrémités fixées, ici par rivetage,<B>à</B> une patte<B>173</B> du plateau de pression et ont leur autre extrémité, fixée par rivetage,<B>à</B> une plage 174 appartenant au rebord radial<B>175</B> que présente<B>à</B> sa périphérie externe le couvercle<B>19</B> ici globalement en forme d'assiette creuse. Les plages 174 sont decalées axialement par rapport<B>à</B> des plages de fixation<B>176</B> que présentent le rebord<B>175</B> pour fixation du couvercle<B>19</B> au plateau de réaction 4 ici, de manière connue,<B>à</B> l'aide de vis non visibles. Ainsi, l'apport de matière<B>172</B> présente une face inclinée globalement parallèle aux languettes <B>25</B> et s'étend circonférentiellement entre une patte<B>173</B> et une plage 174 comme mieux visible dans les figures<B>17</B> et<B>19.</B> Ainsi, l'apport de matière<B>172</B> peut être maximum sans augmenter l'encombrement axial de l'ensemble<B>1.</B> L'apport de matière<B>172</B> est masqué par plages 174 et réalisé<B>à</B> la périphérie externe du plateau de réaction 4 ce qui est très efficace. on peut ainsi faire toutes les combinaisons possibles afin que la machine et le moteur thermique tournent dans de bonnes conditions. Ainsi qu'on l'aura compris, le balourd au niveau du volant<B>13</B> permet d'équilibrer la rotation du moteur thermique. Grâce aux trous <B>170,</B> aux échancrures<B>171</B> et aux apports de matières<B>172,</B> on contrecarre le balourd du vilebrequin du moteur thermique. Bien entendu, on peut faire toutes les combinaisons possibles. On peut ainsi équilibrer le volant<B>13 à</B> l'aide des trous<B>170,</B> des échancrures<B>171,</B> puis, on peut contrecarrer le balourd du vilebrequin du moteur<B>à</B> l'aide des apports de matière<B>172</B> ou en variante, comme visible dans les figures<B>25</B> et<B>26,</B> en réalisant des ouvertures<B>177</B> par exemple dans le manchon 46 du volant<B>13.</B> Ces ouvertures<B>177</B> peuvent avoir une forme de haricot pour enlever le maximum de matière. on peut donc réaliser<B>à</B> volonté des fonctions d'équilibrage de l'ensemble<B>13</B> ainsi qu'une fonction pour contrecarrer le balourd du vilebrequin du moteur. Bien entendu, on peut aussi enlever de la matière au niveau du plateau de pression.
Bien entendu, l'entretoise<B>61</B> de la figure<B>1</B> peut être d'un seul tenant avec le stator<B>5</B> ce qui permet d'éviter un frettage des tôles<B>10</B> du stator<B>5</B> dans l'entretoise<B>61</B> classiquement en aluminium pour réduction du poids. Il n'est donc pas nécessaire de prévoir des moyens d'anti-rotation des tôles<B>10</B> par rapport<B>à</B> l'entretoise<B>61,</B> notamment lorsque les tôles<B>10</B> sont fixées par frettage sur l'entretoise<B>61.</B> D'autre part, le processus d'usinage des trous de passage des vis de fixation 64 et des trous de centrage est simplifié grâce au fait que l'entretoise est d'un seul tenant avec le paquet de tôle<B>10.</B>
Egalement, les perçages des figures<B>7</B> et<B>8</B> sont plus faciles réaliser car il<B>y</B> a plus de matière en sorte la tenue mécanique du stator est meilleure.
Ainsi<B>à</B> la figure 21, le stator<B>5</B> est constitué par un paquet de tôles magnétiques constitué respectivement par une première série de tôles standards<B>180</B> et par une deuxième série des tôles entretoises<B>181</B> de diamètre externe different. Ces tôles ici magnétiques ont la même configuration<B>à</B> leur périphérie interne et présente donc des encoches<B>182</B> dédiées<B>à</B> la réception du bobinage statorique. Les encoches<B>182</B> de chacune tôles sont alignées de manière<B>à</B> constituer des rainures axiales de réception du bobinage du stator. La première série de tôles est de forme cylindrique<B>à</B> sa périphérie externe. La deuxième série de tôles<B>181,</B> faisant office d'entretoise, s'étend radialement en saillie au dessus de la périphérie externe de la première série de tôles pour former des ailettes de refroidissement<B>183</B> dont certaines sont trouées en 184 pour passage des vis de fixation représentées en 64<B>à</B> la figure<B>1</B> permettant de fixer la cloche d'embrayage 14 sur le bloc moteur <B>62.</B> Deux trous diamétralement opposés<B>185</B> sont réalisés dans certaines des ailettes pour passage des pions de centrage portés par le bloc moteur<B>62.</B> Ces trous de centrage<B>185</B> permettent également au montage, d'indexer les tôles entretoises de la deuxième série<B>181</B> les unes par rapport aux autres. On voit en <B>186</B> des trous permettant le montage du connecteur ou bornier référencé en<B>63 à</B> la figure<B>1.</B> Un tel connecteur<B>63</B> est mieux visible<B>à</B> la figure<B>25.</B> Les ailettes<B>183</B> sont fractionnées en plusieurs secteurs annulaires séparés les uns des autres par des rainures<B>187</B> dont le fond recevra les cordons de soudure<B>188.</B> On voit en<B>189</B> une patte isolée dotée d'une ouverture 184. Ladite patte<B>189</B> est due<B>à</B> la configuration du bloc moteur et permet d'atteindre un point de fixation éloigné. D'une manière générale, la forme de la deuxième série de tôles<B>181</B> dépend des applications, et notamment de la forme du bloc moteur et de la cloche d'embrayage. La deuxième série de tôles<B>181</B> ne comporte pas forcément des ailettes, notamment lorsque les perçage de circulation de fluide des figures<B>6</B> et<B>7</B> sont réalisées dans celle-ci. Dans une forme de réalisation, la première serie de tôles<B>180</B> s'étend axialement de part et d'autre de la deuxième série de tôles<B>181</B> de manière symétrique ou non symétrique selon les applications. En variante, la première série de tôles<B>180</B> s'étend d'un seul coté de la deuxième série de tôles<B>18</B> selon les applications. Dans tous les cas, les tôles de la première série<B>181</B> ont une forme standard et communiquent avec les rainures<B>187.</B> Ainsi,<B>à</B> l'aide de cordons de soudure<B>188,</B> on peut relier entre elles, les premières et deuxièmes séries de tôles. Le cordon de soudure<B>188</B> s'étendant sur toute la longueur totale axiale des séries de tôles. En variante les cordons de soudures <B>188</B> sont remplacés par une liaison<B>à</B> coopération de formes tel qu T boutonnage. En variante, les tôles standards peuvent être de diamètre différent de part et d'autre de la deuxième série de tôles<B>181</B> en sorte que deux séries de tôles standard sont prévues. Ainsi qu'on l'aura compris, l'opération de soudage est aisée<B>à</B> réaliser grâce aux encoches<B>182.</B> Il suffit au montage d'empiler les tôles sur un centreur doté au moins d'une barrette axiale longitudinale sur laquelle on enfile une encoche de chacune des tôles. Ainsi grâce<B>à</B> cette disposition, le soudage<B>à</B> l'aide des cordons<B>188</B> est facile<B>à</B> réaliser puisque les tôles ont encoches identiques<B>182</B> et sont indexées angulairement les unes par rapport aux autres. Le nombre de cordons<B>188</B> dépend des applications, ce nombre pouvant être inférieur ou égal au nombre de rainures<B>187.</B> Grâce<B>à</B> la deuxième série de tôles<B>181</B> formant ailettes<B>183,</B> on obtient une meilleure évacuation des calories par rapport<B>à</B> une entretoise équipée d'ailettes et distincte des tôles du stator<B>5,</B> car la conduction thermique est meilleure du fait de l'absence de séparation stator-entretoise laquelle séparation crée-une résistance thermique. En outre, comme Tentretoise est constituée de tôles<B>181,</B> ici ferro magnétique, on a une augmentation de la valeur moyenne de l'épaisseur de la culasse statorique magnétique. De plus, on obtient un gain en masse car bien que les tôles magnétiques aient une densité supérieure<B>à</B> celle de l'aluminium, le volume de l'ensemble monobloc stator-entretoise est inférieur celui d'un stator distinct de l'entretoise car les ailettes peuvent venir au plus près des tôles du stator du fait que l'on supprime la portée de frettage des tôles du stator. On a en outre la possibilité de refroidir le stator ainsi que ses chignons et d'abaisser la température<B>à</B> l'intérieur de la machine électrique par de l'air frais soufflé et/ou de l'air chaud-absorbé.
Bien entendu on peut prévoir des ailettes et une circulation de fluide de refroidissement comme dans les figures<B>7</B> et<B>B.</B>
Avec ce dispositif monobloc, les problèmes d'usinage sont simplifies et réduits et les tolérances de fabrication sont réduites. On peut faire également varier la profondeur des encoches<B>182</B> sans détériorer la performance de la machine électrique. Ceci apporte l'avantage de faciliter le bobinage automatique tout en réduisant la hauteur des chignons. L'épaisseur de l'entretoise est modulable.
Comme visible aux figures 22 et<B>23,</B> des évidements<B>191</B> contour<B>192,</B> permettent d'épouser les contours<B>192</B> des nervurages du carter cylindre ainsi que du bac<B>à</B> huile du bloc moteur reférencé en<B>62</B> dans les figures<B>1,</B> 12 et<B>13</B> et dans la partie basse de la figure 22. Les saillies 194 du bloc moteur<B>62</B> pénètrent dans les évidements dont la forme dépend des applications. Cette géométrie permet de limiter l'encombrement axial de la machine électrique 2 et,<B>à</B> tout le moins, de rester dans le même encombrement axial qu'une machine électrique montée en porte<B>à</B> faux telle que représentée par exemple<B>à</B> la figure<B>1</B> ou<B>à</B> la figure<B>16</B> en sorte que l'on peut augmenter la taille de la machine électrique et/ou de l'embrayage.
Ces évidements<B>191</B> sont réalisés dans un flasque porteur<B>193</B> radial qui remplace la pièce porteuse 134 de la figure<B>6.</B> Ce flasque<B>193</B> présente pour ce faire une jupe<B>190</B> pour les moyens de palier et est monobloc avec l'entretoise<B>61</B> qui porte intérieurement le stator<B>5.</B> Cette entretoise<B>61</B> pourra être refroidie par eau (tel que représenté par exemple<B>à</B> la figure <B>13)</B> ou refroidi par air. Ici, l'entretoise présente des ailettes <B>183</B> avec des trous 184<B>à 186</B> comme<B>à</B> la figure 21, mais les ailettes sont ici d'un seul tenant avec le flasque<B>193</B> de forme tortueuse avec une portion semi-torique <B>195</B> pour créer un logement pour le rotor<B>6,</B> le stator<B>5</B> et le manchon 46. Les ailettes<B>183</B> se raccordent<B>à</B> la périphérie externe de cette portion<B>195</B> dont la périphérie interne se raccorde<B>à</B> un voile nervuré<B>196</B> portant la douille 432 et présentant les perçages Ce flasque radial<B>193</B> porte en son centre, les moyens palier<B>132</B> centrés axialement sur l'axe X-X de la machine électrique 2 et du type de celui de la figure<B>6.</B> Ces moyens de palier<B>132</B> comportent au moins un roulement<B>à</B> billes<B>132</B> et peuvent être montés sur le flasque selon deux manières différentes.
Selon un premier mode de réalisation, la bague externe de ce roulement<B>132</B> est simplement ajustée non serrée dans la douille pour reprendre les intervalles de tolérance, tandis que la bague intérieure est montée serrée, par exemple par frettage, sur l'arbre 430<B>à</B> extrémité avant cannelée pour venir en prise avec des cannelures internes du socle de fixation 431 fixé par les vis 345 au vilebrequin du moteur.
Dans un second mode de réalisation, les deux bagues, externes et internes des roulement<B>132,</B> sont montées serrées, par exemple par frettage, respectivement sur la douille 432 et sur l'arbre 430. Le centrage de la machine électrique 2 est réalisé au niveau des roulements<B>132</B> qui font alors office de centreur et par voie de conséquence, l'entretoise<B>61</B> ne réalise plus cette fonction de centrage. Bien entendu, dans ce second mode de fixation serré des roulements, il faut, pour éviter l'hyperstatisme, que les organes de fixation 64, tel que représenté<B>à</B> la figure<B>1,</B> puissent traverser librement les trous de fixation 184 de l'entretoise<B>61</B> permettant ainsi le positionnement de la boîte de vitesse par rapport au bloc moteur.
Cette configuration permet une meilleure maîtrise de l'entrefer.
L'évacuation des calories des moyens de palier<B>132</B> sera réalisée de façon très avantageuse par conduction par le flasque <B>193</B> qui fait bloc avec lesdits roulements ainsi que par les trous 545 faisant office de trous de ventilation.
Bien entendu, dans un autre mode de réalisation, les roulements<B>132</B> peuvent être remplacés par un palier lisse tel qu'un coussinet auto-lubrifié ou par un roulement<B>à</B> double rangées de billes ou par un roulement<B>à</B> simple rangée de billes ou par un roulement<B>à</B> aiguilles.
Comme on le comprendra aisément, cette entretoise portant les moyens de paliers<B>132</B> permet, comparativement aux machines montees en porte<B>à</B> faux, telle que représentée par exemple<B>'</B> la figure<B>1,</B> de réduire de façon remarquable le battement dynamique issu du vilebrequin, améliorant ainsi la maîtrise de l'entrefer <B>7.</B> Comme on le comprendra aisément, le flasque radial<B>193</B> faisant monobloc avec l'entretoise<B>61</B> permet de rigidifier cette dernière.
Avantageusement, cette entretoise constituée du flasque<B>193</B> portant les moyens de palier<B>132</B> permet d'obstruer le trou laissé libre par l'absence du démarreur classique.
Comme on peut le voir<B>à</B> la figure<B>23,</B> du fait de la forme tortueuse du flasque, le rotor<B>6</B> et le stator<B>5</B> peuvent etre axialement plus longs par rapport au mode de réalisation la figure<B>6.</B>
fond de la portion<B>195</B> sert de support<B>à</B> un moyen de détection<B>610</B> tel qu'un capteur de vitesse ou de position.
Ce moyen de détection<B>610</B> est en regard d'une cible<B>601</B> aussi appelée roue codeuse. Cette cible est en forme d'anneau présentant<B>à</B> sa périphérie une multiplicité de pattes radiales <B>602</B> destinées<B>à</B> défiler devant le moyen de détection<B>.</B> La cible est ici portée par la bague surmoulée amagnétique formant cage d'écureuil, en cuivre,<B>du</B> rotor<B>6.</B> Pour réduire l'encombrement axial, la cage d'écureuil présente une face inclinée<B>603</B> portant les pattes<B>602</B> de la roue codeuse <B>601.</B> L'inclinaison de la face<B>603</B> peut varier de<B>0 à</B> 45' par rapport <B>à</B> un plan transversal de la machine.
Ainsi, le capteur<B>610</B> et la roue codeuse ne sont pas parallèles<B>à</B> l'axe X-X de la machine électrique 2 ce qui permet de réduire la longueur axiale de cette dernière. Dans le cas d'une machine asynchrone<B>à</B> cage d'écureuil, il<B>y</B> a ainsi présence d'un moyen de détection en forme de capteur de vitesse. La roue codeuse est portée par un support amagnétique. En variante, le support de la roue codeuse est le flasque d'un ventilateur du rotor<B>6.</B> Bien entendu, la roue codeuse peut être remplacee par un film de peinture ferro-magnétique compris entre <B>5/100</B> et<B>1</B> mm déposé par impression ou pulvérisé au travers d'un masque. En variante, la roue codeuse peut être constituée<B>à</B> partir d'un film adhésif magnétique avec échancrures.
variante on peut utiliser un tampon de résine avec brouillard de limaille de sorte que lors d'un passage dans un four il se produit une polymérisation de la résine fixant limaille. Dans tous les cas, le support de la roue codeuse amagnétique. Bien entendu, cette roue codeuse peut être portée par la douille de fixation 43 de la figure<B>1</B> comme visible dans les figures 24 et<B>25.</B> Le capteur est alors porté par une bride <B>611</B> fixée sur le boÎtier 604 du connecteur<B>63.</B> Ce boitier 604 porte dans sa partie supérieure un support<B>605</B> de trois bornes de connexion électriques<B>606,607</B> et<B>608</B> permettant la connexion vers l'extérieur des trois fils de phase issus du stator. Bien évidemment, une quatrième borne de connexion,<B>ici</B> non représentée, peut être ajoutée pour sortir le point neutre issu du stator. Ces bornes permettent la connexion vers une électronique de puissance.
Le manchon 46 est doté d'un trou 1-77 décrit ci-dessus.
Bien entendu, le circuit de refroidissement de l'entretoise <B>61</B> peut être entièrement indépendant et notamment, indépendant du circuit de refroidissement du moteur<B>à</B> combustion interne. Cette indépendance permet de s'affranchir des problèmes de raccordement au circuit de refroidissement du moteur<B>à</B> combustion interne et aussi, d'avoir une température refroidissement non tributaire de celle du moteur thermique, qui présente un intérêt<B>à</B> chaque démarrage du véhicule.
Ainsi qu'on l'aura compris, on peut retourner l'amortisseur de torsion 20a, la deuxième rondelle de guidage ne pénétrant plus alors dans l'évidement<B>39,</B> notamment dans les modes de réalisation des figures<B>16</B> et<B>17</B> permettant de réduire l'encombrement axial.
<B>A</B> la figure<B>26,</B> l'entretoise<B>61</B> est dotée d'ailettes de refroidissement<B>183.</B> On voit en<B>160</B> et en<B>161</B> des vis montées entre cuir et chair pour le montage, de manière précitée, du rotor<B>5</B> sur la portée 47 et du stator<B>6</B> sur la périphérie interne de l'entretoise<B>61.</B> L'amortisseur de torsion 20a pénètre l'intérieur de l'évidement<B>39</B> identique<B>à</B> celui de la figure <B>1.</B> Le bloc moteur<B>62</B> est représenté de maniere plus détaillée qu'à la figure<B>1.</B> Par simplicité,' on n'a pas représenté dans cette figure la fourchette de débrayage et la butée de débrayage ainsi que l'arbre mené 12 pour mieux montrer le moyeu<B>15</B> et le tube guide<B>52.</B> Il en est de même<B>à</B> la figure Dans cette figure<B>27,</B> le plateau de réaction 4 présente<B>à</B> sa périphérie externe, radialement au dessus des garnitures de friction<B>16,</B> une portion 49 décalée axialement en direction opposée au stator<B>6,</B> par rapport<B>à</B> la partie transversale du plateau de réaction 4. La portion 49 s'étend radialement au dessus des garnitures de friction<B>16.</B> Sur la face de cette portion 49, tournée vers le stator<B>6,</B> sont réalisées des ailettes de ventilations 1202 en forme de pâles de ventilateur. Ces pâles 1202 s'étendent en partie radialement au dessus des chignons<B>B.</B> Ainsi, il est réalisé une ventilation de type centrifuge.
Un dégagement<B>65</B> est réalisé dans le bloc moteur<B>62.</B> Ce dégagement<B>65</B> peut correspondre<B>à</B> l'ancien emplacement d'un démarreur séparé de type conventionnel. Comme visible dans cette figure, les ailettes 1202 s'étendent radialement au dessus de l'entrefer<B>7</B> et il en est de même de la portion 49. Au moins une ouverture 1204 est réalisée dans la cloche 14 radialement au dessus des ailettes.
<B>A</B> la figure<B>28,</B> l'ouverture 1204 est supprimée pour être remplacée par l'ouverture<B>1205</B> de passage de la fourchette de débrayage. Les ailettes<B>ou</B> pâles<I>1202</I> sont d'orientation radiales ou en forme d'hélice. L'entrée d'air se fait au niveau du dégagement<B>65</B> coté bloc moteur<B>62.</B> La sortie d'air se fait soit par l'ouverture 1204 de la figure<B>27,</B> soit par l'ouverture <B>1205</B> de la figure 28.- La circulation d'air se fait via l'entrefer <B>7.</B> Grâce aux ailettes 1202, solidaires du plateau de réaction 4, il est créé un ventilateur permettant d'aspirer l'air<B>à</B> travers la machine électrique 2 et de rejeter cet air radialement en créant une dépression en son centre. Suivant la forme des ailettes, le ventilateur 4, 1202 est soit du type centrifuge et/ou hélicocentrifuge. Ce ventilateur est dimensionné pour avoir un bon compromis thermique et acoustique. Il en est de même<B>à</B> la figure<B>5.</B> Cette ventilation permet de refroidir le rotor et le stator grâce<B>à</B> l'entrefer<B>7,</B> les chignons<B>8,</B> ainsi que le plateau de réaction 4 et donc les garnitures de friction<B>16</B> ce qui augmente la fiabilité de l'embrayage<B>3.</B> La sortie se fait au niveau du plateau de réaction 4<B>à</B> la figure<B>27</B> ou au delà de l'embrayage<B>3</B> (figure <B>28)</B> de manière<B>à</B> expulser les poussières provenant notamment des garnitures de friction<B>16.</B> Dans tous les cas, il est créé une ventilation sans modification de l'entretoise<B>61</B> qui est dans cette figure en aluminium. Le bloc moteur est modifié pour réaliser le dégagement<B>65. A</B> la figure<B>27,</B> la cloche 14 est modifiée pour créer au moins une ouverture 1204, avantageusement plusieurs ouvertures. Il en résulte que cette disposition est économique car elle conduit<B>à</B> ne pas modifier de maniere profonde cloche d'embrayage 14 et le bloc moteur<B>62.</B> En outre, cela permet d'utiliser des montages par frettage du paquet de tôles du stator<B>6</B> sur l'entretoise<B>61.</B>
En variante, telle que représentée<B>à</B> la figure<B>29,</B> ailettes ou pâles de ventilations<B>1206</B> sont portées par le rotor <B>5 à</B> l'une au moins de ses extrémités axiales. Ici des ailettes <B>1206</B> sont prévues sur chaque extrémités axiales du rotor<B>5.</B> Dans cette forme de réalisation, les ailettes<B>1206</B> sont solidaires de la cage d'écureuil. Une entrée d'air<B>1208</B> et une sortie d'air <B>1207,</B> forme tubulaire sont portées localement par l'entretoise<B>61.</B> L'entrée<B>1208</B> est située dans la partie basse de l'entretoise<B>61</B> et la sortie<B>1207</B> dans la partie haute de l'entretoise, en sorte que grâce aux ailettes<B>1206,</B> il est créé une ventilation de type tangentiel<B>à</B> l'intérieur de la machine électrique 2, l'air pénétrant dans le conduit<B>1208</B> pour ressortir par le conduit<B>1207.</B> Bien entendu, la présence des ailettes<B>1206</B> n'est pas indispensable, la ventilation pouvant s'effectuer naturellement entre l'entrée<B>1208</B> et la sortie<B>1207.</B> Ce type ventilation est peu bruyante.
Bien entendu, on peut monter dans l'entrée d'air<B>1208,</B> globalement en forme de conduit comme la sortie<B>1207,</B> un groupe motoventilateur schématisé en<B>1209,</B> permettant une circulation forcée d'air entre l'entrée<B>1208</B> et la sortie<B>1207.</B> Ce mode de ventilation fait moins de bruit<B>à</B> haute vitesse et permet d'arreter la ventilation<B>à</B> la demande. Grâce au groupe motoventilateur <B>1209,</B> on a de bonnes performances en débit et la ventilation permet de supporter de fortes pertes de charge. Bien entendu, un autre groupe moto.ventilateur peut être placé dans le conduit de sortie<B>1207,</B> soit en complément de celui placé en entrée, soit de manière unique. Par groupe motoventilateur <B>1209,</B> on entend ici un ensemble moteur électrique entraînant une roue de turbine. Cette ensemble est fixé<B>à</B> l'intérieur du ou des conduits constituants l'entrée<B>1208</B> et la sortie<B>1207.</B>
Avantageusement, un capteur de température est placé au voisinage du plateau de réaction ou des chignons<B>8,</B> en étant porté par exemple par la cloche 14. Ce capteur pilote la mise en route du moteur électrique, et donc de la turbine en fonction de la température pour créer la ventilation forcee <B>à</B> travers un canal délimité axialement par le bloc moteur<B>62</B> et par le plateau de réaction 4 et radialement, par l'entretoise<B>61,</B> la cloche 14 et une couronne 1210 du bloc moteur<B>62.</B>
Bien entendu, il ressort<B>à</B> l'évidence de cette figure<B>29,</B> qu'il est possible de ne pas modifier le bloc moteur<B>62</B> et la cloche 14, seule l'entretoise<B>62</B> étant modifiée.
Dans cette figure<B>29,</B> l'entretoise<B>61 à</B> avantageusement la forme de l'entretoise<B>à</B> ailettes de la figure 21 et comporte donc paquet de tôles magnétiques constitué par une première série de tôles standard et par une deuxième série de tôles entretoise de diamètre externe différent, ces tôles ayant la même configuration<B>à</B> leur périphérie interne.
La forme du conduit 12J7 ou<B>1208</B> est visible<B>à</B> la figure<B>30.</B> Chaque conduit<B>1207, 12D8</B> comportant deux demi enveloppes. Ainsi,<B>à</B> la figure<B>30,</B> on voit le conduit<B>1207</B> formé de deux demi enveloppes 1207a,<B>1207b</B> assemblés entre elles<B>à</B> l'aide de pions 1207c, chaque pion 1207c étant introduit dans un trou associé correspondant<B>1207d</B> réalisé dans l'autre enveloppe. L'extrémité de chaque enveloppe présente une demi embase 1207e, chaque demi embase comporte deux trous<B>1207g</B> pour la fixation, par exemple,<B>à</B> l'aide de vis<B>ou</B> de rivets<B>du</B> groupe motoventilateur.
La figure<B>31</B> montre ce conduit après verrouillage entre elles des deux demi enveloppes. Bien entendu, les conduits peuvent avoir une forme différente comme visible dans les figures<B>32</B> et<B>33.</B> Les deux demi enveloppes 1207a et<B>1207b</B> étant reliées entre elles par une charnière fine 1112 en matière synthétique, comme les enveloppes 1207a,<B>1207b.</B> Les pions 1207c sont portés par la demi enveloppe 1207a et les trous<B>1207d</B> par la demi enveloppe<B>1207b.</B> Chaque demi enveloppe présente une partie supérieure<B>1213,</B> ici coudée moins<B>90</B> degrés, de forme arrondie dont l'extrémité libre se termine par une grille 1211. Après la fermeture des deux demi enveloppes, il est formé une grille complète servant notamment éviter la pénétration d'agents extérieurs. Le groupe motoventilateur est logé par exemple dans la cavité 1214 formée dans la partie basse de chaque enveloppe.
on voit<B>à</B> la figure 34, de manière schématique l'agencement entretoise<B>61 -</B> entrée<B>1208 -</B> sortie<B>1207.</B> Pour tenir les conduites d'entrées et de sortie d'air, on a pas besoin de vis lesdites conduites<B>1208, 1207</B> sont maintenues encastrées dans les ailettes<B>183</B> et maintenues coincées entre le bloc moteur et la cloche d'embrayage on voit<B>à</B> la figure<B>35</B> le montage de l'entretoise<B>61</B> avec son entrée<B>1208</B> et sa sortie<B>1207</B> au sein de la machine électrique tournante, entre le bloc moteur<B>62</B> et la cloche d'embrayage 14.
Il est créé ainsi un agencement permettant une ventilation forcée sans toucher au bloc moteur<B>62</B> et sans toucher également <B>à</B> la cloche 14. L'entrée<B>1208</B> et la sortie d'air<B>1207</B> se font donc dans l'épaisseur de l'entretoise<B>62.</B> Du point de vue performance, il est souhaitable d'avoir un diamètre extérieur du stator le plus élevé possible. Grâce<B>à</B> l'entretoise de la figure <B>31,</B> on obtient un diamètre externe du stator le plus élevé possible tout en ayant une bonne tenue mécanique de l'entretoise grâce au fait que celle-ci est constituée par deux séries de tôles,<B>à</B> savoir une première série de tôles standard<B>180</B> pour formation du stator proprement dit et une deuxième série de tôles<B>181</B> de diamètre externe différent. Il suffit d'enlever localement des ailettes<B>à</B> la deuxième série de tôles<B>181</B> pour loger l'entrée<B>1208</B> et la sortie<B>1207.</B>
L'air frais viendra ainsi lécher le stator et les chignons. Ainsi qu'on l'aura compris, l'entrée<B>1208</B> et la sortie<B>1207</B> des figures 34 et<B>35</B> sont orientées perpendiculairement sens de la marche du véhicule.
Bien entendu, il est possible d'orienter les parties<B>1213</B> en sortes que les grilles 1211 soient orientées dans le sens de la marche du vehicule. Dans ce cas, un filtre est prévu au niveau de la grille 1211 pour éviter la pénétration d'impuretes, de souillures autre<B>à</B> l'intérieur de la machine électrique 2. Cette disposition améliore le refroidissement de la machine dans le cas où celle-ci ne comporte pas de motoventilateur.
Bien entendu, comme visible<B>à</B> la figure<B>36,</B> l'entrée<B>1208</B> et <B>1207</B> ne sont pas forcément diamétralement opposées comme dans les figures précédentes. Par exemple, l'entrée<B>1208</B> peut être implantée a proximité du groupe motoventilateur associé au refroidissement du moteur thermique du véhicule. L'entree <B>1208</B> est donc éloignée des pollutions venant de la route et bien ventilée.
<B>A</B> la lumière de la figure<B>36,</B> on voit qu'en orientant l'entrée<B>1208</B> et la sortie<B>1207</B> globalement<B>à 90</B> degrés l'une par rapport<B>à</B> l'autre, qu'il est possible de créer une ventilation du type tangentielle.
L'entrée et la sortie sont choisies pour limiter zones de champs tourbillonnaires qui ne sont pas refroidis. peut diriger l'entrée vers la sortie pour obtenir un effet amplificateur. Pour éviter les zones tourbillonnaires non refroidies, on peut envisager une ventilation tangentielle sur deux niveaux, les entrées et sorties d'air étant placées cote<B>à</B> cote en étant décalées axialement l'une par rapport<B>à 1</B> autre. On appréciera qu'il est avantageux que l'entrée<B>1208</B> soit placée en face du groupe motoventilateur du véhicule car en de surchauffe du moteur thermique, il se produit la mise en route du groupe motoventilateur, ce qui correspond au besoin de refroidissement de l'alterno-démarreur. Ce groupe motoventilateur du véhicule est mis en route par un thermostat placé dans le circuit de refroidissement de véhicule. on peut utiliser ce thermostat pour piloter la mise en route d'un ensemble ventilateur turbine placé dans l'entrée et/ou la sortie d'air<B>1207, 1208.</B> Dans le cas d'une ventilation avec des ailettes placées sur le volant<B>13</B> ou sur le rotor<B>5</B> de manière précitée, il faut optimiser les paramètres pour un bon compromis entre le bruit et l'efficacité de la ventilation. Ainsi, il faut jouer sur la dimension des ailettes (hauteur, largeur) sur le type d'ailettes ( convexe, droit, concave), réduire le diamètre extérieur au minimum nécessaire, jouer sur le nombre d'ailettes et éventuellement sur la répartition angulaire asymétrique des ailettes. Ces ailettes peuvent être obtenues brute de fonderie, être issue de surmoulage ou être fixée par collage, soudage, vissage, frettage etc <B>....</B>
Bien entendu, avec une entretoise servant<B>à</B> la fixation par frettage du stator il est possible de réaliser une ventilation<B>à</B> la faveur d'ouvertures formées dans des excroissances ou protubérances locales de l'entretoise. Ces ouvertures ne remettent pas ainsi en cause la tenue mécanique de l'entretoise.
<B>A</B> la figure<B>23,</B> on voit en 201, un pion engagé dans un trou de centrage<B>185</B> de l'entretoise<B>61,</B> et en 202, une douille de centrage engagée également dans le même trou<B>185.</B> Le pion 201 est solidaire du bloc moteur<B>62</B> tandis que la douille de centrage 202 est solidaire de la cloche d'embrayage 14 appelée également carter d'embrayage. Grâce au moyen de palier<B>132,</B> on limite les battements relatifs entre le rotor<B>6</B> et le stator<B>5,</B> ce qui garantit un entrefer précis. Néanmoins, du fait de la présence des pions 201 et des douilles 202, il persiste des efforts statiques radiaux du fait du désaxage du bloc moteur par rapport au nez du vilebrequin.
De plus, le fait de plaquer l'entretoise<B>61</B> contre le bloc moteur<B>62</B> entraîne des efforts statiques axiaux.
Il est proposé de minimiser ces efforts statiques. Pour minimiser les efforts statiques radiaux, on supprime les pions 201 de la figure<B>23</B> et on conserve les douilles 202. L'antirotation est assurée par les vis traversantes 64.
Les efforts statiques axiaux sont minimisés par l'emploi de bagues 1462 sur lesquelles peut coulisser l'entretoise<B>61.</B> La longueur imposée entre le carter moteur<B>62</B> et le carter d'embrayage est imposée par ces bagues de centrage 1462. Ainsi, les organes de fixation 64, forme de vis, traversent l'entretoise<B>61</B> (figure<B>37)</B> et relient le bloc moteur <B>62</B> la cloche d'embrayage 14 épaulée<B>à</B> son extrémité libre pour appui des têtes des vis de fixation. Ces vis traversent les bagues de centrage 1462 elles mêmes traversant un passage 461 de l'entretoise. Ces bagues 1463 sont plus longues axialement que l'entretoise<B>61</B> c'est<B>à</B> dire qu'elles s'étendent en saillie axiale hors de l'entretoise<B>61</B> et font donc entretoise ou organe d'écartement entre le bloc moteur<B>62</B> et la cloche d'embrayage 14. Des anneaux en matière élastique 14<B>,</B> tel que de l'élastomère, sont placés<B>à</B> chaque extrémité de l'entretoise. L'entretoise<B>61</B> peut donc coulisser axialement le long des bagues 1462 en sorte que les efforts statiques sont minimisés.
Bien entendu, comme visible dans le haut de la<B>f</B> igure <B>37</B> et <B>à</B> la figure<B>38,</B> les organes de fixation 64 peuvent consister en des boulons, le bloc moteur étant alors épaulé, comme visible dans la partie haute de la figure<B>37.</B> La bague 1462 étant alors prolongée en 1464 pour former un pion de centrage pour la cloche 14.
Bien entendu, le carter 14 comporte au moins un trou étagé 1465 pour recevoir respectivement le pion 1464 et la tête de la vis du boulon. Bien entendu, le nombre de pions 1464 dépend des applications e-: en pratique, un nombre réduit de bagues 1462 est équipé de te--s pions 1464. Ces bagues 1462, faisant office d'entretoise, sont en matière rigide, tel qu'en acier par exemple. L'en-.retoise <B>61</B> présente<B>à</B> chacune des extrémités axiales d'un passage 461 un élargissement de diamètre pour le logement de l'anneau élastique 1463. Les anneaux 1463 sont donc portés par l'entretoise.
En variante, le bloc moteur<B>62</B> et la cloche 14 sont creusés localement pour réception des anneaux élastiques 1463. Ces anneaux peuvent être reliés ensemble pour former une couronne et créer ainsi une étanchéité.
En variante, ces anneaux élastiques sont montés de manière individuelle autour d'une bague de centrage 1462.
En variante (figure<B>38),</B> les pions de centrage 1467 sont distincts de la bague 1462. Ces pions 1467 consistent en des douilles engagées sur les têtes des vis des boulons et sont individuellement chacun engagés dans un trou etagé 1465 de la cloche 14 et dans un lamage 1466 réalisé dans bague 1462. Ce lamage 1466 est bien entendu en vis<B>à</B> vis du trou 1465 et est formé<B>à</B> la faveur d'un élargissement du diamètre interne de la bague<B>62 à</B> son extrémité libre concernée. bagues 1462 permettent de filtrer les vibrations.
Ainsi, le centrage coté carter cylindre se fait par les moyens palier<B>132,</B> le centrage coté boîte de vitesse par des pions 1464 ou 1467, et les efforts axiaux sont compensés par le degré de liberté axial que procurent les bagues de centrage 1462.
Bien entendu, les trous borgnes<B>170</B> de la figure<B>17</B> peuvent être reliés<B>à</B> des canaux verticaux débouchant<B>à</B> la périphérie externe de l'entretoise 46 pour permettre un démoulage aisé des trous<B>170.</B>
Bien entendu les entrée et sorties d'air<B>1208, 1208</B> peuvent consister en des trous lorsque l'entretoise est de forte épaisseur.
Ainsi qu'il ressort<B>à</B> l'évidence de la description et des figures, l'évidement central<B>39</B> permet un accès aux têtes des vis fixation du volant d'entraînement<B>13</B> sur l'arbre de sortie<B>11</B> (vilebrequin) du moteur thermique du véhicule.
Dans les figures, l'entretoise<B>61</B> est plus courte axialement que volant<B>13.</B>
La pièce porteuse, par exemple, le flasque<B>193 à</B> une forme creuse pour loger en partie le stator et le rotor.
Cette pièce porteuse peut porter<B>à</B> sa périphérie interne le stator, le rotor, porté par le volant<B>13,</B> entourant alors le stator. Il est ainsi possible d'inverser les structures<B>à</B> la figure 12.
L'amortisseur de torsion peut ne pas pénétrer dans l'évidement central.
Bien entendu, les rotors des figures<B>1</B> et suivantes peuvent être dotés d'au moins une série d'ailettes<B>1206.</B> Le volant<B>13</B> de ces figures peut être doté d'ailettes et ou de trous comme dans les figures<B>5</B> et<B>27.</B> On peut combiner ce type de refroidissement avec celui des figures<B>13,</B> 14. Toutes les combinaisons sont possibles

Claims (1)

  1. <U>REVENDICATIONS</U> <B>1.</B> Dispositif d'embrayage<B>à</B> friction comportant, d'une part, un volant entraînement en rotation<B>(13)</B> présentant une extrémité avant destinée<B>à</B> être fixée<B>à</B> un arbre menant<B>(11)</B> et une extrémité arrière en forme de plateau de réaction (4) avec une face de friction<B>(37),</B> et d'autre part, un disque friction (20), comprenant<B>à</B> sa périphérie externe au moins une garniture de friction<B>(</B> pour contact avec la face de friction<B>(37)</B> du plateau de réaction (4), ladite garniture de friction<B>16)</B> étant solidaire d'un support (21) accouplé<B>à</B> un moyeu<B>(15)</B> central destiné<B>à</B> être solidarisé en rotation<B>à</B> un arbre mène (12),dans lequel le volant d'entraînement<B>(13)</B> porte entre ses extrémités avant et arrière le rotor<B>(6)</B> d'une machine électrique tournante (2) comprenant un stator fixe<B>(5),</B> caractérisé en ce le volant d'entraînement<B>(13)</B> porte des moyens de palier<B>(132)</B> interposés radialement entre ledit volant<B>(13)</B> et une pièce porteuse (134) solidaire du stator<B>(5)</B> pour définition d'un entrefer précis entre le stator<B>(5)</B> et le rotor(6). 2.Dispositif selon la revendication<B>1</B> caractérisé en ce que les moyens de palier<B>(132)</B> sont implantés radialement au dessus d'organes fixations (145) du volant<B>(13)</B> d'entraînement<B>à</B> l'arbre menant<B>(11).</B> <B>3.</B> Dispositif selon la revendication 2 caractérise en ce que les moyens palier<B>(132)</B> sont portés<B>à</B> leur périphérie interne par une entretoise<B>(130,</B> 46,<B>131)</B> appartenant au volant<B>(13)</B> et solidaire du plateau de réaction (4) pour formation d'une entretoise entre le plateau de réaction (4) et l'arbre menant <B>(11) .</B> 4. Dispositif selon la revendication<B>3</B> caractérisé en ce que les moyens de palier<B>(132)</B> sont portés<B>à</B> leur périphérie externe par un manchon (46) solidaire du plateau de réaction et<B>à</B> leur périphérie interne par une jupe<B>(133)</B> solidaire d'une pièce porteuse (134) portant<B>à</B> sa périphérie externe le stator<B>(5).</B> <B>5</B> Dispositif selon la revendication<B>1</B> caractérisé en ce que les moyens de palier<B>(132)</B> sont implantés sur la même circonférence que les organes de fixation (245) du volant d'entraînement<B>(13)</B> l'arbre menant (11). <B>6.</B> Dispositif selon la revendication<B>1</B> caractérisé en ce que les moyens de palier<B>(132)</B> sont implantés radialement en dessous d'organes de fixation (345) du volant d'entraînement<B>(13) à</B> l'arbre menant<B>(11).</B> <B>7.</B> Dispositif selon la revendication<B>6</B> caractérisé en ce que la pièce porteuse est dotée de trous de passages (545) pour le passage d'au moins un outil de vissage des organes de fixation (345) consistant en des vis. <B>8.</B> Dispositif selon la revendication<B>6</B> caractérisé en ce que le plateau de réaction (4) présente des trous de passage en coincidence axiale avec les trous de passage (545) de la pièce porteuse. <B>9.</B> Dispositif selon l'une quelconque des revendications<B>1 à 8</B> caractérisée en ce que la pièce porteuse (134) est solidaire d'une entretoise<B>(61)</B> et porte intérieurement des moyens élastiques (462, 463) déformables pour passage d'organes de fixation (64) et montage souple de la pièce porteuse (134) sur le bloc moteur<B>(62)</B> du moteur<B>à</B> combustion interne. <B>10.</B> Dispositif selon l'une quelconque des revendications<B>1 à</B> <B>9,</B> caractérisée en ce que la pièce porteuse comporte une portion semi-torique pour créer un logement pour le rotor<B>(6)</B> et le stator <B>(5).</B> <B>11.</B> dispositif selon l'une quelconque des revendications<B>1 à</B> <B>10</B> caractérisé en ce que la pièce porteuse sert de support<B>à</B> un moyen de détection<B>(610),</B> tel qu'un capteur de vitesses ou de position, placé en regard d'une cible<B>(601).</B> 12 Dispositif selon la revendication<B>11,</B> caractérisé en ce que la cible<B>(601)</B> est portée par le rotor<B>(6).</B>
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